1 minute read
2. Les transferts ou rejets d’éléments issus de l’agriculture
Ces volumes sont bien connus sur les élevages soumis à la réglementation des installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE*) et sur ceux ayant des ouvrages spécifiques (dossiers loi sur l’eau). Ils le sont moins pour les autres. Les volumes utilisés augmentent en période estivale chaude. Sur les secteurs en tension, des recensements ont été amorcés pendant les étés 2019 et 2020.
La lutte contre le gel par aspersion est pratiquée sur les vignobles à haute valeur ajoutée. Elle tend à se développer sur certaines productions fruitières. Comme l’irrigation, elle est soumise à une autorisation préfectorale annuelle et est très ciblée dans le temps (avril/mai).
Pour le nettoyage du matériel agricole, des bâtiments et des locaux de transformation (salle de traite, chais...) et les refroidissements, de gros efforts ont été faits pour économiser l’eau voire la recycler. L’eau de nettoyage doit être traitée avant rejet dans le milieu. Les prélèvements pour refroidissement des bâtiments (volailles) ou des chais sont contrôlés par les services de l’Etat dans le cadre des ICPE* et du plan sécheresse.
Les transferts ou rejets d’éléments issus de l’agriculture ont des impacts de mieux en mieux connus mais dont la gestion est plus complexe dans le cas de transferts diffus.
Il faut distinguer :