Le ''fonctionnalisme écologique'', une solution pour préserver nos ressources

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Maxence Bajard

Glenn Murcutt Le ‘’fonctionnalisme écologique‘’, une solution pour préserver nos ressources. S5SA - Méthodologie de l’écriture 1 École nationale supérieure d’architecture de Grenoble


Illustration de couverture : Photographie de la Simpson-Lee house, Anthony Browell.


Introduction Extrait, définition de l’écologie, linternaute. fr, décembre 2018.

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Citation, Glenn Murcutt, Françoise Fromonot, 2004, p.19.

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Les dernières décennies ont vu émergés de nombreux mouvements écologiques, visant à un meilleur équilibre entre l’homme et son environnement naturel ainsi qu’à la protection de ce dernier 1. La Terre et ses ressources sont l’essence même de notre constante évolution et de notre pérennité. Lancée dans une course effrénée, l’humanité consomme sans relâche et épuise peu à peu sa propre planète bien au-delà du supportable. Le constat est simple ! Si nous continuons sur cette lancée, il n’y aura bientôt plus aucunes ressources disponibles. Pour perdurer et envisager une croissance durable, l’humanité devra modifier son rythme de vie et faire plus avec moins. Au milieu de ces sombres perspectives d’avenir, il reste néanmoins quelques raisons pour ne pas désespérer. En effet les pays développés, principaux consommateurs de ressources naturelles, travaillent paradoxalement à une meilleure utilisation de nos richesses. Ils prônent un retour à une urbanisation plus sobre, plus écologique et une suppression du superflu. L’architecte australien Glenn Murcutt (fig. 1) né en 1936, fut l’un des premiers à injecter ses nouvelles réflexions à son langage architectural. Élevé sous le culte du travail et de l’excellence, il développe très vite une certaine sensibilité au détail. Pour lui, il est indispensable de ‘’ Faire extraordinairement bien des choses extrêmement ordinaires 2 ‘’. Murcutt décida de se lancer dans l’architecture au début des années 1970. Émerveillé par la villa Farnsworth (fig.2) de Ludwig Mies van der Rohe, il retrouve en cet architecte les fondements de sa philosophie. Un minimalisme, qui 1


s’attache aux détails, aux matériaux et aux espaces pour créer une structure claire sans superflu. Ces premières productions architecturales reprennent clairement les principes de ce mouvement moderne. C’est en voyageant, en s’inspirant des compétences de l’artisanat traditionnel et des civilisations aborigènes qu’il va évaluer les limites de ce mouvement architectural et prendre conscience de l’incompatibilité du modèle ‘’ miesien 3 ‘’ avec des besoins climatiques et environnementaux. En réunissant les principes du courant moderne et les technologies nécessaires aux besoins écologiques de ses œuvres, Glenn Murcutt parviendra à atteindre une parfaite maitrise de son architecture qu’il qualifie de ‘’ fonctionnalisme écologique 4 ’’. Une réflexion qui lui permet d’obtenir le prix Pritzker en 2002, grâce à son travail qualifié ‘’ d’ordinaire et extraordinairement complexe dans sa pensée 5 ’’. Reconnu pour son idéal architectural et la qualité de sa production. Il cherche à construire des œuvres sensibles au lieu dont la forme reflète la fonction et le besoin. Elles sont aussi étudiées pour consommer le moins d’énergie possible, que ce soit durant leur conception ou pour leur fonctionnement. Avec cette philosophie, Glenn Murcutt semble avoir trouvé la parade contre la surconsommation de nos richesses et réussi à conjuguer écoconception avec qualité architecturale. Mais comment traduit-il cette philosophie du ‘’ fonctionnalisme écologique 4 ’’ de manière concrète ? Quelles approches au sein du projet permettent cet équilibre entre écoconception et économie de ressources naturelles ? Pour répondre à ses questions, il faudra se concentrer sur certaines de ses productions, les décrire, les décortiquer et les analyser à l’aide de photos, de documents techniques et de schémas. Les œuvres de références sont la maison Simpson-Lee (fig. 3), construite en 1989-1994 au nordouest de Sydney pour un couple de retraités et la maison Marika-Alderton (fig. 4) construite en 1991-1994 dans le nord de l’Australie pour une communauté autochtone. Elles s’inscrivent dans un contexte environnemental et social totalement différents. Mais le processus de conception et de réalisation de ces 2 édifices réunissent l’ensemble des qualités remarquables dans la pratique architecturale de 2

Terme générique, qui convient à la production de l’architecte Ludwig Mies van der Rohe.

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Terme générique, qui convient au style architectural de Glenn Murcutt.

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Citation des membres du jury du prix Pritzker 2002, pritzkerprize.com, 2002.

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(fig. 1) Photo portarait de Glenn Murcutt, Anthony Browell, 2006.

(fig. 2) Photo de la villa farnsworth de Ludwig Mies van der Rohe.

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l’architecte. Une pratique qui sera dans un premier temps abordée par son style architectural, pour comprendre comment Glenn Murcutt produit des bâtiments à la fois primaires et raffinés. Sa profonde connaissance des matériaux et sa maitrise des procédés de construction permettront dans un second temps de saisir comment il utilise le minimum de matière pour limiter la dépense en ressources naturelles.

Une architecture fonctionnelle : Formule de Juhani Pallasmaa, From Metaphorical to Ecological Functionalism, The Architectural review, 1993, p. 74-79.

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Citation adoptée par Ludwig Mies van der Rohe, 1947.

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Citation, Glenn Murcutt, Françoise Fromonot, 2004, p.43.

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minimale

et

A ce jour, il est impossible d’imaginer une perspective d’avenir autre qu’un futur où l’écologie primerait. Après des centaines d’années de surconsommation et d’abondance, il est inévitable de revenir à une politique de la nécessité où l’utilité et la beauté seront à nouveau réunies 6 . En tant qu’architecte écologiste, humaniste et économiste, Glenn Murcutt participe à la construction de ce nouvel équilibre. Porté par le courant moderne et le fameux ‘’ Less is more 7 ‘’ de Mies van der Rohe, il défend une approche minimaliste, fonctionnelle, primitive et très épurée de ses projets dans son Australie natale. Malgré une logique de projet qui prend appui sur les particularités d’un site et les demandes d’un client pour élaborer des bâtiments sur mesure, ses œuvres partagent des formes et des caractéristiques homogènes qui font apparaître une certaine constante dans son architecture. Les maison Simpson-Lee et Marika-Alderton se distinguent par leurs plans rectangulaires et horizontaux (fig. 5). Forme architecturale élémentaire, inspirée du modèle ‘’ miesien 3 ‘’ et des hangars australiens, elle permet une organisation rentable et ordonnée de l’espace intérieur. Cet agencement crée un parcours linéaire longitudinal sans superflu qui traverse les différentes fonctions du bâtiment. Au sein de ce plan, Glenn Murcutt répartie et ordonne les espaces le long de ce parcours. On remarque alors un regroupement des fonctions (fig. 5) qu’on pourrait résumer à une zone de jour puis une zone de nuit. Le salon, la salle à manger et la cuisine deviennent alors un seul et même espace créant ainsi une optimisation des volumes. Il réduit alors ses bâtiments à ce qu’il considère comme ‘’ l’abri minimum 8 ‘’. 6


(fig. 3) Photo de la maison Simpson-Lee, Anthony Browell.

(fig. 4) Photo de la maison Marika-Alderton, Anthony Browell.

(fig. 5) Plan de la maison Simpson-Lee et de la maison Marika-Alderton, Glenn Murcutt.

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Glenn Murcutt fait du système constructif de cette enveloppe, le fondement de son architecture dite fonctionnelle. L’ossature de la maisons Simpson-Lee est différente de celle de la maison Marika-Alderton. Mais l’assemblage de ses structures évoque l’expression même du concept d’abri. Utilisant les nouvelles techniques et les nouveaux matériaux de la construction moderne, il matérialise l’abri grâce à une structure métallique qui supporte une couverture, elle aussi métallique (fig. 6), pour protéger et libérer l’espace intérieur. Le ‘’ plan libre 9 ‘’, principe fondamental de l’architecture moderne, permet à la structure de libérer le plan, donnant la possibilité de composer des espaces indépendamment des contraintes structurelles. L’architecte peut ainsi se soustraire des parois verticales porteuses et faire une économie de matière considérable. En épurant ces détails et en établissant une trame offrant des plans simples, clairs et fluides, Glenn Murcutt cherche à tirer le meilleur de sa structure mais aussi à utiliser le minimum de matière possible pour minimiser son impact environnemental. Ses œuvres, pensées sur un souci écologique, pratique et économique, associent des fondements vernaculaires avec le minimalisme du moderniste. Sa pensée rigoureuse, sa sensibilité aux détails et ses connaissances de la construction poussent cet architecte à concevoir et imaginer le bâtiment au préalable dans les moindres détails : ‘’ Tandis que je trace les plans d’exécution, j’empile les briques [...] tout est conçu est pensé en préalable à l’appel d’offre 10 ‘’

Cinq points de l’architecture moderne, Le Corbusier, 1926.

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Ciattion, L’australie de Glenn Murcutt, Avivre Architecture, 2004, p. 37.

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Une expertise de la consommation environnementale : Citation, Antoine Laurent Lavoisier.

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Le fameux ‘’ rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme 11 ‘’ met en évidence que la nature n’a pas de poubelle et qu’elle a le gaspillage en horreur 12 . Tout comme l’agriculteur et écrivain Pierre Rabhi, Glenn Murcutt voit le gaspillage comme quelque chose d’immoral. C’est pourquoi il mise sur une économie de la construction. La forme, la réalisation, la mise en œuvre, le fonctionnement et la durabilité de chaque élément font l’objet d’une mure réflexion pour l’ensemble de ses projets. Cela lui permet de dresser un devis descriptif du coût environnemental de chacune de ses propositions 13 .

Expression de Pierre Rabhi , Vers la sobriété heureuse, Pierre Rabhi , 2013.

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Extrait, Glenn Murcutt, Françoise Fromonot, 2004, p. 67.

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(fig. 6) Coupe de la maison maison Simpson-Lee, Glenn Murcutt.

(fig. 7) Croquis d’analyse de la maison Marika-Alderton, Glenn Murcutt.

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Citation, Glenn Murcutt, Françoise Fromonot, 2004, p.27.

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Citation, Glenn Murcutt, Françoise Fromonot, 2004, p.68.

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Sa connaissance des matériaux et ses réflexions concernant les maisons Simpson-Lee et Marika-Alderton le conduiront à utiliser une structure en acier (fig. 6) plutôt qu’une structure en bois. Il utilise presque systématiquement des matériaux recyclables pour minimiser l’empreinte écologique de son projet. L’acier n’est pas un matériau renouvelable ou local mais il présente des qualités mécaniques et durables beaucoup plus performantes. En effet, l’acier permet de réaliser des structures à la fois très légères, résistantes aux intempéries et recyclables à l’infini. Pour Glenn Murcutt ‘’ la beauté d’un éléments simples réside dans sa capacité à remplir simultanément plusieurs fonctions 14 ’’. Un raisonnement qui implique parfois des choix écologiques inattendus mais pertinents. Adepte de l’artisanat, Glenn Murcutt privilégie la quantité de travail humain plutôt que des méthodes industrielles classiques. Ressource renouvelable par excellence l’artisanat permet à Murcutt de produire des éléments constructifs sur mesure. Il tente de les épurer pour en affirmer le plus clairement possible leurs fonctions et les rendre facilement réalisables pour les artisans. Les éléments de la maison Marika-Alderton ont été pensés pour pouvoir être préfabriqués puis expédiés par camion. La pensée rigoureuse et logique de Glenn Murcutt pousse à l’extrême les capacités de construction de ses édifices. Si bien que la maison fût assemblée sur place dans des conditions extrêmes en quelques semaines par seulement deux personnes réduisant ainsi la facture écologique de ce bâtiment. Modifiables et extensibles, ses pavillons sont pensés pour se démonter sans nuire à l’environnement de manière irrémédiable. L’expertise environnementale de Glenn Murcutt concerne aussi le fonctionnement autonome de ses bâtiments une fois la construction achevée. Puisant dans l’histoire vernaculaire de son pays, il développe de nouvelles solutions architecturales ingénieuses et rationnelles pour lutter contre la consommation énergétique de ses édifices. Il considère ses œuvres comme des ‘’ machines à habiter le paysage, rigoureuses et sobres, insérées sans heurts apparents dans l’ordre immuable des cycles naturels 15 ‘’. Sa fascination pour les phénomènes atmosphériques et sa science de la construction lui permettent d’approcher son idéal d’habitation. Une maison autosuffisante qui n’engendrait aucune autre dépense énergétique mise à 10


Citation, Glenn Murcutt, Françoise Fromonot, 2004, p.47.

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part celle requise pour sa construction. L’architecture de Glenn Murcutt va bien au-delà d’une simple forme construite, les maisons Simpson-Lee et Marika-Alderton utilisent les éléments naturels à des fins techniques. L’orientation, la forme et l’enveloppe de ses bâtiment permettent une régulation thermique naturelle durable qui s’adapte aux cycles de la nature australienne. Les analyses et les croquis d’étude (fig. 7) montrent comment Glenn Murcutt a établi le profil de ces habitats en fonction des angles du soleil et des vents dominants. Grâce à sa maitrise de la mécanique élémentaire de l’air, il se joue de la convection pour écarter tout gaspillage énergétique. La passion dévorante de Glenn Murcutt pour la nature et les paysages de son Australie natale font naître chez lui une observation et une compréhension aiguë des éléments du projet. Il tente ainsi de restituer des conceptions écologiques saines permettant aux occupants de ressentir ce qu’il appelle la ‘’ poétique du lieu 16 ‘’.

Conclusion : La philosophie du ‘’ fonctionnalisme écologique 4 ’’ de Glenn Murcutt trouve son équilibre grâce à une morale environnementale, pratique et économique. Atteignant un idéal architectural et écologique remarquable, il prouve au monde entier qu’une économie de la construction est possible et que l’architecture possède le potentiel pour tendre vers un avenir écoresponsable durable. Basé sur une approche minimaliste et fonctionnelle, il trouve le moyen de rentabiliser au maximum sa production. Avec des plans fondés sur un type qui s’inspire des préceptes du vernaculaires et du minimalisme moderne, il parvient à composer de nouvelles solutions architecturales simples, claires et sans superflu à chaque projet. Son raisonnement, ses connaissances de la construction, sa sensibilité aux détails et aux matériaux lui permettent d’imaginer au préalable un bâtiment qui tire le meilleur de sa structure et utilise le minimum de matière possible pour minimiser son impact environnemental. Optant parfois pour des choix écologiques inattendus, Glenn Murcutt analyse jusqu’au moindre détails les systèmes constructifs de ses édifices, réduisant ainsi leur 12


facture écologique. Si bien que ses maisons sont conçues sur mesure et font appel au savoir artisanal local. Véritable artisan de l’architecture, il met à profit sa passion de la nature et des paysages australiens pour créer une maison autosuffisante qui dépense très peu d’énergie une fois la construction achevée. Il cherche alors à construire des œuvres sensibles au lieu qui utilisent les éléments naturels à des fins techniques et ainsi restituer des conceptions écologiques saines. Cependant, il est utile de rappeler que cette pratique architecturale reste extrêmement complexe dans sa pensée. Elle demande à Glenn Murcutt une parfaite maitrise de son sujet et un temps parfois très long pour aboutir à un résultat simple et cohérent. Cette philosophie radicale du ‘’ fonctionnalisme écologique 4 ’’ limite alors la nature de son travail. Elle le pousse à ne jamais dépasser les frontières australiennes et se concentrer presque exclusivement sur des habitats individuels.

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BIBLIOGRAPHIE : Ouvrages : FOMONOT, Françoise, Glenn Murcutt, Paris, Gallimard, 1995, 164 p. FOMONOT, Françoise, Glenn Murcutt, Gallimard, 2003, 326 p, [1ère ed. Paris, Gallimard/Electa, 1995]. COOPER.J, BECK.H, Glenn Murcutt: A Singular Architectural, Memphis, Images Publishing, 2002, 255 p. FARRELLY.E.M, Three Houses : Glenn Murcutt Architecture in Details, Londres, Phaidon, 1993, 60 p. RABHI, Pierre, Vers la sobriété heureuse, Actes Sud Editions, Babel, 2013, 163 p. BARRENECHE, Raul, Maisons contemporaines : Deux, Phaidon, Architecture, 2006, 238 p. COLLECTIF, Mies van der Rohe, Basic Art, Taschen, 2015, 96 p. Article de périodique, revue : DUCA, Laurence, « L’Australie de Glenn Murcutt », Construire en bois, Avivre architecture, n° 21, Décembre 2004, pp. 29-41. PALLASMAA, Juhani, « Feathers of metal », El Croquis, n° 163, Novembre 2012, pp. 26-47. RAMBERT, Francis, « Glenn Murcutt l’artisan de sydney », D’A. D’Architectures, n° 62, Février 1996, pp. 64-65. FOMONOT, Françoise, « Murcutt Architecte solo en Australie », Le Moniteur architecture, n° 38, Février 1993, pp. 26-29. GAUZIN-MULLER, Dominique, « Glenn Murcutt transmettre pour préserver », Ecologik, n° 30, Janvier 2013, pp. 108-117. 15


SITOGRAPHIE : Wikipedia, Glenn Murcutt : https://fr.wikipedia.org/wiki/ Glenn_Murcutt, Novembre 2018. Universalis : https://www.universalis.fr/, Novembre 2018. Oz.E.Tecture : https://www.ozetecture.org/, Novembre 2018. Linternaute, Dictionnaire français : https://www.linternaute. fr/dictionnaire/fr/, Novembre 2018. The Pritzker Architecture Prize, Lauréats 2002 : https:// www.pritzkerprize.com/laureates/2002, Novembre 2018.

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