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Personnalités ayant participé au jury

Au palmarès, À consommer avant/ après 40 ans de Patrice Deboosere et Djamal Ammari et Après les cours de Guillaume Renusson (« Grands Prix du jury ») et Des jours et des nuits sur l’aire de Isabelle Ingold (« Prix de l’Acharnière » et « Prix René Vautier »).

2017 L’Acharnière, en partenariat avec la délégation régionale de l’INA, présente en ouverture Le Noticiero ICAIC Latinoamericano, archives cubaines restaurées par l’INA et les émissions de Max-Pol Fouchet L’Art et la Révolution et Poésie et réalité (1970) de la série « Terre des Arts ». En présence de Michel Raynal responsable, de 2011 à 2015, du projet INA/ICAIC pour la sauvegarde de la collection « Noticiero ICAIC Latinoamericano ».

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Les soirées de rétrospective rendent hommage à Santiago Álvarez Román ainsi qu’à Armand Gatti et à Tomas Gutierrez Alea.

Le « Grand prix du jury » est attribué au documentaire de Maxence VoiseuX, Les héritiers, qui reçoit également le « Prix du meilleur montage », tandis que le « Prix de l’Acharnière » va à Un figuier au pied du terril de Nadia Bouferkas, Mehmet Arikan et NaÏm Haddad. Le « Prix René Vautier » est attribué à Nous les G.A de Marine Place.

2018 L’Acharnière fête Mai 68 avant et après, ici et là-bas. À l’ouverture un hommage est rendu à Cécile Decugis, réalisatrice et monteuse de Rohmer. Au programme : Classe de lutte, Le traîneau-échelle, La parcelle et Avec le sang des autres des groupes Medvedkine avec L’ami Roger, Le dos au mur de Jean-Pierre Thorn mais aussi un documentaire venu de Suisse signé Alex Mayenfish Mai 68 avant l’heure, C4, réalisation d’étudiants de l’INSAS et un film interdit au Maroc de 74 à 92 signé Mustapha Derkaoui, présenté par le critique Ahmed Boughaba.

Au palmarès, Rien ne nous est donné de Benjamin Durand (deux fois primé) et un grand prix partagé entre La parade de Mehdi Mehdi Ahoudig et Samuel Bollendorff et Derrière les volets de Messaline Raverdy.

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