2ème Partie
Ma Famille
Décembre ’24
Protection animale
Si offrir un animal en cadeau peut sembler être une belle idée, il s’agit d’une responsabilité majeure qui demande une longue réflexion.
Le Cirque de Noël de Genève vous attend cette année aussi avec un tout nouveau spectacle pour les petits et les grands prêt à vous émerveiller. DU 23 NOV. 2024 AU 5 JANVIER 2025
À la découverte des oiseaux des jardins en hiver
BirdLife Suisse organise l’événement « Oiseaux de nos jardins – en hiver » du 10 au 12 janvier 2025 à l’échelle nationale. Cette initiative invite les citoyens suisses à s’engager dans l’observation des oiseaux hivernants, tout en sensibilisant le public à la biodiversité et à la faune locale. BirdLife, association renommée pour son engagement en faveur des oiseaux, travaille activement pour protéger les espèces et promouvoir l’éducation environnementale depuis de nombreuses années.
Les jardins en hiver offrent une belle occasion de découvrir les visiteurs à plumes qui animent ces espaces. Les participants apprendront à identifier
les différentes espèces et pourront observer leurs comportements. L’action complète celle organisée chaque printemps par BirdLife.
Un site internet interactif sera prochainement disponible pour enregistrer les observations, facilitant ainsi le partage des données collectées et contribuant à une meilleure compréhension des populations d’oiseaux.
Plus d’informations : birdlife.ch/fr/content/oiseauxde-nos-jardins-en-hiver
Soutenir BirdLife : birdlife.ch/fr/content/membre
Changement de saison : Confiez l‘entretien de votre piscine à nos experts pour une eau impeccable toute l‘année ! Donnez vie à vos projets de salle de bain : Création sur mesure et rénovation alliant confort et élégance !
Une assurance animalière qui a du flair
Souscrire une couverture santé pour chiens et chats présente de nombreux avantages. Décryptage avec Henri Mussitelli, responsable projets marketing et communication d’Animalia, leader suisse de l ’assurance pour chiens et chats.
En Suisse, on aime les animaux. À eux seuls, chiens et chats représentaient, en 2022, 2,5 millions d’individus. Si à cela on ajoute lapins et autres rongeurs, on frise les 3 millions (source VHN). On aime aussi ceux qui les soignent, à savoir, les vétérinaires, mais leurs factures… on ne les aime pas du tout. Contre mauvaise fortune bon cœur, on se dit alors : « tant pis pour les vacances, l’important c’était de sauver Chouquette ». Avec Animalia, les deux auraient été possibles ; l’opération de Chouquette et la semaine à Dubrovnik.
Pour tous les budgets
En souscrivant une assurance chez Animalia, les coûts vétérinaires peuvent être pris en charge à 90 %, quels que soient l’âge et la race de l’animal. Cela concerne les soins, les séjours hospitaliers, les traitements chirurgicaux, les médicaments ou encore les frais de transports et de séjours à l’hôpital ou en cabinet en cas d’urgence, en Suisse, comme à l’étranger. Un forfait annuel est également disponible pour couvrir les traitements de maladies alternatives, dans la limite des conditions prévues.
Le plus tôt sera le mieux
Si les problèmes de santé apparaissent généralement avec l’âge, Henri Mussitelli recommande de se pencher très vite sur la question des assurances. Les jeunes animaux ne sont en effet pas épargnés par les accidents ou les maladies dont les conséquences peuvent être lourdes. Animalia constate d’ailleurs que la grande majorité des clients assurent leurs animaux dans les trois premières années de vie.
Prévenir
Le Pack Prévention d’Animalia est un plus précieux. Les propriétaires bénéficient en effet de CHF 100.- par an pour financer les frais de vaccins, de vermifuges, de stérilisation ou encore, de détartrage ; une initiative qui encourage la prévention et garantit le bien-être de nos fidèles compagnons.
Les chats traînent encore la patte Bien que les chiens soient généralement bien assurés, beaucoup de petits félins quant à eux ne bénéficient toujours pas d’une couverture. On observe une tendance, chez les propriétaires de chats, à sous-estimer l’importance d’une assurance pour leurs compagnons. Pourtant, les soins pour les chats peuvent être aussi coûteux que ceux des chiens. Des interventions chirurgicales complexes, des traitements pour des maladies graves, ou des hospitalisations peuvent rapidement représenter des dépenses considérables.
Quiétude
Assurer ses animaux, conclut le spécialiste, c’est garantir leur bien-être tout en évitant des imprévus financiers. Avec Animalia, il est possible de concilier sérénité et soins de qualité, pour nos chiens et nos chats. Un choix avisé qui protège à la fois nos compagnons et notre tranquillité d’esprit.
Texte Emmanuel Viaccoz
Plus d’informations sur www.animalia.ch
Migraine : la névralgie d’Arnold • Brandreport
La névralgie d’Arnold, une forme méconnue de migraine
La névralgie d’Arnold, souvent masquée sous le terme générique de migraine, est une douleur bien plus fréquente qu’on ne le pense. Explications avec les Drs. Pietramaggiori et Scherer, spécialistes de renommée internationale du Global Medical Institute à Lausanne.
Formés en Suisse et dotés d’un riche parcours de recherche à Harvard, les deux docteurs connaissent bien la maladie et viennent de présenter leurs avancées à la prestigieuse Société Américaine de Chirurgie Plastique. « La névralgie d’Arnold coexiste souvent avec la migraine, ce qui explique pourquoi elle est fréquemment sous-diagnostiquée », explique le Dr. Scherer. « Mais elle présente des spécificités, notamment une douleur lancinante à la base du crâne qui peut irradier vers les tempes, les yeux, ou le cuir chevelu. La pression sur les nerfs occipitaux aggrave souvent les symptômes ». Si les migraines touchent environ 15 % de la population, des études d’Harvard révèlent que jusqu’à 25 % des consultations aux urgences pour céphalées pourraient concerner en réalité une névralgie d’Arnold, souvent mal identifiée. « Les patients errent parfois des années avant de trouver un diagnostic », ajoute le Dr. Pietramaggiori.
Comment reconnaître les symptômes ?
« Si la douleur est localisée derrière la tête, sensible au toucher ou aggravée par certains mouvements, cela peut être un signe », note le Dr. Scherer. Le test clé reposant souvent sur des infiltrations anesthésiques pour confirmer la cause nerveuse. Traditionnellement, les traitements ont souvent inclus des médicaments, des infiltrations, ou
des interventions invasives risquant d’endommager les nerfs. Les Drs. Pietramaggiori et Scherer eux, ont conçu une méthode qui préserve la fonctionnalité du nerf par une chirurgie minimalement invasive, consistant à décompresser les nerfs occipitaux via une incision de seulement deux centimètres, réalisée sous anesthésie locale. « C’est comparable au traitement d’un syndrome du canal carpien,
mais appliqué à la nuque » précise le Dr. Pietramaggiori. Leur technique garantit ainsi une récupération presque immédiate. Un travail salué par leurs confrères américains.
Sensibiliser pour mieux soigner « Notre mission est d’améliorer la qualité de vie des patients et de sensibiliser la communauté médicale », conclut le Dr. Scherer. « Trop de gens souffrent inutilement pendant des années et la douleur devient souvent chronique avant qu’un traitement ne soit proposé ». Grâce à leur expertise et leur approche innovante, les Drs. Pietramaggiori et Scherer œuvrent pour que la névralgie d’Arnold ne soit plus une douleur invisible, mais bien une migraine traitable, offrant ainsi aux patients concernés, une véritable renaissance.
Plus d’informations : www.globalmigraine.surgery info@global.surgery
Un animal de compagnie n’est pas un cadeau
Les animaux de compagnie peuvent être considérés comme des présents précieux : ils enrichissent nos vies et nous apportent de grandes joies. Toutefois, offrir un chien, un chat ou un lapin en cadeau reste souvent une mauvaise idée.
De nombreux parents pensent qu’un animal pourrait être un cadeau idéal pour les enfants. Toutefois, bien que ceux-ci puissent ressentir un attachement émotionnel envers les animaux, ils sont rarement en mesure d’assumer pleinement leur bien-être. Un animal n’est effectivement pas un simple objet que l’on peut offrir sans réflexion : c’est un être vivant, avec des besoins qui varient selon son espèce et sa race, et qui nécessite des soins réguliers. Accueillir un animal de compagnie demande donc une réflexion approfondie.
Un engagement quotidien et à long terme
Prendre un animal de compagnie est une décision qui exige réflexion et préparation. Il s’agit d’un engagement à long terme, parfois jusqu’à 14 ans pour un chien ou 20 ans pour un chat. Ces années promettent une belle complicité, mais impliquent également des responsabilités constantes et des dépenses régulières. Avant d’accueillir un animal, il est crucial de se demander si l’on est prêt à répondre à ses besoins tout au long de sa vie, y compris face aux défis liés à l’âge ou à d’éventuels problèmes médicaux. Outre les frais de santé, de nourriture et d’équipements nécessaires, un animal demande un investissement quotidien en temps, ce qui n’est pas compatible avec tous les trains de vie.
De nombreuses personnes sous-estiment l’impact d’un animal sur leur vie quotidienne. Avoir un compagnon implique de la stabilité, de l’attention et du temps, ce qui peut être difficile à concilier avec une vie très active, des déplacements fréquents ou de lourdes responsabilités personnelles. Il est important de reconnaître que l’adoption doit correspondre autant aux besoins de l’animal qu’au mode de vie de la personne, et il est recommandé de choisir un animal dont les besoins s’accordent vraiment à la réalité du futur propriétaire. Faire preuve d’honnêteté envers soi-même est essentiel, car certains modes de vie ne sont simplement pas adaptés à la présence d’un animal.
Des besoins propres à chaque animal
Tous les animaux de compagnie ont des besoins particuliers qu’il est essentiel de comprendre et de respecter. Par exemple, les chiens nécessitent une éducation à long terme, des activités régulières en extérieur et une attention constante. Ils ne sont pas faits pour rester seuls de longues heures, encore moins plusieurs jours par semaine, lorsque leurs propriétaires sont absents pour le travail. Leur bien-être repose sur une interaction quotidienne et un cadre de vie stimulant.
Les chats, souvent perçus comme des animaux solitaires, méritent également qu’on nuance cette idée. Les chats adultes qui ont accès à l’extérieur peuvent effectivement se montrer indépendants. Cependant, les chatons, qui doivent rester à l’intérieur pendant un certain temps, bénéficient grandement de la compagnie d’un autre chat ou chaton pour se socialiser. Par ailleurs, il est recommandé de faire pucer et vacciner les chats, ce qui engendre des frais supplémentaires à ne pas négliger. Comme les chiens, les chats ont besoin de moments de jeu et d’interaction pour rester épanouis et équilibrés.
Enfin, les lapins, souvent choisis pour les enfants en raison de leur apparente simplicité, requièrent en réalité un soin particulier. Offrir un environnement adapté à leurs besoins demande du temps et des connaissances. Contrairement aux idées reçues, la majorité des lapins n’aime pas être portés, manipulés ou caressés, ce qui peut ne pas convenir aux attentes des plus jeunes. Respecter ces besoins spécifiques est crucial pour garantir une cohabitation harmonieuse et une qualité de vie optimale pour chaque animal.
Montrer son amour pour les animaux autrement Il est possible d’offrir son temps et son attention aux animaux sans pour autant en adopter un. Par exemple, en devenant promeneur de chiens ou petsitters, ou alors en passant du temps avec les chats dans les refuges. Cela permet aux animaux de bénéficier d’interactions positives, de socialisation et d’exercice, tout en créant des moments de bonheur mutuel. Pour ceux qui envisagent d’adopter un animal, il est possible d’en accueillir un temporairement au préalable. Ce geste offre aux animaux un environnement chaleureux avant qu’ils ne trouvent leur future famille tout en permettant aux éventuels adoptants de voir si cette responsabilité leur convient.
Pour offrir un geste symbolique à un proche, on peut également choisir de parrainer un animal en refuge. Ce type de cadeau permet de contribuer à l’entretien et aux soins d’un animal, tout en respectant son bien-être et en offrant un geste solidaire et significatif. On peut finalement soutenir une organisation de protection animale, soit en devenant bénévole, soit en faisant un don. Ces associations ont souvent besoin de soutien financier pour couvrir leurs actions, et chaque contribution est précieuse pour les animaux dont elles s’occupent.
Quatre Pattes, l’organisation pour la protection des animaux Quatre Pattes est l’organisation mondiale de protection des animaux sous l’influence directe de l’homme qui sauve les animaux dans le besoin et les protège. Fondée en 1988 à Vienne par Heli Dungler et ses amis, l’organisation milite pour un monde où les humains traitent les animaux avec respect, empathie et compréhension. Aujourd’hui, avec des bureaux installés aux quatre coins du monde, Quatre Pattes apporte une aide rapide et des solutions à long terme. L’objectif de l’organisation est d’obtenir et d’instaurer des changements dans la politique, la société et l’économie en faveur des animaux, par le biais de projets, de campagnes et d’actions de sensibilisation.
Quatre Pattes concentre son action sur l’amélioration des conditions de détention des animaux de compagnie, y compris les chiens et chats errants, mais aussi des animaux de ferme et des animaux sauvages, tels que les ours, les grands félins, les orangs-outans et les éléphants, détenus dans des conditions inappropriées ou dans des zones de catastrophe et de conflit. Finalement, l’organisation crée et gère des refuges dans le monde entier, dans lesquels les animaux sauvages sauvés d’une captivité abusive trouvent un foyer adapté à leur espèce et leurs besoins.
Texte Maévane Mas
Plus d’informations sur www.quatre-pattes.ch
Dolores je. 23 JANVIER
Gabi Hartmann
Nouvel album je.10 AVRIL
J’avais ma petite robe à fleurs je. 6 FÉVRIER
accessible en LSF
Le Village des sourds me. 26 MARS
Réda Seddiki
Ironie de l’Histoire ma. 15 AVRIL
L’art du thé spectaclesonesiens.ch
Flavia Coelho Ginga je. 8 MAI
Vente de billets : Spectacles Onésiens, Stand Info Balexert, Migros Change - Rive, Migros Change - MParc La Praille, spectaclesonesiens.ch, migroslabilletterie.ch
Le coffret « Winter Tea » propose quatre thés aux saveurs festives — Christmas Magic, Holy Night, Winter Wonderlandet Cinnamon Frost — accompagnés d’un infuseur raffiné, pour une promesse de moments cosy et d’un hiver inoubliable
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Nigéria : après six ans, Kaltum et ses frères et sœurs retrouvent leur famille
Kaltum Suleiman, âgée de 16 ans, a dû fuir deux fois à cause de la violence armée. Malgré un long périple dans des circonstances difficiles, elle a réussi à rester aux côtés de ses frères et sœurs et à travailler avec les bénévoles de la Croix-Rouge nigériane pour retrouver leur famille, après des années de séparation.
« Des combattants armés sont entrés dans notre village et il y avait des tirs partout », se souvient-elle. « Tout le monde fuyait, nous courions, et puis nous avons été séparés de notre famille – jusqu’à aujourd’hui. »
Un voyage semé d’embûches Au départ, Kaltum et ses frères et sœurs ont été déplacés avec leur mère et ont traversé la frontière pour se réfugier au Tchad. Là-bas, une nouvelle attaque a séparé les enfants de leur mère et, depuis, Kaltum s’est occupée de ses frères et sœurs, les protégeant et veillant sur eux.
Malgré les défis d’un voyage long et périlleux, Kaltum a réussi à garder les trois enfants ensemble et à les conduire jusqu’à Monguno, une ville du nord-est du Nigéria, où ils ont rencontré des bénévoles de la Croix-Rouge nigériane.
Une aide précieuse pour la réunification
« Quelqu’un m’a dit qu’il existait un endroit où l’on pouvait appeler ses proches et qu’on nous aiderait à retrouver la famille. J’y suis allée et j’ai expliqué notre situation », explique-t-elle. « J’étais heureuse de les appeler, et aujourd’hui, je suis ravie d’être réunie avec ma famille. »
Des retrouvailles pleines d’émotion
Après six longues années, Kaltum et ses frères et sœurs ont été réunis avec leur frère aîné, Hassan, à Maiduguri. « C’est comme un rêve », dit Hassan. « Je pensais que je ne les verrais jamais plus de ma vie... Je ne peux pas décrire à quel point je suis heureux de les avoir retrouvés. Un frère ou une sœur, c’est irremplaçable ! »
L’engagement du CICR dans la région
Lilian Dube, membre de l’équipe du CICR dans le nord-est du Nigéria, a joué un rôle essentiel dans la recherche de la famille de Kaltum. En utilisant des détails importants dont les enfants avaient pu se rappeler, elle et son
équipe ont travaillé sans relâche pour localiser leurs proches. « Nous avons recueilli les informations sur la famille et nos collègues ici à Maiduguri les ont cherchés sans relâche. Ils les ont finalement retrouvés », dit-elle.
En 2023, le CICR a aidé 13 familles semblables à celle-ci au Nigéria. « Cela peut sembler un petit nombre », explique Lilian, « mais c’est un processus long et exigeant qui prend du temps et demande beaucoup d’efforts. Ce n’est pas facile car les familles continuent de se déplacer afin de fuir le danger. »
Un symbole de solidarité et d’espoir
Le travail de Lilian et de son équipe, aux côtés des bénévoles de la CroixRouge nigériane, incarne l’engagement du CICR dans les zones de conflit du monde entier. L’organisation a pour tâche de protéger et assister les victimes de la violence d’armée, et le rétablissement des liens familiaux est une part essentielle de son travail.
Chacun a le droit de savoir ce qu’il est advenu de ses proches disparus. Comme le dit Kaltum : « Je suis heureuse et j’espère que d’autres enfants séparés de leur famille pourront être réunis avec eux. »
À propos du CICR
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) est une organisation humanitaire indépendante, neutre et impartiale, fondée en 1863. Sa mission est de protéger la vie et la dignité des victimes de conflits armés, et d’apporter l’aide nécessaire. Le CICR intervient dans plus de 100 pays, travaillant avec des partenaires locaux comme la Croix-Rouge nigériane, pour offrir des services essentiels tels que des soins médicaux ou de l’eau potable. Son engagement envers les populations les plus vulnérables et le respect du droit international humanitaire est essentiel pour atténuer les souffrances et promouvoir la paix dans les régions touchées par des conflits.
Plus d’informations sur www.icrc.org
Divorcer à l’amiable grâce aux modes alternatifs
Brodard Avocats SA est composée d’avocats actifs uniquement en droit de la famille (divorce et séparation) et en fiscalité. L’ensemble des avocats est formé aux modes amiables de résolution des conflits. L’objectif de Brodard Avocats SA est de permettre à ses clients de négocier leur séparation avec leur conjoint.e sans devoir passer par une procédure judiciaire longue, coûteuse et dont le résultat est incertain.
Me Anaïs Brodard
Spécialiste
FSA
en
droit
de la famille
Médiatrice FSA
Formée au droit collaboratif
Aujourd’hui, plus d’un mariage sur deux se termine par un divorce. En présence d’enfants, les couples non mariés qui se séparent doivent aussi régler les modalités de leur séparation.
Plusieurs possibilités existent : les parties peuvent décider de laisser à un Juge la responsabilité de décider
de résolution amiable de leur litige (médiation, droit collaboratif).
Le processus collaboratif Un processus qui se déroule en cinq étapes :
1.La première rencontre à quatre et la signature de l’accord de participation
Cette première séance a pour but de faire connaissance et d’instaurer un climat de confiance afin de favoriser le travail en équipe. Le droit collaboratif est présenté aux parties et un accord de participation est signé. Cet accord reprend les principes appliqués au droit collaboratif (transparence, bonne foi, confidentialité du processus) et reprend l’obligation faite aux avocats de se désister en cas d’échec du processus.
2. La recherche des besoins et des intérêts
Lors de cette étape, l’objectif est d’identifier les besoins et les intérêts
mineurs. Cette séance est fondamentale dans la mesure où les accords qui seront négociés par la suite devront répondre aux besoins exprimés comme étant « les plus importants pour eux » par les parties.
3. La phase d’objectivisation À ce stade, il s’agira d’établir objectivement la situation des parties, notamment de lister les biens à partager, de procéder aux estimations nécessaires (immeubles, sociétés), d’établir les budgets (revenus et charges des parties, budget des dépenses nécessaires à l’entretien des enfants), de récolter les informations en lien avec la prévoyance professionnelle des parties (LPP).
4. La recherche des options
Les parties, avec l’aide de leurs avocats, recherchent ensemble et dans le même temps le maximum d’options possibles
ses ressources afin d’élaborer le plus d’idées et de pistes de solutions qui seront ainsi co-imaginées et coconstruites ensemble.
5. La rédaction des accords Dans cette dernière étape, il s’agira pour les parties de faire des choix. Les différentes options seront réfléchies, les avantages et les inconvénients de chacune des options seront discutés. Les parties partageront leur « point de repli », à savoir le point de concession maximale et la « zone d’accord possible », soit les points de négociation possibles qui se situent entre la limite supérieure de l’une des parties et inférieure de l’autre partie. Des « paquets d’options possibles » seront discutés afin de permettre aux parties de trouver « leur accord global » répondant à leurs besoins et à leurs intérêts prioritaires. Puis, vient la rédaction des accords reprenant les ententes trouvées.
Un parc qui fait rebondir petits et grands
Alors qu’il séjourne aux États-Unis, le sportif professionnel en BMX Yvan Lapraz y découvre les parcs de trampoline. Tout de suite, il voit l’intérêt que de tels lieux pourraient susciter en Suisse, le climat y étant encore plus propice aux activités d’intérieur qu’en Californie. C’est pourquoi, lorsqu’il met fin à sa carrière en 2015, il décide de se lancer dans l’aventure et finit par ouvrir The Jump Spot, le plus grand parc de trampoline de Suisse au centre de Lausanne.
Yvan Lapraz Fondateur, The Jump Spot
Une activité pour toute la famille
Le parc attire un public varié, des enfants à partir de sept ans révolus aux grands-parents, en passant par les parents qui, même s’ils ne viennent parfois qu’en tant qu’accompagnateurs, finissent eux aussi par s’acheter une entrée pour aller sauter sur les trampolines, séduits par l’activité. « Ils reviennent même sans leurs enfants », plaisante Yvan Lapraz. Finalement, le parc est un lieu d’échange et de partage, où chaque membre de la famille est assuré de passer un bon moment.
Le parc est ouvert tous les jours de 14h à 21h, à partir de 10h les samedis et les dimanches et jusqu’à 22h les vendredis et les samedis, permettant ainsi à chacun de trouver le créneau qui lui correspond. Si les mercredis et les week-ends sont des moments plus fréquentés par les enfants, les soirées regroupent un public plus adulte. La présence d’un bar, qui sert de bons cafés et des bières artisanales, complète l’offre. Il est conseillé de réserver à l’avance, surtout les mercredis, week-ends et vacances scolaires qui sont des moments très prisés.
Un lieu hybride : s’amuser en se dépensant The Jump Spot allie centre de performance et centre de loisirs. Tout le monde y trouve son compte, peut importe son niveau. « On peut s’amuser même sans jamais avoir fait de trampoline de sa vie, le trampoline ne nécessitant aucun prérequis physique ni aucun savoir-faire préalable », explique Yvan Lapraz.
Il ajoute : « Ce qui m’a tout de suite plu dans cette activité, c’est qu’on n’a pas l’impression de faire du sport. Pour se motiver à bouger, les jeunes ont besoin d’une activité ludique, qu’ils peuvent pratiquer entre amis ». Un certain nombre d’activités complètent l’offre, telles qu’un mur interactif, une tour de saut ou encore un parcours Ninja warrior, pour n’en citer que quelquesunes. Yvan Lapraz est enthousiaste : « On peut créer des défis à l’infini ! » Les abonnements proposés permettent de revenir régulièrement à moindre coût,
de la même manière que l’on prendrait un abonnement à la salle de sport. Passer quelques heures à The Jump Spot, c’est donc l’assurance de ne pas s’ennuyer et d’en ressortir tout essoufflé.
The Jump Spot www.thejumpspot.ch
Le vrai luxe plutôt que l’illusion de la grandeur
Àl’Hôtel Spitzhorn de Gstaad, les étoiles ne sont pas vraiment importantes. D’autant plus lorsqu’il s’agit de satisfaire les clients. Michel Wichman, locataire et hôte du Spitzhorn, nous présente l’établissement ainsi que ses valeurs telles que l’hospitalité authentique qui dépasse souvent les attentes des clients.
Michel Wichman, dans une de vos déclarations vous soutenez que « les étoiles sont au firmament ». Qu’entendez-vous par là ?
Les étoiles sont au firmament et non pas à un panneau à l’entrée d’un hôtel car, de nos jours, le nombre d’étoiles est de moins en moins lié à la qualité de l’hôtellerie. Notre équipe se préoccupe uniquement des clients et fait de son mieux pour qu’ils soient satisfaits. C’est pourquoi les évaluations en ligne de nos visiteurs sont beaucoup plus significatives que nos étoiles pour nous. L’hôtel pourrait même se voir attribuer huit étoiles mais cela ne changerait rien car nous favoriserons toujours une hospitalité authentique et sincère ainsi qu’un service impeccable. D’ailleurs, c’est précisément par ces caractéristiques et ces valeurs que nous souhaitons nous démarquer et démontrer la qualité de notre établissement. C’est pour cette raison que nous avons rejeté les quatre étoiles que l’Hôtellerie Suisse envisageait de nous attribuer.
N’est-ce pas un inconvénient, surtout concernant la perception de l’extérieur ?
Non, pas du tout. Même si parfois nous pensons ne pas être à la hauteur, nous dépassons toujours les attentes de nos clients. Les visiteurs deviennent ainsi des habitués enthousiastes et fidèles. Nous proposons une forme d’hospitalité contemporaine et durable, qui laisse les étoiles à leur place - dans le cielet nous plaçons toujours le bien-être des hôtes au cœur de notre activité.
Cependant, il reste vrai que les étoiles aident certains invités à choisir leur destination. Et pourtant, vous vous êtes « contenté » d’ouvrir un hôtel trois étoiles. Pourquoi ?
À mon avis, parallèlement au monde du grand tourisme hôtelier super riche et classique, Gstaad doit se développer davantage en termes de nouveaux concepts pour l’avenir. À Gstaad, il manquait un hôtel trois étoiles qui offrait un service exceptionnel. Avant d’être hôte du Spitzhorn, j’ai travaillé pendant huit ans comme directeur au Grand Hôtel Bellevue Gstaad (aujourd’hui Le Grand Bellevue). Lorsque je travaillais au Grand Hôtel Bellevue, mon équipe et moi, nous concentrions toujours sur le bien-être de nos hôtes. Toutefois, alors que cela devrait être une évidence, la satisfaction du client a fini bien souvent par passer en deuxième place dans de nombreux hôtels de luxe. Dans ces cas, la chasse aux étoiles associée aux efforts et sacrifices visant à attirer un grand nombre de célébrités a conduit à une situation qui ne permettait pas à un invité « lambda » de se sentir à l’aise dans l’établissement.
Pourquoi avez-vous choisi le Spitzhorn pour votre nouvelle mission ?
Dès le début, ma femme et moi avons pu aider à façonner l’âme de l’hôtel Spitzhorn. En tant que locataires, nous avons repris un établissement de l’assurance La Bâloise
qui correspond parfaitement à notre idée d’un hôtel moderne. Pas de posture guindée, pas d’illusion de grandeur. Nous privilégions une atmosphère détendue et une cordialité authentique. En 2014, le « Times » a même écrit qu’il s’agit d’un moyen de « réinventer Gstaad pour les skieurs au budget plus modeste ».
Qu’est-ce qui différencie le Spitzhorn d’autres hôtels de la même catégorie ou d’une catégorie supérieure ?
Nous pensons qu’il ne faut « pas toujours vouloir plus, mais aspirer au meilleur ». C’est le principe directeur de notre hôtel trois étoiles supérieur. À mon avis, il n’est pas possible de comparer un hôtel à un autre car chaque établissement possède son propre charme et sa propre identité. Finalement, ce qui compte c’est l’âme de l’hôtel, tout est une question de niveaux, notre hôtel est d’un degré plus spacieux, les couloirs sont plus larges, les chambres plus lumineuses, les boissons plus grandes, le champagne plus pétillant, le temps est meilleur, les enfants sont plus heureux, les montagnes plus hautes, la piscine s’avère plus accueillante, les prairies alpines plus colorées et les visages de notre équipe sont plus rayonnants. Ce qui fait la différence c’est aussi notre facture qui, malgré le confort offert, rayonne d’une modestie particulière. Nous nous concentrons uniquement sur le client et son bien-être. Tout ce dont nos visiteurs ont besoin est à leur disposition. Nous offrons donc le vrai luxe plutôt qu’une illusion de grandeur.
Qu’est-ce qui distingue l’offre culinaire du Spitzhorn ?
Les plats les plus populaires des Alpes ou « The Best of the Alps » d’Allemagne, d’Autriche, de Suisse, d’Italie et de France attendent nos visiteurs ! Nous avons mis au point les meilleures recettes, qui convainquent par des ingrédients frais, souvent locaux, et forment un menu simple mais très savoureux. Nous proposons par exemple
des soupes spéciales, des poissons locaux, des classiques alpins, des röstis copieux et des desserts gourmands ainsi que des spécialités saisonnières.
Vous décrivez votre établissement comme un hôtel trois étoiles qui comporte une infrastructure quatre étoiles. Qu’est-ce qui confère à cette dernière sa grande qualité ?
Notre hôtel est en effet un trois étoiles supérieur avec une infrastructure quatre étoiles dans un environnement cinq étoiles. Cela fait aussi partie de notre slogan. Lorsque nous avons ouvert l’hôtel Spitzhorn en décembre 2013, « la légèreté de l’être » a également trouvé son expression architecturale. En tant que chalet-hôtel, l’établissement ne choque pas et se fond harmonieusement dans l’un des plus beaux paysages alpins de Suisse. Les chalets enchantent parce qu’ils absorbent les couleurs et les formes de leur environnement rendant l’ensemble « léger ». Quant à nos intérieurs, il a été difficile de laisser transparaître l’esthétique très particulière du monde extérieur. Nos décorateurs d’intérieur ont créé une œuvre d’art étonnante. Les 50 chambres et les 110 lits de l’établissement offrent les meilleures vues sur la région. L’hôtel comprend aussi une salle de jeux pour les enfants, une cuisine saisonnière de brasserie dans le restaurant ainsi qu’une zone de bien-être, un fitness, une piscine, un sauna / bain à vapeur, des soins Kneipp et des massages.
Plus d’informations sur : www.spitzhorn.ch
Escape room : de nouveaux mystères à résoudre
Le complexe de jeux d’évasion, situé dans la Zone Industrielle de Forel (Lavaux), invite à découvrir ses univers extraordinaires. À 20 minutes de Lausanne et à proximité de l’autoroute de Chexbres-Puidoux, il est ouvert tous les jours de l’année, y compris durant les vacances et jours fériés et propose 60 minutes d’aventure et d’immersion totale. Disposant de 15 places de parc, il peut recevoir jusqu’à 37 personnes par heure.
Ouverture officielle de la sixième room
Après une année de travaux, c’est avec une grande joie et une certaine émotion que l’équipe annonce l’ouverture de sa sixième escape room, qui se nomme « Aventure en Egypte ».
Scénario
En Egypte, de nombreuses fouilles archéologiques ont permis de découvrir des temples et tombeaux datant de 3’200 avant J-C. Le médaillon de la déesse cobra Ouadjet, protectrice de la basse Egypte, était l’objet le plus convoité. Une légende raconte que toute personne souhaitant s’en emparer aurait perdu son esprit à jamais.
Les explorateurs devront trouver comment pénétrer dans un temple inspiré de l’Egypte antique puis résoudre des mystères pour retrouver ce médaillon, tout en échappant à la malédiction qui rôde en ce lieu.
Une aventure qui se jouera autant en famille qu’entre amis et qui vous transportera dans l’ère pharaonique. Pour se rapprocher
au plus près du thème, l’élément essentiel est bien entendu la fouille. Cette escape room est disponible depuis le deux décembre 2024.
Cinq autres univers à découvrir Anniversaire, EVG/JF, team building, sortie en famille ou entre amis, il y en a pour tous les goûts !
– L’Ecole de Magie : Inspirée des décors du célèbre apprenti sorcier, les enchantements de ce monde magique raviront petits et grands. Munis d’une baguette magique, les participants seront surpris de leurs pouvoirs !
– Léonard de Vinci : cet univers transporte les participants en 1495 pour résoudre les énigmes du grand Maestro. Réussir à impressionner l’illustre Léonard n’est pas chose facile.
– 118 – Au feu ! Une salle plus traditionnelle du fait de ses cadenas, elle est aussi la plus compliquée du complexe. Sauver l’animal de compagnie d’une cliente de l’hôtel de la 42ème rue en feu est l’objectif !
– £e Ca$$e : Une mission : braquer le coffre-fort d’un mafieux. Il n’aura que ce qu’il mérite ! En bonus, quelques énigmes à résoudre sur une tablette en réalité augmentée.
– L’Enfant : L’objectif : réunir ses talents d’exorcisme et oser braver un esprit plutôt malveillant… Déconseillée aux moins de 16 ans et aux personnes sensibles, public averti !
Qu’est-ce qu’une escape room ?
Ceux qui disent ne pas aimer ce jeu n’en ont probablement jamais fait !
Devenu très populaire dans le monde, ce jeu reste encore parfois méconnu. Débutant tout d’abord sur internet en jeu virtuel, les escapes rooms ont évolués notamment dans les créations en grandeur nature et en jeu de plateau. Le terme « escape room » ou « escape game », signifie s’échapper d’une salle ou d’un jeu.
Chaque jeu commence de la même manière, un scénario est raconté afin d’immerger les joueurs dans les différents mondes.
Ensuite, le principe consiste à être enfermé dans une pièce et à
résoudre différentes énigmes de réflexion en 60 minutes (puzzles, casse-têtes, fouille, etc.), pour ainsi pouvoir en sortir.
Chez 42nd Street, les joueurs ne sont jamais enfermés car le but n’est pas de sortir mais de réussir une mission.
Leurs escape rooms peuvent recevoir de deux à six joueurs mais pour une meilleure qualité de jeu et d’espace, il est recommandé d’y jouer à quatre personnes.
Ce type de jeu touche un large public en raison de sa grande variété de thèmes et de mécanismes, il est donc adapté autant aux plus jeunes qu’aux anciens. Chaque façon de penser est complémentaire. Il est notamment très apprécié par les familles, les couples, les collègues, les amis et même plusieurs générations réunies.
Prendre le temps de s’évader ou de se retrouver, de s’immerger dans un autre monde, rire et oublier le quotidien. On en sort avec des étoiles plein les yeux et l’envie de raconter notre aventure, de partager cette expérience avec nos proches. Un jeu pour tous, qui fait du bien et dont vous êtes le héros.
Leur histoire
42nd Street est créée en 2019 par deux couples, dans le but de concrétiser une passion commune pour ce type de divertissement.
Les quatre premières salles ont rapidement vu le jour puis le coronavirus est arrivé. Les quatre associés ont pris toutes les mesures possibles pour tenir le coup. Durant les fermetures imposées (neuf mois en tout), une cinquième salle est créée dans l’optique de remonter la pente. Dès leur réouverture, leurs efforts ont été récompensés.
La conception de la sixième salle a pris une année et ils sont fiers (et soulagés) d’être arrivés au bout, pas de place au travail bâclé ! Le complexe forrellois pourra encore créer deux salles, mais la patience est la meilleure des vertus...
Soucieux de la qualité de l’accueil des clients, ils veillent avant tout à la sécurité des joueurs, raison pour laquelle toutes leurs pièces ont été fabriquées dans le respect des normes et selon les exigences en vigueur.
Les quatre associés et leurs collaborateurs mettent un point d’honneur à l’expérience client. Afin d’éviter toute frustration, les joueurs pourront toujours mener le jeu jusqu’au bout, même s’ils dépassent le temps de quelques minutes !
Au-delà de la surveillance du bon déroulement du jeu, les game masters apprécient également le partage et l’échange avec les joueurs sur l’explication du jeu et le retour de leur expérience. Ils leurs est même arrivé d’assister à plusieurs annonces de grossesse et une demande en mariage.
42nd Street Route de l’Industrie 15Bis 1072 Forel (Lavaux)
Ouvert de 10h à 23h tous les jours de l’année, y.c. vacances et jours fériés
Réservations et infos sur www.42ndstreet.ch
VOTRE AGENDA DE L’HIVER
au pays d’Évian-vallée d’Abondance
ÉVÈNEMENTS MARCHÉS DE NOËL
13 & 14 JANVIER
LA GRANDE ODYSSÉE VVF
La Chapelle d’Abondance
Bernex
ET PLUS ENCORE !
24 DÉCEMBRE
Arrivée du Père Noël
Territoire
31 DÉCEMBRE
Soirée du 31
Territoire
27 DÉCEMBRE
Concert sur les pistes et spectacle sur glace
Bernex
9 FÉVRIER
Tournoi de Snowball
La Chapelle d’Abondance
DU 15 AU 22 FÉVRIER
La Chapelle en Cirque
La Chapelle d’Abondance
16 FÉVRIER
Skitest Rossignol
Thollon-les-Mémises
18 & 19 MARS
Off de Rock the pistes
La Chapelle d’Abondance : The Jamie Abondance : SuGar
14 DÉC. - 5 JAN.
Amphion (Noël à la plage)
22 DÉCEMBRE
2ème édition des championnats du monde de vin chaud
Saint-Gingolph
23 & 30 DÉCEMBRE
Thollon-les-Mémises
Retrouvez les ÉVÈNEMENTS et TEMPS FORTS de l’hiver !
13 janvier - La Chapelle d’Abondance 14 janvier - Bernex grandeodyssee.com
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