40 - Je connais un tailleur, iii!capable ceries de .c réer un habit comme le 'VÔtre. Ma:s il est cependant d'une prodigieuse habileté et vous en ~era un identique. Le consul a!la trouver le taiHeur qui , en elffet, acceph de coniectionner u.n JhaJbjt exaotement pareil. C.ela vous coûtera 250 fu'., dit-il, et quatre jours me seront nécessaires, car il y a du .trava il. ~ Quatre •jou.r;s ll[près, ile Chinois ,porucluel raworta l'hahi.t qui lui avait été commandé. - Mais, c'est l'ancien que vous me rappœtez? s 'exclama le consul. - Non, non, c'est bien le neuL . . ils sont tout à fait semblables. Celai-ci a 50 trous •comme l'autre, e.t même ce sont ces satanés peti1s trous qu i m'ont donné le plus de mal ~ faire!
Lourdes en ,923 iNous Es ons dans la ,Revue de Lourdes" : L'afflux des carava·nes de prières a sensib'ement augmenté depttis l'année précéjente. Si, au total, le chiffre des pèlerins est à peu près équivalent, 'les « diocésains • ont été plus nomlbreux. Une activité croissante s'est affirmée pour le recrutement dans chaque d:ocèse. Des organismes permanents ont été créés ou reconstitués. Les Comités se son.t multipliés pour le groupement des fidèles et l'hosp ·talisation des malades. Ces derniers ont . profité largement de la charité mieu·x compr:se et disciplinée. ID'autre part, l'esprit paroissial a régné d 'une ma·nière rPlus générale e! plus touchante, dans ces masses humaines, unies plus étroitement autour de leur .pasteur. Si le nombre des • iso:és • est demeuré toujours important, il a cependant diminué au profit des « diocésains • qui attirent de plus en plus les chrétiens conscients du grand de:vo:r de la :prière collective. 1De nmi à octobre, c'es·t-à-dire pendant six mois, les sanctuaires n'on.t cessé de vibrer de chants, d 'acclamations et de pr,ères. Beaucoup de pèlerins venus à Lou rdes pour la première fois et sans avoir chois: l'épo-
que de leur voyage, demeurent étonnés Dn leur déclare ·<;Ue ces fêtes, dont la sp~ deur les a émerveillés, se renouvellent a·IQ. si, sans interruption pendant tout i'étê.
Supplément au
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-+ de ., l' &cole"
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Il est trop bon.
0 mon Dieu, pourquoi êtes-vous inou pllutôt méconnu? ... n'est-ce point parce que nous ne comprenons pas que vous êtes trop bon? trop bon en nous, trop 'bon quand l'offense arrive en trombe et blesse vos pieds divins ; tro.P bon quand la r~paration monte et apporte à vos plaies d'amour son baume de tendr.esse brisée, de compensation ·infime, de bonne vo,lonté impuissante, d'amour trop restreint ... Trop bOn de tout accueillir avec bonté ... Le reflet die cette 'bonté extDême est visible sur tout. 0 Seij4neur! ne laisst.Z pas inassouvis mes grands désirs: pour acquérir la connaissance de cette banté, oblig·ez-moi à la deviner, à la voir, à :l'a<Ccepter, à l'aimer partout où elle pass·e ... Vous .êtes trop bon, ô mon Amour, et j'ig-nore les res,sources, les effets, les L'éclipse du colonel mHle inconnus de votre Bonté, parce 'Le , Sous-Officier", de Fribourg, que j.e ne vis pas assez au dedans de ceHe ioJie 'houfade, extraite des ""'•mn;-• mon,âme. ['.â me est ttne demeure qu·' il d 'un vieux grognard: faut halblter pour vous rencoiiltrer, ô On annonçait une édipse de mon jésus ... 4000 kilomètres à la minute -Récemment di t la , Revue des un amateur américain de Hartford ticut) envoyait un message par 'télégra sans !il à un autre amateur de Sleppy (Minnesota), qui transmettait à son tour signal aux îles Hawaï. La réponse, suivant chemin inverse, ,parvenait au prem:er .ateur au bout de quatre minurles et di secondes. Ce chiUre constitue un pour la transmission d'amateurs. :La distance de Hartford à S!eepy Eye de 1800 kilom., la distance de Spleppy aux îles Hawaï était de 6200 kilomètres qui présente de Hartford aux îles Hawaï viron 8000 ki.lomètlres. En y ajoutant 8000 kilomètres de retour, on arrive au f.al impressionnant de 16 000 kilomètres un peu plus de quatre minutes.
(1!J~'t)
connu,
veille au soir, notre colonel fit Dom P. de Hemptine. les sergents, et leur d:t: ,« Une éclipse so'ei'l aura lieu demain matin. Le se réuni.r a sur la place 'd'armes ·en petite COmment rendre nue. Je viendrai moi~même expliquer 1 les enfants abêlssnts ! se avant l'exercice. Si le temps est couvert on se réunira au manège comme d'habitade.» f , ;· OE QU~EL NE fAUT JA!MlAIS FAJrRE: Aussitôt un sergent de réddger ordlt 1. Ne jaunais répéter un ordre; du jour: 2. Ne jamais donner d'ordre irréalisable; • Une éclipse de soleil aura lieu 3. Ne jamais tolérer qu'un ordre donné matin, par ordre du .colonel. :Le rê1rim!ll l ne soit pas exécuté; se réunira sur 'l a plaœ d'armes, où le 4. Ne ljamais employer de ruses; 5· Ne jamais mendier l'oibléissance; ne! viendra diriger l'éclipse en !Personne. le temps esi cowvert, l'éclipse aura lieu 6. Ne jamais acheter l'obéissance par des le manège. ~ PI'Omesses qu'on ne tiendra pas; 7. Ne j~mais employer d'apa>cl!lations in~euses ;
8. Ne jarmais montrer à l'enfant qu'on le suppose Cll[Paible de désoibéir. 9. Ne 1jamais faLre de menaces irréalisables ; 10. Ne jamais flaHer une passion mauvaise de l'enfant lors(ju'on veut le récomp~nser de son obéissance; 11. Ne jamais rien Œrdonner quand J'enfant est passagèrement disposé à résister aux ordres; 12. Ne jamais vrurier dans les ordres donnés.
OE QU1J!L 1F AUT TOUJOURS FAIRE: 1. Halbituer à l'oibéissance dès les premières années; 2. ExÎ!ger toujours une olbéissance immé ~ dia te et corqp!ète; 3. COII1l1Inahder a:vec ·calme, sans co.lère et clairement; 4. A.lccor.der toujours sa confiance aux enfants tant qu'ils n'en ont pas a1husé et leur laisser croire qu'on est certain de leur obéissance; 5. Commander plutôt que défendre; 6. Donner toujours l'exemple de l'obéissance; 7. Punir toujours la désobéiss-ance; 8 Instruire l'enfant de ses devoirs. CE QU'IL F A:UT F AI,RE PARFOIS : 1. Récompenser ;l'obéissance ; 2. Encourager l'enfant, Je grandir à ses yeux; 3. Faire connaître à l'enfant 'la punition d'une désoibéissanœ que l'on a des raisons de crainJdre; 4. Exipli<;uer :!es raisons des ordll'es qu'on donne; 5. Faire coonwrendre le plus tôt possible à l'enfant que Dieu lui ordonne d'obéir .
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t Il y a dans la douleur très profonde, et qu•and çuelque Mpit s'y mêle, une es,pèœ de médlmnte joie et -qui fàit admirer œ que contient de vérité humaine l'esprit attribué par l'Ecritll!re aux mauvais anges.