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que IE>s beaux 1 .L.'é!parnoutsscmenl de ld santé ne de. oléos <k cc lll"Y"'Il d1r cwlturc humaine. ntanJde qu'un reX'el'ICtCe ~no.dér~ et no 11 C<tic attitude partialte est d'autant 1 les ,perf()ranances athlétiques et a cr 0 • ,;)IJJs alarmante que, par swt~ d'une 1batLques des rocoxtl\s. Mais ,J'inrerêt hoy•pré!feTonoe instill1ctive et sans doute aus- lgiénilque lui-même est sowvent le motnsi d'une aptitude naturelfle, c'est l'ac· dre souci !dies .gpor.üfs enragés; incon!\h'Vité sportive qui assure à cer.tains les rciemrrne:nt ilJs considèrent }'entraînement p:lus francs suocès. tphysitque oomme une fin et ne se préM. 'Musy a signal-é 'Cet aveugle-- •OCCU!p.erl•t pas die la fâ10heuse ~·ercus ment peut~tre inconsci-ent: «Le sport sion Ide letlii'IS CJCcès sur la vie die l'âd0gé-nère qua•ndl il J)OursuH exlClusive- ~me et sur celle du .oonps Jui-même mcnt des clilfets matériel•s 'imm&li:ats C'est ~à jursteme:nrt l'el'lfeur de ,per8jpec sans sc préodctuper d'indiirq·uer les rai· tiv·e qui montre une image délforméc. sons élevées des exer·cices physiques. g-rümaçante de l~être humain, erreur J c sport qui soe rprQipose ex!clusi'Vement ŒTIJtre a·ruquelJ.e met 00 ga:rtde l'av.er(i~· la coJllq uête des re:cord's inutiJ.es, la pré· sement fortmel du Président de ta Con. parartion des V'edettes et des champions flédérati.on: «'P(}ttT réali-ser un équili<.'l:>t wn spor-t néfaste. Il a -cessé d'être 1 bre sta,b ie et harmonieux des forc<'s il llllC ecoJ.e OOUCa1ri>Ce IJ>OUf d.eJvenir un faut savoir, em t.emiPS ll'tile, cultiver si\ u!Jgair.c éleva•ge, qui nous ramène fa- multanémet1t l'e51prit et le COflPS " t:Jlomcnt aux époques de la dtécaden- 1 'Le mariage de l'humble servilem cc. » oor!porel avec 1?·âme d 'origine d'1·recl~· 'fk •J)Ilus les exhibitions fréquentes et ment d!ivine ·enneiblit singul ièrement nr;lrop bruyantes de _gjymnastes à peine tre élément physfque, mai<; lu! impo"-r sortis de l'enfanoe menacent le carac- eon même kmjps des 6gards const<1 nts li>re de la jeunesse. Auta:nrt les ébats rn<vers ·s a souvera ine. Le co11ps ne pt>ul iovrux et les exercices physiques dans .Pas sa•ns forfaiture prendlr.e en dtégolit le- PJi licu n~1turel tdes colillPagnons d~â so111 h•oooralbl<: sePVitulde rpotH" s'·éri~ rr ~~· <''-t conlfo.rme ~~ la simplicité juvénien ma.ître. '"· anbmt l~e.)(lcès des fêtes STJOrtives 1 :Le stpor.t ildéal. d'am·ès M~· Mi·!Jioud, .;epvi r>ar HJH' presse comiJ>Iaisanf.e et est l'adivité rqui tend lr p lus dirwcir· oulra'llcièrc nour:ri<t l''arwgance et l'in· mont à unifier l<'s nuissm1ces <r"' l)êh r ~llhor.dination d'ans ]a vi ~ familiale. sans mutilation ni d iSproportion . JI S1gnatlC'r les dangers d'une pratique disc~plline la f()lx:c lilbrtemcnt 'f)our la d'a illeurs t'X'C O]tle:nte t"n elle-même. ce faire sei1Vir à des fins CO'I1S!Cie.ntes. rén'est pas en vouloir la sUJppre"Sion. fléchies M: cotnliilrunes. mais le reldressem.ent -~la revieut à « J.i&:luire snn rn·POS ·r<>ur que le spotct conserve 0 11 re- en une ume seiWitude :., à l'eXientnlr d<' pr<'~nPe s:l v<lLeur êdiutc::J.ti-ve, il faut S. Paul. e~ à respecter les lrois barrirquf' !,Amr dr ]:1 culilure IJ'hysiqtue snit res rawelées var 1il J.eHrr roaertivr la r"l·btTr (fe Pâme.» N 'esf-oe pas 1-à dt"s flvtêoures suissPs en 19'16 · Ir ~ens cio.c: tparoles de M. Musy: « La Ne mettiez pas le co•np•s au-<Ioessuo,; dr ooncé'iption V•raie die. l'éducation physi· rl'âme. que doit 1pmtég;er noire j1eunesse con\Ne •cultiv{'z IP.as le conp<> au délritre le gr arve ·dalllg:er « ldu SJ)ort :pour 1c mm t <fe JI âme. sp011t » . Le ~po:nl doirt rester un moyen; Culrtivez le COI1pS JPOUr l'tâme. irl dlé\vie tiës qu~H a ~a :prérention d'e de'Venir un owt. :. . l
a.
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ECOLE ~ f4 fi • PRIMAIRE tl(
ORGANE DE LA
SOCI:ITE V ALAIS.A:Ilfl D"BDUCA TIOB SION, Sept.-Oct. 1925
REGLEMENT concernant la Caisse de retraite du corps enseignant primaire du canton du Valais
t e.p tions srooialoes et les condiotions de Ja vie actuellle ; 1\Tu .J'art. 24 d'u défcret Ç:u 24 nwem· bne 1906 oon>Cet'!llant 'la .ca.isse de retraH.e d'es instituteurs et dies institutrices; . . 'AiPrès aNOir ent:endlu la COODitllJSSJon •cantonale de la caisse d,e r·etraite, ain· si que les sodétlés va1laisann:es d.~dlu rca ti on des dieux p·arties: du '(lanton; !Sur la ,pr~osition diu D'éparrtement de !''Instr uction pulbnique;
L'Ecdf.e Prùrtai!re .a rc:r:u atgir dans Œ'intél1êt du persoomea en:se~gnant e:n satori'fiant une ,par:t~e considéralble du tp:rrés;ent numéro ,à la rpulbllitcation du proij et de r~ernent de Joa caisse de retraite 1dlu ·aonps ense~gÏnant :primaire ~· alaisan . En etlf.et, ~e personnel ensei,~Znant sera llliJIPelé à discuter de ~tte Arrête iTTIIPortan t·e •q uestion en A~SSC~tDihlée gé!. But et siè~e de la caisse néra!le suivant oommunilqué d' autre part. Il est d.onc d?ahsolue nécessité q.uf' tArt. 1. - La Caisse de r.etr.aite du tous loo intéressés !Puissent prendre COllP& ense~gnéllllt 'Primaire du Canton 1 ocoonaissance dlu règlliement avant cet- l du Valais jouit d!e b personnalité jute réunion. ,p _ P. j ridilque. ~ w; ~ rBle a son siè@e à Sion. Art 2. - La ca.isse a !POur but d'asILe Consoeil d'IEtat dru Canton du j ·suver ·ses · memlbres contre 1~ ronsêVa·Jais, !Voulant mett11e !•es pMsions senvies 1 tq·uences éoonom~ques de l'inv.alDdité, de au persoooel ense~gn.ant en 'harmoni e tla v·ieiJJ.l.esse et œ la mort, cel·a oonfor· ave,c J.es t;r~aitamehfs peJltlus, Les con- ' mém~nt aux dlisu)ositiüns d-après :