Partout ici vol7 vf by Partout ici

magazine GRATUIT

PARTOUT

PAR L'ÉDITEUR DE WWW.QU4TREMAG.COM

no.1 vol.7 / 2013

Être mieux • Faire du bien • Réussir • S'Accomplir

CHOISIR SA VIE

PARTOUTICI.COM

RENCONTRE P. 28

Chantal Lacroix « Ce sont les rêves qui gardent en vie. »

Jacques Salomé

ENTREVUE P. 24

Le chef Michael Smith

ENTREVUE

P. 05

NOUVELLE SECTION AFFAIRES :

Jacques Aubin, Jasmin Bergeron, Marc Fisher, l’entrepreneur du mois, et plus ! P. 8‑17

CAROLYN MURPHY : QUAND C’EST LE BON BON MOMENT, TOUT EST POSSIBLE !

RÉDACTRICE EN CHEF Catherine Verdon GRAPHISME – INFOGRAPHIE Julie Fortier • Feniks Design – 450‑818‑3940 www.feniks.ca IMPRESSION Options Creativi‑T – 450‑437‑1765 17 540, rue Charles, bureau #310 Mirabel (Québec) J7J 1X9 www.optionscreativit.com DISTRIBUTION Messageries Dynamiques 900, boul. Saint‑Martin O. (Laval) H7S 2K9

PARTOUT ICI CP 60075 Boisbriand (Québec) J7G 3G4 514‑585‑9536 info@partoutici.com www.partoutici.com EN COUVERTURE Chantal Lacroix © Linalemay.com

ÉDITORIAL

Le plan B

« Si ça ne fonctionne pas, tu vas faire quoi ? As‑tu un plan B ? » Cette question, et tous ses dérivés, vous a peut‑être déjà été posée. Vous avez plus de chances d'avoir dû y répondre, selon mon estimation, si vous avez créé votre propre entreprise, ou avez choisi, récemment ou en âge scolaire, un domaine que j'appellerais artistique : comédien, animateur, auteur, peintre, danseur, pâtis‑ sier, styliste, athlète, etc. Le plan B, c'est cette option que nous devrions avoir, selon certaines personnes, « au cas ». Une option très certainement à motif alimentaire, qui entre dans la norme, mais pas la nôtre. Qui est plus raisonnable, une « vraie job ». Je me permets d'en parler puisque c'est un peu l'histoire de ma vie, avoir dû justifier un parcours scolaire chaotique, des choix incompris, le désir d'être animatrice, de diriger mon propre magazine, alors « qu'il y en a tant ». Je me suis peut‑être tant cherchée parce que j'avais été éloignée de moi‑même avec ces conditionnements, du moins en partie. Un plan B, selon moi, c'est comme admettre qu'à la base, on ne croit pas à ce qu'on fait, donc pas en soi. Ces plans de rechange mettent dans la tête quelque chose de très négatif, en plus de la mauvaise attitude. C'est peut‑être la seule situation où la bouée de sauvetage est ce qui va nous faire couler. Parce que quand on sait qu'un filet va nous retenir si on tombe, on a moins peur, on se fie à autre chose qu'à soi, on fait moins d'efforts pour garder l'équilibre. Avoir un plan B, c'est aussi avoir quelque chose « ensuite », être certain de ne pas se retrouver devant un vide, un vide qui nous laisse face à nous‑même. Le plan B, il n'existe pas nécessairement de façon concrète ou n'est pas toujours nommé. Parfois, il se loge dans cette partie de notre tête où l'on monte dans des moments de doute, où l'on se déconnecte de notre essence première, notre instinct. L'instinct, qui sait toujours. J'ai la montée vers le plan B « de tête » assez fréquente, mais pour une raison que j'ignore, à chaque moment où ça m'arrive, que je me remets en question ou que j'en viens à me demander si je suis à la bonne place, je reçois un signe de la vie qui me confirme ce qu'au fond, je sais déjà. Un e‑mail, un appel, un commentaire, qui me ramène exactement où je dois être, sur le chemin de mon rêve, que j'ai tracé, un centimètre à la fois. Le plan B, ça veut dire d'arrêter de conjuguer nos verbes au conditionnel.

Dépôt légal – Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2012 ISSN 1927‑9027 (édition IMPRIMÉE) ISSN 1927‑9035 (édition INTERNET) Toute reproduction des textes, illustrations et photographies contenus dans ce document est interdite sans le consentement écrit de l’éditeur. Bien que toutes précautions aient été prises pour assurer la rigueur des renseignements contenus dans ce document, il est entendu que l’éditeur ne peut se tenir responsable des erreurs et des négligences commises dans l’emploi de ces renseignements, non plus que leur réalisation.

On m'a reproché dans un concours d'affaires que le magazine n'était pas une entreprise, mais un projet de vie. Selon moi, si notre entreprise n'est pas notre mission de vie, c'est que nous ne sommes pas à la bonne place, ni pour les bonnes raisons. Un proverbe dit que Si le plan A ne fonctionne pas, rappelez‑vous qu'il y a 25 autres lettres dans l'alphabet. Vraiment ?

Catherine Verdon, rédactrice en chef

360, Sicard Sainte-Thérèse, Québec J7E 3X4 • Comptoir repas santé libre-service • Produits d'épicerie biologiques, naturels, artisanaux, du terroir, de commerce équitable et spécialisé (sans gluten, sans sucre, sans produits laitiers, sans gras trans) • Fruits et légumes frais et biologiques • Suppléments, herboristerie et homéopathie

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RENCONTRE

photos © linalemay.com

Choisir sa vie Par Catherine Verdon

Carolyn Murphy et Chantal Lacroix

Recevoir Chantal Lacroix en entrevue est un privilège, mais surtout un grand rêve qui se réalise. Alors que je baigne dans le mieux, le beau et le bon avec Partout Ici et que je tente d’orienter ma vie en ce sens, l’avoir à la une du magazine semblait tout naturel, mais à la fois peut‑être impossible. L’animatrice et productrice est très demandée et son agenda déborde. C’est en partie grâce au passage d’une amie à l’émission Le Parcours que tout s’est fait facilement, me prouvant qu’avec une demande qui vient du coeur, la réponse est souvent positive. Tous les projets de Chantal Lacroix restent gravés dans les écrans de télé mais surtout dans le coeur des gens, davantage pour ceux qui ont goûté à ses concepts qui changent des vies. Parlez‑en à Carolyn Murphy, une femme de Sainte‑Thérèse qui célèbre son 1 an de transformation suite à son passage remarqué dans Le Parcours. Pour la productrice, les projets, même lorsque terminés, marquent et transforment : « On est qui on est grâce à ce qu’on a fait dans le passé ». Faire une différence positive où elle passe et incarner l’authenticité et la réalisation de soi est la définition que je donnerais à Chantal. C’est aussi une rencontre qui correspond à la réalisation d’un grand rêve pour moi. Chantal Lacroix donne définitivement au suivant. AVEC UNE CARRIÈRE BASÉE À FAIRE MIEUX ET FAIRE DU BIEN, ON DOIT GRANDIR ÉNORMÉMENT COMME PERSONNE. ÇA DOIT ÊTRE EXCESSIVEMENT ENRICHISSANT DE PRODUIRE DE TELLES ÉMISSIONS DE TÉLÉ ? Oui, et ça a aussi été un choix. La première émission que j’ai commencé à produire a été Partis pour l’été, une émission de dépassement de soi au niveau des sports extrêmes. C’était très enrichissant. Quand tu affrontes une de tes peurs ou de tes phobies, c‘est tellement bon pour l’estime de soi. Ça donne de l’audace pour plein de choses dans ta vie. Ensuite est arrivé SOS Beauté,

6 femmes, 7 incluant moi, qui se parlent, s’écrivent et se voient encore. On a tissé des liens. Cette aventure, au‑delà du processus de perte de poids, c’est incroyable ce que ça change entre les 2 oreilles. C’est grâce à SOS Beauté qu’est arrivé Donnez au suivant. On nous avait fait faire la roue de la vie qui permettait de voir si celle que tu avais correspondait à celle que tu voulais. Ce n’était pas le cas. Je voulais faire plus de bénévolat. Je ne voyais pas comment avec mon horaire de fou. D’être ouverte et voir les opportunités a fait naître Donnez au suivant. Il faut oser passer à l’action.

ON EST DANS UNE SORTE DE MOUVEMENT DE MIEUX‑ÊTRE OÙ TOUS SOUHAITENT DAVANTAGE RÉALISER LEURS RÊVES, MAIS ÉTAIT‑CE QUELQUE PEU TABOU OU MAL REÇU IL Y A QUELQUES ANNÉES COMME SUJET À LA TÉLÉ ? Il y a quelques années la bonté avait plus ou moins sa place à la télé. On ne trouvait pas ça très intéressant, on était dans des émissions de débats et de télé‑réalité. Vouloir prendre du temps pour soi avait peut‑être l’air un peu égocentrique alors qu’aujourd’hui tout va tellement vite autour de soi que tu réalises que si tu ne prends pas un peu de temps pour toi, personne ne va le faire à ta place. Les familles sont de plus en plus éclatées, on travaille beaucoup, on n’a pas de temps, alors il faut trouver une façon de mettre cela dans son horaire. Comme le mode de vie a changé peut‑être que ce qu’on regarde à la télé aussi. Ça explique pourquoi on est plutôt dans des émissions de divertissement en ce moment. Il n’y a plus beaucoup d’émissions au contenu lourd, de grosses entrevues en profondeur, on dirait qu’on a besoin de rire, d’être divertis, surtout quand on a eu une grosse journée… Même moi ce virage je le fais avec l’émission Le Piège où des gens vont tendre des pièges ou des coups montés à des membres de leur famille ou amis. C’est ludique et plus léger.

ÇA PREND QUOI POUR PIÉGER CHANTAL LACROIX ? Je suis un bon cobaye je me laisse piéger, sauf que mon père m’a beaucoup joué de tours alors je les vois venir. Il faut que tu sois bon pour me piéger mais je suis une bonne joueuse et j’aime embarquer.

RENCONTRE TU AS JOUÉ DANS LANCE ET COMPTE, AIMERAIS‑TU JOUER ENCORE ? C’est tellement long sur les plateaux de tournage ! (rires) Je me dis que je peux travailler entre 2 prises mais en même temps je suis très entière quand je suis dans un projet. Ça m’en prendrait un où je suis plus longtemps à l’écran pour m’occuper, autrement l’attente est longue, les changements de plan, d’éclairage… Je ne suis pas fermée à l’idée mais ce n’est pas ma priorité.

LES PROJETS SUR LESQUELS TU TRAVAILLES FONT PARTIE DE TA VIE ET TU Y ES TOUJOURS TRÈS IMPLIQUÉE, ARRIVES‑TU À AVOIR DES MOMENTS OÙ TU TIRES LA PLOGUE ? C’est essentiel pour pouvoir se ressourcer, mais je n’ai pas le sentiment de travailler. C’est tellement ma passion ce que je fais. Ce que j’aime par dessus tout, c’est mon travail : je fais des rencontres extraordinaires, je m’amuse. Avec Le Parcours on a été enfermés pendant 1 mois à Jouvence, ça a été tellement le fun de faire ça et d’être là. On a eu droit à des pertes de poids spectaculaires en peu de temps et je voulais offrir ça pour tous. Je faisais des camps dans le sud, j’en fais encore 2 fois par année. Mon équipe et moi avions envie de faire des weekends, des semaines, on voulait ouvrir ça davantage. Ce sont des choses que j’aime faire qui font partie de mon travail mais qui sont aussi ma passion. Je n’ai pas le sentiment de travailler. Je suis consciente de ce grand privilège que j’ai. Je suis à une étape de ma vie où je payerais pour faire ce que je fais. C’est aussi pourquoi je redonne.

QU’EST‑CE QUI N’EST PAS ATTEINT SUR TON TABLEAU DE BUTS ? Ce sont les rêves qui gardent en vie. Et je dis toujours que ça n’a pas besoin d’être de grands rêves. J’ai une feuille que je fais chaque année où j’écris des petits et grands rêves. Mon père disait qu’on doit avoir un grand rêve dans la vie si on ne veut pas le perdre de vue pendant qu’on le poursuit. Ma ligne de maquillage était un rêve de petite fille. Un jour tu décides que c’est cette année que tu vas le réaliser et tu fais de la place et y consacres du temps. J’ai un paquet de petits rêves de court terme parce que chaque fois que je les atteints, je vis un moment de bonheur et de satisfaction. Ça en prend. Les rêves sont faits pour être réalisés mais ils n’ont pas besoin de sembler inaccessibles. Juste apprendre à dire NON faisait partie des objectifs que j’avais. Entrevue réalisée lors du passage de Chantal Lacroix à l’émission Cat & Nat le show avec Natacha Brisson. Pour voir l’entrevue :

https://vimeo.com/63278324

Quand c’est le bon bon moment, tout est possible ! Par Carolyn Murphy

C’était un beau matin de juin. J’avais vu des annonces pour l’émission Le Parcours, animée par Chantal Lacroix. Douze personnes aux prises avec un problème de poids auraient à vivre en communauté pendant 30 jours, à relever des défis et surtout, tenter de perdre le plus de poids possible pour remporter un grand prix de 50 mille dollars. À 41 ans, je pesais 225 livres. Je me trouvais belle, mais je savais que ma santé irait en diminuant si je ne faisais pas quelque chose. De plus, je questionnais sérieusement l’exemple que je donnais à mes enfants, ceux à qui j’avais dévoué les 15 dernières années de ma vie. J’ai complété le formulaire d’inscription, mis le doigt sur le bouton pour envoyer, mais j’ai hésité avant d’appuyer. Une angoisse m’envahissait. Je me suis demandé si ce serait une autre tentative échouée. Si je n’étais pas choisie, ferais‑je les démarches pour perdre du poids par moi‑même ? Ou pire encore, si j’étais choisie, est‑ce que je pourrais me rendre jusqu’au bout de ce défi ? Finalement, j’ai décidé que le temps était venu de me choisir, que peu importe ce qui se passerait avec cette aventure, ma vie allait changer ! Avec le soutien de ma famille, j’ai franchi toutes les étapes et perdu assez de poids au cours du premier défi pour mériter le privilège de faire partie de l’aventure ! Tantôt physique, tantôt amusant, chaque défi nous invitait à se dépasser. Je me suis même lancée d’un pont suspendu de 50 mètres alors que ma peur des hauteurs était presque débilitante !

Partout Ici est fier de collaborer avec Lina Lemay, photographe, une femme de grand talent.

Au moment de la grande finale, j’avais perdu 43 % de mon poids initial, mais surtout, j’avais gagné une grande confiance en moi. Même si j’avais essayé de perdre du poids au moins dix fois auparavant, même si j’avais échoué à chaque fois… cette fois était la bonne. J’ai réussi parce que ce moment était le bon pour moi.

Passionnée et déterminée, elle est une personne sur qui nous pouvons toujours compter. Un immense merci pour le shooting photo de ce dossier, et tous les autres ! www.linalemay.com

En mai dernier, alors que 8 mois auparavant je ne pouvais même pas marcher, j’ai couru un demi‑marathon (21.1 km) en 2h30, avec mon mari qui en était aussi à sa première course ! Ce défi a été l’élément déclencheur qui a créé un enchainement d’événements positifs dans ma vie personnelle et professionnelle. C’était magique ! Voici mon plus grand souhait. Si vous vivez un défi que vous pensez ne pouvoir relever, pensez à moi. Croyez en vos capacités. Vous êtes extraordinaire et capable de n’importe quoi ! Venez me trouver sur Facebook et partagez‑moi vos histoires ! Celles‑ci me motivent à continuer chaque jour. Vous m’inspirez ! PARTOUTici .COM

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Le DICO des filles Probablement un des plus beaux outils pour les jeunes qui existe, le DICO des filles, un des meilleurs amis des adolescentes, se retrouvera certainement sous plusieurs arbres de Noël. Ce sont 496 pages vendues à plus de 1 million de copies dans la francophonie, qui renferment entre autres un lexique de mots qui concernent l’univers de l’adolescence. Alors que chaque année on pense qu’ils ne peuvent faire mieux en matière de présentation visuelle, ils se sont encore surpassés ! Les pages Québec sont signées Justine Benoit, qui était récemment de passage à Cat & Nat le matin sur TVBL.

Cat & Nat est en ondes sur TVBL pour une 3e saison. Retrouvez Catherine Verdon et Natacha Brisson en direct, à Cat & Nat le matin les mardis, mercredis et jeudis sur TVBL, le 9 sur Vidéotron dans les Basses‑Laurentides. Ne manquez pas le talk‑show tant populaire et apprécié dans la région ! • www.tvbl.ca

On aime ! Quelle beau cadeau de la vie que d'avoir passé un avant‑midi avec Marie‑Julie Parent de www. toutautourdemoi.tv. La jeune femme, véritable passionnée du web et des communications, vient de lancer un blogue qui deviendra rapidement une référence pour son contenu humain et inspirant. Partout Ici est ravi d'en faire partie. À suivre… Aussi sur facebook : www.facebook.com/ pages/Tout‑autour‑de‑moi

AU SOMMET DES PAPILLES C'est un magnifique livre qui a pour but de faire du bien qu'Hélène Bergevin a décidé de produire pour se faire le cadeau d'un rêve de vie, soulignant ainsi son 50e anniversaire de naissance. C'est entourée d'une équipe dévouée de gens de coeur qu'elle a pu produire cet ouvrage qu'on trouve maintenant un peu partout. Tous les sous sont remis à la Sclérose en plaques. Bravo, et bon anniversaire Hélène.

Contribuez au mieux‑être de la région avant les Fêtes ! Rendez‑vous à la Place Lorraine les 19, 20 et 21 décembre afin de donner à Fondation Aide Lorraine pour leur activité annuelle des paniers de Noël. Vos contributions en argent et en denrées non périssables feront le bonheur de nombreuses familles dans le besoin. L’équipe de Partout Ici sera sur place pour les aider, venez nous voir !

Vous pouvez aussi visiter le mssociety.ca pour en savoir plus sur la sclérose en plaques.

Publicités et placement média Partout Ici met en lumière les meilleures adresses de la région et professionnels de la santé. Pour savoir comment nous pouvons travailler avec vous dans cette mission du mieux, n'hésitez pas à nous contacter !

www.partoutici.com

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y était…

Au dernier Symposium du succès de Laval. Il est de retour pour une 3e année avec 4 autres conférenciers de renom, afin d’inspirer les gens d’affaires, mais aussi toute personne intéressée à cheminer dans différents aspects de sa vie.

Caroline Laprise a récemment célébré ses 10 ans en affaires avec l'école de coiffure qui porte son nom. On vous en reparle dans le prochain numéro ! Un beau succès pour une entrepreneure de talent de chez nous. www.ecoledecoiffurecarolinelaprise.com

Sur la photo : Marc‑André Morel, David Bernard, l’organisateur Richard Durand, Jas‑ min Bergeron, Guy Bolduc et l’éditeur de L’Écho de Laval, Éric Mercier.

Élégance et raffinement pour amateurs de café

Vendredi, le 22 novembre 2013, Laval symposiumdusucces2013.com

Le Resto‑Pop s’est refait une beauté ! Visitez cet endroit pour vos lunchs d’affaires afin de vous lier à eux dans leur mission de coeur. Sur la photo : Sylvie Séguin, qui est très impliquée au Resto‑Pop, la designer qui signe le décor, Diane Diotte, et la directrice de l’organisme Christine Vachon. www.restopop.org

Partout Ici était au lancement de la machine à café S04 de Caffitaly, la p'tite dernière de la famille italienne. C'est à la Galerie 203 de la très sympatique Corinne Asseraf que plusieurs personnalités se sont retrouvées quelques heures pour un lancement aussi coloré que les 9 facettes interchangeables à agencer à votre décor.

La première édition de la Marche For Laïka a été applaudie par plusieurs centaines de gens qui se sont réunis à la mémoire de Laïka, une jeune fille qui nous a quitté trop tôt, mais aussi pour tous les enfants qui vivent la même triste et difficile réalité. Une fondation est née en sa mémoire et s'est naturellement associée à Leucan Laurentides‑Lanaudière. Sur la photo : Fany Sabourin (For Laïka) a pu compter sur la présence de nombreux artistes comme Meredith Marshall. www.forlaika.org

Compacte, très élégante et rapide, elle prépare autant un espresso pour le plus fin connaisseur qu'un café filtre pour matins chaleureux. Bravo à l'équipe de Productions Manuel Hurtubise pour l'organisation ! caffitalycanada.com

Voyez plus d'événements et photos sur http://magazine.partoutici.com

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Prendre racine Par Catherine Verdon

« Le but de tout cela est de recréer la forêt préindustrielle, l’état naturel qui était là, avant tout ce qui s’est passé avec le développement. »

l y a de ces gens qui sont de redoutables personnes d'affaires. Il y a ceux qui s’investissent cœur et âme dans une entreprise vraie et sincère du mieux et du beau. Quand on fusionne ces ingrédients, on obtient précisément ce qui qualifie CO2 Environnement. Les 2 hommes derrière la première entreprise à avoir obtenu l’homologation de la prestigieuse Fondation Gold Standard sont Pierre‑Luc Lamontagne et Luc Guimond, véritables pionniers d’une entreprise verte unique en son genre. Avant‑gardiste, leur mission est la restauration des sites dégradés par la plantation d’arbres. La Fondation CO2 Environnement sera d’ailleurs lancée prochainement. Si le nom vous est familier, c'est que ces entrepreneurs ont fait la manchette de nombreuses publications dans les derniers mois et ont reçu un nombre impressionnant de distinctions pour un des plus beaux exemples d'entreprise de demain, mais qui est bien établie depuis 2 ans. Solidement implantés au Québec, ils pourront dire mission accomplie quand toutes les entreprises auront considéré de compenser leur empreinte de carbone et les auront rejoints dans la création d’un mouvement environnemental. Rencontre avec 2 hommes qui voient la vie en vert.

Qu’est‑ce qu’un crédit de carbone ? Un crédit de carbone est un titre financier qui peut être transigible partout dans le monde. Un crédit vaut une tonne et une tonne, c’est 1000kg de carbone, ce qui équivaut à 7 ou 8 arbres plantés. Une tonne représente environ un vol aller‑retour à Cuba. On a transformé une forêt en crédits de carbone et titres financiers, une chose qui ne s’était jamais faite en Amérique du Nord sous la norme Gold Standard. On a planté 375 000 arbres, environ 120 hectares. Ça représente 800 patinoires de hockey. Les arbres sont plantés sur 7 sites différents entre Mirabel et Carignan en milieux urbains et semi‑urbains. Le service de reboisement est gratuit : on paye les ingénieurs forestiers, les plans d’aménagements, les arbres, les planteurs, la préparation du terrain et l’entretien. Ces

arbres représentent 41 890 crédits, donc tonnes, ou 6000 voitures compactes. Nous sommes les seuls à avoir réussi à transformer cela en titres financiers.

Pourquoi êtes‑vous les seuls à y être parvenu ? Est‑ce parce que personne ne s’y était intéressé ou c'est dû à la complexité du processus ? Parce que c’est complexe, parce qu’il y a eu un investissement énorme, et parce que le marché du crédit de carbone québécois est peu développé. Il est immature quoiqu’en ascension. Personne ne faisait ça. Maintenant, il y a nous. Il n’y avait pas de producteur de crédits de carbone, que des courtiers.

Comment on en arrive à un titre financier ? Nous avons visé le standard le plus hautement reconnu sur la planète, une sorte d’assurance que les arbres plantés seront encore là dans 50 ans. Il y a 8 chapitres à travers le processus d’homologation et c’est que qui est ardu. C’est un processus qui a pris un an. Par exemple, la courbe de croissance de chaque arbre planté a été analysée. Une épinette blanche ne séquestre pas la même quantité de carbone qu’un érable rouge. Une fois que c’est fait, ça doit être vérifié. Est‑ce que ce que tu as dit à Gold Standard est vrai ? C’est Rain Forest Alliance qui fait cela et ça représente un autre 6 mois. Avec leur sceau d’approbation, la forêt est transformée en crédits de carbone, enregistrés sur un registre appelé Markit. Une sorte de bourse ou plateforme que les gens peuvent suivre.

S'ACCOMPLIR

Est‑ce que tout le monde peut acheter cela même si leur trace est minime ? C’est justement ce que les gens devraient savoir, oui.

Vous trouvez‑vous à vous battre contre les gros centres commer‑ ciaux ou les gros bâtisseurs, par exemple ? Non, ils deviennent nos alliés parce que nos clients. Au Canada, un individu a une em‑ preinte moyenne de 17 tonnes par année. On peut donc être neutre pour environ 25$ le crédit. 17 tonnes, c’est 6 pour la voiture, 3 pour la maison, les matières résiduelles, un voyage en avion, etc. C’est là où nous souhaitons éduquer les gens, les éveiller à une meilleure conscience environnementale. Juste de « chatter » avec tous les réseaux sociaux… il y a des serveurs internet derrière cela, une dépense annuelle de 0,8 tonne par année juste pour cet aspect.

Et la commercialisation dans tout cela ? C’est là ou j’enlève mon habit de champ et que j’enfile mon veston‑cravate pour vendre ces crédits, parce que c’est un marché qui est volontaire. Les sous de ces ventes per‑ mettent de continuer à planter et refaire un autre processus d’homologation, et ainsi de suite. On cible les entreprises, les individus. Le marché québécois n’est pas mature. Nous allons donc en vendre une certaine quantité à 25$ aux gens et entreprises qui ont une conscience environnementale. Ce sont ensuite les courtiers qui en achètent en lots avec des prix qui varient. Il y a donc 2 marchés de commercialisation pour nous.

BIO express CE QUE JE FAIS DE CONCRET POUR SAUVER LA PLANÈTE : P‑LL : Je plante des arbres. LG : CO2 Environnement

UN GESTE VERT, SIMPLE, QU'ON NE FAIT PAS ASSEZ : P‑LL : On ne recycle jamais assez, on ne ferme jamais assez les lumières et encore trop de gens jettent des déchets au mauvais endroit. LG : Réfléchir sur l’impact à long terme de nos geste sur la planète.

MEILLEURE ADRESSE « VERTE » : P‑LL : Crudessence LG : Novae

OÙ JE VOIS CO2 ENVIRONNEMENT DANS 5 ANS : P‑LL : Avec des plantations dans divers pays LG : Entreprise solide avec une présence inter‑ nationale.

POURQUOI NE PAS ÊTRE UN

LEADER DANS VOTRE DOMAINE D’AFFAIRES ? Avec une stratégie marketing environnementale, en étant la première entreprise de votre domaine d’affaires neutre en carbone. Vous pouvez compenser vos vols d’affaires, vos congrès, les déplacements des employés, etc.

P‑LL : Sa vision du futur LG : Pragmatisme et persévérance

CE QU'ON DEVRAIT SAVOIR SUR SA PROPRE EMPREINTE CARBONE :

Il y a 26 pépinières forestières au Québec, qui sont approvisionnées, qui produisent 900 millions de plans annuellement, dont 90 % est déjà acheté par le gouvernement, donc on a un problème d’approvisionne‑ ment. La possibilité des terres à reboiser constitue aussi un défi puisque nous ciblons les milieux urbains et semi‑urbains et que les terres sont gelées pendant 50 ans. Dans ce milieu , la spéculation immobilière est tellement forte que les propriétaires ne veulent pas les geler 50 ans.

P‑LL : Que chaque individu en a une et que la voiture est probablement la pire émettrice pour un individu.

NOUVEAU !

EN UN MOT, CO2 ENVIRONNEMENT C'EST :

www.co2environnement.com

L’empreinte carbone pour un canadien moyen est d’environ 17 tonnes par année. Une voiture compacte qui roule 20 000 km par année émet environ 6 tonnes de carbone. Un vol aller‑retour pour Cuba laisse une empreinte d’une tonne. Pour quelques centaines de dollars, vous pouvez compenser celles‑ci.

LA PLUS GRANDE FORCE DE MON ASSOCIÉ EN AFFAIRES :

Quels sont vos principaux défis rencontrés ?

Calculez et compensez votre empreinte carbone avec le calculateur web !

Le saviez‑vous ?

LG : Elle est trop importante pour la capacité de notre planète.

ARBRE PRÉFÉRÉ ET POURQUOI : P‑LL : Chêne et cèdre, pour leur utilité afin d’en garder le carbone séquestré.

Luc Guimond et Pierre‑Luc Lamontagne

CO2 Environnement est finaliste à l’émission Carrefour Capital sur TVBL ! Pour voir l’émission qui les a menés en finale : https://vimeo.com/75019333

LG : Le chêne, il est magnifique, souvent seul dans un champs, donne un bois très dur, il vit très vieux et aide à développer des vins merveilleux.

P‑LL : Succès LG : Le début d’une grande aventure.

Partout Ici est fier d’avoir compensé son empreinte carbone pour la distribution des magazines pour l’année 2013 !

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RÉUSSIR

La dernière

impression

est beaucoup plus importante que la première impression ! A

vez‑vous déjà entendu parler de l’importance de la première impression ? Et de la dernière impression ? Contrairement à la croyance populaire, je tenterai ici de vous convaincre que la dernière impression est beaucoup plus puissante que la première impression !

Avez‑vous déjà remarqué que les meilleurs moments d’un spectacle de musique ou d’un feu d’artifice sont souvent à la fin ? Qu’il s’agisse du Cirque du Soleil, des Rolling Stones ou de n’importe quel film à succès, les WOW surviennent le plus fréquemment à la toute fin d’un événement. Bref, contrairement au dicton populaire, vous n’aurez jamais une seconde chance de faire… une bonne dernière impression ! En fait, si vous voulez créer un WOW (que ce soit en personne, au téléphone ou par courriel), l’accent doit surtout être mis sur la dernière impression, car c’est celle dont on se souvient le plus. Ma suggestion est donc simple : Finissez fort ! Vous rencontrez un de vos collègues ou de vos clients ? Finissez fort ! Vous préparez une rencontre avec vos employés ? Finissez fort ! Vous avez un rendez‑vous avec un prospect important ? Finissez fort ! Vous planifiez une soirée d’amoureux ? Je vous laisse imaginer vos scénarios pour finir fort. Vous organisez un colloque annuel ? Finissez très fort ! Apprécieriez‑vous un film qui commence très bien, qui est envoûtant par la suite, mais qui finit mal ? Quelle serait votre réaction en assistant à une rencontre sportive où votre équipe préférée commencerait la partie admirablement, s’essoufflerait un peu ensuite et terminerait la partie en essuyant une défaite ? Un exemple récent de l’année 2013 serait la saison du Canadien de Montréal… Bien que la première impression soit importante, mon but est de vous convaincre qu’il n’y a rien de plus important que la dernière impression.

Pour faire un WOW, finissez fort ! Par Jasmin Bergeron, MBA, Ph.D.Conférencier et formateur, Professeur, UQAM www.jasminbergeron.com

Équilibre et performance, mythe ou réalité ? « Performer est déjà en nous. À l'école, dans le sport, au travail, on fait des relevés de perfor‑ mance des employés. En couple, on a peur de ne pas remplir les attentes de l'autre. Performance. Le défi n'est pas là, il se trouve dans l'équilibre. Conflits, ruptures, burn‑out, absentéisme. Je me suis penché pndant 7 ans sur cette question : comment être équilibré dans la performance ? C'est facile d'être déséquilibré si on glisse dans une seule sphère de notre vie, comme le travail. Autour de nous, il y a des optimistes et des pessimistes. Il y a des gens qui prennent et des gens qui donnent. On veut garder dans notre vie les gens optimistes qui donnent, qui sont généreux de leur temps, etc. On comprend aussi que ceux qui sont pessimistes et qui prennent, les gens toxiques, ne contribueront jamais à notre équilibre. Pour pouvoir être équilibré, ça prend rigueur et discipline. Comment gérez‑vous votre espace‑temps ? Ce n'est pas l'agenda qui nous gère, c'est moi qui décide de mes priorités. Pour moi, c'est l'intrapreneurship. Un rapport employé‑employeur et dans les relations qui a un mandat et engagement mutuel et non pas un rapport toxique. » Normand Lootzak normandlootzak.com

Recherchons‑nous l’accomplissement ou la réussite ? Bon nombre de gens, et c’est bien malheureux, se définissent par tout ce qu’ils qualifient d’échecs…multiples dans leur vie. Il n’est pas rare de les entendre nous faire la nomenclature de toutes leurs chutes personnelles et profession‑ nelles. Et, lorsque vient le moment de relever de nouveaux défis, ils se sabotent par le fait même, perdant tout espoir de réussite. Mais est‑ce vraiment la réussite qu’ils recherchent tant ou l’accomplissement ? La réussite est de se lancer dans un projet que nous avons imaginé ou qu’on nous a demandé de mener à terme et de le rendre viable, selon les critères établis au départ. L’accomplissement est toute autre chose. Il requiert de s’adapter à différentes embûches rencontrées et de se rendre le plus loin possible avec un rêve qui est nôtre ou que nous avons fait nôtre. Si la réussite est une chose douce où nous connaissons fierté et reconnais‑ sance d’autrui, souvent, l’accomplissement, quant à lui, nous confère tout autant de fierté et la plus belle reconnaissance qui soit, c’est‑à‑dire, celle que nous éprouvons pour nous‑mêmes. Le plus merveilleux entre le fait de toucher la réussite et l’accomplissement est que nous pouvons goûter aux deux simultanément. Toutefois, si la réussite n’a pas toujours le goût exquis de l’accomplissement, celui de l’accomplissement goûtera inévitablement la réussite parce que c’est un élan qui part de soi vers soi. Et ça, c'est un véritable délice dont nous nous souvenons longtemps ! Par Josée Durocher, thérapeute en relations humaines La voix du Web / info.la.voix.du.web@gmail.com

S'ACCOMPLIR

CONFÉRENCE Vendredi,14 mars 2014

9h00 à 16h00 Chalet des citoyens 30, Montée Gagnon, Bois‑des‑Filion Pour informations : 450‑939‑0810 www.valeriemorency.ca Venez assister à deux conférences qui feront la différence dans la réussite de votre entreprise, qui stimuleront l'employé que vous êtes à aller plus loin et qui vous donneront des outils concrets pour atteindre le sommet.

Une journée à ne pas manquer avec :

Stéphanie Milot Le succès, ça s'apprend ! Augmentez votre succès professionnel et personnel. Apprenez à faire preuve de leadership dans la manière de guider votre propre vie et comment modéliser l’excellence pour vous assurer la réussite de vos objectifs personnels et professionnels. Vous serez en mesure d’identifier les comportements et habitudes qui vous éloignent ou vous rapprochent du succès et de comprendre quels sont les motifs qui vous poussent à l’action pour améliorer votre vie. osezvousameliorer.com

Jasmin Bergeron L'effet WOW ! Jasmin a donné plus de 1000 conférences dans plus de 12 pays à travers le monde ! Cette conférence est basée sur la pratique, l’interaction et l’humour et a été conçue en coopération avec plusieurs personnes qui ont su se démarquer dans leur vie personnelle et professionnelle par leur habileté à faire vivre des WOW. Jasmin est un conférencier reconnu pour son approche pratique. www.jasminbergeron.com Deux conférences pour seulement 150 $ (taxes incluses) Le nombre de places est limité. Pour chaque billet vendu, 1$ sera versé à Préma‑Québec

Avez‑vous la liberté de vos rêves ? Vous est‑il déjà arrivé d'en avoir « assez » et de vouloir faire autre chose ? Vous savez, ces moments où l'on a le goût de tout changer, tant en affaires que dans notre vie privée, moments où notre « petite voix » nous parle très fort…surtout quand ça ne va pas. Notre zone de confort est rassurante ; mais nous fait‑elle avancer ? Il est nécessaire de quitter la rive pour mieux voir l'horizon. Faire une analyse de notre situation personnelle et/ou professionnelle nous éclairera.

Quelques trucs de

voyage

VOYAGEZ LÉGER.

On ne le dira jamais assez. On apporte toujours des tas de vêtements que l’on ne portera pas. Non, vous n’aurez pas besoin de tous ces souliers de couleurs différentes et de tous ces accessoires. Apportez plutôt des articles qui vont se coordonner facilement avec presque tout. En plus de vous laisser une meilleure liberté de mouvements, voyager léger vous fera économiser. De plus en plus de transporteurs facturent maintenant même la première valise enregistrée. Pourquoi pas une seule valise pour deux lors des prochaines vacances dans le sud ?

Quels sont vos rêves ?

IDENTIFIEZ BIEN VOTRE VALISE.

»» Savourer la vie »» Élargir votre clientèle et/ou sécuriser l'actuelle »» Voyager »» Une nouvelle carrière »» Vieillir dans un endroit de rêve »» Parler en public avec aisance

PHOTOCOPIE DE VOTRE PASSEPORT.

Tout est possible ; il n'en tient qu'à vous de passer à l'action. Mon père est décédé à l'âge de 42 ans. Homme positif, souriant, créatif : parfaitement imparfait. Maintes fois, je l'ai entendu dire à ma mère : « nous serons tellement heureux à la retraite ». Ils respiraient et communiquaient l'amour ; pourtant, la vie en a décidé autrement. Du haut de mes 13 ans, je me suis dit : « À 90 ans, je dirai j'ai fait, au lieu de j'aurais dû !  » Votre petite voix vous révèle beaucoup plus que vous ne le croyez. Soyez confiant, ouvert, attentif et VIVEZ pleinement les messages reçus. Vous serez alors surpris de voir l'abondance s'installer dans votre vie. Nous nous imposons des limites ; pourquoi ne pas les repousser ? Ça demande un effort, un investissement de soi, de temps ! PASSEZ À L'ACTION et voyez votre vie prospérer. Les résultats vous surprendront.

« Vise toujours plus loin, même la lune et si tu ne l'atteins pas, tu seras quand même tout près des étoiles » ‑ Les Brown Par Sylvie Côté, Consultante et gestionnaire communication ‑ vente‑ marketing www.sylviecote.com

Plusieurs valises se ressemblent. Nouez‑y donc la vieille cravate de grand‑père. Elle sera plus facile à repérer lors de la récupération de bagages. En plus, bien sur, de bien inscrire votre nom sur votre valise. À l’intérieur de votre valise, laissez une feuille avec votre adresse permanente, ce qui sera fort utile en cas de perte de bagage. À l’étranger, il est toujours sage d’avoir avec vous une photocopie de votre passeport, que vous gar‑ derez dans un endroit différent, bien sûr. De plus en plus de gens gardent aussi maintenant une photo de leur passeport sur leur téléphone portable, caméra ou encore sur Internet. Tout ça pourrait vous être fort utile en cas de perte de passeport.

CARTES DE CRÉDIT.

Avant de partir, avisez toujours votre banque de vos déplacements à l’étranger avec vos cartes de crédit. Sinon, vous risquez de voir certaines transactions bloquées. De plus, conservez dans un endroit sûr vos numéros de comptes ainsi que les numéros de téléphone de vos différentes cartes de crédit.

MÉLANGEZ VOS VÊTEMENTS.

Si vous voyagez à deux avec deux valises, c’est une bonne idée de mettre chacun la moitié de ses vêtements dans des valises différentes. Cela vous évitera, en cas de perte ou retard de valise, de faire comme cette dame qui a passé toute une semaine de croisière avec la même paire de jeans… Par Normand Verdon Globe‑trotter et guide de voyage normmtl@hotmail.com

Pour rire et réfléchir sur des histoires de bagages perdus : Bagages en cavale ‑ Bob Sirois et Pierre Thibeault

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RÉUSSIR

NE PAS FAIRE DE SON OBJECTIF UNE OBSESSION U n objectif est un but qu’on se fixe et qu’on désire atteindre, ou faire mieux. Il peut être transformé, modifié, amélioré et même changé complètement en cours de route, si on se rend compte qu’il ne répond plus à nos valeurs et à nos besoins actuels. Nous avons le droit de le réviser et de nous permettre de réévaluer notre intérêt pour cet objectif. Il suffit simplement d’être honnête envers soi‑même. En effet, « pourquoi courir après une carotte alors qu’on n’a plus faim ? ». Elle ne vous sera pas utile et l’énergie dépensée pour l’obtenir n’aura été qu’une source de stress supplémentaire.

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Gare à vous si l’atteinte de votre objectif devient une obsession. Vous pourriez alors vous battre et vous débattre continuellement pour obtenir quelque chose qui ne répondra pas à vos besoins. Votre acharnement à atteindre votre but n’apportera aucun résultat. Mais, vous avez fait part de vos objectifs aux gens de votre entourage et ne voulez pas les décevoir. Votre orgueil, la crainte de perdre confiance en vous et de voir baisser votre estime de soi risquent de vous mener vers un vain entêtement. Vous appréhendez que votre entourage dise ou pense que vous êtes lâche, que vous manquez de persévérance.

Si vous ne voyez pas d’autres moyens pour atteindre cet objectif, essayez de voir les choses sous un autre angle en prenant un peu de recul. Vous verrez peut‑être d’autres façons de faire qui seront plus simples, mais qui pourront tout de même vous apporter les résultats escomptés, ou mieux. Si vous vous entêtez inutilement au détriment de votre bien‑être et de celui de ceux qui vous sont proches, faites une pause et demandez‑vous si cet objectif correspond toujours à vos valeurs et à vos besoins du moment présent. Il se peut que vous ayez perdu le contrôle. Il faut avoir l’humilité d’accepter de modifier ou de changer son objectif ou ses moyens pour l’atteindre. Il existe habituellement plusieurs méthodes pour arriver à son but, il suffit d’avoir une vision élargie. L’obsession est un signe que PARAÎTRE a pris plus d’importance qu’ÊTRE. Être humble, c’est exercer le pouvoir de choisir sa vie en accord avec ses valeurs et ses besoins, dans l’instant présent.

Par Rita Tourigny et Nathalie Hamelin Coachs et enseignantes en PNL Institut Coaching International www.iciformationcoaching.com

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S'ACCOMPLIR

Réseautage, mode d'emploi Le réseautage d’affaires événementiel requiert quelques aptitudes, mais surtout la bonne attitude. Voici des points à retenir pour bénéficier du levier de réseautage de manière optimale. 1. ARRIVEZ TÔT ! Arriver tôt facilite les conversations et les rencontres. Les gens ne se sont pas encore rassemblés en petits groupes et ceci permet d’agir comme un hôte le ferait en accueillant les gens avec un sourire. 2. DEVENEZ UNE RESSOURCE Examinez les lieux. Où sont les toilettes, le bar, le buffet ? Est‑ce qu’il y a un ordre du jour, un conférencier ? Lorsque les gens vous demanderont une information, vous serez rapidement apprécié et votre cote de crédibilité sera influencée de manière positive. 3. ARRÊTEZ DE VENDRE ! J’ai participé à un événement tout récemment et une personne insistait sans cesse pour « faire valoir » son produit malgré mon manque total d’intérêt.

Ceci cause du désagrément et repousse les gens. D’ailleurs, cette personne s’est fait une mauvaise réputation en un temps record. Les gens d’affaires la fuyaient visiblement. Ce n’est pas le résultat qu’on veut obtenir. L’objectif premier est d’établir un lien. Les gens sont plus enclins à faire des affaires avec les personnes qu’elles apprécient. Les gens d’affaires qui se présentent à un événement sont TOUS vendeurs et n’ont probablement pas besoin de vous ou de vos services au moment présent. Si le besoin est présent, vous le saurez sans forcer. 4. INTÉRESSEZ‑VOUS « Les gens ne se préoccupent pas de ce que vous savez jusqu’à ce qu’ils sachent que vous vous préoc‑ cupez d’eux. » (T. Rosevelt) 5. AYEZ UN MESSAGE CLAIR Lorsqu’on vous demande ce que vous faites, assu‑ rez‑vous que les gens comprennent. Laissez de côté les descriptions vagues et le jargon. Dites qui vous êtes, ce que vous faites et pour qui vous le faites. Plus vous serez précis et clair, plus on s’intéressera à votre message.

6. NE PRENEZ PAS LES GENS EN OTAGE Il y a souvent une personne d’affaires qui devient « la visite qui ne veut pas partir ». Soyez respectueux du temps des autres. Développez l’art de poser des questions davantage que l’art de répondre. 7. APPRIVOISEZ LE SILENCE Les gens sont tellement occupés à penser à la réponse qu’ils donneront qu’ils oublient d’écouter. 8. FAITES VOS SUIVIS Un premier tri consiste à éliminer les cartes de visite des personnes dont je n’ai pas souvenir. Un second tri sert à déterminer les suivis pertinents à faire. Ensuite, démarquez‑vous en effectuant ces suivis. Le réseautage est une porte d’entrée à une conversation, qui débute lorsque vous faites vos suivis, sinon, vous parlez seul.

François Garon www.francoisgaron.com

Vivre ses défis Plusieurs d’entre vous connaissez en partie mon cheminement des 4 dernières années, mais ce n’est pas de cela dont il sera question ici. Cette chronique portera plutôt sur des évènements et moments où j’ai dû composer avec de nouveaux défis, non pas sportifs, mais plutôt des défis de vie, que j’appelle maintenant ainsi parce qu’autrefois, j’appelais plutôt ça des obstacles. Je percevais ces défis comme la fin du monde, et pourtant… Chacun de ces défis se veut une étape dans un jeu qui s’appelle la vie, des moments que l’on perçoit comme plus difficiles parce qu’ils troublent les colonnes de notre temple humain, parce que ça bouscule nos émotions d’hommes et de femmes. Toutefois, qui nous a dit que la vie serait facile ?

rôle d’idée qui m’a traversé l’esprit aujourd’hui de vous écrire un petit texte qui se veut humblement motivant. Drôle de titre que je lui ai offert aussi.

Pourquoi ça m’arrive à moi ? Qu’est j’ai fait pour mériter ceci ou cela ? RIEN ! La vie se charge de nous offrir sur un beau plateau d’argent des défis, petits ou grands, de façon à ce que nous puissions découvrir la grandeur de notre être, pour que nous allions dans nos profondeurs découvrir la force et la puissance qui sommeillent en nous. Chacun d’entre nous a reçu un bagage de qualités et de défauts, et ces défis sont là pour que vous trouviez en vous votre vraie valeur. Pourquoi ? Tout simplement pour vous ouvrir les yeux sur vos capacités à surmonter

ces défis et pour vous préparer pour le suivant. Mais, aussi pour ouvrir tout votre être aux opportunités que la vie se prépare à vous offrir en cadeau : le travail que vous souhaitiez, l’amour que vous attendiez et le conjoint tant espéré. Finalement, pour vous faire trouver le bonheur, celui auquel chacun a droit. Une des règles du jeu à respecter est d’éviter la fuite ; elle‑ci, comme au Monopoly, vous ramènera à la case « Allez en prison, ne passez pas go, ne réclamez pas 200 $ », ce qui veut dire que, de toute manière, vous devrez réemprunter le même chemin à nouveau, jusqu’au moment où vous solutionnerez ce fameux défi ! Maintenant que vous connaissez les règles du jeu, allez de l’avant. Réalisez‑vous. Demandez de l’aide, vous y avez droit. Vivez pleinement, car vous êtes la merveille de votre vie !

Seul l'arbre qui a subi les assauts du vent est vraiment vigoureux, car c'est dans cette lutte que ses racines, mises à l'épreuve, se fortifient. – Sénèque Jacques Aubin Conférencier, motivateur et coach de vie www.jacquesaubin.com

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RÉUSSIR

L’établissement d’une vision entrepreneuriale bien définie est essentiel. Ceci vous permettra d’aligner vos actions vers la réalisation de cette dernière. La vision vous permettra de fixer des objectifs clairs pour votre entreprise et ainsi baser vos priorités en fonction de ceux‑ci. À travers l’énoncé de votre vision, vous définissez les espoirs et les rêves que vous avez pour votre entreprise. Vous devez vous assurer que cette vision sera inspirante en plus d’être passionnante. Elle provoquera un effet de motivation fondamentale pour allumer la flamme au sein de votre équipe, permettant alors d’inspirer vos employés et rallier vos troupes vers un but commun. Un exercice simple en ce sens est de créer une page de votre vision, et d’y inscrire dans le haut la date à laquelle vous en espérez la réalisation. Mettez sur cette page tous les détails de ce que vous entrevoyez pour votre entreprise dans le futur. Écrivez tout le texte au présent comme si c’était déjà concrétisé. Cet exercice est très puissant. Alors allez‑y ! Essayez‑le ! Une fois votre superbe mélange préparé, SAVOUREZ et VIVEZ votre rêve !

Annie Létourneau Conférencière de niveau international, Auteure & Experte en Méta‑Coaching www.annieletourneau.com

LE COACHING, C’EST QUOI ? QU’EST‑CE QUE LE COACHING ? Je vous offre ici ma propre définition : le Coaching est un processus qui amène une personne ayant un objectif précis à se rendre du point A au point B. À partir de vos objectifs personnels particuliers, un coach vous aidera à découvrir et à parcourir le meilleur chemin pour les atteindre. Le coach est un facilitateur : il est là pour vous assister et pour vous aider à trouver vos propres solutions. QUE POURRAIT VOUS APPORTER LE COACHING ? Le Coaching vous permettra tout simple‑ ment d’établir vos objectifs particuliers, ceux qui vous tiennent à cœur, et vous aidera à mettre au point un plan d’action qui vous guidera dans l’atteinte de vos objectifs. COMMENT CHOISIR VOTRE COACH ? Voici quelques questions à vous poser pour choisir votre coach : »» Est‑ce que je me sens à l’aise avec ce coach ? »» Est‑ce que ce coach sera là pour moi et veillera à mes intérêts ? »» Est‑ce ce coach m’inspire confiance ? »» Est‑ce que je me sentirai appuyé par ce coach ?

LES VRAIES AFFAIRES

Conversation avec l’auteur à succès Marc Fisher TE CONSIDÈRES‑TU AUTANT HOMME D'AFFAIRES QU'AUTEUR ? Mon père est né le 13 septembre, moi le 13 mars, nous sommes donc en parfaite opposition zodiacale. Il était dans les affaires, j’ai choisi le monde des lettres. Pour‑ tant, je conduis un peu ma carrière en homme d’affaires. Le fruit ne tombe jamais loin de l’arbre.

À PART TA PLUME UNIQUE ET TA CRÉATIVITÉ DÉBORDANTE, QUEL EST LE SECRET DE TON SUCCÈS ? Lorsque j’étais jeune, beaucoup de mes amis me téléphonaient pour que je les réconforte, les éclaire, les fasse rire. Ca marchait, apparemment, puisqu’ils rappelaient. Mes livres sont les « conversations téléphoniques » que j’ai avec tous les étrangers qui les lisent.

EST‑CE QUE C'EST TABOU DE VOULOIR FAIRE DES SOUS EN GÉNÉRAL DANS LA VIE ? EN TANT QU'AUTEUR ? Tabou pour certains, mais certainement pas pour moi. Ma folie, c’est écrire. Donc, il faut que mes livres se vendent. L’argent est le passeport qui m’achète la liberté (incompréhensible pour tous ceux qui n’aiment pas leur travail) de… travailler !

D'OÙ EST VENUE L'INSPIRATION DE LA SÉRIE À SUCCÈS LE MILLIONNAIRE ? Jeune, j’adorais le philosophe Platon et son personnage principal Socrate. Je me suis dit qu’un Socrate moderne, millionnaire de son état, pourrait être un bon porte‑parole de ma joie et des quelques idées que j’ai sur la vie, dont la première, qu’il faut croire en soi.

QUEL EST TON OBJECTIF LORSQUE TU ÉCRIS UN LIVRE ? TES LIVRES CONTIENNENT PLUSIEURS PERLES DE SAGESSE… J’essaie de divertir, je veux dire de ne pas ennuyer, mais aussi, de partager mon immense amour de la vie, ma joie constante, mon calme intérieur, qui me sont venus en surabondance, comme ils viennent à tous ceux qui « entrent dans le courant », au sens bouddhique du terme.

EST‑CE QUE TON DERNIER LIVRE SORTI EST TOUJOURS LE MEILLEUR ? OUIIIIII ! C’est ce que mon attachée de presse souhaiterait me voir dire aux journalistes. Mais non, pas nécessairement. Pourtant, si vous ne considérez pas que c’est le meilleur, je ne vous parle plus du reste de ma vie ! Je vous ai bien dit que vous étiez ravissante dans votre nouvelle robe, moi !

photos © zoombuzzproductions

Pourquoi une vision d’entreprise ?

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Marc Fisher et Christine Michaud à leur lancement collectif. Pour les suivre : www.marcfisher.biz • www.christinemichaud.com Le dernier (et meilleur !) livre de Marc Fisher est disponible partout.

S'ACCOMPLIR PORTRAIT PERSONNALITÉ D'AFFAIRES/ENTREPRISE

UN FLEURON QUÉBÉCOIS DANS NOTRE RÉGION

Par Sylvie Côté www.sylviecote.com

Guy Michaud vous dira « Un bon leader ne forme pas des « suiveux », mais des leaders ! ». Quand on est un leader, on se doit de toujours innover et de se dépasser. Guy Michaud, président fondateur de Genacol, en a fait sa direction sur le plan personnel et professionnel. UNE DÉTERMINATION FAIT NAÎTRE UNE MARQUE ! Cet homme, à l'âge de 35 ans, s'est vu condamné à porter une prothèse aux deux genoux, devenus douloureux et l'empêchant de savourer les joies de la vie. C'est plutôt jeune pour connaître ce genre de problème. Sa mère, alors âgée de 87 ans, pratiquant de petits exercices d'étirements quotidiens, n'avait aucun problème. Une personne, qui deviendra un ami et collaborateur, le met en contact avec le Collagène. L'aventure commence ! Guy Michaud quitte le milieu de l'imprimerie où il gagne pourtant bien sa vie pour se lancer dans l'aventure du marketing de réseau. Avec efforts et labeurs, il a préparé un terrain propice à l'abondance, comme le ferait un jardinier. En 2006, Santé Canada décide d'instaurer un contrôle plus serré au niveau des produits de santé naturels et les délais d'approbation sont longs ; ce qui alimentera les rumeurs et la compétition quant à la disparition de Genacol, un produit qui a pourtant fait ses preuves à travers le monde. À partir de 25‑30 ans, nous commençons à perdre le collagène de notre corps, faisant en sorte que graduellement, notre visage s'affaisse, nos articulations ne bougent plus aussi facilement et nous commençons à manquer d'énergie. Genacol est la bonne nouvelle dans tout ça : il est possible de rebâtir notre collagène. Guy Michaud décide donc de miser le tout pour le tout , incluant ses économies personnelles et de commander deux études cliniques (Université de Liège et Veterans Memorial Medical Center Institution) sur son collagène hydrolysé Genacol, appelé la Technologie Séquentielle Aminolock®. Un long processus s'enclenche. Finalement, le collagène Genacol® a un effet bénéfique, prouvé « statiquement significatif ». La reconnaissance médicale suivit plusieurs mois plus tard, avec publication dans le Journal of Complementary Therapies in Medecine. Guy Michaud décide de mettre sur pied une nouvelle division : Genacol Direct. Les trois produits exclusifs livrent leur engagement, le système de rémunération pour cette gamme de produits est l'un des meilleurs, sinon le meilleur de la vente par réseautage ; un programme équitable. Il dira : « nous n'avons pas le droit à l'erreur ». Actuellement, des distributeurs indépendants motivés propulsent les ventes de cette nouvelle division. VISER UN ÉQUILIBRE Genacol est une entreprise familiale où une énergie positive circule et où la discorde n'a pas sa place. Sa philosophie est de viser un équilibre et une harmonie dans les 7 aspects de sa vie (spirituel, familial, physique, mental, social, carrière et financier). Homme d'affaires compétent, mentor à la Table d'Action en entreprenariat des Laurentides et professeur à l'École de l'entrepreneurship de Beauce, Guy Michaud a le souhait de faire rayonner le Québec sur la scène internationale. Il s'est donné comme mission de vie d'améliorer l'avenir de l'entreprenariat au Québec, en améliorant la communauté. Au‑delà de sa vie professionnelle, entouré de sa famille (Danielle, son amoureuse depuis 33 ans, ses 3 garçons et leurs conjointes et ses petits enfants) et amis, il savoure la vie à travers le travail, les voyages et les sports, qu'il pratique sans orthèse ! Cet homme met en pratique ce qu'il prône : il établit ses objectifs et réfléchit à sa raison d'être : être une inspiration pour son entourage.

Genacol vient de recevoir le prix « Choix du Consommateur 2013 », un grand honneur ! Félicitations Monsieur Michaud et bonne continuité !

Genacol et Genacol Direct Blainville, Québec • 450 433‑0433

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Une vie de créativité et de passion Déclaré mort 4 fois, 6 semaines aux soins intensifs, 11 mois à l’hôpital. Remercier la vie d’avoir cette deuxième chance, déterminé à faire quelque chose de grand avec elle. C’est une infime partie de tout ce qu’on pourrait partager sur cet auteur, conférencier et formateur unique. Le joyeux dans la vie de Lawrence J‑E Poole provient de tout ce qui est lié à la nature. Il nous a confié en entrevue : « Changer sa perspective. Quand on est dans un moment de pessimisme, on porte son chapeau noir. Sans les bons outils, on demeure réac‑ tif aux circonstances. Les bons outils permettent d’être proactif et de faire quelque chose. » Et, tant mieux pour nous, il vient tout juste de sortir son plus recent livre, Les leçons de la jungle ‑ 50 histoires pour mieux vivre au travail et en société, qui propose des solutions aux complexités de la vie en s'inspirant des leçons de la jungle où il fait ses recherches…en fauteuil roulant. Si vous pensiez avoir des excuses pour ne pas poursuivre vos rêves…

Pour tous les travailleurs autonomes de ce monde, voici une véritable bible qui se doit de devenir votre allié. On adore le ton avec lequel les filles s'adressent à nous, en toute honnêteté. Trucs, conseils d'experts, rencontres avec des travailleurs autonomes bien connus, gestion du temps, et beaucoup plus.

On a très hâte de la lire ! ! ! La bio d'une grande dame, à la fois de coeur et des affaires.

L'entrepreneur du mois

Nom : Lisa‑Marina Clément ‑ Présidente, No Limits design inc. Secteur d’activité : uniformes Ta plus grande fierté : No Limits design ! No Limits Design en 3 mots c’est : uniformes au confort absolu Dans toutes les belles histoires d’entreprises, il y a un moment où quelque chose se passe qui fait qu’on peut parler de succès et réussite. Quel est ce moment pour toi ? Mon anniversaire l’an dernier, le moment où je mets des mots aux raisons qui justifient mon sourire. À 32 ans, après 8 ans d’acharnement, No Limits est en pleine croissance, vend partout au Canada, crée de l’emploi et produit des vêtements de qualité supérieure en conservant sa production au Québec. Quelle est la ligne directrice de No Limits Design ? Produire des uniformes stylisés et de qualité en prônant la production locale. Quel conseil reçu mets‑tu en pratique de façon courante aujourd’hui ? N’oublie jamais l’expérience client. Je crois avoir une équipe de vente et de service à la clientèle hors pair.

Sur notre table de chevet :

Que referais‑tu autrement ? J'aurais travaillé dans le milieu de la production de vêtements avant de m’y lancer, aussitôt terminé mon baccalauréat en 2003 ! Ça m’aurait certainement servi ! Des contacts et des références en affaires, c’est primordial ! Ta plus grosse erreur ? À ma première année, avoir fait confiance à un nouveau client qui m’avait été référé. Lui avoir fait livrer une importante commande sans confirmation de paiement. Il a simplement disparu… À tes débuts, chaque sou est important. Ma bonne volonté nous à fait très mal…

Une personne déterminante dans ton parcours ? Italo Bellenghi, un contracteur principal de No Limits. Une personne très généreuse de son temps et qui a résolu plusieurs problématiques pour nous. Quelle profession autre que la tienne aurais‑tu pu exercer ? Biologiste marine Une fausse croyance sur ton travail que tu aimerais rectifier ? Je ne suis pas designer ! C’est pourquoi j’en ai une, fidèle au poste depuis 8 ans, avec moi, au bureau ! Quelle est ta définition de la réussite ? Qu’elle soit professionnelle ou personnelle, elle doit apporter un sentiment de fierté et une reconnaissance importante envers le bonheur que ça nous procure. Ton modèle de personne heureuse ? Quelqu’un qui sourit à la vie et qui ne craint pas demain. Un coup de tête en affaires qui en était un bon ? Dépanner l’équipe de ventes corporatives de Fido avec une dizaine de manteaux d’hiver. Un an après, nous étions fournisseur des uniformes des magasins corporatifs de Fido. Qu’est‑ce qui est non‑négociable ? La production locale Le morceau essentiel d’une garde‑robe ? On ne s’en passe pas : le jeans !

Vous aimeriez être notre Entrepreneur du mois ? Dans chaque numéro, un des annonceurs de Partout Ici est choisi au hasard !

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photo © Karine Davidson Tremblay

MON

RENCONTRE D’AUTEUR

PATRICK SÉNÉCAL Par Amélie Boivin Handfield

2014

Par Gaétan Cardinal Chroniqueur et passionné d’autos et de motos

MON AUTO 2014 est un 3e guide d’achat pour le petit marché des lecteurs francophones en Amérique du Nord, et il se défend très bien face à ses concurrents. Il est plutôt facile de se retrouver dans cette brique de 621 pages dans lequel plusieurs sujets, absents chez les concurrents, ont été inclus. L’acheteur par nécessité et moyen de transport y trouvera les renseignements dont il a besoin pour conclure un achat avec un minimum de tracas. Dans la section Meilleurs Achats, on lui présente les véhicules top 3 dans 40 catégories.

ÉCRIRE, C’EST IMPORTANT POUR TOI ?

Écrire, ce n'est pas important, c’est viscéral, dans le sens que c’est toujours dur, écrire. Chaque matin où je me lève, je voudrais faire autre chose qu’écrire ; l’être humain étant fait comme il est, on a toujours une tendance vers l’inertie, la paresse, l’oisiveté, mais si je n’écris pas, c’est pire. Si je décide de passer trois semaines sans écrire, vient un moment où je ne me sens pas bien. Ce n’est pas écrire qui est extraordinaire, c’est d’avoir écrit. C’est quand, à la fin de la journée, tu considères ce que tu as fait.

Les passionnés de mécanique et de technique seront ravis par les sujets plus pointus. Outre les 250 fiches techniques et essais routiers, la section Esprit des Marques rapporte les dernières nouvelles et la vision du futur des 45 marques d’autos dans le monde. La section Coup de Coeur fait l’éloge de quatre voitures qui ont touché le cœur des chroniqueurs parmi les nouveautés de 2014.

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UTILISES‑TU DES PLANS ?

Plus de 250 essais avec fiches techniques complètes Modèles-phares de l’année Tableaux comparatifs : forces et faiblesses des modèles d’une même catégorie Comment faire le meilleur achat : garanties, promotions, etc. Aperçu du marché de l’occasion pour les différents modèles Tendances chez les constructeurs

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vez‑vous déjà vécu un évènement difficile qui, avec du recul, vous fait enfin sourire ? Il y a 15 ans, la vie m’a offert un cadeau déguisé : un épuisement professionnel et émotionnel ! Résultat ? 3 longs mois en arrêt de travail à gérer soigneusement la moindre petite parcelle d’énergie. 15 ans plus tard, je suis toujours dans la gratitude pour chacune des leçons et des transformations que cet évènement a apporté dans ma vie. Les choix quotidiens que je fais depuis les 5 475 derniers jours de ma vie sont orientés vers le bien‑être et l’équilibre. Ces choix se sont transformés en différents rituels qui pourraient, vous aussi vous aider à avoir une vie divinement radieuse… au quotidien !

3 rituels quotidiens simples et faciles à appliquer : 1‑ LA GRATITUDE

Mon rituel favori est d’écrire dans mon journal quotidien. Chaque soir, pensez à votre journée et écrivez 3 choses pour lesquelles vous avez de la gratitude et dites MERCI ! En développant une attitude de gratitude, attendez‑vous à ce que des délices se manifestent dans votre vie.

2‑ LE SILENCE

Quotidiennement : Faites une pause TEC de 30 minutes ! On ferme tout : i‑phone, i‑pad, ordinateur, téléviseur, radio.

Avoir une intention précise derrière chacune de mes actions agit comme mon GPS divin ! Cela donne un sens profond à tout ce que j’accomplie et m’assure que je suis parfaitement alignée.

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Et SON ÉquIpE vOuS CONSEILLENt Les meilleurs choix dans les 40 catégories de voitures 10 profils d’acheteurs avec recommandations Confidences de vendeurs : comment faire un bon achat

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Questions tirées de l’émission littéraire Samedi de lire Samedi de lire ‑ dans 20 stations de radio à travers le Canada Pour écouter l’intégrale de l’émission avec Patrick Sénécal : www.amelieboivinhandfield.com aussi sur Twitter et Facebook

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au quotidien

Savourez ces doux moments de paix et de silence… absolument divin ! Mensuellement : Faites une retraite en nature : quelques jours de camping, un week‑end au bord d’un lac, une journée en montagne, etc.

ÉRIC LEFRANÇOIS Et SON ÉquIpE

« Passer dix ans pour écrire un roman, ce n’est pas pour moi. Je suis un gars trop excessif, je suis à l’image dans mes romans de ce que je suis dans la vie, assoiffé et affamé. Un roman par année me semble être un bon rythme de croisière. »

Oui, et c’est bien la seule chose dans ma vie pour laquelle je suis organisé. Je fais des plans assez précis, mais moins qu’avant ; un moment donné, tu finis par avoir un esprit de synthèse. Je peux écrire juste 3‑4 mots dans mon plan qui signifient beaucoup de choses. Je suis moins insécure et je me fais plus confiance. C’est un plan d’ensemble, auquel je me tiens assez rigoureusement. Je peux changer des éléments de place, mais complète‑ ment changer mon plan ne m’est jamais arrivé, et surtout pas de terminer autrement que ce qui était prévu. Le plus précis, c’est la fin.

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En plus ! MON AUTO 2014 célèbre les 50 ans de la Mustang avec un dossier fort intéressant sur cette icône.

« Aujourd’hui, mon intention est de servir mes clients avec excellence et d’offrir de la valeur à toutes les personnes avec qui je serai en contact. » Joignez la communauté divinement radieuse sur Facebook : www.facebook.com/divinementradieusefanpage

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D’après certaines recherches, les animaux ont une plus grande sensibilité à la réception de vibrations, leur permettant une plus grande facilité à communiquer entre eux. La répétition des vibrations de message est bien captée par les animaux, créant ainsi un renforcement positif, qui stimule le changement comportemental. En majorité, les animaux ont beaucoup de compassion et vont souvent essayer de plaire à leurs maitres, provoquant ainsi un déséquilibre comportemental. L'avantage de cette TECHNOLOGIE DE HAUTE VIBRATION ULTRAVIB® est qu'elle permet de créer un comportement plus équilibré chez l’animal et son maître, permettant une plus grande harmonie.

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La peur développe l'anxiété, qui affecte directement le comportement de votre animal. Cette modification entraîne des réactions, qui nuisent à l'animal, la famille et les voisins. Grâce à sa technologie exclusive et avancée de fréquences et de hautes vibrations, ULTRAVIB® produit des états cérébraux qui permettront des changements positifs pour vous et votre animal de compagnie et l’aideront à développer un meilleur comportement et réduire leur anxiété. www.Ultravib.ca Disponible dans toutes les librairies et boutiques de produits naturels.

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Un livre à offrir en cadeau aux amoureux des chiens Comme amoureux de son animal de compagnie, on se pose de fréquentes questions sur les soins à lui prodiguer et on s'inquiète parfois sur la santé mentale et physique de notre poilu. Comment déterminer si un chien fait suffisamment d'exercice ? Est‑il en bonne santé ? Vous trouverez les réponses souhaitées dans ce livre du médecin vétérinaire Sébastien Kfoury qui vous aidera à favoriser le bien‑être de toutou. En plus d'être vétérinaire et copropriétaire de cliniques vétérinaires, le Dr Sébastien Kfoury anime les émissions Animo, Brigade Animo et Bête Curieuse.

PATTES & POILS

Enrichir la vie de toutou au quotidien Rencontre avec Jean Lessard Le chien est souvent qualifié comme le meilleur ami de l’Homme, un membre à part entière de la famille. Considérant cette place privilégiée qu’il occupe dans nos vies, son bien‑être au quotidien est certainement d’actualité. ALORS, QUE DIRE DES BOTTES ET DES MANTEAUX POUR CHIENS ? SONT‑ILS RÉELLEMENT ADAPTÉS AUX BESOINS DE NOTRE ANIMAL OU EST‑CE PLUTÔT UNE QUESTION DE MODE ?

En clinique vétérinaire, il n’est pas rare de voir des cas d’engelures au niveau des coussinets plantaires suite à une exposition marquée au froid. Le sel étendu sur nos routes peut également être abrasif sur la peau et causer des lésions suite à un contact prolongé. Des bottes peuvent certai‑ nement protéger en ce sens. Elles ont aussi une fonction antidérapante qui peut s’avérer utile en terrain glissant, particulièrement pour un chien âgé et un peu plus faible de ses pattes arrières, par exemple. EST‑CE DONC NÉCESSAIRE DANS TOUS LES CAS ?

Non. Il faut surtout être attentif aux besoins de son animal et s’adapter à chaque situation. Certains seront plus sensibles au froid que d’autres. Un husky et un chihuahua n’auront pas non plus les mêmes besoins en terme de protection hivernale ! VOUS DÉSIREZ TENTER L’EXPÉRIENCE ?

Le défi sera d’abord de s’assurer que votre animal tolère ces nouveaux accessoires sur lui. Il faut donc s’armer de patience et y aller progressi‑ vement : offrir des gâteries lorsque l’animal tolère ses bottes et lui faire associer le tout à une activité agréable, comme une marche en plein air ! Vous aurez ainsi la chance de constater la démarche un peu maladroite de votre animal dans ses débuts ! Pour les manteaux, tout dépend encore une fois de l’utilité qu’on veut en faire. Il existe des vestes thermales sur le marché, conçues pour les ran‑ données prolongées, ce qui pourrait certainement avoir son utilité pour un chien de chasse, par exemple. Il reste que les manteaux pour chiens n’ont pas toujours existé. D’autres mesures existent pour s’assurer du confort de votre animal durant l’hiver : éviter les sorties prolongées en période de grand froid et surtout, être attentif aux signes que votre animal vous envoie. Si votre animal piétine sur place, chigne en sautillant sur 2 ou 3 pattes pendant la promenade, se met à grelotter ou laisse des empreintes teintées de sang dans la neige, il vaut certainement la peine de considérer ses options. Les bottes et manteaux pour animaux en sont certainement une. Tout dépend donc de la situation.

Jean Lessard était le président d’honneur de la 6e édition du marche‑o‑thon Les pattes de l’espoir de Mirabel. Partout Ici en a profité pour rencontrer le célèbre éducateur canin et chroniqueur de la populaire émission Animo consacrée à nos amis poilus.

LA NOURRITURE ET LE VÉTÉRINAIRE SONT LA SANTÉ PHYSIQUE DE NOTRE ANIMAL COMME LE COMPORTEMENT EST LA SANTÉ MENTALE ; EST‑CE UN ASPECT SOUVENT NÉGLIGÉ ? On néglige par ignorance. On ne se rend pas compte des besoins de l’animal afin qu’il maintienne un équilibre mental au quotidien, mais ce n’est pas pour mal faire. Ne serait‑ce que le besoin de jeu, de mastication, d’activité locomotrice et intellectuelle, la résolution de problèmes : chercher, trouver. Un exemple : la chose la plus ennuyante pour un chien est un bol pour sa nourriture. On peut faire toutes sortes de choses avec la nourriture pour donner de l’activité. Aucun animal ne se contente d’un bol dans la nature. On peut enrichir la vie d’un chien au quotidien avec plein de petites choses et changements qui aident à maintenir un équilibre mental et une vie plus intéressante.

QUELLE EST LA PUS GRANDE ERREUR QU’ON FAIT AVEC UN CHIEN ? EST‑CE DE L’HUMANISER ? TROP L’AIMER ? Je ne sais pas si on peut trop l’aimer, on peut peut‑être mal l’aimer. La plus grande erreur qu’on fait est de penser qu’il faille le dominer et le contraindre. Ce n’est pas une éducation intéressante. Pour moi, c’est la plus grande erreur qu’on fait. L’animal est tout à fait capable d’apprendre autrement que par la contrainte et la punition.

UN ÉVÉNEMENT COMME LES PATTES DE L’ESPOIR, CE SONT PLUSIEURS CHIENS QUI NE SE CONNAISSENT PAS, QUI SE RETROUVENT EN GROUPE ; QUE PEUT‑ON FAIRE POUR ÊTRE UN BON PARTICIPANT ? Développer une belle complicité avec notre animal de manière à ce qu’il se réfère à nous, qu’il reste avec nous. On peut très bien entraîner ça. Et de manière positive aussi.

EST‑CE QU’IL N’Y A PAS DE MAUVAIS CHIENS, QUE DE MAUVAIS MAÎTRES ? Il y a des mauvaises méthodes.

JE VOULAIS VOUS ENTENDRE SUR TOUTE LA MAUVAISE PUBLICITÉ AUTOUR DES PITBULLS DEPUIS UN CERTAIN TEMPS. Si je produis un mauvais enfant, il devient mauvais. Il n’y a pas de mauvais chiens, non. Il y a des mauvaises méthodes, des mauvaises influences et pratiques. Il y a des humains mal intentionnés qui font des chiens de combat. Je ne parle pas de maîtres, ce n‘est pas dans mon vocabulaire. Disons propriétaires ou gardiens. Mal intentionnés, oui, il y en a. Là où il y a de l’humain, il y a de l’humainerie.

www.pattesdelespoir.ca

Dre Josée Guilmette Vétérinaire à l’urgence www.centredmv.com

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MIEUX‑ÊTRE

Sky is not the limit Je suis fasciné parfois de constater à quel point il est facile de s’inventer des limites qui bloquent le fil du temps, le cours de l’eau, l’essence de la vie. Nos croyances jouent avec nous, souvent à notre insu, et nous nous retrouvons à vivre une vie qui ne nous ressemble pas. On s’entend qu’il n’y a pas de sot métier. Que parfois, on travaille plus pour des questions alimentaires que par passion. Surtout quand on s’est trompé de chemin à l’adolescence. Le travail fait partie de la condition humaine. Les loisirs aussi. Probablement pas comme proposé durant les années soixante avec l’illusion du « Liberté 55 ». Plein de gens reviennent sur le marché du travail, car la vie est devenue ennuyante. Le piège, c’est la consommation de biens qui rend la réalité moins pénible, mais pas nécessairement plus agréable. Ce qui nous nuit, avant toute chose, ce sont nos croyances sur la vie, sur les gens, sur tout. Nos croyances sont nées de nos peurs et de nos échecs. Elles existent pour éviter de revivre la désillusion, la peine et la souffrance. On se fait à l’idée. On déduit du sens pour des choses qui n’en n’ont pas nécessairement. On redoute de se blesser à nouveau. Nos croyances influent sur notre perception de la vie, des relations, des expériences. Petit à petit, nous disons « non » à la vie, là où la vie –justement– nous invite à lui dire oui. À se relever de l’échec. À apprendre. À oser. À vivre. Je vous propose un exercice.

Par Joel Monzée Docteur en neurosciences et psychothérapeute. Auteur du livre Oui à la vie ! www.institutdef.ca

Choisissez un endroit calme. Essayez alors de vous représenter un « rêve » ou, plutôt, une manière de vivre vos « passions ». Visualisez‑le, mettez‑le en mots – mais n’écrivez rien – et ressentez le plaisir de vivre cette forme que prendrait votre vie. Accrochez cette vision à un ballon imaginaire et relâchez‑le, voyez‑le s’en aller au gré du vent. Refaites, chaque jour, cet exercice. Je vous fais grâce de la démonstration scientifique, mais sachez que cela éveille votre cerveau à de nouvelles possi‑ bilités. Cela vous aide à être à l’affut de nouvelles opportunités, tout en lâchant prise. À s’inscrire dans une matérialisation de nos visions, sans s’accrocher à la forme. Quand la vision commence à être mieux cernée, ce qui manque souvent, c’est la structuration des étapes pour la réaliser. Ressentir le plaisir est un processus fondamental. Ensuite, invitez une personne qui vous respecte et avec qui vous vous sentez en confiance. Exposez‑lui avec des mots ou des dessins la vision qui s’installe. Demandez à ce que cette personne vous pose des questions pour rendre la vision plus concrète, pour que vous sentiez les étapes de sa réalisation. Ressentez toujours les effets. Si c’est désagréable ou qu’une peur apparaît, demandez à la personne de vous rassurer. Soit une croyance bloque, soit un réajustement est à faire. Puis, relâchez ce nouveau ballon. Tôt ou tard, vous sentirez l’élan d’une vie qui vous ressemble, pour de vrai.

ss ss ROMAN PSYCHOSPIRITUEL La réincarnation, vrai ou faux ? Peut-on changer son destin ?

« La règle du jeu indique que nous pouvons nous réveiller du karma comme d’une transe hypnotique. »

«J'aimais lire certains passages à vive voix à cause de leur musicalité.» Nicole Vangenhassend, Pennsylvanie

«J'ai été captivée par l'histoire jusqu'à la fin.» Odette Côté, Saint-Sauveur

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MIEUX‑ÊTRE

La SÉRÉNITÉ… ou des crottes sur le cœur ? Il arrive qu’on se sente moins motivé, et même démissionnaire. On ressasse, on fait du ressentiment. C’est pénible et surtout, on a la désagréable impression d’avoir perdu son pouvoir de création. Pour créer, il faut être en contact avec son sens de l’initiative, son goût d’entreprendre. Mais voilà, tout ne va pas toujours comme on voudrait. J’ai pas tout réussi, mais j’ai pas tout raté, comme disait l’autre. De cette part de vos projets qui n’a pas marché, gardez‑vous du ressentiment ? C’est fort possible. Vous vouliez vraiment atteindre ces objectifs, vous y avez mis toute votre énergie. Mais voilà, il y avait d’autres personnes, d’autres volontés en jeu, des circonstances défavorables, peut‑être. Aussi, vos petites misères et vos manques personnels qui ont pu faire pencher la balance du mauvais côté. Ces « ratées », quelle qu’en soit la cause, vous affectent. Et si on faisait un peu de ménage là‑dedans, question de reprendre pleinement son pouvoir et transformer les états démission‑colère en énergie créatrice ? Faites d’abord la liste de vos « crottes sur le cœur ». Puis, écrivez à côté votre interprétation des événements

en une phrase. Ex : Il n’avait pas le droit de…C’était pas supposé se passer comme ça… Je n’ai pas pu profi‑ ter du résultat de mes efforts… Je ne pourrai jamais atteindre mon objectif à cause de lui, à cause de cela… Il, elle, m’a trahi, rejeté, roulé… Vérifiez ce que vos phrases ont en commun. Qu’est‑ce qu’il y a de répétitif dans votre interprétation de la situation ? Quels pouvoirs avez‑vous laissé tomber, suite à ces événements ? Pouvoir d’initiative, pouvoir d’entreprendre, pouvoir de faire confiance, pouvoir de vous accueillir, pouvoir d’avoir du plaisir en cours de route, pouvoir de vous associer, pouvoir d’aimer, pouvoir de croire en vos capacités ? Vous jugez‑vous d’après les comportements et les choix des autres ? C’est pourtant ce que font des millions de gens à tous les jours. C’est tragique pour le potentiel humain. Si vous avez des crottes sur le cœur, c’est que vous avez utilisé ces événements contre vous, vous les avez laissé vous influencer. On ne peut se juger soi‑même que dans la part qui relève du contrôle de notre volonté.

Par Lise Fortin Formatrice en créativité, artiste, conférencière et auteure du livre Risquer sa vie à la vivre www.creatiVIEte.com

Faites du ménage dans votre interprétation des évé‑ nements pour retrouver votre sérénité et augmenter votre estime de soi. De celles‑ci jailliront des idées nouvelles, de l’énergie créatrice, de l’enthousiasme. Aimez‑vous à ce point, votre vie vous en sera re‑ connaissante ! Donnez‑vous ce rendez‑vous…avec vous‑même.

L’estime de soi, selon Nathaniel Brandon :

« La confiance dans notre capacité de penser et de faire face aux défis de la vie. » « La confiance dans notre droit au bonheur, le sentiment d’être digne, d’être méritant, en droit d’affirmer nos besoins et nos aspirations et de jouir des fruits de nos efforts. » Par passion, je fais la lecture des cartes de tarot depuis plusieurs années. Inspirées des contes et des mythes, elles sont tout simplement positives ! La richesse de la symbolique évoquée réveille votre âme, cette petite flamme en vous, qui s'allume comme par magie pour dévoiler les rêves profonds de votre enfant intérieur.

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Une webtv qui fait du bien à l’âme et au cœur! On y retrouve de courts documentaires authentiques, sur des gens inspirants et uniques! Ces vedettes du quotidien sont à l’honneur, que ce soit pour leurs accomplissements, leurs realisations ou leur façon bien à eux de voir la vie.

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MIEUX‑ÊTRE

À table en famille ! Rencontre avec le populaire chef Michael Smith lors de son récent passage à Montréal. Par Catherine Verdon Pour la recette de Chili de patates douces avec crème sure à la cannelle du chef Michael Smith visitez : magazine.partoutici.com

Pensez‑vous que de dire que les enfants sont difficiles avec leur assiette sert un peu d'excuse pour la vie chargée et le manque de temps pour cuisiner ? Oui, tout à fait. Je suis un parent. J'ai des amis qui ont des enfants, je lis ; je sais ce avec quoi ont à conjuguer les familles. Je sais ce que c'est d'être très très occupé. Mais je sais aussi que certains parents ont choisi d'inclure la nourriture transformée dans l'assiette de leur enfant, ce avec quoi je suis en total désaccord. Ce n'est pas quelque chose qui devrait se produire. Je ne peux pas me contenter d'écouter des explications qui font en sorte qu'on serve aux enfants toute cette fausse nour‑ riture et qu'on se dise : « je ne sais pas cuisiner, je suis trop occupé pour cuisiner, ils ne veulent pas manger ça ». Comme parent, c'est notre responsabilité de faire le mieux pour nos enfants, point. Je crois fermement qu'avec la position que j'ai la chance d'avoir, je ne dois pas juste parler de bouffe, mais donner des solutions réelles et pratiques. On doit inspirer les gens à cuisiner, leur faire comprendre que c'est quelque chose qu'ils devraient avoir envie de faire. Le « je ne sais pas cuisiner » est une excuse ; si vous êtes un être humain et que vous respirez, vous pouvez cuisiner. Vous pouvez figurer comment.

Catherine Verdon et le chef Michael Smith

En quoi la paternité a influencé votre cuisine ? Dans ma compréhension de celle‑ci. Tout mettre en perspective. Arrêter d'être égoïste. Quand mon fils est né, ça m'a forcé, presqu'en une seule nuit, a réévaluer ma compréhension de la cuisine, qui était en quelque sorte définie comme une transaction commerciale avec des étrangers. Pour moi, c'est ce que la bouffe avait été au long de ma carrière. Puis, je suis devenu res‑ ponsable de nourrir mes enfants. Les choix et décisions que je prends au marché et dans ma cuisine vont affec‑ ter leur santé et leur confort. On commence à porter attention d'une façon comme jamais auparavant. J'ai bâti ma carrière à servir de la nourriture légère et santé parce que c'est de cette manière que j'aimais m'ali‑ menter, que c'était à la mode et ce qui se vend, mais pas parce que c'était ma responsabilité de cuisiner ainsi. Nous sommes dans une société où les médias de bouffe nous entourent : postes de télé, magazines, sites internet, plus de livres de cuisine que jamais. C'est une industrie et je suis fier d'en faire partie, mais il y a un autre côté à cela, on y parle de perfection. La recette parfaite, la cuisine parfaite, façon parfaite de le faire. Ça devient très facile de se dire qu'on ne peut pas faire parfait. Dîtes‑vous juste : « je vais cuisiner de la vraie nourriture » et le reste va suivre.

« Nous sommes à notre meilleur quand on est en équilibre avec soi et avec la nature. Nous sommes les mêmes êtres humains qu'on était il y a 10 000 ans. Le langage est différent, nos toits, mais nous sommes les mêmes : on fait et on élève des enfants, on mange, on boit, on dort. Rien n'a changé selon cette perspective. Ce qui a changé est que soudainement, on a toute cette nourriture de basse qualité, inadéquate dans ses nutriments, et c'est partout où l'on regarde. Nous sommes susceptibles d'en être influencés. »

Est‑ce que la cuisine est le meilleur moyen de vivre le moment présent ? Oui ! Je rencontre tellement de gens qui me disent que cuisiner est leur moyen de relaxer. Je comprends tout à fait cela. Nous avons en nous le besoin de nous rassembler, de préparer, de partager la nourriture. C'est pourquoi on consomme tant de cuisine dans les médias, on ne se rassemble plus, on ne partage plus nos repas, on mange dans nos voitures…

Des conseils pour les parents ? Engagez‑vous avec la nourriture ! On se doit de faire les changements nécessaires dans nos vie qui nous permettront de cuisiner des aliments frais. J'ai appris que le meilleur moment pour donner aux enfants des aliments complets et sains est à la sortie de l'autobus scolaire. On leur présente n'importe quoi ils vont le manger ! Je garde une tablette du réfrigérateur dans le bas, accessible, avec des fruits, des crudités, des choix santé qui sont disponibles pour eux. Aussi, mangez en famille. On ne peut pas le faire tout le temps, mais on doit le faire souvent. Ne laissez pas vos enfants passer la porte sans un bon déjeuner.

Meilleure recette d'automne ? Les pommes ! Je fais cuire un poulet sur des patates douces et des pommes en morceaux dans une casserole au four. Ça donne une sorte de mijoté savoureux, c'est facile, les enfants vont aimer.

Définition de bouffe réconfort ? De la bouffe qui nous fait sentir bien : simple, facile. Pour moi le confort n'est pas juste dans la dégustation de la nourriture, mais beaucoup dans la préparation. Puis, on partage les plats.

Meilleur instrument dans une cuisine ? Mes mains. Tout ce qu'on peut voir sur le marché ! J'appelle ça des gizmos et des gadgets. Tout ce dont on a besoin est de 3 couteaux et 3 casseroles. Et votre famille.

MIEUX‑ÊTRE

BIEN MANGER :

un retour aux aliments de base Par Geneviève Nadeau, Dt. P. Nutritionniste Auteure du livre Bien manger pendant et après un cancer www.nadeaunutrition.com

’alimenter de façon saine est aujourd’hui la source de plusieurs tourments.

Mangeons‑nous trop de sucre ? Pas assez de fibres ? Qu’en est‑il des additifs chimiques dans nos aliments, causent‑ils le cancer ? Si vous êtes angoissé à la simple idée de devoir manger, voici une petite lecture qui allègera votre fardeau alimentaire. Retour aux aliments de base !

Aliment maison, aliment sans question La plupart des aliments que l’on consomme, qu’il s’agisse de craquelins ou de barres tendres, sont faits à partir d’ingrédients naturels, auxquels on ajoute des additifs alimentaires. Le sucre, le sel, les agents de conservation ou de texture sont essentiels pour assurer la durabilité d’un produit sur les tablettes de l’épicerie. Ce n’est pas « mal » de consommer des aliments transformés. Cependant, ces derniers demeurent peu optimaux pour améliorer votre niveau d’énergie et votre bien‑être général. Par exemple, derrière ses airs de santé, une barre tendre faite de fruits séchés et de noix peut contenir divers sucres ajoutés (miel, glucose‑fructose, sirop de maïs, dextrose, etc.). Ces sucres, aussi appelés « glucides simples », sont rapidement absorbés dans votre sang. De ce fait, ils haussent et abaissent très rapidement votre taux de sucre sanguin. S’ensuivent une hausse et une baisse rapide de votre niveau d’énergie, et un sentiment d’avoir toujours faim.

À l’inverse, la barre que vous cuisinez à la maison renfermera toujours moins de sucre que sa version commerciale. Même si vous utilisez de la cassonade ou du sirop d’érable, vous en ajouterez moins que l’industrie, n’ayant pas besoin de faire vivre votre barre tendre durant des mois sur votre comptoir de cuisine ! Qu’on parle de biscuits, de galettes, de muffins, de sauce à spaghetti ou de marinades, les aliments frais que l’on consomme resteront toujours des choix moins gras, moins salés et moins sucrés. Autrement dit, cuisiner est souvent gage de santé.

Développer une passion pour la cuisine maison Vous savez que cuisiner, c’est bon pour votre santé. Mais peut‑être n’avez‑vous pas l’énergie ni l’envie de mettre la main à la pâte ? Rassurez‑vous. Pas besoin d’être chef ou passionné de nutrition pour cuisiner des plats savoureux. Commencez d’abord par cuisiner pour les autres : organisez des repas à la maison, ou préparez des boîtes à lunch pour vos collègues. Cuisiner pour soi‑même est souvent moins motivant. Par contre, lorsqu’on veut impressionner ou passer du temps entre amis ou en famille, un petit défi culinaire nous motive à passer au travers. Ensuite, procurez‑vous des livres de recettes pour vous inspirer. Feuilletez ceux qui utilisent des ingrédients simples et laissez tomber les livres avec des photos de recettes gastronomiques. Le livre FAST FLAVOURS de Michael Smith est un bon exemple de livre à se procurer. Retournez aux bases : pâté chinois, sauce pour pâtes, saumon grillé, poulet B.B.Q., etc. demeurent accessibles et simples à apprêter. Mais, c’est vous qui les aurez préparés ! Un légume en à‑côté et le tour est joué. La simplicité, c’est santé, et ça a bien meilleur goût.

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BOUQUINS

PROTÉGER SON RÊVE 3 QUESTIONS À LILOU MACÉ Par Catherine Verdon

Catherine et Lilou Macé

J'avais envie de parler avec toi du plan B ; on se fait parfois demander « As‑tu un plan B »? Selon moi, c'est synonyme de ne pas croire à ce que l'on fait, qui met dans la tête une possibilité d'échouer. Que penses‑tu de ça ? Je n'ai pas de plan B, je vis le plan A au maximum, même quand il ne ressemble en rien au modèle de réussite normale. Quand le soutient financier n'y était pas, c'est moi qui a dû faire le premier pas, c'est ce que je voulais vivre. J'ai envie de diffuser de l'information, faire des entrevues, les partager, me déplacer dans le monde. Je pense qu'on doit être 100 % dans ce qu'on fait, 100 % responsable et arrêter d'être des victimes de la vie ; les solutions, on les trouve. Si on ne s'engage pas 100 % dans la vie, on ne peut pas recevoir pleinement ensuite. On ne pourra pas développer ses compétences, puisqu'à l'avance on est déjà en train de créer l'échec : un autre plan, ça veut dire qu'on a des doutes, qu'on n'est pas certain de ce qu'on va faire et pourquoi on le fait. La question doit être Pourquoi je veux le faire ? Notre rêve ne doit pas être fondé sur l'égo, des mauvaises raisons de vouloir être connu, aimé par l'autre parce qu'on ne s'aime pas soi‑même. Il y a un travail à faire sur soi et vérifier que ce plan A est vraiment inconditionnel. Je me suis retrouvée sans argent en 2008, après avoir perdu mon emploi. Un de mes rêves était de créer un livre. Le plan B aurait été de repartir vers mon ancien métier en marketing. Je suis arrivée à un carrefour où j'ai décidé de le faire pleinement, quitte à retourner chez mes parents, à réduire mon train de vie, à ne plus avoir de voiture, de possessions, même aller dans la rue et de ne plus avoir de toit. Rien ne pouvait m'arrêter et c'est là où le vrai parcours a commencé, que j'ai commencé à faire un travail de guérison aussi, certainement. Ma mère ne comprenait pas que je veuille mettre des vidéos gratuites sur internet après m'avoir payé des études de commerce. Ça semblait incohérent. J'avais un conditionnement par rapport à ce qu'est la réussite. Les parents nous transmettent des peurs. Ce sont eux, et d'autres, bien intentionnés par contre, qui résonnent par rapport à leur vie à eux, qui nous conseillent d'un plan B. Une façon de faire ou fonctionner qui ne nous correspond peut‑être pas. Il faut protéger son rêve. Mon projet, je n'en ai pas parlé au début. J'ai voulu ce rêve, grandir avec lui, le protéger.

« On ne peut pas voir la beauté chez les autres et écouter dans le non‑jugement quand on ne s'accepte pas soi‑même. » 26

Est‑ce dangereux parfois justement d'en parler ? Certainement, tout le monde a son avis, et avec trop d'avis on ne fait plus rien. Il faut commencer et s'engager. Souvent, en en parlant, ce dont on a besoin, c'est d'être rassuré. On doit s'entourer des bonnes personnes, prendre tranquillement de l'ampleur et cesser de s'associer au jugement des autres. Ça ne peut jamais plaire à tout le monde et encore moins dans un métier public, alors il doit véri‑ tablement y avoir des bonnes bases de vrai amour en soi et pour soi et avec des bonnes raisons, sinon ça s'écroule. Vaut mieux être bien construit avec une vie qui nous corresponde. Pas liée à ce que les autres ont voulu faire de nous. Les épreuves difficiles et les échecs peuvent être des cadeaux, et ouvrent des portes.

Est‑ce que les échecs ou les épreuves sont nécessaires pour se trouver dans la vie ? Chaque échec m'a vraiment fait rebondir. La période après n'est pas facile et ça dépend de l'échec, mais je constate qu'à chaque fois, quelque chose d'énorme a envie de naître, donc je ne résiste pas à ce changement‑là. Parce que c'est cela en fait… il faut rebondir et comprendre qu'ils ont une bonne raison d'être. Moins on résiste, plus on est dans la gratitude de cet échec. C'est dur de dire qu'on est reconnaissant d'avoir perdu son emploi lorsque l'on ne sait pas quand l'argent va venir. On comprend pourquoi ensuite et on trouve les vraies raisons d'être reconnaissant de ces choses‑là, et ça attire la solution.

J’AI PERDU MON JOB ET ÇA ME PLAÎT de Lilou Macé (Guy Trédaniel Éditeur) Un jour, Lilou perd son emploi. Elle décide de mettre ses croyances à l’épreuve et d’utiliser la loi de l’attraction pour trouver l’emploi de ses rêves. Ce livre, c’est un accès direct, intime et authen‑ tique à cette auteure. Nous suivons ses succès, ses réflexions, ses apprentissages et ses défis sur une période de 30 jours. À lire aussi : Je n’ai pas d’argent et ça me plaît, son 2e livre. (Julie Niquette)

BOUQUINS

Les mots des uns font le bonheur des autres

Par Julie Niquette, chroniqueuse littéraire julie_pour_partoutici@hotmail.fr

Notre mission est de contribuer à votre mieux‑être et vous inspirer à faire le bien autour de vous, depuis plus d'un an maintenant. Pour vous soutenir dans votre quête du bien‑être et vous témoigner tout le bonheur que j’ai à participer à ce merveilleux magazine, voici une chronique bonheur ! 3 KIFS PAR JOUR, par Florence Servan‑Schreiber (Éditions Marabout) La recherche du bonheur est une quête universelle. Afin de nous aider à voir la vie autrement, l’auteure nous propose plusieurs élé‑ ments clés issus de la psychologie positive. On parle notamment du pouvoir de la gratitude, de l’importance de se reconnaître, de choisir sa façon de voir les événements, de noter trois instants bonheur par jour, de découvrir sa vocation et ses talents et bien d’autres astuces et réflexions recommandées pour cultiver le bon‑ heur. Un contenu accessible et plus qu’intéressant.

MANUEL DU MAÎTRE, par Dominique Allaire (Éditions Le Dauphin Blanc) Dominique Allaire est coach de vie et auteure. Elle tient aussi un blogue que vous pourrez apprécier en vous rendant au www.byebyebog.com. Dans ce livre, elle nous partage des principes de vie desquels émanent sagesse, vérité et sensibilité. Sans jugement, elle nous amène à découvrir les lois universelles de la vie.

HEUREUX SANS RAISON, de Marci Shimoff (Éditions Un monde différent) Si vous souhaitez être plus heureux dès maintenant, ce livre pourrait bien répondre à votre demande. Apprendre à être heureux, et ce, peu importe les circonstances extérieures, voilà un beau programme !

HAPPINESS, LA PETITE BOÎTE DU BONHEUR, Collectif (Éditions de l’homme) Le livre Happiness, le grand livre du bonheur a connu beaucoup de succès à sa sortie et même après. Le sujet en passionne plus d’un ! Si vous n’avez pas beaucoup de temps à consacrer à la lecture, mais que vous désirez tout de même profiter de la sagesse de cette œuvre, Happiness, la petite boîte du bonheur est disponible. On traite de psychologie positive concrètement et simplement en 52 cartes. Vous aurez ainsi le bonheur à portée de main…

LA VOIX DE L’INTUITION, par Catherine Balance (Les Éditions de l’homme) « L’intuition est une question de disposition intérieure. Elle ne s’apprend pas, elle se redécouvre et s’entretient, » nous dit l’au‑ teure. Et si cela était une clé à saisir pour atteindre le bonheur au quotidien ? Rempli de trucs, de conseils et d’exercices, ce livre vous aidera à mieux distinguer votre intuition et à faire des choix correspondant davantage à vos valeurs et à votre essence.

CRÉEZ LA VIE QUI VOUS RESSEMBLE, par Anne‑Marie Jobin (Les Éditions Le jour) Êtes‑vous de ceux qui, comme moi, adorent les livres de cette au‑ teure ? Ses livres, dont Le nouveau journal créatif et Exercices créatifs zen, sont si intéressants et efficaces ! Celui‑ci vous aide à identifier les obstacles qui freinent votre élan créatif. Si vous avez envie de permettre à votre énergie créatrice de se déployer dans toutes les sphères de votre vie, lisez ce livre et mettez les exercices proposés en pratique ! Attention ! Les résultats pourraient vous éblouir !

LA VIE EST COOL, par Neil Pasricha (Les Éditions Transcontinental) Nous vivons tous et toutes, à un moment ou un autre de notre vie, des périodes plus sombres et difficiles. Malgré tout, si on ouvre les yeux, on apercevra rapidement à quel point la vie nous réserve de belles surprises. Notre quotidien est rempli de petits cadeaux : une caisse additionnelle s’ouvre à l’épicerie, vous avez suffisamment de pâte à dents alors que le tube semblait vide, vous avez fait le plein d’essence juste avant que le prix augmente, etc. Ce livre a pour mission de nous rappeler tous ces petits bonheurs. L’auteur a également un blogue dans le même genre à découvrir : www.1000awesomethings.com.

Félicitations ! Très certainement l’un des meilleurs auteurs de polars, Martin Michaud a remporté le prix Saint‑Pacôme du roman policier 2013 pour Je me souviens. C'est la deuxième fois que cet auteur de Montréal remporte ce prix, reçu précédemment pour La chorale du diable. On s’arrache déjà son tout dernier, Sous la surface, qui est à peine sorti de l’imprimeur. PARTOUTici .COM

MIEUX‑ÊTRE

amour

La bible de l' Par Catherine Verdon

J'ai rencontré Jacques Salomé durant son passage au Québec pour la sortie du livre Voyage aux pays de l'Amour. Quand il parle de ses conférences et ateliers avec le public, il me confie : « Au début, j'étais naïf, je croyais que les gens venaient pour moi ; maintenant, je sais qu'ils viennent pour eux ». Ce grand homme, de qui je dis souvent qu'il a compris beaucoup de choses de la vie, verbalise merveilleusement bien un sujet complexe qui nous tiraille souvent tout au long de notre vie. Voici le récit d'un avant‑midi avec le psychosociologue et écrivain Jacques Salomé. Catherine Verdon et Jacques Salomé

CROYEZ‑VOUS À L'AMOUR POUR TOUJOURS ? OU Y AVEZ‑VOUS DÉJÀ CRU ET ÇA A CHANGÉ EN COURS DE ROUTE ? L'amour pour toujours est une escroquerie parce que nul ne sait d'avance la durée de vie d'un amour. Je ne sais pas si l'amour de l'autre durera. Ça peut exister, mais ce n'est pas le propre de l'amour. C'est pour ça que c'est une relation à risque.

MAIS, LES GENS VEULENT Y CROIRE, ON S'ENTEND TOUS QUE VOUS AVEZ RAISON, MAIS ON NE VEUT PAS SE LE FAIRE DIRE PAR L'AUTRE… Je ne veux pas entretenir les leurres que les gens ont avec la vie. C'est une double escroquerie. Ce qui va maintenir un amour vivant, ce sont 3 choses. Prendre soin de l'amour qui est en moi. Si je veux donner de l'amour, il faut déjà qu'il soit en moi. 30 % des gens se contentent de consommer l'amour que l'autre a pour eux. Ensuite, accepter de donner l'amour, de l'offrir. Ça parait une évidence, mais non. Il y a des gens qui vous disent « je t'aime » et vous ne recevez rien. Il ne se passe rien dans la relation.

PARCE QU'ON NE SAIT PLUS CE QUE C'EST D'AIMER ? Ils sont dans l'illusion. Vous êtes une belle femme et moi je suis très fier de vous montrer alors je vais dire « je t'aime, je t'aime », mais vous n'allez rien recevoir de moi parce que ce qui m'intéresse, c'est d'être vu avec vous. Il y a beaucoup de pseudo‑amours. Et troisième condition pour qu'un amour dure, il faut une relation de qualité. L'amour pour toujours, c'est une double escroquerie : à soi‑même et à l'autre.

EST‑CE LE FAIT DE MAL SE CONNAÎTRE QUI FAIT QU'ON VA SE RAMASSER DANS UNE RELATION MALSAINE OU TOXIQUE ? Ça joue un rôle, le fait de ne pas se connaître. Mais c'est inévitable que la relation d'amour réactive l'ex‑enfant qui est chez nous. On croit voir de l'extérieur 2 adultes, mais il y un petit enfant. Le fait qu'on soit proche va réveiller les vieilles blessures de l'ex‑enfant que vous étiez. Et le signe, c'est quand on a des réactions disproportionnées. Ce n'est pas ce que l'autre a dit, c'est qu'est‑ce que ça a touché chez moi.

« La pire des solitudes n'est pas d'être seul, c'est d'être un mauvais compagnon pour soi‑même, de s'ennuyer en sa propre compagnie. Vous n'êtes pas seul, vous êtes avec vous. » VOUS PARLEZ D'INFIDÉLITÉ DANS LE LIVRE, ET VOUS DÎTES QU'À PARTIR DU MOMENT OÙ ON A UN DÉSIR DE, ON DEVIENT AUTOMATIQUEMENT INFIDÈLE, SOIT ENVERS SOI, SOIT ENVERS L'AUTRE. ON A TOUJOURS L'IMPRESSION QUE L'INFIDÉLITÉ EST ENVERS LE CONJOINT, MAIS C'EST TRÈS INTÉRESSANT COMMENT VOUS L'AMENEZ. Mais oui, parce que l'infidélité est maltraitée. On voit tout de suite l'adultère, la tromperie sexuelle. La fidélité, c'est la rencontre de 4 fidélités : la mienne envers moi, envers vous, et la vôtre avec vous et la vôtre envers moi. Tant que ces 4 fidélités sont respectées, on peut rester 90 ans ensemble, mais si un moment donné vous sentez que vous n'êtes plus fidèle à vous‑même, vous êtes en conflit intrapersonnel. Ça, c'était les femmes de ma génération. Elles restaient fidèles au partenaire en étant infidèles à elles‑mêmes.

VOUS DÎTES QUOI AUX GENS QUI NE CROIENT PLUS À L'AMOUR, OU QUI Y ONT RENONCÉ ? Que c'est provisoire. Nous n'avons pas de pouvoir sur les sentiments. Après 2 ou 3 relations, on se dit : « C'est fini, je ne veux plus souffrir, je ne veux plus aimer ». Le sentiment d'amour est d'ordre vibratoire. Ça échappe à toute raison. Je ne peux pas me dicter de vous aimer si je ne vous aime pas, pas plus que je peux me dicter de ne plus vous aimer.

SI L'AMOUR EST VIBRATOIRE, UNE PERSONNE QUI RÉPÈTE DU NÉGATIF NE L'ATTIRERA PAS PAR CONTRE, NON ? Il y a 2 choses. L'amour est une vibration chez celui qui aime, qui ne rencontre pas toujours une vibration chez l'autre. Si je n'ai pas de vibration en moi, mais vous en avez une, elle ne me rejoindra pas. Vous ne serez que déçue ou souffrante. Ensuite, vous direz que l'amour fait souffrir. Ce n'est pas l'amour qui fait souffrir, c'est le fait que vous n'avez pas pu établir de

relation avec moi, de ne pas pouvoir créer une relation qui s'accorde à l'amour. Pour la relation d'amour, il ne suffit pas de dire : « tient, on va se marier ». Il faut nourrir cette relation et c'est là où nous sommes le plus infirmes.

« Une personne qui n'a pas fait de travail sur soi va gérer la recherche de solutions. Angoissée, par exemple, la personne va chercher une réassurance chez moi, va m'infantiliser en déposant son insécurité sur moi et j'aurai la mission de la sécuriser. On doit faire un travail sur soi pour savoir d'où vient cette insécuri‑ té. Beaucoup de relations de couple vont échouer parce qu'on va gérer le poids des choix inconscients. » PARLEZ‑MOI DE « TESTER » L'AUTRE, DE METTRE LA RELATION À L'ÉPREUVE, VOIR SI L'AUTRE NOUS AIME, S'IL VA PARTIR… Ça, c'est un des grands enjeux de la relation d'amour, la peur d'être abandonné. On doit comprendre que derrière toute peur il y a un désir. Si on comprend ça, on transforme la dynamique. Ce n'est pas en déposant mes peurs sur vous que ça va vous aider à rester avec moi. Vous savez, la peur d'être abandonné joue beaucoup sur la sexualité, fait qu'on ne s'abandonne pas. Pour avoir du plaisir dans la rencontre sexuelle, ça implique de lâcher prise. Pour lire l'entrevue complète avec Jacques Salomé :

magazine.partoutici.com

MIEUX‑ÊTRE

PASSER DE LA PAROLE À L’ACTE Quoi ? Tu n’es pas marié ?, réplique le gars en face de moi, qui, de toute évidence, s’est fait traîner de force à cette rencontre. Ne change pas de sujet mon amour, on est ici pour parler de nous, répond du tac au tac la fille qui a organisé cette rencontre préparatoire à leur mariage. Effectivement, je ne suis toujours pas marié. Ça y est, je suis démasqué, me dis‑je. Non, je ne crois pas à ça, le mariage. Je leur lance cette affirmation, accompagnée d’un large sourire, comme pour m’assurer qu’ils me trouveront drôle et que l’on pourra passer à un autre sujet.

Ils me regardent, ne sachant pas comment réagir. J’éclate de rire, avec le but précis d’influencer leur réaction. La fille m’imite, le gars la suit. Je suis sauvé.

Catherine Verdon et Natacha Brisson

avec Dominic et Martin au lancement d'En Scène

À la suite de cet épisode, je commencé à me questionner sur mon propre amour. J’ai googlé : « amour vrai ». Je suis tombé sur un article intitulé « Amour vrai : 5 signes qui ne trompent pas ».

Guillaume Lemay‑Thivierge pour la Fondation X‑Quive

Parmi les 5 signes, j’accroche sur un point en particulier : « Accepter de s’engager dans l’inconnu ». Ce mot, « inconnu », est souvent synonyme de peur. Cette peur du changement qui peut paralyser. À l’autre spectre de la peur se retrouve l’amour ; c’est souvent là que l’on trouve l’essentiel, le vrai. J’ai donc choisi l’amour, l’amour de moi, de l’autre et de l’extraordinaire relation que nous vivons ensemble. Alors, je vous l’annonce en primeur, depuis quelques semaines, je n’ai plus à me cacher derrière l’humour pour camoufler le fait que je n’ai toujours pas fait le saut et déclaré : « Oui, je le veux ! ». Enfin, je peux dire qu’en matière d’engagement, les bottines suivent les babines.

Louis‑François Marcotte Du verre à la fourchette

avec Bianca Gervais et Geneviève Dumont de ANEB Québec

6. 7.

Cat & Nat en préparation

avec la dragonne Danièle Henkel

avec Isabelle Challut, Martin Larocque et Josée Bournival

Vous avez un sujet à me proposer pour une prochaine chronique ? Vous avez envie de discuter vie de couple ? Vous cherchez un célébrant ? Contactez‑moi g.pratte@fsev.ca 4 6

Grégory Pratte, célébrant FSEV www.fsev.ca

7 8

Merci à Zéphyre / Stéphanie Dubuc pour les belles photos tout au long de la saison.

Gregory Pratte est aussi chroniqueur « relations de couple » à Cat & Nat le matin tous les jeudis sur TVBL www.tvbl.ca

Pour voir toutes les autres productions de votre télé, rendez vous sur le site internet pour consulter la grille horaire et voir les émissions des dernières saisons. PARTOUTici .COM

CALENDRIER

On y sera ! est fier de vous présenter :

Isabelle Fontaine

Une grande aventure « qui fait du bien » verra le jour en début 2014 dans plusieurs villes du Québec et des Basses‑Laurentides. « Les dimanches qui font du bien », une tournée de 40 conférences que se tiendront les « dimanches matins ». Chacun des inspirants conférenciers vous partagera ses passions, ses rêves, ses envies et ses défis. Vous pourrez découvrir que, derrière votre écran de télé, se cachent des gens d’une grande humanité qui vivent sensiblement les mêmes bonheurs et angoisses que vous.

du 19 janvier au 7 décembre 2014 Les villes visitées sont : Laval, St‑Eustache, St‑Jérôme, Terrebonne, Trois‑Rivières, Brossard, St‑Jean‑sur‑Richelieu, Beloeil, St‑Hyacinthe et Drummondville. www.lesdimanchesquifontdubien.com

conférencière

le 29 janvier 2014 dans les Basses‑Laurentides

Psychologie de la performance et intelligence émotionnelle »» L’art de surfer sur le changement »» Intelligence émotionnelle : ruses et stratégies

On a très hâte d'entendre la conférence de Guylaine Guay, une amie et femme de grand talent, d’une gentillesse et générosité peu communes qui est drôle, authentique… on pourrait dresser une liste impressionnante de tout ce qui fait de Guylaine Guay une des femmes de l’année… chaque année ! Cette chroni‑ queuse, maman, épouse, comédienne et humoriste ajoute maintenant le titre de conférencière à ses talents. Vous serez certainement séduits ! Sur la photo : lors de son passage à Cat & Nat le show.

»» Performance, charisme et énergie : comment y accéder »» Maximiser la portée de son influence »» Être un joueur d’équipe inspiré et inspirant »» Comment donner encore plus de sens à son travail ? »» Activez votre courage : une expérience de puissance, de liberté et de sens Contactez‑nous pour les détails ! ! www.partoutici.com • www.isabellefontaine.ca

NOS BONNES ADRESSES

https://www.facebook.com/1310FashionPhotography

Stéphanie Dubuc est une jeune femme de talent ! Vous avez pu voir certaines de ses photos dans le précédent numéro du magazine puisqu’elle était photographe de plateau sur Cat & Nat le show à l’hiver 2013 !

Au service du corps et de l’âme Ysabeille Gariépy Maître Reiki Soin énergétique Nettoyage émotionnel Libération des vies antérieures Voyance, tarot, numérologie Différentes formations offertes

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Nous désirons toujours connaître les meilleurs ateliers, adresses, produits, événements et causes de la région. N'hésitez pas à nous écrire à info@partoutici.com pour nous les faire découvrir ! PARTOUTici .COM

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3597, St-Jean Blvd. (514) 626-7235

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MONTRÉAL 5916, Papineau Av. (514) 274-4429 •

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