L'Ecole primaire avril 1924, annexe no 4

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24 Qu'on te voie ou qu'on ne te voie pas, n'imite jamais ·les mauvais sujets •· Ce hon conseiller doit partout être écouté.

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Nou·s devons par les habitudes scolaires, iProvoquer l'éclosion des bons sentiments. N'oublions pas les conseils que nous avons donnés. Que chaque enfant sache que nous y tenons. Il le verra si nous conlrôlons souvent, si nous louons discrètement l'enbnt exact, propre, soigneux, poli, compla:sant et docile.

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Publications recommandées I.MlE6S!AGER DU OOEUR DE JESUS .Parmi les revues qui travaillent avec succès •au renouveau de la vie chrét:enne le «Messager du O::eur de Jésus , occupe une place d'honneur. !Par ses intentions générales il porte chaque mois à ses innombrables· lecteurs de toutes les parties dUJ monde le mot d''oi1d!l"e du ,Pape; par ses biographies édifiantes il éveille dans les âmes le désir d'!Ule vie plus parfaite; par ses article& sur la vie intérieure il dirige et instruit; par ses chroniques de la grande Oeuvre de l'Apostolat de La Prière et de la Consécration des familles, par &es correspondances de J'Etranger, il met .s ous les yeux des lecteurs le tableau émouvant des luttes et des succès du Ca-tholicisme. Riche de doctrine et d'informations, il reste cependant accessible aux modes1es •bourses. Pour s'abonner, écr:re à Toulouse, rue Montplaisir, 10. Prix 10 fr. français, ce qui, au cours du jour, fait à peine 3 fr. sui~es.

messe et y a son aboutissant. Depuis que le saint Pontife Pie X a rendu à l'Hostie la place qu'elle n'aura:t jamais dû perdre da118 le oœur des fidèles, il s'est produit chez les prêtres comme chez les écrivains catho!j. ques wte nolble émulation pour faire écho aux enseignements du Va,tican. Le nouvel ouvrage de lM. l'abbé H. M.orice est digne d'occuper ici ll!lle place d',honneur. L'auteur y a réalisé avec un .rare bonheur une adaptation nouvelle de la méditation eucharistique et son p'an, nouveau dans sa conc~p. tiou, donne lieu à des aperçus !nsoupço11• nés jusqu'ici . LA V'l·E IDEA!I..;E. - Par le R P. Ehrhard. Broché: fr. 5.-. Cette vie vdéale, c'est la vte divine à la· quelle nous sommes appelés à participer. Dans l'ordre providentiel qui est le nôtre, l'homme a une ~in s.urnaturelle; nous ne pouvons rien y cbanger, puisque cela résulte du décret même de notre création. Il ·en résulte que même notre vie naturelle ne peut pas être indépendante et <tue bon gré mal gré elit: es1 ordonnée en vue de la vie surhaturelle. D"où l'importance primordia~e de cette dernière. Suiet éminemment attrayant, débordant de beauté, qui donne à l'âme baptisée la haute Ïldée qu'die doit concevoir de sa dignité dans l'univers créé.

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ECOLE ~PRIMAIRE ORGANE DE LA

SOCIETE V A.LA.ISAIII D'EDUCATIOI' SION, Avril 1924

L'exemple du maître

,Que par son caractère, par sa conduite, son langage, le maître soit, luimbne, le plus persuasif des exemples. Ge qui ne vient pas du cœur ne va pas au cœur. Un cours de morale régulier, mais froid, banal, et -(}sec n'enseigne pas la morale, parce qu'il ne la fait pas aimer.< Donc : si Pensée vous voulez avoir une influence mot La presse n'avai.t perdu que la libertt; rale profonde et durable, ayez une rattitude et le langage des journalistes em- riche vie intérieure, et vivez conforbrigadés lui ôtent l'honneur. Comme cette mément à vos convictions religieuses.

fille ·ctUe Circé avait maudite, la liberté de =Hott= la presse a enfanté des ch:ens qui dévorent à leur· mère. !Malheureusement, la déconsidération où la :presse est abîmée ne l'empêclte A l'école, le cnJccitix d'alboord. On pas de nui.re. L'ordre publir en souffre com· vante !beaucoup aujourd'hui l·e s leçons me la' morale, et les gouvernements n'en re· de ·.cttoses. QueUes leçons plus éloquenBroché, fr. 3.50. ILe cu!:te catholique n'a sa raison d'être et · çoivepll: pas moins de préjudices, que les tes et plus -effkaoes que œlles ·q ui tomsa jwstif:cation que dans !~hostie, toute la particuliers. Louis Veuillot. bent du cmcifix! L'enfan·t a hesoJn de liturgie se résume dans le .sacrifice de la -odiscipliner sa voloore par l'dbêissance; Maison Aubanel, à Avignon (France) JESUS V!IV AINT DANS UHOS11IE.- ~Mé­ ditations eucharistiques). Par 1'Abbé H. Moriœ, Lauréat de l'Académie française.

Le Crucifix

l'Ecole

qu'il re.e;arde sur loe crucifix Celui qui :fut obéissant jusqu·~à la mort, ·et à la mort de la croix. L'enfant a besoin de combattre l'ég-oïsme; 1qu'il reg-a·r ·de Gelui qui aima taus les hommes et >qui se livra !POUr ·eUX. L',enfant a ibesoin ,:Je réprimer rorg'ueil et l'impatience : qu'il r·e·g-arde Celui qui a rtant souf.fer:t, Celui !J'ont J.es plaies ont étê ·creusées par ta sensuaiité. L'enfant, apipelé à vivre dans la vallée des larmes, trouvera sur s en chemin la tristesse et 'l'éproeuv·e: qu' H regarde le crucnfix: c'est de lui tq·u e des·œ nd ·!a •cons,olation. NouS' ne résistons pas au besoin d~ citer ici la pag-·e suivante, trouvée dans les notes d'un pau'VT'e orphelin, mort à à 14 ans. Usez: v<>us tous, -et faites g oûter cette 1page si profondément attendrissante: •• Oh! que je t'aime, mon crucifix, le seul ami ·<iue Dieu m'ait lais.sé sur la terre. Ton image noircie par le temps me vaut plus que l'or du Pérou, et, à mes yeuoc, tu es plus beau que tous les trésors de la terre.


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26 ~ Je me ra.ppelle que, du temps où vivait rna grmd'mère, tous les ans lu étais orné de buis. Souvent, dans l'année, je .J'ai vue se prosterner devarnt toi poUJr adorer celui dont hl! rappelles le sacri·fice.

~ Plus tard. quand elle mourut, rna p~u­ vre mère prit soin de toi et lorsque, accablée par son chagrin, elle était portée à murmurer, je l'ai vue rplus d'une fois te regarder: et des lannes si.lencieuses coulaient de ses yeux. Lors<;u'arriva l'~oque btale où notre père fwt enlevé à notre tendresse, je me rappelle que c'est toi qui consolas ses· derniers instants. • Je me souviens encore de cette époQue terrible pendant laquelle je '<levins orphe1'n. Un jour~ ma bonne mère couohée dans son lit, me dit: «'Louis. je vais te quitter . .• . Sois .touJoliŒ's bon et sage, et tu seras heureutt ... Nous sommes pauvres . .. Je n'ai <;ue le grand crucifix de chêne ... garde-le bien, promets-moi de ne jamais t'en séparer .. . • Ma mère se tut, •j'écou~ais toujours. comme si j'attendais qu'une autre voix continuât ce qu'elle avait d:it. Mais hélas! il n'y avai.t personne dans la chambre. Je n'osais lever les yeu!X sur elle, de peur d'y voir les traces de la mort ... ~ Il y avait déjà longtemps que j'étais absorl>é dans mes réflexions·, lorsqu'un mouvemerut Ide ma mère me fif tres·saillir. Je la regardai : eLle était pâle et me fit i.igne de me mettre à genoUIX. 'J e m'évanouis, jpas assez vite cependant pour ne pas avoir Vll le regard de celle qui venait .de me (\Uitter s'atta~her Slllr la croix d.e chêne. Mainlenan·l je suis seul! •je n'ai que toi! Tu resrteras avec moi jusqu'au :j.our où j'irai rejoindre dans le ciel ceux que j'ai aimés suŒ" la terre. ~

0 fo lne! ô crime de ces malheureux qui .enlevent le crucifix des yeux, des mains, du cœlllr de l'enfant! C'est lui ravir la forœ: c'est 'lui ravir la ·consola·t ion; ·c'est lui ravir ol'esrpérance! 1\v-ec le crucifix, l'école -conserve à l'enfance la prière, dorn.t t1i!1 émiÎnent a·ca.démicien. lM. Legouvé, appréciait

ainsi les lbienfait.s: « PoU'r moi, il, je ne crains pas de l'avouer, tais for-cé de choisi:r .p·ou.r un entr.e savoir prier et savoir ltr•e, je rais: Qu'.il sache prier, c'es.t lire l•e o'lus !beau des livr·es. au front de oJui d'où .éman~n.t toute lumière, justi-ce et touf.e 'bon~. » Lumière. ce et bonté. ouor de plus pour l'enfant?

- t toU=

Petite étude sor le scoutisme La vie Intime

Qu'est-œ donc •Olle le Pas autre chose .q u'une vaste -·---··· se_ d~édwcation nationale. Aux du fondateur la pluparl des maux ~es pays sou·f frent 'p roviennent de ~ue, trop souv:ent, l'ins,l:ruction ment livresque emoiète sur l'édu La co'tllrse au 1di1plôme fajt oulbHer ;reste. Ce :resre-Jà, ·scoutisme en l!ête de son -programme avant ce sont les âim.es ou'i-1 veut former. part les connaissances •pratiques, domaine n'est .pas 1'1nstrudion l'éducation. ' Cette éducaHon veut être nati «!Relever 1a ra-ce: assurer l'avenir parys. sauvegarder nos hommes de main avant q'tl'il soit '!trop tard» tel le 'but. «'Prendre les ga:rçons, leur l'esprit ('fl extraire leur et en fa ire de brav:es gens pour et leur pays; les a·i1der à devenir travailleurs acha-rnés, des ?.:ens raJbles et virNs. animés die fr:at.ernels à l'âgalfd du "C'est par la vale'UT de ses ,..;t.~u;o,n~ non par la force de ses armes ~avs devi·ent supérielllr aux a IP.ar conséquent, le Scoutisme forcer-a d'a1m~ner cha.que -enfant à maximum ide valeur htlllllavne, afin

le

il a<tteigne du même •cou1p son maxicnum de valeur so.ciale et nationale. Délants dont l'homme d'aujourd'hui

j

Le •tatleau ci-après .résume et le but et le .p rog:r amme du scou.tisme. Rem~des

10utfre

Causes

développe systématiquement

Irréligion Indiscipline Manque de patriotisme Indifférence pour un haut Egoïsme · idéal Corruption Indifférence pr autrui

1• Le caractère par:

Education Crimes violents ~ Folie Alcoolisme Gaspillage et pauvreté Vantardise Paresse Relâchement moral jeux d'argent Débauche Maladie

L'éducation des Eclaireur•

préventtfs t'ajoute à celle de l'école et

Origines

Manque de ~ 0 discipline 1 du. caracpersonnelle tere

Mollesse

l

·. .. 2• la aanté par :

. . santé Mauvaise ~ Manque de A~en.11 e . Indifférence connaissance Mortalité mfanhle et ignorance en matière Arrièration mentale des parents d'hygiène ' Insuffisance physique

L'influ•en.ce fQnJdamenta'le et le prin· cipal rôle sont dévolus, œla va de soi, à la reliJgti()n. 'Le point de départ psycholo~ri·que est d'exercer l'enfant à voir et à apprendre par soi-même: mettre en ieu ses f.a·-cuJ.tés d'observation, d'ima'l!ination, de réflexion, le pousser ainsi là dlécouvrir, à inventer, à jouer enfin un rôle acti.f dans sa prOl\}re formaflion qui , romme toute manifestatien vi·t ale, doit être 1e 'Pfadui·t d'tiJile évol-ution interne et n()n d'un modelag-e purement extérieur. JI s'a'git de .produire un homme. Ce .qui fait l'homme, t'est de savoir -ce ·qu'il veut et d'a.gir Par volonté. ·Ma:is le chd qllli .sommei·lle en tout 1Scout diigne de œ nom, n'est

Milieu favorable Sentiment de l'honneur Sentiment du devoir Discipline personnelle Responsabilité Débrouillardise Arts manuels Dieu dans l'étude de la nature Religion pratique Franc jeu Aide à autrui Service personnel pour te pays

~ Exerc1ces en plem au d'atteindre 1<1: santé Responsabilité un développement phyP yslque sique normal. Santé et hygiène pratique ..,.,.._...._

l d~ ze

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pas seulement l'homme .qu;i. veut, il ·est l'homme .qub sait: L'enfant ne se developpe jamais pleinement e.t beureusement que d.a'O.s sa ligne: étudions cette li~rne. Voyorus •que'ls ieux et quels passe-temps lur plaisent ·et. aU' lieu de le la~sser s'y amuser au hasa·rd. apnrenons lui avec méthode les éléments de ce ·qu'il rega_.rde ffi•COO"e comme une récréa~ion: menuàs-erie, électrkité, botantque, .dlessin. 'Montrons lui que dans sa « marotte aduelle » git peut-être son gag>ne"'()ain de demain. Puis, tout en voulant lfelev·e r not:re race. a~ppre­ nons .à ~'indlividlu ·que l'égoïsme n'est qu'une -a~r:ophi-e qui diminuerait sa valeur, qu'i·l reoewa toujours ass.ez de ~ussi


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services 1de la société et 'qu'un homme de cceur se soucie d'abord de rendr·e et die dO'Ilner, qu'il regarde en dehors de lui-même, q·u'·H .pense aux autres, que taut,e sa formaHon aboutisse au devouement. Tel·le est l'ohLrga'tion quotidienne du JScout :qui, dl"atQue matin. fait un nœudJ à la nointe du foutard et n'a droi.t de défair;e ce nœud, qu'après avoir rendu service à son prochain. IPar .suite, tout ce 'oui lui perde fa'ire cela, H doit l·e savoir et être prêt à t.ou.tes les é\o'entualités, à toutes les :réqui:SMions de la 'cha'fité. Un Scout -égoïste est une contradiction dans les termes et si. en vous' r-enoontr,ant, son premier mot n~est pas.: «·Que /PUis-ie 'faire nour Vüus » eût-i·l les manches -cons,fellées d'im,i:g:nes de catpaoité, i'l n'a 'd'e !Scout 'Q'lle !~unifor­ me et le lliOiffi . 'En fait. ,c'.est un râté. Au Scoutisme 11 n'a rien oompri:s. Enfin, demi'e r trait, la satiété au miHeu .de Ia.quelle .Oieu nous a .p'lacés noos l'aimerons et la· servirons comme telJ.e. NoUISi aurons à •cœur de faiTe de nos g-alfs d'ex:ceN,enils dto'Yens. 'Ils coprnaîtliont la vie ·et l'histoire passées de 1eu-r pay;s, sa vie et son histoire actueile. Sans s'occuper pour autan,t .de n·olitioue, i1s parlidner.ont à la vi·e nation"'fe. ne se dlésirn'fléresseront d'aucune qÙesti'on Ïin~éri~ure on extérieure qui contceme la' patrie, d parvenus à ]''âlle vi!ril Hs n'amont pas beso~n de commenœr :oa'T en 'faire la découv,erte. No11S auvons fornmé .ainsi, Di:eu aidant, l'homme .complet. Tout système d'éc:Iucaüon imoliq·ue une .phi1osophlie, toute insti-tution a son ·espri-t, mieux encor·e son âme qui la fait vivlie et ·qui !~exprime. L'i'lme du scoutisme, son principe vital et sa vivante ex:pvession ·c'est .ta devise, 1a P~omesse et la ~.o~ scüute. La d!evise ;réside dans ces deux mots «Toujours prêt».

met

'La promesse scout·e. Sur mon Hon. ne111r. avec la' grâce Ide Dieu, je m'en. g-a,ge: 1. à :servir de mon mieux Dieu l~Bg1ise et la Patrie: 2. à aider mo~ wochaj,n ·en f.out·es circonstances; l. il olbserv-er la lüi scoute. La Lüi Scoute n~est que le dévelop. !Pement de la 'Pr.omesse. Si;r R. Bat:len. !Powell a jugé avec ,raison que Je.; en. .Q'alt!ements ~.néraux « T'ηS·quent de res. ,ter lettr~ mori-P. » .dans la pratiqu~ s'ils ne Sol" ·référent à des t,extes ela ï.rs et l)ré. cis. lt.'est .pourouoi i·l a Tédüré ce C:od~ élll.X formul~"· brèv-ec.. •concrète:::. et inci~i'v·f.'."-. .n œud ne tout 1~ svc.tèm0 et clé 1 de l::1 forma·Hon ~coute. f:'est l'J.Ï C'1l i nr.-n.s r·rnsei'!!'fH' c.ur c~> au'on exiP'·!' dl"\ enf,<mto: a11 pnnnt ·de "'"'"' mor~l. et ou; nous montre ·comment le scoutTSime oêtri~ l"flme die ses adhérents. J. Le Scout ·e,c;t chrétien, il rem P·lit seg dev:o·irs rdivieux. 2. 'Le !Scout n'a •au'une paro•le. 3. Le 'Scout est fidèle au Q"ouvernement de son paYIS. ~ sec. oa·rents, h ses pa+r<'ns et ·à ses S1tllhordonnés 4. LP devoir dln· 'Sœu.t est d~ se ren. dre uii'le. •d'aider c,on oroch~'Ïn et d.~ lui F0 P·dr~ ch!'1·011? iou.r :T:f' .coPrv'<'e. 5. LP 'SC'nut est un bo,,.,. ms. I'::~mi de tou·s ·!"t le frèri" de tous les sco'l.l~s . 6. 'Le Scout" est ·COU!ftoi,s. 7. Le Soout sait obéir sans jamais récriminer. 8. [e Sc-out est ·bon pour les ani· maux d rpr.o·tef!'e les !Plantes. · 9. Le Sc.out sourit et siffle dans tou. tes les d'ifficu1tés.· 1 1O. 'Le 1Scout est économe· 0t travaïl· leur. 11. 'Le Scout ·e&t ou:r dans ses pen· sées, JSes actes et .ses ,-pa!foles. Le R. •P. jésuite ·Sevin, dans son 1iVlre « Le 'Scoutisme», après .avoi,r dëveloppé ,chaque article de ce Code, vermii1e ainsi: «Concluons du moins en 1disant q.we sv la loi Scoute n'es,t pas

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eiilède ,à .tous les dêtauts de l'adeJe renee l'expérience montr,e que, en Jescnes ~ains, elle .algrt ·comme un le~n puissant 'qui ·souleve œtte i,eunesvlerau~desstrs .Jes ..~. · · 1 mesqu~>nernes mora es ~ t'aide à corri'ger ses défauts. C'est ~le après .tout, et ell~ seule qu! fai~ le Scout et. saiD..S eUe, 11 ne sera tt 'q u un rço~ Vlêtu de ikhaki. !Mais si le ~outïsme ne peut ~ passer d~e1le, dIe !Peut se 'J)a:sser du: Scoutisme et ~­ trer partowt .comme code de formation ale nettement surnaturelle. Je saJ:s 01Or des cfir.ecteurs d,e con's.ot·.ence ·qut. on t vu les heureux ;résuoltats_ ·C'hez leurs «fils spidtue'ls » et ides hgues eudJaristi.ques où le . n?lll'~re d~ ·co~mu­ nio11.S n'a ,pas dlJIIllnue le J.O'u r ou la • Bonne kction » y 'fut mise en honnettr. C'es't av·ec la <COnfiance que donne la prattque de La ·ch~ose ,que 'le me nerme ts de d~re aux scept~· ques: !Essayez et vous verrez.»

Oui, essayons. éducateurs 1de la jeunesse, ajoutons œtte nouvelle m1rque de notœ dévouement, et si une récompense matédeHe ne vient pas récompenser noire effort, a111 moins seron~~no us heureux de voir des résultats palpables acquis en tu1ès petll de temps. A tous œux .qui se sentent .dé\j"à un !peu Scouts ·et ·Qv:r veullent lancer le mouvement, je consa·crerai k p·rochain arti~ de pou!f .Leu'f parlelf de· la formation d'une tr-oupe et de .sa viotaliité. :L. P., ;.nst. à Si-Maurice.

=tt ott~ Les habitudes morales dans la vie scolaire 1. Les élèves d'une école sont solidaires

Les élèves sont solida,ires, •c'est-àdire que Ieur gmu.;pe -forme un tout .et comme 'Un seul 1être; •les éleves y tiennent les uns ·les autres ; la .conduite de chacun est util•e ou nuisilhle à ses ca-

ma rades; dle est un lbon ou un mauvais exern:p,J,e; .elle ·crée de ~a joie ou de la peine. L'·enfant qui le comprend !bien ,se dit que la $Olidarité lui impose d!es devoirs: il veut que ses ades contrilbuent .au bien .général. C'est ce que pensaient fort ·bien les écoliens d'un CoUège de Jésuites où fut élevé !Marmontel au milieu du XVIIIe si'ède. SOUIVIENIIIRS DE COLLEOE ,A l'égard de '!lotre collège, son e&ractère di s~incti:f était une police exercée pail' les écoliers eux-mêmes. Les chambrées réunis· saient d'es écoliers de d•ifférentes classes, et parmi eux 1'autorité de 1'âge ou celle du talent, natull'ellement établie, mettait l'o:rdre et la règle dans les études et dans les mœurs. Ainsi 1'en,fant qui, loin de sa famille, semh'ait, hon de la classe, ëtre abandonné à lui-même, ne laissait pas d'avoir pa:rmi ·ses ·camarades des surveiltants et des censeurs. On travaillait ensemble et autour de la même taHle. C'était un cercle de témoins qui, sous les yeux des ·uns et des .autres. s'imposa:ent rréciproquement le silence et l'attention. l!écolier oisif ,s'ennuyait d'une immobilité muette et se lassait !bientôt de son oisiveté; l"éoolier h·atbile, mais appliqué, se faisait plaindre: on l'aidait, on l'encowra· ,.ea.it· si ce n'était pas le talent. c'était la ;olodté qu'on estimait en ·lui ; mais il n'y avait ni indulgence ni rpi:tié pou.r le paresseuoc ,incuralble: et lorsqu/une chamibrée entière est atte:nte de ce vice, ·elle était ·connne tlés'honorée: fout le collège la méprisait. et les parents étaient averfis de n'y pas mettre leurs en~ants. Nos bourgeois avaietl!t donc eux-mêmes un grand in·térêt à ne loger que des élcoliers studieux. J'en ai vu renJVoyer unjquement pour ·cause de .pares·se et d'indiscipline. Ainsi, d:ans 1presque aucun de ces groupes 'd'enfants, 1Joisiveté n'étai t soufferte; jamais l'amusement et la di!>sipation ne venaient qu'a'Près le travail. Marmontel.

Cette yj.e des chambrées ne vous paraît-eUe pas fo-rt agrééllble? V ne soli-


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darité voulue y créait la meilletUe discipline. a) l}. y a toujours solidarité dans un groupement; mais dans la chambrée oette $Oljdarité était voulue (le remarquez-vous? ·quels étaient naturellement les ŒD.seillers écoutés·? y avait-ii des surveillél<llts ou censeurs? l~écoJ.iu înhabHe était-il albandonni' à lui-même? chacun songeait-il à toute la ·chambrée?) b) Et il ·en -r ésultait une excellente !discipline. Le contraire peut se produire. (Le voyez-vous dans la page 'de 1Marrmonte1 ? ... ) '•Mais. ·dans 1~ plu:part des chambrées, chacun voulait la solidarité pour le succès d~<> études !(1qu'estiimait-on ? ... que blâmait-on? ... ) -~ cefte « p-oliœ » mutuelle et amicale excitait et ma·iPtenait l'application génér.ale. Avez-vous remarqué que, quand il le fallait. c:ha!que chamlbrée était ramenée dans b bonne voie? par qui? c) 'Et maint-enant. savez-vous ce que i'espère? !~ devinez-vouo,? C'est ou~ n-ous verrons dans notre cla~:se lp ·hrm esprit qui régnait .dans les chamibrées. Chacun voudra êtœ un bon exempie pOur les autres. saura disrcrètement donner un ·conseil. song-era ·ou'il ·contribué pour sa pa·rt à la valeur ou à la réputation de la classe et de l'école. Que chacun de vou"' se · dise donc, du fondl diu cœur. ce •q'tle devaie'll.t se dire les élèves des ibonnes -chamlbréE's.

Il faut ftre appt;)qvié et misonnable. .fe veux l'être, et ;e veux a1nrkr. œuiant que fJOISSible, mes cdmprat/Jes à l'être. eux lNJSsi. 2. La soHdarité dans l'école SOlJIVIBNliRS OE COWEGE (suite) Vesrprit d'oidre et d'économie ne· distinguait pas moins C)lie le goût du travail notre police scolaire. ·Les nourveauoc venus, les :plus jeunes, apprena!ent des anciens à .soi-

81 gner leurs habits, leur linge, à leurs livres, à mênager leurs Tous les morceaux de lard, de bœuf ou mo;JJJton qu·e Pon mettait dans la étaient proprement ent:lés ·comme desde chapelet; et si. dans le mélange, il venait que1ques d&a~. la bourgeoise en l'ar1bi1re. Qumt aux morceau,x fr iands certains jours de fêtes nos familles nous voyaient, le réga·l en éta:t comm.un, et qui ne recevaient rien n'en étaient pas conviés. Je me souiViens avec plaisir de tenfion déEcate .qu'avaient les plus fo de la troupe à ne pas faire sentir aux cette aJiifiÏ!geante i.négalité. !Lorsqu'il nous rivait ,quelqu'mn ide ces présents, la se nous l'annonçait, ma!s il lui était du de nommer celui de nous qui l'avait çu, et luJ-même il aurrait .rougi de s'en ter. Cette dtscrétion faisait dans mes · l'admiration de ma mère.

Vous avez souri q-uand parlait de la ·cui:sson des morc·ea•ux lard, de bœuf ·e t de mouton. C'est recett-e de cuisine un ·peu primiüve ne <COnviendrait pas :à vos mamans. IM.ais pa:rlons de ce que vous admiré. a) 'La « police » mutu eUe étah les hart>itudes d'ordre, de soin, de

pretê; b) On évitait les ·q uereHes par le cours à UJn arbitre: c) Avec une dlélicate attenticm, à-dire avec un effort pour qu' élev-e ne fût gêné ow ·hlumilié, on tait en commun les desser•ts et rr3 1fJ>ri•• de tous genres. Quel'le bonté sÎiniTJlt towhante! 'Savez-vo'll:s -ce qu'eUe rappelle? Les vJêtements qu'on me met parfois pour être distribués crètement, les dor.s faits pour 1 pœblique (indiquer d'autr-e s faits s.ervés à l'éco~e... ). Et -ce rque je haif.e, je n'ai pas rbesoin de voos le re. rEcrivons:

'La

soA~aritê

scolrtire :doit

lcldre les vertus, et swrtout la bonié, prédeU.Se et !~conde entre foules.

=tto:t:t=

Le sac d'école :H fait partie intégrante de l'écolier. On ne conçoit pas plus un grimaud. -sans sac d'érole qu·'·un fa·s'Ciste sans chemise noire. JI est l'emblème de l'~e scolaire, tout comme le sceptre est l'insigne de la royauté. Quand la corporation des potaches aura conquis droit de dté, elle se donnera certainement les annoiries suivantes: • de gueules, à un sac d 'école d'or, chargé d'une lanterne d 'ar2'ent •. Il varie ide forme et d'importance au cours de la scolarité. Au début, à ·l'école enfantine, il est une simple ,poche de tapisserie de laine, brodée d'initiales triomphantes ou de dessins puérils. On le porte en bandoulière, comme le sac à pain du soldat, similitude dont on ne manque pas de tirer c;uelque orgueil. Il ne contient encore, il est vrai, ni li\"re ni cahier - un morœau de pain en ~té, une pomme en hiver mais tel quel, il n'en marque pas moins la première étape d'une rlente émancipation. Et, à ce seul titre, H est un sujet de ~ande 1ierté . .. Plus tard, quand on possède eniin un livre de lecture et un cahier d'écriture, sa forme s'adapte à. la nouvel'Je dignité de sa fonction. c fest maintenant un sac d'école. un vrai a-vec deux 'Courroies de cuir e t un couvercie en peau lde dtèvre, qu'on porte au dos, allègrement, certain GU'on est de l'autorité qu'il vous confère. En ·général, ses proportions dépassent de :beau-co111p l'importM.ce de son objet. Les quelques • effets • qu'on y serre s'y meuvent en toute !ihel'té, et parfois, le ma:fin, GUand on court jpour arriver en classe à l'heure, i·ls y tressautent en tambourinant un rythmé éperdu contre ses trqp vastes parois ... rPius .tard encore, lorsqu'on a .passé l'âge des saintes innocences, qu'on est un cgrand. ou qu'on va au coll~, le sac d'école .passe par une nou\'elle et dernière métamorphose. U devient • ·serviette •, une serviette <le cuir

ou Ide toile cirée qu 'on tient sous son bras, C()mme l'homme d'a,Efaire ou l'avocat Car i\ siérait mal, n'est-ce pas, qu'on eût les mêmes hochets à quinze ans GU'~ six ou qu'à d ix! On en est là la période où l'on penserait déchoir en léchant un sucre d 'orge ou en jouant à la • .coura:te •. Bon pour les endants, le sac d'école! Tandis qu'une serviette, :hour~ à craquer, ça vous ,pose et ça 'VOus classe.... iHélas! un jour viendra où le souvenir de ces petites vani·tés ~era sourire d'attendrissement. Un jour où l'on regrettera le temps où on léohait un sucre d'orge ou jouait à la courate, et où l'on portait en bandoulière une podhe de tapisserie Ide laine.

=ttoH= Pour rire un brin Les principaux monuments de Fribourg

(Rédaction Ji.bre d'I\.IIIl écolier de 11 an-s)

La ville de Fribourg esrt pleine '<le monuments. I.e premier de tous, c'est la Sarine. C'es1 le monument le plus vieu-x et le plus ·long. !La Sari11e vient jusque dans les robinets pou.r nCJ.us donner à boire et nous net· foyer. EHe sert aussi à fabriquer la lumiùe électrique pour qu'on puisse voir clair la nuit et aussi quelrquefois le jour. La Sarine donne encore des pois•s ons aux pêcheurs oui savent les accrocher. A des places on l'a d i-' gué pour r:u'e1le saute pas de:hors de son lit pour aller ronrtrer les prés. iLe second monument de Fribourg, c'est le TilleuJ. Il est tellement vieux qu'il est à moitie pourri. n y en a qui ·voudraient le scier parce .q u'il est ju.ste au mil ieu de la roUJte, mais il donnerait pas même un moule de bois, -seulement queiques fa'gots. Pour pas qu'il risque de tom:ber sur ·ceux qui passent quand! il y a du vent on ·l u! a mis des poteaunr;. C'est un -soldat quJ l'a planté avant de mourir, quand il est revenu ·tout essouff.lé de crier la bataille de rM orat. C'est à oause de ça qu'on le garde comme souvenir et qu'il y a toujours des gendarmes autour pour le surveiller.


32 !Le troisième monwment de fribourg, c'est le baromètre. C'est ·u,ne espèce de grosse pierre, pas longue. a:vec autour des bobines qui tournent et des tuyaux où ça mon1e et descend. ,Jl y a tou,jours des gens qui vont le guigner pour connaître le lemps qu' il fait. ll y a auStSi des ou.vriers qu.: vont chercher du travai l par là audour, qua11d' il n'y en a point. ile quatrième monument, c'est la 'carrière •de Beauregard. C'est cel·ui (jUÏ m'in.téresEe le plus, parce qu'eUe est tout près de la rue du Progrès ousqu,e j e demeure. Là on peul bien s'amuser tranqu:lle, on a pas peu;r d'être cra!bouillé par des autos et des camions. C'es-t avec la carrière de Beauregard qu'on a fait la ville. A ·F ribourg, il y .a en,c ore un tas d 'autres monuments surtout au cimetière. Il faut être ~ier de fribourg, qu~and: même on leu.r dit les Boltzes. Ailleurs ·on est pas mieux c,u'ici et il y a pas partout .de jolies Sarines et der, ofiJ,leuls vieux comme 1~ nôtre. (•E xtrait du. , faisceau mutualiste'').

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Le Décalogue de l'écolier IDe bonne heure lu sauteras !De ta couchette les·tement. C haque jour tu te laveras La. tête et les mains fortement. Tes leçons tu repasseras Pour les savoir suffisamment. .Puis, ,}'ai.r joyeux, tu te rendras A l'école di.rectement. Ton maître du :respecteras 'Et aimeras parfaitement. Toujours docile

tu feras

Ce qu'il commande exaclement. Surtout tu ne bavarder-as Durant la clas.se aucunement. ilivres. et cahiers. tu tiendras En :bon état, très proprement. Tes amis tu ·ohoi:siras Que parmi les bons seulement.

Cha<;ue soir lUI retourneras Dans ta famille pr-omptement.

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Variétés • A rLIBOOI!JE. - Toi, Henri qui t'amuses a u .Jieu d 'écouter, à quelle race humaine Sem a-l-il donné son nom? - Monsieur, avec Sem ... avec Sem . .. on a fait Sénùnai.re. - Et queJ.le est la ra.ce <;_ui descend dt Cham? - La race des . .. des . .. Camarades . - Tu a3 étudié le canton de Soleure. Connais- tu G•uelqu.e sou,venir .de Soleure? - Oui, .M'.sieu. Nous avo111s â la cuisine une g rande cuiller eu argent où c'est gravé: Bui. fcl de la gare <l'Olten. *•* Calino l un garçon qui est lets mauvais garnement. Il y a quel~ues joun, plein de colère, il ·lui dit: - Mauvais ch-ôlt, v-a-t-en ·dans ta chambre, mets-toi au lit el rappol'lfe-moi la def. *• Un poivrot p:que une tête dans le ruisseau qui coule à gros bouiHons. Il !ail d~ vains efforts pour se relever. L'eau cha. que fois le bit glisser et retomber dans le courant. Al<>rs notre ivrogne lui montrant le poing: - T'a·s beau fa:re, va. je te boira i pa1<! •Et il se retourne dignement sur le dos. A 'L'BOOIJE. - ILe régent: Mes enf•arJ!S. vous allez me bire une composition su r ct sujet: ·L a maison de mes parents. - Le petit Eugène, fils de parents riches: Nous on en a 7, comment je ferai ma composilion. IMais j'y pense: je raconterai quelque chooe de la .r1113.ison d 'autres camarades. Ainsi, Pier· re m'a dit que la mais011 de ses parents es! couverte d'ardoises. Charles trouve que la leur est plUJS beBe pa·rce qu'elle est couverte d'hypothèques. •EJN11RIE BQINNlBS FEMMES. - Moi, voyez-vous, je suis bien contente de ma petite. - !Pour ça vous avez h ien raison, elle est bien gentille. - Et ·s~ propre avec cela. Aillsi, à fécole, elle ernprunfe iOUijOurs Je moU• choir d'U!Ile de ses amies pour ne pas salir le sien.

*

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ECOLE PRIMAIR.E ORGANE DE LA

SOCIETB VALAISABIE

D'EDUCA TIOI SION, Mai-Août 1924

Gloire ill l'Eucharistie

raison intellectuelle, ,par.ce qu'on sait que, en « 1prenant » le ga-rçon jeune on EUCH.4.BISTIE, nom par lequel noue som- est sûr de l'éllVoir «à ifmps » ; et 3. par motif surnaturel : la ~rsuasion liU lous frères, en un Dieu vivant et se donque nous faisons énormément pour asIIQtll. EUCHARISTIE, pain de l'âme, patrimoine suœr le salut éternel d.e l'enfant. La 11kndide de l'humanité, appartenant à tous jpersonne •qui 'Clési.r·e fu'aJVaiUer dans .ce Ill 8ges, à toufeB les conditions, lieu de rensens, après s'1être mise aru courant du contre entre Dieu et l'homme à travers le démouvemept oet s'en être im,pirégnée peu·t .,t de la vie. fonder une troUJPe. Il est deux mét.hoEUCH.4.BISTIE, vers vous, plus queiamais dies qui se _présenteront alors à elle: ·t. 1111111 tlevotts nos \loi:c et nos aupplicatiom. le cou,p d·e filet, 2. la pêche là la ligne. Dans la 'Premièœ, a1)rès avoir invité =ttott= le dengé paroissial, les notabilités .d e Petite étude sur le Scoutisme :l'endroit, les memlbres ·. Ide l'enseignement, on ]era cOOilJpfendre qu'on s'a.(Fin) ldrac;se surtout aux pères et mères de Formatwn d'une troupe :famille. 'Les autres rpatronneront Pœu!La premiè-re personne à trouver vre; eux la feront vivre en lui donnant c'est un cllef, cl celui-ci ne peut jouer lettrs enlfants. Il est lbon de recourir, efficacement le ·g rand rôle qui lui se- pour cette 'Première réunion, à une perra dévolu .qu'en remplissant certaines sonnalité scoute un peu en vue et dont conditions indispensables. Il faut en le discours sera le plat de résistance llll mot qu'tl soit rupâ>tre: 1. par raison de la soipée. Par dessus toutes ,choses naturelle on a .pi·tié des peti·ts aban- ,que tout, or.ateUIS inscrits, sujets à traidonnés sans amis d sans joie; 2. par ~r. résoJutions ,à !Passer, soit rég'1é d'a-


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