La Gazette de l’Association
CAP CORSE
N° 78 Novembre 2012
C’est le Capitaine qui vous parle !
2 RDVs à ne pas manquer !
Dans ce numéro : • Un sondage « Gazette » • Le site web, la gazette et le forum • Le CAP'12 à Ploumanac’h • Le retour du CAP'Astuce • Une nouvelle rubrique "Ça vous est arrivé" • Un hiver, une restauration • Les péripéties de Goulmédec • La Coupe Pretty Maid
• Et vos petites annonces...
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RENCONTRE DU NAUTIC ! Le Bureau de l’association se mobilise pour vous rencontrer lors du Salon Nautique. Le dimanche 16 décembre de 14h à 16h, nous serons à votre écoute dans une salle mise à notre disposition : stand de la Fédération des Industries Nautiques (hall 1, stand F8). Le thème des échanges que nous souhaitons avoir avec vous est « préparer l’avenir ». Vous avez quelque chose à dire ou des propositions à faire, profitez-en, venez en parler. D’ailleurs, venez nous saluer même si vous n’avez rien à dire. C’est vous qui menez les débats. Venez quand vous le pouvez, le temps qu’il vous plaira. Pour ceux qui le désirent nous nous retrouverons auparavant, dès 12h au restaurant « Bar à huîtres » du salon pour grignoter. En cas de doute appelez nous sur place le 06 85 32 14 36 ou le 06 71 72 31 39. ASSEMBLEE GENERALE Retenez déjà la date du Samedi 9 février à 17h + repas à suivre (au « Buffalo gril » de Port Marly) La convocation vous parviendra mi janvier et vous donnera toutes les indications utiles. Le président de l’As Cap Corse
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N°78 – Novembre 2012
Bonjour, c’est pour un sondage ! C’est vrai, on a craqué. Depuis le pont de nos Cap Corse, nous pensions être relativement à l’abri des modes du moment, mais telle la « fashion victim » de base, nous nous sommes laissés tenter par les sirènes du marketing : et si nous aussi on faisait un sondage ? On n’allait quand même pas vous demander si vous étiez plutôt G4 ou Tonkinois, roof comme ci ou comme ça, magret ou confit, (à voile ou à vapeur ☺), bref on voulait vous sonder certes, mais sur un vrai sujet : La Gazette Cap Corse. Et voilà ce que ça donne : sur les quelques deux cents mails que nous avons lancés, nous avons eu vingt huit réponses, voici les questions posées et quelques unes de vos contributions. Auriez-vous un nouveau titre à nous proposer ? « ligne de vie », « le cap déchaîné », « à l’abordage » Je pense qu’on va garder le titre actuel ! Qu’en pensez-vous en termes de contenu ? « Les photos donnent une idée de l'ambiance du Cap. Pas de doute ça fait une bonne bande … », « le principal reproche est de ne pas être "at the right place at the right moment" et de finir avec 10 pages qui sont en tout cas 6 de trop, à moins de faire une édition VIP annuelle » On vous promet de faire un effort pour le prochain numéro qui devrait devenir semestriel, voire trimestriel. Qu’en pensez-vous en terme de forme ? « Le bulletin a un énorme mérite : il existe ! Ceci étant dit, il est vrai qu'il n'a plus de "maquette", la mise en page fait un peu "patronage" et il paraît trop irrégulièrement. Par ailleurs, dix pages, c'est trop. Un A3 R°/V° (4 pages) serait suffisant s'il paraissait régulièrement (4 fois par an par ex. et à dates précises). Pour "aider" le Rédac'Chef, je suggère que le Bureau constitue un "Comité de Rédaction" lors d'une réunion par trimestre, détermine les sujets à traiter dans le n° suivant et se distribue les articles à rédiger... » On n’a toujours pas réussi à créer une maquette définitive avec les bons outils de PAO mais on a défini une trame simple à mettre à jour et qui facilitera la sortie des prochains numéros. Si elle devait changer, quelles autres rubriques aimeriez-vous y trouver ? « Plus de relation des petites histoires entre régatier sur leur terrain de jeu. Des relations de croisières familiales ou entre copains ... » « Moi j'aime bien y trouver la vie des balades des navigateurs, les témoignages de restauration, d'acquisition, ... Enfin des expériences d'autres utilisateurs, cela permet de se connaître et de donner des idées. Parfois ces scènes de vies concernent d'autres séries, c'est bien aussi. » Ca c’est fait ! Allez lire les articles « Ça vous est arrivé » : Les escapades de Goulmédec, la rénovation de 3 Alérions et la Coupe Pretty Maid. Quel serait le nombre de pages idéal ? Une majorité : de 4 à 6 Pour le coup on vous en a mis 12 pages ☺ Quelle serait la périodicité idéale ? Trimestrielle à égalité avec semestrielle Seriez-vous prêt à abandonner la version papier au profit d’une version internet imprimable ? 26 « oui » contre 2 « non » ! Il faut reconnaître que le sondage étant fait sur le net, notre panel n’est pas forcément représentatif ! 2 Que tous ceux qui voudrait aider à limiter l’empreinte en CO de l’Association, remplissent le questionnaire sur internet suivant : http://bit.ly/U6E6bZ pour qu’on limite les impressions papier. Merci pour la planète ! Auriez-vous des suggestions à nous faire ? Lancer un appel aux adhérents ayant la plume pas trop coincée (où que ce soit...!) En résumé, c’est vrai : à vos plumes, vous êtes tous les bienvenus pour des articles de votre cru ! On enrichit tout ça et on se retrouve pour l’instant tous les six mois. 2|Page
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N°78 – Novembre 2012
Le site, la gazette et le forum Une valse à 3 temps Amis Cap Corsistes, vous l’avez tous remarqué : l’AS CAP CORSE a renouvelé tous ses supports de communication cette année pour améliorer sa visibilité externe mais également pour vous offrir des moyens d’échanges plus dynamiques et adaptés aux différentes « cibles ». •
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Le Site web et ses extensions Facebook et Twitter sont accessibles à tous. C’est la partie visible de l’activité de l’association Pour la rendre plus attractive nous avons modernisé son « look » en février et surtout ses fonctionnalités : la nouvelle mouture du site permet de le mettre à jour très facilement, d’interagir, de déposer dép des commentaires et d’y répondre. On peut également s’y abonner pour recevoir automatiquement les dernières nouvelles (par Facebook, Twitter ou par mail). La Gazette est diffusée auprès des membres de l’association mais également auprès de la presse et des différentes instances du monde de la voile. Elle est le lien depuis toujours avec « vous tous » : en plus du support papier vous trouverez le .pdf bien connu de tous sur le site web. Le Forum est réservé exclusivement aux membres de l’AS CAP CORSE, c’est l’endroit privilégié pour échanger entre nous en mode « privé ». Vous y trouverez toutes les astuces, les conseils de bricolage, les photos des régates et bien plus encore ! Avec plus de 200 inscrits c’est l’endroit privilégié pour apprendre, partager, partage se soutenir lors de lourdes réparations et rigoler entre nous ☺.. Toujours très réactifs, les membres s’y expriment au quotidien et y créent un véritable « esprit de famille ». On y accepte même quelques Corsairistes de bonne volonté dont Gilles (Ki-Loullig) Loullig) qui en tient les rênes et que nous remercions. La formule a l’air de plaire puisqu’en moins de 7 mois le site a eu plus de 30.000 pages de vues de part le monde mo soit plus de 140 pages par jour ! Quant aux pagess Facebook et Twitter, elles permettent des échanges plus larges autour des thématiques de la voile. Tous les nouveaux articles du site y sont automatiquement reproduits et des liens s’y tissent au quotidien. Pour mémoire, voici comment accéder aux différents supports : • Le Forum : http://ascapcorse.easyforumpro.com/ • La Gazette: zette: normalement vous l’avez déjà entre vos mains mais vous pourrez également la retrouver en .pdf sur le site dans les “news” ainsi qu’à l’adresse l’ suivante en version on web • Le Site web : www.ascapcorse.com • La page Facebook : en vous connectant sur Facebook et en y cherchant « Association Cap Corse » • Et le petit dernier : Twitter en allant sur www.twitter.com et en cherchant @AsCapCorse
N’hésitez pas à vous abonner au site (par mail, Facebook ou Twitter), vous serez informés des derniers niers articles qui y paraissent. Et n’oubliez pas d’« aimer » la page Facebook pour agrandir le cercle ! 3|Page
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N°78 – Novembre 2012
Le CAP’12 : HUMOUR…les Bretons n'en manquent pas! Perros-Guirec - Pont de l'ascension 2012 En mai, fait ce qu'il te plait ! Les propriétaires de Cap Corse aiment suivre ce dicton à la lettre. En mai, ils participent donc à leur concentration nationale annuelle ; leur CAP comme ils disent. En 2012, il a eu lieu à Perros-Guirec, plus précisément à Ploumanac'h, à l'occasion du pont de l'Ascension. Pour cette manifestation, l'ambitieux propriétaire de TITUS 2 a prévu une rénovation totale. Allez-y, mesdames et messieurs, tout doit y passer, de la cave au grenier… Pardon, de la cale à la pointe du mât, tout doit être restauré : le pont, le roof et le cockpit en bois, mais aussi la coque en polyester. À cela, on ajoutera un superbe gréement SELDEN tout neuf, ainsi qu'un magnifique jeu de voile LE BIHAN, le tout décrochés à l'occasion des 60 piges du proprio et grâce à la générosité de la famille et de merveilleux amis ! Bref, objectif : avoir un beau canot tout pimpant à l'occasion des retrouvailles annuelles de la série. Viser la coupe "Pretty Maid" de la plus belle restauration ? Pourquoi pas, bien qu'il y ait de la concurrence cette année…
Magnifique côte au granit sculpté par la nature. Trop de boulot ! Las ! Comme on dit puis. Bien qu'aidé par un ami dévoué, expérimenté et efficace - merci Gilles - le travail a pris bien plus de temps que prévu. Tout le mois d'avril y est passé et nous ne sommes arrivés à finir que le pont avant et le roof. Il faut dire que nous avons fignolé ! Réparations des joues du roof et des listons, étanchéité de la liaison coque-pont au tissu de verre et à la résine époxy. Ponçage intégral, application de G4, 1 couche d'apprêt et 2 couches de peinture, ou 3 couches de vernis aux endroits nécessaires… Même pas le temps de s'attaquer au cockpit ! Heureusement, nous avions fait un planning de chantier tenant compte de l'incontournable rendez-vous qu'avait TITUS à PerrosGuirec : un saucissonnage des différentes phases de travaux permettant de les suspendre si nous ne les avions pas terminées. La suite prouva que nous avons eu raison. Quelques jours avant de partir, la coque et le cockpit ne sont toujours pas réalisés… Attaquer le cockpit ? Trop de boulot ; et on ne peut pas laisser le bois à nu si nous allons en mer. Alors, nous décidons d'avancer sur la coque. Celle-ci semble souffrir par endroits d'un léger osmosage*… Bizarre, d'autant que c'est au dessus de la ligne de flottaison mais, finalement, assez peu inquiétant. Le phénomène est restreint et, après consultation d'un spécialiste, nous décidons un ponçage efficace des endroits touchés et un traitement au WaterTite (sorte de mastic particulièrement facile à travailler et très protecteur). Grand spécialiste du maniement de la truelle et du couteau, mon frère Yves (comme l'écrirait Pierre Loti…) nous prête main forte. Non, Titus n'est pas une Holstein mais un Cap Corse bon teint, même si quelques tâches grises ornent sa belle robe vermillon ! Résultat : comme nous n'avons pas le temps de finir ponçage et masticage (et bien sûr mise en peinture), TITUS se retrouve avec de belles salissures sur sa robe grenat, genre vache normande, mais qui serait rouge avec des tâches grises… Ce n'est pas du meilleur goût, mais ça attire l'œil comme la suite du récit le prouvera ! Le CAP, c'est l'occasion de se courir après... Bref, c'est dans cet équipage (si j'ose dire) que nous nous retrouvons à Ploumanac'h pour le pré-CAP. Décidément, les cap-corsistes ont du goût, et du bon. Quel magnifique coin de France ! Cette côte de granit rose est superbe. Sûrement un des plus beaux paysages de Bretagne. Et, en plus, les "autochtones" sont accueillants et sympathiques. Un grand merci à tous les membres de la S.R.P. qui nous ont reçus si gentiment et organisé nos ébats sur l'eau si efficacement. Passons rapidement sur les détails si bien narrés par ailleurs. Le pré-CAP est toujours aussi sympathique et enrichissant par ses découvertes tant touristiques qu'humaines. Partages des bungalows, dîners au restaurant, navigations de concert - ainsi que de conserve** - devant cette magnifique côte et autour de l'archipel des Sept Iles… Que du bonheur !
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N°78 – Novembre 2012
Et attaquons le plat de résistance. Le CAP, c'est l'occasion de se courir après les uns et les autres en tournant autour de marques de parcours naturelles ou mouillées pour l'occasion. C'est vrai qu'on a l'esprit ludique chez les Cap Corse ! Mais le poète ne dit-il pas que ce qui différencie l'adulte de l'enfant, ce n'est que le prix de ses jouets…? Bref, si on s'amuse bien, il faut pourtant une touche de sérieux pour justifier de notre statut d'adulte. Alors, on choisit un comité de course, un jury, voire un président de comité de réclamation. Ca pose, non ? Les membres de la Société des Régates de Perros se sont prêtés au jeu avec bonheur. C'est donc nantis de tout ce que peux souhaiter un régatier que nous sommes partis à l'assaut des bouées du coin. De pétole à un bon force 5, la météo nous a fait bénéficier d'une palette élargie de son savoir-faire, l'ensemble étant agrémenté de quelques courants vicieux qui ont laissés des traces bizarres sur certains GPS… La notion de "bords carrés" vous évoque-t-elle quelque chose ? D'un autre côté, c'est la Bretagne Nord, hein ?! Se courir après en tournant autour de quelques bouées… Bon, finalement, TITUS monté par un équipage plutôt de gros temps (on ne sourit pas !) ne s'en tire pas trop mal. Un petit temps d'adaptation au nouveau matériel (voiles et gréement neuf quand même…) avec deux place de 5e. Puis, on améliore : 3e et second. Nous sommes satisfaits. Cela nous permettra même peut-être de monter sur le podium. Remise des prix Cérémonie bien sympathique qui permet de se retrouver tous une dernière fois avant de se quitter, la remise des prix a donné le palmarès suivant. On trouve devant, sur PÉNÉLOPE, le trio infernal des Papy Flingueurs : les frères Le Jeloux flanqués du terrible cousin. Suivent la fille Le Jeloux (quelle famille !) équipée de son duo de choc composé de son mari et de son beau-frère sur… TY'CHAMP ? Non. Sur MARINE gentiment prêté par notre Babar national, car le précédent a encore la quille en l'air sous son hangar de restauration ! Ensuite, c'est le suspense… Si j'ai bien compté, TITUS a le même nombre de point que le BOIS D'ARDEAU de notre ami Pierre MANNU. Qui grimpera sur la troisième marche ? Ce sera TITUS, au bénéfice de la meilleure place sur la dernière manche. Et pourtant ! Regardez la photo ci-contre. Elle montre la passe d'arme entre BOIS D'ARDEAU et TITUS sur la ligne d'arrivée de la troisième manche. La photo est prise du bateau comité… Pour ne pas passer à côté de la ligne, BOIS D'ARDEAU (qui est devant) est obligé de virer à la dernière seconde et remonte celle-ci en parallèle sur quelques mètres. Cela suffit à TITUS qui a un peu plus d'aire à courir. Il abat légèrement, frôle les fesses du drôle - c'est millimétrique - et franchit la ligne en tête devant le regard approbateur du comité de course ! Un coup de chance ? Peut-être. Mais notre troisième place, nous ne l'avons pas volée. Si Pierre a pu être dépité par la mésaventure narrée ici, nous le fûmes aussi à l'occasion de cette manche que nous menions largement (près d'un demitour d'avance sur le second !) et que le comité de course a dû annuler en raison du manque de vent et d'un fort courant (que TITUS avait su négocier). C'était sage… Mais, ça fout les b----, comme on dit vulgairement ! Et je pense que le comité de course en a eu conscience… Belle passe d'arme entre BOIS D'ARDEAU et TITUS ! Alors, comme la SRP avait promis une coupe décernée en fonction de critères connus seulement du jury… C'est TITUS qui l'a eu ! Son skipper se plaît à imaginer que c'est en raison des deux ou trois faits d'armes dont il s'est rendu coupable. Mais nos amis bretons - qui ont de l'humour - lui ont décerné… La coupe dite "de l'élégance" en soulignant la qualité de décoration de la coque du bateau ! Non contant de cette facétie, ils en ont rajouté en accompagnant la dite coupe d'un magnifique objet d'art (retrouvé probablement au grenier du club et dépoussiéré pour l'occasion) proposant la double fonction de décoration (ce marin ravaudant ses filet est plein de cette douce nostalgie des biscuits*** d'antan !) et de baromètre. La classe, quoi ! L'épouse du skipper était comblée : elle qui ne rêve que d'utiliser les coupes rapportées par son marin de mari comme pot de fleurs cachés le plus loin possible au fond du jardin, elle s'est retrouvée avec deux coupes (dont celle de l'élégance lui a été dédiée officiellement, bien sûr !) et un magnifique marin de dessus de télévision (vous savez, là, sur le petit napperon brodé…) qui pourrait remplacer avantageusement un nain de jardin. Ceci dit, on appréciera la métaphore du vieux marin assis sur une bitte sur le quai donnant la météo des heures à venir à qui… veut bien regarder son baromètre ! Bref, beaucoup de bonne humeur et de gaieté lors de cette remise de prix, un peu d'émotion et surtout, beaucoup de camaraderie et d'amitié. Ah oui, vraiment, les Cap Corse c'est la classe ! Ou la classe des Cap Corse, c'est bien la plus sympa ! Merci à tous pour votre générosité de cœur et votre sens du partage.
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Deux coupes et un magnifique objet d'art : l'épouse du skipper est comblée ! Alain Urbain alias Titus Notes de bas de page : * Osmose : l'osmose est un phénomène de diffusion de la matière mis en évidence lorsque les molécules d'eau traversent une membrane semi-perméable qui sépare deux liquides dont les concentrations en produits dissous sont différentes. La différence de concentration provoque une différence de pression osmotique qui engendre un déplacement du solvant à travers la membrane. C'est bien compris ? J'en vois au fond qui n'écoutent pas… Bon, interro lundi prochain ! ** Les deux expressions sont valables avec une légère différence de signification que je vous laisse découvrir dans "La puce à l'oreille", ouvrage de Claude Duneton sur l'origine des expressions françaises. Ca se lit comme un roman, c'est passionnant et c'est paru en livre de poche. *** Le biscuit, qui a contribué à la popularité de la Manufacture de Porcelaine de Sèvres, est une porcelaine cuite sans glaçure ou émail. Il est utilisé surtout pour réaliser des statuettes, des surtouts de table, des réductions de grandes statues… Des artistes de renom ont donné des modèles à la manufacture : Boucher, Falconet, Boizot, Carpeaux...
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Ça vous est arrivé : Un mélimélo de Cap Corse sur la route de Ploumanac’h pour gagner la Coupe Pretty Maid Le CAP’12 a été l’objet d’une mise en beauté de plusieurs de nos ‘« vieux » bateaux, les plannings étant serrés et les contraintes nombreuses cela nous a permis de vérifier la confiance totale et l’entraide des propriétaires de Cap Corse. Le Graal, gagner la coupe Pretty Maid instituée au cinquantenaire des Cap Corse en 2007 et remise à Pretty Maid le plus ancien Cap Corse navigant remis en état collection par Jehan Pol Sapey. Ce trophée récompense la meilleure restauration de l’année donc Pretty Made aurait pu être son autre nom. Le corps de cette coupe est constituée des essences de bois utilisées pour la construction du N° 23027 soit environ 30 essences différentes. Parmi les prétendants au titre : • Trois Alérions a été fait propre en vernis pour naviguer fier comme un Ambassadeur • Titus II a refait son pont, a fait poser un nouveau mât et de nouvelles voiles pour se battre comme un Mousquetaire malgré une coque style American Graffiti • Black Pearl (ex Nunc Alio) en re-neuvage s’est fait une beauté africaine avec des voiles crème • Ty Champ en cours de re-restauration fut malheureusement DNS pour cause quille en l’air • ce dernier évènement a remis Marine dans la course avec un équipage de jeunes Vauriens. Restait à organiser le transport pour que tout le monde arrive à Ploumanac’h en temps et en heure Pour faire court :
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• Titus II est venu avec Stéphane de Concarneau, ce dernier à barré Marine qui est venue avec François Marie et Olivier équipage de Trois Alérions qui avait été conduit en catimini la veille de nuit par mes soins pour être mis à l’eau par la grue, Back Pearl est venu comme un Milord avec ……..Alain Urbain skipper de TITUS II. Le Belloy est venu comme un Pacha avec un nouveau roof vent fou (chercher l’erreur) Les taupins d’abord est venu avec lui-même comme une caravelle bleu ciel mais cela est une autre histoire ….
Bref lors de la remise des prix, tous ont été d’accord pour consacrer mon Black Pearl cette année, que d’émotion pour se remettre mon coéquipier Nono m’a offert une coupe Forêt Noire. Merci à tous ! On prévoit un mélimélo sur l’eau l’année prochaine… Jean-Luc Barrat alias Marine & Black Pearl 7|Page
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Ça vous est arrivé : La rénovation de Trois Alérions « Facile » qu’ils avaient dit ! Trois Alérions est un fier Cap Corse. Fier parce que tout en bois, fier parce que le fils du père* mais également fier d’avoir repris l’eau en 2011 après quelques années à être resté tranquillement à attendre son tour. (*Trois Alérions est né des doigts experts d’Alain de Poix, le père spirituel du Cap Corse. Alain avait rencontré JJ Herbulot en 1958 avec comme projet « un Corsaire à faire soimême ».) Alain ne pouvant plus naviguer, étant tombés amoureux de ce joli « bout de bois », on a décidé tous les 3 de remettre Trois Alérions à l’eau en 2011. Une belle saison où l’on a découvert l’AsCC, ses membres et quelques régates de légende comme : le CAP’11 (et son fameux pré-CAP), la Descente de la Seine, la 4C, le Ruban Bleu…2 années sans naviguer + 1 an de régates = 1 rénovation bien méritée ! On profite de l’hiver, du hangar du Club Nautique de Rueil-Malmaison et hop : facile ! Il n’y a qu’à poncer « à sec » et revernir. Le cahier des charges est simple : refaire à l’identique pour préserver le charme et l’authenticité de ce superbe Cap Corse. Quelques WE à se geler les miches et le tour sera joué… 8 janvier : le chantier est prêt à démarrer. Trois Alérions s’installe pour l’hiver. 21 janvier : évidemment on découvre des réparations qui n’étaient pas prévues. Sur les photos, on voit le revêtement du fond qui s’était transformé en éponge et le bordé qui prend l’eau juste sous la cadène. 4 février : -4° dehors ! Mais poncer ça réchauffe ☺. On en est à une, deux, trois, quatre ponceuses circulaires (2 grosses, 1 moyenne & 1 petite), on est devenus des pros de la poussière mais surtout, on se rend compte qu’on n’est pas sortis de l’auberge ! 11 mars : nu comme un ver, il nous reste les œuvres vives à attaquer. 31 mars : on va enfin passer à la partie sympa, vernir ! Ca fait presque 3 mois qu’on ponce à 2 tous les samedis et les dimanches… ers 1 couche de G4 sous la ligne de flottaison : c’est trop beau !
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24 avril : le Critérium est dans 15 jours et on termine tout juste la préparation en G4…il va falloir courir ! Mais qu’estce qu’il est beau ce Cap Corse tout neuf ☺ Après les 3 couches réglementaires à espacer de « 2-4h mais pas plus » pour que le G4 ne soit pas « dur au cœur », il nous reste donc 15 jours dont 2 weekend. Le bateau est beau mais ça ne suffit pas pour qu’il aille à l’eau : il faut maintenant le vernir et remonter tout l’accastillage en espérant ne pas tomber sur le virus Ikea (vous savez, là où il vous reste toujours une vis dans la main mais aucune idée de là où elle devait se viser…). Et heureusement qu’on a choisi un vernis à l’ancienne, mono-composant et qui ne nécessite pas 15-20° dans la pièce parce que les 15 prochains jours ne verront pas la température monter à plus de 12-13° : j’ai nommé le Tonkinois. Par contre la particularité du Tonkinois c’est que les couches doivent être espacées de 24h et qu’il en faut entre 4 et 25 couches comme sur le « Kristina » d’Onassis. Mais on n’est pas Onassis et surtout on n’a plus le temps !!! 2 côtés, un pont, un cockpit : on décide d’attaquer tribord + pont puis on basculera le bateau pour faire bâbord + cockpit. Pour les 8 couches recommandées, il nous faudrait 2*8=16 jours. C’est déjà mort d’autant plus qu’il faut qu’on se garde 1 jour pour tout remonter, 1 jour de préparation (mais où sont donc ces foutues lattes…) sans compter que le moteur est toujours HS. C’est la guerre ! François-Marie et moi nous retrouvons tous les matins à 6h pour une couche puis enfants à amener à l’école et boulot. 5 mai : on remonte l’accastillage, les hublots, la chaise… 10 mai : enfin prêt à partir dès le lendemain pour Ploumanac’h ! Chaud, ça a été chaud. Pas si dur que ça même pour un manchot comme moi qui n’avait jamais travaillé le bois mais franchement limite côté planning. Conclusion prévoyez toujours des marges et ne lâchez pas une fois que vous vous êtes lancés. Ah oui : n’écoutez pas non plus les 25 conseils de ceux qui viennent vous regarder travailler. Ou plutôt écoutez puis faites un choix rapide : c’est ce qui nous a sauvés avec le Tonkinois. Si on avait suivi les avis avisés on se serait retrouvé à attendre qu’il fasse 15-20° pour que ça veuille bien durcir un peu. Trois Alérions tout neuf : c’est pas beau ça ? Outre vérifier que le bateau était bien en bois, cela nous a permis d’en refaire l’étanchéité (il ne pleut plus dedans ☺), de nous rendre compte qu’il avait pris l’eau à 2-3 endroits critiques (qui auraient fini par pourrir), de découvrir le G4 et le Tonkinois, de réparer ce qu’on avait cassé la saison d’avant et surtout d’être sûrs qu’il puisse encore naviguer dans 20 ans… Vous trouverez plus de photos et d’informations sur https://picasaweb.google.com/105631164653882738040/1201Rueil_3Alerions?authuser=0&feat=directlink. N’hésitez pas à nous contacter par mail à webmaster@ascapcorse.com si vous avez des questions complémentaires. François-Marie Le Lay et Olivier Cros alias Trois Alérions 9|Page
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Ça vous est arrivé : Les escapades de Goulmédec Goulm Lundi 23 juillet 2012, Port des Barques au mouillage pour attendre la renverse qui se fait vers 15H00. Nous avons tout affalé et nous attaquons la remontée de la Charente au moteur. Après les premiers méandres, le vent devient portant et je décide d’envoyer le génois pour soulager le moteur. Nous nous laissons ainsi porter par le vent et le courant qui forcit. A l’approche de Soubise, apparaît ap soudain,, jusque là masqué par mon génois, un bateau au mouillage. Le courant doit avoir atteint 6 nœuds et Goulmédec est plus porté par ce flot que par le génois, il n’est donc pas manœuvrant.. Je tire la barre à fond pour éviter l’obstacle mais le courant est plus fort et je suis contraint de tenter de passer en force entre la bouée de mouillage et son bateau. Malheureusement l’amarre entre le bateau et sa bouée se coince sous ma quille et nous voilà immobilisés, projetés de travers sur l’étrave de l’autre. Le balcon avant de ce dernier se glisse entre mon hauban tribord et le bas hauban. Le mât commence à s’arrondir de manière très inquiétante. inquiétante Je tente de nous dégager au moteur mais le 4cv ne peut rien contre toutes ces forces. Le flot remplit le bateau par les dalots et le cockpit est noyé au 1/3. Je connais bien mon bateau et je sais qu’à ce niveau l’eau n’entrera pas plus. Mais par le poids le bateau s’est enfoncé de l’arrière et la puissance du courant amène quelques vagues à passer parpar dessus le franc-bord bord arrière. Mes années de kayak me rappellent qu’il faut gîter le bateau pour offrir au maximum le dessous de coque au courant. Nous nous positionnons tous les deux sur tribord le plus en avant possible. Par sécurité nous écopons à seaux entiers entie et je demande assistance. Ma VHF ne passe pas, heureusement j’avais pris soin d’enregistrer le numéro de téléphone de tous nos ports de destination. J’appelle Rochefort à qui je donne ma position GPS. L’attente est interminable, je rappelle, on me dit avoir prévenu le port de Soubise qui ne me localise pas (ils n’ont pas de GPS !!!). !!!) Rochefort contacte la sécurité civile qui nous envoie un hélicoptère que nous voyons arriver sur zone 5 mn après. Il se positionne au dessus ne notre bateau. Le rotor soulève soulè les eaux boueuses tout autour de nous et nous sommes trempés. Un plongeur descend par le treuil et se pose sur notre bateau. Nous n’avons pas le temps de réfléchir ni de discuter, en 10 secondes il passe un harnais à Martine qui s’envole avec lui dans les airs. Il la pose rapidement, en maillot de bain, pieds nus, dans ns un champ d’herbes de 2m de haut. L’hélicoptère revient vers moi. Le plongeur redescend mais la manœuvre est délicate, mon bateau est petit et le risque de prendre le câble dans le gréement est grand. L’approche est moins précise et le plongeur est dans l’eau, il s’accroche au bateau mais le courant l’entraîne sous la coque. Je tente de le tirer mais nous n’y arriverons pas, pa le flot est trop puissant. Ill est inutile de s’épuiser contre la force d’un courant. Je fais signe à l’hélicoptère de remonter le plongeur. plongeur. Il remonte et revient aussitôt vers moi, je j l’attrape fermement pour l’amener à bord, passe le harnais et nous nous envolons, abandonnant Goulmédec. A ce moment précis je sais que l’un comme l’autre nous sommes en sécurité et je ne m’inquiète que de d notre bateau. Arrivé sur le marche pied de l’hélicoptère on m’accroche immédiatement et l’hélicoptère redescend vers le champ chercher Martine puis va se poser sur le parking du port de Soubise où nous attendent les es pompiers et 3 gendarmes. Pendant ce temps mps 2 permanents du port de Soubise ont localisé notre bateau. Allégé de notre poids il rentre finalement moins d’eau. Après l’avoir amarré fermement à son Zodiac, le capitaine du port tire le bateau au mouillage de droite à gauche relâchant ainsi l’amarre qui finit par libérer ma quille. Goulmédec se dégage D’un ponton de pêcheur nous assistons de loin à la scène et quand je vois Goulmédec se dandiner dans le courant derrière sa remorque, avec un mât bien droit, je suis soulagé. Après rès avoir effectué les formalités d’usage, vers 17H00 nous reprenons possession de Goulmédec. Je fais une rapide inspection pour m’assurer qu’il n’y a pas d’avaries fâcheuses : plus de peur que de mal ! Guy Grassin alias Goulmédec 10 | P a g e
La Gazette du CAP CORSE
N°78 – Novembre 2012
Cap astuces : Applications… On raconte que la Capsule Apollo embarquait moins d’électronique qu’une calculatrice d’écolier du 21ème siècle, les temps ont changés et nous avons désormais presque tous dans la poche des téléphones portables, des smartphones ou des tablettes (pour les plus « geeks ») tous truffés de puissance de calcul et d’outils intégrés. Ce qui pourrait ne passer que pour des gadgets aux au yeux de certains, constitue une formidable panoplie d’outils et transforme nos iPhones, iPads ou terminaux Androïde en véritables couteaux suisses dont voici quelques lames. NAVIGATION Navionics Sur le dernier Cap à Ploumanac’h, Ploumanac’h nous étions assez nombreux à avoir embarqué l’application Navionics et vu les courants et les pavés du coin, personne ne s’en est plaint ! Ce GPS permet de charger les cartes avant le départ et reste donc efficace même sans réseau téléphonique. Il vous donne votre position sur la carte avec les courants et les hauteurs d’eau, vous permet de prévoir vos routes et va même jusqu’à vous proposer d’enregistrer votre trace même si comme on le voit sur l’illustration suivante, elle n’est pas toujours flatteuse ! Seul défaut, c’est gourmand en énergie et l’autonomie en prend un sacré coup. La trace de Trois Alérions dans la manche (abandonnée) du jeudi au Cap.
Compass AR Une application gratuite qui transforme votre iPhone en compas de relèvement. Ça marche très bien sans réseau mais avec certaines limites : c’est moyen en contre jour et inutilisable la nuit ! Marine Traffic Et vous voilà équipé d’un lecteur AIS mais là, il vous faut du réseau. L’AIS vous permet de repérer les bateaux équipés (c’est obligatoire au-dessus au dessus de 20 m), et vous donne leur position, leur cap, leur vitesse et leur destination. Il ne s’agit pas uniquement uniquement des bateaux qui vous entourent, mais de tous les bateaux ! Vous pouvez même jeter un œil depuis votre salon à ce qui se passe en direct en Rade de Brest ou dans la baie de Hong Kong. Attention, il ne s’agit pas d’un émetteur, ne vous attendez pas à pouvoir po pister les autres Cap Corses en régate ! Toutes les applications nécessitent une connections pour mettre les données à jour. METEO Météo Consult Marine permet, outre les prévisions, de lire les fichiers GRIB WindGuru (développée à la base pour les surfeurs) est une application très lisible (vent, houle, couverture nuageuse) mais sans carte. Weather 4D, 4D la plus chère (les autres sont gratuites !) mais pas la plus lisible car la plus complète. ET POUR LES CONTEMPLATIFS Sun Seeker vous donne l’azimut du soleil, ses éphémérides, les heures de lever et de coucher et vous indique où il se trouvera à une heure donnée, le tout en réalité augmentée. StarMap vous propose de reconnaître les étoiles en direct et vous indique qui sera visible et à quelle heure.
Il ne faut pas se voiler la face, tout ceci est nettement plus confort sur iPad ou tablette que sur smartphone et il existe un tas de housses transparentes tes étanches et tactiles désormais abordables. Il est bien évident que tous ces outils doivent rester une aide à la navigation qui ne saurait remplacer la bonne vieille carte papier, le crayon, la boussole et la règle de Cras ! 11 | P a g e
La Gazette du CAP CORSE
N°78 – Novembre 2012
Les petites annonces
Les annonces sont gratuites pour les membres adhérents à l’Association. Une cotisation de 27 Euros, en tant que "Membre sympathisant", est demandée aux non-adhérents. Les annonces sont publiées dans « La Gazette », bulletin trimestriel de l’AS CAP CORSE et sur le site Internet de l’Association, www.ascapcorse.com . Pour plus d’information, veuillez contacter Alain de Poix alaintyrel@yahoo.fr CC n°120903
CAP CORSE 1976 Coque tout Polyester Mât et bôme alu Lot de voiles en bon état, GV, Génois, Tourmentin Remorque ROCCA (PTC : 1000 kg), cassante et freinée, très bon état, avec un ber roulant de mise à l’eau permettant une totale autonomie Bateau hiverné dans bâtiment clos et aéré Prix : 3000 euros Visible près de Concarneau (29) CC n°120902
CC n°120901
Suite décès de son propriétaire sa famille souhaite vendre un CAP CORSE POLYESTER DE 1990 pont teck mât bois, jeu de voiles très complet en bon état moteur HB HONDA 5 CV neuf avec matériel de sécurité, gilets, bouée, feux, etc… Remorque MECANOREM avec CG (juillet 2003) Prix : 5000 euros Visible Bourg-Saint-Maurice (73) CC n°120701
CAP CORSE 23417 Construction bois moulé de 1974 Mât et bôme aluminium (2009), GV, foc, génois, spi Moteur HB YAMAHA 4 CV (2007) En bon état, hivernage dans un garage, prêt à naviguer. Remorque MECANOREM avec C.G. Etat à revoir mais peut assurer transport sur une courte distance. Prix : 4500 euros Visible : QUEMIAC (44)
Le CAP CORSE « OISEAU DES ILES » C’est une coque Polyester réalisée par le Chantier DUBIJON en 1969, avec pont en bois plastifié, mât et bôme alu. Le bateau, dans son état actuel, nécessite une remise en état complète, mais tout à fait possible pour un amateur. Il est proposé avec sa remorque au prix de 1500 euros. Visible en Dordogne.
CC n°120601
CAP CORSE 23589 « L’ARLESIENNE » Construction Polyester dernière génération équipé spécialement pour la Régate Mât PROCTOR, voiles neuves, spi, accastillage HARKEN, etc… Antifouling V17 de 2011 Visible à Arcachon (33) Prix : 6000 euros, sans remorque ni moteur J.M. LEMMEL 06 78 23 18 60 Pièces n°120302 A VENDRE, pour CAP CORSE ou CORSAIRE : LEST fonte avec goujons inox (manque 2 goujons) et CONTRE-LEST chêne (éclat à restaurer) Prix de l’ensemble : 190 euros
PUITS DE DERIVE en Polyester avec visserie inox (à fixer sur quille bois) Prix 20 euros Visible 94 Val de Marne JM LEMMEL 06 78 23 18
Les Petites Annonces sont publiées suivant les données des propriétaires de Cap Corse et ne sauraient, en aucun cas, engager la responsabilité de l’Association. Il appartient à l’acquéreur éventuel de vérifier l’état du navire et du matériel décrit par l’annonce.
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