Focus Notre Jeunesse

Le monde t‘appartient, assure ton avenir!

Cours de langue: ecole-club.ch

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NOTRE JEUNESSE

«Nous, les jeunes, conquérons actuellement l'industrie du divertissement.»

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MILLIE BOBBY BROWN

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Interview

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EDITORIAL

Une jeunesse paresseuse? Ou pas!

«N

os jeunes aiment le luxe. Ils ont de mauvaises manières, méprisent l’autorité et bavardent au lieu de travailler. Ils ne se lèvent plus à l’arrivée d’un adulte. Ils contredisent leurs parents, se pavanent en société, se hâtent d’engloutir leurs desserts, croisent les jambes et tyrannisent leurs professeurs», opinait le philosophe grec Socrate, des siècles plus tôt.

A contrario, la jeunesse se montre active, pleine d'idées et d'énergie! Les jeunes veulent faire bouger les choses et entreprennent. C'est ce que montrent les plus de 100 000 demandes de renseignements que reçoit infoclic.ch. Les intérêts de la jeunesse sont variés: de la culture à la création de petites start-up, en passant par l'environnement et les sports collectifs.

Ainsi, dans le domaine des activités extrascolaires, les jeunes ont davantage d’opportunités pour s’impliquer socialement.

En particulier dans le secteur informel, des projets continuent de se développer dans toute la Suisse. D’ailleurs, de nombreuses associations et collectifs ont vu le jour. Des organisations de jeunes pour les jeunes qui ne veulent pas être liés structurellement, mais qui recherchent un engagement libre, bien que, ponctuel. Ils veulent défendre des intérêts actuels et personnels. Une

expérience commune, un succès partagé, la découverte de ses propres talents ainsi que la pratique et l'apprentissage jouent un rôle important dans leur vie sociale.

Aujourd'hui, il existe des plateformes telles que «Step into action», « Juniorexperts » et d’autres sites locaux et régionaux où les jeunes peuvent découvrir, apprendre et s'impliquer dans la création de projets. Les collaborations intergénérationnelles sont aussi en vogue. Le principe? Les seniors apprennent des juniors et inversement.

«Tablet Heroes» et «GenerActions» en sont deux bons exemples. Dans le premier, les jeunes transmettent aux aînés leur maîtrise des nouveaux médias et, en échange, apprennent beaucoup sur le cadre de vie des plus âgés. Dans le projet «GenerActions», les personnes âgées mettent à profit leurs expériences de vie en conseillant leurs cadets désireux de lancer leurs propres activités. Le projet «Creativity» à Vevey a pu se développer grâce à ces échanges. Il s’agit d’une association de jeunes qui partagent leurs passions et créent des projets communs en mélangeant la danse, la musique et les arts visuels. Et la liste est loin d’être exhaustive!

En effet, des centaines de projets et programmes sont créés chaque année. Par ailleurs, les associations plus classiques,

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Métiers techniques Interview: Millie Bobby Brown Formation professionnelle TIC Échanges internationaux Cigarettes électroniques

FOCUS NOTRE JEUNESSE. SENIOR CHEF DE PROJET:

Markus Gander Directeur d’infoclic.ch

Hugo Pillet COUNTRY MANAGER: Pascal Buck TEXTE: Andrea Tarantini, Marlène von Arx IMAGE DE COUVERTURE: Cindy Ord / Getty Images pour UNICEF LAYOUT: Anja Cavelti CANAL DE DISTRIBUTION: 20 minutes, 28.02.2020 IMPRESSION: Tamedia AG

Gloria Arici Responsable Suisse Romande d’infoclic.ch

SMART MEDIA AGENCY SA Gerbergasse 5, 8001 Zurich, Suisse Tél +41 44 258 86 00

notamment les centres d’animation, deviennent davantage populaires. La diversité des talents individuels et des engagements de la jeunesse est sans limite. En somme, les jeunes ont soif d'apprendre et d'étendre leurs compétences en dehors du cadre scolaire.

TEXTE MARKUS GANDER, GLORIA ARICI

pascal.buck@smartmediaagency.ch

Bonne lecture!

Hugo Pillet Senior Chef de Projet

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ASFL SVBL BRANDREPORT

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Les entreprises en logistique font bouger le monde

L

a profession de logisticien est l'une des dix formations professionnelles de base la plus fréquemment choisie. Ce métier est idéal pour les personnes qui aiment travailler dur. Elles peuvent se retrouver dans les entrepôts des entreprises de services, de commerce ou de production, mais aussi dans les centres de lettres et de colis, dans la distribution postale, dans les centres de distribution de marchandises ou dans les gares et les terminaux ferroviaires. Les experts en logistique garantissent la qualité et l'efficacité économique des processus de travail et le respect des réglementations en matière de protection de la santé et de l'environnement et de sécurité au travail. De plus, ils assurent un grand rendement énergétique et une utilisation efficace des ressources.

Une formation aux multiples possibilités Il existe de nombreuses façons de commencer une carrière dans le monde de la

logistique. L'une d'entre elles est la formation professionnelle qui mène au certificat fédéral de capacité (CFC). Le programme d’étude s’étend sur trois ans et concerne trois domaines d'activités: la Distribution, le Stockage et le Transport. Ce cursus d’apprentissage garantit une formation professionnelle continue pour les jeunes motivés.

Grâce à ce diplôme professionnel, les étudiants ambitieux peuvent s’inscrire dans une Haute école.

Il existe aussi l’attestation de formation professionnelle (AFP) qui permet d'obtenir une qualification professionnelle indépendante sur une période de deux ans.

Possibilités de formation continue Afin de rester actifs sur le marché du travail, après leur formation initiale, les professionnels de la logistique ont accès à un large éventail de formations continues dans toute la Suisse. Dans ce contexte, l’Association

suisse pour la formation professionnelle en logistique (ASFL SVBL) propose des cours préparatoires au passage d’examens professionnels de niveau supérieur. Cependant, elle offre aussi des cours modulaires pour obtenir le brevet fédéral (BF) et le Diplôme fédéral (DF) de logisticien.

Une formation de qualité, pas une évidence L'ASFL SVBL s'est donné pour mission de proposer des cours orientés vers la pratique et enseignés avec des méthodes variées. Des tâches concrètes permettent d’approfondir les connaissances acquises.

Une formation dans un domaine d'avenir comme la logistique constitue une base solide pour l'avancement professionnel.

Cela peut se faire par une formation professionnelle continue, au niveau tertiaire, mais aussi par l'examen professionnel supérieur pour les professionnels de la logistique (EPS).

La formation continue vous permet d’aller plus loin, alors bougez avec nous!

www.asfl.ch

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MÉTIERS TECHNIQUES

Optez pour une carrière prometteuse Plutôt délaissés par les jeunes, certains métiers techniques semblent pourtant tout aussi porteurs que les domaines liés aux services. En Suisse, la demande ne cesse de croître et les filières d’études et d’apprentissage se mobilisent activement pour sensibiliser et attirer les jeunes. Explications.

TEXTE SMA

E

n Suisse, les écoliers sont rapidement orientés vers différentes filières d’études. Ainsi, si leurs notes sont brillantes, ils sont incités à suivre la voie académique. Les HES et autres universités proposent d’excellents cursus.

Cependant, la formation duale est tout autant digne. En s’orientant vers un CFC (Certificat fédéral de Capacité), les jeunes reçoivent un solide bagage pratique. Une telle éducation leur offre diverses possibilités d’évoluer, voire rejoindre le niveau de leurs pairs universitaires. La meilleure des formations se doit de considérer les aptitudes et les motivations des étudiants.

Parmi toutes les options de formation, on oublie les avantages de la voie duale. Cette dernière mène à des métiers techniques fort demandés, comme la carrosserie, les

activités liées à l’électricité ou au bâtiment.

Voilà pourquoi l’apprentissage mérite d’être valorisé!

concours parfois méconnus mériteraient d’être officialisés et valorisés au sein des filières professionnelles suisses.

Les Suisses excellent aux concours internationaux

Métiers techniques très demandés

Pour booster la formation et garder le haut niveau de nos jeunes, plusieurs concours professionnels ont lieu en Suisse et à l’international. Il s’avère que les Helvètes sont doués, puisqu’ils figurent régulièrement dans le top européen et même mondial!

Ces concours dopent le niveau de compétences des jeunes professionnels et enrichissent leurs CV. En effet, grâce à leur participation, les candidats peuvent garantir leur rapidité d’exécution et leur maîtrise technique auprès des employeurs. De plus, c’est un bon moyen pour promouvoir le savoir-faire technique. Cependant, ces

Les CFC techniques constituent des profils recherchés en Romandie. Par exemple, la branche automobile représente un secteur fort de notre économie. La Suisse compte en effet plus de 5000 garages et ateliers mécaniques. Dans le pays, c’est un emploi sur huit qui dépend directement ou indirectement de l’automobile. La hausse du transport routier de marchandises favorise ainsi l’activité des acteurs économiques de ce domaine.

Avec une population croissante, les besoins en matière d’immobilier et de logement sont constants. De ce fait, les métiers

affiliés au secteur de la construction sont très prisés. À titre d’indication, ce secteur contribue à 6% de notre PIB. Une proportion qui se traduit par 327’000 employés et environ 25’000 apprentis, qui travaillent dans plus de 50 corps de métiers différents.

En 2018, le chiffre d’affaires du secteur principal de la construction s’est élevé à plus de 20 milliards de francs. Et aucune baisse n’est prévue dans le futur.

Un CFC décroché dans ce domaine permet aux jeunes professionnels de s’orienter vers le brevet fédéral de contremaître.

Cette voie leur offre l’opportunité d’évoluer comme chef d’équipe, puis de prétendre à une maîtrise fédérale, équivalente au master universitaire. Pour devenir chef d’entreprise, la case académique n’est donc pas obligatoire.

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BACHELORS OF SCIENCE Industrial Design Engineering Conception ergonomique et design Conception de systèmes mécaniques

Informatique et systèmes de communication Informatique logicielle Ingénierie des données Systèmes informatiques embarqués

Ingénierie et gestion industrielles Méthodes et procédés industriels

Microtechniques

Ingénierie horlogère Microtechnologies et électronique

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SKYGUIDE BRANDREPORT

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«Cette formation est l'une des plus intéressantes que vous puissiez entreprendre» Les exigences imposées aux contrôleurs-euses aériens-nes sont élevées; ce qui explique le caractère ardu de leur formation.

Christian Lareida, responsable de la skyguide academy, nous explique en quoi consiste cette formation stimulante, passionnante et variée.

Christian Lareida Head of skyguide academy Christian Lareida, quelles formations offre la skyguide academy?

La formation des contrôleurs-euses de la circulation aérienne, est au cœur de notre entreprise. Près de 55 nouveaux étudiants commencent chaque année et sont formés pour l'un de nos 14 sites militaires et civils. Nous formons également des techniciens-nes et des ingénieurs-res du contrôle aérien qui sont responsables de l'exploitation et de la maintenance des différents systèmes de contrôle du trafic aérien.

Comment sont recrutés les futurs contrôleurs-euses aériens-nes?

Le recrutement se fait en plusieurs étapes. Les deux premières consistent en une série de tests approfondis sur ordinateur, qui permettent

de déterminer si les candidats possèdent les qualités de base requises pour devenir contrôleur-euse de la circulation aérienne. Si ces étapes sont franchies, un entretien est organisé pour déterminer les motivations du candidat, suivi d'un camp de sélection. Les tests comprennent également des examens médicaux et des épreuves linguistiques.

s’agit de la formation en unité, qui consiste en une simulation et une expérience sur le terrain. La durée de la formation complète varie, mais elle dure en moyenne deux ans et demi à trois ans.

Comment se déroule la formation et combien de temps dure-t-elle?

Bien évidemment, tous les candidats doivent remplir les conditions d'admission et disposer des compétences nécessaires.

Cette formation exige avant tout de la discipline, un esprit d'équipe, une volonté d'apprendre, de l'endurance et de l'intérêt pour l'aviation. Les contrôleurs-euses aériens-nes doivent assumer de grandes responsabilités.

Tout d’abord, il faut suivre une formation de base. Aucune connaissance préalable n'est requise. La formation de base comprend plusieurs phases. Premièrement, il y a une partie théorique approfondie et des exercices de simulation pour toutes les disciplines et les rôles que pourront assumer les candidats. Autrement dit, il faut être au point concernant la tour de contrôle (Tower Control), le contrôle d'approche et de départ (Approach Control) et le contrôle de survol (Area Control Center). Dans la deuxième phase, les candidats approfondissent leurs compétences dans des disciplines spécifiques. La formation de base est générique et se déroule sur des installations de simulation générale. Elle est suivie d'une spécialisation sur le futur site opérationnel. Il

Devenez contrôleur-euse de la circulation aérienne dipl. ES Inscrivez-vous maintenant à notre formation!

Exigences minimales pour les tests d’aptitude: - Maturité gymnasiale ou certificat fédéral de capacité (CFC) - Agé-e de 18 à 30 ans - Niveau C1 en allemand, français ou italien - Niveau B2 en anglais A la fin de la formation, nous vous garantissons un emploi sur l’un de nos 14 sites en Suisse.

with you, all the way.

Comment sont-ils initiés à cette tâche?

Au cours du processus de recrutement, nous évaluons soigneusement si les conditions nécessaires à cet emploi sont remplies. Les candidats sont ensuite initiés à différentes tâches exigeantes durant les différentes phases de formation. Bien entendu, les instructeurs jouent un rôle central dans ce cadre.

Pouvez-vous nous présenter les méthodes d'apprentissage?

Ces dernières années, nous avons appliqué des méthodes d'apprentissage modernes telles que le Blended Learning et nous avons mis en place des technologies d'apprentissage

HELP US TO ORGANISE THE SKY

Inscrivez-vous pour nos séances d’information: www.skyguide.ch/job-info-events

Quels critères un candidat doit-il satisfaire pour être accepté et pour réussir sa formation?

: tions r orma .ch/futu f n i ’ d Plus .skyguide www

en ligne (e-learning). Nos instructeurs sont non seulement des vecteurs de connaissances, mais aussi des facilitateurs, qui soutiennent les stagiaires dans le processus d'apprentissage. Les nouvelles technologies d'enseignement telles que les systèmes de gestion de l'apprentissage et les simulateurs permettent un accès immédiat et constant au matériel, disponible à tout moment de la journée et pendant toute la semaine. Ainsi, chaque candidat peut apprendre quand il le désire et selon ses besoins.

A votre avis, comment évoluera le profil de ces métiers?

Je ne peux que fournir une estimation. Mais selon les avis des experts, grâce aux progrès de la technologie comme l'automatisation, l'intelligence artificielle et l'apprentissage automatique, la profession évoluera et passera probablement du rôle de contrôle à celui de gestion. En tant qu'institut de formation, nous devons en tenir compte et nous réagirons aux changements, tant au niveau du recrutement, que de la formation.

Je pense que la formation de contrôleur-euse de la circulation aérienne est l'une des plus intéressantes que l'on puisse suivre et le métier est très passionnant! Mon conseil: postulez maintenant. Autrement, vous risquez de passer à côté de l’univers fascinant de l'aviation et manquerez l'occasion de mieux vous connaître!

Dès le premier cours, vous réalisez à quel point votre rôle est important pour la sécurité de l'espace aérien.

- LOÏC, STAGIAIRE

Pour les étudiants comme moi, il est très pratique de pouvoir bénéficier de systèmes modernes d'apprentissage en ligne, de bibliothèques et de la disponibilité totale des documents nécessaires à la formation, qui sont accessibles à tout moment et en tout lieu.

- LAURA, STAGIAIRE

Grâce à nos technologies d'enseignement, nous pouvons rendre les contenus des cours plus interactifs. De plus, nous garantissons une grande flexibilité dans le cadre du processus d'apprentissage et encourageons en même temps l’investissement et la responsabilité personnelle de nos étudiants.

- ROLAND, INSTRUCTEUR

Nos simulateurs dernier cri permettent aux stagiaires de développer et affiner leurs compétences dans un environnement réaliste.

- ROMAN, INSTRUCTEUR

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BRANDREPORT VET24-JONCTION

Nouveau lieu de formation et d’échange Le centre de médecine vétérinaire ouvert en permanence Vet24, à Genève, s’agrandit et offre un nouveau lieu de formation et d’échanges.

L

e centre de médecine vétérinaire intégrative Genève-Jonction, inauguré en septembre 2018 par Mira Gelehrter, s’agrandit aujourd’hui sur 230 m2 et devient Vet24. Le cabinet offre déjà une prise en charge de tous les petits animaux domestiques, oiseaux et nouveaux animaux de compagnie (NAC) 24h/24h-7j/7 grâce à une équipe de cinq vétérinaires qualifiés. Le centre place la bienveillance et l’écoute au cœur de sa démarche professionnelle. Ainsi, ils proposent aussi bien une approche par l’allopathie que par des thérapies alternatives, comme l’homéopathie, la phytothérapie et les Fleurs de Bach.

En effet, dans l’optique d’offrir le meilleur traitement à votre animal, Vet 24 essaie de personnaliser un maximum ses traitements selon les besoins de chaque animal. De ce fait, cet agrandissement va permettre de réduire l’attentes aux urgences, d’augmenter la capacité opératoire, de soin et d’hospitalisation, de doter le centre d’un nouveau service de chirurgie osseuse et de permettre à tous les propriétaires d’obtenir un rendez-vous rapidement.

Annonce apprentie/preapprentie: entreprise formatrice D’ailleurs, dans le cadre de l’extension du centre, Vet24 recherche de nouveaux membres pour rejoindre son équipe. Les offres détaillées se trouvent sur le site web www.vetjonction.ch.

En tant qu’entreprise formatrice, Vet24 souhaite offrir un lieu d’échanges et d’information interactif inédit qui proposera, toutes les 4 à 6 semaines, des conférences animées par un vétérinaire qualifié suivi d’un forum d’échange interactif ouvert à tous.

Satifaction 5 étoiles!

Une enquête de satisfaction clientèle a fait apparaître une cotation à 5 étoiles pour la plupart des items, notamment la qualité des soins, l’accueil, la disponibilité, la facilité d’accès et la communication. Cette enquête a également fait ressortir, sur un plan général, le souhait des propriétaires d’animaux domestiques de voir le temps d’attente réduit au maximum. Dans le domaine de la santé, les services de permanence sont en effet très sollicités en dehors des heures

normales d’ouverture, aussi bien pour les urgences que pour les soins courants. La médecine vétérinaire n’échappant pas à la règle, Vet24-Jonction a augmenté son effectif pour répondre à cette attente.

Médecine vétérinaire de haut niveau et équipement de pointe «Depuis l’ouverture de Vet24-Jonction, les clients se disent satisfaits et rassurés de pouvoir bénéficier d’un centre vétérinaire ouvert en permanence au cœur de Genève», souligne la doctoresse Mira

Gelehrter. «Nous constatons de nombreuses et très bonnes recommandations de la part des clients. Par ailleurs, nous avons investi dans des installations techniques de pointe comme la radiographie numérique, l’échographe, l’électrochirurgie et autres systèmes permettant de diagnostiquer et soigner dans les plus brefs délais tous problèmes de santé chez l’animal», conclut la fondatrice de Vet24.

Deux assistant-e-s vétérinaires qualifié-e-s et deux vétérinaires qualifié-e-s avec expérience petits animaux et NAC à 100% 2 assistant-e-s vétérinaires qualifié-e-s Tâches principales: • • • • • • • • •

accueillir les clients préparer les instruments et le matériel calmer, rassurer l'animal assister le ou la vétérinaire préparer les salles de consultation et d'opération prodiguer les soins demandés par le ou la vétérinaire désinfecter et stériliser le matériel et les appareils éliminer les déchets et les produits selon les normes planifier les rendez-vous

• gérer les stocks d'aliments, médicaments, pet shop • conseiller la clientèle • nettoyer les boxes, entretenir les locaux et installations • effectuer les tâches administratives • Nous offrons aussi régulièrement l'opportunité à des personnes issues du domaine médical, plus particulièrement des assistant-e-s médical-e-s, de s'initier à la médecine vétérinaire selon notre plan de formation interne.

Vet24-Jonction

2 vétérinaires qualifié-e-s Tâches principales: • procéder à des examens • poser des diagnostics • dispenser tous types de soins en médecine conventionnelle et intégrative • procéder à des interventions chirurgicales

Le service de permanence vétérinaire 24h/24 – 365j /an est une évolution cantonale majeure dans la prise en charge des animaux de compagnie.

Pour marquer cette prestation, le Cabinet vétérinaire de la Jonction s’appelle désormais Centre vétérinaire vet24 à Genève Jonction

• prescrire des traitements • prodiguer des conseils aux propriétaires • assurer un service de permanence 24h/24 - 7j/7 par roulement

Si vous êtes intéressé-e à faire évoluer votre carrière au sein d’une équipe dynamique, adressez votre candidature à vetgeneve@gmail.com

Centre vétérinaire à Genève Jonction Bd Carl Vogt 38, CH-1005 Genève +41 22 995 96 97 www.vetjonction.ch vetjonction@gmail.com Ouverture: 24h/24 – 365j/an Sur RDV ou avec appel préalable

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LE REPUIS BRANDREPORT

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Apprentis en difficulté formés en entreprise: une solution performante élaborée par Le Repuis

«N

ous garantissons à nos apprentis une mise en situation dans un contexte proche du monde du travail et des attentes des futurs employeurs. La collaboration est également appréciée car nous savons que les apprentis sont bien encadrés par la structure du Repuis. C’est un gage de confiance pour nous en tant qu’employeurs», souligne Anne-Sophie Dejace, secrétaire générale des Unions Chrétiennes de Genève (UCG).

Elise* effectue sa première année de CFC d’assistante socio-éducative à la villa Yoyo d’Onex à Genève, structure chapeautée par les UCG. Malgré les difficultés rencontrées en raison de nombreux problèmes de santé, elle obtient d’excellentes notes et ses responsables sont tout à fait satisfaits de son travail.

Présent sur toute la Suisse romande, le Centre de Formation Professionnelle Spécialisée Le

Repuis a développé, dès 2005, une solution innovante de formation en entreprise pour des apprentis en difficulté, en collaboration avec les offices cantonaux de la formation professionnelle, des offices de l’assurance invalidité et des associations patronales. Le concept, basé sur celui de la formation duale, a la particularité d’avoir un contrat d’apprentissage signé par Le Repuis, qui décharge ainsi l’employeur de la gestion administrative, du suivi avec l’école professionnelle et de l’appui scolaire. En outre, Le Repuis apporte, si nécessaire, un soutien psychologique ou social.

Ceci permet au formateur en entreprise de se consacrer exclusivement à la transmission de la pratique professionnelle.

«Contrairement à certaines idées reçues, être entouré de jeunes étudiants motivés est pour nous une plus-value au quotidien», explique Pierre Vivet, chef d’exploitation du

garage LARAG SA à Satigny, entreprise partenaire du Repuis. «Nos collaborateurs ont aujourd’hui beaucoup de plaisir à transmettre leurs connaissances. Pour en arriver là, des années d’apprentissage pédagogique sont nécessaires, et surtout une relation fondée sur le respect et la considération.

Aujourd’hui, nous profitons de notre expérience et engageons également des jeunes avec des parcours plus compliqués.»

Des organismes de grande taille optent aussi pour des partenariats avec la présence d’un maître socioprofessionnel du Repuis au sein de leur structure. C’est notamment le cas du Département de la logistique hospitalière du CHUV à Lausanne qui accueille annuellement six apprentis du Repuis depuis dix ans. « Un tel partenariat donne accès à des métiers au sein du CHUV à des jeunes qui ne

seraient peut-être pas retenus s’ils postulaient directement», indique Silvia Hanhart, cheffe de service.

Plus de 150 entreprises romandes suivent au quotidien des apprentis du Repuis et 98 pour cent recommandent ce concept de formation, dont l’efficacité est aussi due à l’intervention rapide de coordinateurs de l’insertion professionnelle, qui font le suivi de l’apprentissage et soutiennent l’entreprise en cas de difficultés sur le lieu de formation.

www.lerepuis.ch * Prénom d’emprunt

GROUPE E BRANDREPORT

«Soutenir les formations techniques est nécessaire»

A

ujourd’hui, lorsqu’ils choisissent leur formation, les jeunes écartent bien souvent les métiers techniques, comme celui d’installateur-électricien ou d’électricien de réseau.

Et pourtant ces domaines, même dans un contexte de digitalisation, restent souvent une garantie d’emploi. Soutenir et valoriser les formations techniques s’avère donc être une nécessité. Groupe E, énergéticien suisse de référence, l’a compris depuis longtemps.

En charge de la production, l’acheminement et la commercialisation d’électricité mais également d’autres types d’énergie et de services durables, Groupe E apporte des solutions énergétiques globales. Avec ses 2200 collaboratrices et collaborateurs, il promeut la formation technique de 250 apprentis environ. Alors que les demandes pour certains apprentissages sont toujours plus nombreuses, la société, comme la plupart des entreprises de la branche, peine à trouver des apprentis (et des apprenties!) installateurs-électriciens ou électriciens de

www.groupe-e.ch

réseau bien que ces formations présentent des perspectives d’évolution intéressantes.

Groupe E Connect, l’une des sociétés de Groupe E, a mis en place «Connect Academy», une structure qui offre une formation bien organisée et un suivi important aux apprentis. Comme nous l’explique Luciano Ponti, Directeur des Ressources humaines du groupe, «grâce à cette structure, les apprentis sont valorisés, responsabilisés et engagés dans des projets concrets.

L’année passée, par exemple, plusieurs

apprentis sont partis au Népal pour reconstruire une école qui avait été détruite par un tremblement de terre.»

Les efforts de Groupe E en termes d’offre d’apprentissage sont donc importants mais quel sera le défi futur? Selon Luciano Ponti, «il faudra continuer à motiver des jeunes à choisir un apprentissage manuel, car soutenir les formations techniques est nécessaire.»

TEXTE ANDREA TARANTINI

Groupe E met actuellement en place un projet novateur baptisé BuzzCamp. «Ce camp d’été de trois jours vise à promouvoir notre filière d’apprentissage et à permettre aux jeunes d’approcher de manière ludique les réseaux sociaux, tout en étant rendu attentifs à leurs risques», précise Luciano Ponti. A la clé, un superbe prix à remporter pour l’un des participants: un téléphone portable. Et de préciser: «le BuzzCamp veut avant tout développer les compétences sociales des jeunes et leur faire découvrir les métiers de l’énergie.»

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BRANDREPORT MINIPIC

Minipic – un «bien culturel» qui a non seulement bon goût, mais qui est aussi produit de manière durable et en économisant les ressources Qui ne le connaît pas. Même nos parents portaient ce snack avec eux lors de leurs promenades scolaires. En revanche, peu de personnes savent que minipic est produit de manière durable, en préservant les ressources, et qu'il joue un rôle de pionnier dans l'industrie suisse de la viande.

D

epuis près de 50 ans, le snack le plus naturel et pratique de Suisse, à base de bœuf et de porc suisse, de lard et d'épices, est produit dans les Grisons. Lors de sa production, une grande importance est accordée à la durabilité et à la conservation des ressources. Minipic est en effet fabriqué dans des nouveaux bâtiments modernes, construits selon les standards Minergie, avec le souci d’une production respectueuse de l’environnement.

Les sites de production ont été conçus selon les dernières recherches. Ils disposent d’un concept ingénieux de chauffage, de refroidissement et de climatisation à la pointe de la technologie. Le cœur du concept réside dans l’utilisation des courants d’eau souterrains de la région des Alpes du Rhin. L’eau de la nappe phréatique est utilisée à des fins thermiques.

La production utilise donc moins d’énergie pour la création du froid dans deux systèmes de refroidissement préservant le bien-être de l’environnement. La chaleur, quant à elle, est récupérée des machines et de leur chaleur résiduelle. Les

Une palette de couleurs dans un espace restreint bâtiments sont donc chauffés avec de la chaleur récupérée et refroidie. Grâce à tous ces éléments et ces technologies, aucun combustible fossile n’est utilisé sur le site de Landquart. Depuis une dizaine d'années, cela a permis d'éviter plus de 500 tonnes d'émissions de CO2 par an.

Lors de la construction du bâtiment, les environs ont été aménagés de manière à pouvoir créer un «biotope minipic», qui se caractérise aujourd'hui par une grande diversité d'espèces en termes de faune et de flore.

Le site de Churwalden a été modernisé, ce qui lui a valu une récompense de la part de la fondation «Nature & Economie».

Le trèfle d’eau dans le biotope minipic

Étant donné que la production ne présente également aucun danger concernant la listériose et la toxoplasmose, le minipic convient aux femmes enceintes.

De plus, le snack ne contient ni produits laitiers, ni céréales. Il est donc sans gluten et sans lactose, et convient aux personnes souffrant de la maladie cœliaque ou d’intolérance au lactose.

L'emballage préserve également le snack.

Avec le temps et grâce à son emballage fonctionnel, minipic dévoile tout son goût et son arôme. D’un point de vue bactériologique, il ne présente donc aucun danger pour la santé.

Pour les jeunes et les jeunes de cœur, et pour les mères, qui l'achètent pour leurs enfants... même si parfois, les pères le dévorent.

Un concept d'approvisionnement sophistiqué

Création d'une nouvelle piscine comme frayère pour les sonneurs à ventre jaune

Idéal pour la route ou comme snack d'urgence, pour les petites faims entre deux repas ou comme accompagnement de diverses recettes.

www.minipic.ch/fr/recettes

Fleischtrocknerei Churwalden AG Riedlöserstrasse 11, 7302 Landquart Téléphone 081 307 87 87 info@grischuna.ch www.minipic.ch

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EIT.SWISS BRANDREPORT

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Informaticien du bâtiment comme nouvelle profession pour la branche électrique Les professionnels de la branche électrique veillent à ce que nous ne manquions pas de courant – une tâche de plus en plus importante.

G

râce à la combinaison des connaissances théoriques et des expériences pratiques, la formation professionnelle offre une base solide pour l’avenir. Ceci s’applique avant tout aux formations initiales de la branche électrique. Il n’y a pas beaucoup de branches qui ont acquis une telle importance ces dernières années. La raison en est simple: en raison de la numérisation, nous avons besoin d’électricité dans de plus en plus de domaines de la vie. Prenez par exemple votre smartphone, votre tablette ou vos écouteurs Bluetooth, ou les derniers développements dans le secteur du bâtiment. De plus en plus d’appareils doivent être mis en réseau les uns avec les autres, transformant les bâtiments en consommateurs d’électricité intelligents ou même en producteurs d’électricité. Il n’est donc pas étonnant que des jeunes professionnels motivés soient demandés dans le secteur de l'électrique.

Des métiers diversifiés Grâce à sa diversité, la branche électrique propose aux apprentis un large éventail de formations initiales et donc de

développement: les électriciens de montage posent en quelque sorte les bases du bâtiment. Cela demande de l’habilité manuelle et assez de force. En comparaison, le travail des planificateurs-électriciens est plutôt abstrait. Ils conçoivent et dessinent des systèmes et installations électriques. Des installateurs-électriciens sont également présents sur le chantier.

Ils installent et entretiennent non seulement des installations électriques, mais ils configurent également des logiciels

pour faire du Smart living une réalité. Les télématiciens s’interessent encore plus à la technique et à l’informatique. Ils sont responsables pour toute la technique de communication. Et ils sont aussi ceux qui sont le plus mis au défi par les derniers développements techniques.

Du télématicien à l’informaticien du bâtiment Le champ professionnel des télématiciens a considérablement évolué ces dernières

Sans toi, rien ne fonctionne.

années. Pour que les futurs spécialistes de la télématique puissent continuer à répondre aux besoins de la branche et de ses clients, la profession est en train d’être reconçue et elle sera transférée dans la nouvelle formation initiale d’informaticien-ne du bâtiment CFC. La profession est développée conjointement par ICT Formation professionnelle et EIT.swiss.

La formation initiale durera quatre ans et se composera de différents modules.

Les apprentis ont le choix entre trois matières: communication et multimédia (anciennement télématique), automatisation du bâtiment et planification de l’informatique du bâtiment. La mise en réseau et la sécurité sont à la base de la formation initiale. La nouvelle formation initiale offre non seulement aux jeunes un nouveau métier intéressant, mais permet également aux entreprises formatrices de leur proposer des places d’apprentissage sur mesure. Les premières places d’apprentissage seront pourvues dans le courant de l’année à venir, afin que la formation initiale puisse commencer à partir de 2021. La branche électrique propose ainsi une nouvelle profession axée sur l’avenir.

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Deviens actif !

U N S U P P L É M E N T T H É M AT I Q U E D E S M A R T M E D I A

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INTERVIEW MILLIE BOBBY BROWN

Millie Bobby Brown conquiert l'industrie du divertissement Jeune fille aux pouvoirs surnaturels, Millie Bobby Brown est devenue célèbre grâce à la série culte «Stranger Things» de Netflix.

Dans une interview, l’actrice de 15 ans nous raconte d'où vient sa confiance en soi et dans quels moments elle perd de vue la réalité.

Comment ta vie a-t-elle changé depuis que u es devenue populaire?

aussi. Je les comprends car j'étais, et je suis encore, une fan-girl. Par exemple, je suis folle de «Vampire Diaries».

Changer n'est peut-être pas le bon mot.

Oui, la célébrité affecte ma vie. Parfois, c’est un défi. Mais j'ai toujours une vie normale et de grandes opportunités. «Stranger Things» m'a permis de m'impliquer dans des œuvres de bienfaisance. J’aurais aimé le faire déjà à l'époque, mais je n'avais pas de plateforme pour aider les gens avant.

Tu es une ambassadrice de l'UNICEF. En tant qu'actrice, as-tu des responsabilités et des obligations? N’as-tu pas l'impression de rater ton enfance?

On me demande souvent si j'ai une enfance. Je peux vous rassurer: j’en ai une!

Pour vous en convaincre vous pouvez venir chez moi et me regarder cuisiner, ou plutôt brûler, un brownie! J'ai grandi avec une sœur de six ans. On fait beaucoup de choses ensemble. On adore aller se baigner au parc par exemple. Autrement, nous avons trois chiens et un chat. Bien sûr, il y a l'école aussi. C'est très important pour moi.

Tu portes un T-shirt de David Bowie. Pourquoi?

J’ai appris à connaître ce chanteur grâce à «Stranger Things». La série se déroule dans les années 80. Je n'étais pas vraiment fan de la musique des années 80 avant, mais je le suis maintenant. J’adore «Africa» de Toto! J'utilise souvent la musique pour me préparer à une scène.

Une fois, avant un tournage, j’écoutais des chansons d’Adele. Le réalisateur, Shawn Levy, m'a dit que je ne pouvais pas écouter cette musique et que je devais écouter celle des années 80 plutôt. Il a mis «Sweet Child of Mine» de Guns N' Roses à fond sur les haut-parleurs. L’ambiance était vraiment parfaite.

Qu'est-ce que tu aimes d'autre des années 80?

J'envie vraiment les gens qui ont grandi à cette époque. En fait, il y avait beaucoup plus de liberté. Aujourd’hui, même si

Que se passe-t-il lorsque tu rencontres quelqu'un qui t’impressionne?

L'UNICEF a nommé Millie Bobby Brown plus jeune ambassadrice itinérante à l'occasion de la Journée mondiale de l'enfance 2018 à New York. (Photo de Cindy Ord / Getty Images pour l'UNICEF) j'étais un enfant comme les autres, que je n’étais pas célèbre, je ne pourrais pas sortir en toute tranquillité. C'est dangereux. En revanche, dans les années 80, on pouvait monter sur son vélo et se promener dans la région sans se faire du souci.

rôle était leur bébé. En revanche, dans la deuxième saison, j'ai apporté mes propres idées. Et dans la troisième saison, j'ai clairement indiqué ce que je pensais que Eleven ferait et ne ferait pas.

Tu es née en Espagne, tu as grandi en Angleterre et tu as déménagé aux États-Unis à l'âge de huit ans. Comment a débuté ta carrière d’actrice?

Bonne question. Les femmes sont tellement importantes en ce moment! Elles ont plus de pouvoir que jamais. Toutes les actrices m'inspirent, même celles qui ne sont pas très célèbres. J'aime bien Winona Ryder. «Beetlejuice» est vraiment génial, comme tous ses films d’ailleurs. J’adore Angelina Jolie aussi. En plus elle dirige et fait aussi du travail caritatif. Natalie Portman et Blake Lively me plaisent aussi.

Tout a commencé à Orlando, en Floride.

Au début, j’ai simplement suivi des cours de chant, danse, mannequinat, théâtre, etc.

Mais je ne savais pas qu’il y avait un véritable métier derrière. Ce n'était pas clair pour moi à l'époque. Ensuite j’ai déménagé à Los Angeles et j'ai commencé à apparaître dans des publicités. J’ai même fait une publicité pour Barbie. J’étais vraiment heureuse! C’est à ce moment que j’ai vraiment réalisé que je voulais devenir actrice.

Quand je suis dans un décor, je deviens en quelque sorte la meilleure personne que je puisse être.

Tu es au début de ta carrière.

Faut-il beaucoup de confiance en soi pour assumer ses rôles?

On s'y habitue. Lors de la première saison de «Stranger Things», j'ai joué Eleven comme me l'avaient demandé les créateurs de la série, les Duffer Brothers. Ce

Quelles actrices sont tes modèles?

Quels sont les garçons qui te bouleversent?

J'ai toujours aimé Zac Efron, mais je le connais personnellement maintenant. Je dois donc faire attention, sinon on me demandera pourquoi j'ai dit que je craquais pour lui. Mais il y a un chanteur de mon âge qui m'obsède totalement. Je ne vais pas en dire plus pour l'instant.

Tu es toi-même une star. Comment gères-tu tes fans?

Parfois, il faut des gardes du corps. Les fanatiques me font peur. Mais la plupart de mes fans sont très gentils. S'ils me traitent normalement, je les traite normalement

Je peux totalement perdre le contact avec la réalité. Mais il y a des gens avec lesquels je me ressaisis, comme Obama - il est si grand et majestueux - ou Meryl Streep.

Vous ne pouvez pas paniquer devant des gens comme ça. Mais vous pouvez le faire avec Zac Efron ou avec Blake Lively. J'ai eu une petite crise de larmes aux Golden Globes. Ce n’était pas bien [rires].

Tu es déjà une icône de la mode.

Comment décrirais-tu ton style?

Jeune. Parce que nous, les jeunes, conquérons actuellement l'industrie du divertissement. Mais j'ai 15 ans, et je ne vais pas essayer de ressembler à une jeune de 25 ans.

C'est pour cette raison que vous me voyez en baskets sur le tapis rouge. Les diamants et les perles, ce n'est pas mon truc.

Comment vois-tu ton avenir et celui de tes jeunes collègues?

Mes collègues et moi aimons ce que nous faisons ensemble en tant qu'acteurs. Nous avons le pouvoir et la jeunesse de notre côté. Je pense que nous sommes tous sur la bonne voie. Moi je vais continuer à grandir en tant qu'actrice. J'ai hâte d'interpréter un jour une jeune fille de 20 ans.

Beaucoup de jeunes stars ont eu du mal à trouver leur place à Hollywood en tant qu'adultes. Cela te fait-il peur?

L'industrie cinématographique est en constante évolution et, à cet égard, je ne pense pas qu'elle soit aussi dangereuse qu'avant. Nous savons maintenant ce qu'il faut éviter et ce qu'il faut faire: utiliser notre passion et faire face aux problèmes, si nécessaire. Dans tous les cas, je vois mon avenir sous un jour merveilleux.

INTERVIEW MARLÈNE VON ARX

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MEGGITT BRANDREPORT

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Meggitt, au plus près des jeunes Figurant parmi les leaders mondiaux de l’ingénierie aérospatiale et énergétique, Meggitt s’engage activement en faveur de la formation. Un positionnement fièrement revendiqué par l’entreprise, notamment implantée à Villars-sur-Glâne (FR), qui dispose de deux volets principaux pour faire évoluer apprentis et jeunes diplômés dans leur carrière.

L

eader mondial dans le domaine de l’ingénierie aérospatiale, l’entreprise Meggitt s’est spécialisée dans les systèmes de mesure de vibration et de pression dans l’aviation civile, militaire et business. On trouve ses capteurs et dispositifs technologiques dans tous les lanceurs de satellite Ariane. Dans le secteur de l’énergie, Meggitt développe, fournit et installe des systèmes de surveillance de différents paramètres dans des installations électriques et gazières, entre autres.

Consciente du rôle clé que les entreprises jouent en matière de formation, Meggitt s’implique auprès des jeunes pour mettre leur carrière sur orbite. Son centre d’apprentissage engage chaque année dix à douze apprentis dans quatre différents métiers ce qui représente un total de quarante apprentis par année. En parallèle, le programme «Graduate» permet à des jeunes ingénieurs d’acquérir rapidement une expérience internationale. Ce programme de trois ans comprend quatre missions de neuf mois en Suisse et à l’étranger au sein de ses différentes filières. À l’issue du programme, les jeunes sont recrutés par le groupe ou évoluent auprès d’autres acteurs économiques. Pour en savoir davantage sur ces points, l’apprenti Guillaume Cattin et l’ingénieure Jennifer Omueti du programme «Graduate» répondent à nos questions.

Guillaume Cattin Apprenti en électronique à Fribourg, 4ème année Pourquoi avoir choisi Meggitt pour votre apprentissage?

Avant mon apprentissage, j’avais postulé chez Meggitt ainsi qu’auprès d’une école professionnelle. Ma candidature a été acceptée chez les deux et j’ai finalement opté

Site Meggitt à Villars-sur-Glâne, Fribourg

pour Meggitt en pensant à l’expérience professionnelle que je pourrai y acquérir. J’avais entendu parler de leur centre de formation et des très bonnes conditions qui encadrent l’apprentissage chez eux. Une bonne réputation que me confirmait d’ailleurs une connaissance qui effectuait son apprentissage chez Meggitt. J’ai également pu m’apercevoir de ces différents bons points par moi-même lors de stages que j’avais pu effectuer chez eux auparavant.

Quels sont les points forts de l'entreprise que vous pouvez identifier dans le cadre de votre formation?

Un des principaux points forts consiste selon moi à nous former au sein de tous leurs départements. Entre le secteur de l’aviation, de l’énergie ou encore des capteurs, nous sommes amenés à mettre nos connaissances en pratique à travers toutes ces différentes activités. Au fil de notre apprentissage, cela nous permet de bénéficier d’une vision d’ensemble et d’approfondir chacune des matières que l’on étudie durant les cours.

Ce qui nous permet de nous faire une idée précise du travail lié à ces différentes filières.

Quelles sont vos ambitions pour le futur de votre carrière?

C’est encore un peu tôt pour le dire. Car à l’issue de mon apprentissage cette année je vais devoir effectuer mon service militaire.

Mais une des pistes à laquelle je songe pour l’instant consiste à me spécialiser

dans le domaine de l’énergie. Comme je fais ma maturité en même temps que mon apprentissage, je pourrais par exemple rejoindre une haute école par la suite dans l’optique de me spécialiser dans ce secteur.

Jennifer Omueti Ingénieure responsable de l'industrialisation à Fribourg, a suivi le programme «Graduate» entre 2015 et 2018 Comment le programme «Graduate» de Meggitt vous a aidé à lancer votre carrière?

Ce programme m’a permis d’acquérir une riche expérience professionnelle en peu de temps. Durant trois ans, j’ai ainsi été amenée à travailler dans de multiples départements du groupe. Au final, on en ressort avec une solide expérience et de nombreuses compétences à la fois commerciales et techniques. Ce programme offre également la possibilité d’élargir rapidement et efficacement son réseau.

Que retirez-vous de votre mission à l’étranger effectuée dans le cadre de ce programme?

J’ai effectué ma mission à l’étranger entre 2017 et 2018 sur le site de Fribourg, étant originaire du Royaume-Uni. Ce fut une expérience très enrichissante, notamment par rapport à la diversité de la culture professionnelle dont j’ai pu prendre conscience. J’ai en outre eu l'occasion de travailler sur des projets à forte valeur ajoutée pour l’entreprise, ce qui représentait pour moi un vrai accomplissement personnel. Cette expérience s’est aussi avérée très stimulante, notamment en me donnant l'occasion de découvrir la Suisse tout en y travaillant. Cela m'a offert de nombreuses possibilités d'épanouissement personnel et professionnel.

Par rapport à votre profil professionnel, quelle valeur ajoutée pouvez-vous identifier suite au programme «Graduate»?

«Je possède désormais des compétences techniques, managériales et de communication que l’on acquière normalement sur le long terme». Ce programme m’a ainsi permis de condenser cet apprentissage sur une courte période. Je dirais aussi que la riche expérience que l’on acquière permet de bénéficier d’une vue d’ensemble sur l’activité du groupe. Durant le programme «Graduate», j'ai pris conscience des différents domaines présents au sein de l’entreprise et de la façon dont ils se combinent pour créer le succès. Une supervision qui m’est d’ailleurs très utile dans mon poste d’Ingénieure Industrialisation.

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PREMIUM PARTNER FORMATION PROFESSIONNELLE TIC

Le métier de virtuose du multimédia Qui sont les médiamaticiens?

La majorité des gens ne connaît pas encore le métier de génie en multimédia! Les médiamaticiens CFC sont de véritables experts, innovants et créatifs, en matière de marketing et de technologies de l'information et de la communication (TIC). Ils créent tous types de textes et graphiques, produisent des sons, photos et vidéos. Puis, ils les transforment en sites web, publicités ou contenus pour les réseaux sociaux. Leurs compétences combinent des domaines comme l'informatique, le graphisme, la gestion d'entreprise, le marketing et la

communication. Aujourd’hui, toutes ces aptitudes s’avèrent très demandées.

Plus de places d'apprentissage Les médiamaticiens CFC possèdent divers talents indispensables à l'ère numérique et à l’usage des réseaux sociaux.

L’intérêt pour la profession augmente tant chez les jeunes que dans les entreprises.

Aujourd’hui, environ 1500 places d'apprentissage existent dans toute la Suisse.

Et la tendance est à la hausse. D’ailleurs, l'association nationale ICT-Formation professionnelle Suisse encourage les

entreprises à créer davantage de places d’apprentissage, afin de répondre à la forte demande de main-d’œuvre qualifiée. Soulignons ici que près de 90% des diplômés des écoles supérieures ont commencé leur formation par un apprentissage.

Pour plus d'informations:

ict-berufsbildung.ch/fr

Les TIC, des métiers d'avenir Dans le futur, la demande de professionnels en TIC sera encore plus forte. Les informaticiens comme les médiamaticiens sont déjà recherchés dans tous les secteurs de l'économie. Ces carrières sont très prometteuses au vu de la numérisation croissante de la société.

Portrait Jeremie Levy, 26 ans, est médiamaticien et cofondateur de Baker Street, une agence de création numérique à Winterthour. Il enseigne le design UX et le marketing digital au Kaufmännisches Bildungszentrum Zug, ainsi qu’à l’association zurichoise des entreprises formatrices (ZLI).

Qu'est-ce qui rend le métier de médiamaticien unique?

C'est sa polyvalence. Lors de notre formation, nous acquérons une large base de compétences créatives, technologiques et commerciales. Les parfaits outils pour façonner notre avenir et celui du numérique.

Pourquoi Baker Street forme-t-elle des médiamaticiens?

La nouvelle génération numérique nous tient à cœur. Nous sommes heureux de pouvoir retransmettre ce que le système suisse de formation professionnelle nous a offert.

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REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE BRANDREPORT

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Un apprentissage pour la vie Confiance en soi, expérience de terrain, engagement concret au quotidien, l'apprentissage peut mener loin.

La preuve en quatre exemples parmi tant d'autres!

Femme en chantier © Iris Mizrahi-SISP/OFPC

«Travailler sur un chantier, c’est bien mieux que ce que j’imaginais. Aux antipodes du stéréotype des maçons machistes, au contraire, ils sont très respectueux», affirme Linda Bensalem, apprentie maçonne chez Dorner en deuxième année. Après un début de formation de dessinatrice en génie civil «trop statique», elle assume désormais un travail manuel, en extérieur, dans n’importe quelles conditions météorologiques et au sein d’un milieu presque exclusivement masculin.

«Je me suis renseignée sur le métier de maçonne avant de travailler temporairement en tant que manœuvre. La diversité des tâches m'a enchantée: charpente, toiture, ferraillage, bétonnage, coffrage, on touche à tout. De plus, travailler sur différents chantiers permet de sociabiliser avec toute l'équipe. Je n'ai donc pas choisi la maçonnerie par dépit. J'en avais réellement envie.

Et du moment qu'on aime ce qu'on fait, ce n'est pas difficile», assure-t-elle les yeux pétillants (et maquillés). «Je suis la seule femme de l'entreprise et, en effet, je me sens différente, dans le bon sens. Même sur le chantier, je tiens à rester féminine. Il faut aller au bout de son idée, ne pas s'arrêter à ce que les gens pensent. Quand on est à l’œuvre, toutes les craintes disparaissent.»

Unique fille de sa volée, elle prouve à ses camarades qu’elle a sa place parmi eux. En attestent ses excellentes notes, en théorie comme en pratique.

Voie royale pour les HES Dernière ligne droite pour David Cardoso, 24 ans. Dans quelques mois, il obtiendra à la fois son CFC de dessinateur en architecture et sa maturité professionnelle. Une filière accélérée conçue pour accéder de manière aussi rapide qu'efficace au bachelor en architecture de la Haute école du paysage, d'ingénierie et d'architecture de Genève (HEPIA). Le parcours du jeune homme n'a pourtant rien de linéaire. «Mes parents souhaitaient que je fasse des études.

Le collège s'est imposé naturellement.»

Mais le bon élève perd au fil des années sa

Je n'ai pas choisi la maçonnerie par dépit. J'en avais réellement envie. Et du moment qu'on aime ce qu'on fait, ce n'est pas difficile.

- LINDA BENSALEM, APPRENTIE MAÇONNE EN 2ÈME ANNÉE.

motivation et échoue en troisième. Grâce à un conseiller en orientation de l'OFPC il exprime son intérêt pour le domaine de la construction et se lance dans un apprentissage. «J'ai envoyé près de 80 candidatures sans succès. C'est finalement à la faveur d'un désistement au centre de formation professionnelle construction que j'ai pu accéder à la formation.» Une réorientation tardive mais très salutaire. «A un jeune sûr de sa voie, je conseille la filière professionnelle à la sortie du cycle d'orientation. Si je pouvais revenir en arrière, c'est clairement ce que j'aurais choisi!»

Au top management avec un CFC Depuis quelques mois, Aviva Panush Bendrihem dirige le département de maintenance et services informatiques, la vente et les équipes techniques chez IBM Global Technology Services pour toute la Suisse. Sur le CV de la top manager basée à Zurich, pas d'autres formations que celle d'un CFC d'employée de commerce spécialisée dans la comptabilité, obtenu au Regine's Club de l'hôtel Noga Hilton.

«J'y suis entrée à 19 ans et de rencontres en opportunités, j'ai accédé à des postes à responsabilité», se souvient celle qui a goûté à des domaines professionnels aussi variés que l'hôtellerie, l'étude d'avocats,

l'événementiel pour la pharmaceutique et l'informatique chez IBM. Des formations internes au diapason des besoins de l'entreprise lui permettent de gravir des échelons solidement ancrés dans son apprentissage initial. «Cette base m'a appris la flexibilité, l'adaptabilité et sans doute aussi, le sentiment qu'à partir de là, tout est possible, confie Aviva Panush Bendrihem. Je suis quelqu'un de concret et de curieux, j'ai besoin de comprendre ce que je fais et d'être en prise directe avec la réalité du terrain.»

Une foi indéfectible dans la formation professionnelle qu'elle promeut volontiers auprès des jeunes. «Essayer tôt le milieu du travail permet d'acquérir une confiance en soi. Il y a toujours un défi à relever, quelque chose de nouveau à apprendre!»

De l'apprentissage au doctorat Professeur associé de chimie des procédés à la Haute école d'ingénierie et d'architecture de Fribourg, Ludovic Gremaud se souvient: «c'est mon enseignante de chimie à l'ECG Henry Dunant qui m'a transmis la passion du domaine». Son certificat de culture générale en poche, il se lance dans un apprentissage de laborantin, poursuit avec un diplôme d'ingénieur en chimie à Fribourg «par curiosité scientifique», enchaîne avec un master puis un

doctorat à l'Université de Genève. «Mon objectif était de conjuguer l'aspect très pratique et technique du CFC et de l'ingénierie avec celui de la recherche pure via le master et la thèse.» Une trajectoire qui le mène au poste de chef de la recherche et du développement dans l'industrie pharmaceutique. «Après quelques années d'un travail aussi passionnant que contraignant, j'ai réorienté ma carrière en complétant ma formation par un master en pédagogie», poursuit le professeur dont l'activité se partage aujourd'hui entre l'enseignement et la recherche en collaboration avec les universités et l'industrie. Un parcours d'exception que Ludovic Gremaud associe à son engagement, lorsqu'il était adolescent, dans l'équipe nationale de ski de fond. «Le sport et la compétition m'ont apporté la rigueur nécessaire pour travailler, réviser et réussir.»

Plus de 200 places d'apprentissage à saisir!

Le mercredi 4 mars, près de 60 entreprises iront à la rencontre des candidats lors d'un recrutement en direct géant.

Simulations d'entretiens et ateliers numériques figurent également au programme.

Tout public, de 14h à 17h au Pavillon Sicli, route des Acacias 45, 1227 Acacias Plus d'infos sur: www.citedesmetiers.ch/geneve rubrique Agenda / Recrutement en direct

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BRANDREPORT ELVEAPHARMA

Le rôle du L-Tryptophane et des vitamines B3 et B6 pour mieux dormir Les troubles du sommeil impactent négativement la santé.

Dans bien des cas, il est possible de retrouver des nuits de qualités grâce à des moyens naturels.

L’importance des rythmes et de leur régulation L’être humain possède une horloge biologique interne qui est calée sur un cycle d’environ 24 heures. Sa régulation est assurée par la sérotonine et la mélatonine, hormone du sommeil, fabriquées à partir d’un acide aminé «L-tryptophane». On le trouve notamment dans la protéine de lait.

Il arrive que leurs actions soient perturbées, avec, pour conséquence, un dérèglement des rythmes du sommeil.

Les ennemis de notre sommeil Le stress s’avère être le principal responsable des altérations du sommeil. Il entraine une surproduction de cortisol, hormone de la veille. En temps normal, cette

hormone s’élimine en début de soirée mais, si les doses sont trop élevées, l’organisme n’est plus en mesure d’évacuer le surplus.

Dans ce cas, la sérotonine et la mélatonine ne peuvent plus assurer leur fonction, entrainant des difficultés à bien dormir. Il en va de même lorsque l’on reste exposé le soir à la lumière bleue des écrans. Les déplacements en avion sont à l’origine de brusque décalage altérant le sommeil. Le travail de nuit et les horaires variables provoquent le même phénomène. Les changements hormonaux sont susceptibles d’induire des troubles du sommeil, au cours de la ménopause ou lors de la dernière partie du cycle menstruel. Avec l’âge, les phases de sommeil léger s’allongent au détriment du sommeil profond.

Des solutions naturelles, rapides et efficaces La plupart des troubles du sommeil peuvent être solutionnés en adoptant une bonne hygiène de vie. La production naturelle de la sérotonine et de la mélatonine à partir du L-tryptophane, s’il est associé aux vitamines B3 et B6, est une solution qui offre des avantages.

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ÉCHANGES INTERNATIONAUX

Échanges internationaux et santé mentale Aujourd’hui, les échanges internationaux sont très répandus. Ils constituent un enjeu intéressant pour les jeunes, mais ils ne sont pas exempts de difficultés. Quels sont donc les états de ces jeunes en termes de santé mentale?

TEXTE ANDREA TARANTINI

N

ombreux sont les étudiants en formation qui décident de partir pour développer des compétences linguistiques et acquérir des qualités comme la créativité, la capacité à résoudre des problèmes, l’autonomie et la sociabilité. Cependant, à toutes les étapes de l’échange, les jeunes rencontrent des problèmes et éprouvent des sentiments contrastés qui peuvent influencer leur santé mentale.

Avant de partir, l’organisation de l’échange peut être autant une source d’anxiété que d’enthousiasme. Le bon déroulement du voyage dépend en effet de son organisation et le jeune attend beaucoup de sa nouvelle expérience: «je m’attendais à

vivre de nouvelles aventures – explique Roberto, étudiant suisse parti en Irlande - je voulais me lancer dans l’inconnu et en ressortir changé».

L’arrivée dans le pays fait surgir, elle aussi, des sentiments opposés. La liberté et l’autonomie sollicitent le voyageur, mais il faut tout de même faire face au choc culturel et à l’absence de connaissances débouchant dans le mal du pays. Dans l’article «Keep Calm and Go Abroad: The Effect of Learning Abroad on Student Mental Health», Amber Bathke et Ryoka Kim présentent les résultats d’une étude qui montrent qu’un nombre non négligeable d’étudiants interpellés, soit plus que le 13 pour cent, a ressenti un choc culturel lors de l’échange.

Beaucoup sont les étudiants qui, une fois arrivés dans le pays d’accueil, se sentent désorientés.

Par ailleurs, le rapatriement n’est pas facile. Dans son «Compendium sur les effets des échanges des jeunes» édité par Intermundo, Association faîtière pour la promotion des échanges de jeunes, Stefan Brunner soutient que «la littérature qui se penche sur le retour après un échange illustre les émotions sous la forme d’une courbe en W dans laquelle l’expérience du retour ressemble à celle du départ. Les deux étapes sont marquées par une phase d’euphorie, suivie d’un choc culturel (inversé), d’une adaptation et d’une normalisation». L’euphorie et le soulagement

ressentis sont justifiés par les retrouvailles avec les proches. Quant au «choc culturel inversé», il est compris comme la difficulté à gérer le retour à la réalité. Avant l’adaptation peut également faire surface le mal du voyage, autrement dit l’addiction au voyage.

Les enjeux en termes de santé mentale peuvent alors se réduire à la gestion d’émotions diverses articulées l’une à l’autre. Afin d’aider les étudiants à maîtriser leurs sentiments et à garantir leur équilibre mental, il est nécessaire d’instaurer des mesures de précaution qui se résumeraient au conseil, au soutien et au partage et qui sont notamment prévues par Intermundo et ses organisations membres.

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Informations & inscriptions

unine.ch

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CIGARETTES ÉLECTRONIQUES

Les dangers des cigarettes électroniques Depuis leur apparition dans les années 2000, les cigarettes électroniques se sont largement répandues. Consistant en l’inhalation de vapeurs crées par le chauffage d’un liquide et ne contenant pas les molécules toxiques relatives à la combustion,ces systèmes représentent une alternative aux cigarettes traditionnelles. Mais qu’en est-il de leur nocivité?

E

n Juillet 2019, l’OMS s’est prononcée sur le sujet en soulignant que les SEAN (systèmes électroniques d’administration de nicotine) «sont indubitablement nocifs et doivent être soumis à régulation». Les vaporettes sembleraient moins nocives que les cigarettes mais non pas moins risquées pour la santé. Souvent les liquides contiennent tout de même de la nicotine et une récente étude a prouvé qu’ils présentent des niveaux élevés de molécules liées à la mort des cellules endothéliales qui contiennent le sang dans les vaisseaux sanguins. Ces effets ressemblent à «ceux qui sont observés durant le développement d’une maladie cardio-vasculaire».

Les additifs dans ces liquides sont donc potentiellement dangereux pour les poumons et les substances s’avèrent toxiques.

Un moyen pour arrêter de fumer?

Mesures de précaution

Alors que certaines études démontrent son efficacité dans le cas de fumeurs voulant arrêter de fumer, l’OMS soutient que la e-cigarette «ne devrait pas être promue comme moyen d’arrêter de fumer tant que les preuves suffisantes ne sont pas réunies».

De plus, la plupart des fumeurs n’arrêtent jamais totalement la cigarette, ils alternent plutôt avec les électroniques.

Après le Valais et Bâle-Campagne, le Canton de Genève a compris ces problèmes. Il restreint alors la publicité de ces produits et interdit le vapotage dans les établissements publics. En effet, puisqu’en Suisse les e-cigarettes sont disponibles sans restriction d’âge, le Grand Conseil a récemment voté un projet de loi qui en interdit la vente aux mineurs. L’OMS estime qu’il faut réguler la commercialisation agressive et décourager l’utilisation de ces dispositifs en instaurant plusieurs stratégies comme des contrôles de la consommation et des politiques de prévention, des aides pour cesser de fumer et des mises en garde contre les dangers du tabac.

Les effets sur les jeunes Ces dispositifs sont également vicieux puisqu’ils attraient toujours davantage de jeunes. En Suisse, dans la tranche d’âge entre 11 et 15 ans, deux jeunes sur cinq ont déjà utilisé les vaporettes. C’est notamment par leur ressemblance à d’autres dispositifs comme les clés USB, par leur design simple

et à la mode, qu’ils séduisent les jeunes. De plus, le large panel de liquides disponibles et la publicité, sur différents réseaux sociaux par exemple, sont sources d’attraction. Le danger pour les jeunes est élevé puisqu’ils peuvent facilement devenir dépendants, voire se tourner vers la cigarette traditionnelle.

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DEINDEAL.CH BRANDREPORT

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Discounts, coupons, ventes flash: en 10 ans, DeinDeal.ch est devenu l’incontournable des bonnes affaires en Suisse

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einDeal a beaucoup évolué depuis sa création en 2010 comme site de couponing et d’achats groupés.

Il propose toujours plus de bonnes affaires et continue à explorer de nouveaux domaines.

Outre les offres de restaurants, spas, bienêtre, loisirs et hôtels dans les principales villes de Suisse à prix réduit, DeinDeal propose également une très large sélection journalière shopping à petits prix: mode hommes, femmes et enfants, cosmétiques, décoration et équipement de la maison, sport, bières, vins et épicerie fine, etc.

Pour réponde à une de 40% du nombre de ses envois en 2019 et réduire à la fois ses délais d’expédition et son empreinte carbone, DeinDeal a été le premier en Suisse à équiper son entrepôt logistique genevois d’une ligne d’emballage automatisée. C'est ainsi que, l’an dernier, le site a consolidé sa position dans le

top 10 du e-commerce Suisse avec des ventes record de plus de 130 millions de francs, l'envoi de plus d'un million de colis et la vente de 150 000 coupons city et voyages.

Et DeinDeal, qui a gardé l’âme d’une startup, promet encore d’autres innovations cette année pour faire économiser davantage à ses clients et améliorer sa qualité de service, déjà notée 9 sur 10 par le site www.avis-verifies.com.

DeinDeal s’est ainsi associé à Skioo pour proposer une carte de ski permettant de bénéficier en permanence, et sans besoin de se présenter aux caisses des remontées mécaniques, de 15 pour cent de remise et d’un accès direct à un vaste choix de domaines skiables en Suisse.

Mais avec chaque jour plus de deals, comment s’organiser pour ne pas manquer une bonne affaire?

Les offres de DeinDeal, qui sont en quantité limitée, changent en permanence. Ainsi, le site peut proposer toujours les meilleurs prix.

En ouvrant un compte ou en s’abonnant à la newsletter, vous pouvez donc vous assurer de ne rien rater. Ayez donc le réflexe de télécharger l’application et de vous inscrire sur le site DeinDeal.ch. Suite à votre adhésion, vous recevrez un e-mail vous prévenant du début des ventes flash du jour. Pas de présence dans le fichier client, pas d’accès privilégié!

Enfin, visitez régulièrement l’application DeinDeal vous permettra de bénéficier d’offres supplémentaires. DeinDeal.ch offre régulièrement des réductions additionnelles aux visiteurs fréquents ainsi que des jeux-concours gratuits vous permettant de vous faire rembourser votre vignette autoroute, votre taxe audiovisuelle ou encore de gagner des bons cadeaux et même un bon pour un séjour d’une valeur de 3000 francs.

Autre conseil, personnalisez vos alertes de marques: Si vous avez identifié une marque qui vous plaît particulièrement et ne souhaitez être averti que de l’actualité et des nouvelles offres de cette marque, vous pouvez créer une alerte dans la rubrique « Mes Newsletters » de votre compte client. A réception de l’alerte, vous n’aurez dès lors qu’à vous connecter à l’application ou au site DeinDeal.ch pour acheter tout ce que vous désirez.

Un seul mot d’ordre donc pour économiser malin: inscrivez-vous, surveillez vos emails ou l'application DeinDeal.ch et restez au taquet!

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