Filtre métropolitain

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LIRE LA MÉTROPOLE





FILTRE METROPOLITAIN LIRE LA MÉTROPOLE W O L F F PAU L I N E / L A B 4 3 / S É M I N A I R E S 9 C A R N E T C U R I E U X / R . M A R C I A N O - F. J A U B E R T



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APPRÉHENDER LA MATIÈRE

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PRÉAMBULE URBAIN La ville ne se suffit plus à elle-même. Ancêstralement inscrite dans un schéma de gestion du territoire hiérarchisé ( de type ville/commune/département/région), elle devient aujourd’hui une entité à part entière en accédant à un nouveau statut, celui de Métropole.Par sa définition étymologique, elle met au centre la ville la plus importante de sa région et la place à la tête de ce que l’on appel aujourd’hui « l’Aire Métropolitaine ». « La question de la limite de la ville à toujours été endémique à la ville indépen damment des formes qu’elle a pu revêtir »1 La complexité devient alors de définir les limites de cette concentration. Il est évident que l’on retrouve des limites juridiques et marquées de l’aire métropolitaine mais cette question de globalisation cachée sous l’appellation d’« Aire » soulève d’autres interrogations de l’ordre de l’appartenance. Le territoire en question est un véritable patchwork urbain composé de fragments issus d’époques, d’initiatives, et d’esthétiques différentes, concentrant une multitude d’architectures, de pratiques, de rythmes, de gens et d’identités différentes. À l’heure de la formation de cette Aire Métropolitaine - et des réticences de certaines petites communes Marseillaises voisines incluses dans le schéma projeté - on peut se demander comment peut-on globaliser positivement sous l’éponyme de Métropole, des fragments d’identités si hétérogènes. Cette nouvelle réalité doit donc être consciente des bribes urbaines qui la constituent. C’est bien en questionnant la ville-métropole, ainsi que ses villes voisines,

«L’ordre et la règle : vers une théorie du projet d’architecture», Patrick Mestelan.

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que pourront apparaître des pistes plausibles qui nous permettront de mettre un peu de lisibilité dans ce chaos sauvage que représente aujourd’hui le territoire-ville ou l’urbain. « Les villes s’étendent; elles s’étalent. L’urbanisation s’amplifie et s’accélère. L’urbain apparait comme une réalité planétaire complexe, évoluant à la frontière entre l’ordre et le Chaos /…/ Entre en relation et différence, les savoirs émergents de la complexité permettent de rendre plus intelligible la diversité des figures de l’urbain à travers la description et différenciation de ses formes,la diversité de ses fonctions, l’enchevêtrement de ses structures, la pluralité de ses usages sociaux et de ses dynamiques.»1

«La ville et l’urbain: des savoirs émergents» Antonio Da Cunha, Laurent Matthey

Cette identité, au sens stricte, peut être abordée sous la question de la limite. En effet la ville est composée à la manière d’un tableau. Elle est définie par bribes urbaines qui entrent en connexions les unes avec les autres pour prendre sen dans un cadre plus général et donner naissance aux places, quartiers, arrondissements, ou encore territoires. Lorsque l’on s’approche et que l’on tente de lire ces espaces, on se rend compte qu’ils sont déterminés par un marquage rigoureux signalé par des limites. Ainsi dissocie-t-on l’espace public accessible ouvert, et perméable, de l’espace privé inaccessible, imperméable et lieux de l’intime. Mais ces barrières auxquels nos corps se heurtent physiquement ont une autre répercussion à l’échelle du vécu.

«L’ordre et la règle : vers une théorie du projet d’architecture», Patrick Mestelan

«Promouvoir une limite à la ville, ce n’est

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collectif. Une pérennité que laissera se Strace perceptible, parmi d’autres, dans l’évolution urbaine ».2 En s’attachant à ces petits détails qui nous entourent et auxquels on ne prête pas attention, on pourrait alors mesurer la ville et son ampleur. « Cette limite n’est pas hermétique: elle tolère une interaction de la ville et du paysage. Il faut concevoir cette limite comme le facteur originaire qui permet au paysage et à la ville de se différencier réciproquement, d’entretenir entre eux un rapport figure/fond, sans lequel rien ne parvient a être perçu. Le paysage perçu de l’intérieure de la ville vient qualifier et individualiser la physionomie de l’espace urbain » 1 Les initiatives au cœur des débats viennent abordées des questions majeurs qui à cette échelle nous dépassent. Mais à notre échelle, nous pouvons nous aussi être acteur et lectueur de cette métropole en adoptant le rôle de flâneur, et ainsi prêter attention à ce qui nous entoure. C’est en flânant dans la ville que l’on se rend compte de la perméabilité de ces petits rien. « L’idée de matrice urbanistique est à prendre dans le sens d’un rapport qui dénote un jeu de proportions entre matérialité et immatérialité » 2

«Promenade dans l’esthétique du paysage, Rosario Assunto Matières Lausanne»

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La matérialité de ce qui existe pourrait dévoiler l’immatérialité de ce qui nous en

«La ville et l’urbain: des savoirs émergents» Antonio Da Cunha, Laurent Matthey

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rtoure. Révéler ce que l’on vit au quotidien. Ces façades, barrières qui reflètent, ou barrent la. oute mais laissent passer notre regard. Ce sont ces éléments là qui une fois combinés, nous donnent un tout autre point de vue sur la ville «La limite matérialisée assume, en tant que trace sur le sol ou norme commune la présence de l’ordre, sa manifestation en quelque sorte pour l’Autre » 1 Un point de vue à notre échelle. Lorsque touts ces éléments bien pensés et organisés, à une macro échelle, viennent s’inter-choquer et être mis en relation un peu malgré eux à une micro échelle, c’est la où nous pouvons aborder la ville. « Tout se qui se traduit par des relation à l’extériorité et à l’altérité nécessité la création ou la prise en compte de limites » 2 Elle ponctue l’espace urbain, délimite, sépare, interdit, coupe. La limite est un élément urbain sur-exploité pour découper la métropole. Ephémère ou pérenne, franchissable ou infranchissable, publique ou privée, hermétique ou perméable, elle se matérialise sous toutes les formes dans la ville à la manière d’un filtre métropolitain. En partant du postulat que la limite n’est pas seulement un élément qui de part sa définition constitue un obstacle mais bien un élément faisant partie intégrante du décor urbain, qui est pensée et structurée ,qui révèle bien plus que ce à quoi elle ne donne pas accès.

«La ville et l’urbain: des savoirs émergents» Antonio Da Cunha, Laurent Matthey

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AU TRAVERS DU SOCLE


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AU TRAVERS DU SOCLE Alors que je parcourais cet espace rythmé et cadencé par un cheminement bien ordonné, je viens me heurter à cette anomalie. Elle apparait à la fois comme étrange, et inattendue. Se révèle alors une lumière différente, qui brouille ma vision mais m’attire indescriptiblement vers le fond. Je comprends que la lumière s’insérant sinueusement dans l’espace, révèle son enveloppe et me laisse percevoir quelques bribes qui me sont familières Je distingue le noyau massif duquel j’ai tourné un certain laps de temps et qui ne prend forme sous mes yeux que maintenant et vois au travers. GSEducationalVersion GSPublisherVersion 0.87.100.100

Par cette enveloppe je me sens entourée et immergée dans un espace particulier.Je me rend compte qu’en réalité je suis protégée par cette couronne qui me place sur un piédestal .

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Ces mêmes perceptions et sensations me renvoient à la position spatiale de ce bâtiment monumental.

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Je domine l’espace et je suis sur un de ces socles urbains qui m’offre cette vision si singulière. Elle me permet de m’arrêter un moment et me rendre compte que l’épaisseur que je découvre n’est que l’échos de l’espace qui m’entoure.

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CHAOS QUOTIDIEN


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C H A O S

Q U O T I D I E N

Au milieu de ces ruelles sinueuses apparait l’une de ces situations quotidiennement pratiquées et empruntées par chacun. Cette petite respiration urbaine qui s’offre à moi n’est constituée que par un amas d’éléments hétéroclites composés de façon anarchique. Une stratification progressive qui n’a sans doute ni prêtée attentionà ce qui à été auparavant, ni à ce qui sera dans le futur. Délimitée et cadrée grâce à cette grille qui signale et génère de l’espace. C’est le moyen par lequel la non-architecture du lieu prend sens. Des éléments présents ponctuellement tels que les véhicules qui à la fois entourent, composent et valorisent ce chaos urbain constituent de vrais réceptacles à images.

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Cette délimitation ressentie sensiblement est palpable à une échelle plus importante.Le bâti environnant encadre cet espace chaotique qui ne se limite pas seulement à cette place, mais est applicable à tout le quartier. Ce désordre urbain est cadré par le bâti autour qui fixe l’étalement possible de cette décomposition urbaine.

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Ainsi je comprends que ce que je peux percevoir à ma propre échelle n’est que le reflet de ce qui existe à une échelle plusimportante. .

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DIFFRACTION INTERNE


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DIFFRACTION INTERNE C’est accueillie dans des bras ouverts bienveillants que je franchis le seuil et me laisse immergée par la froideur de la pierre. Parcourant les couloirs au tempo des voûtes qui ponctuent et marquent la déambulation, je découvre progressivement l’espace qui m’encercle. GSEducationalVersion GSPublisherVersion 0.88.100.100

C’est en cheminant au sein de cette promenade périphérique que je m’aperçois, que c’est grâce à elle que prend sens et force le cœur du bâtiment. Décomposé, éclaté, dispersé, recomposé, c’est ainsi qu’apparaît au rythme de ses reflets l’élément central. Un véritable jeu architectural qui nous donne une autre vision de l’espace abordé.

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Le même principe s’applique à l’échelle urbaine mais cette fois ci, c’est le bâtiment entier qui est au centre.

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Il se retrouve diffracté, séquencé au grès des différentes typologies d’architecture qui l’entourent. Chaque fois il doit être capable de dialoguer d’une manière particulière avec chaque élément d’architectures avec lequel il interagit.

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Je comprends enfin la nécessité de laisser de l’espace libre. Cela permet à tout niveau d’échelle, de respirer et de s’articuler harmonieusement avec des éléments qui constituent son à la fois son cadre, et lui-même par extension.

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TRANSITION GUIDÉE Entre l’ombre et la lumière je tente de discerner ce qui relève du vrai du faux. Quel serait l’élément qui pourrait me guider pour atteindre ma destination. Rez-de-chaussée (5)

La matérialité du bâti, l’irrégularité des éléments guident et le résultat produit par ces derniers grâce à la lumière propose une trame illusoire . Même si on ne désire pas la suivre, on y est fatalement confronté, et c’est par ce biais que je traverse la matière. Cette matérialité est comme un tissu que l’on cherche à broder. Il faut à la fois connecter ainsi que discerner certain séléments. GSEducationalVersion GSPublisherVersion 0.73.100.78

Rez-de-chaussée (5)

C’est ce que je relève lorsque je prends un peu de recul. Je constate que l’intervention urbaine n’est en réalité qu’une «couture urbaine» pour connecter deux éléments du tissu urbain totalement hétérogènes mais pourtant coexistant ensemble bien avant l’émergence de ce nouveau point d’usage.

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Ainsi l’intervention chirurgicale est à la fois à une micro échelle très importante, mais l’est tout autant à une macro échelle où elle vient ré-articuler entre elles deux entités bâties préexistantes.

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ÉCHOS À LA RIGUEUR


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POINT DE VUE DIVERGEANT Un batiment seul n’a pas de sens. Il prend force dans son articulation et ses connexions avec les éléments qui l’entourent. Il se retrouve déformé, dupliqué, séquencé aux travers des différents filtres urbains qui l’environnent et qui le font exister. Il devient secondaire, ce qui nous permet d’avoir une nouvelle vision sur celui ci.

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ÉCHOS A LA RIGUEUR Initialement ce n’était qu’un passage dans l’une des rues de la ville sans forcément d’intérêt.

POINT DE VUE DIVERGEANT Un batiment seul n’a pas de sens. Il prend force dans son articulation et ses connexions avec les éléments qui l’entourent. Il se retrouve déformé, dupliqué, séquencé aux travers des différents filtres urbains qui l’environnent et qui le font exister. Il devient secondaire, ce qui nous permet d’avoir une nouvelle vision sur celui ci.

L’intérêt n’apparaît que lorsque mon regard se porte sur l’un des plus petits détails qui de manière imprévue produit quelque chose de plus. Ce petit détail provenant d’un bâtiment anodin non considéré comme Architecture. Il ne se veut pas avoir un impact particulier sur ce qui l’entoure, au contraire il tend à servir le contexte dans lequel il s’inscrit par sa discrétion. Et ainsi qu’un monument majeur d’architecture se retrouve mis en abyme dans un autre qui lui rend hommage sans le vouloir.

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Évoquant et rappelant la rigueur et la trame de ce bâtiment, elle le met en exergue et le rend plus fort.

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Ce que l’on remarque de manière ponctuelle est pourtant le fruit d’un travail réfléchi qui en dé-zoomant a fait apparaître la conception d’une véritable trame constituant tout un quartier.

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Un schéma rigoureux appliqué pour structurer et organiser la matière urbaine. Je peux alors parler d’écho entre ces deux entités qui mettent en exergue l’intelligence conceptuelle appliquée sur le plan urbanistique.

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Cette avoir

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CONVERSATION URBAINE Je me retrouve au milieu de cette conversation de manière inopinée. Ces éléments filtrés au sens littéral du terme sont aussi des moyens de mise en dialogue et connexion des espaces eux même. On trouve certains filtres, mieux placés que d’autres qui ont cette capacité de catalyseur. A l’image d’un kaléidoscope, ils absorbent les images et les effets environnants. Ce n’est qu’en s’en approchant que peut apparaître ce condenser d’urbain.

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En effet je me trouve dans un espace ouvert qui accueil tout ce qu’il se passe alentour, et qui d’ailleurs ne prend forme et usage que grâce à ce qu’il se passe autour de lui.

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Mais c’est bien lui qui me permet de me rendre compte de l’espace qui m’entoure. Un perpétuel dynamisme qui me permet de réfléchir au rôle du lieu dans lequel j’agis.

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En réalité, je me trouve dans une pause urbaine, qui a pour but d’ être un moment d’observation , d’orientation, ou de contemplation.

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Tant d’éléments différents autour interagissent par le biais de cet espace pour s’harmoniser au mieux séquence par séquence. GSEducationalVersion GSPublisherVersion 27.69.80.83

Cette conversation urbaine a alors trouver un lieux pour s’exprimer .

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LECTURE DU FILTRE MÉTROPOLITAIN


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L I R E L’ E S PA C E U R B A I N METROPOLITAIN

Lazlo

Moholy

Nagy

«Helsinki»

Pour comprendre cet espace, il nous est important d’appréhender l’urbain, celui qui constitue nos villes aujourd’hui, et plus particulièrement notre future métropole. « Ainsi l’urbain existe bien avant sa dénomination, il constitue un dépassement de la bipolarité centre-périphérie /…/lorsque ces deux territoires, encore relativement séparé l’un de l’autre, sont noyés dans une même géographie relationnelle, ils deviennent subordonnés à ce que les enveloppe, et ce que l’on va nommer l’urbain » 1

Lazlo Moholy Nagy «Tour radio de Berlin»

Mais qu’appel t on à proprement parlé «urbain»? D’après l’intervention de Thierry Paquot lors de sa conférences « Y a t il un dehors ? », nous notons qu’il relève le terme d’« Urbanologie » inventé par Marcel Cornu. Cela propose un ensemble de recherches et études autour de l’espace urbain dans les domaines de la géographie, l’histoire, la sociologie, l’économie. « L’Urbanologie serait la science de la ville » 2

«De la ville au citadin» Thierry Paquot, conférences de l’hotel du département des bouches du Rôhne

1,2

Thierry Paquot révèle au cours de sa conférence qu’il y a une nécessité de générer une science de cet espace que l’on traite, et qu’il faut donc comprendre tous les domaines, et non se limiter à l’urbanisme trop fermé pour lui. Il propose alors une nouvelle méthode d’application de cette science; faire cohabiter les anciens critères acquis au sein des années de recherches jusqu’à nos jours,

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mais aussi d’y intégrer de nouveaux, plus contemporains à des problèmes auxquels est confrontée la ville d’aujourd’hui. En effet : « Les connaissances sur la ville et ses évolutions ou régressions sont fragmentaires, incomplètes, provisoires, et inachevées et ne doivent aucunement mépriser le regard des romanciers, peintes photographes, cinéastes et autres artistes » ainsi que et les chercheurs de la ville doivent manier avec dextérité le décalage, la coexistence , la comparaison, et la traduction et intégrer » .Ils doivent se libérer de « ce qui est, résulte de ce qui précède /…/ ce qui est semblable est identique » 1

Lazlo Moholy Nagy «Photogrammes»

Lazlo Moholy Nagy «Madam Butterfly set»

C’est d’après Henri Lever que T.Paquot nous explique que l’urbain créerait un nouvel espace temps. « L’urbain se distingue de la ville précisément parce qu’il apparait et se manifeste au cours de l’éclatement de la ville, mais il permet d’en reconsidérer et même d’en comprendre certains aspects qui longtemps passèrent inaperçu/…/ l’Urbain, c’est a dire la société urbaine » 2 Nous ferions finalement face a une « urbanisation distendue ». « Cette dispersion territoriale épouse la dispersion temporelle qu’elle favorise » «De la ville au citadin»Thierry Paquot, conférences de l’hotel du département des bouches du Rôhne

1,2,3

Cette collision des territoires et leurs

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Lazlo

Moholy

Nagy

«Marseille»

Lazlo Moholy Nagy «Light space modulator»

«De la ville au citadin» Thierry Paquot, conférences de l’hotel du département des bouches du Rôhne

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fragmentations deviennent alors notre nouveau terrain de jeu. Il serait intéressant d’aborder la métropole par des situations de ville, d’urbain, qui remettent en perspective notre regard; S’attacher au détail d’une manière où tout repère disparaîtrait et seul le vécu interpréterait ces éléments qui composent à la fois la ville et notre regard. C’est ainsi que nous tenterons de donner notre propre définition de cet « urbain quotidien » auquel nous sommes tous confrontés, mais auquel nous ne prêtons que très partiellement attention. Nous nous attarderons décrypter ces images, ces décors de la manière la plus simple possible à travers des filtres qui ne sont que les échos de ces environnements métropolitains. Ces rendus abstrait ne son que suggestions d’interprétation des initiales images formées de bribes urbaines avec et sans repères géographiques, fragments historiques, sociologiques, ou économiques. Cet environnement nous donne à voir une succession, voir superposition de plans, littéralement non visible mais on les distingue. Ces filtres, ou formations de plans successifs ne sont que la retranscription simple et banale de la limite. Une limite qui diffracte et reflète l’environnement, et une autre qui cadre et ouvre le regard sur un environnement. Thierry Paquot, évoque à travers Georges Perec et son ouvrage «Espèces d’espaces» « ne pas essayer trop vite de trouver une définitionion à la ville »;

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Ainsi, nous pouvons d’après cette étude menée préalablement que nous sommes face à plusieurs typologie de filtre urbain. Le premier aurait attrait avec ce qui est reflèté et diffractés pour créer des «diffractions visuelles» et le deuxième utiliserait la délimitation et le cadrage en générant des «cadrages séquencés». Nous nous attacherons pour conclure à décortiquer ces deux notions de manière à les clarifier et les rendent appréhendable .

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FRAGMENTS VISUELS Au travers «d’Espèce d’espace», Thierry paquot note que la ville « C’est beaucoup trop gros, on à toutes les chances de se tromper ». 1 Man Ray Rayographe-Photogramme

« Et d’inviter le lecteur à recenser ce qu’il peut décrire ,ce qu’il connait personnellement d’une ville, ce qui la caractérise, lui appartient en propre et au figuré.» Il dit enfin que la ville serait un « objet d’étude malcommode qui s’échappe comme un savon lorsque vous croyez l’avoir attrapé! » 1 Pourtant, Marcel Roncayolo lors de sa conférence « Les temps de la ville » explique

Lazlo Moholy Nagy «Eiffel Tower Paris»

« Le temps -ou plutôt les temps- est une dimension essentielle de ces expériences coulés qui font de nos rapports avec la ville /…/ selon les circonvolution de notre biographie personnelle » La ville et sa perception seraient donc forcément liées à un vécu projeté dans des souvenirs et des réinterpretations. Il cite d’ailleurs le philosophe Alain. « Il y a donc dans notre perception si simple qu’elle soit, toujours une mémoire appelé implicite. Toutes nos expériences sont ramassées dans chaque expérience… » 3 Faut-il donc voir à proprement parler ce que l’on voit véritablement? N’est il pas mieux d’avoir ces petites échappées pour pouvoir nous évader et laisser dériver notre esprit au travers ces limites

«De la ville au citadin» Thierry Paquot, conférences de l’hotel du département des bouches du Rôhne 2,3 «De la ville au citadin» Marcel Roncayolo conférences de l’hotel du département des bouches du Rôhne 1

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Man Ray Rayographe-Photogramme

matérielles qui ne font qu’ouvrir notre perception vers une nouvelle spatialité, et donc se détacher de cette rationalité un instant? « L’actuel n’est jamais pur, ni le passé d’ailleurs, puisque nous ne cessons de l’effacer ou de l’oublier partiellement, de le trier, de lui ajouter, de le « revivre - ce qui est reconstitution et non restauration-. Si l’on ne craignait de trop insister sur la métaphore ou l’analogie qui ferait de la ville, en ellemême, un être vivant et conscient, même, je dirais que font (et défont éventuellement » 1

Lazlo

Moholy

Nagy

«Chicago»

«De la ville au citadin» Marcel Roncayolo conférences de l’hotel du département des bouches du Rôhne 1,2,

Les villes sont de la même manière cumulative. La mémoire collective qui finit par imprégner les esprits, les récits s’incrustent dans le sol-matérialité ou représentation. «Ce sont ces situations que nous expérimentons, au moins par fraction, au court de notre propre biographie, mental et la ville» « L’une de mes idées sophistiquées peut être est que la ville, espace, objet, lieu de pratique, donné dans la simultané, n’est pas synchrone entre tous ses aspects. Elle met ensemble des rythmes et des durées qui obéissent a des temps différents, des séquences plus ou moins hétéroclites. Tout n’est jamais tout à fait à l’heure. C’est ce que l’on nomme des temporalité différentes, dans le vocabulaire du jour. Leurs éléments sont souvent réduits à l’état de traces, de « restes » purement linguistiques, de mots, de lieux dits, dont nous ignorons souvent l’origine et le sens.» 2 Tout ne serait qu’alors qu’illusion.

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SÉQUENCES CADRÉES

Bruno voisin explique Lazlo Moholy Nagy «Frome the Bridge

« Requalifier une place publique consiste à redéfinir un ensemble un certain mode de consommation de la ville » et que par conséquent on se trouve face à « la mise en place de limites, de seuils, de lieux intermédiaires. ». Mais ce phénomène n’en reste pas moins esseulé puisqu’il précise plus loin que « Les transformations des métropoles européennes s’accompagnent d’une mutation profonde du statu de ces espaces dont nous ne percevons que partiellement le sens » 1 Alors que dans son étude « L’éloge du potelé » 1, A.Hammouch parle de l’envie que l’espace public soit « un plaisir de ville » par la qualité de leurs matériaux, l’harmonie de leurs dessins, la netteté des formes. L’espace du piéton, l’espace du trottoirs ou de la rue doit être un espace net simple et clair. On dicerne la différence d’échelles -celle du pieton, et celle de la métropole-et les différents impacts voulus et vécus par ces deux dernier(e)s. En réalité, l’espace vécu comme le décrit A.Hammouch est l’opposé de ce qu’au cours notre parcours, notre corps et notre vison sont perpétuellement confrontés. Tous ces résidus d’urbain viennent se placer devant nos yeux, altérant la pureté de l’image. Il explique ensuite, que tout cela n’est que rêve et que réellement les espaces urbains sont emplis de ces barrière.

Lazlo Moholy Nagy «Sans titre»

«Les réussites sont surtout le fait des grands espaces emblématiques comme les places ou les grandes avenues. Alors que lorsqu’on descend à l’échelle banale /…/ des espaces de la quotidienneté ceux qui devrait s’offrir à nous avec un sentiment

«User, observer, programmer, fabriquer l’espace public » de J-Yves Toussain, Monique Zimmerman

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Markus

Markus

Amm

Amm

«Sans

«Sans

titre»

titre»

de beauté, dans une perception claire, dynamique , dans une conception ouverte de l’espace, nous apparait comme des espaces altérés, déstabilisés visuellement » 1

Pourtant, le citadin, et donc par extension le métropolitain y est journalièremment soumis, et s’y habitue sans trop s’interroger. La question est de se demander si ces éléments n’expriment pas plus qu’une simple frontière et limite. En intervenant les un sur les autres, ils produisent des codes, des séquençages cadrés sur l’environnement avec lequel ils interagissent. Ces cadrages particuliers nous y sommes habitué et ils provoquent une volonté du regard de chercher plus loin et de deviner. «Nous sommes en permanence environnés d’une foule de choses /…/ bien que la plupart du temps nous n’en comprenions que quelques éléments ou caractéristiques dont nous saisissons plutôt l’essence commune, même si nous remarquons pas toujours les même »2 Et que nous nous habituons à elles bien avant de nous en apercevoir.

«User, observer, programmer, fabriquer l’espace public » de J-Yves Toussain, Monique Zimmerman 2 «L’art du lieu »Norberg-Schultz 1,3

« Nous cohabitons avec ces choses bien avant d’adopter envers elles une position analytique, l’experience naturelle n’est ni objective, ni subjective, elle ignore tout différenciation entre corps et conscience »,3

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En finalité « le dedans n’est qu’un pli du dedans » Ces élément ne sont donc pas que négatifs, puisqu’ils font et continuent a faire partis de notre paysage, à constituer des plans superposés, des limites et des seuil métropolitain ou non. L’impact de ce développement urbain est donc irrémédiablement destiné à nous forcer à observer autour de nous et à générer du filtre perpetuellement. À nous de nous en amuser.

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TABLE DES MATIÈRES


FRAGMENTS VISUELS

AU TRAVERS DU SOCLE

CHAOS QUOTIDIEN

DIFFRACTION INTERNE

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Rez-de-chaussée (7) GSEducationalVersion GSPublisherVersion 0.98.100.100

Rez-de-chaussée (7)

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GSEducationalVersion GSPublisherVersion 0.69.100.82

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Rez-de-chaussée (7) GSEducationalVersion GSPublisherVersion 0.98.100.100

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GSEd GSPu ucatio blishe

nalVe rVers rsion ion 0.98. 100.1 00

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GSEducationalVersion GSPublisherVersion 27.65.75.83

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Rez-de-chaussée (1)

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GSEducationalVersion GSPublisherVersion 0.91.100.100

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SÉQUENCES CADRÉES TRANSITION GUIDÉE

CONVERSATION URBAINE

ÉCHOS À LA RIGUEUR

POINT DE VUE DIVERGEANT Un batiment seul n’a pas de sens. Il prend force dans son articulation et ses connexions avec les éléments qui l’entourent. Il se retrouve déformé, dupliqué, séquencé aux travers des différents filtres urbains qui l’environnent et qui le font exister. Il devient secondaire, ce qui nous permet d’avoir une nouvelle vision sur celui ci.

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Rez-de-chaussée (5)

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Rez-de-chaussée (5)

3 12 6 0 0 0

3 12 6 0 0 0

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Rez-de-chaussée (5)

3 12 6 0 0 0

3 12 6 0 0 0

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Rez-de-chaussée (5) GSEducationalVersion GSPublisherVersion 0.73.100.78

3 12 6 0 0 0

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GSEducationalVersion GSPublisherVersion 0.73.100.78 GSEducationalVersion GSPublisherVersion 0.87.100.100

GSEducationalVersion GSPublisherVersion 27.69.80.83




GSPublisherVersion 0.95.100.100

LE FILTRE MÉTROPOLITAIN Cette recherche tente de théoriser et matérialiser l’idée du filtre métropolitain. Perpétuellement entourée par ce patchwork composé de fragments d’urbains, nous tentons ici d’experimenter la métropole d’un point de vue humain, et de voir par quels moyens nous pouvons implicitement aborder ces limites qui n’en sont finallement pas .

W O L F F PA U L I N E / L A B 4 3 / S É M I N A I R E S 9 C A R N E T C U R I E U X / R . M A R C I A N O - F. J A U B E R T


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