Focus Notre Jeunesse Partie 1

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Simon Bellenot

Notre Jeunesse

Février ’25

Formations initiales et continues : un océan de possibilités

Lorsqu’on a 15 ans et qu’on voit toutes les possibilités de formation qui s’offrent à nous, le vertige l’emporte. Il est donc rassurant de suivre les recommandations des parents ou des enseignant∙es, même si ces dernières sont la plupart du temps très standardisées : le collège si les notes sont bonnes, l’ECG si une appétence pour le santé-social est exprimée.

20 ou 30 ans plus tard, on envie les jeunes d’avoir tant de portes ouvertes devant elles et eux. On se surprend à rêver de pouvoir remonter le temps pour pouvoir faire d’autres choix : les nôtres.

Rien que la voie de l’apprentissage, c’est plus de 250 métiers possibles. Ajoutez à cela le choix du mode d’apprentissage entre dual (alternance entre entreprise et école professionnelle) ou école à plein temps. Sans oublier les passerelles qui permettent de débuter par un apprentissage et de finir par une haute école ou l’université. Et enfin, la formation continue, après l’entrée dans le monde du travail, avec toutes ses possibilités certifiantes ou non.

En Suisse, la formation offre des combinaisons infinies. Dès lors, il est essentiel de bien se renseigner auprès des organismes dédiés et de prendre le temps de choisir sa voie. Ce choix ne devrait pas être dicté par un bulletin scolaire ou une croyance

Dans l’océan des formations professionnelles et générales, initiales et continues, il est bon d’avoir à ses côtés des professionnel∙le∙s qui permettent de ne pas s’y noyer.

– Mathilde Appia, Directrice Fondation Qualife

populaire selon laquelle certaines filières sont plus honorables que d’autres. Ce choix doit être dicté par les intérêts, l’envie, le sens, les perspectives. Naïve me direz-vous ? Au contraire, réaliste. À Genève, il faut en moyenne plus de sept ans pour qu’un∙e jeune obtienne un premier diplôme après l’école obligatoire ! Plus de la moitié d’entre eux ne terminent pas la formation qu’ils ont débuté après le cycle d’orientation. Quel est l’intérêt de se précipiter au collège si c’est pour l’arrêter tellement on s’y déplait ? Où est le tort de se lancer dans un apprentissage si c’est pour aller au bout et s’y épanouir ?

Des structures comme la Fondation Qualife existent pour accompagner les jeunes dans ce travail d’orientation et de construction d’un projet professionnel. Cela ne signifie pas que les jeunes n’ont pas le droit à l’erreur ou à la réorientation. Cela veut dire que dans l’océan des formations professionnelles et générales, initiales et continues, il est bon d’avoir à ses côtés des professionnel∙le∙s qui permettent de ne pas s’y noyer.

Quels que soient votre âge et les yeux avec lesquels vous lirez ce dossier « Notre jeunesse », je vous souhaite d’y trouver des informations utiles et le courage de requestionner vos certitudes.

Texte Mathilde Appia, Directrice Fondation Qualife

Contenu.

04 Études et loisirs 08 Éducation

10

Interview:

Simon Bellenot

Focus Notre Jeunesse.

Cheffe de projet Suzie Antao

Responsable national Pascal Buck

Rédactrice en chef Romandie

Laurane Saad

Responsable graphique Mathias Manner

Graphiste Marie Geyer

Journalistes

Océane Ilunga, Léa Stocky

Image de couverture màd

Canal de distribution 20 Minutes

Imprimerie Tamedia AG

Smart Media Agency. Gerbergasse 5, 8001 Zürich, Suisse Tél +41 44 258 86 00 info@smartmediaagency.ch redactionFR@smartmediaagency.ch focus.swiss

Bonne lecture ! Suzie Antao Cheffe de projet

« Je prends mon avenir en main avec la formation Young Insurance Professional AFA »

– Lea, YIP chez La Mobilière

Informations et inscriptions sur irfa.ch

Le secteur social est plein de possibilités.

RunDay4life

6 SEPT. 2025 - AUBONNE

Découvrez votre voie sur

professionssociales.ch

MASTERS SOIRÉE DES

5 mars 2025, dès 17h

Présentations des cursus, suivies d’un apéritif

Bâtiment principal, 1er-Mars 26, 2000 Neuchâtel

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Plusieurs parcours à choix pour petits et grands, amateurs et sportifs avérés !

Courir pour le plaisir - 1,8km - 3km 5km - 10km et Walking 5km

Nouveau : Z’ApéroRun

Inscrivez-vous et faites la différence !

Chronométrage officiel avec

La course solidaire de Zoé4life pour soutenir les enfants et adolescents atteints de cancer ww zoe4life org/runday4life

THÉÂTRE DE 9 À 109 ANS

14 – 30 MARS 2025

Théâtre Am Stram Gram Centre international de création, partenaire de l’enfance et la jeunesse
ANTOINE COURVOISIER CIE MOKETT

Un tremplin vers les métiers de l’hospitalité et du luxe

Choisir sa voie professionnelle peut être un vrai défi dans un monde en perpétuelle transformation. L’École Hôtelière de Genève (EHG), accompagne ses étudiants en leur offrant une formation ancrée dans les réalités du marché, alliant savoir-faire, innovation et excellence.

Un équilibre entre théorie et pratique pour une employabilité optimale Depuis la crise du Covid et l’accélération technologique, l’industrie de l’hospitalité a évolué, nécessitant une adaptabilité constante. Les programmes de formation allient enseignement académique et expérience terrain, incluant des stages en Suisse et à l’international. Ces expériences immersives permettent aux étudiants de mieux appréhender le secteur, d’affiner leurs capacités d’analyse et de gestion, et de développer leur aptitude au travail en équipe. Cette approche renforce leur attractivité pour des secteurs variés tels que l’hôtellerie, la restauration, l’événementiel,

les ressources humaines, la finance, le luxe et toute activité axée sur la relation client. Le développement des soft skills, devenues essentielles, en fait des professionnels recherchés dans de nombreux domaines.

Une pédagogie innovante et des expériences immersives L’intégration de solutions technologiques avancées, comme le « Majordome Digital » – une intelligence artificielle dédiée à la personnalisation de l’apprentissage

outil accompagne chaque étudiant en proposant des retours adaptés à ses besoins. En complément, la Semaine Découverte, organisée en juillet, permet aux jeunes de 15 à 18 ans d’explorer les carrières de l’hospitalité et au-delà. À travers des expériences pratiques et des rencontres avec des professionnels, ils découvrent les métiers de l’hôtellerie, du luxe, de l’événementiel et du marketing digital.

Certificats et programmes post diplômes : un tremplin vers l’avenir Les formations post diplômes sont conçues pour répondre aux attentes du marché en proposant des spécialisations en marketing digital, responsabilité sociétale des entreprises (RSE), digitalisation et entrepreneuriat en restauration. Elles permettent aux professionnels d’acquérir des compétences stratégiques pour évoluer et exceller dans un environnement en mutation. L’apprentissage est animé par des experts du secteur et enrichi par des opportunités de networking et des collaborations avec des entreprises partenaires.

Grâce à ces formations, les étudiants disposent des outils et des compétences nécessaires pour s’adapter aux évolutions du secteur et saisir les opportunités professionnelles de demain.

Berner Fachhochschule • Brandreport

Des formations d’avenir en technique et informatique

Les métiers techniques et informatiques offrent un avenir prometteur. À la Berner Fachhochschule (BFH), le département technique et informatique propose des formations adaptées aux besoins du marché. Rencontre avec Roger Filliger, responsable de l’enseignement technique et informatique, et Aymeric Niederhauser, responsable de la filière mécatronique et ingénierie des systèmes (Technique médicale | Robotique).

Roger Filliger

Responsable de l’enseignement technique et informatique

Aymeric Niederhauser

Responsable de la filière mécatronique et ingénierie des systèmes (Technique médicale | Robotique)

Aymeric Niederhauser, quelles sont les formations proposées

par le département technique et informatique de la BFH ?

Nous offrons des Bachelors en génie mécanique, électronique, informatique, mécatronique et ingénierie des systèmes, informatique médicale, ingénierie de gestion et ingénierie automobile : une formation unique en Suisse. Une nouvelle filière en data engineering répond aux enjeux des nouvelles technologies.

Roger Filliger, peut-on poursuivre en Master ?

Oui, nous proposons le Master Science & Engineering, commun aux Hautes Écoles Spécialisées suisses, ainsi que deux Masters en partenariat avec l’Université de Berne. Ces formations permettent d’accéder à un doctorat.

L’enseignement est-il axé sur la pratique ?

Aymeric Niederhauser : Tout à fait. Dès la première année, les étudiants réalisent des projets concrets. Après huit semaines, nos étudiants participent déjà

à un challenge technique en équipe. La deuxième année, ils travaillent avec des entreprises sur des sujets réels.

Roger Filliger : Nos professeurs collaborent étroitement avec l’industrie, assurant ainsi des formations adaptées aux besoins du marché.

Comment la formation s’adaptet-elle aux besoins des étudiants ?

Aymeric Niederhauser : Nous proposons des cours à option pour personnaliser les cursus, ainsi que des études à temps partiel. L’école est bilingue (français-allemand) et propose certains cours en anglais, un réel atout pour le marché du travail.

Roger Filliger : La maîtrise de plusieurs langues peut mener à un salaire de 10-20 % plus élevé.

Quelles sont les perspectives après un Bachelor technique et informatique ?

Aymeric Niederhauser : De nombreux débouchés existent : bureaux d’ingénieurs, entreprises technologiques, technique

médicale, sport, horlogerie ou robotique. L’IA, avec ces différentes opportunités est aussi un domaine en plein essor.

Quelles sont les conditions d’admission ?

Roger Filliger : Nous demandons un Certificat Fédéral de Capacité (CFC) avec maturité professionnelle. Les gymnasiens peuvent aussi postuler, à condition de faire un stage en parallèle. Des reconnaissances de compétences existent pour les diplômés des écoles techniques supérieures.

Un conseil pour un jeune qui hésite ?

Aymeric Niederhauser : Se lancer dans des études d’ingénierie est un investissement sûr et passionnant. Cela ouvre des portes et permet de travailler sur des technologies qui ont un réel impact sur la société.

Roger Filliger : Investir dans sa formation, c’est investir dans son avenir !

Recruitment Day Payerne

26 février 2025

«Nous préparons avec soin nos étudiant·e·s à leur futur métier»

Les contrôleur·euse·s de la circulation aérienne suivent une formation exigeante, alliant compétences théoriques et pratiques.

& Training, répond à nos questions sur la formation de contrôleur·euse de la circulation aérienne

Patric Burri, pourquoi choisir de devenir contrôleur·euse de la circulation aérienne?

Les contrôleur·euse·s de la circulation aérienne assurent chaque jour la sécurité de milliers de passagers. Se sentir responsable de cette sécurité et savoir que tant de personnes comptent sur vous peut être incroyablement gratifiant. Il existe aussi des possibilités d’évolution, y compris à des fonctions de supervision et d’enseignement, qui apportent des satisfactions professionnelles et des perspectives.

L’IA risque-t-elle de remplacer ces métiers?

Le développement rapide de l’IA peut jouer un rôle dans l’automatisation de certains processus et appuyer les contrôleur·euse·s de la circulation aérienne dans leurs tâches. Toutefois, la prise de décisions différenciées ne peut pas reposer uniquement sur le raisonnement. En plus de la logique, l’être humain est capable d’utiliser son intuition et son expérience pour prendre une décision. L’IA ne peut

donc en aucun cas remplacer les capacités multiples de l’être humain.

Quelles sont les caractéristiques des futur·e·s contrôleur·euse·s de la circulation aérienne?

Nous recherchons des profils tournés vers l’action! Des personnalités pragmatiques, aimant prendre des décisions tout en sachant faire preuve de souplesse cognitive. Ce sont également des personnes au caractère fiable et responsable, intéressées par l’aviation.

Comment Skyguide prépare-t-elle les futur·e·s contrôleur·euse·s de la circulation aérienne dipl. ES à ces fonctions de responsabilités? Nous préparons avec soin nos étudiant·e·s aux exigences de leur futur métier. A côté des bases théoriques, ils et elles acquièrent et développent en continu des compétences pratiques. La complexité augmente peu à peu et avec elle, les aptitudes personnelles.

De quoi se compose la formation? La formation de contrôleur·euse de la circulation aérienne est modulaire et très axée sur la pratique. La gamification permet de consolider dès le départ la compréhension des contenus théoriques. L’approche pédagogique réflexive tient compte des exigences propres aux formations modernes. La Skyguide Academy dispose d’un radar opérant en conditions réelles et de simulateurs de tour où se déroule la première partie

de la formation pratique. Au bout de 15 mois environ, le reste de la formation prend place sur le terrain, où des coachs expérimenté·e·s prennent la relève de l’enseignement.

Quels sont les défis qui peuvent se présenter en cours de formation? Une formation exigeante suit rarement un déroulement linéaire. Il est tout à fait normal que les performances varient durant certaines phases, ou que la progression stagne momentanément. Il faut parfois faire preuve de résilience, avoir non seulement la faculté, mais aussi la volonté de persévérer malgré les échecs et d’atteindre son but. Les étudiant·e·s sont bien sûr soutenu·e·s au mieux durant ce processus.

Quelle est l’importance des coachs expérimenté·e·s en pareil contexte?

Il est essentiel que les étudiant·e·s puissent bénéficier de l’expérience et de l’encadrement de coachs expérimenté·e·s. Les coachs sont tous et toutes passé·e·s par cette formation et connaissent mieux que quiconque les obstacles et difficultés qui peuvent se présenter.

Skyguide revendique l’objectif de mener à la réussite chaque candidat·e apte. Pourquoi? Tout d’abord, il est nécessaire que Skyguide assure une relève durable pour l’avenir du contrôle aérien en Suisse. Mais nous avons aussi des raisons purement économiques:

nous investissons environ 800000 francs dans la formation de chaque candidat·e. Il est donc indispensable de les encadrer avec le plus grand soin.

Formation Air Traffic Controller (contrôleur·euse de la circulation aérienne)

– 30 mois de formation à temps plein sanctionnés par un diplôme ES

– Formation gratuite

– Langue d‘enseignement: anglais

– Conditions d‘entrée: maturité ou formation professionnelle avec certificat fédéral de capacité

– Compétences: sens aigu des responsabilités, capacité à effectuer plusieurs tâches en même temps

– Age maximal d‘entrée en formation: 28 ans

– Prochain début de formation: septembre 2025

– Candidatures: en cours

Plus d‘informations sur www.skyguide.ch/futur

Patric Burri, Head of Operational Recruitment
dipl. ES.

Attirer de nouveaux talents dans la profession infirmière

La Haute École de Santé Vaud étend son offre de formation en lançant un cursus à temps partiel pour le Bachelor en Soins infirmiers à Lausanne. Tout en respectant les exigences d’accessibilité et d’excellence de la Haute École, ce nouveau format unique répond aux besoins d’équilibre entre études et impératifs financiers ou personnels que peuvent rencontrer les futur.es candidat.es et les personnes en reconversion.

Référence dans le domaine de la santé en Suisse et à l’international, HESAV propose quatre filières de formation Bachelor HES – Soins infirmiers, Physiothérapie, Technique en radiologie médicale et Sage-femme – qui offrent de nombreuses perspectives. Grâce à son corps professoral expert, à ses nombreux partenariats internationaux et à ses activités de recherche, les 1200 étudiant.es en formation initiale ou postgrade bénéficient d’un enseignement académique de qualité tourné vers l’innovation pédagogique et l’excellence, favorisant les interactions entre les différentes professions de santé. En 2026, HESAV investira le Campus Santé, à proximité de l’UNIL et de l’EPFL et intégrera une nouvelle filière de formation : l’ergothérapie actuellement rattachée à la Haute École de travail social et de la santé Lausanne (HETSL).

S’engager au cœur du système de santé avec plus de flexibilité Afin de répondre aux évolutions sociétales et au besoin de former davantage de professionnel.les en soins infirmiers, la Haute École de Santé Vaud propose désormais 3 modalités de cursus pour un même Bachelor en Soins infirmiers : à temps plein en trois ans, en emploi en quatre ans (réservé aux assistant.es en soins et santé communautaire) et à temps partiel en quatre ans et demi.

Ce dernier, nouveau venu parmi les cursus, accueillera ses premiers étudiant.es dès la rentrée de septembre 2025. Composé de neuf semestres, il permet de concilier études et emploi à temps partiel, activités personnelles ou vie familiale. Tout en gardant un enseignement de qualité égale aux formations à temps plein, ce programme alliant cours théoriques et stages pratiques, cherche à faciliter l’accès à la formation, à encourager les

parcours diversifiés et les reconversions professionnelles. Pour les personnes qui ont le sens du contact et de l’écoute, qui sont rigoureux.ses et polyvalent.es et qui souhaitent s’engager dans une profession à la fois scientifique, clinique et technique, centrée sur la personne et les relations humaines, les inscriptions pour la rentrée 2025 sont ouvertes.

ENGAGEZ-VOUS AVEC NOUS POUR LA SANTÉ

1 année préparatoire (APS) et 4 formations Bachelor HES

• Soins infirmiers plein temps · temps partiel · en emploi

• Physiothérapie

Group Emil Frey

• Sage-femme plein temps · en emploi

• Technique en radiologie médicale (TRM)

Une carrière qui a de l’avenir.

Tu veux faire un métier que tu aimes, avec des tâches très variées et qui te promet un avenir brillant? Alors commence un apprentissage chez nous comme:

• Mécatronicien d’automobiles CFC/Mécatronicienne d’automobiles CFC

• Mécanicien en maintenance d’automobiles CFC/Mécanicienne en maintenance d’automobiles CFC

• Assistant en maintenance d’automobiles AFP/Assistante en maintenance d’automobiles AFP

• Gestionnaire du commerce CFC after-sales

• Employé de commerce CFC/Employée de commerce CFC branche automobile

• Carrossier-peintre CFC/Carrossière-peintre CFC

• Carrossier-tôlier CFC/Carrossière-tôlière CFC

Tu nous trouveras aussi sur yousty.ch

Scanne le code pour découvrir nos métiers et formations.

Apprendre une langue étrangère dès le plus jeune âge

Passionnée par les langues étrangères et leur apprentissage, Inge Birnie est une experte en éducation plurilingue dès le plus jeune âge. Elle a enseigné le gaélique aux jeunes enfants en école primaire et en crèche. Professeure à l’université de Strathclyde à Glasgow, elle forme des futurs enseignants avec un parcours riche et varié. Dans cette interview, elle expose ses précieuses recommandations sur l’apprentissage des langues dès le plus jeune âge.

Inge Birnie, pourquoi pensez-vous qu’il est important que les enfants commencent à apprendre des langues étrangères dès leur plus jeune âge ?

L’objectif n’est pas nécessairement de faire d’eux des parfaits bilingues dès qu’ils sont tout petits, mais qu’à travers l’apprentissage des langues, ils comprennent la diversité, le fait que tout le monde ne soit pas pareil. Les enfants ne sont pas forcément meilleurs que les adultes pour apprendre une langue, mais ils sont plus aptes à

Brandreport • Carrosserie Suisse

apprendre sans accent natif. Il est essentiel de leur fournir un apprentissage de qualité, car si l’enseignement est médiocre, les résultats le seront également.

Comment l’exposition précoce à plusieurs langues peut-elle impacter la performance académique d’un enfant ?

Il existe des recherches qui indiquent que si l’on enseigne bien une langue aux enfants, cela les aide dans toutes les autres matières. Dans le cas de l’éducation en gaélique, ici en Écosse, nous avons constaté que les enfants qui apprennent une langue supplémentaire dès leur plus jeune âge réussissent mieux académiquement dans d’autres matières non linguistiques, comme les mathématiques et les sciences, que les enfants qui n’apprennent que l’anglais à l’école. Je pense que cela est lié à l’ouverture de l’esprit, à une manière de penser différente, similaire à la résolution de problèmes.

Quelles sont les méthodes ou stratégies efficaces pour aider à l’apprentissage précoce des langues ?

Cela repose principalement sur le jeu et l’introduction de nouveaux mots dans le cadre de la routine quotidienne. Commencez petit et simple. Par exemple, lorsque les enfants arrivent, saluez-les dans la langue cible, puis immédiatement après, répétez le salut dans la langue

maternelle. Les enfants apprennent mieux lorsqu’ils se sentent heureux et à l’aise ; ils n’apprennent pas sous le stress. Lors de l’introduction de la langue, il est important d’être très visuel. Une méthode simple consiste à utiliser des livres illustrés dans différentes langues. Vous pouvez peut-être avoir la même histoire en langue maternelle et en langue cible.

Qu’en est-il de l’apprentissage de plusieurs langues à un jeune âge, cela peut-il être confus pour les enfants ?

Tant qu’il y a une stratégie claire, les enfants ne sont pas vraiment confus. Plus il y a de langues, mieux c’est !

Quel rôle jouent les parents dans le soutien du parcours d’apprentissage de leur enfant ?

La chose la plus importante que les parents peuvent faire est d’encourager les enfants et de leur montrer combien c’est cool et amusant. Si les parents parlent les langues ciblées, ils peuvent inciter les enfants en les pratiquant à la maison, par exemple en organisant des moments de lecture.

Y a-t-il des idées reçues courantes sur l’apprentissage précoce des langues que vous aimeriez aborder ?

On dit souvent que les enfants sont des éponges et qu’ils vont « juste » absorber les langues par magie. Je dis toujours

qu’il faut arroser une éponge. Les enfants n’apprendront pas une nouvelle langue de manière magique. Il faut leur fournir des ressources de bonne qualité adaptées à leur âge et leur enseigner la langue de manière active. Cela ne veut pas dire qu’il faut leur apprendre la grammaire, car ils sont trop jeunes pour cela, mais cela doit être explicite, par exemple « This is a fork » en montrant la fourchette.

Quels conseils donneriez-vous aux parents qui veulent élever des enfants bilingues ou multilingues ? Pour enseigner une autre langue à un enfant, il est crucial d’être à l’aise et compétent dans cette langue. Il est très difficile d’introduire une langue qui n’est pas profondément ancrée en nous. L’exposition à diverses ressources (livres, histoires, etc.) est essentielle. Ce qui ne fonctionnera pas, c’est de mettre son enfant devant la télévision, car la chose la plus importante pour les enfants qui apprennent des langues est la communication avec les autres. Il est utile de trouver d’autres parents ayant le même objectif et de réunir les enfants pour pratiquer de manière informelle. Les enfants doivent comprendre l’utilité de la langue. Parler et lire dans la langue cible, puis utiliser la télévision comme complément, est une bonne stratégie, mais les dessins animés seuls ne suffisent pas.

Interview Océane Ilunga

Plonge dans le monde de la carrosserie et fonce vers l’avenir !

Des voitures de sport élégantes aux poids lourds imposants, les métiers de la carrosserie allient technique et esthétique, savoir-faire et créativité. Et le meilleur dans tout ça ? Ils ouvrent la voie à un avenir prometteur !

Tu aimes les véhicules qui attirent les regards ? Tu as un talent pour la technique ? Alors, tous les feux sont au vert pour toi ! Viens découvrir un atelier et choisis un apprentissage parmi ces cinq métiers :

Serrurière·serrurier sur véhicules CFC

Dans ce métier, tu travailles l’acier, l’aluminium et d’autres matériaux pour assembler des châssis et leur donner vie : camion de pompiers, grue, remorque… tout passe entre tes mains !

Carrossière-peintre· carrossier-peintre CFC

Du rouge Ferrari au noir métallisé, tu crées les teintes parfaites, les appliques et polies pour un résultat éclatant. Mais ce n’est pas qu’une question d’apparence : ta peinture protège aussi le véhicule.

Carrossière-tôlière· carrossier-tôlier CFC

Bosser sur des bosses ? C’est ton métier ! Tu répares les carrosseries accidentées en travaillant l’acier, l’aluminium et le plastique, tout en utilisant des techniques modernes.

Carrossier·ère réparateur·ice CFC

Après un accident, tu redonnes aux véhicules leur aspect d’origine. Démontage, réparation, remplacement de pièces : un travail essentiel pour assurer sécurité et esthétique.

Assistant·e vernisseur·se AFP

Tu es un maillon essentiel du travail de peinture. Avec précision, tu prépares les teintes, ponces les surfaces abîmées, appliques du mastic sur les bosses et protèges les zones qui ne doivent pas être peintes.

Un avenir aux multiples possibilités Quel que soit ton choix, tu évolueras dans un environnement passionnant avec de nombreuses perspectives d’avenir. Pour en savoir plus : métiersdelacarrosserie.ch

Montessori Seeds of Knowledge • Brandreport 9

Apprendre, grandir, et s’épanouir de 18 mois à 15 ans

Montessori Seeds of Knowledge offre un parcours éducatif complet. Fondée sur les principes Montessori, l’école bilingue accompagne les enfants à chaque étape de leur développement, tout en se distinguant par une section adolescente qui prépare les jeunes à leur entrée au Gymnase et à la vie adulte.

Fondée en 2011 par Marie Littman, l’école Montessori Seeds of Knowledge accueille les enfants de 18 mois à 15 ans dans un cadre bienveillant, favorisant autonomie et confiance.

« Nous avons d’abord ouvert des classes pour les 3-6 ans et les 6-12 ans », explique Noémie Gay, directrice administrative. « Depuis, une section adolescente (2015) et une crèche (2023) complètent notre accompagnement à chaque étape. »

Une pédagogie Montessori appliquée à chaque âge

Dès 18 mois, les tout-petits évoluent dans un environnement adapté, développant leur motricité et leur autonomie grâce à des activités pratiques. À 3-6 ans, ils découvrent les mathématiques, les langues (français et anglais) et les sciences avec du matériel Montessori, rendant l’apprentissage concret.

Pour les 6-12 ans, l’approche devient plus académique tout en respectant le Plan d’Étude Romand (PER). « Les élèves manipulent d’abord le matériel avant de passer au raisonnement abstrait. Ils apprennent par curiosité, sans système de notation », souligne Noémie Gay. Travaillant en petits groupes dans un espace de 300 m², ils développent entraide et autonomie.

Une section adolescente rare et précieuse

À partir de 12 ans, l’école Montessori Seeds of Knowledge se distingue par sa section adolescente, rare dans les écoles Montessori en Suisse. « Grâce à la pédagogie

Montessori, où le jeune est acteur de ses apprentissages, nous répondons aux besoins spécifiques des adolescents qui sont, entre autres, le travail manuel, de la production à la vente. En parallèle, nous les préparons aux examens d’entrée au Gymnase public », explique Noémie Gay.

Les résultats sont probants : 100 % de réussite aux examens d’entrée au Gymnase. L’école accueille également des enfants ayant des troubles spécifiques de l’apprentissage (dyslexie, dyscalculie,etc…) ou des profils atypiques, avec des résultats très positifs.

Une école où chaque enfant s’épanouit Au-delà des résultats scolaires, Montessori Seeds of Knowledge met l’accent sur la confiance en soi, l’autonomie et la bienveillance. L’école invite les parents à venir observer en classe afin de découvrir comment cette pédagogie accompagne chaque enfant vers son épanouissement et son indépendance.

Portes ouvertes :

– Samedi 1er mars de 10h à 14h

– Samedi 3 mai de 10h à 14h

Plus d’informations sur montessori-seeds.ch

Association Montessori Suisse • Brandreport

Travailler dans une classe Montessori est passionnant !

Offrir aux enfants un cadre d’apprentissage épanouissant et adapté à leur rythme : voilà ce qui a poussé Aurélie Mindel à embrasser la pédagogie Montessori. Ancienne chimiste, elle a trouvé dans l’enseignement une vocation où bienveillance, autonomie et respect du développement de l’enfant sont au cœur de chaque journée. Retour sur un parcours inspirant et sur les valeurs qui animent son école Montessori à Granges-Paccot.

La découverte de la pédagogie Montessori via un article sur un réseau social a été un coup de cœur, une évidence. À 31 ans, j’ai quitté mon métier de chimiste, en quête de plus d’humain, et ma formation d’enseignante Montessori a confirmé mon engouement.

Maria Montessori, femme inspirante, a suivi sa volonté de devenir l’une des premières femmes médecin. Mais c’est surtout son dévouement à comprendre les enfants, suivre leur curiosité et nourrir leurs intérêts qui m’a séduite.

C’est ma sixième rentrée scolaire, et chaque fois, c’est une nouvelle page blanche qui se remplit au fil des expériences. Chaque enfant est unique, et l’accompagner dans son développement est un défi passionnant. Voir un enfant progresser, surmonter ses difficultés et s’épanouir me motive chaque jour. Maria Montessori parlait de « l’aide utile » : comment puis-je aider cet enfant ? Chaque jour offre de nouvelles opportunités d’apprentissage. En tant qu’enseignante, il est essentiel de se remettre en question, d’apprendre et de s’adapter en permanence.

Un des grands principes de la pédagogie consiste à regrouper des élèves d’âges mélangés, de trois à six ans. J’adore la dynamique qui en découle et la richesse

des interactions. Plutôt que de solliciter systématiquement l’adulte, les plus jeunes sont encouragés à s’entraider. C’est beau de voir les plus grands trouver des solutions et gagner en autonomie. Il est amusant de constater que les explications d’un enfant de cinq ans sont parfois plus claires pour un tout-petit que celles d’un adulte. Les enfants plus âgés sont fiers d’aider et de montrer ce qu’ils savent aux plus jeunes, c’est gratifiant pour eux. D’un autre côté, cela stimule naturellement les plus jeunes qui sont beaucoup dans l’imitation et ont envie d’apprendre.

Accompagner ces enfants pour qu’ils grandissent en tant que personnes confiantes, épanouies et responsables est bien plus qu’un métier gratifiant : c’est, pour moi, une contribution précieuse à la construction d’un monde meilleur, même à petite échelle.

J’ai ouvert cette école Montessori en août 2024, près de Fribourg. Membre de l’AMS (Association Montessori

Suisse), elle garantit aux parents le respect des principes fondamentaux de cette pédagogie. L’AMS joue aussi un rôle clé en facilitant les échanges entre les professionnels Montessori de Suisse romande et en proposant des conférences et ateliers aux parents ainsi qu’aux spécialistes de l’enfance. Pour moi, il est essentiel de promouvoir cette pédagogie tout en veillant à en préserver l’authenticité.

Les critères fondamentaux de la pédagogie Montessori sont : Des classes d’âges mélangées, un temps de travail ininterrompu d’au moins de 2h30 par jour, 4 jours par semaine, des enseignants diplômés de formations reconnues par l’AMS.

Association Montessori Suisse www.montessori-suisse.ch

Parcours inspirant d’un jeune entrepreneur neuchâtelois

À seulement 24 ans, Simon Bellenot a déjà un parcours entrepreneurial bien rempli. Originaire de Neuchâtel, il a cofondé sa première entreprise au lycée avant de lancer Rephone, une startup spécialisée dans la revente de pièces détachées pour téléphones. Aujourd’hui, après plusieurs années à la tête de son entreprise, il tourne la page et se concentre sur son master en Accounting and Corporate Finance à l’Université de Saint-Gall, tout en explorant de nouvelles opportunités. Rencontre avec un jeune entrepreneur incarnant une génération de jeunes qui osent se lancer, se challenger et s’adapter.

Simon Bellenot, peux-tu nous raconter ton parcours ?

Dans ma vie, j’ai fait beaucoup de choses. J’ai toujours essayé de rester occupé et de ne pas laisser passer les opportunités. Cela m’a amené à co-fonder avec cinq autres étudiants Cook Easy, une mini-entreprise créée dans le cadre du programme Young Enterprise Switzerland (YES). Nous avons remporté le prix de la deuxième meilleure mini-entreprise de Suisse et avons revendu le projet un an plus tard. Cette expérience a été un véritable déclencheur pour moi.

En parallèle, j’ai commencé à faire des réparations de téléphones. D’abord un hobby, puis un vrai service : les gens me demandaient de réparer leurs téléphones, et cela a pris de l’ampleur. C’est ainsi que Rephone a vu le jour.

Comment as-tu concilié études et entrepreneuriat ?

J’ai remarqué que plus j’étais occupé, plus j’étais efficace. Mon organisation s’est améliorée et, paradoxalement, mes résultats scolaires aussi ! Après mon lycée en économie et droit, j’ai pris une année sabbatique pour voyager. J’ai passé cinq mois à Vienne et cinq mois à Sydney, où je prenais des cours de langue et travaillais à côté. Mon objectif était d’intégrer l’Université de Saint-Gall, un défi académique qui me motivait énormément.

J’ai ensuite décroché mon Bachelor en Business Administration, avant de consacrer une année au service civil, travaillant notamment dans un centre d’accueil pour requérants d’asile et en tant qu’assistant RH au Réseau hospitalier neuchâtelois. En parallèle de mes études, j’ai également eu l’opportunité de travailler pour la startup WeTweak SA qui m’a permis de renforcer mes compétences analytiques et mon intérêt pour la comptabilité et les chiffres. Aujourd’hui, je poursuis un Master en Accounting and Corporate Finance à Saint-Gall tout en gérant la transition de Rephone.

Comment est née l’entreprise Rephone ?

Lancée presque par accident, Rephone s’est rapidement imposée. Je n’avais

Commence quelque part ! Le pire, c’est d’avoir des regrets. Tant que tu n’essaies pas, tu ne sauras jamais ce que tu aurais pu accomplir.

pas d’investisseurs derrière moi. J’ai développé l’entreprise petit à petit, en réinvestissant chaque gain et en écoutant attentivement les demandes des clients.

Mais être entrepreneur demande des sacrifices : c’était un travail constant, parfois jusqu’à 3h du matin, y compris les week-ends. Même en vacances, je devais rester connecté. C’était un mode de vie intense, parfois isolant, mais j’ai aussi fait des rencontres incroyables.

Après deux ans de croissance continue, j’ai ressenti le besoin de passer à

– Simon Bellenot, entrepreneur neuchâtelois

autre chose. L’entreprise était bien installée, avec des commandes tous les jours. J’ai compris qu’il était temps d’avancer et de laisser ma place à Repair Hub Sàrl, nouveau repreneur.

Comment as-tu géré la pression et la charge mentale en tant qu’entrepreneur ?

Il y a des moments où l’on se sent complètement dépassé. Grâce à mes expériences, j’ai appris à reconnaître mes limites et à écouter les signaux d’alerte que mon corps m’envoyait.

Quant au syndrome de l’imposteur, j’y ai été confronté. J’avais du mal à parler de Rephone autour de moi, surtout à l’université. J’avais l’impression que c’était juste un « side-hustle ». Mais en prenant du recul, je réalise tout ce que j’ai accompli. J’aurais dû en parler plus tôt, car le feedback et les échanges sont essentiels.

As-tu eu un mentor ou une personne clé qui t’a guidé dans ton parcours ?

Principalement mes parents, qui m’ont toujours soutenu peu importe ce que je décidais de faire. Ils m’ont challengé dans certaines situations et m’ont encouragé.

Avec Cook Easy, nous avions aussi un professeur exceptionnel, Raphaël Perotti au Lycée Jean-Piaget à Neuchâtel. Il était très investi et nous a aidés à prendre confiance en nous.

Que comptes-tu faire maintenant que tu as cédé Rephone ? J’ai envie d’évoluer dans une grande entreprise, de comprendre comment elle fonctionne à grande échelle. Toute entreprise commence petite, et j’aimerais voir comment elles grandissent.

L’entrepreneuriat n’est pas exclu de mon avenir, mais je ne me mets aucune pression. Peut-être qu’un jour, j’y reviendrai. Pour l’instant, je veux gagner en expérience et continuer d’apprendre.

Quel conseil donnerais-tu à un jeune qui veut entreprendre mais ne sait pas par où commencer ?

Commence quelque part ! Le pire, c’est d’avoir des regrets. Tant que tu n’essaies pas, tu ne sauras jamais ce que tu aurais pu accomplir. Peu importe que ton projet réussisse ou non, tu apprendras énormément en chemin.

Quel est ton mantra ?

« Sortir de sa zone de confort et apprendre en faisant. »

As-tu des hobbies en dehors de l’entrepreneuriat ?

Mon hobby était mon entreprise (rires) C’était un mix entre hobby et travail.

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