ENSAP Bordeaux Séminaire « Repenser la métropolisation. Construire un monde en transition » Chiara Lafaye S7 - Article - Janvier 2022
Comment le contexte environnemental peut-il participer à la production de situations anxiogènes, favorisant l’émergence du sentiment d’insécurité ?
Introduction : La prise en compte des enjeux de sécurité dans l’aménagement des espaces publics La prise en compte de la sécurité est devenue une injonction depuis la loi LOPS de 1995. Ainsi, la loi d’orientation et de programmation relative à la sécurité, rend obligatoire une « étude de sûreté et de sécurité publique préalable à la réalisation de grands projets structurants en milieu urbain » (centre technique de Lyon, 2013). Les premiers débats autour de cette « loi-cadre » en France datent de 1994, tandis que la question de la sécurité se trouvait au centre des enjeux de société (Alain Bauert, François Freynet, 2009). A terme, la loi LOPS a pour objectif de sensibiliser les maitres d’ouvrage à de nouvelles responsabilités relatives à la baisse de l’insécurité. Dès les années 1950 une « complicité spatiale » (Nathalie Lauriac, 2002) est questionnée dans le cadre de l’accroissement de l’insécurité. Plus précisément, la pensée d’une relation entre urbanisme et délinquance commence à apparaitre dans la construction d’une ville plus sûre. On retrouve aux prémices de cette pensée, la journaliste américaine et militante de la cause urbaine, Jane Jacobs. Cette auteure a été la première à émettre la possibilité d’une corrélation entre contexte environnemental et criminalité (1950). Sa pensée s’est construite et matérialisée autour d’une nouvelle approche de l’aménagement urbain, la prévention situationnelle, confortée par la théorie de l’espace défendable un peu plus tard, dont Oscar Newman s’est fait le représentant. Ainsi, la prévention situationnelle cherche comprendre les facteurs environnementaux favorisant la d linquance, dans le but de r duire les opportunit s de passage à l’acte du délinquant. Cette approche ne prend pas en compte les facteurs sociaux engagés par les débats sécuritaires autour de la délinquance et du crime. Elle diffère, en cela, de la prévention dite sociale de la délinquance (Nathalie Lauriac, 2002). Le sujet de cet article portera donc sur l’établissement de la corrélation entre configuration spatiale et délinquance, au regard de la prévention situationnelle. Comment la prévention situationnelle a-t-elle pu prouver la légitimité d’un tel lien ? De quelle manière cette pensée se concrétise sur le territoire urbain ? Quelles en sont ses limites et ses dérives ? Nous étudierons donc le débat sécuritaire appliqué à la pratique des espaces publics au travers des pensées de Jane Jacobs et Oscar Newman, les solutions qu’elles ont pu apporter dans un tel contexte, et la conséquence de leur application. Enfin, nous ferons l’étude de la ZAC de Floirac dans le cadre du renouvellement du « Bas-Floirac » qui se trouve au cœur d’un projet de réaménagement lié aux enjeux de sécurité.
1. La réponse urbanistique pour limiter l’insécurité 1-1 La prévention situationnelle
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Considérant que l’instauration de la sécurité dans la ville n’est pas exclusivement du ressort de la police, Jane Jacobs est la première à émettre l’hypothèse que le contexte environnemental pourrait agir sur le passage à l’acte du délinquant. Sa réflexion devient ainsi une porte d’entrée pour de nouvelles solutions aux problématiques liées à la construction d’une ville plus sûre.
En suivant cette démarche, la prévention situationnelle défend donc l’idée que l’amélioration de la qualité de vie passe par l’amélioration du cadre de vie. Cette approche urbanistique est notamment étayée par l’observation d'espaces fréquentés et entretenus. Plus précisément, il est remarqué que ces espaces sont caractérisés par un fort sentiment de sécurité (centre technique de Lyon, 2013). Celui-ci est alors interprété, au regard de la pensée de Jane Jacobs, comme la cause de leur bon fonctionnement. Cette observation se voit confirmée par la théorie de la vitre brisée1, théorie selon laquelle l’appréhension du danger serait accentuée par la perception d’un espace mal entretenu, comme une vitre cassée pourrait en être l’indicateur (centre technique de Lyon, 2013). Intuitivement, la présence de celle-ci favoriserait alors l’accroissement du sentiment d’insécurité perçu par l’individu. Plus généralement, ce sentiment d’insécurité a pour conséquence le repli des habitants dans les espaces privés, des espaces qu’ils peuvent contrôler dans leur intégralité (Sophie Paquin, 2021). On identifie alors des éléments de l’environnement comme facteurs de risque. Ainsi, on parle de la configuration du lieu, de l’activité qui s’y déroule, et de la présence d’aide potentielle (Sophie Paquin, 2021). Plus précisément, la prévention situationnelle s’appuie sur 4 préceptes, tous issus d’observations : il est question de favoriser une bonne compréhension du lieu (pouvoir se repérer facilement dans l’espace), de garantir sa bonne fréquentation (des espaces attractifs, qualifiés), d’inciter le contrôle naturel par l’amélioration de la visibilité (voir et être vu), et de faciliter son appropriation par ses usagers (centre technique de Lyon, 2013). Par la suite, Oscar Newman reprend ces préceptes et expose, dans la continuité de la pensée de Jane Jacobs, la théorie de l’espace défendable. 1-2 La théorie de l’espace défendable Pour Oscar Newman, l’absence de signes d’appropriation dans les espaces publics serait propice au développement de la criminalité. Ainsi, c’est par l’amélioration du lien environnement/habitant qu’une ville plus sûre pourrait se construire. La théorie de l’espace défendable se caractérise donc par la capacité d’un espace à engendrer son appropriation par ses usagers. Aux fondations de son approche, on retrouve la théorie du choix rationnel2. Selon celle-ci, le délinquant agirait après avoir évalué la situation de façon rationnelle, suivant un lien risque/profit. Elle se caractérise par la motivation de l’auteur, l’accessibilité de la cible, et le risque d’être pris (Ronald Clarke, 1995). Oscar Newman accroit alors les risques qu’encoure le délinquant avec la création de quartiers qu’il nomme « sans anonymat », dans lesquels une visibilité immédiate est favorisée. A l’origine d’une réflexion autour de l’appropriation comme solution au développement de la délinquance, Il est aussi constaté que les ensembles de grande hauteur recensent un taux de criminalité plus élevé que les ensembles plus bas. Selon ce constat, la prise de hauteur favoriserait donc une prise de distance des résidents sur leur environnement immédiat (Nathalie Lauriac, 2002). De même que les délinquants, se sentant moins exposés dans un tel contexte, seraient plus fortement incités à agir. A l’inverse, un fort sentiment d’appropriation se fait sentir dans les immeubles de plus petite taille. Ainsi, l’appropriation des lieux permettrait au contexte urbain de générer une réelle conscience communautaire, qui solutionnerait l’accroissement du sentiment d’insécurité. La résidentialisation, qui incite l’appropriation des espaces intermédiaires, s’impose alors comme la forme urbaine répondant à toutes les exigences émises par les approches de Jane Jacobs et Oscar Newman. Elle devient donc un modèle de référence à l’application de la prévention situationnelle (Camille Gosselin, 2015). Mais cette réponse comme solution à la construction d’une ville plus sûre pose de nouvelles interrogations qui s’attachent à d’autres enjeux que ceux liés à la sécurité (Nathalie Lauriac, 2002). En effet, est-il possible de réduire l’insécurité et prévenir des actes de délinquance tout en préservant la mixité sociale, caractéristique de l’espace public, et fondatrice d’une ville inclusive ?
1 Théorie exposée en 1982 par James Q. Wilson et George L. Kelling dans Broken windows. The police and neighborhood safety. 2 Théorie exposée en 1985 par Ronald V. Clarke et Derek B. Cornish
2. Un modèle universel imperméable à son environnement social 2-1« L’ultra-résidentialisation » comme conséquence de la prévention situationnelle La résidentialisation comme réponse à la prévention du crime et de la délinquance naît de la volonté de délimiter clairement la différence de statut des espaces. On retrouve donc de multiples dispositifs telle que l’installation de portails ou de grilles, privatisant l’accès à une rue, un immeuble (Camille Gosselin, 2015). Ces derniers sont symptomatiques d’une tendance de repli face à la perception du danger que peut incarner une situation inattendue, une personne inconnue. Ainsi, le contrôle des allées et venues par la délimitation physique du lieu favorise l’ émergence d’une enceinte dans laquelle l’usager se sent protégé de l’inattendu. Il se coupe du dehors par la création d’une communauté fermée (Nathalie Lauriac, 2002). Dans de telles opérations de logement, l’enjeu que peut constituer la mixité sociale n’est alors pas pris en considération, et d’autres ont pu perpétrer cette approche, faisant abstraction de l’importance de la sauvegarde d’un brassage social. Ainsi, il est préconisé la réduction considérable des espaces publics au profit des espaces privés (Alice Coleman, 1985). En effet, selon cette approche, le sentiment d’appropriation ne pourra jamais autant s’épanouir que dans la sphère privée. Il est question de refermer les ensembles bâtis à des échelles plus contrôlables, et favoriser un urbanisme de co-surveillance (Fréderic Felix, 2001). Mais réduire l’insécurité par la diminution des espaces publics s’apparenterait alors à l’exclusion d’une partie de la population, entrainant la création d’enceintes de plus en plus grandes (Jean-Patrick Fortin). Ainsi, l’agrandissement systématique des espaces privés comme solution aux débats sécuritaires se voit critiqué car incitant à certaines dérives (les « gated communities » par exemple) (Frederic Felix, 2001). 2-2 La réflexion de la sécurité au travers d’un regard déshumanisé La non prise en compte des facteurs sociaux se traduit aussi par une vision dépersonnalisée qu’adopte la prévention situationnelle quant à la définition du délinquant. En effet, on remarque qu'il est décrit par les écrits comme un individu désincarné, neutre et déshumanisé. Il n’est donc jamais question de l’origine de la conduite délinquante. Suivant la même logique, les opérations d’urbanisme menées se voient uniformisées, comme l’application d’un modèle figé, inadaptable, apportant les mêmes éléments de réponses, qu’importe le contexte social (Nathalie Lauriac, 2002). Cette inadaptabilité naît d’un déni volontaire de la dimension sociale que pourrait intégrer la question de la sécurité dans un contexte d’aménagement urbain. Il serait donc intéressant d’adapter une approche mêlant prévention situationnelle et prévention sociale, comme le fait remarquer Jean-Patrick Fortin. En effet, selon lui, la solution serait d’humaniser les dispositifs mis en place dans le contexte urbain, par exemple le remplacement des digicodes par des concierges. Enfin, dans un contexte de logements sociaux, on remarque que la prévention situationnelle se voit de plus en plus intégrée aux nouvelles opérations de réaménagement des espaces qu’incluent les grands ensembles. 2-3 Un urbanisme vecteur, selon certains, d’ « espaces disciplinaires » Des opérations de requalification de l’espace sur les sites dits « sensibles » se voient de plus en plus banalisées face à l’inefficacité des projets de réhabilitation, pour réduire les incivilités et les dégradations dont ils sont victimes (Jade Tabet, 1999). La sectorisation prônée dans cette démarche vise à s’approcher du modèle de la résidence pour diffuser l’image rassurante qui en est rattachée, comme une « promesse de promotion sociale » (Jade tacet, 1999). La barre devient l’îlot. Cette approche naît avant tout de la volonté de régler les conflits entre usagers, liés à la présence d’activités illicites dans leur cadre de vie, et diminuer le nombre d’agressions. Ainsi, son objectif se concrétise par la suppression des recoins, ou des différents obstacles pouvant limiter l’action des dispositifs de contrôle. Il est question de neutraliser l’espace, attribuer une fonction définie pour chacun de ses fragments, dans le but de contrôler, prévoir les déplacements de ses utilisateurs (Jade Tabet, 1999). L’espace se caractérise alors par la
limitation du rôle que peut jouer le libre arbitre dans les déplacements des usagers, qui se voient supprimer leur liberté de mouvement. Dans certains cas, ces politiques impliquent également le refus de l’installation d’équipements ou de locaux car potentiellement fédérateurs d’échanges, ou bien la mise en place de mobiliers urbains volontairement indétournables de leur fonction première (Convention territoriale de la ville de Floirac, 2020). Cela a pour conséquence l’incapacité, pour les habitants, de s’identifier à leur quartier. Cet urbanisme se voit alors qualifié d’ « architecture de la peur » (Jade Tabet, 1999). Ainsi, les grands ensembles se trouvent coupés de la ville, alors que la volonté première était de reconnecter avec celle-ci, et deviennent un terrain idéal pour l’action des forces de l’ordre, avec le développement d’un urbanisme sécuritaire (Camille Gosselin, 2015). Il est cette fois question de réduire les issues et entrées du bâtiment pour limiter les tentatives de fuite, améliorer l’accessibilité du site pour les voitures de police avec l’élargissement des rues etc… (Convention territoriale de la ville de Floirac, 2020). On pourrait alors se demander si cette situation d’enclavement et d’enfermement sur soi favoriserait des interventions dites abusives de la part des forces de l’ordre.
3. L’étude de la ZAC de Floirac dans le cadre du renouvellement du « Bas-Floirac » Suivant ce système de requalification des espaces qu’incluent les grands ensembles, Floirac se trouve au cœur d’un projet de réaménagement de ses quartiers, qualifiés de ZUS (Zone Urbaine Sensible). Ce territoire, caractérisé par un fort sentiment d’insécurité, fait l’objet d’opérations visant à réduire les différentes formes d’incivilités qui s’y produisent. Ces opérations intègrent donc des principes rattachés à la prévention situationnelle. En effet, depuis 2010, la commune de Floirac mène une campagne qui vise à sensibiliser ses usagers autour de la notion de ville propre (« Floirac, ville propre »). Cette démarche naît du constat d’un mauvais entretien des quartiers par leurs habitants. Il est ainsi relevé l’abandon de déchets sur la voie publique, le vandalisme des équipements présents, le débordement des conteneurs etc… S’ajoute aux enjeux de salubrité, une dimension sécuritaire pour limiter l’insécurité vécue et ressentie par les habitants au cours d’épisodes de violence qui ont lieu sur ce territoire (Mairie de Floirac, 2015). Pour répondre à de tels enjeux, le conseil de sages de la ville de Floirac à comme intention de travailler autour de la notion de vivre ensemble. C’est dans ce contexte que le projet de la ZAC de Floirac a pu être mis en place. Il y intègre de nouveaux équipements, l’aménagement de places, et un nouveau square. Les espaces privés sont, quant à eux, caractérisés par des jardins communs. Pour une meilleure attractivité, le projet intègre aussi un programme de dynamisation des lieux avec la mise en place d’évènements divers. Dans une dimension plus préventive, on y retrouve l’installation d’un réseau de surveillance au moyen de caméras, une délimitation des espaces par des grilles, et la mise en place d’un nouveau mobilier urbain. Ce dernier a fait l’objet d’une réelle étude sur son implantation, sa forme et sa résistance, pour rendre impossible le détournement de son usage par les habitants. De plus, dans la volonté d’une meilleure visibilité de l’espace, les rues sont élargies, ponctuées de meilleurs éclairages, tandis que les espaces verts arborent des haies limitée à 1mètre de hauteur (Convention territoriale de la ville de Floirac, 2020). Ainsi, nous étudierons ce qu’un tel urbanisme induit sur les comportements sociaux, Si les objectifs qu’il s’est fixé sont atteints et s’il est vecteur de nouvelles problématiques liées à des enjeux autres que sécuritaires. Le sujet de mon mémoire portera donc sur les effets de la nouvelle pratique du territoire induite par la prévention situationnelle, et les dispositifs qu’elle met en place pour résoudre les problématiques liées au sentiment d’insécurité, dans un contexte de réaménagement des zones sensibles. Ainsi, de quel nouveau paysage urbain cette approche est-elle l’instigatrice, dans le cadre d’une ville en transition ? Il posera également la question de la place du lien social. Comment celui-ci peut-il exister dans un espace dont la philosophie vise à limiter les regroupements d’individus ? Et comment l’appropriation d’un tel urbanisme se rend-elle possible ou non par ses usagers ?
Bibliographie
Ouvrages:
- Bauert, A., & Freynet, F. (2009). Les études de sûreté et de sécurité publique, Presse universitaire de France.
- Coleman, A. M. (1985). Utopia on Trial : Vision and Reality in Planned Housing, Hilary Shipman Ltd. - Foucault, M. (1975). Surveiller et punir, Bibliothèque des Histoires, Gallimard édition. - Jacobs, J. (1961). The Death and Life of Great American Cities, Vintage Books ed. édition. - Newman, O. (1973). Defensible Space; Crime Prevention Through Urban Design, Macmillan Pub Co.
Articles:
- Clarke, R. V., & Cornish, D.B. (1985). Modeling offenders Decisions : A Framework for Research and Policy. Crime and justice, 6, 147-185.
- Felix, F. (2001). Urbanisme : Le retour du débat securitaire. Le Moniteur. https://www.lemoniteur.fr/article/urbanisme-le-retour-du-debat-securitaire.111619
- Gosselin, C. (2015). La rénovation urbaine et le modèle de « l’espace défendable »: la montée en puissance des enjeux sécuritaires dans l’aménagement. Métropolitiques
https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met-gosselin.pdf
- Paquin, S. (2007). Le sentiment d’insécurité dans les lieux publics urbains et l’évaluation personnelle du risque chez des travailleuses de la santé. Nouvelles pratiques sociales, 19(1), 21-39. https://www.erudit.org/en/journals/nps/2006-v19-n1-nps1615/014783ar.pdf
- Tabet, J. (1999). La résidentialisation du logement social à Paris. Paradoxes et retournement des discours et des pratiques dans les opérations de requalification des grands ensembles. Les Annales de la recherche urbaine, 155-163.
http://www.annalesdelarechercheurbaine.fr/IMG/pdf/Tabet_ARU_83-84.pdf
- Wilson, J., & Kelling, G. (1982). Broken windows: The police and the neighborhood safety. The Atlantic.
Rapports:
- Augoyard, J.-F. (1990). Les facteurs lumineux du sentiment d’insécurité. 18, CRESSON, MELTEM. https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01373814/file/rap_1989_cresson_018.pdf
- Centre technique de Lyon. (2013). Théorie et principes de la prévention situationnelle. Quelles enjeux pour les gares?
http://www.driea.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/gares_Theorie_et_pp_de_prevention_situationnelle.pdf
- Lauriac, N. (2002). Prévention situationnelle Etats-Unis, Canada, Royaume-Unis. Une perspective historique et critique.
http://temis.documentation.developpement-durable.gouv.fr/docs/Temis/0086/Temis-0086553/23254.pdf
- Leroux, M., & Bardyn, J.-L. (1991). Les facteurs sonores du sentiment d’insécurité. 19, CRESSON, EUTERPES.
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01373813/document
- Mairie de Floirac. (20 avril 2015). Contribution du conseil des sages de Floirac au mieux vivre ensemble https://www.ville-floirac33.fr/wp-content/uploads/2017/02/Communiquer-avec-les-habitants.pdf
- Préfecture de Bordeaux. (3 mai 2016). Convention d’utilisation de l’abattement de TFPB dans le quartier prioritaire de la politique de la ville Jean Jaurès située sur la commune de Floirac.
https://www.gironde.gouv.fr/content/download/33699/238667/file/Gironde%20Habitat%20Floirac-JJaur%C3%A8s.pdf
- Préfecture de Bordeaux. (2020). Convention territoriale de la ville de Floirac https://www.gironde.gouv.fr/content/download/33117/235394/file/Floirac%20signée.pdf