Les •jours d~ libre ont permis de lfai. re des journées powr la Commun~ et les 'Partiruliers pour 217 lfir. Par contre, on estime à 195 :fr. l'ai•de apportée 1par les autres membres de 1a .fami1le. n a été .fait les dépenses suivantes: llmjpôts f.r. 1216,80 ~ insectkides ir. 52,95; divers fr. 262,20. Intérêt ~t amortisstmtent du ca.pital d',exp1oitat>ion, ·bétail, outils, et·c.... ·10 %· de fr.
5925 fr. Jntérêt de J'immeuble 5 J% de fr. 447,200. Nokl. - La !Val·eur du fumier n'-en. tre 1)1as en ligne .de compte, il doit être elrnpll()yé 'sur ·la f.el1IDe. Par contre, on a acheté des 'engra,is chi'miqwe5 •pour lfr. 57,60. 1P our cal•culer le bénéfice %. a}outez le capital d'exp1o.itati0'11 à la valeur de l'immewbloe.
' ECOLE~~~~ ~PRIMAIRE
-o-
aAr.aur,s
ORGANE~DE
Recettes Dépenses
Vente du lait : 3720X0.26 = " " fromage: 165X2.05 = . " ,. beurre: 27.5X4.8 = • des abricots: 565X0.55 = . " ,. pommes: 127x0.18 = " " ,. 346X0.27 = ,. -. autres fruits: Quantité de fraises: 1250X1.2000 = 1500 Vente ,. " 1500X0.65 = ,. d'asperges: 478X1.30 = • " 107X0.85 = ,. d'autres fruits = " de vendange : 58X37 = " 162x44= Produits remis au ménage . Montant des journées pour la Commune " ,. à payer Impôts . Insecticides Divers . Engrais chimique Intérêt et amort. du cap. d'exp!. 5925Xl0: 100 = " de l'immeuble: 47200X5: 100 =
TOTAUX Excédent des recettes 8125.80-3737.05 = Bénéfice % 4388.75xlOO: 53125 = ~.e6 Gain journ. du père et du fils 4388.75: 600 =
~.Ill
SOCIETE VALAISAIIE
96712d 338,25 13231075 22851 9340
17251
~~~~ 90~~1
147 50 21467261165 217-
LA
D'BDUCATIOI SION, Avril-Mai 1925
L'Instruction religieuse à l'Ecole Qu.estio.n certes tl"'actualité, st jamais i'I en fut! Aussi·, ob.jectivemen~ et devaillt les ,yeux de Ia 1setule ni,son, essa•YOI!l's :de J'eX!ami:Uer et 'Cfl'en tilflar les conséquen'Ces qui s'iiinlposent. Que :Jœ iparents .aient 1e t<firo·it et le (:evoir K:l'éloev.er ·Deurs entfamts, Je ,crois que ce1a, ne ;peut .être nié que ·p ar •des bo'm'mes ,qui prétenldent albsonber .cO'mpletement l"i!llldilvidu <:lJam..s PEtat. Et -à quL ldoo1c incomberaient · det hoDIIleur et cette chMge, sÎinlon aux :Parents? A d'au1rr-es homrme~s !Privés? Mais .à .qui .et ,à .quel titre? 'A la sodété, à I'·Etat? .M•ai.s à ,quel titre? .Le ..rô1e die ·l'lEta,t est dle ;fa.v:oriser \lltls initiatives 'pr·ilvées, ~le su.wlléer )'inidi\vûdlu l'à ·où il est ·iat·ca'Palble d~ahou'tir ·pail' ses protpres foœes. Or, dieyuois ·quand ·et par 'qu~ J.es 1parents ·orrlt-il•s été 4téclarês inœpa,lblles d"élev1er lems enlfants? S'il pouvait en être ainsi, il fa-uJdnalt .aldmettr.e que HEta.t, auss~tôt qu'un .en· fan't vient .de n:aftre, ld10it eJWoyer un CDinlmissaire pO'UT d1.re ' au (père: un
enlfiamt vtent de :v10u,s naî-tre; ·il m·a:p!Partient; Vroi.d ·que ie l'·envoie à . ma maternité. !Mais ·q•ui lne selnt 1'odieux d'un .pareil! 'J)rooodé, ·qui .irait à I"encont!1e ld'~un .des sentiments einr<rcinés ]e .plns protf.onldflm.ent dans lai nature huma mie? IDieu a; mis au .cœur des oparénts ·l,t: besoin de ,s'aHa.cher à l'en'fla~nt, 1quî leur doit 'le 1jtOur; ,et oe besom •est si in.stinctilf et ,si général ;que, si une met1e se .r.encontre .qui .d~aigne 1CI'e s'o:cc~per 'die son lelll!fian·t, \flous -l'a1plpe1D'Ils urne .manâtre, ooe mère ldénaftli1ée . .Physiologiquement la .mere ·doit s'ooouper 'die sorn enfant et ale nourrir; c'est p.'Our elle une nécessité même physiq•ule. .Bi•en 'p'Iru.s, 'I"h.oiil!lll'e est 'de tous les êtres :r~s ·cellui· qui s~ent ~e .plus J.o~n;g-,telmips le lbeso·in de 'l ''aide de ceux oui .lui >Ont ldlcmmé l'lexi.'stence. De fatt üreu a v·ou·lu q:ue ;}'ientfant tfût tporu r ses jparen~s l'ollj-et de la so11idtuide, non 1pas •ete ,queDques semaines, cmais .d'une péfi.oae , td''ia[JJnêes. ·, ,Qu·ani<f 'l'homme ~eu,t-i'I se suif.fire à '1ui-ttnêJ111e, même coiflp01fê1)dm mt? '