Dolce Vita 50 ans et plus
Juin ’24
Marie-Thérèse Porchet
Joseph Gorgoni fait vivre avec humour ce personnage haut en couleur depuis plus de trois décennies.
Marine Gasser
La Dolce Vita
La douce parenthèse de l’été
La dolce vita… Et rien que l’évocation de ces quelques mots nous apporte un sourire aux lèvres, l’esprit en vacances et le rythme qui s’apaise.
Dans ces temps plutôt sombres durant lesquels nous devons faire face à des crises mondiales, où le monde semble parfois tourner à l’envers et où il n’est pas simple de trouver des moments de légèreté et de joie, l’idée de l’été, de la chaleur sur nos peaux et des premiers repas estivaux amène un espoir de parenthèse salvateur et bienvenu pour reprendre son souffle, de la force et remplir son cœur de bienveillance. Savoir qu’à l’automne, le cœur et le corps auront repris des forces pour repartir dans un rythme plus soutenu.
La dolce vita, c’est aussi partager des repas, dans de longues soirées où le temps devient suspendu, le bruit de l’été, la douceur des discussions et découvrir autour de cette table des nouveaux mets venus d’ailleurs qui nous connectent.
Il y a des gens qui aiment les grandes tables des fêtes de fin d’année durant lesquelles les plats traditionnels s’enchaînent, le tout arrosé de discussions plus ou moins intenses et où il faut parfois redoubler d’ingéniosité pour parer à certaines polémiques. Au contraire, je leur préfère les grandes tables des soirs d’été où les débats se font plus cléments, où
Nous
l’on se rend compte que ce tzatziki est sacrément délicieux et que le déguster au son des cigales est bien plus agréable qu’une énième controverse, que ce même débat pourra bien attendre la fin de l’été.
Entre le lac Léman, les vignes classées à l’Unesco, les montagnes ou encore les trésors de nos villes, nous avons particulièrement de la chance de ne pas avoir besoin de partir loin pour profiter d’un sentiment de dolce vita.
Ce sentiment se fait ressentir plus particulièrement autour de la table, de l’immense diversité qu’offre notre Romandie, allant de la guinguette au bord du lac au restaurant étoilé en passant par un délicieux restaurant indien ou des plats libanais à emporter en pique-nique.
Se rendre compte qu’une table remplie de découvertes, d’étrangeté, de madeleines de Proust, font en fait le sel de la vie.
Je vous souhaite de passer un été plein de souvenirs, les yeux pétillants et le ventre plein.
Vive la Dolce Vita !
Texte Marine Gasser, directrice de Lausanne à Table
Contenu. 04 Voyage
08 Interview : Marie-Thérèse
Porchet / Joseph Gorgoni 10 Les bienfaits des bains
12 Santé 16 Marché du travail
Focus 50+ La Dolce Vita
Chef de projet
Valentin Ludwig
Country Manager
Pascal Buck
Head of Content Romandie Léa Stocky
Layout
Mathias Manner, Sara Davaz
Journalistes
Emmanuel Viaccoz, Léa Stocky, Maévane Mas, Océane Ilunga
Image de couverture © A LA VOLETTE –Benoît et Anne-Sophie de Rouss
Canal de distribution Tribune de Genève et 24Heures
Imprimerie CIL Centre d’Impression Lausanne SA
Smart Media Agency
Gerbergasse 5, 8001 Zurich, Suisse Tél +41 44 258 86 00 info@smartmediaagency.ch redactionFR@smartmediaagency.ch focus.swiss
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Pourquoi choisir une agence de voyage pour vos aventures ?
Malgré les nombreuses options de voyage actuelles, faire appel à une agence peut apporter une réelle valeur ajoutée à son voyage. Jack Magnenat est Directeur production et marketing chez Voyage Buchard SA. Avec ses 16 ans d’expérience dans l’organisation de voyages sur mesure, ce globe trotter passionné partage son expertise et explique pourquoi les conseils personnalisés et le savoir-faire des professionnels peuvent transformer une simple escapade en une expérience inoubliable.
Jack Magnenat, quels sont les types de destination les plus populaires ?
Les plus populaires auprès de notre clientèle restent les destinations proches de la mer. On pense notamment à La Corse, à l’île d’Elbe, à Majorque mais aussi et notamment pour cet été tous les pays du nord comme la Scandinavie et l’Écosse. Le Nord est une destination prisée en été, où les voyageurs recherchent un air plus frais, de grandes découvertes et de vastes espaces. Les envies de voyage des vacanciers évoluent-elles avec le temps ?
Oui. Les situations géopolitiques influencent les choix des voyageurs, mais leurs désirs évoluent également de manière plus simple. Par exemple, le succès des vols lowcost les a habitués à prendre l’avion. Les temps libres sont également davantage privilégiés. Alors qu’auparavant, on recherchait un emploi du temps structuré à la minute près, les gens, que ce soient les jeunes ou les seniors, préfèrent désormais savourer leur temps libre et l’atmosphère d’un lieu plutôt que de visiter tous les musées et attractions touristiques disponibles. Nous constatons que nos clients apprécient de dîner librement où ils le souhaitent, une demande qui n’était pas aussi courante auparavant.
Quels sont les avantages à partir en vacances avec une agence de voyage ? Premièrement, la sécurité : en passant par un canal professionnel, le futur voyageur évite les arnaques courantes sur internet et peut être sûr de ce qu’il réserve. Ensuite, il y a la notion de prise en charge : voyager individuellement peut susciter des craintes, comme les transferts de taxis vers l’hôtel ou les réservations non confirmées. Avec une agence de voyage, tout est structuré et pris en charge, offrant une tranquillité d’esprit. Enfin, le voyageur bénéficie de l’expertise de professionnels qui déterminent ses envies et le guident au mieux pour une expérience optimale.
Aujourd’hui, il est plus facile de réserver ses vacances soi-même en ligne. Les agences de voyage ont-elles toujours la cote ? Oui, absolument. Les agences de voyage proposent souvent des prix très attractifs, des packages et des offres spéciales grâce à leur volume de réservation
et leur connaissance des offres intéressantes. De plus, elles se spécialisent souvent dans des domaines spécifiques du voyage. Par exemple, certaines agences se concentrent sur les séjours sportifs comme le golf, le tennis ou la voile, tandis que d’autres offrent des croisières, de la plongée, et plus encore. Les agences de voyage atteignent donc un haut niveau de performance grâce à leur expertise et leurs partenariats. En tant qu’agence, comment sélectionner au mieux ses partenaires et fournisseurs de services de voyage ?
Le mieux est de se rendre sur place pour évaluer les prestataires, afin de déterminer si la destination convient aux clients, si le lieu est approprié et si les contacts sont sérieux. Il est également essentiel de vérifier les aspects de labellisation, de qualité et d’écologie, pour s’assurer que le partenaire s’inscrit dans une collaboration durable.
Est-ce que la concurrence d’internet se ressent fortement au sein des agences ?
Internet représente une concurrence directe, mais c’est aussi une source d’opportunités pour les agences de voyage. Nous avons accès à une meilleure information que nous pouvons ensuite offrir à nos clients, et nous touchons un public plus large. Par exemple, une agence spécialisée en Suisse peut maintenant atteindre des clients français qu’elle n’aurait jamais touchés auparavant. Internet n’est pas seulement une panacée. En effet, certains clients viennent parfois chercher des conseils en agence mais réservent ensuite directement sur internet. C’est pourquoi de plus en plus d’agences demandent des frais de consultation, déductibles si le voyage est finalement réservé par leur intermédiaire.
Quelles sont les tendances émergentes dans l’industrie du voyage ? Il y a eu les tendances émergentes post-Covid où nous avons observé une augmentation des réservations d’hébergements en plein air notamment sous forme de camping/caravaning. Aujourd’hui, grâce aux vols low-cost, les séjours de courte durée sont très privilégiés, comme les petites escapades dans une ville ou une région particulière. Ensuite, les voyages actifs sont de plus en plus tendances, avec des activités telles que la randonnée ou le cyclisme sur vélo électrique ainsi que tout ce qui concerne les offres bien-être, à l’instar des stages de relaxation. Les destinations lointaines, le Japon ou le Costa Rica, sont aussi populaires.
Arrivez-vous à anticiper les tendances ?
On le sent d’années en années. Actuellement, par exemple, on remarque une tendance du côté du Sénégal qui est un pays dont on ne parlait pas avant mais qui commence à attirer de plus en plus de monde.
En tant qu’agence de voyage, est-il facile de s’adapter à cette demande ?
Non, ce n’est pas facile et tant mieux parce que sinon il y aurait pléthore d’agences de voyage (rires). Pour trouver des partenaires professionnels nouer un contact précieux, il faut de nouveau se rendre sur place.
Le relationnel et l’humain font toute la différence.
Si on trouve un guide randonneur francophone dans une région au Sud de l’Italie par exemple, ce sera une grande plus-value pour les clients qui iront là-bas. Cela fait partie des défis de l’agence de s’adapter et trouver des nouveaux contacts sur place.
Quelles expériences de voyage recherchent particulièrement les clients aujourd’hui ?
Ils recherchent plus de liberté et des voyages actifs/ sportifs où on découvre une région en marchant ou à vélo. Ce sont des voyages avec plus de temps libre, certes, mais aussi avec peut-être moins de tourisme de masse où l’on cherche un peu plus l’authenticité, plus de contact avec le terroir.
Existe-t-il des différences en fonction des âges ?
Oui, tout dépend du profil du client bien sûr, sans faire de généralités. La clientèle senior aimera aussi les visites culturelles spécialisées ou dédiées mais toujours avec un programme équilibré sans que les voyages soient trop chargés.
Comment définiriez-vous un voyage réussi ?
Lorsque toutes les parties prenantes du voyage ont le sourire à la fin du séjour, que cela soit l’hôtelier, le client ou l’agent de voyage. Lorsque tout s’est bien passé, c’est là que nous avons des étoiles plein les yeux.
Quelle est votre destination de voyage préférée et pourquoi ?
J’ai un coup de cœur pour la Grèce continentale. J’aime beaucoup ce pays qui offre un mélange d’authenticité historique et la mer. Il y a beaucoup de sites antiques mais aussi balnéaires. La Grèce continentale subit moins le tourisme de masse qu’ailleurs dans le pays, ce qui permet de profiter d’une authenticité appréciée.
Quel a été votre meilleur souvenir de voyage jusqu’à présent ?
Le meilleur souvenir que j’ai, c’était le soleil de minuit aux îles Lofoten, une expérience particulièrement marquante ! Le paysage est semblable à celui des Alpes suisses, mais avec des plages qui rappellent les Caraïbes, bien que l’eau soit assez glaciale (rires). Le soleil semble se coucher dans l’eau, mais il remonte soudainement de l’autre côté, créant un moment très intense. Avec les oiseaux marins, les moutons et les phoques dans le décor, c’est une expérience magnifique. Quels conseils donneriez-vous à un voyageur pour tirer le meilleur parti de son expérience de voyage ?
Je dirais qu’il est important de se préparer et de se renseigner sur la destination, même lorsqu’on passe par une agence de voyage ou que l’on voyage en groupe. En se préparant, on imagine et on se réjouit à l’avance. La préparation est en soi une belle étape du voyage, car elle permet de se plonger, de se projeter et de s’imaginer l’expérience à venir. Internet regorge d’inspirations vraiment utiles pour cela.
Interview Léa Stocky et Océane Ilunga
« En matière de retraite, mieux vaut prévenir que guérir »
Sénèque, en son temps, disait que « Il n’y a pas de vent favorable pour celui qui ne sait où il va ». Une devise adoptée par Planifique où l’on pense que « le temps passé à préparer sa retraite ne sera jamais perdu » et qui préconise d’y penser au plus tard dès l’âge de 50 ans. Paul Dao nous explique en quoi et pourquoi c’est si important.
Pourquoi a-t-on besoin de se faire accompagner pour planifier sa retraite ?
Dit simplement et un peu crûment : pour faire des choix éclairés plutôt qu’au doigt mouillé. Et les chiffres parlent d’eux-mêmes, on répond à un véritable besoin tant les revenus peuvent drastiquement baisser une fois arrivé à la retraite : ce sont, cinq ans après la création de notre société, près de 14 000 personnes à qui on a permis d’anticiper leur départ à la retraite en toute sérénité.
Vaut-il mieux prendre une retraite anticipée ou « à l’heure pile » ?
C’est une question à laquelle nous répondons au cas par cas tant le système de retraite suisse est complexe. Il est par exemple très difficile pour tout un chacun de calculer soi-même le montant global de sa pension, surtout si l’on pense à y intégrer la fiscalité! Prendre une retraite anticipée a un coût qu’il faut pouvoir calculer. Car il n’y a pas de marche arrière, une fois qu’on a décidé de partir à la retraite et qu’on en a informé les autorités, c’est conclu pour le reste de sa vie. Nous sommes également très sollicités sur la meilleure optimisation possible quant à la sortie du 2ème pilier : en rente, en capital ou un mixte des deux?
Et que préconisez-vous? Plutôt rente ou plutôt capita l?
J’aimerais beaucoup avoir une réponse universelle à vous fournir, malheureusement, cela n’est pas possible car la solution est propre à chacun. Combien d’années il ou elle ont cotisé ? À quel taux ? Prennent-ils une retraite anticipée ou travaillent-ils jusqu’à l’âge légal de la retraite ? La rente possède l’avantage de fournir et de garantir un revenu fixe pour toute sa retraite. Elle « tombe » régulièrement sans qu’aucun effort ne soit plus nécessaire pour la percevoir. Mais elle a également quelque inconvénient qu’il faut connaître
Le temps passé à préparer sa retraite ne sera jamais perdu.
– Paul Dao
pour décider en toute connaissance de cause. Ainsi, elle n’est pas obligatoirement indexée par les caisses de pension à l’inflation ce qui peut entraîner une baisse du pouvoir d’achat. Elle supporte également un taux d’imposition sur le revenu plus élevé que le capital et n’est pas transmissible à ses héritiers. Quant au choix de prendre le capital, il exige qu’on constitue un plan de consommation précis auquel il faut se tenir avec une grande rigueur. On le voit, la solution miracle n’existe pas et le choix d’une sortie en mixte peut parfois donner le juste équilibre fiscal puisque la rente augmente le taux d’imposition sur le revenu tandis
que le capital augmente l’impôt sur la fortune. Nos planificateurs étudient tous les scénarios et donnent ainsi à nos clients la possibilité de réaliser le choix le plus optimal en fonction de leur situation personnelle.
À quel âge doit-on s’inquiéter de sa retraite future ?
Au plus tard dès 50 ans. Surtout si vous possédez un bien immobilier puisqu’avec un revenu drastiquement diminué à la retraite, vous risquez de ne plus pouvoir souscrire à un renouvellement d’hypothèques et de devoir vendre votre bien.
Et si l’on veut partir à l’étranger à la retraite, êtes-vous aussi en mesure de proposer un accompagnement ?
Pour l’instant, nos services se concentrent uniquement sur des départs à la retraite en Suisse et en France pour lesquels nous avons une maîtrise
de la législation. À ce propos, nous conseillons également une clientèle qui possède un bien immobilier des deux côtés de la frontière.
Si vous aviez un conseil à donner à nos lecteurs et lectrices, quel serait-il ?
Le même que précédemment : « Mieux vaut prévenir que guérir ! » Le temps passé à préparer sa retraite ne sera jamais perdu. Chez Planifique, nous avons fait nôtre cette citation de Sénèque qui dit qu’il n’y a pas de vent favorable pour celui qui ne sait où il va » et nous, nous pouvons aider quiconque s’intéresse à la question à planifier, voire améliorer considérablement, ses revenus à la retraite.
Plus d’informations : planifique.com
En 2018, Paul Dao co-fonde avec deux associés Planifique, première société de conseils sur la retraite qui emploie aujourd’hui une centaine de salariés et leader sur le marché de la retraite des Suisses ET des frontaliers.
Départ Voyages • Brandreport
Partir à l’autre bout du monde en toute
sérénité
Caraïbes, île Maurice, Bora Bora - autant de destinations qui font rêver. Toutefois, trouver le meilleur hôtel, dénicher le vol idéal et organiser en détail ses vacances n’est pas une mince affaire. C’est là qu’intervient l’agence Départ Voyages, prenant tout en charge pour offrir un voyage paisible et sur mesure.
Stéphanie Degallier, directrice-propriétaire de Départ Voyages, présente les destinations idylliques proposées au sein de l’agence de voyages spécialisée des îles lointaines.
Stéphanie Degallier, qu’est-ce que Départ Voyages ?
Départ Voyages a été fondée en 1976 et a été le premier tour opérateur à lancer la destination des Antilles françaises en Suisse romande. Avec les années, nous avons étoffé la palette de nos destinations avec d’autres îles des Caraïbes, puis l’Océan indien en 2000, et enfin la Polynésie française en 2007. Depuis une dizaine d’années, nous proposons également des séjours au Mexique.
Chez Départ Voyages, nous pensons que voyager dépasse un simple séjour dans un bel hôtel. C’est pourquoi nous offrons, en plus de la gestion du logement, des vols et de la location de véhicule, une réelle immersion dans la culture locale à travers des excursions uniques. Nos clients peuvent séjourner chez l’habitant, explorer des lieux méconnus des touristes, ou encore naviguer en kayak jusqu’à des lieux paradisiaques. Notre objectif est de proposer quelque chose de différent et de transformer chaque voyage en une aventure riche en rencontres et en découvertes.
Qu’est-ce qui distingue la qualité de vos services ?
Départ Voyages se distingue par une approche immersive et personnalisée. Nous privilégions des partenariats à taille humaine et chaque membre de notre équipe visite régulièrement nos destinations pour évaluer les nouveautés et maintenir une relation étroite avec les partenaires locaux. Cette démarche garantit un service de haute qualité et une réactivité optimale en cas d’imprévus.
Chez Départ Voyages, nous renforçons en outre la sérénité de nos clients avec un service d’urgence disponible 24h/24 et 7j/7. En cas d’annulation de vol, notre équipe prend également en charge
la recherche d’une alternative sans délai. En tant qu’unique interlocuteur pour le client, nous simplifions en somme l’organisation de leur voyage et nous gérons tous les imprévus pour eux.
Comment définissez-vous les itinéraires que vous proposez ?
Nous organisons d’abord des voyages de prospection en équipe qui nous permettent d’évaluer les destinations ainsi que les expériences. Nous collaborons en outre étroitement avec des agences de voyages, les invitant à explorer nos itinéraires pour qu’elles puissent, à leur tour, témoigner de leur valeur auprès de leurs clients.
Parallèlement, nos voyages personnels nous permettent de découvrir des aspects uniques des destinations, souvent différents de ceux perçus lors des missions officielles. Ces expériences enrichissent notre compréhension des lieux et nous inspirent à créer des itinéraires qui résonnent vraiment avec les désirs de nos clients.
Ainsi, chaque voyage que nous proposons est le fruit d’une exploration approfondie et d’une passion partagée pour découvrir le meilleur de chaque destination.
Sur quels critères sélectionnezvous les hôtels partenaires ?
Départ Voyages sélectionne ses hôtels partenaires selon des critères précis afin de satisfaire une clientèle diversifiée. La gamme d’hôtels proposée couvre tous les budgets, allant des établissements deux étoiles à cinq étoiles. Nous cherchons en outre des produits qui s’adressent à la clientèle romande avec des prestataires plutôt francophones. Les petites structures, agréables et cosy, sont particulièrement appréciées par les Suisses romands, qui recherchent une atmosphère intime et accueillante.
Quelles sont vos destinations les plus populaires ?
L’ouverture récente des vols directs entre les aéroports de Genève et de l’île Maurice a donné un vrai coup de boost à la destination. De plus, cette île francophone mixe tant du balnéaire que de la découverte culturelle, attirant un public très diversifié. Nos séjours combinés avec l’île de la Réunion ont également beaucoup de succès. Les voyageurs commencent par une exploration de la Réunion, parcourant l’île en voiture de location, avant de se détendre sur les plages de l’île Maurice.
La Polynésie française est également l’une de nos destinations phares. Ses archipels ont longtemps été perçus comme une destination de luxe réservée aux lunes de miel. Mais cela a beaucoup changé. Alors que les hébergements se limitaient auparavant à des pilotis haut de gamme, on trouve aujourd’hui des hôtels de charme et des petites structures familiales. Nous pouvons donc proposer tant des hôtels qui sortent du lot que des options plus abordables, permettant à des voyageurs avec des budgets plus restreints de découvrir ces destinations qui ont pu, autrefois, paraître inaccessibles. Quelles sont vos offres pour les voyages de noces ?
Nos destinations se prêtent particulièrement bien aux voyages de noces. Nous arrivons à proposer des tarifs intéressants car certaines compagnies aériennes offrent des réductions sur le billet de la mariée tandis que certains hôtels proposent des rabais sur le séjour. Mais l’essentiel de notre offre réside dans les prestations supplémentaires et les petites attentions tout au long du séjour. Par exemple, une chaîne hôtelière à l’île Maurice propose aux jeunes mariés un dîner romantique ou une excursion au coucher du soleil. Nous veillons en somme à ce que chaque détail soit parfait, afin de garantir une lune de miel inoubliable.
Interview Maévane Mas
Pour plus d’informations :
DEPART VOYAGES SA Place de l’Ancien-Port 1
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Brandreport • Huguenin
LUn pas en avant pour la santé des pieds
Souvent attribués à l’usure naturelle du corps, certains maux du quotidien peuvent en réalité trouver leur origine dans des problèmes de pieds.
Éclairage avec Nicolas Siegenthaler, responsable de l’entreprise Huguenin & Fils SA, spécialisée en solutions orthopédiques.
es problèmes de pieds peuvent survenir à tout âge, introduit notre interlocuteur. Ils affectent aussi bien les jeunes que les personnes plus âgées. Cependant, poursuit-il, on observe une augmentation notable de ces problèmes passé la cinquantaine. À cet âge, en effet, après avoir subi des décennies de sollicitations, cette structure anatomique peut commencer à manifester des signes de fatigue. Cela se traduit, la plupart du temps, par une sensation d’inconfort ou des douleurs au niveau du pied, avec de possibles répercussions ailleurs dans le corps, par exemple au genou, à la hanche, au dos, à la nuque. Ces problèmes sont souvent le résultat d’un désalignement postural, d’une mauvaise répartition du poids ou encore, d’un phénomène de compensation, pour ne citer que ceux-ci.
Arrive-t-on toujours à déterminer la cause des problèmes ?
« Les chaussures inadéquates sont souvent pointées du doigt, mais elles ne sont de loin pas les seuls responsables à incriminer. De multiples facteurs peuvent être à l’origine d’un dysfonctionnement ou d’une pathologie orthopédique du pied. Si la cause est identifiée et qu’il n’est pas trop tard pour l’évincer, la solution s’impose comme une évidence ; il suffit de faire autrement et tout rentre dans l’ordre. Très souvent cependant, l’origine du problème n’a pas pu être identifiée, ou alors, il est déjà trop tard pour agir directement sur elle ».
Soulagement au rendez-vous
Dans ce cas, souligne le spécialiste, le port de semelles orthopédiques peut être une solution à préconiser en vue de réduire l’inconfort ou les douleurs, voire les faire disparaître complètement, tout en gardant à l’esprit qu’il ne s’agit pas d’un remède miracle, mais plutôt d’une correction et d’un soutien à l’instar du port de lunettes quand la presbytie commence à s’installer lorsque l’on avance en âge. La semelle orthopédique est un outil qui permet, en outre, d’éviter les attitudes de compensation délétères que les personnes adoptent mécaniquement.
Quels sont spécifiquement les problèmes du pied liés à l’âge ?
« Principalement l’affaissement de la voûte plantaire transverse. Ce tassement est dû à l’usure naturelle du pied. La personne ressent généralement une sensation d’échauffement et de douleur sur l’avantpied, encore appelée métatarsalgie. Il y a aussi l’hallux valgus ; une déviation progressive et relativement fréquente de l’articulation du gros orteil. La plupart de nos clients seniors font appel à nos services pour ce genre de problèmes. Nous leur proposons alors diverses solutions orthopédiques, dont les semelles et des conseils en matière de chaussures ».
En quelles matières les semelles sont-elles fabriquées ?
« De nombreux matériaux peuvent entrer dans la composition de supports plantaires. Il serait trop long de les énumérer de manière exhaustive. Ce qu’il faut retenir surtout, ce sont les progrès qui ont été réalisés sur le plan de la finesse, du maintien, du confort, de la discrétion, du style, et donc, de la qualité en général ».
Un service sur-mesure
« Nos semelles orthopédiques, poursuit Nicolas Siegenthaler, répondent aux besoins et aux attentes du client ; l’objectif étant de lui proposer la plus adaptée, sans compromis. Que ce soit pour des chaussures de sports, de ville ou pour le ski, nous confectionnons un produit qui va le satisfaire à tous égards, notamment en ce qui concerne la souplesse et la finesse. Elles sont généralement faciles à chausser et se font rapidement oublier. Les retours d’expérience des clients et les avis de leurs médecins valorisent notre travail ». Quel est le prix d’une semelle ?
« Il dépend de différents paramètres. Pour notre part, nous fonctionnons sur la base d’un devis. La première consultation, d’une durée de 30 minutes, est gratuite et sans engagement. Elle permet de faire le tour du sujet et de déterminer ce que l’on peut proposer au client ».
Les semelles orthopédiques sont-elles prises en charge par l’Assurance maladie ?
« Une part importante de notre clientèle se présente
avec une ordonnance médicale. Le remboursement ou non dépend du type de couverture et des éventuelles options complémentaires que le client aura contractées. À ce titre, il peut s’avérer judicieux de se renseigner en amont auprès de son assureur ».
Marcher pieds nus peut-il aider à prévenir les problèmes ?
« Le pied est une merveilleuse structure anatomique qui s’adapte à bien des environnements ; l’important étant de ne pas lui faire violence en le forçant à marcher sur telle ou telle surface parce que l’on a entendu ou lu quelque part que cela était bien. Il faut y trouver du plaisir, que ce soit sur le sable, les galets, la pelouse ou tout simplement chez soi, sur le carrelage ou le parquet. Dès lors, ça sera bénéfique ».
Le bon timing !
Tout comme l’on se rend chez le dentiste ou l’opticien pour un contrôle des dents ou des yeux, la démarche peut s’avérer tout aussi pertinente pour les pieds, nous fait comprendre Nicolas Siegenthaler. Et de conclure qu’au moindre doute, ou tout simplement pour un check-up, une visite chez le technicien orthopédiste permet de détecter bien souvent les problèmes de manière précoce et ainsi, mettre en œuvre ce qui est nécessaire pour que la marche, la course ou le ski reste un plaisir.
Texte Emmanuel Viaccoz
« Faire un contrat de prévoyance funéraire m’a apaisée »
Préparer sa mort pour être plus tranquille, c’est ce qu’a fait Catherine Vernain-Perriot en souscrivant un contrat de prévoyance funéraire auprès d’Azur Prévoyance Funéraire SA et des Pompes Funèbres Générales de Genève. Dans cette interview, la Genevoise, maman de trois enfants et grand-mère de huit petits-enfants, nous donne plus de détails sur ces contrats et les raisons qui l’ont poussée à sauter le pas.
Catherine Vernain-Perriot, pourquoi avez-vous souscrit à un contrat de prévoyance funéraire ?
Ne pas laisser la charge de l’enterrement à ses enfants est le dernier cadeau qu’on puisse leur faire. J’ai enterré beaucoup de monde dans ma famille et les moments de préparation sont assez durs. Cela ne veut pas dire que je suis pressée, pas du tout même ( rires ).
J’ai toujours entendu parler des contrats de prévoyance. Il y a de la publicité à la télévision et on a accès à des prospectus aux pompes funèbres générales à Carouge. Cela fait longtemps que je veux y souscrire, mais je ne trouvais jamais le temps. Un jour, je me promenais et je suis passée devant les Pompes Funèbres Générales de Carouge. Je suis entrée pour prendre rendez-vous et Madame Bedoian m’a prise tout de suite en entretien.
On a passé un bel après-midi ensemble, on a bien rigolé (rires). Après tout, parler de la mort ne fait pas mourir. Au contraire, la mort fait partie de la vie.
Quels sont les détails spécifiques du contrat de prévoyance funéraire proposé ?
On nous demande où est-ce qu’on veut reposer, si l’on veut une cérémonie religieuse, si l’on veut être incinéré ou enterré, quel cercueil on souhaite, si l’on prévoit des fleurs etc. Finalement, il s’agit de tout ce que l’on peut décider pour un enterrement en temps normal. On nous demande également si l’on veut un avis mortuaire. Pour ma part, je souhaite me faire incinérer, sans tombe ni plaque commémorative car je n’ai pas le culte du corps quand il est mort. Ces choix sont très personnels.
J’avais des idées très précises sur ce que je souhaitais. J’ai dû enterrer mon mari il y a 13 ans maintenant. J’ai également enterré mon père, ma mère et mes beaux-parents. Les enterrements, j’ai fait ! Je sais comment cela se passe.
J’ai ressenti beaucoup plus de chaleur quand j’ai été aux pompes funèbres pour préparer mon enterrement plutôt que ceux de ma famille. J’ai trouvé que c’était beaucoup plus agréable car il n’y a pas cette urgence et ce chagrin.
Le fait que je sois très au clair dans ma tête avec ce que je veux a aussi aidé.
Dans le cas d’une cérémonie, est-on libre de choisir son déroulement ?
Les contrats sont assez détaillés. On peut choisir les textes, les chants etc. On a un petit livre qui
Prévoir et payer un enterrement peut être une charge pour la famille, tant financière qu’émotionnelle.
nous accompagne et dans lequel on peut écrire nos souhaits. Toutes les options sont possibles, comme lorsqu’on va aux pompes funèbres pour préparer l’enterrement de quelqu’un d’autre.
Dans mon cas, j’ai décidé de laisser choisir mes enfants. Dans les cérémonies catholiques, pour avoir un prêtre, il faut parfois attendre une semaine. Je refuse totalement cette hypothèse car, pour moi, du moment où l’on est mort, il faut que ça aille vite. Il s’agit en effet de moments pénibles. J’ai donc fait le choix de recourir à une personne civile qui fera le cheminement à l’église.
Y a-t-il des options ou des services supplémentaires disponibles en dehors de ce qui est spécifié dans le contrat de base ?
On peut commander des fleurs, des urnes très belles, le cercueil etc. Finalement, tout ce qu’on
veut ! Les pompes funèbres sont très à l’écoute de ce que l’on demande et savent s’adapter.
On reçoit un contrat fait par Azur Prévoyance Funéraire, une petite carte à mettre dans son sac ainsi qu’un livret qui récapitule nos souhaits qui sont très détaillés. Je peux y indiquer le type de cérémonie que je veux, les chants, où est déposé mon testament, quels éléments je souhaite dans ma biographie, ce que je souhaite que mes enfants disent, qui informer en cas de décès, etc.
On retrouve aussi des informations concernant des questions juridiques, financières ou encore immobilières.
Qu’en est-il des coûts liés à cette démarche ?
On peut tout payer à l’avance et c’est lorsque la
J’ai ressenti beaucoup plus de chaleur quand j’ai été aux pompes funèbres pour préparer mon enterrement plutôt que ceux de ma famille.
totalité est payée que le contrat prend acte. Les frais de l’entreprise de pompes funèbres sont fixes. On peut aussi payer en plusieurs fois selon nos possibilités. Ce qui peut varier légèrement, ce sont les frais liés aux entreprises extérieures comme les fleuristes, les journaux, etc. pour lesquels nous faisons des provisions, ou en encore les taxes de la Ville de Genève pour l’incinération, les frais du centre funéraire de Saint-Georges, etc. Mes enfants auront peut-être quelque chose à verser, mais ce sera minime par rapport à la facture totale qu’ils auraient dû payer.
Vos choix ont-ils été difficiles à faire ?
Absolument pas ! Mes idées étaient extrêmement claires. C’est remplir les papiers qui était le plus long.
Comment vos enfants ont-ils réagi ?
On en parle déjà depuis plusieurs années. Je fais partie d’Exit, l’association pour le droit de mourir dans la dignité, et, pour eux, cela a été beaucoup plus difficile à accepter. Une de mes filles m’a dit qu’elle trouvait cela bien, l’autre aurait voulu m’accompagner – sauf que je voulais le faire toute seule – et mon fils a rigolé en me disant qu’au moins, ils étaient tranquilles.
Il n’y a pas d’animosité dans ma famille par rapport à la prévoyance.
Peut-on rencontrer des obstacles lorsqu’on se lance dans cette démarche ?
Non, pas du tout, surtout si l’on est en accord avec ce que l’on souhaite. Les seuls obstacles peuvent venir de la famille, mais celle-ci est libre d’apporter de petites modifications (fleurs, journal, etc. …). C’est pourquoi un contrat de prévoyance ne met personne dans l’embarras.
Quelle est la procédure à suivre en cas de décès pour activer ce contrat ? Y a-t-il des démarches spécifiques que la famille doit entreprendre ?
La famille doit téléphoner aux pompes funèbres, comme cela se passe dans les procédures en général. Puis, tout roule comme sur des roulettes. Il y a tout de même des papiers à apporter, des vêtements à emmener etc. Recommanderiez-vous ce service ? Oui, car on a la tête tranquille. Faire un contrat de prévoyance funéraire m’a apaisée car je sais que tout est fait. Prévoir et payer un enterrement peut être une charge pour la famille, tant financière qu’émotionnelle.
Interview Léa StockyFrais de dossier offerts sur présentation de cette publicité.
• Marie-Thérèse Porchet / Joseph Gorgoni
Marie-Thérèse Porchet / Joseph Gorgoni
« L’humour m’a sauvé »
Les cheveux en brushing, le tailleur ajusté et des piques bien lancées, Marie-Thérèse Porchet, née Bertholet, n’a pas la langue dans sa poche. Joseph Gorgoni fait vivre avec humour ce personnage haut en couleur depuis plus de trois décennies. Aujourd’hui, il est aussi à l’affiche de son spectacle TransPlanté, dans lequel il revient sur sa maladie, le tout sans artifice.
Interview Léa Stocky Image © Nathan HausermannDans cette interview, l’humoriste nous parle de son parcours aussi drôle que détonnant et jalonné de beaucoup d’émotions et d’affection.
Joseph Gorgoni, quels sont les trois adjectifs qui vous décrivent le mieux ?
Je dirais créatif, drôle et attentionné. J’aime beaucoup écouter les gens.
Et ceux qui décrivent le mieux
Marie-Thérèse Porchet ?
C’est tout le contraire ! Marie-Thérèse est coincée dans ses certitudes. Elle est un peu réactionnaire et est persuadée d’être formidable. En quelques mots, elle est une adorable teigne ! Elle est aussi drôle, mais malgré elle.
Comment avez-vous créé le personnage de Marie-Thérèse Porchet ?
Ce personnage existe depuis plus de 30 ans. J’ai commencé ma carrière en tant que danseur et je faisais toujours rire mes copains danseurs et danseuses entre les répétitions. Je m’amusais aussi à imiter ma cheffe de bureau ainsi que ma grandmère en prenant une voix féminine. L’écrivain et metteur en scène Pierre Naftule, voyant que cela pouvait plaire, a créé pour moi le personnage de Marie-Thérèse en 1993. À l’époque, le 111, qui était les renseignements téléphoniques, passait à deux francs la minute. J’ai fait un sketch à ce sujet dans La Revue genevoise , incarnant une cheffe téléphoniste. Le succès a été immédiat même si au début, je n’avais qu’une perruque et un peu de rouge à lèvre. La télévision m’a repéré, et tout a été très rapide. J’ai toujours été observateur : depuis tout petit, j’aime reproduire les mimiques des gens. Je ne voyais pas cela comme de l’imitation, mais comme un moyen de rigoler et de faire rire. Comment vous vient l’idée des histoires qui entourent ce personnage ?
Au départ, il s’agissait juste d’une « madame tout le monde » qui donnait son avis à la télévision dans l’émission Ça colle et c’est piquant . Le succès a été tel que les gens se sont tout de suite appropriés Marie-Thérèse. Le personnage étant un petit peu méchant, il est aussi très amusant à jouer. Pour le premier spectacle, nous avons imaginé que le fils de Marie-Thérèse est homosexuel, ce qui est vraiment quelque chose d’affreux pour elle. Nous avons donc développé des scènes à partir de cette idée et l’inspiration est venue toute seule. Finalement, je ne crée pas des sketchs, mais des histoires. Dans le spectacle d’après, Marie-Thérèse tombe amoureuse d’un Suisse allemand, ce qui représente encore une fois pour elle un gros problème car elle ne les aime pas du tout. Elle en est même arrivée à tomber dans les griffes d’une secte ! C’est drôle de l’imaginer dans toutes les situations dramatiques où elle se retrouve. Si au début elle condamne, elle finit toujours par condamner en retour ceux qui pensaient comme elle, et je pense que c’est aussi pour cela que son personnage fonctionne. Qui sont vos sources d’inspiration ?
J’ai des modèles d’humour avec lesquels j’ai grandi tels que Louis de Funès, Jacqueline Maillan, Muriel Robin, Bourvil etc. Mes sources d’inspiration sont surtout les gens en général et ce que j’entends dans la rue. Si on est un peu observateur, tout prête à rire.
Y a-t-il un peu de vous dans Marie-Thérèse Porchet ?
J’aimerais penser que non. Forcément, étant donné que j’écris les scènes et que je les joue, il y a sans doute un peu de moi. Toutefois, toutes les pensées de Marie-Thérèse sont très éloignées de ce que je pense, et heureusement sinon ce serait vraiment terrible (rires).
Vous jouez un nouveau spectacle avec Marie-Thérèse, 30 ans ! (de carrière) Quels sont vos meilleurs souvenirs de ces 30 dernières années ?
Il y en a trop pour n’en donner qu’un. Ce personnage m’a emmené tellement loin ! J’ai fait quatre tournées avec le cirque Knie, je suis allé à l’Olympia, j’ai joué pendant des mois à Paris etc. À choisir, je dirais les débuts, car nous ne savions pas ce qui allait se passer. La première du premier spectacle a été folle !
Y a-t-il des différences entre le public suisse et le public français ?
La réception du personnage est la même. Je dirais que le public français réagit peut-être un peu plus vite. Là
où le public est différent, c’est en Suisse alémanique car on ne rit pas forcément des mêmes choses. J’y avais joué un nouveau spectacle exprès en allemand. Toutefois, Marie-Thérèse fonctionne bien des deux côtés.
Comment faites-vous pour que MarieThérèse, même 30 ans après ses débuts, n’ait pas pris une ride ?
Si vous regardez bien, j’ai quelques rides en plus ! (rires) Peut-être est-ce dû au fait que le personnage n’ait jamais été à la mode. Il est vrai que cela représente beaucoup de travail, mais je n’ai pas vraiment de réponse à cette question. Il faudrait demander aux gens. C’est un peu magique. Comme cela fait 30 ans et que les gens savent que j’ai été malade, il y a un truc qui se passe quand je monte sur scène, comme si les gens se disaient : « ah ben tiens, il est encore debout ! ». Finalement, le temps fait le succès et entraîne une sorte de regain d’affection.
Comment faites-vous pour garder l’inspiration et la passion après toutes ces années ?
C’est l’envie de continuer de faire rire, de faire plaisir aux gens et de m’amuser. Ces 30 années sont passées tellement vite ! Quand on a la chance d’avoir le succès que j’ai eu, ça nous porte.
Marie-Thérèse a-t-elle encore beaucoup à nous raconter ?
Tant que j’aurais envie de le faire et que les gens
auront envie de l’écouter, oui ! On peut encore l’imaginer dans plein de situations. Je suis suffisamment bien entouré, notamment avec une équipe plus jeune, pour savoir ce que je ne pourrai plus faire par exemple. L’humour change beaucoup et se démode très vite. Chez Marie-Thérèse, il y a quelque chose qui tient, je ne pourrais pas vous dire pourquoi.
Pouvez-vous nous parler de votre spectacle TransPlanté, co-écrit avec Sébastien Corthésy?
En 2020, j’ai subi une double transplantation pulmonaire à la suite d’une fibrose. Je toussais beaucoup et suis donc allé faire des tests, suite auxquels j’ai appris la nouvelle de la nécessité d’une greffe. Cela a été un choc violent. La greffe s’est bien passée mais, une fois chez moi, j’ai attrapé le virus de la Covid-19. Mes nouveaux poumons ont été très abîmés. J’ai été intubé et placé 42 jours dans le coma. Quand j’en suis sorti, j’ai cru que j’allais mourir. On m’avait également découvert un mucor, un champignon mortel qui ne touche que les immunodéprimés. Cela a été à nouveau six mois de traitement d’une violence inouïe.
C’était une période difficile, mais l’humour m’a sauvé. Quand j’étais à l’hôpital et que j’ai compris que j’allais m’en sortir, j’ai commencé à me regarder de nouveau un peu d’en-haut et à me dire qu’il fallait que je raconte cette histoire tellement incroyable. Je n’avais pas envie de quelque chose de sinistre et j’ai écrit ce
spectacle tout seul. Pendant des semaines, j’ai essayé de me souvenir de ce que j’avais pu observer car mon état ne me permettait pas de prendre de notes. Aujourd’hui, je suis là, même si c’est très mystérieux et que je ne comprends pas comment c’est possible. Je sais que j’ai beaucoup de chance. Je suis certes un peu plus fragile et je dois donc faire plus attention. Les gens sont tout de même assez compréhensifs, et j’ai l’impression que l’affection pour moi et mon personnage est encore plus forte qu’avant. Il y a forcément de l’émotion mais il s’agit d’un spectacle drôle et les gens rient beaucoup. J’en suis très content.
Vous y jouez vous-même, Joseph Gorgoni, comme dans votre précédent spectacle de A à Zouc. Qu’est-ce qui change dans la préparation ?
Marie-Thérèse, je la joue. Quand c’est moi, j’essaie d’être le plus naturel possible car toutes les choses que je raconte sont vraies. Pour A à Zouc, je me suis retrouvée à nu après avoir joué Marie-Thérèse pendant plus de 20 ans, ce qui n’était pas un exercice facile. J’ai cependant réussi à me déstresser et à faire en sorte d’être sur scène comme chez moi en train de raconter une histoire à une bande de copains, et les gens le ressentent. Au départ, j’étais inquiet qu’on me trouve ridicule. J’ai arrêté le spectacle A à Zouc assez vite car au bout d’un moment, je me voyais jouer et je commençais à avoir des tics comme avec Marie-Thérèse. Ça ne me plaisait pas du tout. Le jour où je commencerai à jouer TransPlanté de manière machinale, je l’arrêterai également.
Comment jonglez-vous d’un personnage à l’autre ?
Les histoires sont tellement différentes que ce n’est pas difficile pour moi. Physiquement, le spectacle TransPlanté me coûte beaucoup moins à jouer car je ne modifie pas ma voix par exemple. Ce n’est pas la même énergie.
Marie-Thérèse, je la joue. Quand c’est moi, j’essaie d’être le plus naturel possible car toutes les choses que je raconte sont vraies. Dernières représentations de TransPlanté au Casino théâtre de Genève les 28, 29 et 30 juin. Dernières représentations des 30 ans ! (de carrière) de Marie-Thérèse Porchet les 4 et 5 septembre au Métropole à Lausanne.
Qipao • Brandreport
Au-delà de la beauté, un lieu de bien-être moderne et accessible
Spécialiste de la beauté généraliste, la marque Qipao s’engage à offrir des soins d’excellence tout en soutenant le développement de ses esthéticiennes et en formant la nouvelle génération d’apprentis.
En choisissant les instituts Qipao, les clientes font plus que se faire belle : elles choisissent la qualité au meilleur prix tout en soutenant une entreprise qui prend soin de ses employés avec une logique de ressources humaines professionnelle et remarquable.
Un modèle qualitatif et responsable
Le concept de la maison de beauté généraliste Qipao repose sur une approche unique et accessible. Dans un environnement soigné et professionnel, la marque propose des prestations haut de gamme à des prix accessibles, tout en assurant un encadrement rigoureux et exemplaire de son personnel. Chaque collaborateur est formé et diplômé, reflétant ainsi le professionnalisme de Qipao.
Aujourd’hui, quatre établissements Qipao ont vu le jour en Suisse romande, dont deux à Genève, un à Yverdon et un à Vevey. Ces instituts accueillent une clientèle attirée par l’excellence des services proposés, disponibles sans abonnement, avec ou sans rendez-vous. La proximité étant au cœur du développement de Qipao, cette dernière cherche à s’implanter au cœur des espaces de vie pour offrir un lieu où les clientes peuvent se sentir « comme chez elles ». Les instituts sont gérés par des équipes de deux à six esthéticiennes, renforçant ainsi le caractère intimiste et personnalisé de l’accueil. De la beauté et du bien-être pour tous Qipao s’affirme comme une enseigne de beauté multigénérationnelle, offrant une gamme de soins allant de la mise en beauté classique à des traitements de bienêtre novateurs. Dans un environnement confortable et professionnel, la marque propose une expérience complète qui inclut l’épilation et l’onglerie, mais aussi les soins du visage et du corps. La marque présente également une carte complète de services dédiés aux hommes, de l’épilation jusqu’aux massages relaxants.
En plus de ces diverses prestations, Qipao propose un programme d’endermologie LPG qui fournit une
technique de soins révolutionnaire et non invasive. Cette méthode utilise une stimulation mécanique qui revitalise la peau par la relance de la production naturelle de collagène, d’élastine et d’acide hyaluronique, ce qui permet de combattre efficacement les imperfections cutanées telles que les rides, la peau relâchée, le manque d’éclat, ainsi que d’autres éléments esthétiques tels que la cellulite. L’endermologie LPG est donc efficace tant dans les programmes minceur que pour les soins cutanés et offre une prise en charge complète qui répond à tous les besoins de la peau.
La marque s’associe en outre avec des leaders de l’industrie cosmétique tels que Perron Rigot pour la cire d’épilation et collabore avec 1944, une marque vegan en plein essor, pour des vernis à ongles faits de pigments de haute qualité. Ces collaborations garantissent ainsi des soins de première classe à une clientèle variée, de tous âges et de toutes préférences.
Des produits hautement qualitatifs
Qipao ne se limite pas à offrir des services en institut ; la marque s’investit également dans la création de ses propres produits de beauté. Fabriqués en Suisse et en France, ces produits sont disponibles exclusivement dans les instituts Qipao, assurant une qualité supérieure et une traçabilité totale. Ces formulations naturelles sont proposées à des prix doux, permettant ainsi l’accès à des soins de pointe pour tous les budgets.
Une oasis vertueuse pour les professionnels
La maison de beauté offre un accompagnement sur mesure aux professionnels désirant ouvrir leur propre institut. En tant que licence de marque, Qipao collabore étroitement avec ses fournisseurs pour réduire les coûts d’ouverture, rendant l’entrepreneuriat plus accessible même dans le contexte économique suisse, où le financement peut être un défi. Pour les entrepreneurs au seuil de développement, rejoindre le réseau
Qipao signifie bénéficier d’un support marketing robuste et d’une position de marché forte, tout en profitant d’une forte solidarité au sein du réseau Qipao.
La maison de beauté s’engage finalement à recruter des professionnels formés et diplômés, tout en respectant scrupuleusement la convention collective des métiers de l’esthétique, notamment en termes d’heures de travail, de salaire minimum, de congés, et de conditions de travail, sans aucun compromis sur ces aspects cruciaux. Qipao est en outre reconnue pour son engagement exceptionnel envers la formation professionnelle et est un exemple brillant dans l’industrie où nombreux sont celles qui, ayant débuté en tant qu’apprenties, dirigent aujourd’hui leurs instituts.
Vers un expansion nationale
Si aujourd’hui la maison de beauté Qipao ne se trouve qu’en Suisse romande, la marque prévoit de s’étendre dans les diverses régions de Suisse d’ici quelques années, notamment dans la partie alémanique. D’ici là, plusieurs nouveaux instituts sont également prévus dans la région francophone, élargissant ainsi l’accès à des services de beauté qualitatifs et à prix abordables.
Texte Maévane Mas
Plus d’informations : qipao.ch
Retrouver mobilité et bien-être grâce aux bains
Les bains et thermes sont depuis longtemps reconnus pour leurs bienfaits sur la santé et le bien-être. Pour les personnes en processus de réhabilitation, ces établissements offrent un environnement propice à la récupération, à la réduction de la douleur et à l’amélioration de la qualité de vie.
Jorge Da Roxa, Directeur des Bains de Cressy, nous éclaire sur l’importance de ces établissements dans le processus de réhabilitation. Le centre de santé et de balnéothérapie des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), initialement créé en 2001 par la Fondation Foyer Handicap, s’est donné pour mission de rendre ses installations accessibles aux personnes à mobilité réduite. Recourir à des séances de physiothérapie dans l’eau au sein des bains permet en effet d’effectuer des mouvements facilités et moins douloureux
Jorge Da Roxa, quels sont les principaux bienfaits des bains pour les personnes âgées en rééducation ou en processus de réhabilitation ?
Les bienfaits sont nombreux et sont procurés grâce à l’eau chaude maintenue à une température de 34 degrés dans les installations, aux buses de massages thérapeutiques, ainsi qu’à l’effet d’apesanteur du corps. Cette combinaison permet un soulagement
efficace des rhumatismes, de l’arthrose et favorise la récupération de la mobilité. De plus, la balnéothérapie active la circulation sanguine, favorise le relâchement des muscles et des tendons, tout en jouant un rôle bénéfique sur le psychisme. Enfin, elle contribue à drainer les toxines et à oxygéner les muscles, participant ainsi activement au processus de réhabilitation des personnes âgées.
Quels sont les critères à prendre en compte pour choisir un établissement de bains ou thermes adapté ?
Il est essentiel de disposer d’installations adaptées pour faciliter les transferts des personnes en chaise roulante. Aux Bains de Cressy, par exemple, nous avons aménagé un vestiaire doté de cabines spacieuses, permettant à l’accompagnant de la personne à mobilité réduite de partager la même cabine pour l’habiller et la déshabiller. Au bord du bassin, un élévateur spécialement conçu permet de récupérer les chaises roulantes et les lits de transfert, facilitant ainsi l’accès à l’eau pour les personnes à mobilité réduite. De plus, nos cabines de vestiaires et de douches sont également suffisamment larges pour permettre à l’accompagnant de changer et doucher la personne en toute commodité.
Il y a-t-il des contre-indications ou des précautions particulières pour les personnes âgées utilisant les bains et thermes ?
Passer deux heures dans un sauna ou un hammam, que l’on soit âgé ou non, n’est
généralement pas recommandé. En tant que responsable des Bains de Cressy, je ne suis pas médecin et je ne peux donc pas donner de contre-indications spécifiques. Il est essentiel de consulter son médecin, qui sera mieux à même de prodiguer des conseils adaptés. Sur les douze années pendant lesquelles j’ai dirigé Cressy, je n’ai jamais été confronté à un incident lié à des contre-indications médicales.
À quelle fréquence est-il recommandé d’aller aux bains ?
Certaines personnes viennent tous les jours et elles se portent très bien (rires). Elles sont en pleine santé et ont une belle mobilité. Lors du confinement dû à la pandémie de la Covid-19, nous avons dû fermer nos portes, et ces mêmes personnes ont soudainement commencé à ressentir des douleurs.
Quels sont les résultats les plus souvent observés après une période de rééducation dans les bains et thermes ?
Grâce à l’apesanteur dans l’eau, la rééducation se déroule en douceur, rendant les mouvements plus faciles à effectuer. Bien que les maladies ne disparaissent pas grâce aux bains, ces derniers permettent d’atténuer la douleur. En résumé, les bains contribuent à dégager les voies respiratoires, à soigner la musculature et à activer la circulation sanguine.
Quels sont les équipements et installations essentiels pour la sécurité et le
confort des personnes en rééducation dans un séjour dans les bains ?
Il est essentiel de disposer d’équipements nécessaires pour les transferts, ainsi que de barrières le long des bassins. Une hauteur de l’eau limitée à 1m40 garantit la sécurité des utilisateurs, de même que des alarmes installées dans tous les vestiaires, les toilettes et les douches. De plus, la présence de gardiens de bains renforce cette sécurité et le bien-être de tous.
De quoi êtes-vous le plus fier dans votre carrière ?
Je suis heureux de travailler dans une institution où ce qui importe avant tout, c’est l’être humain, quelle que soit son origine, ses caractéristiques, ses complexes ou ses handicaps. J’apprécie de voir ce bassin et d’observer toutes les têtes qui dépassent hors de l’eau, où toutes les catégories de la population se mélangent dans un climat de bien-être et d’harmonie. Au-delà des personnes âgées, les bains sont en effet un lieu où tous les publics sont accueillis : des mamans avec leurs bébés, des sportifs d’élite, des personnes en rééducation, des personnes en situation d’handicap et à certains horaires des adultes, des enfants et familles sans distinctions.
Interview Océane IlungaRetrouver une énergie débordante grâce à des mitochondries en bonne santé
Lorsque les mitochondries reçoivent les nutriments nécessaires pour se développer et se renouveler, elles permettent à nos cellules d’effectuer leurs rôles de manière optimale.
Ludovic Guggenheim Propriétaire de la société Univers SantéLudovic Guggenheim, propriétaire de la société Univers Santé, explique comment favoriser une activité mitochondriale optimale.
Ludovic Guggenheim, qu’est-ce que Univers Santé ?
Univers Santé est une entreprise spécialisée dans l’importation et la distribution exclusive de produits sur le marché suisse, notamment dans les domaines médical et esthétique. La société propose une gamme variée d’appareils innovants, tels que des dispositifs à plasma et des systèmes de luminothérapie LED. Nous avons également des produits qui s’intéressent aux bienêtre intérieur comme notre gamme de suppléments alimentaires RGNR conçus pour optimiser l’efficacité des mitochondries et ainsi favoriser la santé globale.
Qu’est-ce qu’une mitochondrie ?
La mitochondrie joue un rôle crucial dans notre corps en produisant l’énergie nécessaire au bon fonctionnement des cellules. Cette énergie, sous forme d’ATP (adénosine triphosphate), est indispensable pour nourrir et maintenir en activité nos organes, nos tissus et nos systèmes biologiques. Les mitochondries sont en somme les véritables centrales énergétiques de notre organisme, assurant le bon fonctionnement de l’ensemble de nos processus vitaux.
Pourquoi est-il important d’avoir une bonne activité mitochondriale ?
L’énergie produite par les mitochondries est stockée sous forme d’ATP et est essentielle au bon fonctionnement de nos organes. En cas de production insuffisante d’ATP, le cerveau, en tant que priorité énergétique, prendra sa part nécessaire au détriment des autres organes. Cette situation peut ouvrir la voie à des maladies dégénératives comme la maladie d’Alzheimer et le diabète de type 2, qui surviennent lorsque le corps ne parvient pas à fournir l’énergie nécessaire pour les contrer.
Comment favoriser une activité mitochondriale optimale ?
Pour fonctionner de manière maximale, les mitochondries ont besoin d’air, d’eau et de nutriments. Concernant ces derniers, Univers Santé est en train de lancer sur le marché suisse une gamme innovante de compléments alimentaires nommés RGNR qui consiste en un programme de cures. La cure d’attaque dure douze semaines et est suivie de deux cures de huit semaines chaque année. La cure inclut une refonte complète du microbiote pour assurer une absorption optimale des nutriments par les mitochondries. Des apports en oméga-3 et en vitamine D3, essentiels pour la santé mitochondriale, sont ensuite introduits au traitement. Le programme inclut finalement le mitoboost, un supplément conçu pour revitaliser les mitochondries grâce à ses nutriments spécifiques. Le mitoelixir, quant à lui, joue un rôle clé en éliminant les mitochondries dysfonctionnelles, un processus essentiel pour éliminer les radicaux libres générés par le stress, l’angoisse et les activités sportives intensives. Il faut compter un mois, voire six semaines pour ressentir les effets positifs de la cure. Il s’agit d’une médication douce, les bienfaits ne se font donc pas sentir dès la première prise. Mais rapidement, les petites maladies disparaissent car le corps est mieux préparé à combattre les infections.
Qui devrait suivre ce traitement ?
Au vu des bienfaits qu’il procure, tout le monde devrait suivre ce programme ! Avec l’âge, le renouvellement cellulaire ralentit considérablement. À 50 ans, 40 % du renouvellement cellulaire ne se fait plus. C’est pourquoi il est crucial, pour tous, mais surtout pour les personnes de plus de 50 ans, de suivre cette cure. Les personnes stressées, angoissées ou les sportifs de haut niveau qui produisent un grand nombre de radicaux libres devraient également profiter des nombreux bienfaits de ce produit.
Vous expliquiez que les mitochondries ont aussi besoin d’eau et d’air pour être en bonne santé, comment agissez-vous à ces niveaux ?
L’eau que nous consommons quotidiennement est loin d’être parfaitement pure. Elle contient de nombreux éléments indésirables que notre corps ne parvient pas à neutraliser entièrement. Ces particules indésirables sont donc absorbées par les cellules. Le purificateur d’eau Hydro que propose Univers Santé filtre ces éléments nocifs et permet aux cellules de s’hydrater avec une eau réellement propre et bénéfique pour le corps. Concernant l’air de nos appartements, il est souvent pollué en raison du manque
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de renouvellement. En moyenne, l’air intérieur contient environ 500 anions par centimètre cube, insuffisants pour une respiration optimale. Les appareils Biow changent la donne en générant jusqu’à 200 000 anions par centimètre cube, transformant l’air intérieur en un air aussi pur que celui des montagnes. Cet air revitalise les cellules tout au long de la nuit et améliore la qualité du sommeil.
Où trouver ces produits ?
Nous collaborons avec des prescripteurs qualifiés tels que des médecins, naturopathes, nutritionnistes, et autres professionnels de la santé. Notre ambition est de permettre aux patients d’accéder à nos produits par l’intermédiaire de prescripteurs compétents qui comprennent les bienfaits de ce produit et qui sont capables de les expliquer précisément aux patients. Tous nos prescripteurs reçoivent une formation approfondie basée sur les recherches de notre comité scientifique, garantissant ainsi une utilisation optimale pour les utilisateurs.
Le coût d’une cure complète de douze semaines est de 610 CHF, soit moins de 250 CHF par mois pour un bien-être stupéfiant. Les cures de suivi, d’une durée de huit semaines, sont proposées à 388 CHF chacune.
Vous souhaitez devenir prescripteur (médecin, nutritionniste, naturo, etc) ? Appelez-nous au 0848 60 2060
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Vivre bien et longtemps : le rôle des micronutriments
En 2022 en Suisse, l’espérance de vie à la naissance était de 85,4 ans pour les femmes et de 81,6 ans pour les hommes. Si de façon globale les gens vivent plus longtemps, encore faut-il rester en bonne santé pour profiter de toutes ces années. Si l’âge apporte avec lui son lot de maladie et de problèmes de santé, une bonne hygiène de vie, une bonne alimentation et une pratique sportive permettent de réduire les risques et de se maintenir en forme, et ce à toutes les périodes de sa vie.
Le Dr Nathalie Beneroso est biologiste médicale en biologie fonctionnelle et nutritionnelle, experte en micronutrition et santé, spécialisée dans la biologie « anti-ageing ». Au sein du laboratoire Synlab, elle dirige le centre de biologie fonctionnelle et nutritionnelle de Paris et s’occupe de la formation des biologistes et des médecins dans ce domaine. Dans cette interview, elle nous explique en quoi consiste la médecine nutritionnelle et quels sont ses bienfaits sur le vieillissement.
Nathalie Beneroso, parle-t-on encore de vieillissement ?
Aujourd’hui, on parle davantage d’être acteur de son vieillissement plutôt que de le subir. Une nouvelle médecine, dite de la longévité, peut nous accompagner dans ce processus, car l’enjeu est de taille. Il ne s’agit plus de vivre le plus longtemps possible mais de rester « en forme » et d’entretenir le mieux possible son capital santé : le « well-ageing ».
Quelles sont les causes du vieillissement ?
Les causes sont multiples, de la glycation à l’inflam-
au cours du vieillissement cellulaire. On remarque que le mode de vie (alimentation, activité physique...) et la micronutrition peuvent aussi influencer les télomères.
Quels sont les troubles fonctionnels qui peuvent prendre de l’ampleur avec l’âge ?
Avec l’âge, on entre dans une phase de « sénescence » ou l’on observe une diminution progressive de nos capacités fonctionnelles ainsi qu’une dégradation de tous nos systèmes, qu’ils soient immunitaire, rénal, cardiaque, articulaire, intestinal ou cérébral. La cinquantaine est une période charnière de fragilisation (ménopause chez la femme) qui fait le lit à de nombreuses pathologies. Plusieurs marqueurs biologiques permettent d’explorer ces processus sous-jacents qui peuvent s’altérer selon notre mode vie.
En quoi ces problèmes de santé peuvent-ils être prévenus par la médecine nutritionnelle ?
Au-delà du mode de vie et de l’activité physique, on a besoin de micro-nutriments pour fonctionner au mieux. Comparons notre organisme à une voiture. Plus il y a de kilométrage, plus elle s’use et nécessite un entretien vigilant. Si l’on n’utilise pas la bonne huile, elle n’ira pas loin. Quand je questionne mes patients de 50 ans ou plus : « Dans votre voiture à essence, mettez-vous du diésel ? » « Sûrement pas » me disent-ils. Pourtant, c’est ce que l’on fait avec notre cerveau si l’on ne mange pas des acides gras Oméga 3 qui sont l’huile du cerveau. Il est possible d’en apporter quotidiennement dans son assiette, tout comme les vitamines et les minéraux essentiels.
En quoi consiste concrètement cette
Si l’on reprend l’exemple des acides gras oméga 3, ils favorisent un état de bonne santé, une bonne adaptation cardio-vasculaire, métabolique, immunitaire et cérébrale et agissent également sur le raccourcissement des télomères. Leur dosage est indispensable vu leur rôle majeur dans le vieillissement et dans de nombreuses pathologies liées à l’âge.
Existe-t-il donc des aliments ou des façons de manger à privilégier pour prévenir les risques de problèmes de santé liés à l’âge ?
On trouve des Oméga 3 dans les petits poissons gras comme la sardine, le flétan, le maquereau, ou encore dans l’huile de colza, de cameline ou de lin, dans le pourpier…
La surcharge en sucre à l’origine d’une glycation défavorable est une source majeure de vieillissement et d’addiction, c’est pourquoi il est conseillé de choisir des aliments à indice glycémique bas. On peut aussi compter sur le régime alimentaire de type méditerranéen connu pour réduire les fragilités liées à l’âge. On sait que les apports en fruits et en légumes (comme les caroténoïdes) aident à freiner la progression des fragilités et du déclin cognitif par action sur le microbiote, ces bactéries intestinales bénéfiques. On peut également mentionner le jeûne qui stimule la réparation et ralentit le vieillissement
Quels sont les signes à surveiller qui pourraient indiquer une malnutrition chez une personne de plus de 50 ans ? À 50 ans, il semble judicieux de repérer les dérives nutritionnelles comme la surcharge
Finalement, comment l’alimentation peut-elle influencer la qualité de vie et le bien-être global des seniors ?
Cinquante ans en Europe ou en Afrique ne correspond pas à la même durée de vie en bonne santé au vu des fluctuations alimentaires et climatiques. Cependant, observer les centenaires des « zones bleues » sur la planète nous donne des exemples de vieillissement réussi et donc du « bien vieillir ». Les habitants mangent de façon frugale (alimentation méditerranéenne), chacun reste actif et s’occupe physiquement (jardinage, etc.) en gardant de bonnes relations sociales (contribution dans la communauté). La recette du vieillissement réussi serait donc sans doute de diversifier son alimentation, de rééquilibrer ses micronutriments, de respecter ses rythmes et sa chronobiologie (sommeil et jeûne), de maintenir une activité physique régulière, de gérer son stress et ses pensées positives orientant son fonctionnement vers la réparation et le ralentissement de la croissance (slow ageing). Quelles sont les dernières recherches ou recommandations en matière de médecine nutritionnelle pour les personnes de plus de 50 ans ?
Il y a de nombreuses pistes comme celle du japonais Shinya Yamanaka, nobélisé en 2012 pour son travail sur les cellules souches, une reprogrammation cellulaire. Il ouvre la voie à des travaux montrant que le processus de vieillissement est un processus réversible. On peut ainsi se demander si vieillir est toujours une fatalité ou une maladie inévitable ?
Voici ce que nos clients disent de nous:
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LLes centres d’accueil temporaire : des lieux de rencontres et de liens sociaux
Avec une démographie vieillissante, la Suisse se trouve face à un défi majeur : permettre aux séniors de vivre dans de bonnes conditions à domicile le plus longtemps possible. Ces générations nécessitent des solutions innovantes et adaptées pour assurer leur bien-être et leur autonomie.
es centres d’accueil temporaires (CAT) se révèlent être une réponse précieuse à ce besoin croissant.
Cependant, ces structures restent relativement méconnues, et leur importance est souvent découverte tardivement, lorsque les situations de soutien aux proches deviennent urgentes et les ressources plus limitées. Fondés sur des valeurs de solidarité et de soutien, les CAT sont là pour aider nos aînés à conserver leur autonomie et leur qualité de vie. Découvrez comment ces lieux de vie apportent un accompagnement aux séniors grâce aux témoignages de professionnels engagés.
Les centre d’accueil temporaires : une réponse aux attentes des séniors et de leurs familles
Les CAT offrent des services essentiels aux personnes âgées fragilisées par la vieillesse, un handicap ou l’isolement. Ces centres permettent un maintien à domicile plus durable en proposant un accompagnement adapté et régulier. HévivA, fondée en 1959, est l’association professionnelle vaudoise des institutions médico-psycho-sociales. Elle soutient activement les CAT à travers ses 62 institutions membres. Ces dernières emploient près de 10 000 collaborateurs et offrent des prestations de maintien à domicile ou d’hébergement à un nombre équivalent de Vaudoises et Vaudois. Hélène Chenevey Antoine, cheffe de projet chez HévivA, explique que ces centres sont essentiels dans le réseau sanitaire-vaudois pour permettre aux séniors de conserver leur autonomie tout en bénéficiant d’un soutien adapté. Les missions des CAT : soutien et accompagnement personnalisé Les CAT permettent d’accueillir les bénéficiaires en journée, une ou plusieurs fois par semaine. Certains proposent également des horaires prolongés en soirée ou des accueils de nuit pour offrir un soutien supplémentaire aux proches aidants. Depuis leur transformation en 2012 d’unité d’accueil temporaire (UAT) en centres d’accueil temporaire (CAT), ces structures se sont professionnalisées avec des équipes alliant des compétences sociales et soignantes. Celles-ci accueillent des situations parfois complexes tout en s’adaptant aux besoins spécifiques de chaque bénéficiaire. Ces structures sont ouvertes sur le quartier pour permettre de maintenir un lien social et de conserver les acquis des bénéficiaires, ce qui est crucial pour leur bien-être. Les activités sont variées avec des animations, des repas en commun, des soins ambulatoires ou des soins de bien-être. Elles peuvent aussi se dérouler à l’extérieur, comme lors de visites ou d’activités sociales et culturelles. En prenant le relais des familles, les CAT leur permettent de maintenir une vie sociale et professionnelle tout en sachant que leurs proches sont bien accueillis et accompagnés. Hélène Chenevey Antoine souligne que les CAT s’adaptent à l’évolution des besoins de la population, avec par exemple des CAT appelés CAT mémoire pour les personnes ayant des problèmes cognitifs ou neurocognitifs, offrant des activités spécifiques.
La Fondation EMS La Venoge : un modèle de CAT intra-muros
La Fondation EMS La Venoge, fondée en 1991, gère deux sites d’hébergement et un centre d’accueil temporaire. Depuis 2020, son CAT dispose de locaux dédiés, permettant un fonctionnement
autonome tout en gardant des interactions régulières avec les résidents de l’EMS. Barbara Carneiro, responsable socioculturelle à la Fondation EMS
La Venoge, nous décrit le quotidien des bénéficiaires : « Nous assurons leur transport depuis leur domicile avec le bus institutionnel et des chauffeurs bénévoles. La journée commence dès 9h par un petit-déjeuner ou un café. Cet accueil favorise les interactions et permet un démarrage en douceur. Les activités proposées sont diversifiées et rythment les journées. Elles permettent la stimulation de la mémoire, le maintien des gestes du quotidien, la favorisation des échanges et la création du lien. En fin de matinée, les bénéficiaires s’organisent pour la mise en place des tables, puis profitent d’un repas dans une atmosphère conviviale et chaleureuse. Ce partage communautaire favorise le plaisir et l’appétence. Après le repas, certains font une sieste tandis que d’autres préfèrent lire ou discuter dans le salon. Un groupe de marcheurs se rassemble également pour une promenade digestive. L’après-midi se poursuit avec une nouvelle activité collective avant que chacun ne rentre chez soi à partir de 16h30. Notre équipe est composée de professionnels du socio-éducatif et infirmiers, présents 5 jours sur 7. Aux prestations socio-culturelles s’ajoutent des bains thérapeutiques et des actes de soins médico-délégués. Le CAT offre un cadre stimulant et participe pleinement, avec les partenaires du réseau, au maintien à domicile. »
Contact Site web : https://www.primeroche.ch/ Mail : info@primeroche.ch Numéro de tél. : 021 545 5555
Contact Site web : https://www.fondation-lavenoge.ch
Mail : cat@fondation-lavenoge.ch Numéro de tél. : 021 863 0331
La Fondation Primeroche : spécialisation en psychiatrie de l’âge avancé
La Fondation Primeroche, avec ses SAMS (structures d’accompagnement médico-social), se spécialise dans l’accompagnement des troubles cognitifs et psychiatriques des personnes âgées de plus de 65 ans. Marie Cuenod, directrice d’exploitation et de l’animation à la Fondation Primeroche, décrit une journée type incluant des repères temporels pour aider les bénéficiaires à maintenir leurs acquis et leur autonomie. « Ce qui est crucial en psychiatrie de l’âge avancé, c’est d’avoir des repères temporels. Nos journées ne sont pas gravées dans le marbre, mais sont adaptées aux besoins de chaque personne », précise Marie Cuenod. Une journée type commence par le petit-déjeuner, suivi par des tournées de bus pour aller chercher les bénéficiaires à leur domicile. Le repas de midi est un moment convivial, souvent suivi d’un repos en début d’après-midi. Ensuite, diverses activités fixes et individuelles sont organisées pour maintenir les acquis des séniors. Les activités des CAT de Primeroche sont conçues pour maintenir les acquis des bénéficiaires, avec des repas partagés, des moments de repos, des activités individuelles et collectives, et une flexibilité qui répond aux besoins spécifiques de chaque personne et de leur famille. Cette approche spécialisée est essentielle pour gérer les troubles cognitifs et psychiatriques, et assure une qualité de vie élevée pour les bénéficiaires tout en soutenant les familles dans leur rôle de proches aidants. Le CAT de Primeroche offre également des services d’accueil de nuit, mais plutôt à moyen terme qu’en urgence. « Nous avons des équipes spécialisées dans les trois centres, qui travaillent en étroite collaboration avec les médecins traitants et tout le réseau », ajoute Marie Cuenod, soulignant l’importance d’un accompagnement continu et intégré.
La Fondation du Relais : bientôt 7j/7j Gérant quatre CAT au total, la Fondation du Relais offre une couverture étendue pour répondre aux besoins variés des personnes âgées. Anne-Dominique Micheli, directrice de la Fondation du Relais, explique que leurs CAT sont ouverts six jours par semaine, y compris les jours fériés, avec des perspectives d’étendre les ouvertures sept jours sur sept. Le concept d’accompagnement des bénéficiaires au sein des CAT est organisé autour de quatre axes principaux, les quatres M : manger, mémoire, mobilité et mieux-être. « Les ateliers culinaires permettent de préserver les plaisirs de la table, les goûts et la gourmandise y compris des sorties au bistrot », précise Anne-Dominique Micheli. « Pour la mobilité, nous proposons des promenades quotidiennes dans nos jardins, et pour la mémoire, des évaluations cognitives reconnues (test de l’horloge,...) ainsi que des activités comme des quizz ou « je me souviens » sont régulièrement effectuées ». Ces activités collectives visent à trouver sa place en tant que personne, combattre l’isolement social et à gérer l’angoisse, souvent présente chez les participants souffrant de troubles cognitifs. Les CAT ne sont pas de simples lieux de divertissement ; ils répondent à des besoins spécifiques en permettant aux participants de maintenir des liens sociaux significatifs. En psychiatrie de l’âge avancé, il est recommandé de commencer avec au moins deux jours par semaine pour aider à prévenir l’angoisse liée à l’oubli et à établir une routine stable. La Fondation du Relais propose également des services d’accueil de nuit avec quatre lits disponibles. À long terme, la Fondation du Relais vise à établir un CAT par quartier, réduisant ainsi les déplacements en bus pour les bénéficiaires.
Contact Site web : https://www.fondationdurelais.ch/ Mail : girarde.info@fondationdurelais.ch Numéro de tél. : 021 711 72 00
Le CAT de Coteau-Muraz : le CAT dans la ville, la ville dans le CAT
Le CAT de Coteau-Muraz, à Clarens, fait partie du Pôle Grand Age de la Fondation Eben-Hézer, tout comme le CAT des Moulins à Vevey et le CAT du Home Salem à Saint-Légier. Il est ouvert du lundi au vendredi y compris lors de jours fériés et deux samedis par mois. François Grand, le responsable, effectue avec son équipe un travail axé sur la citoyenneté des séniors, dans le but d’intégrer ces derniers dans une société contemporaine. Ainsi, si une personne âgée se risque à poser un mot osé, aujourd’hui plus difficilement acceptable que dans les années 70, lors d’une partie de Scrabble, une discussion sur les droits des personnes LGBTQAI+, sur l’évolution de la société et de la langue suivra. Et lorsque les bénéficiaires demandent au responsable si se faire tatouer fait mal ou ce que les tatouages peuvent signifier, il n’hésite pas à organiser un atelier de tatouage au CAT, se faisant encrer éternellement un motif par une tatoueuse professionnelle devant des nonagénaires dès lors invités dans un monde d’initiés, un monde dont ils entendaient parler mais qui restait pour eux obscur et opaque, les ancrant in fine dans une société moderne. « Nous travaillons beaucoup sur l’autonomie de nos bénéficiaires », confie François. « Les aider à retrouver une mobilité autonome permet de favoriser la création d’échanges spontanés avec des gens de leur quartier, et ils nous disent souvent avoir eu du plaisir à discuter avec leurs voisins ou avec des commerçants après être rentrés du CAT à pied. Cette notion de citoyenneté est au centre de notre travail, une citoyenneté face aux urnes que l’on instaure à travers des discussions sur les votations, mais également une citoyenneté dans l’espace public, un espace qui évolue rapidement mais dont ils doivent aussi pouvoir être les acteurs. »
Contact Site web : https://www.eben-hezer.ch/ Mail : cat@ems-fbs.ch Numéro de tél. : 021 989 55 76
Les centres d’accueil temporaire sont une source essentielle de soutien, de sécurité et de lien social pour nos aînés et leurs familles. Pour visiter ou obtenir plus d’informations sur les activités des CAT et sur les moyens de soutenir ces initiatives, visitez le site web de HévivA ou contactez directement les fondations impliquées.
Prévoyance funéraire : avant, pendant et après le deuil
Lorsqu’un décès survient au sein de la famille, qu’il soit soudain ou attendu, le fardeau administratif qui s’ajoute au chagrin de la perte d’un être cher peut être écrasant. La gestion des aspects administratifs peut rapidement devenir accablante, ajoutant un stress supplémentaire à une période déjà difficile.
Un financement facilité
Pour les familles endeuillées, la charge de jongler avec les responsabilités pratiques peut parfois sembler insurmontable. Dans ces moments de vulnérabilité, les Pompes Funèbres Générales du canton de Fribourg prennent tout leur sens. Gregory Brodard et son équipe comprennent la douleur de ces moments et s’engagent à accompagner les familles avec compassion et professionnalisme
Une attention particulière portée aux familles
En effet, Gregory et son équipe accordent une grande importance et une attention émotionnelle particulière à l’accompagnement des familles avant, pendant et après le deuil auprès de plus de 28 323 familles déjà. Fondées en 1926, les Pompes Funèbres Générales Fribourg se sont aujourd’hui imposées comme le choix de confiance pour de nombreuses familles endeuillées qui recherchent un accompagnement empreint de compassion, de respect et de compréhension.
L’établissement veille à ce que chaque détail soit pris en charge avec la plus grande attention et s’engage à offrir des services personnalisés qui répondent aux besoins uniques de familles de tous horizons. En mettant l’accent sur le respect des traditions et de la culture familiale, Pompes Funèbres Générales Fribourg guide les familles à travers les démarches administratives avec empathie et soutien tout en respectant les volontés de chaque défunt. En ces moments de deuil, Pompes Funèbres Générales demeure un phare de soutien, offrant une grande sollicitude à ceux qui en ont le plus besoin et ce 24h/24, 7j/7.
Une cérémonie digne et mémorable
un pays étranger, l’établissement assure également la gestion et la coordination du rapatriement du défunt vers son pays d’origine, quelle que soit la distance et le lieu de son décès. Cet engagement total envers le soutien logistique soulage les familles de toute charge supplémentaire pendant cette période sensible.
Prendre le temps de réaliser une prévoyance funéraire
Pour Gregory Brodard, la prévoyance funéraire est un instant passé avec une personne qui pense à son décès et qui souhaite préparer ses obsèques. C’est un moment important rempli d’émotions, parfois de doute, qu’il ne faut pas prendre à la légère. Les équipes des Pompes Funèbres Générales Fribourg ont à cœur de prendre le temps nécessaire à la conclusion d’une prévoyance qui corresponde pleinement au souhait personnel de chacun, un processus qui ne peut pas être accompli en quelques minutes.
de manière prévisible, évitant ainsi des dépenses inattendues qui peuvent être accablantes pour les proches. Cette anticipation élimine en outre les incertitudes de la famille lors d’un moment déjà tumultueux.
Chaque décision prise lors de la conclusion du contrat peut être révisée au fil du temps afin de s’adapter aux désirs changeants du signataire. Il n’y a donc pas d’inquiétude à avoir concernant un éventuel changement de plan ou de situation. Les choix et les souhaits de fin de vie peuvent changer au gré du temps, raisons pour lesquelles les souhaits indiqués sur le contrat peuvent être modifiés et ce jusqu’au décès. En fonction des modifications effectuées, les coûts sont réévalués, à la hausse ou à la baisse et le financement est adapté.
Sensible à la diversité des budgets de ses clients, Pompes Funèbres Générales Fribourg propose différentes options de paiement, allant d’un règlement unique à des versements fractionnés ou des mensualités. L’objectif est d’offrir un plan financier adapté aux besoins de chaque famille afin de faciliter cette étape difficile. En plus de cette flexibilité financière, la société présente une gamme variée de forfaits de services funéraires, minutieusement conçus pour répondre à toutes les exigences et contraintes budgétaires. Chaque forfait est pensé pour garantir une cérémonie personnalisée et respectueuse, offrant ainsi une expérience empreinte de sérénité et de dignité. Ces options permettent de rendre un hommage unique à l’être cher en toute tranquillité d’esprit.
Texte Maévane Mas
En Suisse, plus de 70 000 personnes ont déjà souscrit une assurance prévoyance, pourquoi pas vous ?
Scannez le QR pour faire le premier pas :
L’établissement met à disposition une chapelle accueillante, offrant ainsi un espace propice à des cérémonies intimes et à des moments de recueillement ou de prière. Soucieux de chaque détail, l’équipe prend également en charge l’organisation minutieuse des fleurs et de tous les éléments nécessaires à une célébration empreinte de sens et de respect. Si le décès a lieu dans
5e festival OSR à Genève-Plage 15 et 18 août 2024
Les plans de prévoyance funéraire proposés par les Pompes Funèbres Générales Fribourg offrent une personnalisation complète qui permet à chacun d’exprimer ses préférences, de la cérémonie au choix du lieu de repos. Grâce à des options de paiement flexibles, il est possible de couvrir les coûts des services funéraires
Je 15.08.24 21h15
Ciné-concert : Singin’in the Rain
La prévoyance funéraire est en somme une solution conciliante et soulageant pour les familles. En Suisse, environ 10 % des décès sont couverts par un contrat de prévoyance funéraire. Cela représente une proportion significative, mais encore relativement faible considérant le soulagement que cela procure aux proches du défunt. L’essentiel est de pouvoir souscrire une prévoyance funéraire auprès de vraies pompes funèbres professionnelles qui sauront accompagner au mieux le souscripteur.
Di 18.08.24 9h15
Classique : Sérénade d’été
Pompes Funèbres Générales Fribourg Rue de Morat 54c 1700 Fribourg
026 322 39 95 agence@pfgenerales.ch
Di 18.08.24 21h30
Jazz : Sinatra sous les étoiles
Changer de carrière après 50 ans
Est-ce vraiment possible de se reconvertir après 50 ans, uniquement grâce à une formation, sans expérience préalable ? « Absolument ! » affirme Nicolas Wirth, Directeur général de l’ifage. À 56 ans, Régine Demules a su transformer un licenciement en une nouvelle opportunité de carrière. Après plus de vingt ans dans l’esthétique et la parfumerie, elle se retrouve au chômage mais ne baisse pas les bras. Attirée par l’horlogerie, elle décide de se reconvertir et suit une formation intensive de deux ans à l’ifage, à Genève, qu’elle vient de terminer en 2024. Parcours d’une femme déterminée à se réinventer.
Régine Demules, comment avez-vous vécu la transition et la formation en horlogerie après une carrière dans l’esthétique, et quels défis avez-vous dû surmonter ?
Je n’ai pas fait d’études longues et disposait seulement d’un CAP en esthétique. J’ai eu la chance de bénéficier d’une formation gratuite, entièrement financée par le chômage, alors qu’elle est normalement payante. J’ai dû me remettre à niveau en fournissant beaucoup de travail personnel à la maison. Nous avions des cours pratiques en horlogerie et de la théorie. Après les cours, je rentrais chez moi et révisais, car j’étais très motivée et impliquée. En vieillissant, on assimile les choses moins facilement que les jeunes, il a donc fallu que je reprenne tous mes cours et les apprenne par cœur. J’ai dû faire preuve de patience car au début, c’était un peu difficile.
Si vous n’aviez pas été licenciée, seriez-vous resté dans le domaine de l’esthétique ? Par confort, oui. Je n’ai pas ressenti ce licenciement comme une épreuve. J’ai plutôt considéré cela comme une opportunité de changer de cap, de me réorienter professionnellement. Je l’ai très bien pris.
camarades de formation et moi avons eu des entretiens avec une agence d’intérim, qui nous a proposé un stage dans une entreprise pendant trois semaines. Durant cette période, nous étions immergés dans le monde professionnel de l’horlogerie, un domaine où je n’avais aucune expérience préalable. C’est à ce moment-là que j’ai réalisé que cela me plaisait. À la suite de ce stage de trois semaines, nous avons commencé à travailler chez Rolex.
Comment avez-vous vécu l’expérience chez Rolex ?
J’y suis toujours. C’est une expérience d’un an renouvelable, et je commence actuellement ma deuxième année car ils ont renouvelé mon contrat. C’est une chance incroyable. Nous bénéficions d’écoute exceptionnelle au niveau du personnel. Les gens sont attentionnés et très gentils. Nous travaillons dans un confort remarquable et avec d’excellents produits. Était-ce dur de concilier vie de famille et reprise des cours ?
Familialement parlant, c’était compliqué pour tout le monde que je reprenne des cours. Il y avait un confort et des habitudes installées depuis des années qui ont été chamboulés. Avant, je rentrais à la maison, nous échangions beaucoup, nous prenions du temps ensemble et je cuisinais. J’ai dû leur expliquer que pendant au moins deux ans, il fallait un peu m’oublier. J’allais me concentrer sur ma reconversion et il était hors de question que je passe une heure et demie à faire à manger ou à regarder la télévision. Cela a été un peu compliqué et a créé des tensions, même au niveau du couple. Ce n’était pas simple, même pour les jeunes qui faisaient la même formation que moi. Nous étions tous contents de finir et d’avoir du temps pour nous, et nous sommes fiers de nous.
Aviez-vous des appréhensions ou des doutes avant de commencer la formation ?
Non, j’étais très contente. Je suis manuelle. Dès les premiers jours où nous avons commencé à démonter un mouvement, j’ai immédiatement su que cela me plaisait. Ce qui me préoccupait un peu, c’était de me lancer dans le monde professionnel sans savoir à quel point la production serait intense. Je me demandais si je pouvais supporter la pression du travail. Finalement, tout s’est bien passé. Je suis enchantée et je ne regrette absolument pas ma décision.
Quelle était la moyenne d’âge en classe ?
Entre 25 et 30 ans. J’étais la doyenne mais je me sentais à l’aise car je suis entourée de jeunes à la maison et j’ai des amis de différentes générations. Pour moi, l’âge n’était pas vraiment un obstacle, même si je ressentais parfois un décalage.
Dans les médias, il est souvent montré que, lorsqu’une femme dépasse un certain âge, il est plus difficile pour elle de retrouver un emploi… Oui, je pense que cela est plus difficile car la priorité est donnée aux jeunes, ce qui est tout à fait normal. Cependant, mes employeurs me disent clairement qu’ils ont besoin des seniors pour leur expérience et leur flexibilité d’esprit. Nous sommes différents. Par exemple, nous faisons très attention à l’absentéisme, tandis que les jeunes sont peut-être moins attentifs à ce genre de choses ( rires ). Au niveau de l’entente professionnelle, je ne me sens pas mise à l’écart. Bien sûr, lors d’un recrutement, je pense qu’un recruteur choisira une personne plus jeune. En ce qui concerne les salaires, un senior
monde. Je reste confiante, même à 56 ans et en reconversion. Je n’ai pas envie de partir à la retraite trop tôt. Je me vois bien travailler jusqu’à 65 ans, voire plus, peut-être avec un horaire différent. Quels sont les aspects de votre nouvelle carrière que vous aimez le plus ?
On se crée assez rapidement un réseau où les échanges sont nombreux. Cela change beaucoup pour moi, car après des années en parfumerie, je suis très contente de découvrir un autre domaine et de rencontrer de nouvelles personnes. La parfumerie et les soins sont très intéressants, mais on y rencontre toujours le même monde.
L’horlogerie est un milieu différent où j’aurais plein d’opportunités et rencontrerai d’autres personnalités. Je pourrais travailler sur des cadrans, sur les mouvements d’une montre ou sur des aiguilles. Il y a aussi une grande satisfaction à travailler avec 130 petites pièces et de se dire qu’après trois heures, on peut monter une montre.
Quels sont les conseils que vous donneriez à des personnes comme vous qui souhaiteraient effectuer une reconversion professionnelle ?
Il ne faut ni hésiter ni attendre. Aujourd’hui, il est rare de ne pas connaître le chômage au moins une fois dans sa vie. Il ne faut pas le prendre de manière négative, mais comme une opportunité. Rien n’arrive par hasard. Si l’on a envie de faire autre chose ou de suivre d’autres formations, il ne faut pas rester dans sa zone de confort, il faut les entreprendre. Toutes les personnes qui ont été
Pour se dessiner un avenir ou renforcer ses connaissances
Depuis 1991, l’École Médica, installée au cœur de Lausanne, est reconnue par les différentes instances médicales pour la qualité de son enseignement dispensé à des personnes souhaitant obtenir un CFC d’assistant ou d’assistante médicale ou de devenir secrétaire médicale H+. S’ajoutent ses différentes formations continues à destination de celles et ceux qui désirent évoluer au sein de leur profession. Tous ont l’assurance d’être accompagnés par des enseignants expérimentés et motivants et de sortir de l’établissement avec des connaissances pointues et des compétences recherchées. Plus de 30 ans d’expérience L’École Médica a été fondée en 1991 par la famille Santschi pour offrir l’opportunité au plus grand
nombre de se former aux métiers d’assistantes et secrétaires médicales. La demande étant au rendez-vous, rapidement elle a pris de l’expansion et accueille aujourd’hui une centaine d’élèves. L’école est aujourd’hui dirigée par Monsieur Christophe Santschi, secondé par Monsieur Pedro Carreira, directeur adjoint, doyen et enseignant et qui est présent au sein de l’établissement depuis plus de trente ans. Des atouts qui font la différence Au vu de la qualité de sa formation, l’École Médica est mandatée par la SVM (Société Vaudoise de Médecine) et par l’ARAM (Association Romande des Assistantes Médicales) pour dispenser les cours interentreprises dans le cadre de la formation duale des assistantes médicales. Par ailleurs, les élèves de l’école atteignent chaque année quelque 90 % de réussite au CFC et ont obtenu les meilleures moyennes générales en radiologie, laboratoire et processus thérapeutiques à l’occasion des examens de 2023. Pour le domaine des secrétaires médicales, là encore, l’École Médica se démarque de nombre d’autres établissements en suivant le règlement de formation défini par l’organisation H+ Les Hôpitaux de Suisse. Donner le meilleur à chacun et l’accompagner dans son quotidien fait partie intégrante de la philosophie de l’École Médica qui met tout en œuvre pour former des personnes qui seront, au final, compétentes et qualifiées, des personnes qui feront la différence sur un poste de travail.
Les deux formations proposées
L’École Médica propose deux formations : assistante médicale et secrétaire médicale H+. Concernant l’assistante médicale, sont acceptés les élèves ayant achevés l’école obligatoire, tout comme les personnes en reconversion ou souhaitant changer d’orientation. École de métiers, chacun y suit les cours durant trois années avant le passage du CFC. Durant cette période, tous font un stage immersif d’un an. À l’obtention du diplôme, deux options sont possibles : rejoindre le marché du travail qui recherche en permanence des assistants ou assistantes médicales ou continuer les études en visant une maturité professionnelle. Quoi qu’il en soit, chacun a déjà acquis des compétences cliniques étendues, des soins aux patients à la
réalisation d’analyses et de travaux de laboratoire, en passant par la capacité à effectuer des radiographies. Les relations humaines, la gestion administrative du cabinet médical, l’assistance au médecin font également partie des compétences variées offertes par cette formation passionnante. En résumé, la formation prépare à un rôle multifonctionnel, pour répondre aux exigences complexes de ce métier.
Pour les personnes se destinant à la formation de secrétaire médicale H+, les choses sont différentes. En effet, le public ciblé est pour un grand nombre déjà actif. Certains travaillent dans le domaine et souhaitent se perfectionner, d’autres ont pour objectif de réorienter leur carrière dans ce secteur. Pour s’adapter au mieux à leurs emplois du temps, deux options de formation sont à la carte :
– En cours d’emploi, les cours sont dispensés tous les samedis durant une année,
–
En journée, les cours sont dispensés quatre matinées par semaine pendant six mois.
Finalement, tous les participants auront suivi une formation variée allant de la relation avec les patients à l’organisation du cabinet et à la rédaction de rapports médicaux en passant par des connaissances approfondies notamment en anatomie, pathologie, pharmacologie, terminologie médicale et informatique. Une formation conçue pour devenir des professionnels autonomes et reconnus.
Les propositions en matière de formation continue
Autre point fort de l’École Médica, les formations en parallèle qui sont très prisées et demandées par les personnes actives dans le domaine médical et par les secrétaires déjà diplômées qui souhaitent renforcer leurs compétences en matière de procédures médicales essentielles, et ce de manière autonome ou à la demande de leur employeur.
La formation « prises de sang et injections » aborde, sur quatre demi-journées, les prises de sang veineuses et capillaires, ainsi que la réalisation d’injections sous-cutanées et intramusculaires. En outre, le programme comprend une composante importante axée sur la connaissance des bases du diabète, permettant aux participants de reconnaître les symptômes d’une hypo/hyperglycémie. De plus, elle couvre également les fondements des anti-coagulants, y compris les indications et les instructions au patient, ainsi que la reconnaissance des symptômes de surdosage. Ainsi, cette formation offre une combinaison complète de compétences pratiques et de connaissances théoriques, destinée à former des professionnels de la santé compétents et polyvalents.
Autre proposition, la formation « pansements et bandages » permet l’approfondissement des connaissances et l’amélioration des compétences dans ce domaine par des sessions pratiques intensives, pendant trois demi-journées. Pour finir, la formation « radioprotection » qui cible les professionnels de la santé en exercice, notamment les assistants/assistantes médicales ayant obtenu leur diplôme avant 1999, les infirmiers/infirmières, ainsi que les laborantins/laborantines médicales. Ici, la formation se déroule sur 18 mois avec un module théorique et un autre pratique. Elle offre une expertise spécialisée permettant aux participants de maîtriser les principes de la radioprotection et les techniques radiologiques conformément
Les élèves de l’école atteignent chaque année quelque 90 % de réussite au CFC .
aux normes établies par l’OFSP, renforçant ainsi leurs compétences. Finalement, on l’aura compris, l’École Médica offre à celles et ceux qui souhaitent se former, s’orienter vers de nouvelles professions ou bien encore parfaire leur savoir et connaissances, un panel de solutions qui font sa renommée depuis plus de 30 ans.
École Médica Avenue de la Gare 44 - CH-1003 Lausanne Tél. +41 21 312 25 80 info@ecole-medica.ch www.ecole-medica.ch
Le viager : une solution flexible et avantageuse pour les propriétaires
Peu connu et souvent mal compris, le viager est un instrument flexible permettant aux propriétaires de vendre leur maison tout en continuant à y vivre.
Les cofondateurs de Tillit Invest, une entreprise romande spécialisée dans le viager, expliquent les différents aspects de cette solution et comment elle peut s’adapter aux besoins individuels des propriétaires.
Jean-Baptiste de Bantel, Iavor Tzolov, qu’est-ce que le viager et comment fonctionne-t-il ?
JBB : Le viager est un type de contrat de vente immobilière, qui permet de vendre sa maison tout en conservant le droit d’y habiter. Le principe du viager est simple : les propriétaires vendent leur maison aujourd’hui à un prix inférieur à la valeur du marché, mais en contrepartie ils peuvent rester y habiter sans avoir à payer de loyer et en se libérant des contraintes auxquelles font face les propriétaires - impôts, endettement, financement des gros travaux, etc.
IT : La clé dans une vente en viager est le droit d’habitation, c’est-à-dire le droit de rester vivre dans son bien après l’avoir vendu. Ce droit est à négocier avant la vente, et il est inscrit au registre foncier. Le droit d’habitation peut prendre des formes différentes : par exemple, il peut être à vie ou pour une durée déterminée, être à l’usage exclusif des vendeurs ou avec la possibilité de louer leur bien, etc. La nature du droit d’habitation est un élément déterminant pour le montant que reçoit le vendeur au moment de la vente. Justement, comment est déterminée la valeur du bien immobilier dans le cadre d’une vente en viager ?
IT : La somme que reçoit le vendeur lors de la vente s’appelle le bouquet. Le montant du bouquet est déterminé en soustrayant la valeur du droit d’habitation à la valeur vénale du bien. La valeur du droit d’habitation est calculée en utilisant une formule prescrite, qui dépend de deux facteurs principaux : le taux d’intérêt en vigueur ajusté selon les rendements attendus par
Brandreport • Tillit Invest
les investisseurs, et la durée du droit d’habitation.
Dans le cadre d’un droit d’habitation à vie, la durée est basée sur l’espérance de vie des propriétaires.
JBB : L’espérance de vie utilisée dans le calcul dépend uniquement des données officielles fournies par l’Office Fédéral de la Statistique – donc l’état de santé des propriétaires n’est pas pris en considération et aucun examen ou certificat n’est demandé. Quel est l’intérêt de vendre en viager pour un propriétaire ?
IT : Pour beaucoup de propriétaires, le bien immobilier constitue une partie notable du patrimoine. Mais c’est une partie de leur fortune qui n’est pas liquide, c’est à dire qu’ils n’ont pas facilement accès à la plus-value sous forme de liquidités. S’ils ont besoin d’argent, ils ont généralement deux possibilités : faire un emprunt, mais la banque pourrait ne pas accorder de prêt, surtout s’ils sont d’un âge avancé, ou vendre la maison, ce qui implique de déménager, pour se retrouver dans un bien locatif souvent plus petit et plus cher, et de changer ses habitudes de vie. Le viager permet donc aux propriétaires d’accéder immédiatement au capital de leur maison, tout en continuant d’y habiter et en maintenant leurs habitudes de vie.
JBB : Les propriétaires qui recourent au viager ont des besoins variés, mais ils ont tous ont un point commun : ils ne veulent pas quitter leur maison, pourtant une vente classique s’impose comme un passage obligé, les contraignant à déménager. Grâce au viager, ce n’est plus une fatalité. Pour beaucoup il s’agit de faire face à des difficultés financières – augmenter ses ressources ou rembourser des dettes. Le viager
peut aussi être utile dans le cadre de la gestion patrimoniale, par exemple pour régler sa succession de son vivant, mettre à l’abri un conjoint, ou dégager du cash pour aider ses enfants ou petits-enfants aujourd’hui plutôt que d’attendre un héritage. Le viager peut aussi être une bonne solution pour profiter de la vie et vivre une retraite sereine et confortable.
IT : Le viager peut avoir une image un peu désuète et véhiculer des préjugés négatifs. Mais c’est malheureux parce qu’en réalité le viager est un formidable outil financier d’une grande flexibilité. On a tendance à ne penser au viager que dans sa forme classique, c’est-à-dire que l’acquéreur paie le bouquet minimal au moment de la vente, puis verse une rente mensuelle pour le reste de la vie du vendeur. Mais il faut savoir qu’en réalité, les vendeurs préfèrent toucher un capital plus important au moment de la vente et ne pas percevoir de rente, notamment parce que c’est plus avantageux fiscalement. Et un viager n’est pas non plus nécessairement un contrat à vie. Le vendeur peut par exemple choisir de rester vivre dans sa maison pour un nombre déterminé d’années seulement, ce qui lui permettrait de percevoir une somme plus importante au moment de la vente. Et quels sont les inconvénients du viager ? JBB : Il y en a essentiellement deux, mais ces inconvénients sont à mettre en perspective. Tout d’abord, le prix de vente en viager sera moins élevé que la valeur sur le marché. Cette différence correspond à la valeur du droit d’habitation. Mais il faut prendre en compte les alternatives : si le propriétaire vend sa maison sans droit d’habitation, il devra non seulement déménager, souvent dans un bien plus petit, et payer un loyer, mais il faudra aussi envisager de louer un local pour
stocker les affaires qui ne rentreraient pas dans le nouveau logement. Ces coûts s’ajoutent et finalement compensent souvent le prix de vente moins élevé.
Le deuxième point est qu’en vendant en viager, le bien sort du patrimoine des propriétaires. Ils ne pourront donc pas le léguer à leurs enfants, par exemple. Mais là aussi, il faut prendre en compte le fait qu’ils peuvent faire bénéficier leurs héritiers des liquidités de leur vivant, plutôt que de leur léguer un casse-tête qui pourrait semer des désaccords au sein d’une hoirie. De plus, après avoir vendu en viager, les propriétaires seront libérés de charges importantes, que ce soit en matière d’intérêts, d’impôts sur la fortune ou de gros travaux d’entretien, comme une remise à niveau énergétique, par exemple.
À quel âge cela devient-il bénéfique de vendre en viager ?
IT : Un viager à vie devient économiquement intéressant à partir de 75 ans. En dessous de cet âge, la durée de vie restante étant plus longue, le bouquet sera plus petit. Mais un contrat viager avec un droit d’habitation plus court – par exemple cinq ou dix ans – peut être une option intéressante, quel que soit l’âge des propriétaires. Quels conseils donneriez-vous aux personnes qui souhaiteraient vendre en viager ?
JBB : Tout d’abord, il est important de bien réfléchir à ses besoins et aspirations. Une vente immobilière est une décision importante, tant du point de vue financier qu’émotionnel. Pour les propriétaires qui ont des enfants ou d’autres héritiers, une discussion en famille s’impose, pour voir par exemple si les enfants ont l’intention d’hériter du bien et en faire usage ou s’ils préfèrent que leurs parents profitent de leurs vieux jours en accédant à la plus-value de leur maison. Ce sont des décisions personnelles qui appartiennent à chacun. IT : Il est aussi indispensable de trouver un partenaire de confiance pour se faire conseiller et accompagner tout au long du processus. Il faut bien prendre en compte toutes les implications financières et fiscales qui peuvent parfois être complexes. Un partenaire de confiance sera entièrement transparent, consignera toutes les discussions par écrit et saura guider les propriétaires sur leur situation globale en leur offrant des options qui correspondent au mieux à leurs besoins. JBB : Le principe du viager, encadré par le droit suisse, offre une base légale solide et sécurisée qui peut être adaptée aux besoins et aux circonstances spécifiques à chaque propriétaire. Qu’un propriétaire cherche à obtenir des liquidités pour répondre à des besoins financiers, ou régler sa succession de son vivant, tout en restant habiter dans sa maison, le viager est une solution précieuse. Un bon partenaire pourra conseiller le propriétaire et structurer une transaction qui réponde exactement à ses besoins.
Interview Maévane Mas
Élargir le champ du possible avec le viager
Tillit Invest se spécialise dans les solutions immobilières viagères, permettant aux propriétaires de vendre leur bien tout en continuant d’y résider. Cette approche unique libère des liquidités tout en offrant sécurité et tranquillité d’esprit aux vendeurs.
Une gamme complète de services
Tillit Invest propose une vaste gamme de services pour répondre aux besoins variés des propriétaires :
Pour une vente en viager, Tillit Invest s’impose comme le partenaire de choix. L’entreprise dynamique et innovante se spécialise dans l’achat de biens immobiliers en viager, et propose aussi un large éventail de solutions flexibles pour permettre aux propriétaires de valoriser leur bien en toute sérénité. Combien vaut son bien ? Une estimation précise, gratuite et immédiate !
– Acquisition de biens en viager : vendre son bien et continuer d’y habiter
– Achat direct de maisons, terrains et immeubles : solution rapide et sans intermédiaire pour la vente de sa propriété
– Valorisation de biens : analyse des coûts de rénovation, d’agrandissement ou de surélévation permettant d’augmenter la valeur de son bien
– Structuration innovante de transactions : mise en place de solutions personnalisées pour atteindre l’objectif recherché dans une transaction immobilière
Un modèle innovant unique en Suisse
Tillit Invest se distingue par un modèle d’affaires innovant soutenu par des investisseurs suisses solides et
recommandables. Contrairement aux courtiers et promoteurs immobiliers, Tillit Invest acquiert des biens pour son propre compte. Les propriétaires privés ne paient donc pas de commissions et bénéficient de conditions optimales pour les transactions, sans avoir à payer des frais supplémentaires pour les analyses ou la commercialisation. Pour autant, Tillit Invest n’est pas un fonds d’investissement. Entreprise à taille humaine, Tillit Invest traite directement avec les propriétaires et les accompagne de façon personnalisée et attentive aux besoins spécifiques de chacun.
Des solutions avantageuses pour les propriétaires
Choisir Tillit Invest présente de nombreux avantages :
–
Accès à des liquidités immédiates : accès immédiat à la plus-value générée par l’appréciation d’un bien immobilier sans attendre la vente finale, souvent soumise à l’obtention d’un permis de construire, permettant ainsi de disposer rapidement de liquidités additionnelles
– Amélioration et valorisation du bien : expertise dans le financement et la réalisation de rénovations, agrandissements ou surélévations, augmentant ainsi la valeur marchande de la propriété
– Optimisation des actifs : maximisation de la valeur de biens immobiliers grâce à des solutions correspondant aux besoins des propriétaires et reposant sur le viager comme instrument pour structurer la transaction de façon optimale
– Sécurité et tranquillité d’esprit : les propriétaires peuvent rester habiter chez eux tout en bénéficiant des avantages financiers offerts par Tillit Invest, idéal pour ceux ayant besoin de liquidités sans vouloir déménager
– Avec Tillit Invest, les propriétaires accèdent à des liquidités immédiates, valorisent leur bien et bénéficient d’une tranquillité d’esprit tout en continuant de résider chez eux.
Un vrai partenaire de confiance, Tillit Invest élargit le champ du possible pour les propriétaires en Suisse.
Le calculateur de Tillit Invest offre une estimation précise, gratuite et immédiate de la valeur vénale d’un bien. Quelques clics suffisent. Le calculateur de Tillit Invest est universel : il couvre tous types de propriété sur toute la Suisse. Que ce soit pour faire affaire avec Tillit Invest ou n’importe qui d’autre, l’estimation sera un point de départ précieux pour toute négociation : www.tillitinvest.ch/estimation
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La spécialiste de la vente en viager en Suisse depuis 10 ans !
Juriste et passionnée d’immobilier, Sabrina Reynier a créé il y a 10 ans, avec le soutien de ses notaires, la société IMMO-VIE-AGEE à Rolle (VD), dont l’objectif est de remettre la vente en viager au goût du jour. C’est aujourd’hui la meilleure alternative pour que les personnes âgées puissent rester chez elles sans changer leurs habitudes tout en recevant un capital financier. Pour les investisseurs, il s’agit aussi d’un des meilleurs placements. C’est une solution « gagnant-gagnant ».
IMMO-VIE-AGEE
Qu’est-ce que la vente en viager ? Il s’agit de vendre sa maison ou son appartement en conservant le droit d’y habiter jusqu’à la fin de ses jours (seul ou en couple). Au moment de la vente, le vendeur perçoit une somme en capital : le « bouquet ». Il peut aussi opter pour une rente mensuelle à vie qui complètera sa retraite, fiscalement très intéressante.
Il peut s’agir de petits appartements, de villas jumelles ou individuelles, de propriétés au
bord du lac... situés dans des villes, villages ou campagnes, il n’y a pas de règle.
La vente en viager concerne des propriétaires d’un certain âge (75 ans, idéalement 80 ans ou plus), avec ou sans enfant, qui vendent leur logement afin d’obtenir un capital puis un complément de revenu régulier tout au long de leur vie.
C’est une façon pour eux de régler une partie de leur succession, de vivre mieux
financièrement, de répartir leur argent de leur vivant, d’aider leurs proches en leur consentant des donations et de protéger leur conjoint grâce au droit d’habitation.
Sabrina Reynier s’occupe de tout le processus, de la demande initiale de renseignements à la finalisation de la vente chez son notaire spécialisé en viager. Sa société a déjà, à son actif, plus de 200 ventes et une parfaite maîtrise des opérations, les témoignages sont nombreux sur son site.
Grâce au viager, vendez votre bien en restant chez vous et assurez-vous une retraite paisible sans compromis.
Sabrina Reynier Avenue Général Guisan, 9, 1180 Rolle
T 078 635 58 57 M contact@immo-vie-agee.ch W www.immo-vie-agee.ch
Attica
La passion de l’immobilier, de père en fils
Tassilo Boscacci incarne la vision et la passion d’Attica Immobilier, entreprise établie il y a de nombreuses années en Suisse. Né à Lausanne, après quelques années dans la finance et la gestion de projet, Tassilo Boscacci s’est rapproché de la vocation familiale, inspiré depuis tout jeune par son père qui possède une expertise de plus de 40 ans dans la promotion immobilière.
Que ce soit dans la vente en plaine ou en montagne, l’ADN d’Attica Immobilier se distingue par son service et son engagement sur-mesure pour tous ses clients et pour tout type de bien immobilier.
Tassilo Boscacci, quels sont les principaux services que vous offrez ?
Nous nous spécialisons dans le courtage ou la revente, ainsi que dans la promotion immobilière. Ce qui nous distingue, c’est notre structure à taille humaine, qui favorise une relation étroite avec aussi bien les vendeurs que les acheteurs privés comme institutionnels. Notre volonté n’est pas d’avoir juste un grand volume de biens immobiliers, mais plutôt d’en proposer soigneusement, évalués et construits, pour pouvoir consacrer du temps à nos clients et comprendre pleinement leurs besoins. En conséquence, environ 90 % de nos mandats sont exclusifs, ce qui signifie qu’aucune autre agence n’a accès à ces propriétés. Nous acceptons ces mandats à des prix que nous jugeons justes, avec parfois une certaine marge, ce qui garantit une transaction équitable pour toutes les parties impliquées.
Comment votre approche sur-mesure diffère-t-elle des pratiques plus standardisées que l’on trouve souvent dans l’industrie immobilière ?
Auparavant, à l’époque de mon père, une transaction immobilière impliquait souvent seulement deux parties : un acheteur et un vendeur. Mais aujourd’hui,
il y en a trois : l’acheteur, le vendeur et la banque. L’acquisition d’un bien immobilier ne peut plus se faire sans l’accord préalable d’un établissement financier. C’est pourquoi nous nous efforçons d’être alignés au marché, ce qui se traduit par des mandats qui sont peu de temps sur le marché. Notre approche repose principalement sur les recommandations, sans recourir à un marketing excessif. Nous entretenons des relations durables avec nos clients ; certains d’entre eux reviennent après dix ans, soit pour revendre, soit pour nous recommander à d’autres personnes souhaitant acheter ou vendre. Nous établissons ainsi un réseau de proximité avec nos clients sur du long terme, ce qui nous permet même de ne pas rendre public certains mandats (environ un sur cinq). Lorsque nous obtenons de nouveaux mandats, nous savons qu’ils sont au bon prix, nous contactons donc directement nos clients car notre objectif est aussi de leur offrir des exclusivités en lien avec leur confiance qu’ils nous portent. De plus, nous leur offrons diverses prestations, notamment un conseiller en financement hypothécaire qui travaille avec plusieurs établissements bancaires pour proposer des conditions de financement variées, ainsi que l’accès à plusieurs notaires et à des entreprises compétentes dans la transformation et la rénovation.
Quels sont les conseils que vous donneriez aux familles qui envisagent d’acheter ou de vendre une propriété en Suisse ? Pour les acheteurs potentiels, la première étape cruciale consiste à évaluer leur capacité d’emprunt, afin de définir un budget réaliste pour leurs recherches. Ensuite, il est essentiel pour eux de planifier non seulement leurs besoins immédiats en matière de logement, mais aussi de projeter leurs besoins sur cinq à dix ans.
Quels sont leurs projets de vie à venir ? Envisagent-ils de construire ou agrandir leur famille, de déménager, etc. ? Bien que la situation puisse sembler complexe, il est généralement plus avantageux d’être propriétaire que locataire si l’on dispose des fonds nécessaires, en fonction de sa vision à court, moyen ou long terme. Et considérer qu’il faut environ dix ans pour réaliser une plus-value significative sur un bien immobilier.
Pour les vendeurs, l’important est d’obtenir des conseils appropriés sur la valeur de leur bien. Autrefois, il était courant de tester le marché en vendant un bien avec une marge supérieure à sa valeur réelle, car les acheteurs investissaient davantage de fonds propres. Cependant, dans le contexte économique actuel, les banques et les acheteurs sont plus enclins à rechercher des transactions au prix juste. Cela signifie
que les vendeurs doivent également ajuster leurs attentes et proposer leur bien à un prix équitable. Quels sont les principaux défis auxquels une famille peut être confrontée lorsqu’elle cherche à acheter ou vendre un bien en Suisse et comment Attica aide-telle les familles à les surmonter ?
Trouver un bien immobilier qui corresponde à leurs besoins et à leur budget, puis pouvoir le visiter rapidement et entamer les démarches bancaires constitue le défi majeur pour les acheteurs. Actuellement, le marché immobilier suisse est peu fourni, ce qui exige une grande réactivité. C’est pourquoi nous proposons les services d’un conseiller en financement hypothécaire. Ce professionnel peut rapidement solliciter une, deux voire trois banques pour obtenir des financements adaptés à nos clients. En somme, le défi pour les clients d’aujourd’hui est de trouver le bon bien immobilier, de gérer efficacement les formalités administratives, mais surtout de prendre la bonne décision. Quels sont vos projets futurs ?
Personnellement, père de jeunes jumeaux, je suis de plus en plus sensible à leur avenir, de leurs futurs besoins d’un logement qui ne cesse de se tarir, aux enjeux de durabilité et d’écologie.
Attica Immobilier a donc comme ambition de prolonger son activité de conseil et vente, de poursuivre sa recherche d’opportunités, comme des terrains, pour construire de nouveaux projets et de faire perdurer cette relation de proximité avec tous ceux qui nous font confiance.
Interview Océane Ilunga www.atticaimmobilier.ch
Ils cultivent la biodiversité, mais disent NON à l’initiative extrême du 22 septembre
Manon Chapuis 31 ans
Agricultrice à Champvent (VD)
Grandes cultures, herbages et vignes
Jérémie Gerber 20 ans
Agriculteur à Lajoux (JU)
Grandes cultures et herbages
Vaches allaitantes et laitières
Grégory Donzé 30 ans
Arboriculteur à Bernex (GE)
Verger et maraîchage
Ce que je fais pour la biodiversité
Mon domaine familial produit selon les normes biologiques depuis 2015.
J’ai mis en place pas moins de 47 mesures pour favoriser la biodiversité sur ma ferme.
Plus de 28 % de mes surfaces agricoles contribuent déjà à la promotion de la biodiversité.
Ce que je fais pour la biodiversité
Le domaine familial est labellisé Bio Suisse depuis 2012.
Nous entretenons des haies et des forêts pour offrir des habitats à la biodiversité. Nos animaux préservent plus de 20 hectares de pâturages boisés riches en biodiversité.
Ce que je fais pour la biodiversité
J’ai mis des nichoirs pour les mésanges et les rapaces dans mon verger.
Des structures à base de branches offrent un habitat aux mustélidés tels que l’hermine.
Plus de dix variétés de fleurs poussent en liberté dans mon verger.
Pourquoi je VOTERAI NON
« Je refuse que l’on consacre de nombreuses terres nourricières uniquement à la promotion de la biodiversité. L’évolution de l’agriculture permet aujourd’hui de concilier production alimentaire et préservation de l’environnement. La production biologique, mais aussi d’autres pratiques agronomiques le démontrent bien. »
Pourquoi je
VOTERAI NON
« Les Franches-Montagnes sont réputées pour leurs pâturages boisés qui démontrent que l’on peut harmonieusement mêler tourisme, agriculture, production de bois et promotion de la biodiversité. L’initiative met en péril cet équilibre précieux, menaçant le cœur même de nos régions de montagne et l’avenir de leur agriculture. »
Pourquoi je VOTERAI NON
« Bien que je travaille sans paiements directs , je mets en place plusieurs mesures favorisant la biodiversité. Ma petite exploitation de trois hectares ne peut pas se permettre de consacrer plus de surfaces uniquement à la biodiversité. L’initiative entraînerait une hausse des prix des produits locaux et une augmentation des importations qui ne respectent pas nos standards écologiques. »
initiativebiodiversite-non.ch
Vaches allaitantesOFFRIR DE LA DIGNITÉ –LE PLUS PRÉCIEUX DES LEGS !
Il est indigne de ne pas avoir de toit au-dessus de la tête. C’est pourtant le cas de nombreuses personnes en Suisse. En faisant un legs, vous faites beaucoup de bien – au-delà de votre vie. Nous vous remercions de tout coeur, au nom des personnes dans le besoin que vous aidez.
Commander notre guide gratuit et demander un conseil personnalisé.
Fondation Armée du Salut Suisse | Laupenstrasse 5 | 3008 Berne | Téléphne 031 388 06 39 | prevoyance@armeedusalut.ch | armeedusalut.ch
Brandreport • Honda
Un demi-siècle d’excellence et de passion
Forte de son héritage et de ses modèles iconiques, leader incontesté du marché mondial des deux-roues, Honda Moto Suisse nous convie à fêter, avec elle, sa cinquantième année sur le sol helvétique.
Avec la plus grande gamme de motos et de scooters du marché, Honda maintient sa pole position en s’affirmant comme numéro 1 des ventes de deux roues dans notre pays, tout comme en Europe et partout à travers le monde. Loin d’être le fruit du hasard, cette position de leader est le résultat d’un engagement constant envers la qualité, la fiabilité, l’innovation et la satisfaction du client.
Taillés pour l’aventure, la route et les voyages
Les modèles iconiques de la marque attisent les passions et les rêves. L’Africa Twin, par exemple, est bien plus qu’une simple machine. Avec son allure intrépide et sa robustesse inégalée, elle incarne l’esprit de liberté et d’aventure. Intemporelle par nature, parfaite pour un usage polyvalent, sa version 2024 « Adventure Sport » est déjà considérée comme un véritable bijou. La Transalp, quant à elle, tout aussi iconique que sa grande sœur, évoque des panoramas stupéfiants et des routes sinueuses à travers nos montagnes. La légendaire NT1100, l’incontournable Rebel et l’exaltante Hornet garantissent une expérience de conduite sur route qui fait que les kilomètres défilent sans effort, transformant chaque déplacement en un véritable plaisir. Enfin, l’imposante Goldwing aux lignes raffinées, summum du luxe et du confort est à la moto ce qu’un palace est à l’hôtellerie. Marché acquis et ventes en hausse Depuis son implantation en Suisse, la marque a su conquérir les cœurs des passionnés de moto en vendant plus de 380 000 modèles dans le pays. Si on les mettait en file indienne, roue dans roue, sur une longue transversale entre Genève et le fin-fond des Grisons, elles couvriraient plus de deux fois la Suisse d’ouest en est. En cela, ce ne sont pas moins de 60 concessionnaires, dont un tiers en Suisse romande, qui en assurent la promotion, la vente et l’entretien afin que chaque client puisse bénéficier d’un service de qualité, quelle que soit sa localisation.
Honda Moto Suisse a en effet tissé un réseau dense et performant garantissant une proximité pour tous les fidèles et passionnés de la marque, sans compter les nouveaux clients qu’elle acquiert au quotidien.
Une boîte automatique pour plus de confort
Honda est à la pointe de la technologie en matière de confort, de sécurité de performances et d’innovation. Prenons pour exemple la boîte automatique DCT (Dual Clutch Transmission). Introduite en Europe il y a dix ans, cette technologie révolutionnaire a transformé l’expérience de conduite en rendant les trajets plus agréables à l’endroit des motards misant sur la simplicité et la fluidité de la conduite. Cette boîte permet en effet des changements de vitesse rapides, quasi imperceptibles. Elle offre ainsi une accélération linéaire, sans interruption, et permet de réduire la fatigue en éliminant le besoin constant de manipuler l’embrayage et le
levier de vitesses. Idéale en ville tout autant que sur route, cette technologie est de plus en plus appréciée. Depuis une dizaine d’années, environ 250’000 modèles équipés de la boîte automatique DCT ont sillonné et sillonnent encore les routes européennes. Cette option est proposée sur plusieurs modèles de la marque comme l’Africa Twin, la Goldwing, la NT1100, pour ne citer que ceux-ci.
Les alliés de la mobilité urbaine Les scooters Honda excellent quant à eux dans le domaine de la mobilité urbaine et périurbaine. Avec une gamme diversifiée d’une douzaine de modèles et de leurs déclinaisons, chacun y trouvera son compte. Idéals pour se rendre au travail ou pour les petits déplacements de loisir, ces scooters sont reconnus pour leur fiabilité, leur sympathique design et leur l’agilité. Ils s’inscrivent comme des partenaires de choix pour celles et ceux qui recherchent une mobilité urbaine sans compromis.
Entre passé et avenir
Fondée il y a 75 ans par Soichiro Honda, la marque a rapidement gagné en réputation grâce à son engagement sans concession envers l’excellence. Au fil des années, elle a su trouver le meilleur équilibre entre tradition et innovation ; établissant ainsi un lien solide entre les valeurs fondamentales et les exigences d’un marché moderne en matière de technologie, de performances et de sécurité, notamment grâce aux retours d’expériences de millions de motards à travers le monde. Tout ceci étant de très bon augure pour la suite, nous souhaitons un bel anniversaire à Honda Moto Suisse ainsi qu’un fructueux avenir à la marque. Texte Emmanuel Viaccoz
Plus d’informations : www.fr.honda.ch/motorcycles
Produits naturels et traditionnels
1 gélule B’Onaturis consommée toutes les 4 secondes en Suisse
Brandreport • divorce.ch
Divorce / Séparation : la pension pour enfant(s) mineur(s)
Comment déterminer le montant de la pension pour enfant(s) mineur(s) ? La mère s’inquiète car elle ne travaille souvent qu’à temps partiel (ou pas du tout) et le père craint de ne servir que de tiroir-caisse. Il est pourtant facile de déterminer le juste montant en se rappelant de quelques règles simples.
Le montant dépend bien sûr des ressources financières concrètes des parents et des besoins (raisonnables) de l’enfant. Il dépend aussi de la garde (attribuée à l’un avec un droit de visite à l’autre) ou garde alternée plus ou moins équilibrée.
Commencer par établir le budget de chaque parent et de l’enfant en ne retenant que les revenus nets (les allocations familiales vont dans le budget de l’enfant) et en réduisant les frais aux minimums vitaux.
Aucune pension n’est due tant que les ressources ne sont pas suffisantes pour couvrir le minimum vital du parent qui devrait une pension (celui/celle qui n’a pas la garde de l’enfant). Si elles laissent un petit disponible, l’excédent est le montant de la pension.
Tout est pourtant écrit à l’avance de sorte qu’on peut vous dire aujourd’hui quel sera le résultat d’une procédure « bagarre » qui peut durer plus de 10 ans.
Si les ressources sont largement suffisantes pour couvrir tous les frais du parent qui n’a pas la garde, le maximum de la pension est le montant des frais raisonnables de l’enfant.
Pour tous les cas intermédiaires ente le minimum et le maximum du montant de la pension, le calcul se fait facilement en retenant 17 % du revenu net du parent qui n’a pas la garde pour le montant de la
pension d’un enfant, 27 % pour deux enfants et 33 % pour trois enfants. En cas de garde alternée, appliquer ces pourcentages sur le différentiel de revenus.
Le Tribunal fédéral n’applique pas ces pourcentages (tout en retenant qu’ils donnent dans la plupart des cas des résultats satisfaisants) mais une méthode qui se veut objective et qui ne l’est pas du tout. Une véritable usine à gaz qui fait la joie des avocats.
Tout est pourtant écrit à l’avance de sorte qu’on peut vous dire aujourd’hui quel sera le résultat d’une procédure « bagarre » qui peut durer plus de 10 ans.
De plus, à la fin des procédures « bagarre », il n’y a pas de gagnant mais que des perdants : des enfants traumatisés, souvent gravement, parfois à vie…
D’ailleurs, statistiquement, plus de 95 % des divorces prononcés en Suisse sont des divorces par consentement mutuel.
Tous les détails en scannant le QR Code :
divorce.ch est le leader des sites suisses sur le divorce et la séparation. Plus de 35 000 visiteurs par mois, dont de nombreux avocats qui viennent prendre la jurisprudence mise à jour quotidiennement, gratuitement disponible, pour ensuite refacturer leurs clients sous forme de « recherches juridiques ».
Le site est recommandé par les greffes de la plupart des tribunaux suisses.
Il est avant tout un site d’informations gratuites, complètes, vulgarisées et détaillées sur tous les aspects du divorce ou de la séparation (y compris pour parents non mariés).
Il permet de préparer sa documentation pour divorcer/se séparer à envoyer au Tribunal, sans payer un avocat, pour un prix dérisoire. Tous les dossiers sont vérifiés par des avocats spécialisés avant l’envoi au Tribunal par le client. Le site offre aussi des conseils personnalisés par téléphone ou vidéo conférence.
Profiter d’un été à la fois relaxant et dynamique
Surplombant la vallée du Rhône, Ovronnaz est une destination estivale idéale pour ceux en quête de détente et d’aventure. Enclavée entre fleuve et montagne, cette charmante localité offre un cadre époustouflant qui allie les plaisirs des Bains thermaux aux activités en plein air. Que l’on soit amateur de relaxation, de randonnée ou de découvertes culturelles, Ovronnaz a tout pour plaire.
Découverte du terroir
Récemment rénové, l’alpage d’Odonne à Ovronnaz propose une expérience immersive dans le terroir local. Les visiteurs peuvent y déguster des produits locaux et découvrir la vie traditionnelle des alpages. Chaque vendredi après-midi, les fromagères s’attèlent à faire découvrir leurs métiers aux nombreux curieux. Cette expérience authentique est accessible à pied en 45 minutes environ. Partie intégrante de l’identité d’Ovronnaz, les alpages offrent des produits frais et des paysages à couper le souffle.
Randonnées pour tous les niveaux
Nichée au cœur des Alpes valaisannes, la région d’Ovronnaz offre un vaste réseau de sentiers de randonnée, adaptés à tous les niveaux. Des promenades tranquilles à travers des alpages verdoyants aux randonnées plus intenses jusqu’à la Dent de Morcle coté T4, chaque visiteur trouvera son bonheur. Le sentier botanique « Mille fleurs », primé pour sa beauté et son côté didactique est idéal pour une sortie en famille, tandis que les randonneurs plus expérimentés pourront rejoindre la Cabane Rambert après une bonne montée, offrant des vues à couper le souffle.
Un programme d’animations et d’activités riche et gratuit
sont composés de piscines en plein air chauffées entre 32 et 35 degrés où les visiteurs peuvent se détendre tout en profitant de vues panoramiques sur la vallée du Rhône. Ils sont parfaits après une journée d’exploration, permettant de se ressourcer dans un cadre naturel exceptionnel. Le centre thermal propose un programme complet en matière de bien-être, incluant un espace de soin, un département beauté et trois piscines thermales.
Un accueil chaleureux et convivial Enfin, l’accueil chaleureux et convivial des habitants d’Ovronnaz est un atout supplémentaire. Les visiteurs se sentent rapidement chez eux et apprécient la convivialité et l’authenticité de la station. Que l’on vienne pour un week-end ou un séjour plus long, on repart ressourcé et avec des souvenirs inoubliables.
L’Office du Tourisme d’Ovronnaz organise un programme varié d’activités gratuites pour tous les âges. Le programme hebdomadaire estival inclus par exemple des initiations au cirque ou à l’escalade, des randonnées guidées, des concerts classiques, la découverte du monde des abeilles et bien d’autres thèmes. Les familles apprécieront particulièrement les activités adaptées aux enfants, comme les balades à dos des poneys ou en compagnie des alpagas. Le mini Zoo et la zone de jeux en haut du télésiège de Jorasse offrent une pléiade de divertissements. On pense aussi au jeu de piste Lucky Luke, une activité ludique et éducative qui invite à explorer la région en suivant les traces du célèbre héros de bande dessinée. Ce jeu de piste est une manière originale de découvrir les environs tout en s’amusant. Toutes ces activités sont conçues pour plaire à tous les âges et permettent de découvrir Ovronnaz sous différents aspects. Pour les sportifs, Ovronnaz offre de nombreuses possibilités de s’adonner à leur passion. Les
Brandreport • Bibliothèque Sonore Romande
amateurs de VTT pourront emprunter des itinéraires adaptés à tous les niveaux, comme les parcours faciles sur les sentiers forestiers ou les pistes plus exigeantes du haut de Jorasse, offrant des vues spectaculaires sur le Bas Valais. En plus des randonnées et du VTT, la région propose des activités telles que l’escalade, le parapente et le trail. Les sentiers balisés permettent de découvrir des panoramas époustouflants et des sites naturels d’exception. Après une journée d’efforts, les bains bouillonnants du centre thermal sont parfaits pour détendre les muscles fatigués. Des thermes en plein cœur des montagnes Grâce à la source d’eau chaude de la Salentze, les eaux des Bains d’Ovronnaz offrent le meilleur de la montagne depuis 1990. Véritables oasis de relaxation, parfaits pour se ressourcer en été, ces bains
Ce qui rend Ovronnaz si spéciale, c’est son équilibre parfait entre nature et détente. La beauté naturelle de la région, combinée à une multitude d’activités et d’animations, en fait une destination unique et ressourçante. Les visiteurs peuvent profiter de l’air pur des montagnes, des paysages grandioses et de la tranquillité des bains thermaux, tout en ayant accès à des activités dynamiques et variées.
Pour plus d’informations, visitez le site officiel d’Ovronnaz : www.ovronnaz.ch
Difficultés de lecture : retrouver le plaisir de lire grâce aux livres audio
La Bibliothèque Sonore Romande offre une alternative attrayante et gratuite aux lectures traditionnelles, rendant le plaisir de lire accessible aux personnes atteintes dans leur vue ou ayant des difficultés de lecture.
Isabelle Albanese, directrice de la Bibliothèque Sonore Romande, présente l’établissement et ses objectifs littéraires.
Isabelle Albanese, qu’est-ce que la Bibliothèque Sonore Romande ?
La Bibliothèque Sonore Romande (BSR) est une bibliothèque qui propose des livres en format audio grâce à l’engagement de plus de 100 lecteurs et lectrices bénévoles. Ces derniers mettent leur voix et leur intelligence humaine au service de la transcription et rendent ainsi la lecture accessible aux personnes rencontrant des difficultés avec les supports imprimés.
Nos locaux, situés au cœur de Lausanne au Flon, sont ouverts du lundi au vendredi. Nos bibliothécaires sont également disponibles par téléphone pour assister les personnes ayant des problèmes de mobilité. À qui sont destinés les services proposés par la BSR ?
La Bibliothèque Sonore Romande sert plus de 3 500 personnes qui ne peuvent lire sur format imprimé pour diverses raisons. Cela inclut des déficiences visuelles, touchant notamment les
personnes âgées ayant progressivement perdu la vue en raison de maladies comme la rétinite pigmentaire ou la dégénérescence maculaire.
Nous accueillons aussi des jeunes qui ont des troubles de l’apprentissage tels que la dyslexie ou les troubles déficitaires de l’attention (TDA). Notre bibliothèque s’adresse également aux personnes ayant des troubles moteurs ou neurologiques les empêchant de lire dans des conditions optimales.
L’inscription à la Bibliothèque Sonore est gratuite, mais nécessite un certificat médical ou une attestation d’un professionnel confirmant la difficulté à lire l’imprimé.
Comment l’équipe de la bibliothèque fait-elle pour accompagner au mieux les personnes vers une lecture adaptée à leurs besoins et intérêts ?
Nous proposons plusieurs supports afin de couvrir les besoins et compétences de chacun. Certaines personnes, notamment les personnes âgées, peuvent par exemple manquer de compétences technologiques. Pour répondre à cette situation, nous offrons l’intégralité de notre collection sous forme de CD, de cartes mémoire ou de clés USB, que nous envoyons gratuitement à domicile, sans frais de port, et ce partout dans le monde. L’objectif est que chacun puisse être entièrement autonome dans l’emprunt des livres audio. Nous conseillons également des lecteurs CD équipés de gros boutons colorés, rendant leur utilisation plus accessible.
Nos auditeurs plus connectés peuvent quant à eux télécharger l’intégralité de notre collection directement depuis notre site web et nos applications mobile, qui sont conçus pour être accessibles aux différents types de handicaps.
Quels types de lectures sont proposés au sein de la BSR ? Il y en a pour tous les goûts ! Nous proposons plus de
33 000 documents audios, dont des romans, des documentaires, des biographies, des journaux, mais aussi des séries et films audiodécrits ou encore le matériel des votations.
Nous nous efforçons de transcrire rapidement les dernières tendances afin de permettre aux personnes non seulement de bénéficier du plaisir culturel de la lecture, mais aussi du plaisir social apporté par le partage. Pour cela, nous avons besoin de la voix et de l’intelligence humaine de nos lecteurs bénévoles qui réussissent brillamment à transcrire les livres avec finesse.
Vous proposez des animations et événements culturels, pouvezvous m’en dire plus ?
Nous organisons effectivement un café littéraire connu sous le nom de BSR Apéro. Nous proposons encore trois dates jusqu’à la fin de l’année 2024 : le 28 septembre, deux comédiennes proposeront une lecture théâtralisée, le 26 octobre, l’auteur Pascal Janovjak présentera son livre «Le voyage du Salem», enregistré par ses soins, et le 30 novembre, nous explorerons l’univers de Ramuz. Ces cafés littéraires gratuits sont ouverts à tous et toutes et sont une occasion de rencontre intéressante entre les bénéficiaires de la bibliothèque et les bénévoles.
Nous serons également présents au Livre sur les quais à Morges, du 30 août au 1er septembre. Avoir un
stand sur les quais est une magnifique opportunité de rencontre durant laquelle nous proposerons un juke-box littéraire. Le public pourra se faire lire par un lecteur de la Bibliothèque Sonore Romande, assis au bord du lac, des passages choisis par les auteurs. Durant cet événement, nous organiserons également des ateliers avec des exercices ludiques illustrant ce qu’est la lecture pour une personne dyslexique. Cela permet aux parents, par exemple, de mieux comprendre ce que vivent leurs enfants. En outre, nous proposerons des lectures en direct, dont une lecture dans le noir par un lecteur aveugle utilisant le braille. Les 16 et 17 novembre, nous partagerons finalement un stand avec des acteurs du handicap de la vue au salon planète santé à Beaulieu Lausanne.
Quels sont les projets futurs de la bibliothèque ?
En complément des livres que nous produisons avec les voix humaines de nos bénévoles, nous nous intéressons aux voix de synthèse qui peuvent être un complément très intéressant. Pour les lectures littéraires, cela n’est pour l’instant pas encore assez développé. Mais nous suivons cela de très près et produisons déjà certains de nos journaux avec une voix de synthèse, ceci bien sûr de manière très contrôlée. À partir de cet été, nous proposerons également des EPUB, des livres électroniques, qui intéresseront notamment notre jeune public dyslexique. Cela leur permettra d’avoir le texte écrit devant eux tout en le synchronisant avec l’audio, facilitant ainsi leur lecture.
Interview Maévane Mas
Boudin Renoir Cézanne Gauguin...
Auguste Renoir, La barque (détail), vers 1878 Museum Langmatt, BadenPartez à l’exploration du monde !
POINTS FORTS
• La petite ville portuaire de Mahébourg
• Croisière en voilier vers l’île aux Cerfs
• L’île Maurice et sa route du thé
CROATIE - MONTÉNÉGRO
Du 12 au 19 septembre 2024
DÈS 2’390.-
PAR
8 JOURS
CROATIE ET LE MONTÉNÉGRO
Croisière d’île en île en mer Adriatique
Bienvenue à bord de cette aventure qui vous emmènera à la découverte des joyaux de la Croatie et du Monténégro. Une escapade qui marie parfaitement détente et paysages naturels d’une beauté exceptionnelle. Cabine double extérieure, pension complète
POINTS FORTS
• Animation par Rocco notre musicien de renom
• Paysages éblouissants et cités fortifiées
• La splendeur des bouches de Kotor
Du 15 au 27 novembre 2024
La perle de l’océan Indien
Envolez-vous vers un décor de rêve : l’île Maurice ! Vous aurez la possibilité de découvrir sa beauté à travers le Cap Malheureux et ses eaux cristallines, le jardin botanique de Pamplemousse ou encore la réserve naturelle de l’île aux Aigrettes. Hôtel 5*, demi-pension
PORTUGAL - ESPAGNE
Du 19 au 26 août 2024
DÈS 2’550.PAR
EN CABINE DOUBLE
8 JOURS
CROISIÈRE DE PORTO VERS L’ESPAGNE
Entre vignes et fleuve dans la vallée du Douro
Embarquez à bord et laissez-vous emporter à travers la vallée du Douro, terre de vins et d’histoire, répertoriée au patrimoine mondial de l’UNESCO. Imprégnez-vous des richesses locales à travers de magnifiques visites. Cabine double extérieure, pension complète
POINTS FORTS
• Bateau privatisé pour les clients Buchard
• Patrimoine, saveurs, danses et chants traditionnels
• Soirées flamenco, fado et folklorique à bord
Lieux de départ au plus près de chez vous, depuis les cantons de GE, FR, NE, VD et VS
PRESTATIONS INCLUSES
Le coup de fendant du patron Voyage en car 4* tout confort Accompagnatrice Buchard
Boissons gratuites à bord du car