160 dées, quellques maisons- d'édition pour réagir.
!Mais el~es sont submergées par la hardiesse des « écouleurs de rossign(ljls •... , par le papier peint des trucUJ!entes couvertures ... , par ce je ne sais quoi d'ennuyeux à vH prix qui ne peut trou~er un déboudhê, béllast! qu'entre les mains sans défiance de ces tout petits ... , de nos dlt&is, auxquels on devrait réserver le meilllleur du rmeiJID.eur de nqu.s-anêunes.
Belge._. ·, ce n'est pas seulement ta. reine que je t'enrvie, c'est ton· 'haut res:pect de J'en-
Œant.
C'est ce joyau de fond et de forme que tu prépares avec al!llOur, pendant toute l'année. jpOU!r son clair cerveau. Ce sont ces • Pages de g loire • que ohacun lit en se redressant, et où tout Uin peuple « se souwient d'Illier et songe à demain • . . . Pierre i'Ermite. ~o--
un si grand nombre de catholiques, ne sédraient pas de lieu spécia'lemen! réservé •cuMe où les prê lres auraient pu dire la se et les pa,s,srugers assister .Jilbrement oihces.
Cette 'lracu(]e regre·ttltble vient d'être reusement comblée sur une des t"ï,gnes françaises.
;La: mease Il bord Jusqu'à ces dernières années, les grands paquebOits qui tmnspor;tent à travers les océans, pa:mli tant de milliers de .voyageu.r~,
ECOLE !i 14 - ~ ~ ~ PR·I MAIRE
·L a Compagnie généra/le transatlantique fait instal,le.r à born des paquebots • et « De-Gras•s e• une ohape'lJe penmanente iourtes fadllités s011t assurées ,pour ce td.u cUJite aux .prêtres et aux mrirSSiron·nllj res u·ti~isan t les ser,voces dre ladite gnie. ILes nombreux 10a thOiliques a>mencains vont se rendre en pèlerinage à R-ome l'Année sainte 31pprécier011t grandement fe amélioration essentie!Œe d'ord:re ll reste à souhaiter que cet eX!cel1ent pie soH bientôt suivi parr les auU"es tés de navig~afion sur mutes 1es lignes rportan~es, notamment swr les lignes
La ville aux St langues Ii est une villie, de jpa:r Œe monde, dén.om- · cou,rs. mée la villie aux cinquante et une 'l angues: c'est Call:cutta, ia villie la plus peuplée de l'Inde; on y parle cinquante et une langue; hindoues, asriati<}ues ou européennes. oLt plus réfpandue est Œe .bengaai, ~a langue comnren::iaRe par eXJœ]lenœ, pa.ril.ée par 513,000 personnes; l'hindi vient ensuite ~ec 365,000; l'urdu, avec 80,000, puis Qe gujarati, l'aS&lmi, etc., et ]'~ais, que parlent omicieliement 50,000 intlliv;i.dus, tan<t tEur~ns. qu' Hindous. Ce chil!lfre de cinquante et une langues n'a, en sonune, rien de surprenant, quand on :songe qu'ir! es~ padé, dans 'l'Inde, cent et quelques idiomes nationaux, sans ·compter le jpuchtu, ou langue des Bohé· 'miens.
'
Au centre de la Terre • lJ est infiniment probalble qu'iJJ. y a
centre de la terre, en grande quantité, métaux très Jourq.s, c'est..-1-dire !Prticlsém«~' les mét>aux précieux pour lesquels on faire aux hommes tant de ... soyons podia .. tant de sottises. Celui qui forera un puits a!ll.mt j cen.tre du gldbe y trouvera donc éj.U deux agréments, sans p3.11let: de sa sation ,prdbaJJ)!e, à cause des énOii1mes q·ui y doivent régner. d'abord joie de se sentir très léger et dégagé chaines i-rritantes de la pesanteur, !beaucoup d'or. H n'y a guère que QUE!IqUI• pauvres 6000 kii~omètres à franChir. est"Ce que œ1a, aJlors que pour un oui · stJrtout pour un n.on, on fran.dhit si rment les océans? . Ch. Nordmann.
ORGANE DE LA
SOCIETB VALAISAlllfE D'EDUCATIOB SION, Décembre 1925
A propos d'éducation
xe les choses, jre ra(pel'lerai que ~e m~~ Je me ;pet11Diets. d'émet·tre iei ~Qel'tai tre .dJoit êh1e d~umeu!f éjga1e, tl dort nes Olbse11Vations d'o!ÎdŒ"·e -gïéné11aJl oon- 1• tParlier à dies êlëvtes d!'oo ton doux ma'!S ,cernant l'êdutation. A tquel maitre, ferme. On ,Jes amène ainsi à olbétr sans m'êlrne rq!U'i1s aient envie die r~sis 1par ex:cës Ide zèlre, n'est-il pas ar~ ter. ·surt,out éfvitons de Qes ihDutahser, rÏIVê rd''aoos~r-ol])lher un é!lme et de lut .la ·C1iainte :qu'List ~rollJVIOOt est a(jcom!dire: «Tu n:est qu~n IPa:resseux, ;"'e'C die haine. tor il n'y a ,rren à fa-rre etc., etc. » L en- IPatgnée 1 ( «Tu m'(1!1[1Ui·es a< v·ec tes rq uestio,ns, vant V'a finir !PaT IOl"oir.e qu'iq n'est 1 osla vi-enldtra pŒus tarlcll» ). !Si des élevs IPTO!Pl"e à rien et ~en!durr1cit. peu timides se soo:t: 1lrasa00ê~ de :Mauvais p.rœédlé. Ir ~aurt au conrh'aire fllatter !~amour !P(>ser une question ;p~t-~être un ~u en IP110JPit·e des enfflants. !Si un élèv.e e;st dlehom du suljlet, r-eçoiMent ooe ~n se œm1rne <'el~e-.oi, on peut êbr-e sûr nég1l'it1!16!1·t et ne ~ait que de ma uva ts !q· Ur'iJs I~oeront ,plltJs s'cwenturer .à d:edevoirs on d!evtrra .l,ui dire un jour. a: .lorn mênre rqUJe 'OO}ra n':est !pas tout , ~ matnkller d/esl ·ex(plliJcati olll!s. E~IIl'lon~ 1ait :vl'ai «.!Mon !pt'Jt:it, aujourd'liuJ tdh>ez nos enlfantSI le dësi:r de connar1c'est mieux que ~'lh:albUuldie, ,continue it.r1e :dher·dhons là les intwesser, donainsi » . [~entant rpeu htabitué aux élo· n~s-l~eur les rextP"liJcations possi.lbles sur un ton enjoué et de bonne humeur. ll;!e$ 'tra!V'ai·He'lia œr:tailtl,ement mieux la - o---~oi su!Jv:ante, poo.Œ" ~ :qu'irt est encournalgé, il arrw®a 1à ~ev:enir r~t; Oin1 est maît11e e:rmone des . rpamles ment meiiJ.,lieur. !II' y ~n a fPeu q1Lt relqu'oii1 n'a rpas prononrcées, mats on.eSt sistent. an rl' a ldlit et r~d~1t ~ci rmtêm:e sur II'~aJVe die œJ!les tqui se so-nt édJtapd".aUJtres tons, ~ J,a ~ition fi- !Pées.
un