Du terrain au projet Sarra Ben Gara
Sommaire Silk walk : broder un réseau urbain autour d’une production projet de fin d’études 2017-2018 Ou varanasi, uttar pradesh, inde 2018-2019
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Acteurs et cultures Territoriales La question du développement urbain à Filadelfia dans le chaco paraguayen Etude d’une ville et enjeux d’évolution - 2018
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« ça ne se fera pas sans les habitants, et les urbanistes seront associés? » Saint-Denis - 2017
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PRÉPARATION D’UN WORKSHOP INTERNATIONAL calcutta - 2019
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Miscellaneous
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Silk walk : broder un réseau urbain autour d’une production projet de fin d’études 2017-2018 Ou varanasi, uttar pradesh, inde 2018-2019 Ce projet est issu d’une étude de terrain à Varanasi, ville indienne, effectuée au cours d’un workshop international. Cette étude a permis, d’une part, de comprendre les pratiques spatiales des habitants de la ville, et d’autre part, à faire émerger les enjeux d’un projet urbain et architectural en «petites touches» durant l’atelier dénommé « Varanasi, la ville des petits riens». Le relevé, la photographie, la vidéo, les entretiens, l’observation participante sont les principaux outils utilisés durant ce travail. Avant d’aller en Inde j’avais déja la représentation d’un pays à la tradition et au savoir-faire ancestral de la soie.. A Varanasi, la présence des tisserands remonte à l’an 990 environ. Ce sont des populations musulmanes, les ansaris, qui se sont installées dans le quartier de Madanpura qui reste aujourd’hui le quartier emblématique des tisserands. Aujourd’hui on note une séparation entre lieux de vente et lieux de production, avec l’apparition de poches de production, notamment celui au sud de Madanpura auquel je vais m’intéresser. Madanpura est le centre de vente principal de la ville, avec son maché réputé. Cette production est organisée par un réseau, qui n’est pas un réseau urbain mais celui d’une communauté, les ansaris évoqués précédemment. Les Gaddidars, ou vendeurs, beaucoup plus aisés que les artisans, leur passent une commande : ils vont accomplir chacune des étapes de la production d’un tissu pour ensuite le lui remettre. C’est en partie ce réseau que je vais remettre en question dans le projet. Avec l’évolution des dispositifs de travail, on note aussi celle des espaces de production qui s’adaptent au corps et aux modes de production, avec une relation d’homotétie entre l’espace et le dispositif que s’y trouve. On distingue deux types de production : - la maison atelier- 1er modèle de production : en rez-de-chaussée avec la résidence de la cellulle familiale productive au dessus . Ce rez-de-chaussée est muni d’une chottraa ; plus qu’une simple tablette, c’est un seuil habité qui créé une perméabilité entre extérieur et intérieur portant une qualité urbaine et spatiale mais aussi sociale (voisins qui passent voir l’avancement du travail, ou discuter etc. Ils se trouvent généralement sur des «respirations» dans le tissu urbain, car ce travail demande de la lumière. - l’usine urbaine, nouveau modèle qu’on voit apparaître. Il s’agit de pla4
teaux sur lesquels on place des machines. Ces bâtiments à l’usage monofonctionnel sont fermés sur l’extérieur. C’est ce modèle qui se développe fortement, au détriment de l’autre. Le mode de production est économiquement plus intéressant : produire plus vite pour moins cher, bien que la qualité soit plus mauvaise. Cette mutation provoque un bouleversement dans ce secteur qui est le second secteur d’emploi de l’économie indienne. Ce ne sont pas juste des espaces de qualité qui disparaissent pour laisser place à des garages par exemple, mais c’est un savoir faire qui disparait aussi. La disparition de ce savoir faire a lieu malgré des tentatives de l’Etat à encourager le travail manuel dans les annles 80 Ainsi, tout au long de ce travail, je me pose les questions suivantes : Comment valoriser une activité manuelle fine ouverte sur l’espace public? Quels outils et compétences l’architecte doit-il mettre en oeuvre dans ce but? Le quartier auquel je m’intéresse se trouve à 1..5 km au sud de Madanpura On y trouve: trois poches de production avec les différentes étapes de la fabrication du tissu, mécanique mais surtout manuelle, ainsi que des lieux de vente, des tailleurs, une école de couture pour femmes, et des maisons ou havelis abandonnées et friches au fort potentiel. L’élément déclecheur pour moi est le festival ou puja dédié a la divinité Saraswati. On viendrait s’y greffer en mettant en place un festival de la soie, dans lequel les artisans montrent leurs productions. Dans un second temps, ce festival permettra d’accueillir des ateliers extérieurs fabriqués en tissu par les artisans, pour les mettre en contact avec des acteurs du territoire, tels que l’école de couture, des habitants, le NIFT (national institute of fashion technology) pour un échange de savoir faire. C’est ici à l’architecte de mettre en lien les artisans avec ces acteurs. Enfin, ce festival est aussi l’occasion (pour la municipalité, artisans, et assos telles que un fil pr benares) d’investir ce patrimoine inexploité que sont les havelis : pour y mettre au rez-de-chaussée des ateliers ouverts sur l’extérieur avec une vue adaptée à la position de travail assise. A l’étage se trouvent des logements pour les designers étrangers ou nationaux qui viennent travailler avec les artisans.
Ils se retrouvent donc au sein d’un nouveau réseau de production de qualité, qui n’est plus en concurrence avec celui des machines qui est celui d’une production de masse. Cette maison atelier-patrimoine m’a menée à me questionner sur la nature des lieux de production de demain . Imaginer la maison-atelier de demain revient à se quesionner sur la nature des espaces dont chacune des activités de production du tissu ont besoin, ainsi que la logique de cette chaîne de poduction. Par ailleurs, il est important de préserver les qualités spatiales, urbaines et sociales qu’offrent déjà les maisons-ateliers d’aujourd’hui. Ainsi, le type de maison-atelier que j’imagine offre une chottraa qui permet une relation entre la rue et les brodeurs, et offre un espace habité pour les artisans et les passants. des doubles hauteurs et circulations d’air pour les teinturiers De même, ces maisons ont des cours qui amènent la lumiére dans les espaces jusqu’au rez-de-chaussée dont la hauteur est plus importante que les autres étages. Penser à l’usine urbaine de demain consiste à allier les opérations aux espaces appropriés. Les rez-de-chaussées sont réservés à la production manuelle, en relation avec l’espace public, permettant ainsi d’allier deux modes de production qui font désormais partie de marchés distincts. Enfin, contraiement aux usines urbaines en construction aujourd’hui, ces bâtiments offrent des logements pour les ouvriers et leurs familles. Le placement de ces bats se trouve sur l’axe principal de ce que je nomme Silk Walk : un parcours patrimonial et productif. relie ces poches de travail au centre Madanpura, en démarrant par les deux lieux de vente emblematiques : Fabindia, magasin à ’échelle nationale qui vend des produits faits main en inde depuis les années 60 d’une pat, et d’autre part le Khadishop (dhadi, faisant référence au tissage main également, et a un mouvemet poussé par Ghandi dans les années 20. Durant les festivals, ce parcours pour les touristes et les habitants se matérialise par un couvert de tissus, permettant de repérer ces lieux de production ainsi regroupés. Livret de présentation du projet : https://issuu.com/sarrabg/docs/livret_silk_walk_sarra
Shri Nishadraj Ghat,Varanasi
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Valoriser par l’evenement festival de la soie Projet en trois échelles :
La « respiration» : vers une cour publique
Les métiers et leurs espaces : la maison atelier et l’usine urbaine
Cheminement : vers une promenade urbaine 0 6
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montrer pour valoriser : vers de nouvelles pratiques urbaines ateliers exterieurs
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investir le patrimoine existant la nouvelle maison-atelier
Réhabilitation d’une haveli avandonnée sur la place (RDC)
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Réhabilitation d’une haveli avandonnée sur la place (R+1)
La maison atelier accueille des artisans au rezde-chaussée pour leur permettre une relation à la ville...
Tout en permettant de les mettre en lien et d’héberger les designers et autres acteurs é l’étage
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regrouper pour optimiser un nouveau réseau
es
Touristes
d an Comm
Designer
Artisan plus indépendant Ecole de couture pour femmes
Etudiants
Stratégie d’acquisition des friches pour la construction des espaces de production de demain
Propriétaire du magasin (Madanpura ou plus proche)
Stratégie d’acquisition des maisons abandonnées
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les ĂŠdifices de demain La maison-atelier
RDC
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R+1
R+2
R+3
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les Êdifices de demain L’usine urbaine
RDC
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R+1
R+2
R+3
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un nouveau réseau silk walk
MADANPURA
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1 km
Lieux de vente Poches de production
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Le silk walk, promenade urbaine réunissant les poches de production
A l’échelle de la ville : des proches de production reliées au centre de vente Madanpura par un parcours.
Des poches de production reliées à une rue calme, axe principal du parcours
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100 Lieux de production manuelle Lieux de production mécanique Vente de tissus ou vêtements Qualité sonore (+ au -) Friches Maisons inexploitées
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Acteurs et cultures Territoriales La question du développement urbain à Filadelfia dans le chaco paraguayen Etude d’une ville et enjeux d’évolution - 2017
L’atelier international «Acteurs et Cultures Territoriales. Filadelfia, Ville du Chaco Paraguayen» s’est tenu du 3 au 15 avril 2017 au Paraguay. Les objectifs de ce workshop sont les suivants : un enjeu local à mettre en discussion par le projet architectural et urbain ; des situations précises et des sites concrets pertinents pour tester cet enjeu ; puis des rencontres avec les acteurs (société civile, élus, instituts d’urbanisme, etc.) porteurs de connaissances et de responsabilités en rapport avec ces enjeux. Ces situations de projets sont abordées par une démarche particulière qui place le travail de terrain au cœur de la pratique de workshop. Le terrain est donc considéré ici comme l’espace de référence de l’émergence des projets architecturaux et urbains. Cette rencontre a lieu à Filadelfia, ville de 18 000 habitants dans le Chaco Paraguayen. La ville de Filadelfia fut fondée en 1930 par des colons Mennonites, dans un contexte climatique extrême. Aujourd’hui, cette ville connaît d’importantes mutations et enjeux futurs, tant sur le plan politique (transition d’une gestion coopérative de la ville à une municipalisation), que social ( cohabitation des cultures mennonites, indigènes et “latinas”), économique (consolidation en tant que pôle économique majeur dans la région), démographique (croissance exponentielle du nombre d’habitants), physique (expansion de la ville accélérée), et climatique (raréfaction de l’eau dans le territoire). De plus, ce workshop est né dans un premier temps d’une demande réalisée par le Maire de la ville, nous proposant de travailler sur les espaces publics de la ville, tout en réalisant une démarche participative avec les communautés indigènes sous l’intitulé: «La question de l’habitat indigène dans le 16
développement urbain à Filadelfia». La thématique du workshop s’est peu à peu affinée, pour aboutir à l’intitulé «Acteurs et Cultures Territoriales, Filadelfia, Ville du Chaco Paraguayen», valorisant l’étude des acteurs impliqués sur le territoire, et les différentes cultures territoriales présentes. Le travail réalisé le long d’un semestre s’est déroulé en trois temps majeurs : un «avant», un «pendant», puis un «après». Un «avant»: Une préparation de quatre semaines, liée à l’enjeu du workshop, a porté sur l’étude des cinq acteurs principaux agissant sur le territoire de Filadelfia : les mennonites, les indigènes, la municipalité, les «latinos», et l’Etat. Un «pendant» : le workshop s’est déroulé pendant deux semaines, et a permis d’approfondir, par l’étude de terrain, le travail entamé dans un premier temps. Durant le workshop, nous avons pu nous confronter à la complexité du terrain en rencontrant les différents acteurs, en arpentant et dessinant les espaces de la ville, et en assistant à des conférences in-situ dédiées aux différentes problématiques étudiées. Un «après» : étape clé dans l’approfondissement de l’apprentissage et la réflexion sur les enjeux principaux de Filadelfia. Les groupes de travail ont étés recomposés, afin d’axer le travail sur des thématiques, au-delà de l’étude des acteurs. Une présentation publique a eu lieu le 30 juin 2017 à l’ENSAPLV. Publication: https://issuu.com/sarrabg/docs/ws____book
BRÉSIL BOLIVIE PARAGUAY
Asunción
URUGUAY
ARGENTINE
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1500km
Source : Nasa Jet Propulsion Laboratory 2003
sur le terrain a la rencontre des acteurs
Barrio Dollinger
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Barrio Florida
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Barrio Florida
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retour du terrain - analyse et emergence d’enjeux habitat humain - construction
Lors de leur arrivée en 1930, les mennonites se retrouvent face à un territoire contraignant et dont leur connaissances sont limitées. En effet, le climat du Chaco contraste fortement avec les climats qu’ils avaient pu rencontrer lors de leur transit en Europe. Aidés par les autochtones, les indigènes, les mennonites ont su adapter leur façon de vivre et d’habiter afin de s’accommoder au mieux aux nouvelles conditions climatiques. Conçues pour un climat froid et avec des hivers rudes, les maisons mennonites ont dû s’adapter aux faibles pluies et la chaleur constante. Un élément fondamental qui régit l’adaptation de l’habitat fut la modification des toitures. Conçues pour supporter les charges de neige, les toitures inclinées à double pente n’étaient pas adaptées pour protéger la maison des rayons du soleil. La première modification fut le rajout, sur l’une des longueurs de la maison, d’un porche avec une toiture moins inclinée. Par la suite, ce porche fut dédoublé pour protéger davantage la maison des rayons du soleil. Parallèlement, l’augmentation du nombre de membres de la famille imposa un besoin d’espace. Des cloisons et des murs furent donc installés dans le porche pour créer de chambres ; le porche disparu progressivement. La modification de la toiture répond aussi au besoin de collecter l’eau. A cette fin, l’inclinaison des toitures a été réduite afin d’augmenter la surface de collecte. De la même façon, les toitures en paille furent substituées par des toitures en terre cuite. Cependant, moins efficaces car absorbantes, elle furent à leur tour remplacées par des toitures en tôle ondulée. La pente des toitures fut donc progressivement réduite et le profil de la maison est devenu de plus en plus horizontal. A partir des années 70, les colons commencent à construire des maisons à deux travées avec une distribution centrale et les premières galeries périmétrales sont installées. Les maisons du Chaco, comme on peut les observer aujourd’hui, commencent à voir le jour.
4m
Un habitat construit avec des matériaux locaux
plan type de maison mennonite au chaco
plan type de maison mennonite au chaco 0
5m
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Habiter la parcelle - «El patio»
« El patio », comme le nomment les habitants de Filadelfia, désigne le jardin, ou la partie non-bâtie de la parcelle. De par sa taille et son usage, il représente un élément important de l’habitat. Anciennement, chaque maison possédait un terrain dans lequel les propriétaires cultivaient ce dont ils avaient besoin pour vivre. Cet usage ayant pris fin, « el patio » acquiert d’autres qualités. Entre maison et rue, cet espace est celui de la première interaction sociale. Il s’agit aussi bien d’un lieu de jeu pour les enfants que de stockage de matériaux de construction, mais également de culture personnelle de plantes ornementales ou médicinales. Souvent « el patio » est composé des plantes du monte c’est-à-dire celles qui se trouvaient naturellement là avant l’arrivée des habitants.
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Protéger la maison : la végétation
La végétation est un élément clé de l’habitat de Filadelfia. Au-delà de son statut médicinal ou ornemental, elle sert très souvent à protéger la maison du soleil au Nord, ainsi que des forts vents venant de la même direction emportant avec eux une quantité importante de poussière.
Collecter l’eau
L’une des caractéristiques les plus importantes de la maison de Filadelfia est la collecte de l’eau. Même si ce n’est pas le cas de toutes les maisons, la très grande majorité des constructions possède un système permettant de recueillir cette denrée rare qu’est l’eau. Lorsqu’il pleut, celle-ci peut alors couler, rejoindre les gouttières, avant d’arriver dans l’« aljibe », réservoir souterrain. Cette eau ainsi stockée est remontée à l’aide d’une pompe dans un second réservoir, située en hauteur. Cette disposition permet ainsi de créer de la pression dans les tuyaux de la maison, par gravité.
Entre intérieur et extérieur : la Galerie
La galerie, espace couvert, est souvent périmétrale. Entre intérieur et extérieur, lieu de réception, lieu de vie, il s’agit d’un véritable espace à part entière de la maison. Elle sert également à protéger la maison : la casquette que forme le toit abrite les façades du soleil.
Lieu de vie intime : «El nucleo»
Ce que l’on nomme « noyau » est l’intérieur de la maison. Il constitue le lieu le plus intime de l’habitation. Ce noyau est composé au minimum de deux chambres et d’une salle de bain. Le salon, la cuisine, les autres chambres se rajoutent par la suite.
Notre travail de terrain a fait ressortir que certaines constructions sont planifiées dans leur totalité mais leur réalisation est partielle. Ainsi, la vitesse de réalisation de l’ouvrage dépend de la capacité économique du propriétaire. Si les moyens sont disponibles, la maison est construite directement. Lorsque les moyens sont limités, ce qui représente une grande partie des cas, la construction est divisée en étapes. Celles-ci suivent une logique de nécessité. Parallèlement à la construction de l’espace habité se réalise la mise en place d’une fosse septique et d’un réservoir d’eau souterrain, « el aljibe ». Le besoin de commencer à habiter étant urgent, la solution du « tinglado » est fortement utilisée. Il s’agit d’une structure métallique dont le toit en tôle permet de couvrir rapidement la surface de la future maison. Sous la protection de cette toiture, les habitants peuvent habiter sur leur parcelle bien que l’ouvrage ne soit pas achevé. Cette toiture permet aussi d’abriter des constructions temporaires comme une tente ou une maison préfabriquée. Le « tinglado » permet aussi de stocker et protéger les matériaux de construction pendant le chantier. Lorsque les premiers murs s’érigent, ils viennent clore une chambre qui sera habitée immédiatement. Le reste des pièces sera ajouté peu à peu autour jusqu’à former la maison. L’ordre de fabrication des murs peut varier. On peut aussi démarrer par des pièces centrales bordées de galeries qui pourront devenir des espaces fermés. Un alternative plus abordable mais moins récurrente est celle qui consiste à construire d’abord les murs. La toiture vient ensuite se poser directement dessus, ce qui permet d’économiser les frais de la structure métallique du toit. Cependant, cette solution est plus précaire puisqu’elle soumet le premier temps d’habitation aux conditions climatiques adverses par l’absence d’un toit.
Construire les pièces centrales en premier
El tinglado
L’habitat mennonite s’est donc adapté progressivement au climat chaud du Chaco. Le modèle importé ayant évolué, un nouvel habitat s’impose comme standard : une maison avec des toitures débordantes, qui se protège grâce à la végétation et qui récolte l’eau de pluie. Ce modèle est aujourd’hui reproduit par tous, des mennonites aux indigènes en passant par les latinos. Cependant, pour des raisons économiques et sociales, ce modèle est modifié. La maison s’inscrit donc dans une temporalité qui est spécifique à la situation des propriétaires. L’arrivée d’une nouvelle population a créé une dynamique au sein de la ville, et a modifié les manières de construire par l’apport de nouveaux matériaux, d’une main d’oeuvre nationale et de nouvelles pratiques urbaines.
Construire les murs puis recouvir
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retour du terrain - analyse et emergence d’enjeux Organisation territoriale
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1000 m
planification de la ville (1930)
Pour organiser la ville, la colonie Fernheim décide de la découper en quatre quadrants. Le quadrant sud-ouest, où sont localisées les réserves d’eau, est destiné à l’industrie. Le reste des quadrants sont destinés à l’habitation résidentielle et l’exploitation agricole. Une grille perpendiculaire de rues constitue le réseau viaire de la ville. Deux rues, les axes principaux, segmentent la ville en quatre. Les rues secondaires distribuent des îlots de 375 mètres par 200 mètres répartis sur quatre anneaux concentriques. Dans le premier anneau, envisagé comme une zone résidentielle, l’îlot est divisé en dix parcelles rectangulaires de 100 mètres par 75. La taille de ces parcelles permettait 24
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1000 m
La théorie confrontée au terrain (2017)
aux habitants d’installer leurs maisons et de développer une agriculture vivrière. Dans le reste des anneaux, les îlots sont divisés en 3 parcelles de 200 mètres par 125 destinés à une agriculture plus extensive. Ce n’est qu’en 1967 que l’ensemble des anneaux sont ouverts à la résidentialisation.
Par ailleurs, l’activité économique de la ville attire des communautés indigènes locales ou régionales. De la même manière, à partir des années 90, une population étrangère à ce territoire, les latinos, s’installent dans la ville. Paraguayens, argentins, brésiliens ou encore brasiguayos (paraguayens avec des origines brésiliennes) affluent à Filadelfia.
Malgré le plan envisagé en 1930, le développement suivi par la ville a été différent. La ville a été progressivement bâtie à l’extérieur des limites établies. Le fort développement économique de Filadelfia transforme un territoire agricole en un centre urbain. Cette transformation modifie profondément les pratiques des habitants.
Ce développement s’est effectué progressivement, par quartiers, afin d’accueillir les nouvelles populations attirées par le développement économique de la ville de Filadelfia.
développement urbain de filadelfia (1930-2017) o
Les premières modifications du plan directeur ont été réalisées pour accueillir une population qui habitait déjà le terrain. Travaillant étroitement avec les mennonites, les communautés indigènes furent donc placées près de la zone industrielle, à proximité des lieux de travail. Les peuples Enlhet et Guarani partageaient les mêmes espaces et vivaient au sein de la ville.
Un nouveau découpage administratif régional transforma Filadelfia, une entité sans le statut juridique de ville, en capitale du département de Boquerón. Le quartier de Dollinger, premier quartier dit Latino, fut créé pour accueillir les fonctionnaires publics. Le développement économique de la ville attire aussi des communautés indigènes. Les Nivaclé se sont installés dans une communauté en 1999.
Divisés par des différences culturelles, et afin d’éviter des conflits, la communauté Guarani se sépara pour s’installer dans une parcelle différente en 1940. En 1983 la communauté Enlhet fut à son tour déplacée à l’extérieur de la ville.
A partir des années 2000, des quartiers à population à dominance latine sont créés. Amistad fut le premier et le plus important en 2000, Primavera en 2006, Florida à partir de 2009 et Boreal en 2013. Enfin, la dernière communauté indigène plus à l’écart de la ville a vu le jour en 2014, où s’est installé le peuple indigène Ayoreo.
5 km
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extension de la ville (1930-2017) o
10oo m
Ainsi, on sort du cadre planifié en 1930, pour aller vers le sud. Au Nord et au Nord-Est, une grande zone à faible démographie avec des îlots non bâtis s’étale sur le territoire. Au Sud, la ville s’est affranchie du cadre imposé par les anneaux et les parcelles ont été redécoupées pour permettre une plus grande densité.
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les « aldeas », un frein à l’étalement urbain Les « aldeas », qui se trouvent autour de la ville, représentent une véritable limite au développement en surface de Filadelfia. Dans ces villages, habités par des membres de la colonie, la plupart des propriétaires sont des personnes qui ont quitté la ville, jugée trop urbanisée. Pour empêcher les limites de la ville de se rapprocher des « aldeas », leurs habitants s’opposent à l’urbanisation des zones qui les séparent de Filadelfia. L’extension de la ville s’effectue donc vers le Sud, là où les villages sont les plus éloignés. Si cette tendance persévère, aussi bien au niveau de la vitesse de croissance qu’au niveau de la densité et la taille des parcelles, les « aldeas » seront une limite foncière à l’étalement urbain. De la même façon, il faut rappeler que la ville se situe dans un territoire agricole productif, à la base de l’existence-même de Filadelfia. Apparaissent alors des conflits d’intérêt : le maintien et l’extension des terrains pour l’exploitation agricole ou pour le bétail et l’intérêt économique d’offrir plus de résidences dans une ville avec une forte croissance démographique. A la création de Filadelfia, les colons mennonites mirent en place un modèle du fonctionnement d’une ville aux pratiques agricoles. Confrontée aux conditions du Chaco, ce modèle théorique fut adapté pour profiter des caractéristiques géologiques et topographiques du site. Le fort développement économique de la ville a introduit une nouvelle dynamique. D’une part, de nouvelles populations indigènes et les « latinos » s’installent dans la ville. D’autre part, cela déclenche le passage de pratiques agricoles à des pratiques urbaines. On assiste à la résidentialisation progressive de la ville. Dans cette dynamique, les parcelles sont divisées et de nouveaux quartiers sont produits. Les conditions différentes de ces quartiers induisent des évolutions différenciées. L’îlot originel a donc donné lieu à la diversité parcellaire qu’on connaît aujourd’hui. Cette densification s’accompagne d’un étalement en surface. Cependant, les facteurs mêmes ayant fondé la ville se posent en tant que freins à sa croissance. Les terrains de production agricole et les « aldeas » limitent ce développement. Finalement, cette dynamique pousse à la mise en place d’une municipalité. De nouveaux enjeux de gestion urbaine se posent aux différents acteurs du développement de Filadelfia.
les aldeas (en rouge) enclerclent la ville de filadelfia o
25oo m
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conclusion quels projets possibles ? résultats d’une discussion avec JF TRIBILLON LE 2 JUILLET 2017
Un contexte politique particulier et en transition La Coopérative a une importance historique, en tant qu’acteur chargé du développement, gestion et maintien de la ville. Image d’un « état dans un état » : autonomie dans la gestion des colonies dès leur fondation. Cependant, le processus de municipalisation affecte cette situation du status quo ancien. Ambiguïté sur les droits/devoirs spécifiques de ces deux acteurs principaux (L’État et la Coopérative) sur la ville de Filadelfia. De plus, des conflits d’intérêt peuvent apparaître, par la nature même de ces institutions (coopérative qui répond au nom des coopérateurs, de culture mennonite pour la grande partie ; et municipalité, qui est une entité démocratique). Terme de « potestad » (pouvoir, obligation) est récurrent dans le discours. Comment faciliter une transition de la gestion urbaine, dans un contexte de déséquilibres des ressources entre acteurs?
Développement de la ville qui tend vers la « sectorisation » Historiquement, Filadelfia est une ville fondée par des migrants Mennonites. Cependant, la ville connaît une immigration de différentes cultures, « latinos » et indigènes, recherchant souvent un meilleur niveau de vie. Le Barrio Centro est la zone d’habitation plus ancienne de la ville, occupée dès la création de la ville par les habitants mennonites. Puis, se sont greffés des barrios ou communautés au long de l’histoire, faisant face à la pression démographique subie par la ville. Filadelfia devient une ville « ordonnée » (terme récurrent dans le vocabulaire des habitants pour qualifier leur ville), divisée en quartiers. Ces-derniers sont facilement définissables, et font communément 28
référence à l’origine culturelle de leurs habitants : Barrio Centro serait le quartier « Menno » ; Dollinger, Amistad, Primavera et Florida les « barrios latinos » ; puis Yvopei Renda, Cacique Mayeto, Uje Lhhavos et Guida Ichai, des comunautés indigènes. Chacun de ces quartiers possède ses propres équipements (écoles, lieux de culte et centre de santé). Cependant, cette situation n’est pas vécue comme quelque chose de mauvais pour la plupart des habitants, qui trouvent favorable l’organisation territoriale actuelle. Cette façon d’habiter la ville, sectorielle, est-elle : un produit d’une forte identité culturelle, et de la volonté d’un « entre-soi »? Le résultat d’une différenciation de droits en fonction des différentes identités culturelles et capacités économiques ? Comment le système juridique des droits du sol à Filadelfia peut-il influencer le développement de la ville? Comment arriver à une situation plus équilibrée entre les secteurs (quartiers) de la ville, par rapport aux équipements, l’organisation interne, … ?
Temporalités et acteurs dans le développement de la ville Dans le contexte sud-américain, des villes comme Filadelfia connaissent un processus d’immigration fort, créant une expansion rapide de celle-ci. Deux questions pourraient être posées : celle de la temporalité et celle des acteurs participant au développement de la ville. Dans un premier temps, on observe le développement rapide, souvent « spontané » de la ville, et la difficulté d’anticiper la croissance de la ville. Dans un deuxième temps, on peut se poser la question des acteurs qui produisent la ville. A Filadelfia, un nouveau projet de promotion immobilière voit le jour, le projet Boreal, tenu par des promoteurs immobiliers, et non pas la coopérative ou la municipalité. D’autres acteurs se révèlent importants : les habitants. Les normes cadrant l’urbanisation de Filadelfia n’étant pas très définies, on observe
que la ville se transforme drastiquement à l’échelle de la parcelle (redécoupages, densifications, etc). Les habitants de ces parcelles peuvent devenir des acteurs importants dans la transformation de la ville. Dans un contexte de forte transition des pouvoirs, quels acteurs sont impliqués dans le façonnage du FIladelfia de demain?
La question des ressources naturelles dans la ville de FIladelfia Filadelfia se situe dans un contexte climatique et géographique particulier (eau rare, sols qui tendent vers la saturation en sel, végétation non employable pour la construction…). La question des ressources naturelles a influencé le cadre construit de la ville depuis le début de son existence. Aujourd’hui le fort développement/extension de la ville remet en question la prise en compte de ce contexte climatique particulier. Comment la rareté des ressources naturelles (eau) peut être prise en compte dans le développement de Filadelfia?
FIladelfia : « Hyper périphérie » ou villemonde? Filadelfia, située dans la Région Occidentale, se situe dans la région la moins dynamique du pays (dépendance au transchaco, faible densité, activité économique moins importante). Même si la croissance démographique est forte, les dimensions de cette ville sont encore peu importantes (18 000 habitants, pour 1490 hectares carrés). Mais de
l’autre côté : attraction de migrants de tous le pays, pôle économique majeur pour le pays, exportation des produits dans le monde entier. Qu’est ce qu’aujourd’hui une « ville-monde » ?
Rencontres et « espace public » à Filadelfia À Filadelfia, les espaces publics existent. Leurs promoteurs ont eu une vision de leur nécessité comme lieu de rencontre important, ayant le potentiel de favoriser un mélange des cultures. Cependant, ce que nous avons pu constater est que ces espaces vivent peu. Lorsque ces espaces sont pratiqués, ce sont les plus jeunes qui occupent ces lieux. Dans le contexte socio-culturel de Filadelfia, les lieux de rencontre n’ont pas besoin de ces espaces formels (parcs et jardins), mais ce sont des situations plus spontanées qui portent un potentiel de rencontre plus important. Le maire, dans son programme, souhaite la création de nouveaux « espaces verts », afin d’améliorer la rencontre et cohésion de ses habitants. Les espaces de rencontre sont déjà nombreux, pourquoi en créer d’autres ? En effet, les villes comme Filadelfia constituent un pôle d’attraction nouveau et très important. Des travailleurs, venus en grande partie des régions rurales de la région Orientale, sont attirés par des salaires plus hauts, et une activité économique plus importante, liés majoritairement au secteur primaire et secondaire.
Analyse et projets Analyse Il faut bannir le vocabulaire et l’idée de communauté(s). C’est l’histoire d’une coopérative de colonisation agraire à base religieuse d’origine européenne qui agglomère une sorte de ville qui va la dépasser, l’englobe, implicitement la menace en tout cas l’inquiète (au sens premier). Jusqu’ici l’idée de ville n’est portée qu’assez confusément par la toute nouvelle municipalité en affichant son désir de prester des services et de construire des espaces urbains, communs, collectifs, publics, municipaux… Cette nouvelle municipalité a été souhaitée par la coopérative agraire pour faire face à une urbanisation assez forte de l’ordre du doublement de la population tous les 20 ans soit un taux annuel moyen de 3.5%. Cette croissance est le fait d’une montée en puissance démographique et politique des « latinos » et de l’intrusion des « indiens/indigènes » qui ont tendance à camper en ville, qui sont assignés à résidence dans leur campement, qui n’est pas à proprement parler un quartier, au sens étymologique de partie de la ville, de « quart » de la ville. Intrus comme habitants ou comme urbains, ils sont bienvenus comme ouvriers agricoles.
2 – Installer la municipalité comme lieu de discussion d’un projet qui n’est pas encore véritablement formulable sauf à dire que la mise en commun n’est pas la fusion de groupes sociaux si différents mais le fait de faire quelque chose ensemble : -la mise en continuité des ombres privées et publiques ; -la rationalisation des pratiques d’eau (sans casser les actuelles) -faire la fête, de la musique, des chorales, des concours de miss philadelfia en bikini, des compétition de ski ou de sorcellerie ou de miracles… -mais aussi et surtout l’accès aux équipement sanitaires et éducatifs. 3 – Réduire les inégalités selon les demandes exprimées par les plus défavorisés pour améliorer leur cadre de vie, empêcher que l’urbanisation ne vienne pas aggraver l’indigénat. Ne pas laisser se former un prolétariat à base ethnique. On voit bien les défauts et risques de chacun des projets : -projet 1 : une nouvelle prophétie, une nouvelle charité sans charité ; -projet 2 : une discussion sans fin, qu’il est impossible de conclure par des décisions sauf si l’urbaniste prend prétexte de l’échéance de la sortie du plan pour les organiser, les discipliner, les conclure ; -projet 3 : une dérive colonialiste-indigéniste-paternaliste à peine modernisée.
Projets Il y a trois projets sociétaux qui se dessinent pour nous. 1 – que la colonie agraire accepte son rôle objectif de germe de ville et de source d’un savoir-faire indéniable qui sans être tout à fait urbain pourrait être mis au service de l’accueil de nouveaux habitants, religions, cultures. Ce serait le prix à payer pour garantir son intégration sociale définitive. Le prix c’est le partage à consentir et sans doute une certaine laïcisation sinon une certaine laïcité. Ce sera difficile. 29
« ça ne se fera pas sans les habitants, et les urbanistes seront associés? » Saint-Denis - 2017 démarche adoptée du contact avec la habitants aux propositions de projet « Contrairement aux situations et conventions habituelles d’enseignement de projet en ENSA, le travail proposé n’a pas pour point de départ une « commande » d’enseignants mais l’ancrage dans une « demande» issue de la société civile avec laquelle les étudiants doivent s’engager et engager une relation. Dès lors, ce qu’ils vont proposer (en terme d’aménagement) est indissociable de ceux avec qui ils travailleront sur le terrain, ce qui construit cet enseignement autour de deux moments complémentaires : 1/ identifier des interlocuteurs collectifs (habitants, associations…) porteurs de demandes d’aménagement ou de changement, soucieux de réfléchir autrement aux projets qui pourraient leur être imposés ou désireux de faire la ville d’une autre façon, etc. Cela revient à affirmer qu’il n’y a pas de projet spatial sans ancrage social ; 2/ inventer des propositions spatiales qui aideront à clarifier les controverses qui traversent tout projet en présentant des alternatives à débattre, ancreront un dialogue direct avec des habitants et des acteurs associatifs, ainsi qu’avec les acteurs politiques présents sur le terrain, permettront des choix lucides, etc. Cela revient à affirmer qu’il n’y a pas de projet durable sans alternatives débattues et muries. En se situant d’emblée dans un dialogue entre les acteurs réels d’une situation urbaine et des étudiants en architecture armés de leur culture professionnelle (capacité de conception, références, réalisation de documents graphiques…), cet enseignement pose la convergence de la conception architecturale et des situations urbaines issues des acteurs. En prenant en compte conjointement le social (l’occupation actuelle de la ville, les pratiques, les souhaits) et le spatial (les solutions, les alternatives au projet urbain actuel, etc.), il vise donc autant la production d’un « projet » que la compréhension d’un processus d’interaction entre futurs professionnels (ce qui invite les étudiants à questionner leur pratique professionnelle future), habitants (ce qui invite les étudiants à faire avec et à comprendre et assumer ce qu’ils leur proposent) et décideurs (ce qui les invite à interpréter et analyser les discours publics, voire à se positionner vis-à-vis de ceux-ci).» - Présentation de l’atelier par R. Hoddé.
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PREMIÈRE PHASE : Expliquer et faire connaitre notre projet // Receuillir les premières remarques
Déposez cette feuille dans la boîte à idées jaune devant le square Rue Emile Cornoy.
Déposez cette feuille dans la boîte à idées jaune devant le square Rue Emile Cornoy.
Déposez cette feuille dans la boîte à idées jaune devant le square Rue Emile Cornoy.
Nous organisons une rencontre le 20 Novembre dans ce square. Venéz nombreux!
Nous organisons une rencontre le 20 Novembre dans ce square. Venéz nombreux!
Nous organisons une rencontre le 20 Novembre dans ce square. Venéz nombreux!
Boite à
Receuil des
idées
remarques
Distribution du questionnaire «pense a ta rue» SECONDE PHASE : Traiter les premières demande // Se montrer sur la place // Entrer en contact direct avec les habitants
RÉUNIONS PUBLIQUES mise en situation des références
Retours
Apport de références par rapport aux premières remarques
RÉUNIONS PUBLIQUES
mise en situation des références
sur les références et nouvelles remarques
TROISIÈME PHASE : Développement d’un projet commun et allers - retours entre les propositions et les remarques sur le projet
Propositions de projet
RÉUNIONS AVEC LES ACTEURS
QUATRIÈME PHASE : Rendu d’un projet commun // Début des activités participatives
Retours sur les propositions
INSTALLATION DU PANNEAU D’AFFICHAGE Distribution de flyers dans la rue et dans CE QUE JE VEUX CHANGER les boites aux lettres ............................................................................................... objetctifs : ............................................................................................... ............................................................................................... - Receuillir les idées et les ressentis des ............................................................................................... habitants et usagers de la rue ............................................................................................... ............................................................................................... - Créer un premier contact, invitation à une ............................................................................................... discussion future ...............................................................................................
CE QUE JE VEUX CHANGER
Déposez cette feuille dans la boîte à idées jaune devant le square Rue Emile Cornoy. Nous organisons une rencontre le 20 Novembre dans ce square. Venéz nombreux!
............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... 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Déposez cette feuille dans la boîte à idées jaune devant Déposez cette feuille dans la boîte à idées jaune devant ............................................................................................... ............................................................................................... le square Rue Emile Cornoy. le square Rue Emile Cornoy. ............................................................................................... ............................................................................................... Nous organisons une rencontre le 20 Novembre dans ce square. Venéz nombreux!
Organisation d’une réunion publique objetctifs : - Premier contact physique avec les habitants - Clarifier notre démarche - Organisation de jeux de mise en espaces
Nous organisons une rencontre le 20 Novembre dans ce square. Venéz nombreux!
CE QUE JE VEUX CHANGER ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ............................................................................................... ...............................................................................................
Pose d’un panneau « pense a ta rue » sur les grilles du square condroyer objetctifs : - Informer et communiquer sur nos actions - Support pour la boite à idée
RENCONTRONS NOUS Après avoir lu toutes vos petites réponse, nous avons besoin de vous rencontrer pour : ECHANGER, DISCUTER, PARTAGER....
RETROUVONS-NOUS Le dimanche 27 novembre 16H PLACE RUE COURTE AUTOUR : D’UN GOUTER D’EXEMPLES DE PROJETS D’UN JEU DE REPERAGE DE DISCUTIONS
Rejoignez-nous sur notre page facebook PENSE A TA RUE :
ORGANISATION D’UNE REUNION PUBLIQUE
Créer un potager partagé dans le square et un compost https://www.facebook.com/penseatarue/
Compte rendu des flyers récupérés objetctifs : - Faire partager les idées de chaques habitants pour mener à une discussion - Présenter des références sous forme de cartes 31
PREMIERE REUNION : QUEL AVENIR POUR LE QUARTIER ? RÉUNION DU 26 OCTOBRE Lieu : Galerie HCE LE COLLECTIF : la rue notre jardin
Bruno
Mathieu
Marie
LES GENS NE SE CONNAISSENT PAS, NOUS VOULONS QUE NOTRE QUARTIER SOIT COMME UN VILLAGE. «ON GLISSE LES UNS A COTE DES AUTRES» : il faut dynamiser les rues et le voisinnage, le centre ville de Saint-Denis est un quai de gare. NOUS VOULONS ORGANISER DES EVENEMENTS OU LES GENS SE RENCONTRENT, PAS SEULEMENT LES ENFANTS : l’évenement la rue notre jardin, est un prétexte au partage.
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Georges
Raphaele
Suzanne
RENDRE LE QUARTIER PLUS BEAU, PLUS ESTHETIQUE. ACCORDS ET DÉSACCORDS NOUS VOULONS FAIRE PARTICIPER LES ENFANTS, ET NON DES ARTISTES PROFESSIONNELS : DÉMARCHE COLLABORATIVE.
NOUS NE POUVONS PAS AMELIORER LE PROVOQUER LA SOCIABIQUARTIER ET LISATION, LES FETES SONT LA VIE SOUVENT UN PEU TO MUCH. QUOTIDIENNE.
FEDERER LES On pensait que les galeristes ENERGIES étaient avec nous, ils font leur POUR FAIRE projet de leur côté. CHANGER LES CHOSES.
LE BIEN COMMUN : le commun n’est pas pour tout le monde, la rue est la notre, pas celle des passants et des squateurs : il y a des gens que l’on ne veut pas ici.
PROJET : FEDERER LES HABITANTS POUR CREER UNE VIE DE QUARTIER.
LA GALERIE HCE
MÉDIATRICE DU PROJET
Nous ne sommes pas obligés d’avoir des liens avec nos voisins.
«LES ESPACES VERTS SONT DERRIERES LES MURS» : il faut qu’ils soient donnés à tous, il faut les mettre dans la rue, pour embellir notre environnement.
«NOUS SOMMES UNE MINORITE ICI» LES CLIENTS DE LA GALERIE NE VEULENT PAS VENIR : PAS ESTHETIQUE, SALE. FAIRE PARTICIPER LES HABITANTS C’EST BIEN, MAIS IL FAUT AUSSI PROFESSIONALISER LA CHOSE : prendre de vrais artistes.
FORCE DE PROPOSITIONS ET DE REPRESENTATIONS constitution du dossier pour le contrat de ville.
PROJET DE PLANTATIONS DANS LA RUE GIBAULT : penser avec l’école de Versailles. Les habitants peuvent choisir leurs plantes.
LIENS ENTRE LES ACTEURS DU QUARTIER MISE EN RELATIONS NECESSAIRES À LA CONCEPTION D’UN PROJET COMMUN
ographique du pr oje e gé t zon
Raphaele Héliot médiatrice
Acteurs :
SITUATION ACTUELLE Raphaele Héliot médiatrice
Mairie
locaux
et
phique du pro j gra
- Collectif la rue notre jardin - Galerie HCE
Acteurs locaux : - Collectif la rue notre jarin - Galerie HCE
Habitants n’appartenant
zone g éo
Mairie
pas au
collectif
Gardes de l’environnement
Etudiants en architecture
Habitants n’appartenant pas au collectif
Gardes de l’environnement
Etudiants en architecture
RÉUNIONS PUBLIQUES : APPORTS DES OUTILS DEPLOYÉS 33
OBSERVATIONS CARACTÉRISTIQUES RELEVÉES DU LIEU
RUE COURTE
PIGNON AVEUGLE
RUE GIBAULT
ZONE ENSOLEILÉE
Flux
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ESPACES VERTS INEXPLOITÉS
RUE ÉMILE CONNOY
OBJECTIFS DU PROJET 3 PROPOSITIONS DE PROJET RENFORCER LE LIEN ENTRE LE SQUARE ET LA PLACE Variation des éléments de programme permettant de créer de la diversité, et du choix.
REDONNER UNE IDENTITE AU LIEU
CONCERTATION réunions avec le collectif et autres acteurs
CRéER DU LIEN ENTRE LES HABITANTS DU QUARTIER Approfondissement du travail TRAITER LE PROBLEME DE L’URINE PRIVILEGIER LES ESPACES VERTS REDONNER UN ABRI AUX GARDES DE L’ENVIRONNEMENT
Variation des éléments de programme permettant de créer de la diversité, et du choix. CONCERTATION réunions avec le collectif et autres acteurs
LA PROPOSITION
DONNER LA POSSIBILITé AUX HABITANTS DE RECONQUERIR L’ESPACE PUBLIC
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PROPOSITIONS CONSTRUIRE ENSEMBLE UNE PLACE POUR TOUS - PROPOSITION 1
€ autoconstruction
15 jours - 10 personnes bois sans toilettes
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38
PROPOSITIONS CONSTRUIRE ancré dans l’existant - PROPOSITION 2
€ autoconstruction
15 jours - 10 personnes bois toilettes existantes
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40
41
PROPOSITIONS la place : continuité du square - PROPOSITION 3
€€ ville
/ habitants
30 jours - 2 phases métal
/ béton
toilettes sèches
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AVENIR DU PROJET TRANSMISSION DES OUTILS ET DU DOSSIER AUX HABITANTS
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PRÉPARATION D’UN WORKSHOP INTERNATIONAL calcutta - 2019 Ce document a été produit lors d’un voyage à Calcutta en Février 2019, dans le cadre de la préparation d’un workshop international qui aura lieu en Février 2020. entre les étudiants qui passeront leur diplôme la même année à l’ENSAPLV et les étudiants de la BVCOA de Bombay. Il s’agissait ici d’explorer la ville afin de restreindre un terrain d’étude pour les étudiants français qui, par le biais d’un exercice de dessin précédant leur voyage, découvriront les espaces urbains et sociaux de Calcutta. Avec le professeur M. Claudio Secci nous avons donc choisi la rue Rabindra Sarani, qui est non seulement la rue la plus ancienne de la ville la traversant du nord au sud, mais qui présente des situations, usages et morphologies variés. La bâtiments repérés ici ont été documentés par des séries de photographies organisées par thème, qui seront la base de données des étudiants pour leur atelier du semestre précédant le workshop.
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Miscellaneous
CONCOURS D’IDEES «NON ARCHITECTURE» : SUPERMARCHÉ COVID-19 Mars 2020, en collaboration avec myrto tzanaki
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EQUIPEMENT PUBLIC : CONSERVATOIRE RÉGIONAL D’ALENÇON stage - février 2016
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MODULE & SYSTÈME Ecole maternelle à Matosinhos, Portugal - 2015
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LE SITE ABSTRAIT maison idéale - 2014
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Collages Avril 2020
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- Pistes cyclables dans le parc. - Plateformes de repos. - 2 bâtiments comprenant 36 logements en tout, traversants, entre la Piazza et le Parc. - Intégration de la forêt de Bondy dans le projet urbain.
La nature s’engoufre
Les différents sols
Coupe habitée de nuit, 1/500 :
Transports La nature s’engoufre
bitée en hiver, 1/500 :
PENSER LES POLYCENTRES DU GRAND PARIS EXPRESS Strates duStrates projet urbain : urbain : projet projetduAvant urbain à projet clichy-montfermeil - 2016 projet urbain Front bâtiFront bâti Avant urbain
Art urbainArt urbain
LE PARC
LE CLOS
s Express.
Clichy-Montfermeil au sein de l’EPT 9.
s Express.
ement
Aulnaysous-Bois
Plan Guide, 1/2000 : 1/2000 : Plan Guide,
Bobigny NoisyBobigny le-Sec
Le Raincy
Noisyle-Sec
Le Raincy
LE PARC LE CLOS Strates du projet urbain :
LE Schéma stratégique. CLOS
1/1000 : LES
LES
RAMPES Schéma stratégique. -1 maison mère des associations FrontRAMPES bâti
PIAZZA PIAZZAau RDC +
-1 Bâtiment logements + commerces RDC + Bureaux Clichy-sous-Bois habitée en hiver, 1/500 : Vue vers -3 Bâtiments logements (en commun avec parc et clos) la Forêt JARDIN de 200 Vue vers -1 marché (2j/semaine) JARDIN DES Percées visuelles Porosité, transparence DES exposants minimum la Forêt Forêt de Bondy ARTS ARTS Création de coeur d’ilôt et Surfaces : de logement Forêt de Bondyde 70m2 (en - 120 logements Création de coeur d’ilôt et Jeux moyenne) enfants de logement Création d’un pôle -Création 3360 m2 de commerces d’espace de Jeux économique et -sport 1600 m2 de Halle + Préau enfants développement de lieux Création d’une Place Création d’un pôle de restauration -Création 5100 d’espace de m2 de bureaux économique et sport développement de lieux Gare Création d’une Place de restauration
Création paysagère le long de la
Création d’espace de sport
Dhuyspaysagère ZA :Création de la Rue 1/500 : oupele long habitée en été, Restructuration du Dhuys
60
Création d’espace de sport
Résidence BBC Jardins Augusta, Rezé (44)
Art urbain
Percée de la Forêt
Transport dans la ville La Gare nature s’engoufre Percée de la Forêt la ville Transport dans Transformation de
Les différents sols
Plan, 1/1000 : 1/1000 : Plan,
Transports
Clos Parc Rue des Trajet la Tour Utrillo Ouvert sur mère l’alléedes partagée, au coeur Lieu de promenade face à la forêt, vers -1 maison associations Transformation de mère centre sportif BUS -1 maison des associations et Marché accueille des potagers optimisé pour les sportifs, cyclistes la forêt + planté Halle de RDC Trajet des la Tour Utrillo + Halle de Marché RDC entre autres Restructuration du -1 Préau -1 Préau centre sportif BUS Montfermeil -1 Bâtiment commerces aucommerces RDC + -1 Bâtiment au RDC + bureaux bureaux -1 Bâtiment -1 logements +logements Montfermeil Bâtiment + commerces RDC + BureauxRDC + Bureaux commerces -3 Bâtiments -3 logements Bâtiments (en logements (en Plan Guide, 1/2000 : commun avec parc et clos) commun avec parc et clos) -1 marché (2j/semaine)Station de 200 Tramway 4 -1 marché (2j/semaine) de 200 exposants minimum exposants minimum Surfaces : Surfaces :Station
No Joke Grigny 2013
LES No Joke Grigny
Plan, 1/1000 :
JARDIN DES SCULPTURES :
La Fontaine canyoneaustrate La Fontaine canyoneaustrate Paris, Bercy Paris, Bercy 1998 1998
Plan, 1/1000 :
Plan, 1/1000 :
-1 maison mère des associations + Halle de Marché RDC -1 Préau - Surface totale de 7500 m². -1 Bâtiment commerces au RDC + - Pistes cyclables dans le parc. bureaux Plateformes dede repos. - Surface totale 7500 m². -1 Bâtiment logements + 2 bâtiments comprenant 36 logements en tout, traversants, entre la Piazza et le Parc. - Pistes cyclables dans le parc. commerces RDC + Bureaux Intégration de la forêt de Bondy dans le projet urbain. Plateformes de repos. RAMPES : -3 Bâtiments logements (en - 2 bâtiments comprenant 36 logements en tout, traversants, entreparc la Piazza et le Parc. commun avec Plan, 1/1000 : et clos) - Intégration de la forêt de Bondy dans le projet urbain. -1 marché (2j/semaine) de 200
la Piazza Coupe 1/500 : 2013 habitée en hiver,Vers
Scène
publique Vers la Piazza
Urbanexposants minimum ScèneParkour Urban Skatepark fitness Parkour publique : fitness Surfaces
Création et un im Cré Suppre
Créati
Différentes étapes de construction du p
P
Phase 1 : 2016-2018
Skatepark
- 120 logements de 70m2 (en moyenne) - 3360 m2 de commerces - 3000m2 de Jardin des graffs raccordé à la promenade - 1600 m2 de Halle + Préau dem2 la de Dhuys. Skatepark - 5100 bureaux
Poissy - 1500m2 de salle d’exposition temporaire/permanente, 2012 avec 600m2 d’atelier d’artiste à louer. - 6 murs de graffs provenant des murs des bâtiments détruits. Arbres avecDES assises JARDIN SCULPTURES : JARDIN DES SCULPTURES - 2: arrêts de bus pour les lignes 100, 602, 613, 642 avec Place Taby Törg unPlan, traitement particulier pour celui à côter du jardin des Taby, Suède 1/1000 : 1/1000 Plan, : 100 m2 d’espace de sport urbain équipé en eau et électricité. graffs. Polyform 2015 - 1400 m2 de skatepark. Réaménagement de la promenade de la Dhuys. - 120 m2 scène de danse. - 100 m2 de praticable de ParKour. - Intégration du quai de l’arrêt de tramway dans le projet.
Coupe habitée de la place, 1/500 :
Fishmarket Berge, Norvège Coupe Eder Biesel, 2012
- Un sol lisse et minérale, optimisé pour les sports de glisse. Parc - Intégration de la forêt de Bondy dans le projet urbain.
habitée nuit, Coupe habitée en de été, 1/500 :
Ecoquartier Apollonia, Nexity Les Docks de Ris, France Arbres avec assises En construction Ecoquartier Apollonia, Nexity Arbres avec assises
- 3000m2 de Jardin des graffs raccordé à la promenade - 3000m2 de Jardin des graffs raccordé à la promenade de la Dhuys. de la Dhuys. - 1500m2 de salle d’exposition temporaire/permanente, - 1500m2 de salle d’exposition temporaire/permanente, avec 600m2 d’atelier d’artiste à louer. avec 600m2 d’atelier d’artiste à louer. - 6 murs de graffs provenant des provenant murs des bâtiments - 6 murs de graffs des murs des bâtiments Dalle Granite Coupe habitée 1/500 : détruits. de jour, détruits.
Dallage présent au niveau
Piazza Est
Espace public promenade, qui accueille Coupe habitée de nuit, 1/500 : dePiazza une partie du marché deux Est jours par se-
Lieu de promenade face à la forêt, optimisée pour les sportifs, cyclistes entre autres Parc 1/500 :Lieu de promenade face à la forêt, optimisée pour les sportifs, cyclistes entre autres
Coupe habitée en été, 1/500 : Coupe habitée jour de marché, 1/500 :
Fete de la musique Nevers 2016
P
Skatepark
Plan, 1/1000 :
Coupe habitée en hiver, 1/500 :
Parc de la Villette, «A la folie» Paris, France 2015 de la Villette, «A la folie» Parc Paris, France 2015
Parkour
JARDIN DES ARTS
PIAZZA :
Ecoquartier Sycomores une ZAC de 117 ha Bussy-saint-Georges
Skatepark Poissy 2012
Destr Modifica No la r Grig Installat 201
Urban fitness
Coupe habitée jour, 1/500 : 1/500 : Coupede habitée de jour,
Limites Dans EPT
LE Plan, PARC
Scène publique
Vers la Piazza
Fete de la musique Fete de la musique Nevers Nevers 2016 2016
Limites RER E EPT
Chelles
- Surface totale de 7100 m², urbain +Avant Halle projet de Marché RDC - 1 bâtiment de 18 logements traversants orientés Nord-Sud R+3, -1 Préau - 1 autre de 30 Logements (mono orientés Est ou Ouest, entre Parc et Clos). ALLÉE ALLÉE PARTAGÉE - 1 bâtiment de 15 logements mono-orientés Nord-Sud. -1 Bâtiment commerces PARTAGÉE - Les bâtiments forment un espace ouvert sur l’allée potagère derrière le marché. bureaux - Cinquantaine de bacs permettant de cultiver des fleurs et/ou des légumes. Clichy-sous-Bois
bitée de la place, 1/500 :
PIAZZA
LE PARC :
TRAM T4
Montreuil
EPT9
ALLÉE PARTAGÉE
LE PARC :
Extension TRAM T4 T4 RER B Extension T4E RER RER B
Chelles
Montreuil
EPT9
Grigny 2013
Rue avec Bus, tram et métro : à 40 minutes de Paris
JARDIN
DES Plan, 1/1000 : ARTS
Skatepark Poissy 2012
LES RAMPES
Vers Roissy
Aulnaysous-Bois
LE CLOS :
P
Coupe habitée de jour, 1/500 :
Coupe habitée de nuit, 1/500 : 1/500 : Coupe habitée de nuit, No Joke
Vers Roissy Clichy-Montfermeil au sein de l’EPT 9.
N N
ement oupe
UT
Piazza Est Espace public de promenade, qui accueille une partie du marché deux jours par semaine (mercredi et samedi) avec en fond la forêt de Bondy
ALLÉE PARTAGÉE
D
- 100 m2 d’espace sport urbaindeéquipé eau et électricité. - 100dem2 d’espace sport en urbain équipé en eau et électricité. - 1400 m2 de skatepark. - 1400 m2 de skatepark. - 120 m2 scène- de 120danse. m2 scène de danse. LE - 100 m2 de praticable - 100 m2de deParKour. praticable de ParKour. - Un sol lisse et- Un minérale, optimisé pour les sports pour de glisse. PARC LE sol lisse et minérale, optimisé les sports de glisse. CLOS dans le projet urbain. - Intégration de -laIntégration forêt de Bondy de la forêt de Bondy dans le projet urbain.
Ecoquartier Sycomores Dans une ZAC de 117 ha Bussy-saint-Georges
LES RAMPES Transports Transports
La natureLa s’engoufre Les différents sols nature s’engoufre Les différents sols entralité, articulation des potentiels de Clichy-Montfermeil. entralité, articulation des potentiels de PIAZZA Clichy-Montfermeil. Parc Lieu de promenade face à la forêt, avec des plateformes et bancs pour s’installer, et des pistes cyclables
Rue avec Bus, tram et métro : à 40 minutes de Paris
Transports
Plan, 1/1000 : 1/1000 : Plan,
Fete de la musique Nevers 2016
Plan Guide, 1/2000 : Piazza Est Espace public de promenade, qui accueille une partie du marché deux jours par semaine (mercredi et samedi) avec en fond la forêt de Bondy
Percées transparence bitée en été, 1/500visuelles : Percées visuelles Porosité, Porosité, transparence
UT
LES RAMPES : LES RAMPES :
Plan Guide Plan Guide, 1/2000 : Parc Lieu de promenade face à la forêt, optimisée pour les sportifs, cyclistes entre autres
Les différents sols
Arbres avec assises Place Taby Törg Taby, Suède Polyform 2015
Rue avec Bus,
Créa Destruction de la Utrillo abandonnée. tram ettour métro Modification des voies (où passe le TRAM) soit :Utrillo à 40 minutes avec Bus, la rueRue et l’allée Romain Rolland. maine (mercredi et samedi) avec en fond dearrêts Paris Délo Installatontram des de bus avenue Espace public de promenade, qui accueille et métro DallePaul Granite Cézanne et ceux du TRAM. Dallage présent au niveau la marché forêt de deux Bondy une partie du jours par se: à 40 minutes
Délocal maine (mercredi et samedi) avec en fond de 2 Paris de la Piazza du projet. le Phase : 2018-2020 Mur de graffitis Mur de graffitis la forêt de Bondy Relogem n De Dé
P La Fontaine canyoneaustrate Paris, Bercy 1998
Ecoquartier Sycomores Dans une ZAC de 117 ha Bussy-saint-Georges Ecoquartier Sycomores
JARDIN DES SCULPTURES :
t urbain :
LES RAMPES :
Coupe habitée en hiver, 1/500 :
Avant projet urbain
Front bâti
Phase 1 : 2016-2018
Plan, 1/1000 : Différentes étapes de construction dusols projet de 2016 à 2030 : Transports La nature s’engoufre Les différents
Plan, 1/1000 :
Phase 1 : 2016-2018 Skatepark
Phase 5 : 2023-2025
Poissy 2012
Percées visuelles
Porosité, transparence
PIAZZA :
illette, «A la folie» ha e
suelles
Porosité, transparence
La nature
Art urbain
Plan, 1/1000 :
-1 maison mère des associations + Halle de Marché RDC Art urbain -1 Préau -1 Bâtiment commerces au RDC + bureaux -1 Bâtiment logements + - 100 m2 d’espace de sport urbain équipé en eau et électricité. commerces RDC + Bureaux Parc Piazza Est Rue avec Bus, - 1400 m2 de skatepark. logements (en Coupe habitée de s’engoufre Lieu de promenade Les différents solsoptimi--3 Bâtiments Transports face à la forêt, Espace public de promenade, qui- 120 accueille tram et métro m2 scène de danse. commun avec parc et clos) - 100 de praticable sée pour les sportifs, cyclistes entre autres une partie du marché deux jours parm2se: àde 40ParKour. minutes -1 marché (2j/semaine) de 200 sol lisse et minérale, optimisé pour les sports de glisse. maine (mercredi et samedi) avec-- Un en fond de Paris Intégration de la forêt de Bondy dans le projet urbain. exposants minimum la forêt de Bondy Surfaces :
Skatepark Poissy 2012 - 100 m2 d’espace de sport urbain équipé en eau et électricité. - 1400 m2 de skatepark. - 120 m2 scène de danse. - 100 m2 de praticable de ParKour. - Un sol lisse et minérale, optimisé pour les sports de glisse. - Intégration de la forêt de Bondy dans le projet urbain.
Plan Guide, 1/2000 :
nuit, 1/500 :
Coupe habitée en été, 1/500 :
(44) ngoufre
Les différents sols
- 120 logements de 70m2 (enCoupe moyenne) - 3360 m2 de commerces - 1600 m2 de Halle + Préau - 5100 m2 de bureaux
Transports
Coupe habitée de la place, 1/500 :
Fete de la musique Nevers 2016
Fete de la musique Nevers 2016
onia, Nexity , France
000 :
Parc Lieu de promenade face à la forêt, avec des plateformes et bancs pour s’installer, et des pistes cyclables
comores de 117 ha eorges LE CLOS
ALLÉE PARTAGÉE
LE PARC
LE PARC
LE CLOS
Dans une ZAC de 117 ha Bussy-saint-Georges
Piazza Est Espace public de promenade, qui accueille Coupe habitée de jour, 1/500 : une partie du marché deux jours par semaine (mercredi et samedi) avec en fond la forêt de Bondy
PIAZZA
No Joke Grigny 2013
LE PARC :
-
Vers la Piazza
-1 maison mère des associations + Halle de Marché RDC -1 Préau -1 Bâtiment commerces au RDC + bureaux -1 Bâtiment logements + commerces RDC + Bureaux -3 Bâtiments logements (en commun avec parc et clos) -1 marché (2j/semaine) de 200 exposants minimum Surfaces : - 120 logements de 70m2 (en moyenne) - 3360 m2 de commerces - 1600 m2 de Halle + Préau - 5100 m2 de bureaux
Scène publique
Urban fitness
JARDIN
Piazza Ouest Espace public de promenade, qui accueille une majeure partie du marché deux jours par semaine Plan,(mercredi 1/1000 et : samedi)
Préau
-1 maison mère des associations + Halle de Marché RDC -1 Préau -1 Bâtiment commerces au RDC + Surface totale de 7100 m², bureaux 1 bâtiment de 18 logements orientés Nord-Sud R+3, -1 traversants Bâtiment logements + 1 autre de 30 Logements commerces (mono orientés ou Ouest, entre Parc et Clos). RDC + Est Bureaux -3 mono-orientés Bâtiments logements (en 1 bâtiment de 15 logements Nord-Sud. commun avec parc et clos) Les bâtiments forment un -1espace ouvert sur l’allée potagère derrière le marché. marché (2j/semaine) de 200 Cinquantaine de bacs permettant cultiver des fleurs et/ou des légumes. exposants de minimum - Surface totale de 7500 m². Surfaces : Pistes cyclables dans - 120 logements de 70m2 (en le parc. moyenne) - Plateformes de repos. - 3360 m2 de commerces 2 bâtiments comprenant 36 logements en tout, traversants, - 1600 m2 de Halle + Préau - Intégration de la forêt de Bondy dans le projet urbain. - 5100 m2 de bureaux
Coupe habitée de la place, 1/500 :
Ecoquartier Sycomores Dans une ZAC de 117 ha DES SCULPTURES : Bussy-saint-Georges Piazza Est Plan, Espace public où le RDC des batiments est 1/1000 occupé par des commerces.
Résidence BBC Jardins Augusta, Rezé Arbres avec assises
Taby Törg à la promenade - 3000m2 de Jardin desPlace graffs raccordé Taby, Suède de la Dhuys.
Polyform 2015 de salle d’exposition temporaire/permanente, entre la Piazza- 1500m2 et le Parc. avec 600m2 d’atelier d’artiste à louer. - 6 murs de graffs provenant des murs des bâtiments détruits. - 2 arrêts de bus pour les lignes 100, 602, 613, 642 avec un traitement particulier pour celui à côter du jardin des graffs. - Réaménagement de la promenade de la Dhuys. - Intégration du quai de l’arrêt de tramway dans le projet.
Fishmarket Berge, Norvège Eder Biesel, 2012Parc
1/500 :
Rue 1/500 : Coupe habitée en été,
Artiste : Louisgrand Piazza Ouest c de promenade, accueille Géré par :qui association
Dalle Granite Dallage présent au niveau de la Piazza du projet.
Clos Ouvert sur l’allée partagée, au coeur Dalle Granite Dallage au niveau planté et accueille des présent potagers de la Piazza du projet.
Jardins partagés 500 Ilot : d’Amaranthes Lyon 2007
Rue vers la forêt
Parc Lieu de promenade face à la forêt, optimisé pour les sportifs, cyclistes entre autres Coupe habitée de jour, 1/500
Parc Lieu de promenade face à la forêt, optimisée pour les sportifs, cyclistes entre autres
Intérieur du marché Cachan, France Marché CroixMarieBourdon Arch. , 2012 sous une halle et les associations d’aides à emploi aux étages Préau
Plan, 1/1000 :
PIAZZA : :
Vers les rampes
Piazza Est Espace public où le Rue RDC des batiments est
Préau
Vers les rampes
Piazza Est Espace public où le RDC des batiments est occupé par des commerces.
Clos
Rue
Vers les rampes
Vers le stade du centre sportif
Bus stop kressbad Rintala Eggertsson Architects
La nature s’engoufre 2013 Bus stop kressbad Rintala Eggertsson Architects 2013 6942 Krumbach, Australie
Gymnase multisport
Construction des batiments du Clos Construction de la maison mère des associations Création de nouvelles rues au Nord de la future piazza. Création du Parc au Nord de la piazza
Complexe Utrillo, Salles
construction de 2016 à 2030 Maladrerie Renée Gailhoustet 1975 àdu 1985 Emplacement marché. Aubervilliers
Complexe MaladrerieUtrillo, Salles Renée Gailhoustet d’expositions 1975 à 1985 et Atelier Aubervilliers
Intérieur du marché
Immeuble Jardin des Cachan, actuel sculpturesFrance
Vers la forêt de
CroixMarieBourdon Arch. , 2012
Marché
Jardin des sculptures
Immeuble actuel
Création des ba le nou Destruction de
Porosité, transparence
Art u
Phase 4 : 2021-2023
Phas
Phase finale : 2030
Destruction
Projet construit Vers la forêt de Bondy Bâti éxistant
Sarra Ben Gara Construction Martin de Gaulle Oscar Chiu de Margerie Emplacement mur chantier de la gare GPE Jean-Baptiste Bolet
Destruction
Piazza Construction Ouest
Vers la forêt de Bondy
Création des batiments de l’ancien pôle Utrillo, le nouveau complexe Utrillo. Destruction de la rue transversale à la place
Légende :
Légende :
Rue avec Bus, tram et métro : à 40 minutes de Paris Gymnase multisport
le nouvel complexe de commerce. Relogement des habitants de la tour dans les nouveaux immeubles de logement Destruction de la tour et du marché. Délocalisation des stands du marché.
Compréhension des attentes des usagers actuelles. Accompagnement des habitants dans le changement Respect du PRU.du marché. Emplacement Création de 5 espaces publics significatifs : piazza, parc, rampes, clos, utrillo. Mettre en avantProjet les potentiels construit du territoire : foret, dhuis, culture urbaine, marché, gare. Création d’un local d’associations liées à l’emploi. Création d’uneBâti aireéxistant de jeux pour jeunes. Adaption des transports à la nouvelle centralité.
Coupe habitée jour de marché, 1/500 : Différentes étapes de Plan Guide, 1/2000 :
Vers le stade du centre sportif
Immeuble actuel
Construction des batiments du Clos Construction de la maison mère des associations Création de nouvelles rues au Nord de la future piazza. Création du Parc au Nord de la piazza
Fishmarket Berge, Norvège Eder Biesel, jour, 1/500 : 2012
:
Jardin des Complexe sculptures Utrillo, Salles d’expositions Délocalisation des commerces du marché dans et Atelier
Les différents sols
6942 Krumbach, Australie
Exemple d’oeuvre présente : JR
Parc
Mur de graffitis
Coupe habitée de la place, 1/500 :
Piazza Est Espace public de promenade, qui accueille une partie du marché deux jours par semaine (mercredi et samedi) avec en fond la forêt de Bondy
Coupe habitée en été, 1/500 : Piazza Ouest Espace public de promenade, qui accueille une majeure partie du marché deux jours par semaine (mercredi et samedi)
-1 maison mère des associations Gymnase + Halle de Marché RDC multisport -1 Préau -1 Bâtiment commerces au RDC + bureaux Mur de graffitis -1 Bâtiment logements + commerces RDC + Bureaux -3 Bâtiments logements (en parcdans et clos) Délocalisation des commun commercesavec du marché le nouvel complexe de commerce. -1 marché (2j/semaine) de 200 Relogement des habitants de la tour dans les exposants minimum nouveaux immeubles de logement Surfaces : marché. Destruction de la tour et du 120 logements Délocalisation-des stands du marché. de 70m2 (en moyenne) m2 de commerces Phase 4- 3360 : 2021-2023 - 1600 m2 de Halle + Préau - 5100 m2 de bureaux
Vers le stade du centre sportif
Coupe habitée de nuit, 1/500 :
Coupe habitée de
Front bâti
Plan, 1/1000 :
Exemple d’oeuvre présente : JR
- 3000m2 de Jardin des graffs raccordé à la promenade de la Dhuys. - 1500m2 de salle d’exposition temporaire/permanente, (44)avec 600m2 d’atelier d’artiste à louer. - 6 murs de graffs provenant des murs des bâtiments détruits. - 2 arrêts de bus pour les lignes 100, 602, 613, 642 avec un traitement particulier pour celui à côter du jardin des graffs. - Réaménagement de la promenade de la Dhuys. - Intégration du quai de l’arrêt de tramway dans le projet.
Phase
Phase 7 : 2028-2030
Avant projet urbain
JARDIN DES SCULPTURES :
Création de la g
JARDIN Création de la gare GPE et du batiment Sud Est DES Phase : 2020-2021 de la3 place. ARTS
Suppression d’une rue transversale au futur Parc. Création du batiment rue Martin Luther King. Nouvelle voie du T4 terminée.
Skatepark
Strates du projet urbain :
Coupe habitée de nuit, 1/500 :
de la Villette, «A la folie» Paris, France 2015habitée jour de marché, Coupe
Création d’un immeuble au Nord refermant l’ilot, et un immeuble au Sud Ouest de la future Piazza. Création d’une rue à l’Est du futur Parc. Suppression d’une rue transversale au futur Parc. Création du batiment rue Martin Luther King. Nouvelle voie du T4 terminée.
Percées visuelles
Arbres avec assises Place Taby Törg Taby, Suède Polyform 2015
Coupe habitée en hiver, 1/500 :
Parkour
PIAZZA
Création d’un immeuble au Nord refermant l’ilot,
Skatepark
Parkour
Plan, 1/1000 :
Coupe habitée en hiver, 1/500 :
Urban fitness
LES RAMPES
Phase 3 : 2020-2021
Vers la Piazza
JARDIN DES ARTS
Plan, 1/1000- : -
Scène publique
Phase 6 : 2025-2028
et un immeuble au Sud Ouest de la future Piazza. Coupe habitée ded’une jour, 1/500 : Création rue à l’Est du futur Parc.
Plan, 1/1000 :
JARDIN DES
Intérieur du marché ARTS Cachan, France Marché CroixMarieBourdon Arch. , 2012 sous une halle et les associations PIAZZA : d’aides à emploi aux étages
Dalle Granite Dallage présent au niveau de la Piazza du projet.
ALLÉE PARTAGÉE
Phase
Phase 2 : 2018-2020
Création des deux batiments au Nord de la place entre Piazza et Parc. Phase de chantier du métro 16. Délocalisation des stands du marché pour leur emplacement final.
LE PARC
La Fontaine canyoneaustrate LE Paris, Bercy CLOS 1998
La Fontaine canyoneaustrate Paris, Bercy 1998
Rue avec Bus, tram et métro : à 40 minutes de Paris
No Joke Grigny 2013
ALLÉE PARTAGÉE
LES RAMPES
Coupe habitée de nuit, 1/500 :
Création des deu en Phase d Délocalisation d em
Destruction de la tour Utrillo abandonnée. Modification des voies (où passe le TRAM) soit la rue Utrillo et l’allée Romain Rolland. Installaton des arrêts de bus avenue Paul Cézanne et ceux du TRAM.
- 3000m2 de Jardin des graffs raccordé à la promenade de la Dhuys. - 1500m2 de salle d’exposition temporaire/permanente, avec 600m2 d’atelier d’artiste à louer. - 6 murs de graffs provenant des murs des bâtiments Destruction de la tour Utrillo abandonnée. détruits. Modification des voies (où passe le TRAM) soit la rueles Utrillo et l’allée Romain - 2 arrêts de bus pour lignes 100, 602,Rolland. 613, 642 avec Installaton des arrêts de bus avenue Paul un traitement particulier pour celui à côter du jardin des Cézanne et ceux du TRAM. graffs. Phase 2 : 2018-2020 - Réaménagement de la promenade de la Dhuys. - Intégration du quai de l’arrêt de tramway dans le projet.
Ecoquartier Coupe habitéeSycomores de jour, 1/500 :
LES RAMPES
Coupe habitée jour de marché, 1/500 : LE CLOS : PIAZZA
Arbres avec assises Place Taby Törg Taby, Suède Polyform 2015
habitée de nuit, 1/500 :
Plan Guide, 1/2000 :
Fishmarket Berge, Norvège Eder Biesel, 2012
Phase
Préau
ENSAPLV - 2016
Piazza Est
Tran
Compréhension
Accompagnem
Création de 5 piazza, p Mettre en av foret, dhuis, c Création d’un lo Création d’u Adaption des tr
Sarra Ben Gara Martin de Gaul Oscar Chiu de Jean-Baptiste B
ENSAPLV - 201
L3 Projet, A. d’O M. Sinéus
61
Vers
SARRA BEN GARA SARRA.BENGARA@GMAIL.COM WWW.ISSUU.COM/SARRABG TÉL : 07 86 88 16 58