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1 ZARCO - FENATI VIÑALES – TECHER
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I’M SINGING IN THE RAIN I’M HAPPY AGAIN !
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h oui, je chante en roulant sous la pluie, remarquez que ces derniers
temps il est très difficile de chanter sous le soleil puisque même sur les bords de la Grande Bleue, il pleut ! Ce navrant constat me renvoie dans les couloirs du temps il y a 40 ans, je sais c’est tout aussi désolant ; la bande de motards dont j’avais l’honneur, la joie et le privilège de faire partie se réjouissait d’une perspective d’une virée sous la pluie (pas moins de 200 km, nous n’étions pas des frimeurs mais des purs !). Notre équipement « high-tech » était à l’époque, en partant du haut pour aller jusqu’en bas, composé d’un bol Cromwell, d’une paire de Climax, d’un masque de cuir, d’un Barbour, d’un jean’s, d’une grosse paire de chaussettes retombant sur le haut de nos bottes Bol d’Or et nous étions trempés jusqu’aux os mais pour rien au monde nous aurions changé nos places. Aujourd’hui avec nos intégraux à visières anti buée, nos combinaisons des plus parfaitement étanches, nos sur gants, nos sur bottes, nous sommes secs comme un coup de trique en arrivant à l’étape et pourtant nous ronchonnons contre la pluie, le vent, le soleil, la route, les à-côtés de cette dernière etc … Quand soudain un petit garçon me tapa doucement sur l’épaule et me dit : « S’il te plaît, dessine-moi une moto ». Je lui dessinais donc une moto du mieux que je pouvais et alors que j’allais commencer le décor, il me dit merci en me prenant la feuille des mains. Il voulait simplement une moto, il était heureux comme ça et se foutait de ce qu’il pouvait y avoir autour.
JEF
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N°17 juin 2013 E DI T O
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ACTUALITES
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RALLYE
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DDMT : Une édition toute en Michelin Marc COMA triomphe au rallye de Sardaigne Cyril DESPRES revient à la compétition avec YAMAHA
INTERIEWS
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JOHANN ZARCO veut se servir du GP de France pour se relancer ROMANO FENATI veut rattraper son retard sur les KTM MAVERICK VIÑALES réfléchit davantage sur sa moto ALAN TECHER livre son parcours et ses ambitions
DOSSIER GUIDE COMPLET EQUIPEMENT POUR L’ETE - Les Casques - Les Blousons - Les Pantalons - Les Bottes
SPORT
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LA SÉLECTION DU MOIS
ESSAI LECTEUR
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LORENZO s’impose en patron au MUGELO REDDING en tête, ZARCO sur le podium Luis SALOM 2ème victoire – 5ème podium consécutif WSBK – 1ère Manche – DONINGTON MELANDRI s’impose au finish WSBK – 2ème manche – DONINGTON LAVERTY gagne en solitaire WSSP – DONINGTON Sam LOWES encore une fois FSBK LE VIGEANT LEBLANC prend le large au classement CEV au MOTORLAND en ARAGON FSBK NOGARO LEBLANC s’envole, GINES remonte
EVENEMENT BOUTIQUE
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Le SALON DE LA MOTO PARIS 2013 AGENDA
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Comité de rédaction
Suzuki GSR 750
Directeur de la publication : Jean-François FOREST Rédacteur en Chef : François MICHEL Comité : Christophe MOIRAND, François MICHEL, Patrice AUBERT Infographiste – Webmaster : Sébastien FOREST
E-mail : contact@motowebzine.fr Site : www.motowebzine.fr Les articles sont publiés sous la responsabilité de leurs auteurs. Source : motogp.com ; worldsbk.com ; FFM ; Yamaha; Kawasaki; Fim-live.com ; Honda ; Aprilia ; Ducati
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Victime d’une violente chute vendredi dernier au Mugello, Marc Márquez a passé une visite médicale dès son retour à Barcelone et ne souffre d’aucune autre blessure que celles qui avaient été identifiées au Centre Médical du circuit.
A son arrivée à Barcelone, Marc Márquez s’est directement rendu à l’Institut Universitari Quiron Dexeus afin de se faire examiner par le Dr Xavier Mir. Ce dernier a rapidement pu confirmer que le pilote catalan ne souffrait d’aucune blessure grave. « Suite au premier examen que nous avions fait avec Marc au Mugello, lors duquel nous avions fait des radios, nous n’étions pas certains de l’état de son épaule droite. Aujourd’hui nous avons réalisé d’autres radios plus précises, qui confirment que sa blessure sur la partie supérieure de l’humérus est minime – une petite fissure. Comme une blessure de ce type peut compromettre la condition des tendons de l’épaule, nous lui avons aussi fait passer une échographie Doppler, qui a montré que les tendons n’avaient pas été endommagés. Il a une petite inflammation des tendons mais c’est quelque chose qui peut être soigné en quelques jours de physiothérapie. » a expliqué le Dr Mir. « Sa progression lors des 24 heures qui ont suivi l’incident a été très bonne. Il avait d’abord eu du mal à lever son bras mais il va beaucoup mieux maintenant. Il a encore des difficultés à lever son bras en sur le côté mais c’est quelque chose dont il récupèrera complètement d’ici le Grand Prix de Catalogne. » 4
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Davide Brivio attend impatiemment la décision de Suzuki quant à un éventuel retour du constructeur japonais en MotoGP pour 2014
Présent aux côtés de Randy de Puniet la semaine dernière au Motegi, où le Français a fait ses premiers tours de roue en tant que pilote d’essais, l’ancien team manager de Yamaha supervisera les prochains tests prévus en Europe, en attendant le feu vert de Suzuki pour mettre en place une nouvelle équipe pour la saison 2014. Suzuki avait quitté le MotoGP à l’issue de la saison 2011 mais avait, à l’époque, déjà évoqué son intention de revenir en Grand Prix en 2014. « C’était une très bonne expérience et nous étions tous très enthousiastes, » a confié Brivio au sujet du test réalisé la semaine dernière au Japon. « Nous sommes allés au Motegi pour deux journées et nous n’avons eu aucun problème avec la moto. Pour ce premier test, il s’agissait simplement de comprendre le potentiel de la moto, c’était comme un premier shakedown. C’était positif… pour être honnête, plus que je ne l’espérais. »
« Nous serons à Barcelone le lundi qui suivra le Grand Prix (17 juin) et nous ferons ensuite d’autres tests en Europe. Le programme n’est pas encore complètement défini mais nous verrons ça durant l’été. Le lundi à Barcelone sera intéressant. Notre principal objectif est d’évaluer le niveau de la moto, au cas où Suzuki décide de revenir en 2014, ce qui n’est pas encore fait. Mais ça nous permettra de planifier les prochains mois de développement. » Brivio a également affirmé que Suzuki n’avait pas prévu de date précise pour annoncer sa décision, qui dépendra des résultats obtenus lors des différents tests. « Il n’y a pas de date précise. Ce sera dès que possible. Il y a des discussions en interne, des évaluations et nous espérons que la direction prenne une décision le plus vite possible. Pour l’instant ils ont différents éléments à prendre en compte mais j’espère qu’ils décideront de revenir ! » 5
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Engagé par Suzuki en tant que pilote d’essais, Randy de Puniet a testé la nouvelle 1000cc d’Hamamatsu fin mai au Twin Ring Motegi et retrouvera le nouveau prototype japonais le 17 juin à Montmeló, où l’héritière de la GSV-R sera en piste aux côtés des machines de la grille MotoGP 2013.
En attendant de confirmer de manière officielle son retour dans le Championnat du Monde MotoGP, Suzuki poursuit le développement de son nouveau prototype 1000cc et l’a confié aux mains expertes de Randy de Puniet les jeudi 23 et vendredi 24 mai, au Twin Ring Motegi. Si le Français ne peut pour l’instant rien dévoiler de ses essais avec la marque japonaise, son manager Eric Mahé a pu confirmer à motogp.com que le test s’était déroulé de manière positive et que les ingénieurs de Suzuki avaient été aussi agréablement surpris par les performances que par la qualité des commentaires de son pilote. De retour dans un rôle de développeur, qu’il avait bien connu lorsqu’il courrait chez Kawasaki,
et ravi de s’investir dans un projet qui représente aussi une belle opportunité pour la suite de sa carrière, De Puniet a bouclé une centaine de tours sur les deux journées d’essais, en roulant de 10 à 12h et de 14 à 16h. Après avoir rapidement établi un bon contact avec les ingénieurs de Suzuki, le Français a pu longuement s’entretenir avec eux afin de discuter des points forts et des éventuelles faiblesses de la moto. De Puniet, qui avait eu l’occasion d’essayer la GSV-R800 fin 2011, avant que Suzuki ne mette fin à son engagement en Grand Prix, était donc satisfait de cette entrée en matière et aura l’opportunité de dévoiler le potentiel du nouveau prototype d’Hamamatsu le 17 juin prochain à Montmeló, lors de la journée de Test Officiel qui suivra le Grand Prix de Catalogne, pour laquelle il roulera aux côtés des prototypes de la grille 2013. Le Français roulera également au MotorLand Aragón les mercredi et jeudi de la même semaine, pour des essais privés auxquels devraient aussi participer Honda et Yamaha. 6
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Parmi les plus grands rivaux de Valentino Rossi, Sete Gibernau a depuis longtemps mis derrière lui ses différends avec l’Italien et n’a pas hésité à affirmer qu’il espérait le voir prochainement retrouver la plus haute marche du podium MotoGP.
Avec huit victoires remportées sur les saisons 2003 et 2004, Sete Gibernau avait pris deux fois de suite le titre de vice-Champion du Monde MotoGP en terminant derrière Valentino Rossi. Malgré une relation qui s’était fortement dégradée suite à l’incident survenu lors de la manche d’ouverture de 2005, à Jerez, l’Espagnol a, huit ans plus tard, affirmé qu’il aimerait voir Rossi retrouver les sommets avant de mettre fin à sa carrière. « J’ai eu plusieurs occasions de discuter avec Valentino et je lui ai dit que j’aimerais le voir gagner à nouveau, » a confié Gibernau lors du lancement de Andreani-MHS, une entreprise spécialisée dans les suspensions et lancée par le chef-mécanicien MotoGP Juan Martínez.
« Avec les nouveaux pilotes, les nouvelles motos et la façon dont les pneus et l’électronique ont évolué, je crois que tout l’aspect technique a changé et ça rend les choses plus difficiles pour Valentino. Il y a beaucoup de motricité sur l’angle dans les virages, les vitesses de passage en courbe sont très élevées et il n’y a plus lieu d’avoir le style qu’avait Valentino quand je courais encore. » « J’aimerais le voir se battre à nouveau pour la victoire. Je garde d’excellents souvenirs de toutes ces années. Ces trois ou quatre années lorsque nous nous battions pour le titre, je pense que c’étaient les meilleures années de ma vie. Comme je l’ai dit, j’aimerais voir Valentino gagner à nouveau avant qu’il prenne sa retraite et j’espère qu’il pourra se battre pour le titre cette année, ou au moins pour la victoire sur certaines courses. » Après deux saisons difficiles en 2005 et 2006, Gibernau avait fait un bref retour en MotoGP en 2009 et s’était arrêté après l’épreuve de Laguna Seca. Retrouvezle dans cette interview vidéo, dans laquelle il parle aussi de Dani Pedrosa, de Marc Márquez et de Jorge Lorenzo. 7
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Comme il l’avait fait l’an dernier pour le Grand Prix de Valence, le Champion du Monde MotoGP Jorge Lorenzo propose aux membres de son Fan Club une réduction spéciale pour le Grand Prix Aperol de Catalogne.
Avant de se rendre au Mugello pour la cinquième manche de la saison 2013, Jorge Lorenzo a annoncé à son Fan Club qu’il offrirait une réduction spéciale à tous les membres désirant assister au Grand Prix Aperol de Catalogne, qui aura lieu mi-juin à Montmeló. Le Majorquin offre une réduction de 25% pour la section G14 de la tribune située à l’extérieur du Stadium, dont les spectateurs profitent d’une vue sur toute la dernière section du circuit. Pour plus d’informations, rejoignez le Fan Club de Jorge Lorenzo sur www.lorenzofanclub.com.
La compétition-client que le HRC proposera aux teams privés de la catégorie reine à partir de 2014 a fait ses premiers tours de roue les 23 et 24 mai au Japon.
Le modèle compétition-client que prépare Honda, qui n'a pas encore été officiellement nommée et qui sera présenté avant la fin de l'année, poursuit son développement et a fait ses débuts en piste la semaine dernière au Twin Ring Motegi. « Les résultats des tests sont meilleurs que ce que nous attendions, surtout en termes de performances, » a commenté Shuhei Nakamoto, le vice-président du HRC. « Nous sommes très contents de ses performances à ce stade du développement et nous pourrons annoncer davantage de choses d'ici peu. » 8
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Vainqueur en France le week-end dernier, Dani Pedrosa passait en tête du Championnat du Monde MotoGP pour la première fois depuis près de cinq ans. Pour sa huitième saison dans la catégorie reine, le pilote du team Repsol Honda semble plus en forme que jamais et toujours un peu plus proche de son objectif ultime, le titre mondial.
Pedrosa avait concédé la première place du classement général le 13 juillet 2008, en abandonnant suite à une chute à haute vitesse au Sachsenring, sous la pluie. L’accident lui avait coûté sa position au Championnat mais aussi plusieurs blessures, qui allaient conditionner le reste de sa saison avant même d’être arrivé à mi-parcours. Et c’est sous une météo similaire que le Catalan a repris, pour la première fois en près de cinq ans, le statut de leader du MotoGP au Mans. Au circuit Bugatti, Pedrosa remportait sa première victoire en catégorie reine sur le sol français, sur un circuit où il s’était auparavant imposé en 125cc et en 250cc. Régulièrement blessé au cours de sa carrière mais épargné de toute opération depuis juin 2011,
Pedrosa n’a plus que trois circuits à conquérir sur le calendrier des Grands Prix : Losail, le Circuit of the Americas et Silverstone. En France, le Catalan triomphait aussi pour la seconde course consécutive et pour la huitième fois sur les douze dernières courses MotoGP, après une brillante fin de saison 2012. Pedrosa a par ailleurs passé la barre des 3000 points sur l’ensemble de sa carrière, un chiffre que seul Loris Capirossi et Valentino Rossi avaient dépassé avant lui. Cette 24ème victoire dans la catégorie reine permet à Pedrosa de revenir à égalité avec son rival Jorge Lorenzo, le Champion du Monde en titre, ainsi que le triple Champion du Monde Wayne Rainey. Pedrosa et Lorenzo ne sont plus qu’à une victoire d’égaler le plus grand rival de Rainey, le Champion du Monde 1993, Kevin Schwantz, qui avait récemment émis des doutes quant à la capacité de Pedrosa de remporter le titre MotoGP. 9
Grands Prix : Losail, le Circuit of the Americas et Silverstone.
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S’il continue à accumuler les victoires, Pedrosa est tout aussi impressionnant en qualifications et ce, malgré la contre-performance qui avait suivi sa chute samedi dernier au Mans. Sa sixième position mettait effectivement fin à une série de 16 qualifications en première ligne. Le pilote du team Repsol Honda ne s’était jamais imposé en MotoGP en partant aussi bas sur la grille. Avant de concrétiser sa 47ème victoire dans la catégorie reine, Pedrosa a signé le meilleur tour en course pour la première fois de l’année (son 36ème depuis son arrivée dans la catégorie reine), son 115ème podium toutes catégories confondues et 74ème en MotoGP, soit cinq de plus que son ancien coéquipier Casey Stoner. Avec un palmarès aussi impressionnant, beaucoup pourraient s’étonner que Pedrosa n’ait pas encore remporté le titre MotoGP. A l’issue des quatre premières manches de la saison 2013 et avec encore quatorze courses devant lui, le vice-Champion du Monde mène avec six points d’avance. Triomphera-t-il enfin cette année ? Réponse le 10 novembre à Valence… ou peut-être même beaucoup plus tôt !
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Après s’être vaillamment battu pour le podium mais avoir manqué son objectif au Mans, Johann Zarco a de nouveau été l’un des principaux protagonistes de l’épreuve Moto2 au Grand Prix TIM d’Italie et a enfin fait sa première apparition sur le podium de la catégorie intermédiaire en décrochant la troisième place.
Cinquième à l’arrive du GP de France alors qu’il avait mené durant quelques tours, Johann Zarco avait affirmé qu’il voulait se servir de sa course au Mans comme d’un tremplin pour le reste de la saison et c’est chose faite puisque le jeune Français a réussi à atteindre le podium dès la course suivante, sur le magnifique circuit de Mugello. Parti en tête de la deuxième ligne, Zarco a pris le bon wagon en suivant de près Takaaki Nakagami, Scott Redding et Nico Terol sur les premiers tours, avant de vite se retrouver dans le Top 3 suite à la chute du Japonais. Le n°5 n’a ensuite pas eu de mal à suivre Redding et Terol, qu’il a momentanément devancé à la mi-course, et a préféré ne pas prendre de risques en fin d’épreuve, lorsque Redding partait seul en tête que Terol semblait prêt à défendre coûte que coûte sa deuxième place.
« Je suis très content, c’est mon premier podium dans la catégorie Moto2 et ça fait vraiment plaisir, » a affirmé Zarco. « Grâce à ma quatrième place en qualifications, mon but était de m’accrocher aux premiers, d’avoir ce rythme, et j’ai vraiment réussi à faire ce que je voulais. Je me suis accroché à Nakagami au début, Redding et Terol allaient aussi très vite et on a pu creuser l’écart sur les autres. A quatre tours de l’arrivée, je me suis dit qu’il fallait assurer la troisième place. J’aurais peut-être pu me battre avec Nico mais je suis dit "Régale toi avec cette troisième place et tu progresseras plus tard." Je suis très content pour le team et pour Came, c’était parfait de faire un podium en Italie. Je vais profiter de ce moment. » Quant à ses objectifs pour la prochaine course, qui aura lieu mi-juin à Montmeló, Zarco a ajouté : « Ce serait magique de refaire un podium. Maintenant, le Moto2 est une catégorie difficile, il faut être devant dès le vendredi et faire une très bonne qualification parce que ça aide beaucoup. C’est une piste que j’aime bien alors j’espère me bagarrer comme je l’ai fait ici au Mugello, dans les trois premières places, m’amuser et arriver à atteindre un nouveau podium. » 11
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Jusqu’au GP de France, le pilote suisse du team Technomag carXpert avait remporté trois quatrième place en quatre courses depuis le début de la saison. Il n’est désormais plus qu’à cinq points de la deuxième place du classement Moto2.
Bien que Scott Redding ait été le grand vainqueur du Monster Energy Grand Prix de France, pour sa victoire en course comme pour l’avance qu’il a pris dans la course au titre, le Britannique n’était pas le seul à repartir du Mans tout sourire et c’était notamment le cas de Dominique Aegerter, qui finissait au pied du podium pour la troisième fois cette année. En France, le Suisse était l’un des trois pilotes du Top 6 du Championnat à marquer des points et est passé à la quatrième place du classement général, après avoir dû s’élancer de la 13ème position. « Mon départ a été parfait, comme je l'avais imaginé avant la course. Ensuite, inutile de préciser que sur une piste très grasse, l'adhérence était plus que précaire. Aujourd'hui, j'ai tout donné, j'ai connu mon lot d'émotions, notamment deux ou trois travers généreux. que la course pourrait être arrêtée dès le huitième tour avant la fin et j'ai tout fait pour tenter de gagner
Quand il a commencé à pleuvoir un peu plus, je savais que la course pourrait être arrêtée dès le huitième tour avant la fin et j'ai tout fait pour tenter de gagner encore une place, en vain. » L’épreuve française avait aussi bien réussi à son coéquipier Randy Krummenacher, qui mettait fin à un début de saison laborieux en marquant ses premiers points, avec une onzième place. « C’est le meilleur et le plus important week-end pour moi depuis le début de ce Championnat 2013, si l'on oublie l'erreur tactique des qualifications, » a commenté Krummenacher. « A chaque course, je sentais que la situation s'améliorait, mais cela ne se transformait pas en points. Là, c'est arrivé. L'entente avec l'équipe, que je remercie de sa patience et de son formidable travail, est toujours meilleure, même si nous devons encore diminuer le nombre d'erreurs que nous commettons. Ce premier résultat dans les points, c'est tout simplement la confirmation que nous sommes dans le juste. » 12
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La 4ème place de Miguel Oliveira au Grand Prix TIM d’Italie a été le meilleur encouragement que pouvait recevoir Mahindra Racing après la restructuration effectuée avant la saison 2013.
Le Portugais Miguel Oliveira était l’un des six pilotes en lice pour la victoire dimanche au Grand Prix TIM d’Italie et a franchi la ligne d’arrivée en quatrième position, le meilleur résultat en date du constructeur indien qui était arrivé en Grand Prix en 2011, en 125cc. « Ce fut un week-end fantastique et je suis ravi que ce soit arrivé au Mugello parce que c’est l’un des circuits les plus difficiles au monde, très rapide et très technique, » a confié Mufaddal Choonia, le CEO de Mahindra Racing. « Je tire mon chapeau à Miguel et au team, qui avaient bien préparé la moto. Je suis vraiment ravi et je crois que nous ne pouvions pas en demander plus.» « Nous avons travaillé très dur sur cette moto. L’an dernier, la saison avait été très décevante et au final, nous avions décidé de faire quelque chose de différent plutôt que de rester dans la positon dans laquelle nous étions. Nous avons tout changé, nous avons un nouveau team, de nouveaux partenaires
et il y aussi un important engagement de la part de Mahindra en Inde.
avons un nouveau team, de nouveaux partenaires et il y aussi un important engagement de la part de Mahindra en Inde. Notre façon de travailler est complètement différente et je suis ravi que ça commence à porter ses fruits… la moto n’existait encore que sous forme de schémas techniques en octobre dernier. » Oliveira était lui aussi très heureux de sa course et a déclaré : « Globalement, la course a été difficile. Nous étions partis de la sixième position et je ne voulais pas laisser partir le groupe de tête. Il fallait essayer de rester avec eux et à deux tours de la fin, tout le monde s’est mis à attaquer. C’était difficile à gérer parce qu’il fallait défendre et attaquer en même temps. Nous étions très proches du podium et je pense que ça nous motivera à travailler aussi bien sur les prochaines courses. » « Le projet est encore nouveau et nous sommes très contents d’avoir ces résultats, » a ajouté Choonia. « Nous devons cependant rester patients, ne pas nous précipiter, et voir ce que l’avenir nous réserve. » A l’issue des cinq premières manches de la saison 2013, Oliveira occupe la septième place du classement Moto3, à seulement deux points du Top 5, tandis que son coéquipier Efrén Vázquez continue de récupérer de la fracture de la clavicule qu’il s’était faite au Mans. 13
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Le BMW Motorrad GoldBet SBK Team était en Espagne, au MotorLand Aragón, cette semaine pour deux journées d'essais privés. Marco Melandri et Chaz Davies en ont profité pour travailler sur le châssis et le moteur de leurs BMW S 1000 RR et ont pu évaluer différentes configurations ainsi que quelques nouveautés malgré des conditions météo qui étaient loin d'être idéales. La piste a effectivement été arrosée à plusieurs reprises par la pluie mercredi, avant que le soleil ne fasse son retour aujourd'hui, en étant malheureusement accompagné de fortes rafales de vent. La température ambiante n'a pas dépassé les 16°C et la température de piste plafonnait quant à elle à 25°C. Au total, Melandri et Davies ont cumulé 263 tours, soit 1353 km, sur leurs RR. Le team se rendit au Portugal pour la sixième manche du Championnat du Monde eni FIM Superbike, qui eut lieu à Portimão du 7 au 9 juin.
Marco Melandri : « La météo nous a compliqué la tâche. Nous avons eu plusieurs averses hier et aujourd'hui il y avait beaucoup de vent. Nous avons principalement travaillé sur de nouvelles idées pour nos réglages. Nous avons fait quelques progrès et je pense que nous comprenons mieux la direction à suivre pour bien travailler avec le pneu de 17 pouces. Nous avons cependant encore du travail à faire pour continuer à progresser et trouver les réglages parfaits. » Chaz Davies : « Nous avons testé des choses assez basiques hier. Aujourd'hui, nous espérions travailler un peu plus mais il y avait beaucoup de vent. Nous avons fait de notre mieux et nous avons quand même réussi à trouver des idées qui pourraient nous aider. Nous avons compris des choses sur la moto et sur les nouvelles pièces que nous devions évaluer. Tout ça semble prometteur. Nous avons aussi progressé sur l'électronique et amélioré le contrôle du wheelie. Globalement le test a été positif mais j'aurais aimé que la météo soit un peu plus clémente. » 14
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Après avoir dominé sa course nationale à Donington Park, Sam Lowes est prêt à enchaîner sur la sixième manche du Championnat du Monde Supersport, qui aura lieu le 9 juin à l'Autódromo Internacional do Algarve de Portimao. Le leader du Championnat a remporté les trois dernières épreuves et compte bien poursuivre sa série de victoires, sur un circuit spectaculaire - avec des caractéristiques proches de celles de Donington Park - et qui a toujours proposé des courses très serrées.
« Je suis très enthousiaste pour la prochaine course à Portimao » a déclaré Lowes. « C'est un excellent circuit et les courses sont habituellement géniales là-bas ! Je sais que je peux être fort là-bas et j'ai déjà hâte d'y être. Je veux vraiment continuer sur la dynamique que nous avons et avoir un autre bon résultat. Je suis très content de la façon dont tout se passe et je suis vraiment heureux avec mon nouveau team et ma nouvelle moto. Je travaille plus dur que jamais pour essayer de toujours progresser. Je sais que Kenan et les autres seront rapides là-bas mais j'attends cette bataille avec impatience. »
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Le team FIXI Crescent Suzuki met le cap sur le sud du Portugal pour la sixième manche du Championnat du Monde eni FIM Superbike, qui aura lieu à Portimao.
Leon Camier souhaite mettre derrière lui la déception qu'il a connue à domicile, à Donington Park, lors de l'épreuve précédente. Le Britannique est de retour en pleine forme et espère renouer avec la compétitivité sur un circuit où il avait manqué la troisième place (Course 2) l'an dernier à cause d'un problème technique survenu sur l'avant-dernier tour. Entre ses regrets de ne pas être monté sur le podium l'an dernier et son envie de se racheter après ses chutes à Donington, Camier est déterminé à retrouver son meilleur niveau ce week-end.
Jules Cluzel s'était quant à lui qualifié en troisième position à Portimao en Supersport l'an dernier et s'était ensuite imposé en course, l'avant-dernière victoire de sa saison. Le Français a réalisé un bon début d'année en Superbike au guidon de la Suzuki GSX-R et compte maintenant faire un nouveau pas en avant au Portugal.
Leon Camier : « Je suis impatient de remonter sur la moto et j'espère me rattraper après ce qui s'est passé à Donington le week-end dernier. Je me suis entraîné dur, je sais que je suis suffisamment en forme et maintenant nous devons rebondir, en mettant la dernière course derrière nous. Nous allons essayer de monter en puissance au fil du week-end et placer la FIXI Crescent Suzuki dans une bonne position pour la course. Nous devons retrouver nos forces et chercher de bons résultats. J'aime beaucoup Portimao, j'ai toujours eu un bon rythme de course là-bas. Nous devrons trouver un bon feeling sur la moto, nous assurer que je sois régulier et nous verrons ensuite ce que nous serons capables de faire. » Jules Cluzel : « Nous allons essayer de travailler de la même manière qu'à Donington mais nous espérons avoir de meilleures conditions météo pour le vendredi. Ça nous aiderait à mieux préparer la moto pour les qualifications. Ce serait bien d'avoir un week-end complet parce que plus je passe de temps sur la GSX-R et plus je progresse. Ça s'était très bien passé pour moi à Portimao l'an dernier, c'était la première fois que je courrais là-bas et j'avais réussi à gagner mais cette année ce sera beaucoup plus difficile. C'est un circuit difficile sur le plan physique et je vais devoir me concentrer du mieux que possible. Je suis impatient de courir là-bas et j'attends le vendredi avec impatience ! »
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Le jour de course à Donington Park a été particulièrement difficile pour Carlos Checa puisque le Champion du Monde Superbike 2011 a été contrait à déclarer forfait pour la seconde course après avoir souffert de son épaule gauche lors de la première. Blessé depuis la seconde manche de la saison, l'Espagnol fait le maximum pour récupérer au plus vite et espère qu'il sera en meilleure forme pour l'épreuve de Portimao, un circuit aussi exigeant physiquement que Donington, qui aura lieu le 9 juin. « Au vu de la façon dont s'était passée la première course et de la douleur que j'avais à l'épaule durant et après la course, nous avons décidé qu'il valait mieux ne pas trop forcer les choses, » a déclaré Carlos Checa. « A vrai dire, je pensais que ça allait être pire, parce que c'est l'un des circuits les plus durs en ce qui concerne le physique, mais j'ai besoin de plus de temps pour récupérer et retrouver un peu de force. J'ai beaucoup de mal dans les changements de direction et à l'entrée des virages à gauche, où il faut avoir les deux bras à 100%. Evidemment, ce n'est pas une blessure qui m'affecte au quotidien mais ça fait vraiment mal quand on va à plus de 300 km/h. Maintenant nous disposons de deux semaines et je vais en profiter pour poursuivre le traitement. J'espère que je serai plus fort pour Portimao. J'aimerais pouvoir me concentrer sur l'aspect sportif plutôt que sur des problèmes de santé. »
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Michelin devient l’un des partenaires principaux du Dark Dog Moto Tour 2013 et l’équipementier exclusif de cette 11 e édition qui débutera fin septembre à Saverne. Tous les pilotes engagés sur le Dark Dog Moto Tour 2013 devront donc être équipés en pneus Michelin sauf si les dimensions nécessaires à leur machine ne sont pas disponibles dans la gamme du manufacturier français. Profondément inscrite dans les gènes de Michelin, la compétition est un atout de développement qui a toujours permis à la marque de Clermont-Ferrand de faire progresser l’innovation et la technologie de ses pneumatiques. Michelin trouve un nouveau champ d’exercices et d’applications avec le plus grand rallye routier moto. Des routes très variées, quelques tours de circuits, de longues étapes et des conditions d’adhérence changeantes sont les défis imposés par ce type d’épreuve. Michelin dispose des références capables d’assurer tout à la fois le grip, la tenue de route et la longévité. « Cette année est particulièrement riche en nouveautés de pneus moto pour le Groupe Michelin, explique Philippe Besse, Responsable Marketing Moto et Scooter France. Avec la commercialisation des MICHELIN Pilot Power 3 et MICHELIN Power Super Sport, le Dark Dog Moto Tour sera ainsi un excellent terrain d’expression des performances clés de nos pneus. Longévité kilométrique, sécurité et plaisir de pilotage se trouvent associés dans chacun des pneus Michelin. Ce sont autant de qualités qui nous ont décidés à nous engager dans cette épreuve singulière et passionnante. » Michelin proposera aux pilotes engagés sur le Dark Dog Moto Tour tous les pneumatiques adaptés à leur véhicule et à leur performance et, en premier lieu, la gamme sport et hypersport avec MICHELIN Power Supersport, MICHELIN Pilot Power 3 et MICHELIN Power Cup. Avant l’épreuve, ces pneumatiques seront disponibles chez les distributeurs qui référencent la marque Michelin. Tout au long de l’épreuve, l’équipe technique Michelin sera à pied d’œuvre au Village du Dark Dog Moto Tour. « Michelin proposera un véritable service et son expertise à tous les pilotes, précise Marc Fontan, Directeur du Dark Dog Moto Tour. Auprès des techniciens de la structure du manufacturier auvergnat, ils trouveront les conseils pour le meilleur choix pneumatique et un service de montage disponible durant toute la semaine de course. » 18 15
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Le triple vainqueur du Dakar, Marc Coma a remporté la victoire dans cette nouvelle édition du Rallye de Sardaigne Avec cette victoire, le pilote espagnol a jeté les bases pour conserver son titre dans l'édition 2013 du Championnats du Monde des Rallyes. En terminant le rallye en cinq étapes avec plus de sept minutes d’avance sur Paolo Gonçalves et Joan Pedrero, il termine aussi devant son historique rival Cyril Desprès (4 ème au général) qui effectuait à l’occasion de ce rallye son retour à la compétition sur Yamaha, désormais devenu sa nouvelle marque. Marc Coma a déclaré qu’il n’avait pas remporté une victoire facile sur un terrain davantage typé enduro que rallye. Il a commenté après la dernière étape: "200 kilomètres ici en Sardaigne est un peu comme le double dans le désert. Nous avons passé quatre heures en selle sur la moto et ce n'était pas facile. ". Coma a terminé cinquième dans la dernière étape du rallye mais sa marge d’avance de 09:36 minutes construite au fil des jours précédents lui assurait la victoire de ce rallye de Sardaigne. Ses deux coéquipiers Ruben Faria et Jakub Przygonski terminèrent respectivement 8ème et 9ème. A peine arrivé, les concurrents pouvaient déjà se préparer à partir sur une nouvelle épreuve du Championnat du monde des Rallyes, le Desafio Ruta 40 en Argentine, qui s’étendra du 15 au 22 juin. 19
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Le Dakar est ancré dans l’ADN de Yamaha Motor France depuis ses débuts en 1979 par la volonté d’un homme, Jean-Claude Olivier, qui a immédiatement compris que cette épreuve unique permettait de mettre en évidence les performances des machines mais aussi les valeurs humaines qu’elle portait intrinsèquement. La liste des pilotes Yamaha qui ont marqué le Dakar de leur empreinte est longue : Cyril Neveu, Franco Picco, Serge Bacou, Jean-Claude Olivier, Thierry Magnaldi, David Frétigné, David Casteu, Hélder Rodrigues, Olivier Pain... Et évidemment Stéphane Peterhansel, recordman absolu avec six victoires. Pour le Dakar 2014, Cyril Despres rejoint Yamaha et il compte bien ajouter une victoire à son palmarès ! Le Dakar a aussi été un laboratoire d’expérimentation extraordinaire pour les technologies des motos Yamaha. À la suite de la période victorieuse des monocylindres, puis des bicylindres jusqu’en 1998, le programme de développement des monocylindres 450 cm³ est lancé. David Frétigné est alors le pilote de pointe qui teste la WRF450, avec entre autres une version deux roues motrices qu’il pilote en 2004. Au total, trois podiums sont obtenus grâce à David Frétigné et Hélder Rodrigues. En 2010, l’arrivée de l’YZF450 avec sa technologie
innovante motive Yamaha Motor France à travailler sur un nouveau prototype. De 2011 à 2013, la moto progresse de façon constante et permet à ses pilotes lors de l’édition 2013 de s’illustrer avec des victoires d’étape (une pour David Casteu et une pour Franz Verhoeven) et de garder la tête du rallye pendant la première semaine de course (Olivier Pain est resté quatre jours en tête du classement général). Le potentiel qu’a démontré l’YZF450 sur cette dernière édition laisse entrevoir de nouvelles perspectives à l’aube de l’édition 2014, et si pour gagner, il faut une moto performante et un team expérimenté, il faut aussi un pilote... « Ce pilote qui a l’expérience, le potentiel technique et humain, comme le palmarès, pour faire briller Yamaha, nous avons eu la chance de le rencontrer à l’issue du Dakar 2013 » explique Eric de Seynes, PDG de Yamaha Motor France, « Immédiatement nous avons compris que nous avions des valeurs communes et des ambitions partagées sur nos engagements sportifs respectifs. Cyril Desprès a su nous donner envie de travailler avec lui, de mettre tous nos moyens à son service, car sa simplicité et son professionnalisme nous ont séduits. Il est une nouvelle source de motivation pour l’ensemble de nos équipes techniques et pour la Marque. Par son palmarès mais aussi par sa personnalité, Cyril Desprès est un homme public apprécié qui apporte à Yamaha, un rayonnement international qui profitera à toutes les filiales du Groupe à travers le Monde ».
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Pour Cyril Despres qui entretient des relations amicales avec Stéphane Peterhansel, atteindre son record de six victoires est un objectif réaliste et très excitant, pour lui qui en compte déjà cinq : « je suis très motivé à l’idée de rejoindre les hommes bleus de Yamaha, car ils m’ont fait rêver quand j’étais encore tout jeune. J’ai découvert dans la Marque, un esprit très familial, avec beaucoup de dialogue et un staff technique motivé et investi, à l’écoute de mes attentes. Je suis certain que nous allons former une équipe soudée, concentrée sur un objectif : aller chercher la victoire. Je suis aussi ravi d’avoir Michael Metge comme porteur d’eau. C’est un jeune ambitieux qui a participé à son premier Dakar en 2013 et qui se donne à fond ». Le team Yamaha au Dakar 2014, c’est aussi un team technique fidèle à la Marque depuis de nombreuses années : HFP au travers de Franck Helbert, travaille sur le développement général de la moto depuis 2004. Pascal Pons, AXEN DP, est en charge de la partie électronique et injection. Guillaume Davion, DRAGON TEK, est responsable du développement des suspensions. 21
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Johann, quel bilan tires-tu de ta course au Mans ?
Maintenant que la course est passée et que j’ai eu le temps d’y repenser, j’en suis content. Ça a été un régal de me bagarrer devant et d’avoir été en tête du Grand Prix. C’était bien sympa et j’ai même souri dans le casque. Ensuite il y a eu la déception, sur le coup, de terminer cinquième alors que j’étais longuement resté deuxième mais en y repensant, je n’ai pas à être déçu. Le début de la saison avait été difficile. Je peux être content de cette cinquième place. Les circonstances étaient délicates mais j’ai pu être devant en permanence, mes chronos étaient réguliers et j’ai encore une marge de progression.
A l’issue des quatre premières manches, tu as eu ce Top 5 au Mans, une sixième place à Austin, et tu avais fini douzième puis treizième à Losail et à Jerez. Comment évalues-tu ton début de saison ?
Je suis déçu de mon début de saison parce qu’on espérait être proches du podium ou sur le podium. Je n’ai malheureusement pas réussi à le faire, parfois en étant malchanceux, d’autres fois parce que je n’étais pas complètement à l’aise sur la Suter. Mais depuis Jerez, où j’ai peut-être été le plus en difficulté, tout ça est passé et maintenant je vais essayer de me servir du GP de France pour me relancer. On verra en fin d’année si ça aura été un tournant de ma saison ou pas.
A quoi as-tu pensé quand tu t’es retrouvé en tête de la course, à domicile ?
Comment se passe ton travail et ton adaptation au châssis Suter ?
Je suis resté concentré sur la piste et sur mes repères parce que j’avais bien vu le nombre de chutes qu’il y avait eu. Mais j’étais content, pas seulement parce que c’était le Grand Prix de France mais déjà rien que pour le fait d’être en tête de la course.
C’est une moto comme les autres. Mon équipe commence à bien l’appréhender, moi aussi. On avait la référence de Márquez, qui avait fait des choses fantastiques avec. Ça nous servait de base et j’ai parfois eu du mal mais j’essaye de m’adapter au mieux à la moto sur chaque piste parce qu’elle est maintenant bien saine. J’essaye de me donner à fond sur chaque séance et chaque course pour toucher la limite.
Une fois que Redding est passé devant, tu as gardé la seconde place pendant une dizaine de tours puis à la fin, tu perds trois places en moins de deux tours. Que s’est-il passé ?
J’ai eu un peu de mal quand un premier pilote m’a doublé. Ça m’a un peu perturbé et les autres en ont profité pour passer. J’ai un peu perdu le rythme mais ce n’était pas à cause des pneus. J’ai fait quelques petits écarts et les autres en ont tout de suite profité. 22
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Avant la pré-saison, quels étaient tes objectifs pour 2013 ?
Beaucoup de gens pensent que tu prochaine star du motocyclisme italien…
Durant la pré-saison, le team avait travaillé très dur avec le HRC et FTR. Le développement avait été énorme mais nous avons eu des problèmes une fois que nous avons mis la moto en piste. C’était difficile à résoudre et nous avons encore beaucoup de soucis. Nous manquons de puissance en ligne droite mais aussi de maniabilité dans les virages. J’ai des difficultés en entrée de virage et nous manquons aussi d’accélération. Dans ces conditions, il est difficile d’être rapide.
J’espère bien ! J’espère être la prochaine référence italienne, peut-être avec Niccolò (ndlr : Antonelli). Nous avons grandi ensemble, il pilote très bien et nous avons tous les deux le potentiel.
De son côté, la KTM a beaucoup progressé…
La KTM a fait un grand pas en avant et c’est la moto à battre. C’est la moto qui a le meilleur équilibre entre le moteur et le châssis mais aussi les meilleurs pilotes du Championnat. Maverick (Viñales) est très fort mais Rins, Salom, Folger et d’autres tels que Niklas Ajo sont aussi très rapides. Ils sont tous très bons. KTM combine la bonne moto et les bons pilotes, ce qui fait un peu peur !
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Comment vois-tu ton avenir ?
Je ne me soucie pas trop du team avec lequel je le ferai mais j’espère un jour remporter le Championnat du Monde et ensuite passer au Moto2. Mais pour l’instant, mon objectif est de résoudre les problèmes que nous avons et de bien finir la saison. Ce serait génial si j’avais l’occasion de faire quelques podiums, je pourrai penser à mon avenir plus tard.
Tu as beaucoup de problèmes mais vous les avez au moins identifiés. Est-ce que tu as reçu du nouveau matériel pour le Mugello ?
Nous avons eu de nouvelles pièces de FTR, pour l’instant le cadre est notre point faible. Le plus important est que nous progressions sur la maniabilité et les performances du moteur. Je n’ai pas de nouvelle de Honda. Je ne peux pas dire s’ils préparent quelque chose ou non. Je n’ai aucune information. 23 21
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Avec quatre podiums dont deux victoires, tu fais un très bon début de saison mais Luis Salom et Álex Rins aussi. Est-ce que le Championnat se jouera entre vous trois ou est-ce que tu vois d’autres pilotes capables de gagner des courses ?
Je crois que nous aurons d’autres concurrents mais nous maintenons la barre assez haut. Luis, Álex et moi-même sommes toujours à la limite. C’est très bien de courir contre des pilotes aussi rapides parce que ça me force à toujours hausser mon niveau. Au Mans, les médias ont souligné ta supériorité en course. Est-ce que tu maîtrisais vraiment la course ou est-ce que tu pensais aussi à ta chute de l’an dernier, dans des conditions similaires ?
La course a été compliquée et pour moi c’était une course où il fallait surtout marquer des points. Les conditions étaient très difficiles, c’était humide par endroits et sec à d’autres, mais je me suis senti à l’aise, j’ai commencé à imposer mon rythme et je crois que Luis et Álex ont tous les deux eu du mal à me suivre. A la fin je me contentais de garder mes deux dixièmes d’avance, ce qui ne représente pas grand-chose mais c’était suffisant pour qu’ils ne puissent pas me doubler. On dit aussi que tu es devenu un meilleur stratège. Te voistu comme un pilote plus mature ?
Oui, j’ai beaucoup évolué et je peux gérer les choses avec plus de calme. L’équipe m’aide beaucoup à garder mon calme, à travailler en restant serein et surtout à bien lire les courses. Tu récupérais d’une grave blessure à la main en début de saison. Est-ce que tu as tiré quelque chose de positif de cette période difficile ?
Tout était négatif au début, je pensais ne pas pouvoir courir au Qatar et prendre 25 points de retard dès le début mais le positif est que tout ça m’a rendu plus fort. Maintenant, si je chute, ça ne m’affectera plus comme avant parce que la chute dans laquelle je m’étais blessé m’a rendu beaucoup plus fort. Que penses-tu de tes deux principaux rivaux, Salom et Rins ?
Ce sont deux adversaires très difficiles à battre. Luis et Álex sont très rapides et ils sont très forts en fin de course. Je pense que le plus difficile à battre dans le dernier tour est Salom, parce qu’il attaque davantage sur les freinages, mais Álex peut être très rapide et peut surprendre en fin de course, en changeant de rythme comme je l’ai moi-même fait au Mans. Et Jonas Folger ou encore Maverick Viñales?
Jonas m’a pas mal surpris, même si je pense qu’il lui manque encore quelque chose. Je ne crois pas qu’il puisse nous suivre, surtout parce qu’il est assez grand alors que nous trois sommes assez petits et plus légers. Il est plus lourd que nous et c’est un handicap pour lui. Concernant Maverick, Il réfléchit davantage sur sa moto, il travaille plus sur ses stratégies. Au Mans, j’avais une bonne stratégie et je crois que j’ai beaucoup appris de Jerez. Je roule à mon rythme, je fais ma course et je vois ce qui se passe. Je n’ai pas de secret. Il est encore tôt pour parler du titre mais tu aimerais sûrement être couronné avant de changer de catégorie…
Oui, espérons que ça se passe comme ça et que nous puissions fêter un titre en fin de saison. Mais il reste encore beaucoup de courses avant ça et beaucoup de travail à faire. Je ne pense pas encore au Moto2, pour l’instant je pense au Mugello et à ce que je peux améliorer. 24
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Depuis quand fais tu de la moto?
Comment as tu organisé ta préparation 2013?
Depuis l'age de 5 ans, mon père m'a acheté un PW avec lequel je faisais du loisir et puis petit à petit j'ai fait des courses régionales, ma première course a été le bol de lait où je finis dernier, je devais avoir 5 ans ensuite je suis allé avec mon PW faire le challenge « Little Kid » que j'ai remporté avant le championnat de France du Mini Bike éducatif où je finis l'année avec une superbe moto preté par Polini France, la Panthéra. J'ai fait 2 saisons pour le plaisir je n'avais pas la notion de faire de la compétition ce n'est qu'en 2004 que j'intègre le team de la FFM avec un 50 NSR Honda où je fais le championnat de France Mini Bike et je participe au Mini Bike en Espagne, c'eait le commencement d'une carrière car l'année suivante j'ai fait l'integralite du Mini Bike Académie qui est la première filière de détection en vitesse et ayant gagné 18 manches sur 22, je fus champion de France. A 10 ans j'ai fait la finale du challenge Metrakit International à Jerez où je finis 1er Français. En 2008, je n'avais pas l’âge pour courir en 125cc donc j'ai fait des courses en championnat de France 50 et la sélection pour le Red Bull Rookies Cup où j'échoue de peu en finale avec le 12ème chrono. Pour mes 14 ans je fais la Junior Cup 125 avec des places sur le podium et aux vues de mes résultats, la FFM me propose deux courses en CEV puis, je suis sélectionné pour la Rookies Cup. En 2010 je tape dans le 125 Superbike, la Rookies Cup et des courses en CEV avec en cours d'année une blessure qui me fait perdre 4 mois. L'année suivante je fais le CEV et mon sponsor principal me lâche, je me retourne sur le Red Bull Rookies Cup où je finis 3ème au général avec un joli cadeau de Noël puisque je découvre la Moto 3 de Geo Technologie et j'intègre le CIP Technomag pour la saison 2012.
En fin d'année j'ai fait du physique avec mon coach à Font Romeu, ski, salle de muscu, repas équilibrés, nous sommes allés au Gabon pour travailler l'endurance dans des conditions excessives en termes de chaleur et d’humidité. Quand je suis chez mes parents je fais tous les jours du vélo et de la condition physique en endurance, j'ai une salle de muscu à la maison.
Mon rêve se concrétise enfin avec ma participation au Moto Grand prix en motos 3, pour mon année d'apprentissage avec des résultats de novice mais je finis
Ta famille te suit elle dans la saison?
Sur les grand prix hors de France c'est difficile car les voyages sont chers… J'ai deux sœurs en plus de mes parents, ils viennent au Mans mais sinon je fais tous les déplacements avec Alain (ndlr : Bronec) et je reste en contact par téléphone ou mail avec eux. A 18 ans c'est un peu dur d'être loin du cocon familial pendant de grande période?
Oui et non je suis très indépendant, je suis fort dans ma tête je sais que j'ai des sacrifices à faire pour réussir dans la voie que j'ai prise, je me suis forgé un caractère pour arriver à mon but, pour le moment tout va bien mentalement, quand je rentre je suis dans ma famille je vais voir mes copains j'ai une vie normale, j'ai eu mon Bac pro l'an passé, j'ai la tête complètement aux courses. As-tu eu des contacts avec d'autres teams?
Oui, je veux tout consacrer à cela, je suis en Moto3 pour rentrer dans les 8 premiers, je veux grimper les échelons pour aller en motos 2 et MotoGP. J'ai une saison avec le CIP je dois leur donner ce qu'ils attendent de moi des résultats je ne vais pas me disperser mon team est ma seule famille moto. 25
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AGV STRADA Techno - 300 € Le STRADA est un casque destiné à un usage principalement touristique. Il contient toutes les caractéristiques GT fondamentales (confort, petite lunette solaire, Bluetooth®, etc.). La fermeture micrométrique et des graphismes moins racing en font un casque plus facile et indiqué pour une clientèle transversale en termes d’âge et de sexe, qui préfère les motos Naked. Le graphisme « Vision » a une décalcomanie dont les encres ont des propriétés luminescentes, c’est-à-dire qu’elles sont en mesure d’absorber la lumière du jour pour l’émettre ensuite dans l’obscurité. Cet élément, qui est particulièrement esthétique, est un facteur de sécurité supplémentaire.
LAZER FALCON - 319 € Un casque élégant aux lignes fuyantes, sa forme aérodynamique et ses ventilations en font un casque idéal pour tailler la route, avec toutes les qualités requises pour un usage prolongé. MORPHO SYSTEM PLUS Il est possible de choisir la taille des coussinets de joues pour qu’ils correspondent parfaitement à la morphologie du visage. AIROH GP 500 - 370 euros - 3 Tailles de calottes - Calotte en fibres. - Ecran Racing. - Système anti-buée. - Système de blocage de l'écran. - TEAR -OFF en option. - Ecran anti-rayure. - Intérieur démontable et lavable. - Joues démontables. - Tissus SANITIZED hypoallergénique. - Boucle réglable Double D. - Double ventilation frontale et au-dessus de l'écran. - Ventilation mentonnière. - Double extracteurs arrières. - Bavette anti-remous. - Cache-nez amovible.
HJC RPHA 10 Plus - 360 euros • Construction PIM (Premium Integrated Matrix), qui contient 3 différents matériel – fibre de carbon, aramide et fibre de verre afin de créer un mélange tissé unique produisant une calotte remarquablement solide et plus légère. • Flux d’air maximum au niveau de la ventilation supérieur. La circulation d’air peut être ajustée même gantée sur chaque ventilation. • Système de fermeture automatique de l’écran avec manette sur ressort. • Position initial de l’écran de 5 mm en libérant le système de blocage. • Système de remplacement de l’écran RapidFire™II simple et sûre. Démontage et installation aisée et sans outil. • Livré avec 1 écran fumé foncé 2D et un écran Pinlock grand format.
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SUOMY SR Sport - 400 € Des coussinets de joues complètement amovibles et lavables sont disponibles dans des épaisseurs différentes pour la personnalisation complète du casque. Une coquille interne également amovible et lavable, proposé dans des épaisseurs différentes pour un meilleur ajustement à la morphologie de chaque pilote ; la coquille interne amovible a été conçu ergonomiquement pour un ajustement uniforme et contrôlé de l'ensemble de la tête. Les fentes d'aération sont visibles et font en sorte que l'air entrant thermo-régule l'intérieur du casque facilitant aussi l’évacuation du flux d'air chaud par l'arrière. Les éléments internes (coussinets de joues et de la coquille interne) sont M6 - 475 euros entièrement en tissu Coolmax ® ACTIVE avec traitementBELL INTERPOWER: • évacue la transpiration du corps. Casque dicté par l'aérodynamique • Maintient l'utilisateur frais, sec et confortable. avec un objectif esthétique précis. C’estsouple pourquoi un casque reconnait facilement à sa forme. Bell nous dit • Tissu léger, et BELL serespirant. que la sécurité est évidemment leur premier but. • Performance vérifiée et certifiée par ADVANSA. Le casque M6 est conçu pour atteindre un niveau maximum de sécurité, de légèreté et de confort. L'aérodynamique a été étudié pour obtenir un effet porteur et minimiser le bruit. La coque en fibres composite, technologie de moulage (ULTRA-LIGHT-MULTIAXIAL) assure un meilleur ratio poids/rigidité/absorption. L’écran type compétition se forme de 3.2 mm de LEXAN injecté à plat, puis thermoformé. Enfin le système de fermeture reste le plus répandu mais aussi le plus sécuritaire avec la fameuse boucle racing D-ring.
Tailles : du XXS au XXL SHOEI GT-AIR - 450 € Poids : 1250 à 1350 grammes La moto est l’expérience la plus intense pour expérimenter votre propre mouvement. Chaque sens est inondé d’impressions toutes plus différentes les unes que les autres. Le nouveau Shoei GT-Air, avec ses fonctions et caractéristiques parfaites, vous donne la possibilité d'explorer encore plus cette expérience. Vivez une expérience de conduite exceptionnelle grâce au design époustouflant du nouveau Shoei GT-Air. 28
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X-LITE X-802R - 450 € Le X-802 R est le casque Racing en fibres composites du groupe Nolan. Ce projet est l’aboutissement d’années d’expérience au plus haut niveau de la compétition des courses motos et chaque composant (calotte, écran, intérieur et système de ventilation) est le fruit de développements innovants, visant à fournir un produit de qualité constante et une performance optimale. Chaque détail a été conçu afin d’obtenir les performances maximales et développé en suivant un long chemin d’expérimentations et d’essais sur les circuits du MotoGP et du SBK. Dès le début de la saison motocycliste 2008, Casey Stoner, Jorge Lorenzo, Carlos Checa, Marco Melandri et d’autres pilotes sponsorisés par le groupe Nolan ont testé et expérimenté beaucoup des solutions techniques innovantes se trouvant sur ce casque. A présent disponible pour les motocyclistes sportifs exigeants.
SHARK RACE-R PRO Carbon Plus confortable, plus hermétique pour encore plus de performances.
Carbone / Aramide (plus léger) réelle diminution de la fatigue des muscles cervicaux Aérodynamisme optimisé grâce à sa calotte profilée et son spoiler Intérieur en fibre naturelle de bambou Nouvelle conception multi-densités de l’intérieur Pare nuque hermétique (air et bruit) Différentes épaisseurs de joues disponibles
Caractéristiques
Fabriqué en fibres de carbone-aramide Écran anti-rayures à l'extérieur & antibuée à l'intérieur Système de démontage rapide de l'écran Confort optimal pour les porteurs de lunettes 2 tailles de calottes : ajustement morphologique optimal Boucle double D
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Après sa contre-performance du Mans, Jorge Lorenzo a parfaitement su réagir et a remporté le Grand Prix TIM d’Italie suite à une course vierge de la moindre erreur. Dani Pedrosa a fini deuxième suite à la chute de son coéquipier Marc Márquez dans le dernier tour, qui permettait à Cal Crutchlow de monter sur la troisième marche. Septième au Mans, son plus mauvais résultat depuis 2008, Jorge Lorenzo devait absolument se relancer ce week-end au Grand Prix TIM d’Italie et l’a fait avec la manière puisque l’Espagnol s’est imposé en menant du début à la fin, pour remporter sa troisième victoire consécutive au Mugello.
n°3, l’Italien a tiré tout droit dans le bac à gravier et a violemment percuté la barrière de sécurité. Les deux pilotes étaient heureusement sains et saufs suite à leur chute mais l’accrochage a néanmoins fait l’objet d’une enquête de la Direction de Course, qui l’a qualifié d’ « incident de course ».
Parti deuxième derrière Dani Pedrosa, qui l’avait devancé d’un rien en qualifications, le Champion du Monde en titre s’est hissé en première position en passant à l’intérieur dès le premier virage tandis que son coéquipier Valentino Rossi allait très vite se voir contraint à l’abandon. Percuté par Álvaro Bautista dans le virage
Clairement battus par le Champion du Monde en titre, Pedrosa et Márquez se sont ensuite rudement disputés la seconde place, prise par Márquez dans le dixneuvième des vingt-trois tours. Le rookie catalan est néanmoins parti à la faute deux tours plus tard, sa quatrième chute du week-end. Suite à l’abandon de Márquez, Pedrosa reprenait la seconde place tandis que
Les deux pilotes étaient heureusement sains et
34 Cal Crutchlow, qui revenait sur les deux Espagnols, en profitait pour faire une nouvelle apparition 41 sur le podium
Moins rapide que Pedrosa et Marc Márquez, qui suivait de près ses deux compatriotes, sur la très longue ligne droite du circuit toscan, Lorenzo a parfaitement su contrôler la course et, en fin stratège qu’il est, avait gardé une petite marge pour faire la différence à partir du douzième tour, à la mi-course, et laisser sur place ses deux adversaires.
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Cal Crutchlow, qui revenait sur les deux Espagnols, en profitait pour faire une nouvelle apparition sur le podium après avoir fait une course en solitaire en quatrième position. Le n°35 devenait alors le premier Britannique à signer deux podiums consécutifs dans la catégorie reine depuis Ron Haslam en 1987. Stefan Bradl a quant à lui résisté jusqu’au bout aux assauts d’Andrea Dovizioso pour prendre la quatrième place, qu’il avait déjà obtenue au Mugello en 2012 et qui demeure son meilleur résultat en MotoGP. Nicky Hayden et Michele Pirro, en Wild Card sur la version expérimentale de la Desmosedici GP13, ont respectivement pris les sixième et septième places, derrière Dovizioso, tandis que Aleix Espargaró, premier pilote CRT, s’est offert une fantastique huitième place devant Bradley Smith, Héctor Barberá et Randy de Puniet. Vainqueur pour la deuxième fois de la saison, Jorge Lorenzo revient à douze points de Dani Pedrosa dans le classement général et passe devant Marc Márquez avec quatorze points d’avance sur le rookie. Les trois Espagnols se retrouveront en piste le 16 juin à Montmeló, pour le Grand Prix Aperol de Catalogne. 35
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Leader du Championnat du Monde Moto2 suite à sa victoire au Mans, Scott Redding a conforté son avance en remportant une seconde victoire consécutive, sa deuxième dans la catégorie intermédiaire, dimanche au Mugello, où Nico Terol et Johann Zarco étaient à ses côtés sur le podium.
Propulsé au sommet du classement général par sa brillante victoire remportée en France, Scott Redding a une fois de plus frappé très fort dimanche au Mugello, où le Britannique s’est de nouveau imposé pour conforter son statut de leader du Championnat du Monde Moto2. Premier Britannique à aligner deux victoires en Grand Prix depuis Rodney Gould (1971) mais aussi premier Britannique à s’imposer au Mugello dans la catégorie intermédiaire, Redding a d’abord du suivre Takaaki Nakagami, auteur du meilleur départ, et Nico Terol avant de passer en tête dans le quatrième tour, devant le Japonais, l’Espagnol et Johann Zarco, seul autre pilote à se joindre au groupe de tête. Suite à la chute de Nakagami, alors quatrième, dans le huitième tour, Terol a réussi à prendre le dessus sur Redding peu avant la mi-course et est resté en tête durant cinq tours, avant que Redding ne reprenne l’avantage et ne creuse définitivement l’écart sur ses deux poursuivants. Longtemps resté sur les talons de Redding et Terol, Zarco a tenté de dépasser l’Espagnol, son ancien rival pour le titre 125cc, à plusieurs reprises mais a baissé
Longtemps resté sur les talons de Redding et Terol, Zarco a tenté de dépasser l’Espagnol, son ancien rival pour le titre 125cc, à plusieurs reprises mais a baissé de rythme sur les derniers tours pour sagement se contenter de la troisième place. Le jeune Français montait sur le podium Moto2 pour la toute première fois après avoir manqué le Top 3 d’un rien au Mans lors de la course précédente. Dixième sur la grille et relégué en quatorzième position dans le premier tour, le vice-Champion du Monde Pol Espargaró est parvenu à remonter jusqu’à la quatrième place en doublant Mika Kallio et Jordi Torres, respectivement cinquième et sixième, dans le dernier tour de la course. Simone Corsi, Alex de Angelis, Tom Lüthi et Dominique Aegerter figuraient également dans le Top 10 à l’arrivée. Quatrième à la mi-course, Xavier Siméon a malheureusement conclu sa course sur une chute à quatre tours de l’arrivée, suite à un dur dépassement de De Angelis. Mike Di Meglio et Louis Rossi, pénalisé d’un ride through pour départ anticipé, ont fini aux dixhuitième et vingt-sixième positions. Redding dispose désormais de 43 points d’avance sur Terol et Kallio, ex aequo, tandis que Esteve Rabat, treizième en Italie, Espargaró, Aegerter et Zarco sont respectivement à 46, 47, 48 et 57 points du leader.
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Auteur d’une excellente fin de course, Luis Salom s’est imposé en contrôlant parfaitement les deux derniers tours au Grand Prix TIM d’Italie et revient à seulement quatre points de Maverick Viñales, troisième à l’arrivée, dans la course au titre Moto3. Álex Rins a pris la deuxième place. Qualifié en cinquième position sur la grille du Mugello, Luis Salom (Red Bull KTM Ajo) s’est cantonné à un rôle de figuration dans le groupe de tête en début de course et a attendu les derniers tours pour passer à l’attaque. Passé en première position dans le dix-huitième des vingts tours de la manche italienne, le jeune Majorquin a immédiatement fourni l’effort nécessaire pour se forger une petite avance sur ses poursuivants et a conservé l’avantage jusqu’à la ligne d’arrivée. Grâce à cette deuxième victoire depuis le début de la saison, la quatrième de sa carrière, Salom n’est plus qu’à quatre points du leader du classement Moto3, son compatriote Maverick Viñales. Vainqueur au Mugello l’an dernier, ce dernier avait pris le contrôle de la course dans le quatrième tour en passant Jonas Folger, qui était en pole position, mais n’a pas réussi à creuser l’écart sur Folger, Salom, Álex Rins, Álex Márquez et Miguel Oliveira, qui allaient, avec Viñales, rapidement distancer le reste du peloton. Alors que Folger se faisait distancer en fin d’épreuve, Viñales, Rins, Márquez et Oliveira ont tous mené à un moment donné avant l’offensive de Salom. Au coude à coude avec ses adversaires dans certains virages, Rins est parvenu à s’assurer la seconde place, comme au Mans, avec trois dixièmes de seconde d’avance sur Viñales. 37 45
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Marco Melandri s'est imposé d'un cheveu sur Sylvain Guintoli lors de la première des deux courses de dimanche à Portimao, avec seulement sept millièmes de seconde d'avance sur le leader du Championnat, soit le plus petit écart entre le vainqueur et le deuxième de l'histoire du WSBK. Passé par l'Italien dans le premier freinage du dernier tour, Guintoli a tenté de contreattaquer une première fois et est ensuite sorti du dernier virage beaucoup plus vite que son rival, sans pour autant parvenir à reprendre l'avantage avant la ligne d'arrivée. S'il manquait une bonne occasion de renouer avec la victoire, le Français offrait cependant à Aprilia un résultat positif après que son coéquipier Eugene Laverty a été contraint d'abandonner dans le douzième tour suite à une casse moteur. Tom Sykes, seul pilote qualifié en première ligne à finir la course, complétait le podium après avoir mené sur la première partie de l'épreuve et avoir plus tard perdu du terrain sur Melandri et Guintoli. Leon Camier a signé son meilleur résultat de la saison en prenant la quatrième place devant Chaz Davies et Michel Fabrizio. Jules Cluzel, le coéquipier de Camier, s'est offert la huitième place en doublant Carlos Checa (Team Ducati
Jules Cluzel, le coéquipier de Camier, s'est offert la huitième place en doublant Carlos Checa dans le dernier tour. Le Pata Honda Team tirera quant à lui un bilan très décevant de cette première course puisque Jonathan Rea a dû abandonner sur problème technique tandis que Leon Haslam a jeté l'éponge en raison d'une condition physique insuffisante. Le Britannique commençait à perdre ses sensations dans les deux bras à force de compenser pour sa jambe gauche qu'il s'était fracturée en début de saison. 38
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Eugene Laverty a remporté la deuxième course qui avait lieu dimanche à Portimao et retrouvait donc le podium immédiatement après son abandon sur problème technique en Course 1. Intouchable sur la seconde moitié de l'épreuve, l'Irlandais s'imposait pour la quatrième fois de la saison et la septième fois de sa carrière. Jonatha Rea a été le seul pilote capable de suivre Laverty sur les premiers tours mais a ensuite baissé de rythme et a plus tard concédé la deuxième place à Sylvain Guintoli, qui offrait à Aprilia un troisième doublé cette année suite aux deux premiers de Phillip Island. Grâce à ce neuvième podium, le Français a repris un net avantage en tête du classement général et compte 28 points d'avance sur son premier poursuivant, Tom Sykes. Auteur de la Tissot-Superpole, ce dernier a lourdement chuté dans le virage n°2 du tour de formation et a dû partir de la pit-lane. Sur une moto endommagée, le Britannique a dû revenir aux stands dès la fin du premier tour et est passé par le box du Kawasaki Racing Team trois fois en tout, sans aucune chance de finir dans les points. Sykes a néanmoins affiché un rythme impressionnant et a signé le meilleur tour de la course en 1'42.475.
Son coéquipier Loris Baz s'est offert la quatrième place, son meilleur résultat depuis sa troisième place d'Assen, devant Chaz Davies, un courageux Carlos Checa et Jules Cluzel. Présent dans le groupe de tête au départ mais ensuite privé de ses chances de podium par une usure anormale de son pneu arrière, Marco Melandri a dû rester sur la défensive pour s'assurer une décevante douzième place après sa victoire en Course 1. Le problème dont a été victime l'Italien fait par ailleurs l'objet d'une enquête de Pirelli. Leon Camier a quant à lui abandonné en raison d'un problème technique survenu dans le douzième tour. 39
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La course du Championnat du Monde Supersport à Portimao s'est conclue sur une superbe bataille à quatre remportée par Sam Lowes devant Fabien Foret et Kenan Sofuoglu du Mahi Racing Team India Kawasaki. Avec cette quatrième victoire consécutive, le Britannique compte désormais 39 longueurs d'avance sur Sofuoglu dans le classement général. Le rookie néerlandais Michael van der Mark, en lice pour le podium jusqu'au bout, a pris la quatrième place. Les quatre pilotes avaient attendu le dernier moment pour passer aux choses sérieuses et Lowes, qui était parti de la pole position, a réussi à doubler Foret dans le virage n°11 avant de filer à toute vitesse vers la ligne d'arrivée pendant que le Français et Sofuoglu se disputaient la deuxième place. Van der Mark a tenté de passer en tête en fin de course mais s'est immédiatement fait doubler par un trio plus expérimenté et pourra de toute façon être satisfait de sa quatrième place étant donnée sa condition physique. Sheridan Morais et Jack Kennedy étaient eux aussi présents aux avant-postes en début de course mais ont fini loin derrière le Top 4, aux cinquième et sixième positions.
Réactions après la course du vainqueur Sam LOWES « Ce week-end, j’avais une nouvelle fois un très bon feeling avec la moto et un très bon rythme. En course, j’ai eu quelques difficultés à me hisser en tête mais la moto marchait bien. Quand j’ai pu prendre le commandement, j’ai tout de suite pris un bon rythme mais pas assez pour me détacher. Je me suis retrouvé dans une belle bataille et j’espère que tout le monde à la maison a pu en profiter. Je suis vraiment heureux de décrocher cette victoire. La prochaine course à Imola sera plus compliquée car Fabien (Foret) l’a remporté ces deux dernières années et j’ai pris la 2e place. J’espère donc qu’il y aura du changement cette fois-ci. Mon week-end a donc été très positif, vraiment sympa et je suis impatient de retrouver ma R6 à Imola. J’adore cette moto et j’aime gagner, donc je vais continuer à faire de mon mieux, faire le meilleur travail et je tiens à remercier l’équipe Yakhnich Motorsport et Yamaha qui me donnent chaque week-end une excellente moto ».
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Après un début de saison particulièrement difficile au niveau de la météo, le soleil a enfin permis de passer une journée de courses complètement sous le soleil. Ces conditions idéales ont ravi les spectateurs venus nombreux (7.400 personnes) les pilotes et leurs accompagnateurs et l’organisation du Val de Vienne Moto. Côté piste, des courses très disputées ont permis en fonction des catégories soit d’affirmer le leadership de certains comme Grégory Leblanc en Superbike ou Christophe Arciero en Moto3 soit de faire apparaître de nouveaux prétendants comme Thibaut Gourin en Pirelli 600 ou le tandem Huet / Arifon en Side Car. Retour sur la journée de dimanche :
Superbike Gregory Leblanc s’offre le doublé au Vigeant et accentue son avance au championnat. Julien Da Costa s’affirme comme son plus farouche adversaire tandis qu’Axel Maurin se révèle en accédant à son premier podium dans cette catégorie qu’il découvre. En difficulté sur le mouillé hier, Baptiste Guittet a montré qu’il était encore bien présent en s’imposant face à Guillaume Dietrich auteur d’une belle remontée. Les essais chronométrés : malgré des conditions de piste particulièrement favorables, la séance des Superbike a été mouvementée et ponctuée de plusieurs chutes. Parmi eux, il y avait Baptiste Guittet et Gregg Black, le local de l’étape. Malgré leurs chutes ils se qualifient 4ème et 5ème. Thomas Metro complète la seconde ligne. Devant, Le duel Grégory Leblanc / Julien Da Costa a animé le haut de la feuille des temps et tourne à l’avantage du pilote Kawasaki. Axel Maurin confirme sa place dans le top 5 et prenant le ème
Thomas Metro complète la seconde ligne. Devant, Le duel Grégory Leblanc / Julien Da Costa a animé le haut de la feuille des temps et tourne à l’avantage du pilote Kawasaki. Axel Maurin confirme sa place dans le top 5 et prenant le 3ème temps. Etienne Masson va mieux mais reste indisponible suite à sa chute d’hier. Il est dans le paddock pour encourager ses coéquipiers. La course : Julien Da Costa effectue le départ le plus rapide mais Grégory Leblanc ne lui laisse pas le temps de s’habituer à la place de leader puisqu’il le double dès les premiers virages. Leblanc force un peu et creuse l’écart sur son poursuivant. Axel Maurin est en troisième position et tente de suivre le rythme de Da Costa. Même si il n’y parvient pas, il s’éloigne de Baptiste Guittet qui mène le groupe de chasse. Si le trio de tête se fige au niveau position, dans le groupe en bagarre pour la 4ème place, les places de chacun bougent régulièrement. Guittet parvient à conserver la 4ème position malgré le retour de Guillaume Dietrich qui est remonté de la 14ème place. Victime d’une chute en début de course, Gregg Black fait une belle remontée aussi jusqu’à la 10ème place. Au classement provisoire, Grégory Leblanc avec sa 4ème victoire consécutive creuse l’écart avec 120 points au compteur face à Julien Da Costa et ses 85 points. Avec le week-end blanc d’Etienne Masson, Axel Maurin lui prend la place de 3ème pour 8 points.
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Supersport Mathieu Ginès est bien décidé à monter que sa position de favori au titre qu’il avait avant de débuter le championnat était plus que justifiée. En s’imposant de façon magistrale avec plus de 5 secondes d’avance sur le circuit du Val de Vienne, Ginès revient au classement provisoire et marque les esprits. Derrière, Thibaut Bertin et Nicolas Salchaud s’offrent un nouveau podium et s’affirment comme acteurs majeurs de la catégorie. Lucas Mahias sauve les meubles et finit 7ème après un accrochage avec Kevin Longearet qui lui a fait perdre 2 places. Le classement provisoire est particulièrement serré et annonce un championnat très relevé. Les essais chronométrés : Mathieu Ginès arrache la pole position en fin de séance sur une piste sèche et encore un peu froide avec un temps en 1:42.476. David Perret et Nicolas Salchaud se rapprochent mais reste en 1:43 et partiront de la première ligne. Cédric Tangre, Thibaut Bertin et Robin Camus complètent la seconde ligne contenue en deux dixièmes. Parti à la faute dans les premiers tours, Lucas Mahias se qualifie néanmoins à la 13ème place. La course : énorme course de Mathieu Ginès qui n’a rien laissé à ses concurrents sur la manche de cet après-midi. Dès le premier tour, il imprime un rythme 1.4 seconde plus rapide que tout le monde. A micourse, il compte 6,5 secondes d’avance sur un groupe de trois pilotes à la lutte pour monter sur le podium. Thibaut Bertin, David Perret et Nicolas Salchaud se tiennent en une seconde. Ginès reste sur sa lancée et empoche la victoire. Bertin résiste jusqu’au bout à la pression exercée par Salchaud et Perret. Derrière, les places d’honneur ont été chèrement défendues. Mahias et Longearet s’accrochent dans l’avant dernier tour et repartent pour finir 7 ème et 8ème. Ils laissent le champ libre à Cédric Tangre et Valentin Debise pour la 5ème et 6ème place. Au classement provisoire, Nicolas Salchaud conserve la tête pour un petit point face à Mathieu Ginès et deux points face à Thibaut Bertin. 42 43
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Moto3 Christophe Arciero confirme sa position de leader après une course en solitaire sans erreur. Les pensionnaires du Challenge de l’Avenir FFM montent une nouvelle fois sur le podium avec Enzo Boulom et Karl Croix. Les essais chronométrés : Christophe Arciero domine cette séance dominicale placée sous le signe du soleil en bouclant son tour le plus rapide en 1:47.859. Malgré une petite chute, Enzo Boulom signe le second temps à plus d’1.5 seconde. Corentin Brenon et Karl Croix complètent le top 4. Samantha Perez, seule féminine du plateau Moto3, prend la 7ème place et 1ère PréGP. La course : Enzo Boulom prend le meilleur départ au moment de l’extinction des feux mais c’est Christophe Arciero qui passe en tête à la sortie du premier virage. Beaucoup plus rapide que ses adversaires, Arciero enchaine les tours rapides et s’échappe seul vers l’arrivée. Derrière, Enzo Boulom se retrouve vite isolé en seconde position tandis que Karl Croix tente de rester sur la 3ème marche du podium. Longtemps 4ème, Corentin Brenon part à la faute dans le 10ème tour. A l’arrivée, Arciero signe le doublé tandis que Boulom améliore sa place sur le podium. Karl Croix complète le podium et se rattrape après sa déconvenue d’hier. Au classement provisoire, Christophe Arciero accentue son avance avec 115 points devant Karl Croix et Corentin Brenon ex æquo avec 56 points. Enzo Boulom est à 52 points.
Pirelli Le circuit du Vigeant ne réussit pas à Morgan Berchet qui après un problème mécanique est obligé d’abandonner en course et de laisser sa place de leader au classement provisoire. Auteurs dune superbe bagarre pour la victoire, Thibaut Gourin, Kevin Meco et Hugo Clere montent sur le podium. Gourin signe le doublé après sa victoire hier et s’offre au côté d’Hugo Clere la tête du classement provisoire. Les essais chronométrés : le soleil est enfin présent sur le circuit du Vigeant. La piste reste froide et piégeuse. Pierre Texier manque à l’appel suite à sa chute d’hier, il ne pourra participer aujourd’hui. Parmi les pilotes partis à la faute ce matin, Morgan Berchet enregistre deux chutes et le second temps de la séance à seulement deux dixièmes du vainqueur d’hier Thibaut Gourin. Hugo Clere complète la 1ère ligne. Pierre Yves Bian, Anthony Aliern et Corentin Juillet partiront de la seconde ligne de la course qui partira à 14hoo cet après midi. La course : le soleil accompagne la première course de la journée. Morgan Berchet prend le meilleur départ et se bat pendant 5 tours avec Hugo Clere et Kevin Meco. Au 5ème tour, Berchet est victime d’un souci technique et doit rentrer aux stands. Ils sont encore sept contenus en moins de 2 secondes en position de gagner. Meco passe leader puis Clere puis Gourin, soit trois changements de leader en cinq tours. Dans les derniers tours, ils sont encore 5 en bagarre pour la victoire. Gourin résiste aux assauts de Meco et signe le doublé. Hugo Clere complète le podium. Au classement provisoire, Thibaut Gourin et Hugo Clere sont à égalité avec 85 points devant Morgan berchet, 43 75 points, Kevin Meco et Maxime Cudeville qui ont tous les deux 58 points.
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Une météo qui n’empêchaient tout de même pas les Moto2 de boucler leur tour en 1’55, les meilleurs en Moto3 parcouraient le circuit en 2’01 tandis qu’en Stock Extrem le rythme s’accélérait pour descendre en 1’53. Enfin les plus jeunes pilotes présents en 140 cm3 affichaient des temps oscillant entre 2’54 à 3’05 sur les 5.077 km du circuit. A l’issue des essais, les Français figuraient bien puisque dans la catégorie Moto 3 où se situe notamment Jules Danilo, celui-ci occupait la 10ème place avec un temps de 2’03’’267 alors que Quartararo deuxième au classement général du championnat n'arrivait pas à se sortir de sa modeste 20ème place en 2’04’’380, Hugo Casadessus pointait assez loin en 41ème position avec un temps de 2’10’’032 qu'il n'arriva pas à améliorer au cours du week-end. En Moto 2 nous n'avions pas de Les essais de vendredi et samedi se sont déroulés sous représentant et le plateau était composé de 80% de une grosse chaleur mais avec un vent de 70 km/h fort pilotes espagnols gênant pour certains pilotes voyant leurs trajectoires Pour les Stock Extrem en 1000cm3 nous avions augmenter de 1/4 de la piste sur certaines parties de la piste. Les chronos enregistrés s’en ressentent forcément 3 pilotes Français et un Franco-Canadien dans le Team puisqu’au niveau des temps, certains pilotes perdaient J.E.G dont le directeur Juan Eric Gomez remplaçait un jusqu’à ½ seconde pour certains là où d'autres de ses pilotes Philippe Legallo, victime d’une clavicule cassée à Jerez. abandonnaient une seconde pleine. Une météo qui n’empechaient tout de même pas les Moto 44 2 de boucler leur tour en 1’55, les meilleurs en motos 3 parcouraient le circuit en 2’01 tandis qu’en Stock Extrem Nous sommes en Aragon sur le circuit du Motorland pour la deuxième manche du Championnat Espagnol de Vitesse (CEV). Cette compétition est actuellement très relevée car souvent considérée comme l'antichambre des grand prix, plusieurs équipes sont des teams satellites des structures présentes en GP. Toutes les nations sont représentés et la colonie Française compte 9 pilotes dans différentes catégories, certains actuels pilotes de pointe des grand prix sont issus de ce championnat tel que Marquez, Lorenzo, Pedrosa, comme d'autres y reviennent à l’image d’Hector Faubel ou encore Maria Herrera ..... Au programme, se suivent les Moto 2, Moto 3, Stock Extrem en 1000 et des courses en 140 cm3 pour les jeunes pilotes de 14 ans.
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Les courses du Dimanche se déroulèrent sous un magnifique soleil et sans vent, pour la première manche des Moto 2, une armada de pilotes espagnols étaient présents aux premières lignes avec un Malaysien, un Americain et un Colombien intercalés qui, pendant 15 tours vont défendre ardemment leur position régalant les spectateurs de superbes dépassements, de passages à 2 voire 3 pilotes dans certaines courbes … Malgré certains passages par le bac à gravier et quelques chutes sanctionnant les plus optimistes, de belles batails pour avoir à l'arrivée Ramon Rances (Esp), Syarhin (Malaysie) et Noyes ( USA) en 1.46 et 1.47 en temps. Dans la 2ème manche du Moto 2, c'est essentiellement parti pour une lutte entre espagnols bien que ce le suisse Raffin, ayant chuté au premier tour dans la manche précédente et le malaysien Syahrin allaient s’évertuer aux avant-postes pendant que leurs autres concurrents jouaient placés pour prendre de gros points dans l’optique du championnat. Au coude à coude durant 15 tours pour un finish au millième, ce sont finalement Raffin, Ramos et Rivas qui se retrouvèrent sur le podium, les 3 pilotes constituant la première ligne de la grille de départ Pour clore un programme de journée déjà bien chargé, la dernière course présentait les Promo 140 cm3 pour les pilotes de 14 ans, qui vit la victoire du jeune Alan Malo avoir creusé un important écart avec ses poursuivants directs Giral et Serrano sur 8 tours. Il est vrai qu’en tant qu’observateur, le circuit du Motorland d’Aragon nous sembla relativement grand pour cette cylindrée de moto et où quasiment tous les virages se passaient à fond.
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Le 8ème des 17 Grand Prix de Motocross de la saison 2013 vient de se disputer ce week-end en Bretagne sur le circuit d’Ernée. Parmi les pilotes français très motivés pour briller devant leur public, ce sont deux pilotes Kawasaki, un en MX1 au guidon d’une KX450F 2013 et un en MX2 avec une KX250F 2013 qui ont obtenu les meilleurs résultats. En MX1, c’est Gautier Paulin du Kawasaki Racing Team, habitué des places d’honneur qui a confirmé sur le sol français, les excellents résultats obtenus depuis le début de saison. Longtemps 2ème dans la première course, il a profité d’une petite erreur du leader pour le passer et remporter l’épreuve. Son co-équipier belge, Jérémy Van Horebeek termine en 4ème position tandis que l’anglais Tommy Searle du team CLS Monster Energy Kawasaki finit 7ème et le français Grégory Aranda du team Rockstar Bud Racing Kawasaki termine le top 15. Dans la deuxième manche, Gautier Paulin a commis une erreur qui l’envoya au tapis, erreur qui lui ôta tout espoir de monter sur le podium. C’est Tommy Searle qui en profita en terminant 3ème une place devant Gautier revenu 4ème. Son co-équipier belge termine deux places derrière tandis que Grégory Aranda récidive en bouclant le top 15. Au cumul des deux manches, Gautier Paulin totalise 43 points en 2ème position à 4 points du vainqueur, Searle avec son podium de la seconde course est 4ème avec 34 points et Van Horebeek le suit en 5ème position un point derrière. Deux fois 15ème, Grégory Aranda perd une place au cumul et est classé 16ème.
course est 4ème avec 34 points et Van Horebeek le suit en 5ème position un point derrière. Deux fois 15ème, Grégory Aranda perd une place au cumul et est classé 16ème. Au classement général, avec 321 points, Gautier Paulin est second à 56 points du leader, Searle est 6ème avec 239 points et Van Horebeek 8ème avec 171 au compteur. En MX2, Dylan Ferrandis qui vient d’être titré champion de France, surfe sur la vague du succès et obtient à Ernée son meilleur résultat enregistré en Grand Prix. Il a effectué deux courses très solides qui l’ont mené sur la deuxième marche du podium à 3 secondes du vainqueur dans la première et à 5’7 dans la deuxième. Son co-équipier dans le team Rockstar Bud Racing Kawasaki, le français Jason Clermont, marque les 5 points de la 16ème place et les 11 de la 10ème. Dans la deuxième manche, Jason n’est que 3ème pilote Kawasaki car l’italien Alessandro Lupino du CLS Monster Energy Kawasaki s’est immiscé entre les deux français en 7ème position. Au cumul des deux manches, Dylan Ferrandis est déclaré 2ème de son Grand Prix national, son meilleur résultat jusqu’alors étant une 6ème place au Grand Prix d’Italie. Jason Clermont son co-équipier est classé 12ème deux places devant Lupino qui n’a rien marqué en première manche.
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L’édition 2013 du Salon de la Moto, Scooter, Quad rassemble tous les acteurs du secteur avec une seule idée, celle d’exprimer le dynamisme du secteur. Une volonté commune marquée par la présence de tous les grands constructeurs, équipementiers, accessoiristes, sociétés de service, organismes institutionnels et media qui témoignent, ensemble, de cet état d’esprit conquérant. Avec déjà plus de 13 000 m2 de surface réservée et de très nombreuses nouveautés annoncées en première mondiale ou européenne, cette fête de la moto s’annonce spectaculaire et se tient à nouveau Porte de Versailles, en plein cœur de Paris. Plus de 200 marques ont déjà renouvelé leur confiance au Salon. Notons aussi, la présence de : HJC Europe, Husaberg, Igol, Kymco, Scorpion Sports Europe, Voxan… absents en 2011 et qui reviennent cette année ! Le Salon de la Moto, Scooter, Quad de Paris 2013, un salon vivant ! Chaque jour des débats et des animations portant sur un thème particulier seront mis en œuvre et retransmis en live sur notre site internet: Lundi 2 décembre : journée presse et professionnels. Mardi 3 décembre : les professionnels et l’économie du secteur. Mercredi 4 décembre : les jeunes et l’accès à la pratique du deux roues motorisées. Jeudi 5 décembre : l’innovation et la sécurité. Vendredi 6 décembre : culture et passion, ventes aux enchères au profit de l’ICM. Samedi 7 décembre : le deux-roues au féminin. Dimanche 8 décembre : sport et compétition.
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Mobilisation générale L’édition 2013 du Salon de la Moto, Scooter, Quad est exceptionnelle. Une occasion unique de conjuguer passion et raison avec tous les acteurs du deux roues réunis dans les quatre pavillons 5/1, 5/2, 6 et 8 de Paris Expo Porte de Versailles. Tous les grands constructeurs et équipementiers présents contribueront à faire de cet événement le rendezvous incontournable de 2013 !
Un salon spectaculaire Il y en aura pour tous les goûts et tous les âges. Les visiteurs pourront participer à de nombreuses animations qui feront du Salon un événement inoubliable. Piste d’initiation aux 50cc dédiée aux jeunes à partir de 14 ans et 125cc. Piste d’éducation routière CRS/GEMA Prévention pour initier les adolescents (à partir de 14 ans) et les titulaires du permis de conduire "B" depuis plus de deux ans, à la conduite d’une moto ou d’un scooter et les inciter à suivre les formations pratiques adéquates auprès des moto-écoles. Comme en 2011 des démonstrations seront regroupées dans un Stadium. Nouveauté, cette année, ces animations correspondront aux thèmes du jour.
Exposition « A la Gloire des Pilotes Français et de leur Moto » Comme en 2011, l’organisation du Salon avec la participation de la Fédération Française des Véhicules d’Epoque (FFVE) propose une exposition inédite. Après « Les motos et scooters stars ! » en 2011, l’édition 2013 proposera « Les pilotes motos français : une longue histoire ». L’originalité de l’exposition 2013 : les pilotes seront mis à l’honneur, en exposant les machines qui leur ont permis de créer la légende. Une histoire d’hommes en sorte…Ou comment découvrir le parcours, la carrière et le palmarès d’un pilote, en le rapprochant des machines qui ont marqué les mémoires et permis de graver l’histoire. A la Gloire des Pilotes Français : les pilotes sont souvent associés à une moto, donc à une marque ! Georges Monneret et sa Koelher Escoffier 1000, Jean-Pierre Beltoise et sa Matchless 650, Eric Offenstadt avec la But et les Elf, Christian Ravel et sa Kawasaki Baranne, Christian Léon et sa Honda Motul, Christian Estrosi et sa Kawasaki 750, Jean Claude Olivier, Stéphane Peterhansel, Patrick Pons et leurs Yamaha, Hubert Auriol et sa BMW, Alain Michel et son Side-car et la liste est longue… Ils seront à l’honneur dans l’Exposition Spéciale !
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