ément au :No 6·6 de,/, &cole" (19
XVI Qui donc r~e à l'Bgilise de réclarner ta foi ·poua ses dogmes :rév~? Ceux G;Ui croient aux pires journaux et ~ouvent, aux plus ridicules superstitions. tQuJ doruc reprodhe à l'Eglise de rabaisser l'homme? Celli)( qui mvendiquenf le singe pour père, le has·ard pour maitre, le plaisi.r ponr règfe, Le néant pom Fin. Qui donc r~oohe â l'Egllise d'être inlo\Jérante? ' Ceux qui ne pernretten1 à personne d'avoir une aurtre opinion ·qrtre la leur. Qui donc reproche à l'EgHse !d'être l'ennemie du peuple? · Ceux: qui ne connaiStSent pas l'histoire el qui persécutent tes œuvres charitables établies par rra relligion. ' Qui donc d'éblatère avec le plus d'audaœ rorutre l"Egilise ei ses enseigTiements? · Ceux qui ne connaissent pas un mot de tel~gion ou que ses enseigrwnren:ts gênent. · Ne noUJS eHfrayons donc ni du nombre ni tle l'acharnement de ceux qui nous attai:}uent, ou plutôt osons nous en té1icite.r. Ils saven1 ce .q u'ills fon1 et que nous sommes ce qu'on 3iP]Jellle une force. Leu·r fureur ne procède que de ce qu'ils ne peuvent ni nou~ ~éJpriser. ni nous dédaigner, ni surto~d filOUS tilgnOTer. !Nous nous 1mpos·ons à eliX. nous, notre nombre, nos :dodriœs, nos idées, les progrès quJelles font tous les jours, la peur c;u' Us ont de leur voir faire daivanta>R"e, notre conŒianœ et nos eslpérantces. L'utilité de la conlesslon · /La • Croix de l'Ain » a reçu :d'un de ses lmeilllewrs amis le bmiet suivarut: · • A ceuoc qui nient l'u1ilité des enseigne· l.ments de la re1igioo, je ci1erai le fait suilvant: dans mon cou~ie.r de ce matin, i'ai 'trou;vé, sous eJliVelo.ppe, un biHe1 de 100 fr. C'étai;t une re~>titution iaite par une person·n e q,ui, en con!fession, s'étai~ acousée de m'avoir • bai1boté » et à qui le prêtre n'avait dooné l'absonu~ion qu'à condition qu'elle restitue."
Nos laïques doivent, S1ils .sont sLntèr reconnaître lï:nifériorité d'une 1égis.lation ~: n 'a1111narait auoun élélmenot qui ,.... ~·misse sUr lula ·n•conscience. Le cardinal Mermlllod Dernièrement I',Itldia" de Milan con~ crai.t un bel artide au soUJVenir du cardilll] 'Mermi.lldd. On y rruppeil1le, entre autres, l't déta il in1éressarut: Quelques jours aJVant sa mort, le card~na! Merminod, ayant été chez le Pape lui a•Urai!
Plus mère qne reine QUe .je l'aime la 'Vierge Marie! Si j'avais
rté prêtre, que j'auni s' bien parlé d'elle! On 11 montre inabordable, il faudrait la montrer
indable. « Ellie est plus mère que reine »! pi enle111du. dire que son éclat éclipse tous ~s saints, ·comme te solei~ à son lever fait disparaître les étoiles. Mon Dieu, <;:ue cela est étrange! Une mère .qui fait disparaître ia g~oi;e de ses enJfants·! ·Moi je !)ense tout le di~: - Saint Père, je suis venu prendre vos contraire, {e crois qu'elle augmentera de beaucoup la splendeur des élus .. . •La vierge commissions pour l'autre monde. - Eminence, aurait r~ondu Léon XIII. ~farie! comme il me semble que sa vie était priez le Maitre de ma part de donner à l'E· simple! B. Thérèse de l'Enbnt jésus. glcrse des serviteurs tels que vous. C"es1 là 'le plus bel éloge d"ooe vie route dépeiJisée au service de l'Egli•se et au. bien des En parlant de 'Marie, n'oublions pas âmes.
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Fertnisez vos noyers !Pour .cela, faites des trous dans le sdl au moyen d'une barre de fer, entre les racines; et intro'duisez dans ces wous .de l'eau dans laqueHe vous aurez; fai't di·s•soudre, autant que cela es·t pos·sib1e. 6 parties de super· phos;plha~e. 2 de sy{lvinite e1 2 de sulfate d'arnrnoniaque ou de nitrate de soude. Ce procékM peut être utilisé éga 1ement ,POLir po'· r:ers et pommiers. Utilisons les tiges d'épinards tRien ne doit se perore actuellement: faut utiliser 1es ·tiges des épinards qui mon· ~ent. CoU!pCz~les en petits bâtonnets de 3 à 4 centimètres entviron. Faites~les blanchir l l'eau houil1ante salée, puis laissez égoutter. Alccompmodez-les en snlade, comme vous le faites pour les haricots, dont i1s rawlleronf la saveur.
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:1: Les philosophes matéria'lLstes chercheal Wa pensée dans le jeu des organes qu'i1s sOU!meHent à leurs :dissections; et as· croieal !.connaître le maitre pa.11œ qu'Ïlis ont, ~ l'anticharrnbre, interrogé les valets.
que la g1iâ1ce 'que ,cha,que chrétioo doit surtout demander à la Sainte Vierge, c'est celile de 'la persévérance. Plus nous multiplierons nos eX'eœkes de piété envers Marie, .mieux nous nous sou,v iendrons ,que, dans le serviœ de Dieu, i•l faut continuer toujours, ne jah!ais s'arrê~er et surtout ne jamais re~u~er. On raconte à ce suj-et que, dans une partie du diocèse :f.rançais de Luçon, les pieuses populations emploient fréquemment cette formule d'adieu: « Restez au bon Dieu! >> dit la persoooe qui s',en va; « ;Merd, aLlez à sa Mère!» répond' celLe qui demeu.r·e: '«Nous serons bien tous les deux" ajoutent-eUes ensembk Qu'il est touchant ce ·comoque dans sa gfaldeus·e simp.lici.té, et comme il s~m.lble fait, en p_articulier, pour l'époque ·de l'année où nous sot111Il1es. Le Car•ême et les fêtes de Pâques .sont pas· sés. et les âmes r.ét:OncHiées avec Dieu par l'absolution du .prêtre ont goûté les joies de .la sainte Communion: les promesses fai:tes, les sentiment\s éprouvés, la conscioeil!oe 1pacifiée, les souve-
nirs encore récents du drame de la RédernJption, la raison et le cœur égarlem:...ent satisfaits, tout s'uni.t pour dire à -ceux ,qui ont accOIIIlpli leur devoir pascal: « Restez au bon Dieu! >> · « Atllez à sa Mèœ, ajoure fEglise. Oui, pour vous maintenir dans les retti,l!ieuses di~positions qui vous animent, pour agir .cornfortrnément aux promesses que vous faites, pour conserver l'ihestimabŒe trésor de la grâce, en un mot «pour tr•ester au bon Dieu allez à ,Marie», •c'est 1par elle qu'on' va à jésus, par el1e qu'on demeure avec Lui, par eHe que vous 'Le retrouveriez si vous aviez le malheur de Le perdre. « Allez à 'la Mère de Dieu>>, c'est ce que nous répètent à l'envi tous les saints oui ont exjpérimenté mieux que personne tout ce qu'il y a de bonté et de puissance en .Marie_: c'est :ce qu'LI ne faut pars se lasser ide r~edire à tous les chréltie.ns si on v·eut les sauv,er. >> 'Restons au bon Dieu, aMons à sa !Mère, et nous serons bien. Il fait si i bon, en effet, ,vivre avec Jésus sous la 1 protection ·de Marie! 'L'esprit el Je : 1o œur y go-ûtent des satislfadions si intimes et la sécurité y est si bien assurée! Heureuses donc •les âmes, heurcuS€15 les familJ•e s et les paroisses qui, pour rester au bon Dieu ne manquent pas d':i,111jploPer sa divine M'ère.
An Christ, roi universel Nous croyons O,PIPOrtun !d'attirer l'attention de nos lecteuœ sur la prière suivante que la Sainte Pénitenterie a, sous dat,e du 21 fév.ri·er 1923, enrichie d'une indulgence plénière, à gagner, une fois le jour, aux conditions oroinaires par œux ·qui la réciteront: « 0 Christ jésus, je vous reconnais )> IPOUr Roi ooiversel. Tout ce qui a été