Construction, Architecture & Design
Janvier ’25
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Bureau d’ingénieurs CVCSER (Chauffage, Ventilation, Climatisation, Sanitaire, Electricité, Régulation et Energie) pour vos projets dans les domaines d’habitations, tertiaires et industriels.
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À l’occasion des 20 ans de Localarchitecture, ses directeurs
Bureau d’ingénieurs CVCSER (Chauffage, Ventilation, Climatisation, Sanitaire, Electricité, Régulation et Energie) pour vos projets dans les domaines d’habitations, tertiaires et industriels.
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Antoine Robert-Grandpierre et Laurent Saurer, partagent leur vision de l’architecture durable et innovante.
Tél. +41 (0)22 559 41 31
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Hans Wicki
Le secteur de la construction joue un rôle essentiel dans l’économie suisse, contribuant à hauteur de 12 % à sa performance globale et employant près de 500 000 professionnels. Il se classe parmi les cinq principaux secteurs générateurs d’emplois, formant également 15 % de tous les apprentis en Suisse. L’avenir de ce domaine s’annonce prometteur, car les entreprises de construction auront un besoin croissant de main-d’œuvre pour garantir des infrastructures et des logements de qualité.
Reconnaissant son importance cruciale pour l’économie et la société, constructionsuisse, l’association faîtière nationale de la construction, regroupe près de 80 associations dans les domaines de la planification, du gros œuvre, du second œuvre, de l’enveloppe du bâtiment ainsi que de la production et du commerce. Elle s’efforce d’accroître la visibilité du secteur, tant sur la scène publique qu’auprès des décideurs politiques. La représentation des intérêts de la construction au niveau national constitue l’une de ses principales missions.
Il convient de souligner que cet engagement politique a déjà porté ses fruits, comme en témoignent plusieurs cas récents. Par exemple, le Parlement est actuellement en train de réviser le Code des obligations (CO), spécifiquement en ce qui concerne la gestion des défauts de construction. Le projet final, qui devrait être adopté lors de la session d’hiver 2024, a suivi un parcours semé d’embûches. Bien que les propositions initiales du Conseil fédéral
aient été jugées globalement acceptables, le Parlement a pris des décisions qui auraient pu déséquilibrer le texte. Grâce à la mobilisation conjointe de constructionsuisse et de ses associations membres, les Chambres ont finalement réajusté ces décisions, remettant le projet sur les rails. Il est essentiel de noter que les dispositions du CO s’appliquent à une variété de projets, allant de la rénovation d’une cuisine à des travaux d’assainissement énergétique complexes ou à la construction d’un pont. Chaque projet de construction ou de rénovation est ainsi personnalisé, loin d’être un produit « prêt à l’emploi ».
Constructionsuisse s’engage donc à promouvoir des conditions-cadres de qualité pour tous les acteurs de la construction, tout au long de la chaîne de valeur. En Suisse romande, les membres de constructionsuisse sont regroupés au sein de l’association régionale constructionromande, qui défend les intérêts de l’industrie locale tout en relayant les messages et priorités de constructionsuisse à l’échelon local. Les organisations faîtières du secteur continueront d’œuvrer pour un secteur de la construction solide, garantissant des conditions-cadres de qualité qui permettront aux entreprises de se développer, de prospérer et d’assurer à la société des infrastructures durables.
Texte Hans Wicki Député au Conseil des États Président Constructionsuisse
02 Éditorial : Hans Wicki
07 Ville de Porrentruy
10
Interview : Localarchitecture
17 Ville de Thônex
Focus Construction, Architecture & Design.
Chef de projet
Ozan Yalcin
Responsable National
Pascal Buck
Rédactrice en chef Romandie & France
Laurane Saad
Responsable Graphique
Mathias Manner
Graphiste
Marie Geyer
Journalistes
Laurane Saad, Océane Ilunga, Emmanuel Viaccoz, Léa Stocky, Maévane Mas, Patrizia Rodio
Image de couverture
La Maison de l’Île aux Oiseaux
©Matthieu Gafsou / LOCALARCHITECTURE
Canal de distribution
Bilan
Impression
Stämpfli Publications SA
Smart Media Agency SA.
Gerbergasse 5, 8001 Zürich, Suisse Tél +41 44 258 86 00 info@smartmediaagency.ch redactionFR@smartmediaagency.ch focus.swiss
Bonne lecture ! Ozan Yalcin Chef de projet
30 ans de succès dans la construction, de croissance et d’innovation.
Le 1er avril 1995, un acteur important du secteur de la construction romande voyait le jour : Bat-Mann. Trente ans plus tard, cette entreprise, née sous l’impulsion d’Antoine Ackermann, a su évoluer pour devenir un acteur marquant du bâtiment Romand. Retour sur trois décennies d’une aventure bâtie sur la qualité, la compétence et une vision de l’avenir.
De l’homme des champs (Ackermann) à l’homme du bâtiment Bat-mann : démarrage d’une aventure.
En 1995, Antoine Ackermann, un entrepreneur suractif, après avoir œuvré dans une des entreprises générales majeures des année 80/90, décide de se lancer dans l’entrepreneuriat. Le 1er avril, un jour connu pour son caractère sérieux, le « Bat-Mann » prend son envol dans le ciel des constructeurs romands. Ce nom, audacieux et symbolique, fait un clin d’œil à un super-héros, préfigurant déjà l’ambition de l’entreprise : s’imposer comme un acteur important et fiable du secteur.
L’extension de l’équipe et l’élargissement des horizons Dès 2005, Bat-Mann fait un premier pas dans son développement. L’entreprise recrute Pierre-Olivier Lettry pour prendre en main la direction opérationnelle. Sous sa houlette, la société diversifie rapidement ses projets, avec un focus particulier sur l’habitat professionnel, la logistique, l’industrie et le logement. Ces années marquent le début d’une expansion maîtrisée qui permettra à Bat-Mann de se faire un nom sur des projets variés et complexes.
En 2010, c’est Patrick Savoy qui rejoint l’équipe pour épauler la direction face à un développement toujours plus important des affaires. Son expertise et son savoir-faire dans la gestion des projets permettent à Bat-Mann d’atteindre un nouveau palier en termes de capacité d’organisation et de réalisation.
Une entreprise qui se développe en Suisse romande
L’année 2021 marque un tournant décisif dans l’histoire de Bat-Mann. Patrick Savoy prend la direction de l’entreprise, désormais forte de plus de 50 collaborateurs. À ce moment, la société s’est déjà implantée sur Vaud à Gland et à St-Blaise, dans le canton de Neuchâtel, et son activité continue de croître. L’objectif est clair : maintenir une activité durable et de qualité à long terme.
Pour garantir la continuité du succès, une nouvelle génération de responsables se met en place, afin de faire progresser l’entreprise dans les décennies à venir.
Le développement collaboratif au service de la qualité
L’un des secrets de Bat-Mann réside dans son mode de développement collaboratif. L’entreprise a su créer des équipes de projet solides et soudées, rassemblant les meilleures compétences pour offrir à ses clients des solutions de construction de haute qualité, à des prix compétitifs. Ce modèle d’organisation place l’humain, l’innovation et la compétence au cœur de ses valeurs. En effet, les collaborateurs, considérés comme la matière première de l’entreprise, bénéficient d’un environnement de travail propice à l’épanouissement professionnel et personnel.
Plus de 250 projets réalisés
En 30 ans d’activité, Bat-Mann a réalisé plus de 250 projets, en neuf comme en rénovation. Parmi ses réalisations notables, l’entreprise a construit des dépôts de stockage simples mais aussi des bâtiments industriels complexes, des infrastructures pour réfugiés, un centre pénitentiaire, une ambassade, un centre funéraire, des bâtiments pour écoles et UAPE, ainsi que plusieurs projets pour des seniors, résidences et EMS. Actuellement, Bat-Mann est en train de planifier un centre d’archives cantonal, et des travaux de réalisation de grandes surfaces de production de mécaniques, témoignant ainsi de son engagement dans des projets d’envergure.
Dans le domaine du logement, l’entreprise se distingue par sa polyvalence, réalisant des bâtiments destinés à la vente en PPE, à la location, mais aussi des villas individuelles. Ces projets diversifiés témoignent de la capacité de Bat-Mann à répondre aux besoins variés du marché tout en conservant un haut niveau de qualité dans l’exécution.
Une entreprise tournée vers l’avenir Avec 30 ans de succès derrière elle, Bat-Mann ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. L’entreprise, fidèle à ses valeurs fondatrices, continue d’innover et d’évoluer pour garantir un avenir prospère à ses clients et à ses collaborateurs. En développant de nouvelles solutions de construction, en intégrant les technologies modernes et en cultivant une approche humaine de ses projets, Bat-Mann s’impose comme un acteur innovant de la construction en Suisse romande.
Les trois décennies de Bat-Mann ne sont que le début d’une aventure encore plus grande. Et avec des projets d’avenir aussi ambitieux que ceux qui ont marqué son parcours jusqu’à présent, l’entreprise est prête à continuer sur cette voie.
Plus d’informations sur www.bat-mann.ch
Fondée en 1953, B+S Ingénieurs SA a célébré ses 70 ans d’expérience dans le domaine de l’ingénierie. Spécialisée dans l’ingénierie structurale et le génie civil, l’entreprise genevoise a su évoluer au fil des décennies grâce à un équilibre subtil entre innovation et tradition. Aujourd’hui dirigée par Marcio Bichsel, Joachim Bourgeois et Sophia Boutit, B+S Ingénieurs continue de relever de nouveaux défis techniques dans le cadre de projets toujours plus diversifiés. Rencontre avec les trois administrateurs de l’entreprise pour découvrir leur vision de l’avenir de la construction.
Sophia Boutit, Joachim Bourgeois et Marcio Bichsel, quelles sont les valeurs fondamentales qui guident B+S Ingénieurs et comment influencent-elles votre approche des projets ?
Sophia Boutit : Pour nous, l’innovation et la collaboration sont au cœur de notre manière de travailler. Nous cherchons à apporter des solutions créatives et adaptées à chaque projet, en favorisant des collaborations étroites avec chacun de nos partenaires afin de bâtir des relations solides.
Joachim Bourgeois : Nous abordons chaque projet avec une nouvelle perspective, cherchant à trouver des solutions adaptées tant au niveau des matériaux que des structures ou des géométries. Nous évitons les idées préconçues et sommes ouverts aux attentes spécifiques de nos partenaires, qu’ils soient architectes ou maîtres d’ouvrage, afin de répondre au mieux à chaque défi.
Marcio Bichsel : La rigueur et la volonté de se renouveler constamment sont également des valeurs qui nous caractérisent. Nous ne nous reposons jamais sur nos acquis, mais cherchons toujours à repousser les limites.
B+S Ingénieurs est réputée pour sa pluridisciplinarité. Pouvez-vous nous citer un projet récent qui illustre cette diversité d’expertise ?
Joachim Bourgeois : Un excellent exemple est la transformation du Grand Théâtre de Genève entre 2017 et 2019. Ce projet complexe a mis à l’épreuve nos compétences en génie civil et en ingénierie structurale. Nous avons dû réaliser des travaux spéciaux particulièrement complexes en plein centre-ville, tout en
intervenant dans des espaces extrêmement réduits et sensibles, comme dans le faux-plafond classé, œuvre de l’artiste Jacek Stryjenski. Ce projet illustre parfaitement comment nos diverses expertises se complètent et s’intègrent dans un seul et même réalisation ouvrage.
Un projet emblématique mettant en avant la gestion de problématiques complexes chez B+S Ingénieurs ?
Marcio Bichsel : Un projet marquant est celui des équipements publics de l’écoquartier des Vergers dans la commune genevoise de Meyrin, un concours pluridisciplinaire (architecture et ingénierie) remporté en 2014. Ce bâtiment, inauguré en 2018, est salué pour le caractère innovant et élégant de sa structure porteuse bois-béton. Parmi les nombreux prix remportés, nous pouvons citer le Seismic Award 2021 qui illustre parfaitement notre capacité à relever des défis techniques complexes avec des solutions hautement qualitatives.
Comment B+S Ingénieurs intègre-t-elle le développement durable dans ses projets ?
Joachim Bourgeois : Dès les études d’avant-projet, nous nous efforçons d’apporter des réponses concrètes en intégrant une réflexion approfondie sur la matérialité et l’optimisation de la matière. Cette approche est menée en réalisant des études comparatives avec des bilans carbones, afin de minimiser de manière quantifiée l’impact environnemental de nos réalisations.
Comment développez-vous les compétences diversifiées de votre équipe ?
Sophia Boutit : Nous privilégions la formation continue pour garder nos équipes à jour sur les dernières évolutions technologiques et tendances du secteur. En complément, nous encourageons activement le partage d’expériences au sein de l’équipe, ce qui enrichit les compétences individuelles et favorise une expertise collective solide.
Quelle est votre approche collective de la gestion ?
Joachim Bourgeois : Nos rôles sont complémentaires : Marcio se concentre sur
la conception et l’organisation des projets, tandis que je suis plus impliqué dans le suivi technique et l’exécution. Sophia supervise la gestion interne et financière de l’entreprise, assurant ainsi une continuité dans nos projets.
Marcio Bichsel : Un élément clé de notre équipe dirigeante est la confiance mutuelle, un dialogue constant et une reconnaissance claire des rôles de chacun.
Comment voyez-vous l’évolution du secteur de l’ingénierie et de la construction dans les années à venir ?
Marcio Bichsel : Les changements à venir sont profonds, notamment en raison des enjeux climatiques. Les méthodes de construction traditionnelles, utilisées ces récentes décennies, sont aujourd’hui remises en question. Nous devons inventer de nouvelles approches et nous inspirer de traditions plus ancestrales. Chez B+S Ingénieurs, nous avons déjà pris ce virage en étant proactifs : nous investissons dans la recherche, collaborons avec les milieux académiques et industriels, et cherchons constamment à inventer de nouvelles méthodes et matériaux. Nous participons activement à l’évolution du secteur, ce qui nous permet de proposer des solutions novatrices qui sortent des sentiers battus.
Quel message souhaitez-vous transmettre à vos clients actuels et futurs sur ce qui distingue B+S Ingénieurs de ses concurrents ?
Sophia Boutit : Ce qui nous distingue, c’est notre capacité à nous adapter à chaque client. Nous prenons le temps de comprendre leurs besoins et de les accompagner tout au long du projet, en offrant des conseils adaptés et optimisés, notamment en termes de coûts et de solutions techniques.
Marcio Bichsel : Notre approche est avant tout orientée vers les intérêts du client et nous mettons un point d’honneur à défendre les objectifs du projet avant les nôtres. Chaque collaboration est une nouvelle occasion d’enrichir le projet avec des solutions originales et spécifiquement adaptées.
Interview Océane Ilunga
Plus d’informations sur bs-ingenieurs.ch
Fondée en 1992 par Éric Joray, Vitrocsa est bien plus qu’un fabricant de fenêtres. L’entreprise suisse, membre de Suisse Label depuis 2018, est le symbole d’une véritable révolution architecturale. Grâce à son concept de « fenêtre minimale », Vitrocsa a su s’imposer comme pionnière dans le domaine des systèmes de fenêtres épurés, à la fois élégants et hautement performants.
Ce qui distingue l’entreprise suisse, c’est sa capacité à allier esthétique, innovation technologique et fonctionnalité, tout en redéfinissant la manière dont l’architecture contemporaine utilise la transparence. Ce n’est pas uniquement une question de conception, mais une réinvention complète de l’interface entre l’intérieur et l’extérieur, offrant ainsi une expérience unique de connexion visuelle et sensorielle avec l’environnement.
Une vision architecturale qui sublime la lumière naturelle
Vitrocsa ne se contente pas de proposer des fenêtres, mais réinvente le rapport à l’espace et à la lumière. Grâce à ses vitrages grand format, l’entreprise transforme chaque intérieur en un lieu baigné de lumière naturelle. Ces fenêtres minimalistes, dont les dimensions peuvent atteindre 20 m² par vantail, offrent une transparence totale et magnifient les projets de grande ampleur telles que les maisons privées, villas, spas et bureaux.
L’objectif de Vitrocsa est de maximiser la connexion visuelle avec l’extérieur. En supprimant les barrières visuelles et en intégrant des fenêtres à la fois fonctionnelles et esthétiques, l’entreprise crée une continuité parfaite entre l’intérieur et l’environnement. Son système breveté du seuil invisible est un exemple phare de cette innovation, permettant de dissimuler les cadres dans le sol, le mur ou le plafond pour une fluidité totale de l’espace.
Esthétique, simplicité et innovations technologiques
Les fenêtres Vitrocsa se distinguent par leur design épuré, sans compromis sur la performance. Avec des profilés ultra fins et des composants invisibles, elles incarnent une esthétique minimaliste qui se fond harmonieusement dans l’architecture du bâtiment. L’entreprise suisse allie ainsi technologie de pointe et matériaux de qualité pour garantir des systèmes aussi élégants que durables.
L’innovation ne s’arrête pas à l’aspect esthétique : Vitrocsa propose également des solutions techniques variées, comme la fenêtre guillotine ou la fenêtre cintrée, adaptées aux besoins
architecturaux les plus complexes. Ces systèmes permettent de répondre aux exigences des architectes tout en garantissant une expérience utilisateur optimale, alliant sécurité, fluidité d’usage et performance énergétique.
Performance énergétique optimale Dans un contexte où l’efficacité énergétique est primordiale, Vitrocsa a intégré des solutions thermiquement renforcées, telles que sa gamme V56. Grâce à des profilés en fibre de verre et des systèmes à rupture de pont thermique, ces fenêtres réduisent la consommation d’énergie sans sacrifier le confort des occupants. Elles optimisent l’apport de lumière naturelle, diminuant ainsi la dépendance à l’éclairage artificiel et contribuant à une ambiance intérieure plus agréable et saine.
Rencontre avec Vanessa Buffat, associée et présidente du conseil d’administration chez Vitrocsa.
Quels éléments clés ont permis à Vitrocsa de devenir pionnière dans les fenêtres minimalistes ? À la fin des années 80, Eric Joray, inventeur et visionnaire, a eu l’idée de minimiser les profilés et inverser le système structurel de la fenêtre. Ainsi, la fenêtre minimale est née ! Le concept visait à maximiser la transparence en intégrant le cadre des fenêtres dans la construction. Eric Joray de sa formation dans la mécanique horlogère a su appliquer les principes de l’horlogerie pour les intégrer à nos systèmes qui font toute la différence aujourd’hui. En effet, Nous avons reçu l’héritage du souci de la précision et de la qualité d’exécution que nous appliquons sur l’ensemble de nos composants.
Comment l’innovation technologique soutient-elle la vision de Vitrocsa ?
L’innovation technologique est au cœur de notre vision et l’a toujours été. Depuis plusieurs années, nous concentrons nos efforts sur l’automatisation de nos systèmes. Nous devons sans cesse nous positionner en fonction des clients et nos partenaires afin d’apporter des solutions qui suivent la tendance du monde actuel. En parallèle, nous travaillons sur des nouvelles solutions alliant toujours esthétique et performance.
Quel impact la connexion visuelle avec l’extérieur a-t-elle sur le bien-être des utilisateurs ?
Je pense que tous nos clients pourraient en parler mieux que moi, mais le fait que les profilés soient réduits à leur minimum permet de maximiser la vue sur l’environnement. Quoi de mieux qu’une belle vue sur un lac, la mer, les montagnes, la verdure ou même la ville. A cela s’ajoute la lumière et la chaleur que la transparence peut apporter.
Quels défis avez-vous relevés pour intégrer des systèmes comme le seuil invisible ?
Lors d’un rendez-vous à Paris au cabinet d’architecture Jean Nouvel, le défi nous avait été donné d’avoir une continuité du revêtement de sol entre l’intérieur et l’extérieur. Après quelques discussions et dessins en interne, nous sommes arrivés à une solution extrêmement simple qui est de dissimuler le châssis sous le revêtement de sol et assurer l’étanchéité et le fonctionnement de la fenêtre en modifiant le profilé à la base du vitrage. Seules de fines rainures dans le revêtement de sol restent visibles.
Comment Vitrocsa contribue-t-elle à la performance énergétique des bâtiments ?
Nous avons développé différentes gammes qui permettent chacune des performances énergétiques qui correspondent aux normes actuelles. Notre gamme V56, citée plus haut, est la plus performante a été pensée de manière à proposer une solution optimale. L’alliance du triple vitrage ultra performant à des profilés en fibre de verre ainsi que des profilés à rupture de pont thermique fait que nos systèmes permettent d’allier esthétique et performance.
Plus d’informations sur : www.vitrocsa.com
Jérémy Boulay
Fondateur et directeur, Caeli ingénierie
Fondée en 2020, Caeli ingénierie est spécialisée en Chauffage, Ventilation, Climatisation, Sanitaire, Électricité et Régulation (CVCSER). En quatre ans, l’entreprise a réussi à fidéliser sa clientèle grâce à la qualité et la diversité de ses offres en matière de CVCSER. Avec ses 30 collaboratrices et collaborateurs, dont 28 ingénieurs et techniciens, dans ses deux bureaux, à Genève et Lausanne, Caeli ingénierie opère pour des projets complexes et d’envergure. De l’étude de faisabilité à la mise en service, l’entreprise développe des projets dans les domaines d’habitations, tertiaires et industriels. Son fondateur et directeur explique en quoi son bureau se démarque des autres et pourquoi des grands noms de bureaux d’architectes, d’entreprises générales et de maîtres d’ouvrage lui font confiance pour des projets neufs et des rénovations tant sur le canton de Vaud que sur celui de Genève.
Construction d’hôtels industriels, surélévations en ville de Genève ou rénovations d’immeubles classés à Lausanne, vous enchaînez les chantiers complexes et d’envergure. Comment expliquez-vous cette confiance du marché obtenue en à peine quatre ans d’existence ? J’ai fondé ma société, Caeli ingénierie, en janvier 2020. J’ai su m’entourer d’une équipe expérimentée dont un responsable de pôle en CVCS, Guilhem Blaine. Ensemble, nous avons pu tout de suite répondre aux nombreuses sollicitations émanant d’architectes et de maîtres d’ouvrages pour des projets neufs ou de transformations/rénovations. Rapidement, la confiance s’est installée et a permis à Caeli ingénierie d’enchaîner les projets. Pour y parvenir, l’équipe s’est étoffée pour compter aujourd’hui 31 employés avec, notamment, l’arrivée d’un responsable en électricité, Laurent Dutruel, au bénéfice d’une longue expérience en bureau d’études. Si jusque-là, la grande majeure partie des projets était à Genève, un bureau a ouvert ses portes à Lausanne au printemps 2023, pour mieux répondre aux projets vaudois. Caeli ingénierie aura le plaisir de fêter ses 5 années d’existence en janvier 2025 grâce à nos clients, partenaires et autres entités qui nous ont faits grandir et
connaître. Cet anniversaire représente non seulement un jalon important pour notre entreprise, mais aussi une occasion de mettre en avant les relations solides bâties au fil des ans. Durant ces cinq années, nous avons eu l’opportunité de collaborer avec des acteurs diversifiés, ce qui a enrichi notre expertise et nous a permis d’innover constamment. Chaque projet réalisé et chaque défi surmonté ont été des étapes essentielles dans notre parcours, et nous tenons à remercier tous ceux qui ont contribué à notre succès.
Quelles sont vos principaux domaines d’expertise ?
Grâce aux compétences de notre équipe technique, ils sont nombreux. Ainsi, en direction de travaux, nous assurons le suivi de ceux-ci, y compris en lots séparés, et apportons notre appui technique à la direction de travaux de l’entreprise générale. En physique du bâtiment, nous constituons les dossiers énergétiques dans le but d’obtenir l’autorisation de construire, procédons aux calculs de confort thermique, de simulations dynamiques et de pont thermiques, et rédigeons l’étude économique de production chauffage et climatisation. En matière d’électricité (courants fort et faible), nous réalisons les études d’éclairage, pouvons faire installer du photovoltaïque et des bornes de recharges pour véhicules électriques. Dans les domaines du chauffage, de la ventilation et de la climatisation, nous réalisons l’intégration des techniques, étudions l’optimisation des coûts, le désenfumage et la surpression. Enfin, côté sanitaire, nous planifions les réseaux et ingérations des eaux usées, des eaux pluviales, de l’eau froide et de l’eau chaude sanitaire, et planifions également le système de sprinklers.
Si on pense à la ville de demain, comment vos activités peuvent-elles s’intégrer dans une ville en mouvement, qui se rêve à terme plus écologique et durable?
À chaque nouveau projet d’immeuble ou de quartier, les prix de l’énergie, la compétition entre promoteurs/propriétaires et les mises à jour régulières des normes forcent à l’innovation. C’est pourquoi, pour les projets les plus récents, les bâtiments et villes de demain sont déjà en partie sur les plans des architectes et ingénieurs. Certaines caractéristiques sont évidentes, d’autres sont balbutiantes ou cherchent encore leur rentabilité. Aujourd’hui il est obligatoire pour les rénovations et constructions neuves de se chauffer à l’énergie renouvelable comme le bois ou les pompes à chaleur. Ces solutions peuvent être combinées avec des panneaux solaires photovoltaïques qui
réduisent la consommation électrique. On peut également aujourd’hui anticiper le changement climatique des vingt prochaines années en isolant mieux tant les constructions nouvelles que les rénovations. L’objectif ultime est de viser l’autonomie énergétique avec une production photovoltaïque et une isolation renforcées.
Il reste néanmoins un écueil, c’est celui des déchets et de la non-réutilisation des matériaux en cas de destruction ou de rénovation, encore peu valorisés. Diminuer l’empreinte carbone de la construction, l’exploitation et la fin de vie d’un bâtiment, c’est un des points encore un peu balbutiants, mais de nombreuses initiatives voient le jour et ça commence à prendre. Nos clients sont de plus en plus sensibles à la cause. Un autre point sur lequel on peut s’appuyer pour rendre la ville de demain plus durable, c’est de créer des lieux de vie accueillants, modulaires et confortables, qui anticipent les changements d’usages, tels que ceux déjà en cours aujourd’hui comme la mobilité, le télétravail ou l’importance de services de proximité.
Quand on sait que 70 % du parc immobilier suisse mériterait d’être rénové selon des normes énergétiques ambitieuses, on se dit que ce n’est pas le travail qui va manquer, non ? En effet, le défi est très grand sur le parc immobilier existant. Mais on le voit aujourd’hui, les politiques engagent des stratégies très ambitieuses que, nous, les acteurs du bâtiment nous devons d’accomplir pour ne pas rater le coche si l’on veut atteindre les buts des plans climat 2030 et 2050. En tant que bureau d’ingénieurs, nous avons la chance de participer à ces innovations et de voir se transformer les bâtiments et les quartiers en lieux de vie plus accueillants et plus éco-responsables.
caeli.ch
Nichée au cœur du Jura, Porrentruy se transforme. Si ses vieilles pierres racontent une histoire séculaire, la ville ne cesse d’innover pour attirer touristes et nouveaux habitants. Entre développement durable, projets architecturaux ambitieux et infrastructures modernes, elle incarne un modèle d’équilibre entre tradition et avenir. Rencontre avec Philippe Eggertswyler, maire de Porrentruy et fervent défenseur de cette dynamique, pour explorer les grandes lignes de son développement.
Philippe Eggertswyler Maire de Porrentruy
Philippe Eggertswyler, quels sont les projets architecturaux récents qui ont marqué Porrentruy ?
La ville est en pleine effervescence. Nous travaillons sur la réhabilitation de plusieurs bâtiments, dont un ancien édifice communal qui deviendra un hôtel. Cela viendra enrichir l’offre touristique de la ville, déjà en pleine expansion avec une augmentation annuelle de 5 à 10 % des nuitées. Cette dynamique est cruciale, d’autant plus que Porrentruy va bientôt accueillir un accrobranche, le premier du Jura, et un bike park, l’un des plus importants de Suisse romande. Ces nouvelles attractions, combinées à notre patrimoine historique, renforcent notre position comme destination touristique de choix.
Comment conciliez-vous patrimoine historique et modernité ?
Respecter notre histoire est essentiel. Les vieilles pierres de Porrentruy sont notre identité. Mais nous les adaptons à des usages modernes, comme en témoigne la création récente d’une maison de santé et d’une crèche. Chaque projet respecte un cahier des charges , élaboré en prenant en considération les valeurs de notre ville. L’objectif est de préserver l’authenticité tout en insufflant un souffle contemporain.
Quels objectifs poursuivez-vous en matière de développement durable ?
Le développement durable est une priorité. Nous accompagnons les promoteurs pour qu’ils respectent des normes environnementales , notamment à travers le plan « Nature en ville ». Nous avons également un thermoréseau qui connecte l’ensemble de la ville, réduisant
ainsi notre empreinte carbone. Ces initiatives s’inscrivent dans une démarche globale visant à allier respect de l’environnement et qualité de vie.
L’écoquartier près de la gare est-il un modèle à reproduire ? Absolument. Le projet débutera bientôt, le permis de construire ayant été délivré. Cet écoquartier sera un véritable laboratoire de durabilité, avec des logements diversifiés à haute performance énergétique. À terme, nous espérons répliquer ce modèle de durabilité ailleurs. L’objectif est clair : attirer de nouveaux habitants tout en leur offrant une qualité de vie exceptionnelle dans un cadre naturel préservé.
Quels défis rencontrez-vous lors du lancement de nouveaux projets immobiliers ?
Le principal enjeu réside dans la valorisation du bâti existant. Nous souhaitons encourager les investisseurs à réhabiliter les immeubles anciens plutôt que de privilégier le neuf. Cela nécessite un accompagnement municipal fort pour préserver nos joyaux architecturaux tout en leur donnant une seconde vie.
Comment impliquez-vous les habitants dans ces projets ?
La communication est la clé. Nous travaillons à faire connaître Porrentruy et ses projets au sein même de la ville et bien au-delà de ses frontières. Avec des loyers modérés, une nature omniprésente et des infrastructures culturelles et sportives, nous avons beaucoup à offrir. Par ailleurs, la gare TGV et nos axes routiers facilitent une mobilité optimale vers la France et le reste de la Suisse.
Comment Porrentruy se positionne-t-elle face aux grandes villes ?
Nous offrons toutes les commodités d’une grande ville, mais dans un écrin de verdure. Cette combinaison unique est un atout majeur pour attirer ceux qui cherchent un cadre de vie serein sans renoncer aux activités culturelles et aux commerces de proximité.
Quels sont vos projets à long terme pour renforcer cette attractivité ?
Tout d’abord, nous poursuivons une collaboration étroite avec des investisseurs privés pour transformer l’ensemble du secteur de la gare, qui sera entièrement repensé. Parallèlement, nous nous concentrons sur le développement du côté Est de la ville, avec la création de nouveaux logements et de bureaux. Enfin, nous travaillons en synergie avec la Société d’Équipement de la Région d’Ajoie et du Clos-du-Doubs (SERAC), pour aménager des zones d’activités. L’objectif est d’attirer de nouvelles entreprises dans la région.
L’ensemble de ces initiatives permettent de stimuler l’économie locale en générant de l’emploi et en accueillant de nouveaux habitants, contribuant ainsi à la vitalité et à la croissance de Porrentruy.
Que diriez-vous à quelqu’un qui envisage de s’installer à Porrentruy ? Bienvenue dans une ville où il fait bon vivre ! Ici, vous trouverez un cadre naturel exceptionnel, une éducation de qualité et une communauté chaleureuse. S’installer à Porrentruy, c’est faire le choix d’un équilibre entre bien-être, environnement bucolique et dynamisme.
Interview Laurane Saad
Plus d’informations sur porrentruy.ch
Technogym, fournisseur de renommée mondiale de solutions de fitness à domicile et partenaire officiel de plusieurs Jeux Olympiques, dont ceux de Paris, met en lumière la ligne Technogym Personal qui allie design haut de gamme et technologie numérique de pointe.
Elégance et technologie
Conçue en collaboration avec l’iconique designer Antonio Citterio, la ligne Personal de Technogym allie élégance, technologie innovante et fonctionnalités pratiques. Chaque produit – du tapis de course révolutionnaire Run Personal au vélo d’appartement Bike Personal – a été pensé pour être tant des équipement de fitness performants que des éléments de design s’intégrant parfaitement aux intérieurs les plus exigeants.
Brandreport • Boxplay SA
Personnalisé et sur-mesure
Équipée de la dernière console Technogym Live, la gamme offre en outre à chaque utilisateur et utilisatrice une efficace expérience d’entraînement personnalisée. En effet, la vaste bibliothèque de contenus accessible au sein du tout nouveau
Techogym Coach, inclut des sessions dirigées par des coachs, des routines d’entraînement athlétique et des entraînements extérieurs virtuels permettant, grâce à l’intelligence artificielle, de proposer des suggestions d’entraînement personnalisé et adaptés aux goûts et aux objectifs personnels de chacun.
Douze haltères en un
Pour les adeptes de la musculation par l’utilisation d’haltères, plus besoin désormais de disposer d’un vaste espace où stocker chacune d’entre elles d’un poids différent. Les haltères connectés de Technogym – une nouveauté en pré-lancement pour la Suisse ! – permettent en effet de changer de charge d’un simple mouvement du poignet. La polyvalence de 12 poids différents pour un « encombrement » d’un seul. Chacun des haltères de la paire couvre une plage de 2 à 24 kg, avec des ajustements de 2 kg en 2 kg. En outre, grâce au support élégant, ergonomique et compact, intégrant
un tapis d’exercice, un rouleau en mousse et trois bandes élastiques, ils s’intègrent discrètement gardant votre intérieur raffiné et bien rangé.
Texte Patrizia Rodio
PLus d‘informations sur : www.technogym.com
Boxplay SA révolutionne le secteur de la construction en proposant une alternative économique et efficiente : depuis 2011, l’entreprise utilise des containers neufs ou recyclés pour réaliser des ouvrages provisoires… ou pas ! Explications avec Grégory Légeret, directeur.
Grégory Légeret
Directeur, Boxplay SA
Spécialiste de la construction modulaire et modulable, Boxplay SA s’adapte à chaque besoin avec précision et offre une réponse sur mesure aux attentes des particuliers et des professionnels. « Nous sommes à l’écoute de nos clients partout en Suisse romande, souligne Grégory Légeret. Nous cherchons pour eux la solution optimale et le module présente des avantages considérables. »
Rapidité d’exécution
Exit les travaux de maçonnerie, les containers sont livrés et assemblés en un temps record grâce à un stock important et un suivi de projet internalisé. En qualité d’entreprise totale, Boxplay SA accompagne de la conception des plans
jusqu’à la remise des clés, y compris le dépôt du permis de construire. Pour la réalisation des travaux d’électricité, d’isolation ou de sanitaire, elle fait appel à des partenaires de proximité et de confiance. L’entreprise est d’ailleurs labellisée Entreprise CitoyenneTM, ISO 9001 et ISO 14 001, signes de son engagement en faveur du développement local et durable.
Conjuguer économie et écologie
La construction modulaire se révèle 40 % moins coûteuse qu’une construction traditionnelle. Pour autant, elle respecte les mêmes normes thermiques et utilise les mêmes systèmes innovants. « Nous pouvons équiper les bâtiments de pompes à chaleur air-air, permettant de chauffer en hiver et de rafraîchir en été, ou des panneaux photovoltaïques, faciles à installer sur le toit plat des containers, à l’instar d’une toiture végétalisée », précise le directeur.
Et demain ?
Boxplay SA est très attentive à la durabilité de ses constructions. Certaines sont fonctionnelles depuis plus de 30 ans et parfaitement intégrées à leur environnement. « Selon les finitions et l’habillage
choisis, il devient difficile de distinguer un container d’un habitat classique », affirme Grégory Légeret. Des bâtiments provisoires se pérennisent parfois après réalisation de quelques travaux ; les autres sont démontés et les containers sont proposés à la location ou à la vente. En proposant un nouveau mode de construction, Boxplay SA rebat les cartes et ouvre la voie à un habitat plus flexible et vertueux.
Boxplay SA
Route de Montheron 10, 1053 Cugy 021 653 17 60 - info@boxplaysa.ch boxplay-sa.ch
Dans un contexte marqué par des défis économiques et des bouleversements dans l’industrie du bâtiment, le Groupe Orion se distingue par sa capacité d’adaptation et son esprit d’innovation. Co-fondé par Ricardo Santos et Loïc Scalet, rejoints plus tard par Visar Kabashi, le groupe s’appuie sur quatre entités complémentaires pour offrir des solutions globales, alliant expertise technique et optimisation des coûts. À travers une approche intégrée, ils transforment chaque projet en une expérience unique, tout en plaçant la satisfaction client et la durabilité au cœur de leur stratégie.
Ricardo Santos et Loïc Scalet, faisons connaissance, en quelques mots qui êtes-vous ?
Nous sommes deux passionnés d’immobilier et de construction. Nous nous sommes rencontrés et avons initié notre première collaboration il y a de cela une dizaine d’années. Nous avons co-fondé le Groupe Orion qui comprend 4 entités opérationnellement distinctes, qui peuvent donc travailler en corps d’état séparé ou à l’unisson, dans le cadre de projets communs :
– Arkiburo, notre bureau d’architecture
– Orion EG, notre entreprise générale et entreprise totale
– Orion Construction, notre entreprise de travaux de gros œuvre
– Orion Rénovation, notre entreprise de travaux de second œuvre
Dans le cadre du développement d’Orion, nous avons été rejoints par un 3ème associé, Visar Kabashi, qui dirige les entités travaux du groupe (Orion Rénovation et Orion Construction).
Forts de nos expertises respectives en ingénierie civil, en gestion d’entreprise, en développement immobilier et en gestion de travaux, nous relevons les défis constructifs - qu’ils soient simples ou complexes - avec enthousiasme et engagement.
Avec les 80 collaborateurs impliqués et expérimentés du groupe, nous partageons une vision commune : transformer chaque projet en une réalisation unique et marquante.
Nous insufflons un esprit novateur et dynamique à nos équipes. Notre objectif est clair : offrir bien plus que des bâtiments, créer des expériences positives et des solutions sur mesure pour chaque client. Chaque projet est pour nous une occasion d’innover et de dépasser les attentes, en alliant rigueur, créativité et transparence.
Les coûts de construction ont connu une évolution conséquente dans le monde et donc en Suisse ces dernières années, comment l’avez-vous vécu ?
Les années 2021 à 2024 ont connu une forte hausse des coûts de construction en Suisse. Après une période de croissance relativement stable, les prix des matières premières et les coûts de transport et de logistique ont bondi significativement en raison d’une conjonction de facteurs : la reprise économique post-pandémie et le conflit en Ukraine ont exercé une pression sur les prix dans la construction et sur les marchés de l’énergie. Parallèlement, le manque de travailleurs qualifiés entraînait une hausse des coûts de main-d’œuvre. Ce contexte d’inflation généralisée a constitué un défi sans précédent pour les acteurs du secteur.
Nous y avons vu une réelle opportunité ! Cette situation a conforté notre ambition de créer une forte synergie au sein du Groupe Orion. Grâce à cette stratégie, le contexte tendu s’est finalement révélé être un tremplin pour nos avantages concurrentiels.
Quels ont été les impacts concrets pour le groupe Orion ?
La veille permanente des prix, facilitée par tous les corps d’état internes au groupe, nous autorise une très forte réactivité.
Notre conception paramétrique permet de gérer les coûts de construction en optimisant les quantités de matériaux, pour piloter une gestion intelligente de nos achats tout en réduisant nos déchets. Nous établissons ainsi nos études à partir de prix les plus précis possibles et anticipons les évolutions.
Nous avons également recours à la modularisation : préfabriquer des éléments de construction en usine permet de gagner en efficacité et de réduire les coûts de main-d’œuvre sur site. Plus globalement, nous mettons en œuvre des techniques innovantes au service non seulement de l’efficience énergétique, mais également de la rationalisation économique, grâce aux technologies numériques de planification et modélisation. Ces gains de temps de mise en œuvre et de coûts de production nous permettent de maîtriser nos coûts de main d’œuvre.
Au niveau financier, la répartition sur les différentes entités du groupe permet de maintenir les marges opérationnelles et l’équilibre financier des entreprises du groupe, qui sont toutes bénéficiaires.
Quelles stratégies avez-vous mises en place pour vous adapter ?
Avec quelles réussites ?
Comme nous venons de l’évoquer, le socle de notre stratégie repose sur une veille permanente des prix, notre réactivité, et la synergie entre les entreprises spécialisées du groupe et notre bureau d’études.
Grâce à cette organisation, nous pouvons proposer nos services complets depuis l’étude de faisabilité jusqu’à l’autorisation et l’exécution. Nous apportons des conseils avisés sur chaque projet, nous optimisons et rationalisons les propositions selon les besoins et la typologie de projet, tout en intégrant les impératifs des donneurs d’ordre. Cette complémentarité permet d’aboutir à une mise en œuvre rationnelle et efficiente en offrant la garantie de la meilleure qualité constructive possible, du respect des délais et de l’enveloppe budgétaire.
Pouvez-vous, en une phrase, partager votre vision pour les années à venir ?
Notre ambition : faire du Groupe Orion une référence incontournable dans la construction et la rénovation en Suisse romande, en alliant innovation, qualité d’exécution ainsi qu’une approche humaine qui valorise aussi bien nos clients et partenaires, que nos équipes.
Plus d’informations sur : orion-groupe.ch
Depuis vingt ans, Localarchitecture s’illustre comme un acteur majeur de l’architecture suisse et internationale. Dirigée par Antoine Robert-Grandpierre et Laurent Saurer, l’agence lausannoise se distingue par une approche mêlant respect du contexte, innovation et durabilité. À travers des projets emblématiques, souvent récompensés, elle réinvente les matériaux traditionnels comme le bois tout en explorant des pratiques avant-gardistes. Entretien avec ces deux architectes pour découvrir leur vision de l’architecture d’aujourd’hui et de demain.
Antoine Robert-Grandpierre et Laurent Saurer, Localarchitecture fête ses 20 ans cette année. Comment définiriez-vous votre philosophie ?
Antoine Robert-Grandpierre : Nous avons toujours aspiré à une architecture de qualité, ancrée dans un dialogue avec son environnement. Chaque projet s’intègre dans un contexte, comme un nouvel interlocuteur enrichissant une conversation déjà en cours. Nos bâtiments ne sont jamais muets, ils apportent du sens et s’inscrivent dans leur milieu en créant une « présence ». Cette « présence » se perçoit intuitivement, avant même de s’expliquer. Elle s’accompagne d’une réflexion durable : penser l’architecture pour qu’elle traverse le temps, qu’elle ne soit pas figée dans une époque et qu’elle puisse évoluer intelligemment.
Laurent Saurer : La « présence » d’un bâtiment, c’est aussi son atmosphère, une sensation qui se révèle pleinement une fois le projet achevé. C’est une expérience sensible, qui se ressent plus qu’elle ne se décrit.
Vous semblez marier tradition et modernité dans vos constructions, particulièrement celles en bois. Comment procédez-vous ?
Laurent Saurer : Le bois illustre bien cette rencontre entre tradition et modernité. C’est un matériau qui a su évoluer grâce à des technologies innovantes, tout en conservant ses racines artisanales. Dès nos débuts, avec des projets comme la chapelle de Saint-Loup, nous avons exploré le potentiel des outils numériques pour repousser les limites de la construction en bois. Aujourd’hui encore, nos projets, comme les vestiaires de football de Daillens ou la Maison de l’Île aux Oiseaux, reflètent ce mélange : une charpente traditionnelle fabriquée avec des outils numériques modernes.
Antoine Robert-Grandpierre : Bien que le bois occupe une place importante dans notre pratique, nous choisissons toujours les matériaux les plus adéquats pour chaque projet. Par exemple, nous avons récemment expérimenté des briques de terre compressée pour une école à Crissier et pour une résidence en Côte d’Ivoire, ou de l’isolation en paille pour les infrastructures sportives à Daillens, des matériaux anciens adaptés aux exigences contemporaines grâce à des technologies récentes.
Quelle est votre vision du bois en tant que matériau durable ?
Antoine Robert-Grandpierre : Le bois a beaucoup évolué en 20 ans. Il est passé de matériau économique à une ressource parfois plus coûteuse que le béton. Cette évolution reflète le regain d’intérêt pour le bois, qui est désormais perçu comme une solution avant tout écologique. Nous avons accompagné cette transformation, remportant plusieurs Prix Lignum qui récompensent les constructions en bois.
Laurent Saurer : Le bois est aujourd’hui omniprésent, ce qui peut poser problème. Il faut éviter de tomber dans une utilisation excessive et privilégier un usage harmonieux des ressources.
Quels défis majeurs avez-vous rencontrés dans votre pratique ?
Antoine Robert-Grandpierre : Construire de manière intelligente reste notre principal défi. Cela signifie concevoir des bâtiments capables de durer, de s’adapter et même de disparaître sans nuire à l’environnement. Réfléchir à l’impact écologique d’un bâtiment, y compris sa fin de vie, est aujourd’hui crucial.
Laurent Saurer : Nous devons anticiper les contraintes futures et offrir des possibilités aux générations à venir. C’est une tâche complexe qui exige une adaptation constante.
Quel rôle jouent les outils numériques dans votre processus créatif ?
Antoine Robert-Grandpierre : Ces outils enrichissent notre pratique sans remplacer les méthodes traditionnelles, comme par exemple les maquettes en carton. Cependant, ils ont révolutionné la production, notamment dans la construction en bois, où les machines numériques permettent de personnaliser chaque pièce sans surcoût.
Comment voyez-vous l’évolution de l’architecture durable et écoresponsable dans les années à venir ?
Antoine Robert-Grandpierre : Quand on conçoit un bâtiment, ce n’est pas forcément toute la couche énergétique ou technologique qu’on va y intégrer qui le rend durable. La durabilité repose avant tout sur des décisions de bon sens : l’orientation du bâtiment, son isolation naturelle, sa flexibilité pour s’adapter à de nouveaux usages. Ce sont des principes fondamentaux pour concevoir des bâtiments qui traversent le temps.
Comment voyez-vous le rôle des architectes dans la formation des villes de demain, notamment face aux enjeux climatiques et sociétaux ?
Antoine Robert-Grandpierre : Les défis urbains d’aujourd’hui impliquent de nombreux acteurs, et les projets sont de plus en plus complexes. Dans ce contexte, l’architecte occupe un rôle central, celui de chef d’orchestre. Nous devons fédérer les intervenants autour d’une vision commune, tout en guidant le projet pour relever les défis environnementaux et sociaux. Avec notre expérience des processus de conception, nous avons aussi une responsabilité prospective : anticiper et proposer des solutions qui rendent les villes plus durables et adaptables.
Laurent Saurer : L’architecture a longtemps été marquée par une période où certains architectes adoptaient une approche autocentrée, imposant des modèles universels souvent déconnectés des réalités locales. Cette attitude pouvait s’apparenter à une forme de « colonialisme architectural », où des visions homogènes dominaient les contextes diversifiés. Aujourd’hui, nous nous éloignons de cette logique pour adopter une posture où l’architecte agit davantage comme un rassembleur. L’objectif n’est plus de produire des œuvres autocentrées, mais de développer des utopies réalistes, respectueuses des cultures, des environnements et des spécificités locales.
Être architecte, ce n’est pas seulement concevoir des bâtiments, mais bien participer à la construction des espaces qui nous entourent et à la vie qui les habite. Il s’agit d’un travail créatif dont le but est de faire vivre un lieu tout en favorisant le lien social des individus qui le composent.
Malheureusement, de plus en plus de contraintes brident le travail des architectes ; elles entravent à la fois la cohérence d’ensemble (architecturale et architectonique) et leur liberté d’expression. Les nouveaux règlements d’aménagements prétendument inspirés des constructions vernaculaires et les normes pléthoriques accumulent les contradictions qui font exploser la facture spatiale, écologique et économique des projets.
« On a tellement tout réglementé que l’architecture n’est plus l’expression d’une intention poétique, mais celle de la contrainte », se confie Eric Ott, architecte et membre fondateur du bureau d’architecture Ipas. La mission à l’origine du travail de l’architecte s’en trouve donc déviée, étant passée de « Comment créer un espace émotionnel ? » à « Comment réussir à se libérer de ces contraintes ? ».
Une uniformisation qui tue l’identité propre des espaces Les réglementations et normes légales établissent des règles strictes ; leur application – jamais requestionnée - uniformise le bâti. Cette uniformisation répond de façon lisse à des problèmes qui nécessiteraient pourtant une réflexion au cas par cas. « De cette façon, les autorités esquivent tout débat sur des questions fondamentales », explique Jim Rosset, architecte chez Ipas. Il ajoute : « La pléthore de normes et réglementations laisse peu de place à la cohérence ou à l’observation sensible. Souvent, l’évidence subit l’application stricto sensu des contraintes obligatoires et la rigidité des autorités peu enclines à s’exposer à des dérogations pourtant facilement justifiables. Cela peut mener à des choix irrationnels et contradictoires.
Cette pratique décharge les autorités de leur responsabilité envers la société, ceci au détriment du paysage urbain et de l’architecture ».
Cette normalisation forcée induit une architecture de l’ennui, formatant de facto les scénarios de vie. La règle enchaîne l’homme dans un standard et uniformise les émotions parce qu’on ne peut y déroger sous peine d’être sanctionné. S’il devient aujourd’hui difficile d’échapper à ces réglementations, les architectes du bureau Ipas tentent tout de même de faire survivre l’âme de leur métier. « Nous flirtons constamment avec les limites, indique Eric Ott. Il s’agit de trouver un chemin à travers ce labyrinthe normatif pour sortir de cette stérilité généralisée ».
Remettre l’émotion au cœur du métier
« L’architecture est bien plus que la construction d’un abri, elle est un mélange subtil de poésie et de technologie », se confie Eric Ott. À la fois objet d’« art » et objet « technologique », l’architecture doit réussir à harmoniser ces différents facteurs, leur donner une unité, une continuité et une élégance. L’objectif final étant de transmettre une information à travers une œuvre d’artisan qui suscite la contemplation et le bien-être.
Ce qui enrichit spatialement la vie est absent des règlements et dans l’esprit des autorités. Finalement, on ne peut que faire ce triste constat : par force d’habitude, les politiques et la population se satisfont de ces résultats construits qui passent par un urbanisme, sans vie, à côté de l’homme et sa capacité à créer l’espace émotionnel.
Il ne suffit plus de questionner la réglementation en exploitant ses faiblesses, il devient urgent de désherber les règles afin de revenir à l’essentiel. L’idée n’est pas d’aller à contresens, mais d’emprunter une contre-allée ; au lieu d’user ce vocabulaire générique de logisticien pour soi-disant sauver le patrimoine architectural, il est temps de penser à l’espace, la vue, la pente, la lumière, la cohésion sociale et au patrimoine.
Cela veut dire retrouver des bâtiments qui traitent l’environnement qui les entoure avec plus de sympathie. « Nous souhaitons nous concentrer sur la question de base, à savoir : comment voulons-nous faire vivre les gens ? », indique Jim Rosset. L’architecture, c’est révéler l’identité du lieu et permettre aux individus de se rencontrer. Il faut permettre à l’espace urbain de s’entremêler, de se lier et de créer des interactions.
Pour lutter contre cette architecture du rejet et de la distance, il faut donc opérer un changement de paradigme concernant la vision du partage du territoire et de la cohésion sociale. Cela passe notamment par une revalorisation de la vie en ville et une meilleure utilisation du sol, le tout dans un projet collectif et citoyen qui intègre l’individu au sein d’une communauté.
Texte Léa Stocky
Avec plus de dix ans d’expérience, Energys s’impose comme un acteur clé de l’ingénierie en Suisse romande.
Fondée en 2010 dans l’arc jurassien, cette entreprise à taille humaine a su évoluer grâce à l’arrivée de nouveaux associés, élargissant son expertise et son rayon d’action avec des succursales dans cinq cantons.
Bernardo Calatayud
Responsable, Energys Vaud
Cédric Vinay
Responsable, Energys Genève
Bernardo Calatayud, responsable de la succursale de Vaud, et Cédric Vinay, à la tête de celle de Genève, incarnent cette diversité de compétences en pilotant respectivement les domaines de l’électrotechnique et de la protection incendie, ainsi que des installations thermiques et énergétiques. Spécialisée dans l’énergie, l’efficacité énergétique et le développement durable, Energys conçoit des solutions personnalisées et innovantes pour répondre aux besoins de ses clients tout en respectant l’environnement.
Bernardo Calatayud, Cédric Vinay, quels sont vos principaux domaines d’expertise ?
Nos principaux domaines d’expertise couvrent un large éventail de compétences, allant de la planification en chauffage, ventilation, climatisation et sanitaire, à la planification électrique et à l’automatisation du bâtiment. Nous intervenons également dans l’expertise et l’optimisation énergétique, la physique du bâtiment, la demande d’autorisations de construire, les analyses CECB+ et les subventions, ainsi que dans l’énergie du territoire et le conseil aux collectivités publiques. Engagés dans l’écologie de la construction et la protection incendie, nous accompagnons aussi nos clients dans des démarches stratégiques pour la décarbonation. En parallèle, nous coordonnons des projets pour les maîtres d’ouvrage en travaillant en synergie avec nos confrères. Enfin, nous
réalisons des analyses techniques pointues en tant qu’experts dans le cadre de mandats judiciaires.
Quels types de projets menez-vous généralement ?
Nos prestations s’adressent à l’industrie, aux collectivités publiques ou aux privés, et concernent les bâtiments administratifs, scolaires, commerciaux, industriels et d’habitations (bâtiment ou quartier). Ces services s’appliquent autant à la rénovation qu’aux nouvelles constructions. Toutes nos compétences tendent vers des optimisations des énergies à déployer ainsi qu’au développement durable.
Vos projets intègrent-ils des initiatives pour réduire l’empreinte carbone ou optimiser l’efficacité énergétique ?
Absolument, tous nos projets visent à maximiser l’efficacité énergétique tout en minimisant l’impact environnemental.
Les contraintes énergétiques imposées par les cantons sont de plus en plus exigeantes, ce qui nous demande en permanence d’être au point sur les solutions projetées.
Nous utilisons donc des matériaux durables, favorisons les énergies renouvelables et développons des stratégies pour réduire l’empreinte carbone à chaque étape du cycle de vie des projets.
Comment accompagnez-vous vos clients, de la conception à la réalisation de leurs projets ?
Nous proposons un accompagnement complet, allant de l’analyse initiale des besoins à la mise en œuvre des solutions finales. Cela comprend l’audit et le diagnostic énergétique, la conception de solutions sur mesure, la gestion de projet avec un suivi rigoureux des travaux, ainsi que l’assistance à l’exploitation des solutions mises en place. Que ce soit sur site ou à distance grâce aux outils de communication modernes, nous restons à l’écoute de nos clients pour co-construire des solutions parfaitement adaptées aux besoins des utilisateurs.
Quelles valeurs définissent votre entreprise et votre manière de travailler ?
Chez Energys, nos valeurs fondamentales se reflètent dans une approche centrée sur la satisfaction de nos clients, en répondant pleinement à leurs besoins tout en optimisant les coûts. Nous misons sur l’efficacité énergétique et l’innovation, en concevant des solutions économes en énergie et en favorisant l’utilisation des énergies renouvelables pour réduire l’impact environnemental. La qualité et le respect des engagements sont au cœur de nos actions :
nous allions maîtrise technique, coordination pluridisciplinaire et gestion rigoureuse des délais pour garantir des résultats fiables, durables et de haute qualité. Attachés à la préservation de l’environnement, nous intégrons des pratiques durables dans tous nos projets, conscients des enjeux liés aux ressources énergétiques. Ces valeurs nous permettent d’établir des relations solides avec nos partenaires, d’anticiper les besoins de demain et de contribuer activement à un avenir plus durable.
Immeubles Suter, Chêne-Bougeries
Comment intégrez-vous l’innovation et la technologie dans vos solutions ?
Nous sommes équipés des dernières technologies de planification informatique. Nous travaillons autant au bureau qu’en télétravail grâce à des outils cloud. Plusieurs collaborateurs sont formés à une coordination par maquettes numériques BIM.
Les grands acteurs dans les domaines que nous pilotons apportent de plus en plus d’innovations et de solutions intéressantes. Nous sommes en mesure de proposer des solutions de tous genres, de la solution minimaliste et économe à des solutions complexes et technologiquement avancées selon les cahiers des charges de nos clients et de leurs budgets.
Quelles nouvelles opportunités ou défis voyez-vous émerger dans votre domaine ?
Le monde évolue rapidement, et ces dernières années ont été marquées par de nombreuses innovations et des adaptations dans les modes de travail. Les défis à venir se concentreront principalement sur la transition énergétique, avec un renforcement des réglementations environnementales et une recherche accrue d’optimisation énergétique, ainsi que sur l’adaptation à l’évolution rapide des technologies.
Interview Océane Ilunga
Plus d’informnation sur www.energys.ch
À Genève, dans un environnement patrimonial datant en partie du XIXe siècle, s’élèvera dès l’automne 2026 la promotion Colombier 8. Pilotée par la régie Moser Vernet & Cie, la commercialisation de ce nouvel immeuble débutera le 15 janvier 2025.
Située au cœur du quartier de la Servette, proche de la gare et du lac, cette promotion bénéficie d’un emplacement qui en fait un pied-à-terre genevois idéal. Si les bâtiments neufs permettent de répondre au mieux à la pénurie actuelle de logements, il est cependant rare de les construire en centre-ville. L’immeuble se compose en effet de 21 appartements neufs entre trois et cinq pièces soumis à la vente ainsi que d’une surface commerciale au rez-de-chaussée.
La présence de jardins à l’anglaise à l’arrière de l’immeuble, de même que des arbres en pleine terre le long de la rue du Colombier, inscrivent le lieu dans un écosystème végétal. La construction se trouve également à côté du parc Geisendorf, faisant de ce bâtiment un lieu où il fait bon vivre.
Le suivi complet du projet : un gage de sa qualité
Deux bureaux d’architectes travaillent ensemble sur la promotion Colombier 8. Tandis que le bureau Meier & Associés Architectes SA a dessiné l’enveloppe extérieure, l’intérieur est
quant à lui réalisé par le bureau d’architectes
Cerutti architectes SA. Ce partenariat garantit le bon déroulement du projet et veille à sa cohérence, du début à la fin de sa construction. Grâce à son service de pilotage de promo-tions, la régie Moser Vernet & Cie joue un rôle de chef d’orchestre. Elle accompagne ses clients à chaque étape : de l’avant-projet à la remise des clés, en passant par les demandes d’autorisation, la collaboration avec les architectes, mandataires et entreprises, le choix des matériaux, ainsi que la ges-tion du budget. La commercialisation se fait ensuite par le service des Ventes de la Régie qui accom-pagne les clients acquéreurs à chaque étape du processus d’achat. Le service de pilotage de promo-tions immobilières permet à la Régie Moser Vernet & Cie de diriger de nombreux projets neufs, et ce depuis plus de 130 ans.
Les deux atouts majeurs du projet Colombier 8 sont son emplacement privilégié et la qualité de son suivi. Cette nouvelle construction promet à la fois accessibilité et standing, avec un niveau de confort élevé.
Afin d’en savoir plus sur la promotion Colombier8, rendez-vous sur colombier8.ch dès le 15 janvier 2025.
AG • Brandreport
Depuis 1886, swissFineLine cultive l’excellence en matière de construction métallique et d’architecture transparente. Céline Bieri-Berger, responsable marketing et membre de la cinquième génération familiale, dévoile l’histoire riche de cette entreprise suisse.
Céline Bieri-Berger
Responsable marketing, swissFineLine
Les fenêtres coulissantes sans cadre répondent aux exigences de l’architecture contemporaine, en alliant design épuré et fonctionnalité. Elles permettent de créer des espaces lumineux et ouverts, assurant une transition fluide entre l’intérieur et l’extérieur.
Grâce à des technologies avancées comme la protection anti-effraction et pare-balles, elles offrent sécurité et confort. Leur compatibilité avec les systèmes de domotique permet un contrôle simple et moderne, adapté aux besoins actuels.
Céline Bieri-Berger, comment se distingue swissFineLine de ses concurrents ?
Nous misons sur la classe et non sur la masse. Nous nous distinguons en premier lieu par notre capacité à répondre directement aux souhaits individuels de nos clients et à satisfaire leurs besoins spécifiques grâce à des fabrications sur mesure. De plus, nous proposons la fenêtre coulissante la plus sûre du marché et nous avons une isolation acoustique élevée.
Quelle est la philosophie de l’entreprise en matière de design et de qualité ?
Le design allie forme et technique pour offrir une élégance intemporelle et un confort optimal. Grâce à leur monture en aluminium discrète, les fenêtres sans cadre s’intègrent parfaitement aux murs, sols et plafonds. Les fenêtres coulissantes, pouvant atteindre 25 m², sont reliées par des profilés centraux de seulement 24 mm, presque invisibles dans le paysage.
Comment vos produits combinent-ils esthétique et performance ?
swissFineLine est exemplaire en termes d’isolation thermique et d’efficacité énergétique et répond au standard « Minergie » suisse élevé. Grâce à leur triple vitrage isolant, elles garantissent des performances optimales sans compromettre l’esthétique.
Pourquoi les façades en verre sont-elles devenues si populaires dans l’architecture contemporaine ? Si les façades en verre séduisent dans l’architecture contemporaine c’est à cause de leur esthétique moderne et épurée, qui laisse généreusement entrer la lumière naturelle. En reliant harmonieusement les espaces intérieurs et extérieurs, elles créent une sensation d’ouverture tout en offrant des panoramas exceptionnels.
Interview Océane Ilunga
En été, la randonnée, en hiver, la luge ou le ski : Glacier 3000 offre tout, y compris l’énergie solaire.
La montagne est bien plus qu’un simple terrain de jeu pour les amateurs de ski, de randonnée ou de montagne. Elle est aujourd’hui un terrain d’innovation où les solutions énergétiques durables peuvent voir le jour. Le projet de la station supérieure du Scex Rouge, à Glacier 3000, au cœur des Alpes vaudoises, est un exemple frappant de cette tendance. Cette station, conçue par l’architecte Mario Botta, incarne l’alliance entre esthétique, tourisme et transition énergétique, tout en rendant hommage à la beauté de l’environnement alpin.
olstis SA, qui célèbre ses 30 ans d’existence en 2025, est au cœur de ce projet ambitieux. Spécialisée dans les solutions énergétiques résidentielles, industrielles et architecturales sur tout l’arc lémanique, l’entreprise continue de démontrer son expertise en matière d’innovations durables.
Des conditions idéales pour l’énergie solaire
Le potentiel de l’énergie solaire dans les zones montagneuses est souvent sous-estimé. Pourtant, à 3000 mètres d’altitude, le rayonnement solaire est plus intense et plus direct que dans les plaines, ce qui permet un rendement supérieur des panneaux solaires. L’absence de pollution atmosphérique, combinée à une température plus fraîche, offre des conditions optimales pour maximiser la production d’énergie solaire.
Le projet de Glacier 3000 a un double objectif : montrer que le tourisme peut être durable et qu’il est possible d’équilibrer développement économique et préservation de l’environnement
La station de Glacier 3000, connue pour son panorama impressionnant qui s’étend des Alpes bernoises aux Alpes valaisannes et vaudoises, bénéficie d’un ensoleillement généreux. Pour tirer parti de ces conditions, Solstis SA, entreprise suisse spécialisée dans les solutions énergétiques, a conçu et installé une façade solaire unique, qui est désormais la première de cette envergure à 3000 mètres d’altitude.
Un projet audacieux et innovant
Le défi de construire une façade solaire à une telle altitude n’était pas seulement technique, mais également logistique. Les conditions climatiques extrêmes, avec des vents pouvant atteindre 260 km/h et des températures variables, compliquent l’accès et le travail sur le site. « Nous devions souvent nous adapter aux conditions météorologiques, et parfois nous ne pouvions même pas accéder au chantier », explique Valentin Bieber, chef de projet chez Solstis SA. Malgré ces obstacles, l’équipe a
réussi à installer 596 panneaux solaires sur une surface de 655 mètres carrés. Ces panneaux, fabriqués en double vitrage, sont conçus pour résister à la grêle et aux températures extrêmes.
L’expérience de Solstis dans le domaine des installations en haute montagne a été un atout majeur pour surmonter les défis de ce projet. « La clé du succès de ce projet réside dans notre capacité à concevoir des systèmes énergétiques adaptés aux conditions les plus rigoureuses », précise Valentin Bieber. Solstis se distingue ainsi par sa volonté de repousser les limites de l’innovation, offrant des solutions qui répondent aux besoins actuels tout en anticipant les défis futurs.
Une réponse aux enjeux de durabilité Ce projet est bien plus qu’une simple installation technique ; il s’inscrit dans une démarche de durabilité et d’autonomie énergétique. Après la pénurie d’électricité de l’hiver 2022-2023, Glacier 3000 a décidé de réduire sa dépendance à l’énergie importée. Le résultat ? Une production estimée à 100 mégawattheures par an, l’équivalent de la consommation d’environ 28 foyers suisses. Si l’autonomie est difficile à atteindre pour l’ensemble de la station, le restaurant Botta quant à lui y parvient grâce à l’énergie solaire. « Intégrer l’énergie solaire dans la reconstruction s’est imposé comme une évidence », précise Bernhard Tschannen, PDG de Glacier 3000. L’impact de l’initiative va au-delà des chiffres : elle montre que même dans des lieux reculés, des solutions énergétiques durables peuvent être mises en œuvre avec succès.
Les panneaux solaires ne sont pas uniquement une réponse à des besoins énergétiques immédiats. En limitant leur impact écologique et en permettant une production locale d’énergie, ils jouent un rôle crucial dans la lutte contre le changement climatique. L’empreinte carbone de la station est ainsi réduite, contribuant à l’objectif de rendre les Alpes plus durables. « Nous vivons le réchauffement climatique de près », note Bernhard Tschannen, en faisant allusion à la fonte accélérée du glacier des Diablerets. Le projet de Glacier 3000 vise à sensibiliser à l’importance de l’innovation durable et à inciter d’autres acteurs à suivre cet exemple.
Un modèle pour le tourisme alpin
Le projet de Glacier 3000 a un double objectif : montrer que le tourisme peut être durable et qu’il est possible d’équilibrer développement économique et préservation de l’environnement. Ce n’est pas un secret : l’industrie du tourisme alpin a un impact environnemental important, que ce soit par la consommation d’énergie, l’aménagement des terrains ou les émissions de gaz à effet de serre. Glacier 3000 souhaite ainsi atteindre un équilibre. « Nous voulons montrer ce qu’il est possible en matière de durabilité, pour inspirer d’autres entreprises à faire de même », affirme Tschannen.
Solstis tente de répondre au mieux aux challenges de la transition énergétique grâce à son expertise. Elle a su démontrer l’étendue de ses compétences et de ses connaissances en réalisant une mise en œuvre dans des conditions extrêmes. Ce projet s’inscrit parmi les réalisations de référence que l’entreprise aime porter régulièrement. Les équipes impliquées dans ces projets sont les mêmes qui, au quotidien, équipent des centaines de villas ainsi que des toitures artisanales et industrielles. « C’est une grande fierté pour Solstis de se démarquer ainsi et de transmettre un témoignage architectural aux générations futures », ajoute Raphaël Parera, Directeur de Solstis SA.
Un savoir-faire unique et des projets à venir
L’installation sur le Scex Rouge est le fruit d’une collaboration étroite entre les différents partenaires, qui ont travaillé main dans la main pour surmonter les défis techniques et logistiques. Solstis SA, en particulier, s’est distinguée par son expertise dans la création de solutions adaptées aux conditions extrêmes L’entreprise est connue pour ses précédents projets ambitieux récompensés plus d’une dizaine de fois par des prix suisses et européens.
Solstis se distingue ainsi par sa capacité à gérer des projets complexes et par son engagement envers des solutions durables et innovantes. L’entreprise voit grand et explore de nouvelles opportunités, comme l’élargissement de l’utilisation des panneaux solaires sur les bâtiments environnants et la mise en place de nouvelles infrastructures énergétiques. Ces initiatives visent à établir de nouveaux standards pour les régions alpines et à montrer que des solutions durables peuvent s’étendre au-delà des installations spécifiques, influençant ainsi la manière dont les énergies renouvelables sont intégrées dans les paysages montagneux.
L’initiative de Glacier 3000 est un modèle de ce que les stations de montagne et les entreprises touristiques peuvent faire pour adopter des pratiques durables. Pour l’avenir, l’espoir est que d’autres stations et régions de montagne suivent cet exemple. L’alpinisme, le ski et le tourisme de montagne, tout en restant des activités appréciées pour leur esthétique et leur convivialité, peuvent se transformer en vecteurs de changement. L’énergie solaire, dans ce contexte, peut offrir une solution efficace et visible pour montrer la voie vers un avenir plus vert et plus résilient.
Le projet de Glacier 3000 est bien plus qu’une avancée technologique ; il est un manifeste pour la durabilité dans un secteur où l’impact environnemental est souvent sous-estimé. Les Alpes, avec leur majesté et leur importance écologique, sont le terrain idéal pour tester et développer des solutions innovantes. Ce projet envoie un message clair : il est possible de préserver la beauté de nos paysages tout en répondant aux défis énergétiques et climatiques de notre époque. Les stations de montagne et leurs visiteurs ont désormais un modèle à suivre pour transformer les Alpes en modèle de durabilité.
Plus d’informations sur www.solstis.ch
Le commerce international façonne aujourd’hui le secteur de la construction en élargissant l’accès aux technologies et matériaux, tout en imposant des défis économiques et techniques de taille. Christian Petermann, arbitre, avocat spécialiste en droit de la construction et de l’immobilier et expert immobilier EPFL, décrypte ces enjeux. Entre problématiques liées aux pompes à chaleur, cycles de vie des bâtiments et arbitrage en cas de litige, il présente les évolutions qui redessinent les pratiques de la construction dans un marché mondialisé.
Christian Petermann
Arbitre, avocat et expert en droit immobilier et de la construction
Me Christian Petermann, comment les échanges internationaux de biens et services influencent-ils le secteur de la construction aujourd’hui ?
Les échanges internationaux enrichissent le secteur de la construction par l’accès à des ressources, technologies et savoir-faire, mais ils l’exposent aussi à des défis, notamment en termes de coûts, de délais et de durabilité. Les acteurs du secteur doivent s’adapter à ces influences pour rester compétitifs.
Quels sont les principaux défis liés à l’importation de technologies ou matériaux dans un marché globalisé ?
L’importation dans un marché globalisé offre des opportunités en termes d’accès aux technologies et à des matériaux spécifiques, mais elle exige une gestion proactive des risques économiques, environnementaux et géopolitiques pour garantir la pérennité des opérations.
Vous évoquez des défis concernant les pompes à chaleur. Pouvez-vous nous en dire plus sur les problèmes de performance énergétique et de maintenance rencontrés dans ce domaine ?
Les pompes à chaleur (PAC) sont des technologies efficaces pour le chauffage et le refroidissement, mais elles présentent des défis spécifiques liés à leur performance énergétique et à leur maintenance. Bien que les pompes à chaleur soient très prometteuses pour améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments, leur performance optimale dépend fortement de leur choix, de leur installation et de leur maintenance régulière. Une gestion efficace de ces aspects peut limiter les problèmes potentiels.
Comment le manque de standardisation ou d’accès aux pièces détachées impacte-t-il l’efficacité de ces équipements ?
Cela impacte directement l’efficacité et la durabilité des pompes à chaleur, entraînant des temps d’arrêt prolongés, des coûts accrus
et une empreinte environnementale négative. Des efforts accrus en matière de régulation, de collaboration industrielle et de conception durable peuvent atténuer ces problèmes, au bénéfice des utilisateurs et de l’environnement.
Quelle place occupe la notion de cycle de vie dans l’évaluation des performances énergétiques des bâtiments ?
La notion de cycle de vie est cruciale pour évaluer durablement les performances énergétiques des bâtiments. Elle dépasse l’efficacité opérationnelle en intégrant les impacts environnementaux globaux, guidant ainsi des choix plus responsables en conception et gestion. Son adoption progresse grâce aux réglementations et à une sensibilisation accrue du secteur.
Quelles sont les difficultés spécifiques liées à l’imputation des propriétés énergétiques de certains éléments, comme les fenêtres ou les isolants ?
L’imputation des propriétés énergétiques des fenêtres et des isolants est un processus complexe, influencé par des facteurs intrinsèques (variabilité des matériaux, méthodes de calcul) et extrinsèques (conditions d’installation, vieillissement).
Une approche plus intégrée, incluant des tests réalistes, des données précises et un suivi dans le temps, est nécessaire pour garantir des évaluations fiables et exploitables dans le cadre de la performance énergétique des bâtiments.
Quels sont les principaux leviers techniques pour améliorer les performances énergétiques des bâtiments aujourd’hui ?
L’amélioration des performances énergétiques des bâtiments repose sur une combinaison de leviers techniques, allant de l’isolation avancée et des équipements efficaces à la production d’énergie renouvelable et la conception bioclimatique. Une approche intégrée et bien planifiée est essentielle pour maximiser les gains énergétiques tout en répondant aux exigences environnementales et économiques actuelles.
Comment les économies générées par ces performances se traduisent-elles concrètement pour les propriétaires et investisseurs immobiliers ?
Les économies générées par l’amélioration des performances énergétiques se traduisent par des réductions directes des charges d’exploitation, une valorisation immobilière accrue, et une
résilience face aux évolutions économiques et réglementaires. Ces gains, combinés aux aides financières disponibles et à une meilleure qualité de vie pour les occupants, rendent ces investissements particulièrement attractifs pour les propriétaires et les investisseurs.
Quel rôle joue l’arbitrage dans la résolution des litiges liés à la construction et à l’immobilier ?
L’arbitrage, grâce à sa spécialisation, sa rapidité et sa flexibilité, est idéal pour résoudre les litiges en construction et immobilier. Il assure une résolution efficace et confidentielle, limitant les impacts sur les projets et relations commerciales. Toutefois, son succès repose sur une rédaction claire des clauses et un choix judicieux des arbitres et règles.
Pouvez-vous nous donner un exemple concret où une sentence arbitrale a permis de résoudre un conflit technique ou économique complexe ?
Un exemple pertinent provient du secteur des grands projets d’infrastructure, où les différends techniques et économiques sont fréquents. Prenons le cas d’un litige lors de la construction d’un pont international. Un consortium de construction et une agence gouvernementale se sont affrontés sur des surcoûts liés à des conditions géologiques imprévues et des retards dus à des autorisations tardives. Grâce à une procédure arbitrale incluant des experts indépendants, une décision équilibrée a été rendue, répartissant équitablement les responsabilités financières et permettant l’achèvement du projet.
Interview Océane Ilunga
Situé à Thônex, le quartier Belle-Terre allie modernité, durabilité et qualité de vie. Une attention particulière a été mise dans la réalisation des infrastructures publiques, conçues de manière innovantes et durables. Rencontre avec Pascal Uehlinger, magistrat en charge du dicastère communal du développement durable.
’éco-quartier Belle-Terre est une référence en matière de développement urbain. Cet ambitieux projet se distingue par une intégration soignée dans le tissu local, une gestion responsable de l’espace et une architecture respectueuse de l’environnement. Fruit d’une collaboration entre l’Etat, la Ville de Thônex et des promoteurs privés, il déploie ses logements modernes, ses infrastructures sportives et son école reconnue comme un véritable modèle architectural.
Anticipation bien à propos
Le projet Belle-Terre, dont les premières pierres ont été posées au début des années 2000, s’étend sur un terrain composé à 54 % de foncier cantonal, 6 % communal, et 40 % appartenant à des promoteurs privés. « Ce partage, nous explique Pascal Uehlinger, permet d’inscrire le projet dans une dynamique où les acteurs publics et privés coordonnent leurs efforts pour mener à bien l’essor de ce nouveau quartier ». A l’horizon 2030, Belle-Terre pourra accueillir 2 650 familles.
Trois étapes
La première phase, désormais achevée, comprend 700 logements, tandis que la deuxième est en cours de processus d’autorisation, avec une réalisation prévue dans les quatre prochaines années. La troisième quant à elle, devrait être achevée en 2030.
L’école Belle-Terre : un modèle de fonctionnalité
Au cœur de ce quartier, l’école Belle-Terre se distingue par son architecture moderne et fonctionnelle. Elle pourra accueillir, à terme, les enfants des deux premières étapes. Ils se verront offrir 396 places réparties en 18 classes. Le concept architectural repose sur un modèle innovant structuré en trois modules distincts : un pour l’enseignement, un autre pour les activités parascolaires comprenant notamment 4 salles, une aula de 200 places, un réfectoire avec cuisine et une ludothèque. Le dernier bloc comprend une impressionnante salle de sport triple, pouvant recevoir jusqu’à 700 personnes grâce à des tribunes télescopiques.
Groupe Scolaire Belle-Terre - Thônex ©architectes.ch/Hélène Maria
Pour la Ville de Thônex, il était essentiel de mettre un accent important sur la pratique sportive dans le nouveau quartier. L’évaluation des besoins de la population révélant une forte demande en matière d’installations sportives, des salles omnisports ont été intégrées à l’école, permettant d’organiser des matchs d’envergure nationale, particulièrement de handball et de basket. Ces salles de sport, intimement liées au Centre sportif Sous-Moulin, sont ouvertes aux associations et clubs de la région, y compris hors périodes scolaires. La gestion est assurée par la Ville de Thônex et l’entretien par l’équipe technique de Sous-Moulin.
Une référence architecturale et énergétique
Architecturalement parlant, l’école a été conçue pour répondre aux défis climatiques actuels. Les baies vitrées aux deux tiers fixes, le reste s’ouvrant derrière des lames en bois verticales, permettent par exemple une ventilation naturelle et sans risque, même de nuit.
Sur le plan énergétique, le bâtiment est à la pointe. « Grâce à un système géothermique travaillant de concert avec 1218 panneaux photovoltaïques, souligne notre interlocuteur, l’école produit sa propre énergie ». Il précise, par ailleurs, que le surplus d’électricité généré est vendu aux Services industriels de Genève (SIG) pour être réinjecté dans le réseau local du quartier. Ces installations haut de gamme, notamment la géothermie, ont déjà permis à l’école de traverser les plus fortes périodes de canicule sans que les élèves aient à souffrir de la chaleur, contrairement à d’autres établissements équipés d’une climatisation traditionnelle nettement moins efficiente.
L’ensemble des équipements pour plus de durabilité
De manière plus globale, la démarche environnementale s’étend au-delà de l’école. En effet, 50 % des surfaces du quartier sont dédiées à la nature, avec la création d’espaces publics comprenant noues, cours champêtres, promenades ou encore une forêt urbaine.
Autant d’aménagements destinés à favoriser la biodiversité. Les abribus ont aussi été végétalisés pour lutter contre les îlots de chaleur. Sur le plan énergétique, grâce à la géothermie et aux panneaux solaires, le quartier est alimenté à 90 % par des énergies renouvelables.
Un modèle d’urbanisme durable et inclusif
La Ville de Thônex et le canton de Genève peuvent être fiers du quartier Belle-Terre. Il se positionne en effet parmi les éco-quartiers les plus prometteurs de Suisse romande. Grâce à l’implication de tous les acteurs, tant publics que privés, Belle-Terre réussit à intégrer, de manière harmonieuse, les exigences de l’urbanisme contemporain tout en préservant l’identité locale. « Ce projet représente un véritable modèle de réussite qui conjugue modernité, durabilité et qualité de vie », conclut le magistrat thônésien.
Texte Emmanuel Viaccoz
Entre la beauté naturelle de ses rives lacustres, son dynamisme culturel, son patrimoine architectural et son prestige international, Lausanne séduit. Pour ceux qui rêvent d’y poser leurs valises, l’agence John Taylor Lausanne propose un accompagnement sur mesure. Dans ce décor d’exception, des biens rares se dévoilent, alliant harmonieusement tradition et modernité, comme cette ferme réhabilitée située du côté de Saint-Livres.
Nichée sur les rives du majestueux lac Léman, Lausanne conjugue harmonieusement nature et urbanisme. La ville, enchâssée entre les vignes en terrasses du Lavaux, classées au patrimoine mondial de l’UNESCO, et les montagnes environnantes, offre un décor à couper le souffle. En quelques minutes seulement, il est possible de passer d’une promenade bucolique au bord du lac à une dégustation dans les caves viticoles locales, pendant que les montagnes alpines, elles, invitent à l’aventure. Faire le choix de Lausanne, c’est embrasser un style de vie raffiné et équilibré et John Taylor Lausanne se positionne comme le partenaire privilégié de celles et ceux qui souhaitent s’y établir, grâce à une expertise de pointe et un service hautement personnalisé.
John Taylor Lausanne : le partenaire idéal pour une résidence d’exception Cette agence immobilière de renom, experte en biens de prestige et forte de sa réputation internationale, accompagne chaque client avec une approche centrée sur l’écoute et l’excellence. Ses conseillers expérimentés connaissent intimement les spécificités de la ville et de ses environs, et savent dénicher les biens qui incarnent véritablement les envies des gens. Et grâce à un réseau étendu et une expertise locale approfondie, l’agence a accès à une sélection de propriétés rares et exclusives, qu’elles soient disponibles en interne ou par l’intermédiaire de partenaires de confiance. Leur mission ? Transformer les aspirations immobilières en réalités tangibles, avec une attention particulière portée aux détails qui font toute la différence. Qu’il s’agisse de dénicher une villa en bord de lac, un appartement moderne ou une propriété nichée dans un village de charme, l’équipe de John Taylor Lausanne met tout en œuvre pour répondre aux aspirations uniques de chacun grâce notamment à une philosophie qui repose sur trois piliers : une compréhension approfondie (pour proposer des biens parfaitement adaptés), une personnalisation sur mesure et un engagement envers l’excellence. Grâce à une connaissance pointue du marché, l’agence garantit des résultats optimaux, que ce soit pour une vente ou une acquisition.
Un accompagnement au service des rêves
Pour John Taylor Lausanne, chaque projet immobilier est une aventure humaine. L’agence s’attache à transformer les rêves en réalité en offrant un service fluide et confidentiel. Leur maîtrise du marché lausannois, enrichie par un vaste réseau de partenaires locaux, leur permet de proposer des biens d’exception en toute discrétion. Acquérir une résidence à Lausanne, c’est choisir bien plus qu’un logement : c’est s’offrir une qualité de vie unique, où nature, culture et prospérité s’entrelacent. Et avec John Taylor Lausanne à ses côtés, ce choix se fait en toute sérénité. Lausanne est une ville qui se vit et se ressent, un lieu où chaque instant semble empreint d’une douceur particulière. Pour ceux qui souhaitent s’approprier ce joyau helvétique, l’agence John Taylor Lausanne offre bien plus qu’un accompagnement immobilier : elle propose un partenariat dédié à la concrétisation des plus belles aspirations. Dans une ville où chaque détail invite à l’art de vivre, John Taylor Lausanne incarne la promesse d’un accompagnement à la hauteur de ce cadre unique, comme avec cette ferme réhabilitée non loin d’Aubonne.
Dans le paisible village de Saint-Livres, niché au cœur de la nature et à proximité d’Aubonne, se dresse une ancienne ferme réinventée en une propriété unique. Ce bien rare, proposé en exclusivité par John Taylor, incarne l’équilibre parfait entre charme historique et modernité contemporaine. Rénovée avec passion par un collectionneur d’art contemporain, la propriété a conservé l’authenticité de sa partie habitation tout en offrant un loft spectaculaire dans son espace rural. Ce dernier, sublimé par des poutres apparentes et baigné de lumière, est une véritable galerie vivante, combinant harmonieusement le charme d’une ancienne ferme et les atouts d’un design contemporain épuré, pensé pour mettre en valeur des œuvres d’art et des aménagements modernes. Ce loft spacieux sublime la propriété en apportant une touche de caractère. Mais le bien se compose
de plusieurs espaces distincts qui témoignent d’une rénovation intelligente et fonctionnelle, parmi lesquels notamment, des espaces de vie séparés, offrant confort et intimité. Avec une surface de 710 m² et un terrain arboré de 2 253 m², cette propriété, méticuleusement rénovée, se distingue également par des prestations haut de gamme : une piscine intérieure pour des instants de détente, une vaste terrasse pour des soirées en plein air, et un jardin où la nature règne en maître. Témoignage de son passé, l’ancienne cave à vin située au sous-sol ajoute une touche d’histoire à cet écrin d’exception. Ce bien d’une rare élégance, qui allie volumes généreux, vues dégagées et matériaux nobles, s’inscrit comme une opportunité unique sur le marché immobilier de la région. Proche de la nature tout en restant à portée des commodités, cette ferme réinventée représente un lieu de vie d’exception, conçu pour ceux qui recherchent le raffinement et l’authenticité. Un véritable coup de cœur dans le paysage immobilier de Suisse romande.
Plus d’informations : www.john-taylor.com lausanne@john-taylor.com
World Trade Center, Avenue Gratta Paille 2, 1018 Lausanne, Suisse
Le « Non Filtré », vin emblématique du canton de Neuchâtel, célèbre ses 50 ans cette année. Un demi-siècle de tradition et de savoir-faire vinicole, qui a su séduire tant les amateurs que les experts. Ce vin blanc unique en son genre, apprécié pour sa fraîcheur et son caractère authentique, incarne la richesse du terroir neuchâtelois, tout en reflétant l’expertise des vignerons locaux et le raffinement des cépages suisses.
Qu’est-ce qu’un vin non filtré ?
Le « Non Filtré » est avant tout un pur Chasselas, cépage qui se distingue par sa délicatesse et son équilibre. Élaboré sans filtration finale, il est un exemple de l’art vinicole neuchâtelois, un vin vivant qui préserve toute la richesse des levures en suspension. Ce trouble, signe d’un vin en pleine évolution, libère une explosion d’arômes exotiques et fruités. Le « Non Filtré » est également un vin primé, qui donne aux connaisseurs un avant-goût de ce que sera le millésime du nouvel an.
Ce vin incarne l’identité de la région, tout en mettant en lumière les principes de l’œnotourisme durable soutenus par les acteurs du secteur viticole suisse.
Ce vin est une véritable invitation à découvrir les terroirs suisses, notamment le terroir de Neuchâtel, où les vignerons, engagés dans des pratiques durables, ont su développer des techniques innovantes tout en respectant l’histoire et la diversité locale. Ce vin incarne l’identité de la région, tout en mettant en lumière les principes de l’œnotourisme durable soutenus par les acteurs du secteur viticole suisse.
En tant que « premier vin suisse de l’année », le « Non Filtré » est l’occasion pour les amateurs de vin de célébrer le début de
l’année avec un produit unique, tout en s’immergeant dans l’univers des vins suisses, caractérisé par une grande diversité de saveurs, de textures et d’arômes.
Une offre spéciale pour explorer les terroirs neuchâtelois
Pour ceux qui souhaitent découvrir la richesse des vins suisses, une offre en ligne permet de commander un carton panaché du « Non Filtré », comprenant une sélection des 26 vignerons participants. Cette offre exclusive permet de découvrir les différents terroirs et millésimes neuchâtelois, tout en profitant d’une livraison à domicile.
Le « Non Filtré » s’invite à la table pour sublimer les mets du terroir neuchâtelois, qu’il s’agisse d’une fondue savoyarde, des spécialités du lac ou des plats plus raffinés. Ce vin est bien plus qu’une simple boisson : il est un véritable ambassadeur de la richesse des vins suisses, qui allient tradition, innovation et respect de l’environnement.
1er vin suisse de l’année
Le rêve d’une maison de verre, symbole de transparence et d’harmonie entre intérieur et extérieur, a inspiré des penseurs comme André Breton et Walter Benjamin. Pour ces visionnaires du XXe siècle, l’espace devait être un lieu d’ouverture, sans frontières, où la nature et l’habitat se fondent. Aujourd’hui, ce rêve trouve un écho dans les constructions Huf Haus, un pionnier de l’architecture contemporaine à colombages.
Une tradition réinventée
Fondée en 1912, Huf Haus est une entreprise familiale allemande qui a su traverser les générations, aujourd’hui gérée par la quatrième. Avec son siège au nord de Francfort, l’entreprise emploie plus de 400 personnes et exporte son savoir-faire à travers toute l’Europe. En Suisse, elle dispose de deux bureaux : les maisons témoins de Montreux et de Zurich. L’architecture de Huf Haus est une réinterprétation moderne de la traditionnelle maison à colombages, alliée à des éléments contemporains comme de vastes baies vitrées. Résultat : une maison qui respire, où l’espace intérieur, baigné de lumière naturelle, s’ouvre sur l’extérieur.
Fonctionnalité et esthétisme
Cette réalisation de la gamme Modum, exemple typique du design élégant et intemporel de Huf Haus, illustre parfaitement cette fusion de modernité et de tradition. Avec son toit plat et ses vastes vitrages qui
maximisent la connexion avec l’environnement, elle n’est pas sans rappeler les lignes minimalistes du modernisme. Sa conception soigneusement pensée intègre des zones ouvertes et des espaces intimes, offrant un équilibre entre convivialité et privacité.
Innovation et durabilité
au cœur des projets
L’architecture Huf Haus est plus qu’une esthétique : c’est un modèle de durabilité. L’entreprise, certifiée par le Conseil allemand pour une construction durable (DGNB), investit dans des techniques innovantes qui allient performance énergétique et respect de l’environnement. Le choix du bois comme matériau principal de construction permet de réduire significativement l’empreinte carbone. Chaque maison est équipée de triples vitrages, d’une isolation de toiture optimale, de chauffages au sol par pompe à chaleur ainsi que de panneaux photovoltaïques, garantissant ainsi une habitation à haute efficacité énergétique.
Le choix de l’excellence
Huf Haus crée des maisons sur mesure, adaptées aux besoins et aux envies de chaque client. Cette personnalisation s’étend des solutions architecturales aux aménagements intérieurs, faisant de chaque projet une œuvre unique. La transparence et la lumière y jouent un rôle central, prolongeant la sensation d’espace et d’ouverture.
Opter pour une maison Huf Haus, c’est choisir l’excellence. Des réalisations haut de gamme, des finitions luxueuses, une qualité à l’épreuve du temps. L’entreprise au savoir-faire centenaire offre un service clé en main qui garantit un accompagnement complet, de la conception initiale à la remise des clés.
Plus d’informations sur www.huf-haus.com
HUF HAUS Montreux
Route de Fontanivent 54b 1817 Brent
T. +41 21 964 56 40 montreux@huf-haus.com
Maison témoin, du LU au VE sur rendez-vous.
Grâce à une combinaison de technologies modernes pour le développement durable, les Services industriels de Lausanne (SiL) s’imposent comme des pionniers dans les domaines du chauffage à distance, de l’énergie solaire et de la mobilité électrique.
Architectes, propriétaires immobiliers, gestionnaires d’immeubles : ces solutions innovantes s’intègrent parfaitement aux projets, tout en soutenant les objectifs du Plan climat lausannois.
Chauffage à distance : l’efficacité énergétique en réseau
Dans l’imaginaire collectif, la transformation de simples déchets en énergie semblait autrefois tout droit sortie d’un scénario de science-fiction. Aujourd’hui, cette idée relève du réel pour les Services industriels de Lausanne (SiL). La Ville s’inscrit pleinement dans le Plan climat avec l’ambition de chauffer ses habitants grâce à l’incinération des déchets et des boues d’épuration. En matière d’économie circulaire, Lausanne rivalise avec Zurich pour le titre de pionnière suisse, illustrant ainsi une détermination commune à exploiter chaque ressource disponible avec ingéniosité.
Le chauffage à distance, au cœur de cette démarche, est appelé à devenir un pilier majeur de la transition énergétique lausannoise d’ici 2050, avec pour objectif de fournir environ 75 % des besoins en chaleur de la population.
Comment ça fonctionne ?
Le chauffage à distance transporte l’énergie thermique à travers des conduites souterraines réparties sur plus de 100 kilomètres. Cette chaleur provient principalement de l’usine d’incinération des déchets Tridel (55,5 %), des boues d’épuration de la STEP (2,9 %) et du biogaz produit par Epura (4,7 %). D’ici 2035, 100 % de l’énergie utilisée sera renouvelable, avec des pompes à chaleur supplémentaires pour exploiter l’énergie de l’air, de l’eau et du sous-sol. Pour les bâtiments non raccordables au réseau, des solutions locales de pompes à chaleur individuelles seront proposées, permettant aux propriétaires de remplacer leurs chaudières à gaz ou au mazout. Pour des besoins de puissances plus importants, les SiL proposent également des solutions de contracting thermique sans investissement de départ pour les propriétaires d’immeubles. Le financement de l’installation est pris en charge par les SiL qui s’occupent de l’ensemble du projet.
Pour les propriétaires immobiliers, intégrer le chauffage à distance dès la phase de conception d’un projet garantit une gestion énergétique optimisée et contribue aux objectifs de zéro émission de CO₂ d’ici 2050. Une démarche idéale pour les bâtiments en milieu urbain dense.
Énergie solaire : des toits qui produisent de l’électricité verte Le solaire est au cœur de la stratégie énergétique lausannoise. Les SiL, via leur filiale SI-REN SA, déploient des installations photovoltaïques sur les toitures des bâtiments, qu’ils soient résidentiels ou industriels.
Le contracting solaire : une solution sans investissement Le contracting solaire proposé par les SiL simplifie l’adoption de l’énergie solaire pour les propriétaires immobiliers. Le principe ? Les SiL financent, installent et entretiennent les panneaux solaires, tandis que le propriétaire ou les résidents bénéficient d’une électricité verte à moindre coût, sans investissement initial. Ce modèle est normalement proposé pour les grandes toitures (dès 500 m2), mais les SiL proposent cette solution pour les bâtiments dès 100 m² de toiture disponible, afin d’accélérer la transition énergétique.
Les communautés d’autoconsommation permettent également de maximiser l’utilisation de l’énergie solaire. Chaque résident peut ainsi consommer directement l’électricité produite sur le toit de l’immeuble. Imaginez une cuisson au four le midi, alimentée par le soleil : une économie d’énergie significative et une réduction des coûts pour les habitants.
Un calculateur solaire disponible sur le site de la Ville de Lausanne permet aux propriétaires d’évaluer rapidement le potentiel solaire de chaque bâtiment. Une ressource précieuse pour des projets tournés vers l’avenir.
Mobilité électrique : une infrastructure prête pour demain La mobilité électrique est l’un des autres piliers essentiels du Plan climat lausannois. La Ville ambitionne d’éliminer les véhicules thermiques de son territoire d’ici 2030. Pour y parvenir, l’accès aux bornes de recharge doit être simple et efficace.
Les SiL jouent un rôle clé en installant des bornes de recharge publiques et privées. Depuis 2023, Les SiL ont déjà équipé 10 quartiers avec des bornes de recharge publiques (en accès libre pour les porteurs de macarons), couvrant stratégiquement le territoire lausannois. Pour les immeubles résidentiels dotés de parkings
souterrains, les SiL proposent une solution complète : installation et pré-équipement des parkings à leur charge. Chaque place peut ainsi disposer de sa borne de recharge prête à l’emploi, simplifiant la vie des résidents.
Cette offre est avantageuse pour les propriétaires immobiliers : en intégrant ces infrastructures dès la conception des projets, ils offrent à leurs habitants un service moderne et prêt pour la transition énergétique.
Pourquoi choisir les SiL ?
– Contracting solaire : Pas d’investissement initial pour le propriétaire, énergie verte et moins chère pour les résidents.
– Chauffage à distance : Une solution efficace pour réduire les émissions de CO2 et répondre aux besoins de chaleur des bâtiments en milieu urbain.
– Mobilité électrique : Infrastructure de recharge prête à l’emploi pour tous les immeubles résidentiels et leurs parkings.
En collaborant avec les SiL, vous assurez à vos projets une valeur ajoutée écologique et économique, tout en simplifiant la gestion technique et financière. Vous contribuez ainsi activement à la transition énergétique de Lausanne et à un avenir plus durable pour ses habitants.
Pour toute question ou pour un accompagnement personnalisé, les conseillers des SiL se tiennent à votre disposition au 021 315 82 82 ou par e-mail à sil.commercial@lausanne.ch
Pittet, Nicolas Weber & Frank Lambelet Associés, BCS SA
En juillet dernier, Frank Lambelet, Yvan Pittet et Nicolas Weber deviennent tous trois administrateurs associés de BCS SA, un bureau d’études spécialisé dans la conception et la planification des façades aux matériaux écologiques et innovants. Si la reprise s’est effectuée en douceur et dans le temps, l’arrivée de cette nouvelle équipe souligne la volonté d’adopter un esprit d’ouverture sur les enjeux environnementaux à intégrer dans les projets de rénovation ou de nouvelles constructions actuels. Ils nous en disent plus dans cette interview.
Quelles sont les principales avancées écologiques intégrées de BCS SA ?
La conscience des enjeux écologiques est beaucoup plus forte aujourd’hui qu’il y a 20 ans. Sensibles à notre empreinte carbone, nous privilégions donc l’installation de panneaux
photovoltaïques d’architecture pour les façades, l’utilisation de matériaux à faible emprunte carbone comme le bois ou des matériaux recyclés tels que l’aluminium, l’acier bas carbone ou certains types de verres. Si le bois est en effet très demandé, nous favorisons les circuits courts en proposant des solutions utilisant du bois issu de forêts suisses de proximité. Un exemple tel que la patinoire d’Ajoie où le Maître d’ouvrage a lui-même fourni le bois démontre bien la sensibilité écologique du client. Dans la même dynamique, le réemploi des matériaux dans les derniers projets architecturaux en cours de planification est une nouvelle façon d’introduire l’écologie. Le principe étant de réutiliser les ressources présentes sur des bâtiments voués en général à la rénovation/transformation à la place de la reconstruction « à neuf ». Cela nous permet notamment de diminuer les transports, les coûts et les besoins en matières premières.
Pouvez-vous partager quelques exemples de solutions durables ?
Nous assistons à un changement de paradigme. Tandis que nous avons toujours essayé d’utiliser le soleil pour bénéficier des gains thermiques et chauffer les bâtiments, nous cherchons aujourd’hui au contraire à nous en protéger et à éviter la surchauffe. Pour ce faire, nous
privilégions les systèmes simples de protection solaire, tels que l’ajout de coursives extérieures ou casquettes, ce que nous avons fait au complexe scolaire Les Vergers à Meyrin ou à l’Office de l’Immigration, en cours d’étude. Les coursives, sortes de grands balcons entourant un bâtiment, permettent de réduire l’usage des stores et facilitent l’entretien des vitrages. L’effet casquette ainsi créé apporte une bonne protection contre le soleil direct, tout en gardant une vue sur l’extérieur et une belle luminosité, essentielles à la qualité de vie des utilisateurs.
Finalement, nous souhaitons revenir à des façades aux éléments plus simples et efficaces énergétiquement parlant. Après la construction des immeubles entièrement en verre (façade structural glazing) des années 1990, nous cherchons aujourd’hui à réduire ces imposantes surfaces vitrées. L’intégration de végétation sur les façades est également une solution qui permet de ramener de la biodiversité en ville tout en réduisant les îlots de chaleur par la régulation de la température aux abords des bâtiments.
Interview Léa Stocky
Au cœur de chaque création se trouve une passion : pour Martine Tomé, tout a commencé avec l’art de la table.
Au fil des années, cette passion évolue vers une vision plus globale, celle de l’architecture d’intérieur.
Martine Tomé
Fondatrice , CDD Genève - Martine Tomé
Marie-Julie Beauverd
Architecte d’intérieur et coordinatrice de projet , CDD Genève - Martine Tomé
De l’art de la table à l’architecture intérieure
Guidée par cette passion de l’art de la table, Martine Tomé a démarré sa carrière au sein d’une entreprise de faïence française au début des années 90. Elle va rapidement créer des collections pour des prestigieuses maisons comme Dior, Chopard ou Nina Ricci. L’histoire s’écrit et quelques années plus tard Martine Tomé fonde Changement de Décor (CDD) où elle dessine ses propres collections d’art de la table. Petit à petit, la créatrice fait évoluer son savoir-faire vers une vision plus globale et imagine
désormais des projets complets de maison. De cette évolution naît CDD Genève - Martine Tomé, un bureau d’architecture d’intérieur proposant des réalisations sophistiquées et personnalisées.
Un duo familial
En 2012, Marie-Julie, fille de Martine Tomé, rejoint CDD Genève. Leur complicité et leur complémentarité de caractères forment un équilibre unique. Toutes deux obnubilées par le souci du détail et la qualité de leurs réalisations, Martine et Marie-Julie travaillent main dans la main avec fluidité. Une harmonie familiale qui renforce l’identité et le succès du bureau.
Établir un fil rouge au travers des matériaux
Situé au cœur de la vieille ville de Genève et fort de quatre architectes d’intérieurs qui viennent compléter ce duo, CDD Genève - Martine Tomé est un bureau exclusivement féminin. Toujours à l’écoute des désirs et aspirations de ses clients, CDD refuse les copier-coller. Chaque réalisation est issue d’un concept unique pensé par le bureau. Pour chaque client, un fil rouge est déterminé afin
de définir l’orientation créative du projet et offrir des intérieurs uniques, chaleureux et sereins.
L’art de créer l’unique
Chez CDD Genève - Martine Tomé, chaque projet est conçu comme une œuvre sur-mesure. Dans cette perpétuelle recherche de perfection, le bureau n’hésite pas à dessiner ses propres pièces pour assurer l’harmonie et l’équilibre du projet. Une sélection des créations réalisées au fil des années sera prochainement dévoilée dans un catalogue inédit. Le mobilier pourra être réédité sur demande. Histoire à suivre sur le site www.martinetome.com et sur les réseaux sociaux.
Texte Maévane Mas
Leader dans la distribution et le service après-vente des véhicules utilitaires Mercedes-Benz, le Groupe Chevalley place le client professionnel au cœur de ses préoccupations. Avec des solutions sur-mesure, une offre attractive et une expertise certifiée, il s’impose comme un partenaire clé pour les entreprises de Genève et de Nyon.
Bécaert
Responsable des ventes véhicules utilitaires
Une expertise reconnue
Depuis plus de 50 ans, le Groupe Chevalley incarne l’excellence dans la distribution automobile. À Genève, le garage de la Marbrerie à Carouge est un centre agréé de vente et de service après-vente
et il arbore fièrement la certification Van Pro Center. Cette distinction garantit aux clients professionnels un service hautement qualifié et personnalisé, soutenu par des années d’expérience et une formation continue. « Chaque client est unique et mérite un conseil adapté à ses besoins spécifiques, explique Stéphane Bécaert, responsable des ventes véhicules utilitaires. Nous voulons être des partenaires, pas simplement des fournisseurs, pour accompagner nos clients dans le développement de leur activité.»
En complément, le garage de Nyon agit comme une antenne relais pour répondre aux besoins croissants des professionnels de La Côte, renforçant ainsi la proximité du service.
Des véhicules utilitaires à la pointe de l’innovation Pour répondre aux nouvelles exigences environnementales, Mercedes-Benz propose des utilitaires en versions thermiques et électriques. « Nos modèles électriques offrent des performances comparables aux thermiques, avec des coûts d’exploitation réduits — un avantage pour les
Le Groupe Chevalley accompagne ses clients dans cette transition grâce à des essais personnalisés adaptés aux besoins de chaque activité.
Une offre exceptionnelle de fin d’année
La période actuelle est propice aux investissements. Pour répondre aux attentes des entreprises, une offre exclusive propose un taux de leasing exceptionnel de 0,9 % jusqu’en janvier 2025. « Ces conditions attractives, combinées à un large stock de véhicules prêts à l’emploi, nous permettent d’allier compétitivité et réactivité », souligne Stéphane Bécaert.
Un service après-vente sur-mesure
Avec une clientèle à 80 % composée de professionnels, le service après-vente doit être à la hauteur des exigences. « Nos clients considèrent leurs véhicules comme des outils de travail essentiels, et nous devons assurer leur fiabilité pour éviter les interruptions d’activité », souligne Stéphane Bécaert. Disponibilité et expertise sont garanties à Genève comme à Nyon pour offrir un accompagnement
0,9%.
Profitez d’un leasing 0,9%* sur nos utilitaires Mercedes-Benz Citan, Vito et Sprinter thermiques de stock.
Avec la transition énergétique en ligne de mire et l’augmentation des réglementations en faveur de l’efficacité énergétique, les pompes à chaleur s’imposent comme une alternative de choix pour le chauffage des bâtiments en Suisse.
Serge Senalada
Directeur des ventes Suisse romande, Elcotherm
La pompe à chaleur (PAC) présente de nombreux bénéfices économiques, environnementaux et pratiques. Mais comment cette technologie fonctionne-t-elle concrètement, et pourquoi est-elle une solution de chauffage idéale ? Réponses avec Serge Senalada, directeur des ventes pour la Suisse romande de Elcotherm.
Serge Senalada, qu’est-ce qu’une pompe à chaleur et comment fonctionne-t-elle ? Contrairement aux systèmes de chauffage classiques qui produisent de la chaleur par combustion, les PAC exploitent un cycle thermodynamique pour déplacer la chaleur de l’extérieur vers l’intérieur. Il existe principalement deux types de pompes à chaleur, classées selon la source d’énergie qu’elles exploitent : air-eau ou par géothermie.
Ce cycle thermodynamique fonctionne en quatre étapes durant lesquelles un fluide frigorigène change d’état. Le fluide commence par capter les calories présentes dans l’air, le sol ou l’eau dans un évaporateur. À cette étape, il passe de l’état liquide à l’état gazeux en absorbant la chaleur ambiante. Puis, le gaz frigorigène est comprimé, ce qui élève sa pression et sa température. Le gaz chaud est ensuite dirigé vers un condenseur, où il cède sa chaleur à un circuit d’eau ou à l’air intérieur du bâtiment. Enfin, le fluide revient à un état liquide en passant par un détendeur, ce qui réduit sa pression et sa température, permettant au cycle de recommencer.
Quels sont les principaux avantages des pompes à chaleur par rapport aux systèmes de chauffage traditionnels ?
La pompe à chaleur permet de nombreux bénéfices économiques. Alors que les prix de l’énergie augmentent, la PAC offre aux propriétaires une réduction significative des coûts de chauffage. Si l’installation d’une PAC représente un investissement initial relativement élevé, ce coût est rapidement compensé par des économies substantielles sur les factures énergétiques, permettant souvent un retour sur investissement.
En plus de ses avantages financiers, la PAC utilise principalement des sources d’énergie renouvelables telles que l’air, le sol ou l’eau, contribuant à la réduction des émissions de gaz à effet de serre. L’installation d’une PAC améliore également la note du Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) des biens immobiliers, un atout qui peut rehausser leur valeur marchande.
Les PAC offrent en outre une polyvalence remarquable, en fournissant non seulement du chauffage mais aussi de l’eau chaude sanitaire et, dans certains cas, du rafraîchissement. Avec une durée de vie moyenne de 20 ans, couplée à des besoins en maintenance minimes, en fait des solutions particulièrement durables et économiques.
Quels sont les principaux défis
auxquels les installateurs et promoteurs suisses doivent faire face pour démocratiser cette technologie ?
Les installateurs et promoteurs de pompes à chaleur font face à divers défis. Sur le plan réglementaire, bien que certains cantons comme Vaud aient simplifié les démarches, d’autres exigent des permis de construire, ce qui rallonge les délais. Par ailleurs, les PAC doivent respecter des normes sonores strictes pour limiter les nuisances de voisinage, ce qui complexifie parfois leur approbation. L’espace représente également une contrainte, surtout en milieu urbain dense, où les PAC géothermiques nécessitant des forages profonds sont parfois difficiles à mettre en place.
En Suisse, existe-t-il des incitations fiscales ou des subventions encourageant l’installation de pompes à chaleur ?
La Suisse propose des incitations fiscales et des subventions, à la fois au niveau fédéral et cantonal. Les subventions de la Confédération peuvent atteindre environ 360 CHF par kilowatt de puissance installée pour les systèmes de chauffage écologiques. Elles visent principalement le remplacement de chauffages à combustibles fossiles, comme le mazout ou le gaz naturel. Par ailleurs, des programmes spécifiques, tels que le programme myclimate, soutiennent
le passage aux PAC dans les logements locatifs. Finalement, plusieurs cantons permettent aux propriétaires de déduire les investissements dans les PAC, selon les lois fiscales locales.
Quels types de pompes à chaleur recommandez-vous pour les nouvelles constructions ou les rénovations ?
Le choix d’une pompe à chaleur dépend de plusieurs facteurs, notamment les caractéristiques du bâtiment, les besoins en chauffage et en eau chaude, ainsi que le budget. Pour les nouvelles constructions, la pompe à chaleur géothermique est une option idéale. La PAC air-eau est une alternative recommandée lorsque l’espace est limité, car elle permet une installation plus flexible.
Dans le cadre du remplacement des systèmes de chauffage, il est toutefois essentiel de s’adresser à des spécialistes pour garantir un choix optimal et durable. L’investissement pour une nouvelle installation étant conséquent, il est important que les propriétaires soient bien accompagnés afin de choisir la pompe à chaleur la plus adaptée aux caractéristiques spécifiques de leur bâtiment et à leurs besoins.
Comment Elcotherm accompagne-t-elle ses clients vers l’adoption de pompes à chaleur ?
Elcotherm se positionne comme l’un des principaux fournisseurs suisses de solutions de chauffage, en particulier dans le domaine des pompes à chaleur. Ce qui nous positionne en leader, c’est notre service après-vente exceptionnel, avec plus de 350 techniciens répartis sur le terrain, assurant ainsi un suivi rigoureux et réactif des installations. Grâce à des succursales situées dans toute la Suisse, Elcotherm offre une proximité et une réactivité accrues, garantissant un service rapide et un suivi personnalisé pour chaque client. Ce modèle d’accompagnement, de la vente à l’entretien, fait d’Elcotherm un partenaire de confiance.
Interview Maévane Mas
La HEIG-VD innove en lançant le Bachelor en Génie territorial pour répondre aux défis contemporains posés par le développement des espaces de vie et par les enjeux climatiques. Cette formation, unique en Suisse romande, vise à former les spécialistes de demain.
Une structure de formation adaptée
La filière Génie territorial se distingue d’abord par sa structure. Elle offre une base interdisciplinaire avec un approfondissement dans les domaines suivants : géomatique et maîtrise foncière, aménagement du territoire, infrastructures et enjeux climatiques. En plus de cela, l’expérience éducative est enrichie par l’introduction de journées thématiques, proposant des visites d’entreprises, des excursions et des activités pratiques.
La HEIG-VD a également innové en élargissant les voies d’accès à cette formation. Outre les géomaticiens, des spécialistes issus d’horizons divers, comme l’informatique, l’architecture et le dessinateur dans les métiers de la construction, peuvent désormais suivre cette formation, qui favorise une approche multidisciplinaire.
Depuis septembre 2024, la filière génie territorial a intégré le programme PiBS de la confédération qui permet aux titulaires d’une maturité gymnasiale d’être admis directement, en intégrant l’exigence de la pratique professionnelle durant le cursus de la formation.
La formation en Génie territorial répond aux enjeux actuels du développement territorial dans les domaines de la gestion de projets, la mobilité et les infrastructures durables, les aménagements hydrauliques, la gestion foncière et la protection des ressources environnementales. Il s’agit d’apprendre à maîtriser les technologies de la géomatique et de l’informatique pour acquérir, structurer et représenter les géo-données. Les étudiants sauront mettre en œuvre les procédures d’aménagement, formaliser les dispositifs de financement et exploiter les outils de communication (modélisation
3D, simulations, techniques de négociation) pour les projets territoriaux à différentes échelles.
HEIG-VD.ch/formation/ bachelor/genie-territorial/
HEIG-VD.ch/formation/bachelor/ admission/ingenierie/pibs/enseignement
Invitation – Événement
5 à 7 PiBS Génie territorial
HEIG-VD a le plaisir de vous inviter à un événement dédié aux entreprises, visant à renforcer la collaboration entre le monde académique et professionnel pour répondre aux défis actuels du marché du travail.
Un événement spécifique est organisé à la HEIG-VD afin de pouvoir vous présenter le dispositif et répondre à vos questions :
Jeudi 30 janvier 2025
Offrir un repas via Twint ! En Afghanistan, la moitié des enfants de moins de 5 ans souffre de malnutrition aiguë.
Fondée sur une expertise de plus de 50 ans, Finstral s’est imposée comme l’un des leaders européens en matière de fenêtres et de portes.
À l’intersection du design, de l’innovation et de la performance, l’entreprise offre à ses clients une personnalisation poussée de leurs projets.
Mirzet Husejinovic, responsable commercial pour la Suisse, nous partage sa vision sur l’importance d’un service sur mesure.
Mirzet Husejinovic
Responsable commercial pour la Suisse, Finstral
Mirzet Husejinovic, quelle place le design occupe-t-il chez Finstral ?
Le design est essentiel. Nous proposons une gamme très large en fenêtres, portes-fenêtres et baies vitrées, avec des matériaux variés comme le PVC, l’aluminium ou le bois. Lorsqu’on choisit une fenêtre, on pense sur le long terme : 25, 30, voire 40 ans. Si le budget reste le premier critère, le design arrive juste après, car nos clients veulent des solutions esthétiques adaptées à chaque pièce de leur maison. Nous nous efforçons donc de personnaliser nos produits pour répondre précisément à leurs attentes.
Quelles nouveautés design avez-vous récemment lancées ?
Notre innovation phare est le modèle « Cristal », où le cadre ouvrant est entièrement recouvert de verre. Cela crée un effet épuré, presque invisible, mettant uniquement en valeur la surface vitrée. Ce design raffiné, unique sur le marché, offre une personnalisation complète avec différents matériaux et finitions.
Quels matériaux favorisez-vous pour allier durabilité et performance ?
Le PVC reste incontournable : il est recyclable à 100 % et ne génère aucune perte lors de sa transformation. Ensuite, bois et aluminium viennent enrichir les options, en phase avec les tendances actuelles et les attentes écologiques de nos clients.
Les normes suisses influencent-elles vos choix de conception ?
Absolument. Les standards suisses sont parmi les plus stricts d’Europe, ce qui nous pousse à innover en permanence. Ces exigences font évoluer nos produits chaque année, garantissant une qualité irréprochable.
BULLE, ESPACE GRUYÈRE
QUAND LE BOIS LIEU D'ACCUEIL, INSPIRE LA RÉNOVATION BIODIVERSITÉ ET FONCTIONS: lOHlS - 12Hl5
CAP SUR LA FORÊT 13HOO - 14Hl5
Quels défis rencontrez-vous dans la personnalisation des projets ?
Chaque projet est unique, et le principal défi est d’harmoniser les contraintes budgétaires, les normes techniques et les attentes esthétiques. Nos équipes travaillent étroitement avec chaque client pour trouver les solutions adaptées. C’est cette flexibilité qui fait notre force.
Quel rôle joue la digitalisation chez Finstral ?
Elle est essentielle. Nos clients peuvent configurer leurs fenêtres directement sur notre site, choisir les matériaux, les couleurs et visualiser leur projet. Cela simplifie la prise de décision et améliore l’expérience client, tout en optimisant nos processus internes.
Quels sont vos objectifs pour l’avenir ?
Nous voulons continuer à écouter nos clients, innover et repousser les limites du design et de la construction. Depuis 50 ans, nous améliorons nos produits, et cette dynamique reste au cœur de notre stratégie.