80 sec, Je Breton ha'lPOnna la proie. Par rajpi· des brassées i> l tira. la cordelette tendue, a· mena jusqu'à l·ui une grosse pièce qu'il soupesa d'une main experte. - Près de 3 livres! déiclara-t-i·l Cela fera le so~r des petits, A l'interrogation muette de mon regard, il expliqua: - Oui! Mons,ieur, j'ai à la maison, cinq boudhes à nourir, dont quatre bien endentées., je 'VOUS le jwre, sans com1pter la mienne, moins exigeante: ma bru et ses quatre mouJdherons·. Mon fiŒ ,s a péri en mer et ils n'ont p!us que moi. - C'esrt une lourde charge, commençai-je. H m'interrorr~it. - Que non!. . . Bien au contraire, une ·bénédiction du ciel. Ma bru tient la maison, netioie et raocommode nos !hardes·, prépare la so~pe. Les petits me griŒqpent sur tes genoux, m'égayent de leurs caresses et de leurs rires, et œJla déjlà me repose quand ie rentre du travaill. Je suis carrier. sans eux, je serais un ,partiiVre homme sans foyer. Si mon ms eO.t vécu et continué à na'Vi· guer coanme capitaine au cabotage, sa fern· me et ses enfants habiteraient son port d'attruohe. et moi, je serais tout seul ici- - . Certes, j'ai pleuré mon gars·, mais je le savais bon chrétien et je 1'eS(père dans la paix du ciel . . . En revanche, le Bon Dieu m'avait réseJ1Vé la consolation la plus douce en me donnant à le r~r près des siens, dont la présence sous mon toit est tout mon bonheur. - . Oui, JPar eux, ie suis hettreux!.. . Voyez-vous, être seu:l, c'est ttQdl triste pour un homme s'il est jeune, et plus encore s'il est 'Vieux! 'La mer remontait. Le Breton reallia sa ligne et se 1pr~ara au retour. Je t'accomP'!gnai, continuant à deviSJer avec lui, par phrases brèves qui tœn'baient de sa bouche en hautes maximes·. Billes témoi2'!1aient de la soumission de l'homme à la 'Volonté divine, de sa foi en sa sagesse, de sa reconnaissance pour ce qu'el[e con.sentait à lui 1
donner. Pas un mot ne trahissait une plain. te contre sa destinée pourta•n t si hwnble. D faisait son devoir sans murmure, satisfait de son seul aocorqplissement. .. Et, de la sorte, il vivait dan.s la sérénité. Parvenu à sa demeure, je voulus prendre ~ongé, mais i'l m'in'V.ita à en fran(lhir le seuil. Je vis les petits aocourir au-devant du grand"ff>ère, les bras tendus, et leurs ièvres roses caresser les joues rudes du vieil 'homme. JOiyeusement, ils s'étaient ~ar~ du poisson capturé et le portaient triompha'emeut à leur mère qui, à la vue du cvi· siteur, s'étai't llevéede l'escabeau où eUe ~U· chait les JPormtiCS de terre du solllJ)er. ]'aidlmirais la netteté dru logis aux murs imrnli!CUliés ~sous le J.ait de ohaux, aux meu· lj)es luisants; les enfunts étaient propres, un ordre pa,t fait ,p arait la demeure comme d'un luxe. Sans mot dire, instruite des deJVoirs de l'hOSJPifallité, la Bretonne posait sor la ta· ble deux verres soigneusement essurés et Ull jpi'dhet de ci.dlre. ILe vieux versa le liquide ambré, souleva son verre pour le choquer contre le mien. ~ A votre santé et à celle des• vôtres! dis-je. - Que Dieu entende le yœu de 1"\hôte, ~~qua-t-i,!, H vous a mené vers moi en porteur de bonne dhaD!Ce; je n'avais rien pris, et dès que vous avez été là, j'ai fait bonne pêche. . . Oui! à la santé de tous; c'est par li\ que Dieu nous dispense sa plus !Précieuse bénéd~ction. 'Je pris congé et sortis réconfforté. Quel exetllPle donnait cet humilie aux anibitieux de ce monde, toujours a.vides, jamais satis[aits. Ce Breton troiJIVait sa force et sa réc~se dans l'~tion pure et S<imple de la destinée que Dieu lui vou~it. Georg-es de :Lys. O&JJL
id
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ILe podrait de lM. ~e Conseiller d'Etat Wall{pen sera ôoint à na lirvraison du 15
novenlbtre.
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ECOLE ~PRIMAIRE ORGANE DE LA
SOC:I'BiTE V.ALAISAII'I 1 .
D'EDUCATIOI' SION, Novembre 1935
Langue française
Ue pafltélgler, !POtlrf. œla nous n'avons qu'là imiter ces sam11s, qui sont pour
=
nous de pa11tiailts mqdklires, ,pour anri•ver au CieL 'Le SIOÏ!r de la Toussa:irnt déj1à et sur· towt 1e lenJdirunai.nt, qui est la fête des il11011lVS, nEigJlise nous iuwilte à tpri·er !POUr ~es âmes des lf~rdlèl1es t~passés. N'ouiMions ;pas, en ce jour, nos chers
Cours: élémentaire Fêtes - La Toussaint
l~,a;,comons. - La Touss:aimt est une des IPremièves fle!Jes qui se rtmtoontr.ent durant l':atna11ée soollaime. Ellie se célèbre Le Pif'emi'er jour diu mois ~ no· !Vemlbre. C':esH: un1e heliLe ~ête, lJ.lUÎS\que cte.St Ira flête die tou4les }1els âmes qui tmO'l'ltS. ftcrlons. - Quanld! nous féjouissonlt au del, die tous ceux ·qui .Oi11t tra'V.:tillllé. poo:r ~e bon Dieu ici-lbas, et que 'son&1Ilous? Quanld oo. nous annonce ·un oongé, urne :llête. Dieu récOO:njpense étlertnelLement. Que11re est ~a première gnnide fête Cellte itiête doit nous r~foUrir, ,parce q111e nous devOOSJ êlre heureux .qu'i.J y ,qui· se trouve au début die l'année ~ait beaUJOOtJip d~lâlme!S au ciel, aUlPfès die 1airre? - La Touœaimrt. Quel jotlJf délëbre-t-on La Toussainf? Dieu. Ces âttnes ornt rl>i en ser:vi le TrèsHautt, iŒ est j•uste ·qru'eillres jouissent :du . - Le premier m:H''eiiJ.'bœ. Dt l·e !•endre· 1 main, 1q•u'e~le fête cO!IlljDJ.Iémore-t-on? bonheur atlemJei. La Toussaint (tous rtes sai:nts) doit La tiete des Mro.nts ou d:s Ta-tWassés. nous a-éjouir, rparloe ·q u',e1ne .elève nos 1 Que vrewt: dire Ire mot Tou:ssai.nt ? Tous q100 sa imifs. f~Îlts et nos oœurts vers 1e paradis, 1 pa11ce qu'·eUe .no,us 1lai.t penser à tous Pou.r~quoi est-~ce un~ bell/le ~ête? ~es SJai:nrt!s, et nous mootœ le bOinheur J P a!lce que c'·est [a f\ete de toutes 11es .itllti.ni dol11ti -i~ j-ou~t. Ce bon- âaneSJ qui sont au cirel. 'hella' nous V.OUIO!Il~S ' aussi •UIIl jour 1 1P,ou111quoi .ces âimes sont-elLes· au
l
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82 1par des flêtes: le pays ongélillise des réjouissances patrioti,ques et 1'1EgiliSe, nof:a:1e MièPe, .a ÎII1$ti1:ué ses fêtes r,el:i. 1gieuses. JLmgflise céllèlbre de nqmibreuses et be}les fêtes. Au dlélbut de l'aru~u~e sooŒaii'f,. .e1Jle cél6Me la Toussaint où elle exallite tous les sailnts et p.rile ,pour 1es âmes des firlf!les ·tlréfpassés. · Au teommerucerne.nt de déCemlbre nous ~ tons l'Immaculée Con·~tion de notre Mère du Ciel et à la. fin die ce même mo·is, la fête .tant attenldue die la naissan<ce die JéSus, dans la g,rotte de ·Bet!hlléem, Noël oe joulf de joie. La Ci11con1Cision ou jour de .V An arrive 'huit jours après. Nous o.iffir01!1S, en ce jour, .nos meilllellll"S vpmx à nos bons rpareruts et à .t()US ceux ·que nous aimons. Pqpijphaa:üe ou f1ête des Rois sutt d,e !PI'ès Nowvcl-.Alll. Févr~er qélèlbre la fêbe die la P1Lfilfilcittion ou de la Chand~~ulf et mars célièbre le 19, la :féte de Saint- Jostph et '1e 25 1'1Alillilon· ciatioo. Puis au JPr.inremps, 'Pâiques. 1qui chmbe •la résulfrectioo du Christ. Qoorailli.e jou.Ps élJpfès, c'est l' Ascension, puis la Pen,tecôbe qui nou:s. ratp· tpe1[e la diestoonte cllu Saint-Esprit sur les AiPôins. En juin, no·u s cdlêbrons la Flête-'Dieu où n1ous IPO:ntons Dieu !Présent dans PEuoharistie à travers nos 11ues ornées de ti1eurs et d'10ri'f·larn· mes. Le 29 ju.ial, .eesf: ·l a fête de Saint .Pierr.e, 1e :premier IPafPe. Etnfinl arri'Ve au 15 ao.ût l~ASJSOIIIl(Ption de la Très Saunte Vie11ge, Mie qui aaclame la Reime du Ciel. et de •la Terre, pontée au ciel ,par les an(g'es. ·Pour oélélbrer ces i1êt:eSI ,J'E.gUise r~ VOCABULAIRE senve ses basili1qu.es, ses cathédra·Les, Fêtes ses êgllises, ses tern,ples, ses dhape11es. 1. - Fltes reli~ie~~,s.es. ses ocatoir.es. Et rpow rehausser ses Un homme heureux montre sa joie Jfêtes el~e 1Pmdig!ue le marope, les \Par ~e rire e~ ks chants; la famŒe lffieurs tes oh3JI1Jts, l'erucens, les œréou la sociét!é mani\feste so.n a·J:l~esse moni~s. Les c4o.clheSJ OOŒl!V()iquent les fi·
del? - P.aroe q,u•oellles oot bien ~rvi Dieu icid>as. iDe ·qu eille rêcompense j ouis>sen t ces âanes? - Ces âmes jouisstmt d'une ré!cOIIDjpeilse éternel/le. . A quoi doit nous faire penoor cet.te !fête? - A tous 1•es saints qui sont au ci•el .et à •l eur boo!h.retH". IDevœs-mous désir~ leur bonheur? Comment faire ,poUJr jouir, un jour, Ide le•ur bolllheu.r? N'awons·mous rpas aùssi des pa.Penis, des amis dans .le oiel? IDavons-«J.oUJS les r-ejoitndre un jour? SOIIIliiDes-«J.ous cel1i'ain.s ·que tous nos amis, rparents sont au ciel? !DevonS-nO!us ,priter pour eux? ·P.ollfiCLuoi doit-on !J>,fier pour eux? !Quel jour songwons-nous stPécia1ement à nos ahertS dêfunrts? Que :J>OU.VOOlSiilous swnlou.t offlrir à oes âmes .le jour dies monts? La sainl,te messe, la: sainte •oommu:nion. Qu'a:blons-nous · 'ViÏsilter ce jour-'lrà? - Les toonlbes de nos morts. 1Pout1quoi onne-<t-on l~es tombes? IDoiJt-on se contenter d'omer les tom/bles? !Comment atlJIPe!Ue-.t-on les :Dêtes que I'BgUise nous fai.t ·célêbver? - .Les {lêres rel~gieuses. · IN''Y .a-t-ir pas •eJlioOr.e d~aulres réjouissan!C€S? - 11 y. a encore des fêtes de famillŒe ou intianlfS, des fêtes .pubHques, •des iêtes powr les IJ)ays. ou fêtes tpatriotuqiU!eS. Les p1us beiDes sont les fêtes !1161igi~uses, car notre véritaMe patr.ie est le ciel!.
ûèJ1:es à ses saintes réooions. Plusieurs 1 fois par an, I~Bg'lise o1.1ganise dies ~il ctt.c::ISions sOilll/l)'tueuses :Par les clremms semés de fll.eu.rs à trarvers 11a cam:palf!ne revêtue dr ses ,plus beaux atours. ~llle qan.ce v~ le ciel ses plws at1dentés sU!PIPnita!l:ioos lpûUil" attirer les bé·nédktions sur les fu:uits d~ la terre: ce sont ~es Rogations. Dans les rues ornées de Vlel1dure, de 'ffieu<rS et d'oriflam)!lles, s'avalllce sous 1e ba]da.quin d'o•r 11e Dieu~\Hostie ,prétoéidé de l'en,cens et des rfleurs ,qu'oiflfr·ent des cœurs innooonts et suiivi Jcl~ooe foule d'born· mes et de femmes a<C\dlamant Jésus IPa:r des ma·I'Ches relig.ileuses, des can; Hques sruarés et Le !forçant à lllOUs benilf dans les beaux r~osoirs qu'on 1ui a ,pr~arés. \Aimons ces .fêtes, qui 'élèvent nos âmes v:ers notre <Jr"éareur et ses amis. 2. Fêtes publillues.
1Cha1que vi,lfLe, cllaque IP'lroisse, chaque viUlage a SleS ~êt,es. C'lest d'aibor? la ~e IP'atlrooa~, qrUi coanmen.œ. a l'~lise où dl.Œe ;r,8111d h{)[11D.<eur au samt p!1oteoteull" de aa 'Pa~oisse, puis.}~ fête se conti1!1we en farm~l!Le, ·ffil so:ctete, au milieu de réjouissantoes a.Hr~yantes et pertrrüses. On organise IP~·nfo~ des ca: vakades, des cortèjges. ·h_lstofilqu~. ou ides !J).eTSOMa.ges •costu~es comm~ ::rux sièlclles :passés, r•t1Prolduts:enrt: un evenement gllolfieux de l'histoire l~a.Je. Ce som a·uSSi' des retes, les Jfe.<llti\Vals ou tCOn10ours de Jfanfar,es ou de ·chorales venues de 'loin rpowr se di:sjpwter les
lpeUNen.t tiréq wenter les carr.ouséts, les !CÏI11ques, eilc.
3. - Fêtes p,airiotiques. !Notre patri·e est un d~ rares :~ays, qui a co.nsaoré une jou~e .~cial~ au Tout-•Pu.issa.nt. Autontlés cliVLles et re'Ugieus~ riwani,sent de zèlle ~ur porter tous 1}es dtoy.ens. ·~ re.nt*te_r Dieu pour tous J,e s Jbi611ifattls dont :1 oeomlblie .no'ilre oühère !Patrie. Ce )()ur, c'est le jeooe POOerall' ou la Fêt-e dractwns de ~âtce. !En noiVemibre à Sion, tJa g.ra·nde clo·che de la ·aailh<hraae irwilte l1es fi,dëles ~l commêmorer la vittoi~re de la Planta ( 13 nOJVemlbre 147•5). Le premier août, des feux ~e. joie, ICÎlfs dhéllllll:s et discours patnahques nous rél!PfPeUenlt ~'anniv,~r_saire _de la \fontlladi,ion de 1a ;plus vteilllle délmocratie de Q~Europe.
4 Fêtes de ta.miUe. :L~ ~llus: petite so1ciété et 1l~ •Pilus in ,tér·erssante .pou[' nous, Œa famtHe a aussi es fêbes à e!lk Ce 5 oalt ld'abo!kl les du JPère, d'e la mère, des enfant? ·ou .dies grandS-1Pa.rents ou ~eurs ann 1• v·ersailreiS, puis la .naissance {!•'un petit frère ou d'une jpdt:Ïlte g.œwr, ~on lba:ptlême sa première communton. son :marï'age. Oru fête aussi 1~. r·etour d'u aboon.t, un heureux ooloces, 1e !l"etour là la santé, ~c., ete.
ifêt!s
VOCABULAIRE (suite) Mots
INoons. - Fêtles: cérémonie solen· réjouiss;aDJce, lclllvertiss~en;f:, con· n ités. ·flêtas aussi, •Les: cootCOUTS d ~ ~ •g1é. amusement, Jeu, as~emlbl~. fest\· nastùque, de till". L'ina,~pe •OU la mon· ' V ·al c001100rt soil!'ée, annu!V'ersatre, i~· tee :à l'alllp.age ainsf que }a de~mte ~e bifté, centen~ire, feu d'a!ftifiJCe, i11um1· l'~e sont aussi des fenes ibten gounation . i.ées des montagna.rlds. ~~ariois 1~~ f?iiAJdlj~ili\s.: .1ongue, 1gtr~n'~iose, pu: res soo'lt aussi des o:oca•stons Ide re]{)'UtS: san1œ s surtout p<>ur llfS mfal!l·ts qu1 ' bli.que, pemns, he'bldomada tre, redier
;po! LX.
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84: :1lë, illltéressant, choisie, aoouel, harmcmi~ux,
familiale, joyeux, etc. Venbes: paNoiiSer, •emJOOIJI:ir, omer, ~lélbrer, restol}"er. clOO!mer, illuminer,
:be. Coa:na)liments:
L''Eiooil•e:. No 9 et 10 die ,UE·
1
wimaire'~ (19124~1925).
Cours moyen
ëloge, ilhtterie, di'S·
hanongue, œmŒJilimen.t. IMêrité, 'basse, lbea·u, ernHammé. ICOOIJIPlimenter, louang·&, glorifier, 'éll!11ter, magnil!lier, ·fêlicÎiter,, exaŒter, \Illoonser, mc1am,er, dhanter, aP!plauHr, il~aillber, ebc. Cadeau: don, présent, sourv.enir, lar:e51Sle, odlf11a1J1Jde, êroenne, pou1.1boire, :énérosibé. IDon.ner, otif:rilf, ,prié,senter, remettre, >rorl'iguer, oomii1Jer, g~ratifier, di'S!:riuer. IMusilque: canrt:at•e, sérénade, auba·e, SI}'IIl'ljphonie, hiéiii1m.0!11Le, fanfar.e, conert, iiestùva1l, mailiche, mêlodie, ritourle~le, aUJd,tfion, exécution. A~Dfa,quer, :préluder, exécuter, édla.ter enfo11Cer, atténuer. Cori~ : iplfoœsiSiOltl, ruaie, .co•lOonllle, OtK'S,
ogation. lF oire: cirque, thélâilre, ca.rr!Ou~el, ci-
,é,
«
monta1gm~ 11usses,
guignol, forain,
:mgileur, doWIIl, abhruète, 1lwtteur, a'or:o-
ate, êquilhlbrisre, :PrfSII:idijgitateur. etc. Toussaint: saint, sainte, sainteté, anotiJfication, sanctuaire, saint sacriœ - bienlheureux, ~ér,able, gloriication, ~riOiiiJIP!hateur, etc. !Mort: m:ortalité, agOltlie, agonisant, torilboŒJJd, mourant, tfiéŒ>as, déœUtnt, ait corbuaiœ, cllrambne mo[1!luavr·e, ca-dare, linrceull, ~enceuiil, bière - Messe ~ Morts, <0/if~œs iUJilèlbires, cérémoies funèbres, ·veil'lêe fUtnèbre - enlr!J.1eJment, ens~issement, iiunératl!S, oianetiène, dhatiDiP. de rwos - cfleuH )U!VieJli!l', monuttnent !fosse, fosso~ur, ~tomlbe, tomlbea u, in~h:wrna tion, chumati001, ~iil:aJPibe, mausolée, etc. iExeilcloos de vorcalbu:taiŒ"~e (!Mêmes
\D~otée
- La ola:chJe de ·l'école. La cDod1e de féoole sonne. J'écoute sa 'Voix, que je tr.owve joyeuse. BLe me !dili: qu.e les vacmces sont fini.es et que mon réjg;ent m~attenld. 'De tous les coÎŒl.s diu v;iUlalg;e, mes 1petits camarades [',entendmt aussi! 'Dans tous les vi'l· la;ges, :dans tootes iles ov:it'les de la SuiosiSe dies miHietSI tde clo:Ch:es ~ lent des mHiiers d1écolli&s cl d'é!colièl!"eS au traJVaH, a.u dtwoir. En route peltiif sOOldat de œtte gtraiillde armée qui ·sera ·l a Suissle die dlem·aÎIIl. '1. Pré)pa111ation 1dlu te:lclle. - .11 est il!1di$ieilsablle dJe :pd'~a!l'er 1les ~xtes des dktées. •Le ·passa•gïe étant lu, le'S exJPI~oations de mots seront dloonées, !PUis •les questiOIIllsl rel•atioves aux idées seront posées. Les mots noWYeaux ou 1dïfificHes seront tO'Uljours êcrits au ta· ·bleau et on s'a.rretera aux règles d'a'Ccoridl sur lesqweflllles in est illlêcessake d':aiPIPeller l'atll:ention dies élèvies. Ce 1qui irm!Porte ·te plus, oe n'est !Pas la didée eiJJle·m:êm,e c'est sa [.llfépa•ra.tion. Les m10ts. La voix: sem. Elllsem'ble 1dets sons follm.és IP'ar 1'air qui sor.t des jpO'uanons et de l:a bouche die !•"homme. •Se dit IPartilculliètiement dies sons émis en chantant et die la tfa•cuiloflé de Œes émettre: avoix UJilre belle voi:x. - E.nsem.lble des sons émis par les pcmmons et mooilfiés par l·a lbowohe <ks animaux: la voix die •la mauvette, dlu ebat. - Bruit qu~lloonque: l·a 'VIoix de 1a doahe, diu 1Ca111on, des flots . .- Vo0te, sulililra1ge: aiYoir eu tant :dle v;oix - figuré: voix de la conscience; - loœti ons dJhnerses : voix du sang, d:e viJve !Voix, tout d'ooe V'Oix, aV~oilr des lar-
v.oix, ê~ en VJOÏ'X, élever 1 que le solleil élève au•matilll comme une la voix, R!f'OSsir sa vo1x, ei!c. - Bourg: toi·l.e die thJéâtre, tout conrbri1bu~e à don.gJ'ios viUage. - Artrnée: ensemble des ner à la rna,tuife UŒ1 air de illête... On a twlljpes vêgu1ières d'u111 Etat- IPar f.ait d'aiVanœ tous l·es. ~ara.tifs né· extension : fou/le, muilitituid.le. cessaires. La ou.ve, J.e !Pfes.SOÎr, 1e œl,Ildëes; pounquoi Q'enifa111t écoute-t-il lier n'atbenld:ent que la douce Hq.ueur la vo.ix 1de 'l.a ·doclle de l'fk:o.Je? Tous pour la~qudJ.e hls sonf d~tinés ... Vous ~.es ®oliers aimeni-i'l s en11enld[-e cette ne sauriez cr·oire aiV« quelle graûté les voix? Quel:le rêtllexion fiait l'enfant? jounnées se JPaSSietlllt. Qu' ai1I'ilverél.it-iŒ si toutes œs voix se 'On dhante, 0r11 r:it et la cueill1ette et taisaient? Pour\quoi dit-on ·que l'ar- Qe IPifeSSUI"a,ge n'•en IYOl'lt ·qUe mieux. :miée dies ëcoiHem ser.a }a Suisse de dle- CeSt à tqui tr·o1wv;era ' les mei~leur·es maÎI!l? Que!lrle ~éso~lWhion doit pr•enJdire rdharmsons, à ·qui li era 1es. meiUeurs 1'.entfa[l!t? 'contes, à •qrui dilfa 1es meil[teur sl traits. 1\Tœabu[:ailœ: la dlQidhe, la clocllet]. ]. Rrousseau. te, ].e dlodher, le ol<deheOOIIl, ole (larillon. /Morts et eX\p. : al!léjg]re.sse générale: Veribes: carillooner, tinter, sonner. joie vi'V!e et sowvffi1t bruyante à laqu.el'Bourrg, bou.Ilg'aide, bougoois, la bour1oe ooaiCUI!1 :paofltiloÏ!Pe Je voile du gle<)isie. b.roumaŒ1d. - Un votl·e es.t une piè'ce Fa1nüHe dies mots: ·voix, v:oyeOO.e, vo- ld~éto1Ffe .q.ui sert à •COUJV'r.ir, à ;protéger; cal vo1caŒiser, ·vocaHsad:]on ; vodfé- 1pièlce d''étofltie l~gère; - cilijet quellcon•rer: Vlodlféraüon; 'VlOICabula.ire; V()!Ca- lque .qui caJcfu.e l"hori:wn: voille du blle;; (;q'UÎJVQl'lJUe, équwoquer: con!Vo· ·brouillla.nd - voill:e die nuages·- obs· quer, con'VIOCation; révotqsuer, révocaŒri~ qui Ire produit: tes 'VJ()i!les de la tion, r-êvooa'lllle, i·r rêvocabk; inlvoquer, nuid:. - Celliœ-: sorbe !de <:aiVe non irniYOIOation; êv<>iquer, éwca:tioo; pro- voûtée, au 1"ez-deo~ch:ausrsée, e:x(pOSée .au voquer, ,p r·OIVO!cation, IJlfOIVOlcateur; rno.rjdl, frraruhe mais non hltllmild!e; avooat, av01caS1Serrie. !bâtiment danS! ~~quel se .roouvent le IGr.am. ·et ex.: Dresser la .t1ste d~s iPJl"essoir, les cwv.es tpour !La f,ermenta:mots de dieux, de trois, de ·quatre sJil· ti o:n diu: VlÎin. - ·PŒ~essl.lifer : éllfeindire lalbes. - Foamez des plhilias:es die deux jpar 'le moyen du jp!I'eSSOÏ!l'; - fig.: )PfO!POsi.tions arvec <fuaiCu.n des. mots du épuiser par dies imjpôfis, etlc.; - trait: \Yooalbuil.aill"e. anme q'U'<On lame, oomme les flèches; ICoo)j.u;guer: ,ëcoute toll!iours la voix - fÎ!g. : les tll1aits die 1a f.otlidre; tr.ait de ba ·~ienœ. j'oê(oouterai toujours ld'~rit : iPffiSée viJve et fine, etc. 1la voix de ma ·COli1ScÏieŒl.Jce. Oram.: r·ernamue surr les verbes l~éidaction. Qu~ sentiments 'dont le .vadiloa\ll eSt ter!IIl!imé par urne éfprowvez~ous en entendanlt la voix de sy~lalbe en. e muet: }e 5ol~ill êlèv·e. 'la olo!cl:Ie die Œ'~g~lise, td'e 1l'éloo1e ou rou- 1 iE~er.c.: d'a,ppliloahorn, 1. Recopier te autre voioc de dliOich·e ou 10locltette? 1 la dii(Jté.e en la mettant .à !'ÎŒIIlParlfait. 2. oo.n~.: des V'el1bes: élever, peser, meN. D.ndfée. - 'Les vendanig!e8. Toutes ·les v~gnes ·oha~ées de ce fruit ] tfler, au prés611t de Œ'Îlilld., .au futur, au con'dliti0111ne1 1Pf. à ~'iiinJl)êra tilf et au rbien~aisant, t.e bruit dlf.S toMeaux, }e s cham des v·enldlailligeurs, l'.ai.Jmable et j u~j0111d.ilf pr'ésanlt. toUJchant tabl,eau d'ooe aUllé!gt11esse géVotalbullrailf'e: un ~~. un IP3itt11Prf, lllérallie, enlfi1n, le. voi~e du brouilll.arid 1 ·Urlle l\llri:llle, un dJJassellas, un mus1eat, \JJ1e& dans la
exenci/ces que oeux inld~quoés à la le-
çon cone
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~n fen(fant, u.n mahr!Oi.sie. etc., un celhe~, un foulo:iu, le f{)ulagïe, u.n pres-
On la rerucontre assez a'bondamment
en ~~alliee et Eli1 BelDgique. La Stui·sse IPO~s:ede aussi wn cer.tain. nombre d'ardoisières. 0111 l'eJqploilt:e à ciel ou!V'ert ou souterrainement. ·Dans ce dennier c~s, on a,ocède aux 1 gisements ardoiSI·er..s au moyen die puits vertiJcaux et d'un nombre p!lus ou moiŒJ.s considëralblles de g-aleries l.h:oriz{}ntalles. Les ·lllocs les 1~lus gtros se diétadb.enll: à l'aide de COUJPS de mme et de coins. Ils s,ont en~u~r~ brisés en fra<gnnents que tl ·~ $1Ubidt1Vts~ ·EllliCOife a.u moyen de IComs et de rp1cs pour être erufin livrës aux owv~ie~s du jo~r qui_ sont ChaPgés ·--- ~ de les <Mxiter et den faire des arfdoiCours supérieur ,ses. L'~rrd~i&e a, en g-énéral, un~ cou'Remarque: . . ,, L' année ldemièr-e' ,,l'E- ~eur gtrlS-iVlo'let pius ou moins fonrcée · <co le ,rpntma~re a 'f{)Urttli pour le3 ex. lll en_ existe aussi de g~ris-<bleu et d; f.l!'"aHques de Œan~ue au ldeg~é sUJPé- IV€J!'Idiatres. Quand e1,1e ·est de bonno neur wne slérie •g;tïalduée ·et .m'étho~Ji -qua1lité, e11e résiste bien à 1'adion d; que de su:j.ets de ·cO!tnJposition. accom- l'aill" & de l'hum~dité et .sa ca•pil~ari q)a,g;née de di.recti{)ns propres à facili- té est très faiJbŒ.e. La ·strU<lture · lamelter 1e tra'Vaill (tes él~es et à le renldre leuse, feuirlletée et sa fissnlité pernn etplus f.ructueux. ten~ ..de la diJviser en '!)11éllques :Plus ou Cette année, eUe donrnera, à l'usa- mo~ns (1paissss. ge du mlême degtl'é et en se eon:for·E:tle sert à la cowver:ture des maimanf à l'o.rldre sruiNi dans 1es d.i,rec- sons et I1ésislte d'aNantélige que ffa tuile tions générales qu~on pourra toujours a·ux i:nteaJljpéries; OŒl en fait aussi des ICOOSiullter dans .1es Nos du cours sco- t~:}jles de billlarld, des ull"in{)irs, des reijaire 19'24-l9Q5 une série de suJet-s 'V!etements de sailles de bain, des mandévelo~ et 1es sou·t1ces de sujets ~eoires d'écutl'ies et enifm -quantité de an~aogues égalmnent dêve10tP!pés. _Ces ta•W,ettes à l'usage des écoliers. textes rpournont set1Vi,r d'ex. ij'orthograrphe, d'eXIP1ilca.fiOitliS Htt. ou gra.m- IL UNIE HAJB111iA~DOIN RUSTIQUE rmatka1es et_ seront des modèles pour ('Descrijption d~Uil1 !Paysage d'wne localité, d'Uil1·e co:nstrwction, etc) les ftrarvaux de COIITJJPOSitions que ae :maître ilmiposera •COitnme tâlohe.; à ses IMoo RŒ"aiildi-jpère arvait une habitaél8v.es. tioo a~tiique ~t déladJrée, mais qui me s.em!blatt adnurablte, à cause du gran'd ORTHOGRAPHE: 1Iel111e et des moineaux illlidhés dans qes I. V AIRIDO I·SE 'frr'{)~s; â côté ·u.n jardial tout petit, (1DesorÏjpti on tedhni q!ue) mats oommolde; ,rJ)Lus 1oin oo · verg-er ll'.arooise, rodb.e l(forigin-e arghleu- 1peurplié de vieux arlblres, sous Iesqu.ffis se, est _un s~licate d'alumine ·qui se mon JPère et mes ondl·es ont mené p1îtrowve dans les teœ:raill1!s priunaires. illre tour à tour l'unnque vache de la S?tr, une ba-a1111i:e, ooe lbranté~. un: barill, urne feuiE1ette, u111 fût, une dol.lN'e, Ua bonde; 1e moût, lia ferrmfmtation, .les rérlles, le ma·nc, la lie la disbil~a tiQll, un a:lam!b~c. - Adj.; doux, ca!Piteux, mousseux, !frelaté, f<illsifié. Vei1bes: souttrer, ooffiler mettr.e en bout-eiUie, sow.firer, mêéher. ' IR€/dactio111: 'J.Jrie joumé ~ de Vèirù'tan.ge: Amrivée dieS ventdaJllg'eurs: hdmmes, femmes, en.fan.tf> - leurs costumes- outiLs: - décri!l':e leurs acte3con!VeT'sations - réflexions.
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iaroilae. A!ioutez à cela un petit carré <Je pommes de te!T'e, une vigtne, enfin
une dtèneviè:r:e, où 1l'on aidlmirait le .roi des cerisi·ers d<>nt les $ruits mûrs
.me trMISIPOifltaient au br·oisième del. C'est gramMméliiilan 'qui fai.saH le pain et la cuisine; ellie mait, cousait, kicotai~, la,vait ett rqpassait a!Vec la dextérité d?Ull1e fée. ·Et i!1 \faut C!l'oia-~ que ,o-rand't>ère n'lét:ait pas mala,droit non :plus; car pour fabrr'mquer un~ ~Ch~lle, r~parer une tonne ou un •ClliVI&, aJUSter une viùre, ill 111e s'adressait qu'à 'lui-même. J,ls étai.ent donic à J'aise sans .artge111.t; Œeur sUjpemf1u sré::'Ou·la it rchez m€1S OlilJCles et ·ohez mon pèr~, en paniers de iirui!bs, en rayons d~ miel ou oo :f.roma~ salês; et jamais un men\diant ne iflfawait à leM porte sans r.ecevoilf Uln mo.riCeau de ~aÎ!Il. .Aibout.
q·uoi ae beau soleil, si chaud pour la saison, Jes égayait tous. :oan_s ·cfu.a:que rpetiil: vïgm.10~e, entre 'l·es ra111g-ées d'dcha,las .tes f~es étaient à 1~œUIW'f, mardhant pliées en .deux . <colljpant à da sel'jpe ·les g!l"ai!Ji?es d'ont s'emjplisSiaient leurs ,paniers.
EXJPLJCATION: Rema·nque: Comme l'espac ~ noos manque poU!r eXJp•Hquer clha:coo de ces trois tex~es. nous n 'en IP'l'ieiildirons •q u' un: ,, U111e halbitatio:n lfustilque » . H va sans d.i!Te que 1les maîhres pourront a~ro>IJ\quer ces exercices aux deux autres texrt:es. A) Ensemble : 1. Na~u.re du mor· œau (nanatio111, .descrïtPtion ?... descrijptiol!1 ttochn~que, deslaription . d'un !Paysage, d' une scène ou portrait?) 2. Sujet: Qu.e décrit ~ci l'auteur? Quel est son but? Quellll·e imjpressfon IJA VlEINDAJNOE (DeS<Jrw-t~on d'Uil1e scène de la nature) généra[e vous laiss~ la letehttre de ~e,t On était aux !premiers jaurs d'octo- te peti4e desorilption? Quellles qua'hte~ btre; les venda.illge.s .arulaient commen- cette peinture révèlle-t-elle cllez son ctr; be]J}e semaine où les fami:liJ.e5 dé- auteur? ,B) Alna~se: Co;mlbien d~ d,ilvisioos sooies se rélcond,liaient sl'halbitulde aut<Jurr .dies pots de rvia:t noUJV.eau. -Dès ou 1dte parties y lfema.t~quez-vous? Œ'aulbe, les voitures ;pa,rti.r~t pour la Quels sont les dilvers détails qui c<J~ trilbuaient à fair·e ,paraître cette habtcô~e. cha~ées chacune de quabr~ ou dnq wands tonneaux délf{):ncés d'u.n tation adlmiuble? (lierre, moineaux, b<Jut. Ll y a!Vait des femmes, des fi~les jaJ1d.in, veng.er, cam ou cllamp ~e assises dedans aiVec leurs !Pamiers, IPOOliiDes de te11re, une vi.gme, ooe . ch~ tal!11d·is que nes lhomlm.es .allaient à nevière). Comment l}'auteur dépemt-rl pi8d, fouettant aes !lêtes. T10ute une fi- charoun de ces dëta.i\1s? (lierre grand, le se suiJvait, et l'o:n reausailt: ·de voitu- moineaux nichés dans des tf{)US, el!c). IDe quel1I.es qualités faisaient p~eu re à voiture, au miilieu des oris et des ·v·es 1és diNerses personnes dont parr.ires. le l'auteur? 5numérez ~es OOCUIPation3 La rosée était si fOifte ce matin-là 1que tout de suite des vlêtements furent de dhacune d'e}les. QuellJ.e beDle coutume obseJ1V.ait-on dams cette bum'bŒe h"~. Heur-eusement, i1 faisait un ha:bi.tation? telll(pS s~erbe, le sOileil les sèlaha. C. Stllyle-eJqpressions: Dé!fÎ!IlÎ!r antil~uis trois semaines, il n'avait que et dêlalbré - di:fféremœ entre anpas \J)lu; le ·raisÎ!Il, dont on ldese~é-~ et ancien - ,pouliquoi l'aut-eur hque rait à cause de l'été •humide v·enait de stljp\PrÎiiile-t-~1 quelques vert>es dans les mûrir brusquement, et c'était lp()Ur-
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!Premières :J)hŒ"ases? - Que signifient l1es eXJpressi<>ns: le ll'oi 'Ides cerisiers, l'arrière /PLan. « Le JPIOgr.altllllle est êilre ttt-anSjpo~té au. trr"oisième cicl, ne trqp sunaha,llgé, on ne :peut !Pas tout s'adresser qu~à soi1Illlême, leur su,rper- rvoir, dlira-t'...on » . C'est ,peu t-'être juste. 1M. O. Wruljpen, notre distingïué ohef .fl.u s'ocou!ai+t, être à !Leur aise sans a11gent? Le meiil!dliant ne recevait-il Ide l~I111struction JPuiblique, dans sa derdllél/que :fiois qu''UŒI momea u de pa.iln? nière cir.cula.ire au 'Personnel enseig!Il:ant, attir-e l'attention de ceiui-ci sur 0 ID} Girammai!l1e: a) Hœttoiliy!mes de 1ce point. Non sans raison il insiste père, mfur, !Pain ~ s:y111onyttnes de ansur Je «nécessaire » . ti.que, diêlaJbré, niJc:hé, unilgue, dextériLa Société Fribou-ngooise d~Educa ~. fna(pfper à la iPOil11e - dêrilvés de li·on reunie à Ch!âtell .Si--Denis le 4 pèl"'e, mère, ja.IidiJn, azibire, va1dhe, lVijuin 192'5 a en~pris une croisade en glue, ro:i, mJÛJr, del, IPain, .a111gent, mfeJ ifaN,eur diu fironyai.s. On y .a ld~t 1que porte, mo11ceau. !';une dies causes de la fa~blesse de nos lb) Elcrire ~parement toutes les proélèlves en rédaction consiste dans Je positions contenues dans 1a l<re IJ]hrama111q.ue d'oocasi<>n de !Parler et de se et eln indliJquer 'la na~ure. IDonJner~ I1a fontfion des noms que rpar·l·er correotoement. Le patois est un 1g.r:os dbsta,ole. AJvo•uons que l'on ne renifenme la 111e phr:ase. IRa~ro>eler !•es ~les qui conceme111t p·ar:le corpectement ni le français ni le Pluriel dies nœns JComjposés (Ex. Ile patois. Le- milieu iamHial est défarvor.alble au larng:a~ soigné, ,paroe qu' g11andsiJ)ères, gran:d'maimans, elle.). ·On y pa.nl.e tous à Ja fois au Heu de ~ Trrou:v'er •Iles ndrns qui 0111t deux for· se succéder dans la con'Versation. Au rme$ au ;pl'll!ri·el (lEx. d~sl et cieux)_. . su.l1]llus, [lieU de parents corrigent les ;E) Rédaction: D~crlŒ".e vot,re habifautes de lalllga.g e de leurs enlflants, tation - cel!Le de votre ooiCtJe - vot·r e 1qua~ ils ne donnent !Pas eux.,JDêmes « lma.yen » e1lc. Ie 1 plus d~p~oraihJ.e exell1Jp'l•e de mauIPJan: Situation et ·voisi1111awe - as·vais :parler. ~~ ,glénêral (impr:essi10n) :parties Que doit fake l'€!col.e? Réfor:mer la IP11Dfllc~p.ales - 'parti·es s~condaÏires • COfliVersation die la fami~le en y introêtres qui y metœtn~ (fe l~animaùion duisant I.e ~û. t du Ja111ogage rorre.ci. IRêfllexion morale." Il faut que le «bien .p arler » devienne Swjet:s aaJ:aŒbgues tra1tés dans le li-. un tPOilllt d'honneur entre é'c()liers. 'Vre d:e 1ectU'r:e d:u VtaiLais (cours m. .et Tous les élèJves d'une classe devraient SUJP.) Nos 17.1 - '11'74 - 175 - 178 au moins une fois dhaJqu,e jour être Desiarïption dies grraJ\IIU!rles: pages 264 élj ! Jipelés à IPJWl'dre la par·ole. est ~e - 2611 - 255. connu qu'une nlJiaciion hien préjparee 1 par un: plan dlétail1lé où toutes les idées Parlons français ; -.. --·,·,.. 1 étaient données et cl:assées: a do~mé de bons réSlulta.ts. Oeta IP11Q'U1Vefa1t que 'N faut l"'etlidre à la ~angu e iirançai· 1 1l'·e~an.t manque moins de formes que se 'l'ÎŒIIJP'ortance qu/t1ld:e doit avoi!· idliiclëes. Enrichir la mémoire 'de ma!Dans 111os o1asses la <:r.ise du :françats tières tel est 'do111c ie but à arteindre ·est génér<l!1e. Autrefois l'ense~gnement rpour assurer le suracès de notre ense1· k:lu flfançais oooll/J)ait la ,première :pla- gn·emoot en réJdJadiorn . œ, atJdourkl~!huiJ iŒ /Pa\Tiaît 1passer à -o--
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Enseignement du del!§sin ,J -
Le ·dreSJSin à
vue d'après le
rmo.d!èle p1an. A) Cœnbinaioons de ,pllusieurs car· rés. - ·Premier :prOJcédë: dlessiner d'a~ltd un carré intérieur, puis suœes· stV'6ment ceux du dessus, de gauche, ~ ~s, ~ droiffie. -::- De~xièrne ;proœdjé: dessmer l.a ,mJëme iligure dans un gTélŒld oal'ré en se basant sur la d.iiVision du côté en 3 - en 6 - en 9 - en 12 parties égalles. IAQJ!pJications diveliSies: croix frédéra-le; 1eu ide for:teresse, domino, etc. IOfig. 1. 1). 1B) Dessin de petites 'Pbques de muraille {fériv.ant tlu carré - O>lorier le mlême motif de ldiilférentes manières. (Fig. 1. 2). 2. - GoiD{PositiQn ldélcorative. .A) .Comlbinaisons de deux éléments tl·iflfiren~~ : I'edanglle et :carré, ~ctan ~lie et ttnang.le, carré et triang:le, carré et losan;ge, etlc. Les· 2 éléments sont tl'alborld die même oou1eur, !PUis ide couleur d!iliiférente. f.ailre remaTiquer l'al· ternance des fol1m~, des rr;>ositions, 1la Slyn1ëbrie. A·ttirer l'.attenion sur ['.al· temance de la coun.eur (FÎ'g. II. 1) lB) Il sera bon ldlans les derniers exei1Cioes ;de faite dominer de beauOOUjp la lünJgrueur du redafl.gle: roc· tangles ailloogés (if ig. II. 2). 3. - Le cr01quis coté. 1 A) Coiljps r·onidls géométri.ques: pllans ~t élêvation du oyiHnld're droit, du cylmkfre konqué, du cône, du tronc d-e cône ('fig. Ill. 1 ). tB. Qroiquis coté du rouleau à pâte. ILe cylindre is()1é, nettement caradéri· s:é n'a opa.s besoin de •cro.quis. II arrive .que dans certains olb~ds on trou'Ve des cyll.àndres oomme par,ties corn· posantes; Il conNient cl€· Sa'Voir les r-eIPtésenter. - IMontrer !<lUe. crlél surlace
!H
latirale n'est qu'un rectangle d~ tn~ me 'hauteur que le cylindlre et qui a !POUr ·longueur la cirton:férenree d ~ ba. se. Callcu!ler cette surbœ latérale et da sur1faœ t-ota1e. (fi1g. IN. 2). C) Ct1orquns· 'coté 1dru JPOt ià f;1eurs H a ta fo1ime d~un trone de cône. L'élément .en forme de trooc de ICône entre JParlfots dans la ronstitution des objets à représenter. On r.emanquera ;que la mêm.·e vue (Hg. III. 3) réunit élrév.ati.on et CO\.liPf. Ce mo;de Ide r~ ~~ahon possnble dans l·és -obffets parlfaitement symétriques SÏimiPlifie le tra· wai1, tout en confu"ibnant à l'~dair1cir. 4. Le dessin· g~éoonétréque. .T.ri·angfles. - 1er prOibllème : Construire un !Jrian)glle éta~t dormés deux de ses côtés .et l'anlg;le comjpris (Fig. IV. 1). 2me ,prOblème: Consfrui·re un trian. 1gle étant donn·és un côté et les angles ai~jacents
('Filg. IV. 2).
'3me :J)I1dblème : Construire un trianéquilatéraŒ étant donné le ·Côté (Fig. J:\1. 3). 4ane ;prOblème: Construire un triangle queMoo1111q-ue connaissant les trois côtés (F~g. IV. 4). '5me problème: Construire un trian· gle isocèLe eonnaissant la base et le cMé (fig. l'V. 5). ·6me JPTOIWème: Constr:uire un trian· gle r.ectangle dont on donne l'hi)'IPO· ténuse et un côté de l'a111g1le d~oit (fig. ~le
IV. 5).
5. Le dessin .p~~ectilf à vue. ·A) Per~ectwe d'un triangle d'écoré Cfjg. V. 1). PerSip'ecti'Ve d'un carfié décoré ('Fig. V. 2). 'B) Perslpelclive de l'hexagone. 1. T·raoer 2 côtés aiVec leur·s directions Jper~pectilves. - 2. Arrêter leurs gran· lcb urs per~echvemen.t comiparées. 3. Trarcer un 3ime côté d~aibord avec sa d~irrection , ensuite a'VOC sa longueur
cOIJilParée au côté •v.ois.in !déjà tracé. p.rooéder de même JpOUr l•es côtés sui· vants, s.aum fPOUr les deux derniers dont la dir.ection fournira sans mesure le ,point de rwcontr.e (!Fig. V. 3). Véritfication: 1. Les diagonales doivent se rencontrer a.u mê:rue 1point O. 2 . Si J.e modèle est horizontal les côtés fuient deux à deux sur la ligne d'horizon; le diamètre paraUè1e à ces deux côtés fui·t au même 1point. 3. Une e1lijpse peut être cir.oonS~Crite 1à la f,ig.ure tracée. C) Per~ive die l'o1atog,one. - Même mardie et même vérification. •Pour cette figure il' est pliêféralble de tracer .d'abord le cercle circonscrit (.Fig. V. 4). -o-
ilie I'a !Pas &é pour une cause ou .pour une autt.e. Certains droits iJ>efSO-nnels, valable3 sans inscr~ption entr-e les pa·rties peu'Vent être annotés au Registre, par eX1€1111jp!le: l-es baux à lo~er ou à terme .de longue dlurée. !Oelui .qu1i . veut ~aire inSIOfire uu droit au Registre foncier: ~a.it une de· mande écrite au Conservateur du Re,g istrre en joignant les !Pièces qui établissent son droit de diSjposer de l'im· meuble.
Instruction civique
Tantôt de-ci, tantôt ,de-Eà, on an· no·!]ae que la fiëv.re ~teuse règne dans un canton. Le mal s'étend si vi· te que l'on en est terrorisé, et les mesures lég-ales ,prises pour enrayer la maŒa:cHe ont, à délfau-t <Vautre, ce résultat de paralyser la vie d'une exploitation agr1co,Ie, d'un vp1lag·e entier et même de tout un canton. Hélas! il rraut bien. avouer que les recher-ches des sa;vants n'ont pas donné jusrqu'ici cre résuHats souhaités. En l'étai aduel de la scienœ et de l'art vétérinaire, on ne possède aucun traiteanent sûr pour ~uêrir le mal ou, ce qui serait mieux encore, pour le préfvenir. Ce que l'on peut indiquer de mieux dans la lutte contre ce fléau, c'·est Ia IVa'Ccination. On donne aŒors la maladie aux animaux bien portants, mais on la leur donne légèrement' et in arrive ainsi à les immuniser contre des atfalques grnves qui viei'Ldlr.aient SjpOn· tanément. Tantôt on 1procè~ par hémoth.éralpie, c'est-à-dire que l'on in· jede aux animaux sains du sang d'a·
.
Le Registre foncier •Le Rl:lgistlie foocier est UII1 ensemble de lM"es destiné à constater l'état des immeub1es et des diro.its et sef\Vitudes 1dont ills sont I'.O'b,jet. ;L'établissement a lieu sur 1a base d'une mensuration caldlastra.le officielle. Cha,que immeU!bLe est · Nr!matriculé c'-est-à-dhe .qu'on lui attribue un feuillet S!PêciaŒ diU gPanld livre. Cha·q ue feui•Llet renferme -en ()utre I'ïnscrltption des droits qui régissenti. ·l'immeuble: la .Pr.orr:>riété, l't's sei1Vitwdes, les ih~pothèques.
En rèlgûe générrule tous les dr()itS doivent être inSICfits. Un df()it réel non inSIOrit est sans Vi<ileur. Z. acllète un rpré q·ue ·le Registr.e indique comme exem,pt de toute chaTge. On ne pourra ,pas ·ensuite le f()r· œr à soulfttrir une serrvitwde en soutenant qu'elle devait être inscrite, mais
Chronique agricole Contre la fièvre aph\euse
Supplément au :ho
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11 de ,1' &cole" 1926
~--
nimaux dt!.J1à tou.cW.
pat
ia maladje
et g-uéris récemment. Le minimum de sa111g i'I1}ecté est de un gnmme rpar kilo d!e poklls viJf de ·Panimal. C'est ainsi que pour un v·eau ~1 ne faudra tPas i.noculer moins de 100 à 200 centimètres culbes de sang. On voit qu.'i.l ':1 a! q,ue'Uque dliflfiiculrté à tra~ter ainsi des trouq>eaux ilmjportants. Autre in•conrvéni.ent: l'ii]Jl[llunisation :procurée aux animaux ntest Que temporaire et il faudrait recommencer le traitement tous les quinze jours enrviron. illl y a lieu de noter un autre moyen de lutter contre la tet1ri!ble maladie, <:'est l'MmO>Vaœination, qui peut dé· lf.endlre l'animal ip6[1dant plusieurs mois. Ce traitement co~iste à injecter ldu 8angi ou du sémJm ·anti~feux. ·Pour tous ces traitements, il est utHe de le signaLer, .}'interrv:ention d'un tVétlérinaire merti est iruii~ensable. •Les êlev>eurs qui pensent soigner eux· mêmes leuœ animaux atteints de fiè!Vre aa>hteuse foot une foli.e ·qui peut l.eur coûter bien dher et peut <:oûter aussi bien cher à leurs voisins. ---o--
-ces obligatoires en gênéral ou :poUr œrtaines catégories de citoyens. Les .assurailœs seront 11éalisées avec le concours dies cantons· il 1pourra être fait a.~el au conc~urs de caisses d'assurallJCe publiques ou IPrilvées. Les deux dernières 'b11anches ld'assuranoe seront introduites simuJltanément. Les contributions financières de la COillfé!diératiO!n et des cantons n'excèderont !Pas, en tout, la moitié du montant total nécessaire à l'assurance. ;Dès }t 1er jaTIJVier 1926, la Con'fedëration affectera à l'assurance en oas d'e vieiUesse et à l'assUTan.ce des surviiVants le !Produit totad de U i'm;position du ta'ba,c. 1La part de •la Con'féldération aux recettes nettes prOIVenant de l'î4JJIPO· sition des eaux-deoiVie sera atlfectée là 1'assuranœ en cas de vieiHesse et à l'assurance des survwants. 1Art. 41 t·er. - ·La Confédération est autorisée à prél-ever des impôts sur le talbac brut et manufaduré.
Comme le Personnel Enseigmant ne saurait se désintéresser d'une question Le peuple suisse est aweté le 6 dé- aussi éminemment sociale et mt0ra1le ceanhre procllain 'à se tprononcer sur •que .ce11e des assurances, ill nous a l'inrtr<>duction .dans ta Constitution ,paru qpportun· d'en faire mention ici. d'un nouv-e1 arti:dle œn·cer111ant :l'assu· H semlbl·e bien qu'on puisse r·ecom· rame en cas de vieilllesse, Œ'assuran- , man!der à tous é!gar!ds cette œUIVre œ des suriVivants et l'assu:rallJCe en cas d'entr'aide et de soli!darité .confédérad~inv.alidité. Ile. En voiJCi le texte: Au su17Plus, }'êconœnie de ces nou· Art. 34 quater. - La Confédé- 'Vel~es dispositions coostitutionneYes ra-tion intituera ,par voie législative est de nature à dëglfever sensilblement l'assur:ance en cas de vieillesse et Œes charges d'assistance publlique qui ~·assurance de sunviv;ants; elJie iJl'OUr· !Pèsent .pa:r1fois assez lourdement sur na introduire uUtérieur.ement l'as- la c01Inill1une et le canton. C'est aussi l'une des raisons pour surance en cas dl'irwalWité. 'Elle pourra d~arer ~es assuran- !lesquelles le C'()IIJl·ité de la Société Va·
Les assurances sociales
pagation de ces t~ories maJlsaines faovo~i se et ~o:nti.Œie tous :l es pendhants mauva1s. une bonne devis·e pour .UEslprit Saint, qui certes connaît le cœur veut a;rriover au terme de sa _route et votr 1 de l'homme, nous dit. • Ne crains pa;s de ses eilfo.rts couronnés de suœes. 1 corriger sévèrement tes enfants. ~e 'l eur A]bler son chemin. . . bravement. vai·IJ~mr donne pas toute liberté dans leur Jeunesse ment. comme un voyageur qui ne perd pas et ne feMJe pas les yeux sur leur folie; fais de vue le but à atteindre et qui ne cesse plier leur tête dans ·leurs premières ~s d'y tendre. . de peur que plus taŒ"d leu.r désobéissance ne Al~er son chemin noblement, sano vatne te cause du charg.rin. • s. .paul pose également parade, s·a.n.s timidité ni r eSjpect humain; un des prrncipes fondarnen1Rux de l'éduc.a· AMer son chemin constaJ!llmen.t, n'oubliant tion ·quand i1l prescrit de co,rriger les enja!lll·ais que • qui n':wanoe pas recule et q.ui ~ants et de les QNertir selon le seigneur. r&ule s'eJqi>ose à périr •· Nous ne conna1s· .En résUlllé, parents !Chrétiens, mettez au sons rien de mieux qu'un tel programme. !Premier rang parmi vos préoccupations . l'é· !Mais la lassitude? ·l 'aœablement? Contre ducation rel1g!ieuse de vos enfants; faitesla lassitude il y a la prière qui rend l no· leur respirer une atmosfPhère vraiment pé· tre pauvre âme harassée une vigueur no~ nétrée de l'amour de Notr~igneur Jésusvehle. Contre l'aocalb1ement ill y a le pun Christ. Collalborez fidèlement a,vec vos prêcé'este, qui fortilie ~e vOI}'ageur et l'aide tres , a~ec vos institutrices et vos in.stltu· à pa•rvenir au sommet de la montagne. . teurs ohTétiens, ,pour que la jeunesse se for'En aiVant donc! nous aurons 'l'éterntté ti'fie dans 'la .foi et prenne une part active à la vie paroissialle. faNorisez les sociétés 1,our nous reposer. Le f>eijt Conseiller. catholiques d'éducation. les associations de mères cdtrétiennes, tous les groupements qui tendent l. dévelqpper dans nos famiRles l'esprit qu'eLles dowent woir. Nous bénissons, !POUr notre paŒ"t. leurs effiforts et nous leur souhaitons le succès qu'e!aes méritent. Nous (Lettre pistorale dea Evêques de la Suhae demandons l notre grand saint national , ~ l'occasion de la Fête fédérale d'actions de grâce d., 1926 Nicolas de Plue, qu'il prie pour notre pays aŒin que nœ famiillles s'inspirent des senti· (Suite et fii!J) ments qui animaient la sienne. Le plus bel Si la racine est sainte, les rameaux le sont 1 héritage qu'un père puisse transmettre ~ aussi. Cette parOile de S. Paud fr~ étrangement quand nous voyons les· tristes e- i ceux qu'i! •laisse en œ monde, ce n'est pas x~es donnés par des pères et des mères 1 une !brillante fortune, ni un oommerœ pros· qui méprisent S:}'Stématiquernent les lois de 1 père, ni une maison bien montée; ce sont Dieu et ne tiennent aucun compte de sa 1 de for·tes con'Vidions religieuses. conser· . t 1 111ées a,vec un soin ja[oux. souverai-ne volODJté. Nous ne saunons ro.p
Aller son chemin...
Vo~llà.
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quiconq~è l
L'enfant, trésor de la famille
dépl.orer les a'ber.raüons de certains idéolo· } gues qui laissent l'enfunt se défonner et se ), :Puisqut' les enfants. sont IM1 don 9ue Di~u petwecli.r tout à son aise, sous p~texte qu' ,yous fuit et sur ~ue1 i[ se réserve des d.rotts il es.t foncièrement bon, qu'iii n'a pas besoin leur éducation est pour vous une grave de correction ni de répril11tande, qu'il n'a 1 questi011; de conscience; e11e vous impose qu'à sui.vre seS ÏD8ti.Jwts naJfure16. La pro-
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