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U N S U P P L É M E N T T H É M AT I Q U E D E S M A R T M E D I A

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Interview

ALINA SWIRSKI La Responsable de Too Good To Go en Suisse nous expose les principaux enjeux liés au gaspillage alimentaire.

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ÉDITORIAL

Les forces du bénévolat

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Générosité Interview: Alina Swirski Bien-être Investissements écologiques

FOCUS BONNES RÉSOLUTIONS.

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es périodes difficiles connaissent souvent et heureusement un revers positif. Ainsi, la crise socio-sanitaire que nous traversons depuis bientôt un an a provoqué un élan de solidarité exceptionnel au sein de la population. Partout en Suisse romande, les faîtières cantonales du bénévolat ont constaté un véritable engouement pour l’entraide et l’engagement solidaire. En particulier lors de la première vague, nombre d’individus ont donné de leur temps pour venir en aide aux personnes les plus affectées par la pandémie du coronavirus.

pour l’individu. Elle permet de renforcer ou d’acquérir des compétences, de découvrir de nouveaux univers, de se sentir utile et de nouer de nouveaux contacts. Si l’expérience est reconnue, elle peut même être un véritable tremplin vers le monde professionnel.

Depuis toujours, le bénévolat est un pilier du monde associatif et un rouage essentiel de ses activités. Mais l’année 2020 a également montré qu’il est un élément indispensable pour surmonter des crises profondes et un véritable ciment de la société. En Suisse, les bénévoles ne fournissent pas moins de 650 millions d’heures de travail par année. Les pouvoirs publics et les associations n’auraient pas pu faire face aux besoins sociaux accrus par le contexte actuel sans la force singulière du bénévolat.

Cette situation exceptionnelle a permis de mettre en lumière, auprès des autorités et de la société en général, le rôle essentiel du bénévolat et la nécessité de le valoriser. Ainsi, plusieurs organisations, dont le réseau Bénévolat Romandie et la Croix-Rouge Suisse, se sont associées en novembre dernier pour publier un «manifeste en faveur de la promotion nationale de l’engagement bénévole». Déposé au Parlement fédéral le 17 novembre, ce texte demande plus de reconnaissance et propose des solutions concrètes pour que l’engagement volontaire soit simplifié en Suisse. Il revendique notamment la création d’un service compétent à l’échelle nationale et une reconnaissance publique du bénévolat.

En plus de son utilité indiscutable pour l’intérêt général, une activité bénévole est une expérience enrichissante pour l’individu.

- SANDRA MAYLAND, PORTE-PAROLE DE BÉNÉVOLAT ROMANDIE

Alors que la crise sanitaire aura sûrement un profond impact sur le plan socio-économique, il est plus que jamais nécessaire de faciliter, de reconnaître et de promouvoir le bénévolat. Ainsi, les conditions seront optimales pour que l’engagement perdure et continue de fleurir au-delà de la crise.

Les différentes plateformes cantonales du bénévolat veillent à donner la même visibilité à toutes les missions bénévoles, ponctuelles ou pérennes, sans distinction entre grandes et petites associations. Or, elles ont pu constater un déséquilibre des engagements en faveur des associations actives sur le front de la crise sanitaire. C’est évidemment compréhensible, mais il est essentiel que le bénévolat serve l’ensemble du tissu associatif, dans tous les domaines: la culture, le sport, la jeunesse, l’aide sociale ou encore la protection de l’environnement. L’ensemble de ces activités est en effet indispensable pour garantir la cohésion et la vitalité de la société.

SENIOR CHEF DE PROJET: Hugo Pillet COUNTRY MANAGER: Pascal Buck ÉDITORIAT: Andrea Tarantini TEXTE: Andrea Tarantini LAYOUT: Anja Cavelti CANAL DE DISTRIBUTION: Tribune de Genève & 24heures, Janvier 2021 IMPRESSION: CIL Centre d’Impression Lausanne SA

SMART MEDIA AGENCY AG Gerbergasse 5, 8001 Zürich, Schweiz Tel +41 44 258 86 00 info@smartmediaagency.ch

2020 a ainsi montré la capacité d’adaptation des acteurs sociaux et leur immense créativité face à l’adversité. Le «télébénévolat» a même été inventé! L’année écoulée a mis en lumière la réactivité et la puissance de l’engagement bénévole pour répondre à des besoins essentiels.

2021 sera l’année, nous l’espérons, où toute l’expérience engrangée durant la période de crise suscitera de nouvelles vocations et permettra aux bénévoles de jouer à nouveau un rôle primordial. La société dans son ensemble pourra profiter de ces nouvelles forces. Cet élan, qui réunit tant les individus, les associations que les pouvoirs publics, doit perdurer pour un bénévolat efficace et inscrit dans la durée.

En plus de son utilité indiscutable pour l’intérêt général, une activité bénévole est une expérience enrichissante

Bonne lecture!

Hugo Pillet Senior Chef de projet TEXTE SANDRA MAYLAND

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D’ici 5 ans, trois propriétaires sur cinq ne paieront plus de commission immobilière pour la vente de leurs biens Selon des prévisions réalisées par l’agence immobilière sans commission Neho, trois vendeurs sur cinq vendront leurs biens sans avoir à payer l’importante commission immobilière pratiquée par la quasi-totalité des agences.

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ans de nombreux pays, les agences immobilières à forfait fixe s’imposent comme des acteurs incontournables. Et la Suisse ne fait pas exception, l’agence Neho a déjà séduit par son concept plus de 1’200 propriétaires qui ont décidé de ne plus payer de commission. À la place ils paient un forfait fixe de CHF 9’500.- et n’hésitent pas à exprimer leur satisfaction d’avoir choisi Neho, en égratignant par la même occasion les agences traditionnelles. M. Christophe S. témoigne ainsi : « On acceptait vraiment de payer une commission avant ? C’est la deuxième fois que je vends ma maison. La première fois, il y a quelques années, je suis passé par une agence de mon quartier, et ça m’a coûté des dizaines de milliers de francs. Cette fois-ci j’ai choisi Neho, j’ai eu un service similaire, quoiqu’encore plus engagé et réactif, j’ai vendu ma maison plus vite et ça m’a coûté cinq fois moins. » La commission immobilière est la poule aux œufs d’or du secteur immobilier et représente un montant généralement compris entre CHF 30’000 et 50’000 qu’il est toujours douloureux de payer pour les propriétaires, mais pour une partie d’entre eux, ce serait bientôt fini : « Nous assistons à une mutation rapide du marché de l’immobilier, de plus en plus de clients s’intéressent à l’alternative offerte par notre agence et aux économies substantielles qu’elle représente. » indique son fondateur Éric Corradin.

L’agence qui comptabilise une croissance exponentielle de son nombre de clients prévoit ainsi que près de 60% des transactions, sur approximativement 27’000 gérées chaque année par des agents immobiliers en Suisse, se feront par le biais d’une offre à forfait fixe.

Cela représenterait une économie de près de 350 millions pour les vendeurs !

Avec son forfait fixe de CHF 9’500.- Les prestations offertes par l’agence Neho sont les mêmes, voire seraient même meilleures selon les dires de ses clients.

L’agence immobilière automatise une grande partie de ses tâches administratives récurrentes pour libérer du temps à ses agents locaux. La gestion de la vente en est simplifiée. L’agent se consacre à satisfaire à la recherche d’acheteurs pour le bien.

Neho garde ainsi l’essentiel en combinant digital et local : Une plateforme digitale performante et des courtiers locaux connaissant parfaitement le marché immobilier de votre région. Grâce à ce nouveau concept séduisant, Neho a fait économiser plus de 23 millions de francs à ses clients, affiche une croissance rapide et un taux de satisfaction record dans le secteur, en provoquant la colère d’une partie des agences traditionnelles.

Les propriétaires vendeurs témoignent : Mme Stéphanie B. de Genève : « L’agence Neho s’est très bien occupée de la vente de notre bien. Nous souhaitons remercier particulièrement M. Pivin et M. Privet qui ont fait preuve d’un grand professionnalisme à tout moment et ont rendu notre vente très agréable et sans aucun stress. Notamment grâce à la transparence dans tous les échanges, même ceux entre l’agent et les acheteurs.

Leur approche professionnelle et amicale a été une bouffée d’air frais et je recommande vivement leurs services à tous ceux qui veulent acheter

Évolution prévisionnelle des transactions immobilières pour des biens gérées par des agences Agences sans commissions

Agences traditionnelles

VENTE D’UN BIEN IMMOBILIER Prix de vente : CHF 1’500’000.-

Agence traditionnelle

Agence Neho

Commission immobilière (3% + TVA)

CHF 52’500.-

CHF 0.-

CHF 0.-

CHF 9’500.-

CHF 1’447’500.-

CHF 1’490’500.-

CHF 0.-

CHF 43’000.-

Forfait fixe Montant touché par le propriétaire après paiement agence Économie

ou vendre une propriété. L’offre est d’un rapport qualité-prix exceptionnel compte tenu du temps et des efforts que l’équipe y consacre. Les économies sont considérables par rapport aux agences traditionnelles. » Mme Éléonore L. de Nyon : « Le service de Neho nous a beaucoup impressionné et convaincu. Le soutien de notre agent Nicolas Pivin et de l’équipe a été excellent du début à la fin. M. Pivin est très compétent et confiant. Grâce à son engagement, ainsi qu’à la magnifique présentation de notre propriété, quatre acheteurs solvables ont pu être trouvés en quatre semaines. Nous remercions toute l’équipe pour ce formidable travail et recommandons Neho à toute personne souhaitant vendre sa propriété. » M. Pascal S. de Lausanne : « Ce fut une très bonne expérience du début à la fin ! Nous avons ressenti dès le départ que notre vente était entre de bonnes mains, nous avons toujours été très bien informés. Tout s’est fait d’un commun accord et la vente s’est réalisée d’une manière optimale !

La visite virtuelle a été d’une très grande efficacité et en fin de compte,

l’annonce était très attrayante ! En outre, la plateforme de vente Neho permet aux parties intéressées de communiquer de façon transparente. Notre maison a été vendue en tout juste 3 mois, Nous remercions vivement l’agence Neho et particulièrement notre agent M. Frachon. »

NICOLAS PIVIN Responsable d’agence 022 518 88 25 nicolas.pivin@neho.ch Contact de l’agence 022 518 82 82 Estimez gratuitement votre bien sur neho.ch

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BRANDREPORT SWISS RED CROSS

Investir durablement en faisant un acte de bienfaisance Combiner un placement financier classique et le soutien de projets humanitaires de la Croix-Rouge suisse est possible grâce au «Swisscanto (CH) Bond Fund Sustainable Global Aggregate Swiss Red Cross».

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d’enfants à domicile, qui prend le relais lorsque les parents traversent une période difficile ou que les enfants sont malades. Des intervenantes qualifiées et expérimentées de la Croix-Rouge entourent les enfants de leurs soins. Les tarifs appliqués dépendent des revenus du ménage. Grâce aux dons, cette prestation d’aide est également accessible aux familles à faible revenu. De même, au Malawi – pays qui compte parmi les dix plus pauvres du monde –, la Croix-Rouge suisse s’associe à sa société sœur locale pour améliorer la salubrité à travers des campagnes de sensibilisation ainsi que la construction de fontaines et de latrines et soutient l’activité du Service national de transfusion sanguine. Ce ne sont là que deux des nombreux projets que «Swisscanto (CH) Bond Fund Sustainable Global Aggregate Swiss Red Cross» contribue à pérenniser et à développer.

onner est d’abord un privilège car on ne peut le faire que si on a soi-même un toit sur la tête et de quoi assouvir sa soif et sa faim. Quiconque possède assez d’argent est soucieux de le faire fructifier. Mais quel placement présente des garanties de sécurité et d’éthique suffisantes? À quelle part de ses revenus peut-on et veut-on renoncer? Et qui souhaitet-on désigner comme bénéficiaire de sa générosité?

Le «Swisscanto (CH) Bond Fund Sustainable Global Aggregate Swiss Red Cross» non seulement répond à des exigences de durabilité écologique et sociale strictes, mais la moitié du revenu annuel dégagé est affectée au travail humanitaire de la Croix-Rouge suisse.

A qui la Croix-Rouge suisse recommande d’investir dans «Swisscanto (CH) Bond Fund Sustainable Global Aggregate Swiss Red Cross»?

Ce fonds est destiné en priorité à des personnes qui, d’une part, ont de l’argent à placer et, d’autre part, veulent exprimer leur solidarité avec les plus démunis.

Le fonds offre à l’investisseur une possibilité unique de lier automatiquement le montant de ses dons au revenu de ses placements. Il ne s’agit pas ici de céder un capital âprement gagné ou épargné, mais, en tant que souscripteur, de renoncer à la moitié du revenu annuel d’un placement.

«Avec le Swisscanto (CH) Bond Fund Sustainable Global Aggregate Swiss Red Cross, vous optez pour un placement durable dont la moitié des revenus sont reversés à des projets en faveur de personnes en détresse. De plus, nous soutenons votre démarche en renonçant à 70% de notre commission de gestion au profit de la CRS.» - Stephanino Isele, membre de la Direction générale de la Zürcher Kantonalbank

Comment sont investis les avoirs du fonds?

Le fonds investit dans des obligations de bonne qualité, dont les émetteurs répondent à des exigences de durabilité écologique et sociale strictes. Il privilégie les titres qui ont un impact sociétal. Les domaines d’investissement sont axés sur les objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies et couvrent les causes suivantes: énergie, mobilité, ressources, santé, finances et savoir. Les entreprises les plus performantes en termes de durabilité sont identifiées sur la base de 45 critères ESG (environnement, société et gouvernance). Celles qui ont pour cœur de métier la fabrication d’armes et de matériel de guerre, la production de tabac et de dérivés du tabac, l’énergie nucléaire ou la construction automobile et aéronautique sont totalement exclues (liste non exhaustive).

Quelle est la composition précise du fonds?

Le fonds investit à l’échelle mondiale dans un éventail diversifié d’obligations d’État, d’entreprises proches de l’État ou de sociétés privées qui présentent une notation minimale de BBB et dont l’émetteur satisfait à des exigences de durabilité écologique et sociale strictes. Le gestionnaire de portefeuille suit en permanence l’évolution du marché et adapte au besoin les durées des positions ainsi que la répartition par secteur de placement (p. ex. banques/assurances, technologie, États, etc.). Des précisions sur le produit sont disponibles sur www.swisscanto.ch/redcross.

La Croix-Rouge suisse intervient à l’échelle locale comme dans le monde.

Où vont les dons générés par ce fonds?

Les dons sont affectés à des projets en Suisse et à l’étranger. Citons, en Suisse, le service de garde

Des arguments résolument en faveur du fonds:

• Soutien au travail humanitaire de la Croix-Rouge

• Placement de capital répondant

à des exigences de durabilité écologique et sociale strictes • Des revenus solides pour des risques mesurés • Gestion performante, efficiente et avantageuse • Possibilité d’achat et de vente à tout moment • Protection étendue des investisseurs • Administration simple • Don non soumis à l‘impôt Pour en savoir plus sur le fonds: www.swisscanto.ch/redcross

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GÉNÉROSITÉ

Un hiver généreux La majorité des gens se montre souvent plus généreuse et altruiste durant et après les fêtes de fin d’année, entre autres en effectuant des donations auprès d’associations caritatives. Un élan de générosité qu’il s’agit de soutenir et auquel tout un chacun peut contribuer.

TEXTE SMA

E

n Suisse, de nombreuses associations et organisations s’impliquent activement dans l’entraide.

Qu’il s’agisse d’aide humanitaire menée à une échelle internationale, d’actions locales destinées aux personnes en situation de précarité ou encore d’institutions permettant de prévoir son avenir et d’encadrer ses proches, les associations actives et engagées ne manquent pas.

La Suisse accueille en outre une multitude d’organisations non gouvernementales (ONG), notamment au sein de la région genevoise, dont les activités et les actions entreprises se répartissent entre de nombreux pays et domaines distincts.

Dons altruistes Si l’entraide et la générosité peuvent bien sûr se traduire par de nombreuses actions et activités, par exemple en passant du temps avec des proches ou encore en apportant son aide pour mener à bien un projet en particulier, elles peuvent également se concrétiser par des donations de type financier. Dans ce sens, il est possible d’aider les associations caritatives par le biais de versements, mais aussi en décidant de parrainer un projet entrepris par ces organisations. Une belle preuve

d’altruisme, qui permet en outre de savoir et suivre précisément comment son don est utilisé puisque les institutions qui s’impliquent dans l’entraide fournissent régulièrement de la documentation et des nouvelles sur leurs projets et leurs impacts.

Prévoir son avenir et mettre ses proches à l’abri Pour s’impliquer en faveur des autres et des personnes qui pourraient se trouver dans le besoin, il s’agit également de penser à soi, ou à son avenir ainsi qu’à ses proches pour être plus précis. Dans cette optique, il peut aussi s’avérer judicieux d’effectuer les diverses démarches nécessaires à l’établissement de sa prévoyance et de prendre les dispositions pour léguer son patrimoine.

En cas de problème, ou simplement dans l’idée de prévoir les années à venir pour ses proches, ce type de documents permet de s’assurer que ses volontés et souhaits soient exécutés correctement et en accord avec ses propres principes. Souvent délaissée faute d’y songer suffisamment tôt, cette démarche constitue une étape importante et décisive pour éviter les problèmes, complications et conflits éventuels qui pourraient surgir plus tard au sein de son entourage.

Solidarité intergénérationnelle La période qui suit les fêtes de fin d’année c’est aussi et surtout l’occasion de prendre des bonnes résolutions.

Par exemple, pourquoi ne pas se préoccuper des autres, et notamment des personnes âgées? Qu’il s’agisse de ses proches ou d’autres personnes, il est en effet possible de donner un peu de son temps pour accompagner les aînés. En Suisse, avec une situation démographique marquée par une population toujours plus vieillissante, les besoins ne cessent de croître au sein des EMS ou des établissements spécialisés.

Une implication bénévole enrichissante permet par exemple de prendre part à des activités avec les seniors, ou d’en organiser, afin d’illuminer un peu leur quotidien. Ateliers créatifs, promenades ou discussions et échanges constituent autant d’activités auxquelles il est possible de prendre part pour s’impliquer. Sans forcément devoir se dérouler au sein des EMS ou des institutions spécialisées, ce type d’activités et de programmes peut aussi être entrepris dans son entourage familial ou géographique.

Une forme d’altruisme qu’il est par ailleurs possible de proposer aux personnes en situation de handicap men-

tal. Au sein de plusieurs centres, institutions et associations, il est parfois possible de proposer ou de rejoindre différentes activités, telles que des jeux et ateliers, pour favoriser l’insertion sociale des personnes qui y sont accompagnées.

Entraide et solidarité Enfin, au sein des organisations communales ou citadines, il est aussi possible de rejoindre les organismes d’entraide et de soutien aux plus démunis, comme la Soupe populaire par exemple. Souvent à la recherche de bénévoles pour répondre à leurs demandes et nécessités, ces organisations seront ravies de pouvoir compter sur votre temps et votre énergie pour préparer et servir des repas offerts aux personnes dans le besoin. Avec une fréquence hebdomadaire dans la plupart des cas (parfois plus souvent selon les régions et les périodes de l’année), il est ainsi possible de rejoindre les équipes qui s’investissent pour maintenir cette action à la fois solidaire et sociale.

Autant d’idées et de possibilités pour vous investir et aider votre prochain. Vous faites encore la liste des bonnes résolutions à prendre cette année? N’oubliez pas de penser à autrui!

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LÉGUER À SES PROCHES, MÊME LES PLUS LOINTAINS. Un legs pour l’enfance et un développement solidaire En instituant Terre des Hommes Suisse comme héritière ou légataire, vous exprimez votre engagement en faveur des enfants et de la défense de leurs droits.

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© AP Photo/Nariman El-Mofty

Fuir son pays à cause de la violence. Et après ?

Démunis mais sains et saufs au Soudan.

Seuls, nous ne pouvons rien faire.

Nous avons besoin de vous.

Devoir fuir son domicile à cause de la guerre est une réalité parfois difficile à imaginer.

Lorsque des personnes prennent la fuite en quête désespérée de sécurité, elles n’ont généralement rien emporté, mis à part les vêtements qu’elles portent. Elles ont besoin avant tout de nourriture, d’eau, d’un abri pour dormir et, souvent, de soins médicaux.

Assis dehors, sous un soleil accablant, tout près de la frontière entre le Soudan et l’Éthiopie, des réfugiés éthiopiens racontent leur fuite. Certains ont perdu le contact avec leurs proches.

Les membres des familles qui n’étaient pas à la maison quand les combats ont éclaté ont dû fuir seuls, et se trouvent désormais dispersés ici et là. Nombreuses sont les mères qui guettent, anxieuses, le visage des nouveaux arrivants à la frontière, à la recherche de leurs enfants.

Plus de 50 000 personnes sont récemment arrivées au Soudan, pays déjà en crise. L’intervention des acteurs humanitaires sur place ne suffit plus à répondre à tous les besoins ; sans parler du Covid-19 qui représente un défi de plus.

MEDAIR fait partie des rares organisations actives sur le terrain.

MEDAIR se prépare à distribuer aux réfugiés des articles ménagers comme du savon, des casseroles pour préparer à manger et des pastilles pour purifier l’eau. Nous avons besoin de votre aide pour ouvrir un centre de santé et prendre en charge les besoins médicaux et psychologiques urgents. Nous sommes très inquiets pour les enfants qui arrivent, souvent sans leurs parents, et qui représentent plus de la moitié des réfugiés.

En effectuant un don, vous nous donnez les moyens d’agir rapidement lorsqu’une crise majeure se déclenche. Tout comme la crise au Soudan.

Pouvons-nous compter sur vous ?

© Medair/Joost Bastmeijer

© Medair/Joost Bastmeijer

« Le niveau de vulnérabilité est très alarmant. Nous sommes soulagés de voir que le reste du monde commence à s’intéresser à la situation là-bas et que notre équipe est en mesure d’intervenir. »

Anne Reitsema, Directrice internationale des programmes chez MEDAIR

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protègent un travailleur de première ligne contre la Covid-19 lorsqu’il intervient dans le camp de réfugiés

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Collecte de fonds

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INTERVIEW ALINA SWIRSKI

«Tout le monde peut avoir un impact dans la lutte contre le gaspillage alimentaire» En tant que consommateurs, quelles bonnes résolutions devrions-nous prendre cette année afin de faire face au problème du gaspillage alimentaire?

Alina Swirski, Responsable de Too Good To Go en Suisse, nous expose les principaux enjeux liés au gaspillage alimentaire et nous explique comment chacun peut avoir un impact.

INTERVIEW ANDREA TARANTINI

du gaspillage alimentaire aux yeux des producteurs, des commerçants et des consommateurs.

Alina Swirski, quelle est l’importance de l’alimentation et du gaspillage alimentaire dans le cadre de la crise climatique?

Lutter contre le gaspillage alimentaire est indispensable pour faire face aux trois plus grands challenges de notre époque: le changement climatique, la raréfaction des ressources naturelles et la croissance démographique.

Des aliments sont perdus ou gaspillés tout au long de la chaîne d’approvisionnement, de la ferme à l’assiette.

Lorsque nous gaspillons de la nourriture, nous ne gaspillons pas seulement le produit que nous avons devant les yeux, mais également toutes les ressources qui ont été utilisées en amont. Tout ce gaspillage a un effet colossal sur l’environnement: nous estimons que pour chaque kilo de nourriture, nous produisons 2,5 kilos d’équivalents CO₂. C’est ce qui fait que le gaspillage alimentaire est responsable de 8% des émissions mondiales de gaz à effet de serre! Je pense qu’il est essentiel que nous redécouvrions notre respect pour la nourriture et les ressources qui ont servi à la produire.

Lutter contre le gaspillage alimentaire est indispensable pour faire face aux trois plus grands challenges de notre époque: le changement climatique, la raréfaction des ressources naturelles et la croissance démographique.

Que nous apprend la crise sanitaire en matière de gaspillage alimentaire?

La pandémie actuelle a secoué le monde entier et nous assistons également à des bouleversements sismiques dans l’industrie alimentaire. La chaîne d’approvisionnement est mise à rude épreuve et le gaspillage alimentaire devient un problème de plus en plus important et visible. Suite à la crise et aux divers (semi-)confinements, les gens ont eu peur de ne pas avoir assez à manger, car ils étaient habitués à ce que les rayons soient remplis de nourriture et à ce qu’elle soit disponible en abondance à tout moment. Plus que jamais auparavant, les commerces sont donc confrontés à la volatilité sans précédent de la demande émanant des consommateurs.

La pandémie a également rendu visible le fait que nous avions en quelque sorte perdu notre lien avec la nourriture. La nourriture est devenue une marchandise que nous ne valorisons ni ne respectons plus à sa juste valeur. Nous traversons des moments difficiles, mais cette période peut servir de réveil et nous mener à adopter de nouvelles habitudes qui ne profiteront pas seulement à nos portemonnaies, mais à l’ensemble de la planète.

Quelle est la quantité d’aliments perdus chaque année en Suisse?

On a souvent l’impression que la Suisse est en avance sur la question du gaspillage alimentaire. Mais la réalité est tout autre: en Suisse, nous gaspillons plus de 30% de nourriture. Cela représente environ 330kg par habitant.

C’est beaucoup plus que dans la plupart des autres pays.

On considère ainsi qu’un ménage de quatre personnes jette annuellement environ 2000.- d’aliments. C’est énorme d’un point de vue économique, mais aussi écologique et éthique.

Quelles bonnes résolutions peuvent prendre nos producteurs et commerçants?

Ils doivent tout d’abord reconnaître le problème et son impact. Ils peuvent aussi éduquer leurs clients en soulignant par exemple le fait que le pain préparé dans l’après-midi est encore bon et qu’il ne faut pas s’attendre à trouver toujours du pain qui sort du four. Ce travail d’éducation doit être réalisé par plusieurs acteurs, mais les entreprises peuvent jouer un rôle clé. Aujourd’hui, les solutions sont nombreuses. D’ailleurs, il existe même des technologies qui, placées dans les cuisines des restaurants ou des hôtels, prennent des photos du gaspillage alimentaire. Elles réalisent ensuite des plans et des menus selon les saisons et les habitudes des clients, contribuant ainsi à la lutte contre le gaspillage.

En tant que consommateurs, quelles bonnes résolutions devrions-nous prendre cette année?

Il existe d’innombrables façons de lutter contre le gaspillage alimentaire. Je pense que nous devons d’abord retrouver le lien avec la nourriture et le respect pour cette dernière. Comme l’a souligné la crise sanitaire, il est également important de consommer local et de soutenir nos produits et nos commerçants. Nous pouvons choisir de programmer nos repas, d’acheter uniquement le nécessaire, évitant ainsi de se procurer des quantités excessives de nourriture qui seront inévitablement perdues.

Quelles sont les raisons qui poussent les consommateurs à jeter les aliments?

Il y a un manque de sensibilisation au gaspillage alimentaire et à la valeur réelle de la nourriture. Beaucoup perçoivent la nourriture comme un bien de consommation à part entière et ne sont même pas conscients de la quantité de nourriture qu’ils gaspillent chaque jour et de l’impact que cela a. Le problème commence par des achats non planifiés ou en quantités excessives.

Il arrive alors que les aliments soient mal stockés ou que les dates limites de vente soient mal comprises. Le calcul imprécis de la quantité pendant la préparation contribue également à cette situation. Il faut également citer la mauvaise réputation dont jouit la cuisine avec les restes, alors que c’est un moyen extraordinaire d’être créatif en cuisine, le tout en limitant le gaspillage et donc en économisant de l’argent et en aidant la planète.

Comment peut-on se rendre compte qu’un aliment n’est plus consommable?

Les dates de péremption représentent 10% du gaspillage alimentaire en Europe. Cela est principalement dû au fait que de nombreuses personnes ne connaissent pas la différence entre les dates indiquées sur les emballages, c’est-à-dire «à consommer avant le» et «à consommer de préférence avant le». Dans ce contexte, pour les produits ayant une date de durabilité minimale, nous avons introduit l’initiative «souvent bon après» en octobre 2019,

en collaboration avec différents producteurs. Cette mention incite les consommateurs à faire appel à leurs sens pour évaluer la qualité d’un produit après l’expiration de la date de durabilité minimale. Prenons l’exemple du yaourt: une fois la date de durabilité minimale dépassée, la devise est «observez, sentez, goûtez, savourez». Depuis son lancement, 18 fabricants parmi les plus grands de Suisse ont choisi de participer et intègrent la mention «souvent bon après» sur plus de 100 produits.

Que devrait entreprendre la Suisse pour lutter contre le gaspillage alimentaire?

Il y a cinq ans, l’Assemblée générale de l’ONU a fixé des objectifs de développement durable qui prévoient, d’ici 2030, de réduire de moitié la quantité d’aliments gaspillés par les acteurs de la distribution et par les consommateurs. La Suisse a également été invitée à prendre des mesures et à passer à l’action. En même temps, la réduction des déchets alimentaires a également été une mesure du Plan d’action Économie Verte adopté par le Conseil fédéral en 2013. En 2024, une évaluation de ce plan est prévue. Je pense que les plans sont importants mais qu’il nous faut aussi des mesures concrètes. Chaque segment de la chaîne alimentaire a des défis qui sont lui sont propres. C’est pourquoi, tout le monde peut et doit faire la différence. C’est aussi le cas des villes, qui disposent des infrastructures, des relations et des connaissances locales nécessaires pour concrétiser le problème

En Suisse, nous gaspillons plus de 30% de nourriture. Cela représente environ 330kg par habitant. C’est beaucoup plus que dans la plupart des autres pays.

Il existe d’innombrables façons de lutter contre le gaspillage alimentaire. Je pense que nous devons d’abord retrouver le lien avec la nourriture et le respect pour cette dernière.

Quelles sont vos bonnes résolutions pour la nouvelle année?

Je souhaite améliorer davantage mon attitude en tant que consommatrice, mais aussi inspirer et motiver plus de gens à faire la même chose. Je voudrais aussi organiser des sessions d’éducation auprès des plus jeunes afin de les rendre attentifs au gaspillage alimentaire.

Les jeunes seront les dirigeants d’entreprise et les consommateurs de demain, il est donc important de les sensibiliser à ces thématiques. La crise sanitaire nous a aussi montré ce qui compte le plus: les gens qui nous entourent et qui nous sont chers. Je pense que nos proches contribuent à notre santé physique et psychique. En 2021, je souhaite donc mieux organiser mes activités afin de pouvoir consacrer plus de temps à mes proches et à moi-même.

Dans le cadre du problème du gaspillage alimentaire, quels sont vos espoirs pour l’avenir?

Tous les petits gestes quotidiens sont d’une importance capitale. J’espère donc que plus de gens feront attention à leur manière de consommer et qu’ils réaliseront les enjeux du gaspillage alimentaire. J’espère que les choses vont véritablement changer et que tous les acteurs concernés collaboreront au changement de la chaîne alimentaire et à la lutte contre le gaspillage alimentaire.

ARTISAN RESPONSABLE

PUBLIREPORTAGE

ELITE UN BIEN-ÊTRE SANS CESSE PERFECTIONNÉ Le respect est au cœur de la maison Elite, manufacture suisse de lits haut de gamme. « Préserver la santé de nos clients et l’environnement est pour nous, plus que jamais, primordial. Voilà pourquoi nous utilisons des matières naturelles », explique François Pugliese, directeur d’Elite. Cette philosophie amène la marque à inventer de nouveaux standards.

S

pécialisée dans la literie d’exception, cette manufacture a vu le jour il y a 125 ans. Aujourd’hui comme à ses débuts, l’entier de sa chaîne de production se trouve à Aubonne. Appliquant à la lettre le principe du circuit court, Elite utilise uniquement du bois provenant des forêts suisses. La laine de mouton et le crin de cheval destinés à la fabrication des matelas sont aussi d’origine helvète. Toujours pour préserver l’environnement et la santé de ses clients, la maison exclut de sa literie toute substance nocive comme les composants organiques volatils. Elle a fait certifier ses produits Ecolabel européen. Pour obtenir cette certification, les matelas ont été soumis à des tests de résistance. On a ainsi pu observer que, en dix ans, les matelas Elite ne perdent que 2 % de leur élasticité. Un sérieux gage de durabilité.

Un lien entre sommeil et (bonne) santé

Matelas, boxspring, tête de lit et sommier, Elite fabrique l’entier de sa literie à Aubonne. Le modèle « Metamorphosis », tout en rondeur et douceur, est le gagnant 2020 du concours « Elite Design Award » organisé depuis quatre ans par la maison.

« Une grande partie de notre clientèle fait appel à nous Innover pour durer… après avoir souffert, durant de nombreuses années, Pour ses matelas, Elite a notamment développé des de maux de dos », souligne François Pugliese. Si ressorts exclusifs : une technique d’enroulement très l’on connaît tous les problèmes musculaires liés à un particulière leur permet de s’enfoncer d’abord de façon mauvais matelas, on connaît moins ses autres répertrès souple, puis de repousser la cussions négatives sur la santé. pression, assurant ainsi un meilFaute d’un sommeil profond suffi« Si, malgré une bonne nuit de leur soutien. Autre innovation : la sant, impossible à atteindre si le sommeil, vous ressentez des technologie « Duoflex », soit deux matelas n’offre pas une détente raideurs dans le corps, c’est que ressorts de formes et de forces adéquate, les chercheurs relèvent votre literie n’offre pas — ou plus — distinctes imbriqués l'un dans nombre d’impacts sur les foncle soutien adéquat. » l'autre, qui s’activent à tour de rôle tions cognitives : troubles de en fonction des points de pression. l’attention, des fonctions exécuÀ elle seule, l’entreprise est devetives et intellectuelles, du langage ou de la mémoire, voire nue un véritable laboratoire de recherches. Ces quinze atteintes favorisant les maladies dégénératives. Le somdernières années, les collections se sont ainsi renouvemeil étant indispensable au bon fonctionnement du métalées et améliorées pas moins de trois fois. Ayant toujours bolisme, un cycle insuffisant conduit également à une à cœur de préserver l’environnement, Elite a en outre déficience immunitaire, privant l’organisme de sa développé et breveté des ressorts en bois conjointement capacité à se protéger des agressions extérieures et avec l’École supérieure du bois de Bienne. Confectionnés des maladies. Autrement dit, bien dormir influence dans les ateliers de la maison, ces ressorts composent le directement la santé. « Woodenboxspring ». Ce modèle, qui complète la gamme « Boxspring original » d’Elite, est taillé sur mesure pour Le soutien : une mesure objective… une clientèle de plus en plus soucieuse d’utiliser des Si le confort d’un matelas est purement subjectif produits naturels et fabriqués localement.

— certains préfèrent un lit plus ferme, d’autres, plus doux — le soutien, en revanche, est une mesure objecElite rêve avec vous : aucune limite à votre créativité ! tive. Le matelas offre une surface sur laquelle le corps Lorsque vous choisirez votre future literie, Elite vous se repose et se détend. Il doit apporter suffisamment accompagnera à chaque étape. Sur le site internet, de tenue au niveau des cambrures, tandis que les points grâce à un outil sélecteur, vous pourrez comparer de pression que sont les genoux, hanches, épaules et différents matelas de la gamme. Il vous suffira d’inditête préfèrent davantage de souplesse. Si, malgré une bonne nuit de sommeil, vous ressentez des raideurs dans le corps, c’est que votre literie n’offre pas — ou plus — le soutien adéquat.

Zone d’allonge optimale

La colonne vertébrale est alignée. Les points de pression que sont les genoux, les hanches, les épaules et la tête sont idéalement souples et les cambrures du corps soutenues, offrant une détente et un repos optimaux.

quer votre poids, votre taille ou vos habitudes de sommeil pour trouver rapidement un produit adapté. Ces précieuses informations en main, vous pourrez ensuite vous rendre dans l’une des boutiques de la marque, où les conseillers-ères spécialisés-es vous aideront à affiner votre choix. Lors de votre visite, vous pourrez laisser libre cours à votre créativité. Tout comme les matelas et sommiers, têtes et cadres de lits sont entièrement fabriqués à la main dans les ateliers de la maison. A vous de choisir de les habiller de la matière, couleur et forme de vos rêves, des plus modernes aux plus classiques. En intégrant vos envies en matière de design, votre état de santé et votre mode de vie, vous obtiendrez une proposition et un devis totalement personnalisés.

Artisan du bien dormir En 125 ans, la maison Elite a acquis un savoir-faire et une expertise qu’elle ne cesse de perfectionner en imaginant de nouvelles technologies. « C’est ainsi que nous, artisans du bien dormir, arrivons à exister et à nous profiler dans un secteur du matelas qui s’est terriblement industrialisé », explique François Pugliese. « Nous choisissons nos fournisseurs pour la qualité de leurs produits, mais aussi pour leur proximité avec notre manufacture. Au-delà des considérations écologiques, un circuit court est une manière de construire une relation de confiance qui nous permet également de réfléchir ensemble à de nouvelles technologies en matière de confort. »

« Votre bien-être, notre raison d'être depuis 125 ans. »

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BIEN-ÊTRE

Hygge: une façon de repenser son bien-être!

Quelles bonnes résolutions peut-on prendre pour cette nouvelle année? Pourquoi ne pas repenser sa maison et son bien-être avec la philosophie du Hygge?

Les scandinaves sont passés maîtres de l’habitat cocooning et les Danois, plus encore que les autres, en ont fait un art de vivre.

Servez-vous un petit verre de vin chaud au passage, la recette danoise se boit avec quelques amandes effilées.

TEXTE SMA

L

e Hygge se prononce «hoo-gah» et tire son origine de l’ancien norvégien. Et c’est infiniment plus qu’une jolie décoration, deux bougies et une tasse de thé chaud! La preuve, c’est que les Danois sont un des peuples les plus heureux au monde. Ainsi, il ne faut pas sous-estimer la puissance du Hygge, mais plutôt s’en inspirer pour cette nouvelle année.

Le Hygge chez soi Mais de quoi s’agit-il exactement? Meik Wiking, directeur de l’Institut danois de recherche sur le Bonheur, définit le Hygge comme: «le sentiment qu’on est en sécurité, à l’abri du monde, et qu’on peut baisser la garde».

Concrètement, c’est chez soi, dans son cocon qu’il est le plus facile de se sentir à l’abri et en sécurité! Ce sentiment peut être influencé par la lumière: une lumière vive expose et une lumière blanche ou bleutée (comme un néon par exemple) refroidit l’ambiance. À l’inverse, une lumière douce réchauffe les espaces et les apaise.

C’est donc généralement celle que l’on préfère pour son cocon. D’ailleurs, dans l’esprit des Danois, le Hygge est lié aux bougies: leurs reflets mordorés projetés au mur accompagnent et favorisent en effet la quiétude de l’esprit. Symboliquement, il s’agit aussi d’une façon d’illuminer les sombres mois d’hiver et d’oublier leur lumière grise, jusqu’au printemps.

Quels sont les dix commandements en matière de décoration?

La décoration a aussi un rôle fondamental dans la philosophie du Hygge. Pour qu’on se sente bien dans son cocon, il faut absolument qu’elle soit cosy. Ainsi, on préfèrera des matières douces, en fibres naturelles comme la laine ou le coton pour les plaids et les coussins confortables, on optera pour du bois plutôt que du béton ou du métal pour les meubles. Les couleurs influencent également la lumière des espaces intérieurs.

Par exemple, les déclinaisons de blancs et de pastels reposent les yeux et l’esprit. On peut aussi penser à adoucir le carrelage brut de mille tapis épais au toucher moelleux. On pourra alors profiter de ces espaces pour observer la pluie qui martèle les carreaux ou la neige qui s’amasse sur les toits et les jardins.

Une véritable façon de penser!

Comme tout art de vivre, le Hygge est aussi une véritable philosophie. Tout est hygge-compatible: une balade en ville, une sortie au restaurant, une réunion de famille ou une soirée en solitaire. Même le travail peut l’être! Cependant, pour que cela soit vrai, il faut

s’entraîner un peu. Tout d’abord, il faut apprendre à reconnaître les petites choses qui nous réconfortent et qui nous rendent heureux, comme quatre guimauves qui barbotent dans un chocolat bien chaud, une partie de cartes en famille ou un bon livre sous la couette. Il faut ensuite entraîner son esprit à apprécier ces petites choses et à se contenter de petites satisfactions plutôt que de chercher les montagnes russes du plaisir - dont

la redescente, immanquablement, nous emmène au fond à la vitesse grand V! Hygge, l’écologie avant l’heure Ce principe scandinave prône les vertus de la simplicité, tant celle des émotions que du confort. Inutile de dépenser toutes nos économies dans des achats frénétiques et hors de prix! Qu’y a-t-il de moins Hygge que faire du

La décoration a aussi un rôle fondamental dans la philosophie du Hygge. Pour qu’on se sente bien dans son cocon, il faut absolument qu’elle soit cosy.

shopping dans les grands magasins, qui crachent une musique au rythme effréné, en même temps que l’on se retrouve bousculé à droite et à gauche par la foule et pressé par le temps? Le Hygge repose sur une conception non matérialiste du bonheur: il faut posséder peu mais mieux et, surtout, il faut partager ce que l’on a avec les personnes qu’on aime.

Le début de l’année est le meilleur moment pour s’y mettre! Vous cherchez une bonne résolution à adopter? Choisissez simplement de faire ce qui vous rend heureux. Qu’en dites-vous, par exemple, de se mettre derrière les fourneaux et de préparer de bons petits plats, ou de lire un bon livre tout en se détendant sous des couches de plaids tout doux en essayant de ne pas se brûler avec les bougies parfumées? Que du bonheur!

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BRANDREPORT ÉCOLE INTERNATIONALE ST. GEORGE’S

«L’éducation internationale offre une pléthore d’opportunités d’apprentissage et de travail» Liliane Bodenmann, «Head of Academics & Multilingualism» à l’École Internationale St. George’s à Clarens, souligne les opportunités que présentent la diversité et le multilinguisme dans le cadre de l’éducation.

INTERVIEW ANDREA TARANTINI

des parcours scolaires uniques, dans des langues diverses et possèdent des identités culturelles variées.

Liliane Bodenmann «Head of Academics & Multilingualism» à l’École Internationale St. George‘s à Clarens

Qu’est-ce qui vous a conduit à occuper le rôle de «Head of Academics & Multilingualism» au sein de l’École Internationale St. George’s?

Ma carrière professionnelle a été marquée par mes expériences d’enfant d’expatrié. J’ai appris à lire et à écrire dans une langue que je ne parlais pas en famille et qui est devenue mienne. À l’époque, le concept d’éducation internationale était peu présent et il n’était pas rare pour les élèves de suivre un programme dont les contenus et les manuels scolaires avaient des référents culturels très éloignés de leur réalité. Ainsi, mon intérêt s’est naturellement porté sur le multilinguisme et les programmes d’enseignement.

Le rôle de «Head of Academics & Multilingualism» s’inscrit dans une réalité internationale et donne cohérence et continuité à chacune des sections de l’école.

Il s’agit de concevoir une architecture offrant à chaque élève une trajectoire académique cohérente et ambitieuse. Mobiles et très connectés, nos élèves ont connu

Si vous deviez utiliser quelques mots pour décrire l’École, lesquels utiliseriez-vous?

La devise de St. George’s «Levavi oculos», qui date de la fondation de l’école en 1927, reste plus que jamais d’actualité. Notre établissement invite en effet les élèves et toute la communauté scolaire à «lever les yeux», à pousser les frontières pour partager la réalité d’une planète mondialisée, avec ses défis et ses opportunités.

Quelle est la mission de l’École St. George’s et quelles sont ses valeurs?

Notre cadre structuré, notre accompagnement individuel ainsi que notre attitude bienveillante et dynamique permettent aux élèves d’accéder à l’excellence académique, ce qui signifie cultiver et développer les talents et le potentiel de chacun. L’École St. George’s a une ouverture sur le monde car l’éducation internationale favorise le respect et la compréhension mutuels.

Pourquoi l’éducation internationale est-elle importante en Suisse?

Quand on évoque la Suisse à l’étranger, on pense à son extraordinaire vocation internationale et à sa place au sommet des plus hautes sphères des relations internationales. La richesse linguistique de la Suisse découle d’une réalité historique et d’une volonté d’explorer son capital plurilingue et sa dimension internationale. St. George’s est un miroir de cette réalité. Notre curriculum développe de manière explicite les principes d’une

éducation internationale. Le contexte multilingue offre des perspectives et des horizons très larges et constitue une source d’apprentissage richissime!

Votre École accueille plus de 60 nationalités et 30 langues différentes. Quels sont les défis qu’implique le multilinguisme?

Les langues sont un élément pivot de l’école, car il ne s’agit pas seulement d’apprendre une ou plusieurs langues mais d’accéder à des contenus en une ou plusieurs langues. Cette nuance est fondamentale.

Nos programmes scolaires se définissent au-delà d’une langue ou d’une seule culture car, parler une seule langue est en effet devenu une exception. Sur le plan académique, cette réalité demande de la part des enseignants des compétences pédagogiques spécifiques et, de la part de l’école, un programme académique structuré qui prenne en considération les particularités de chaque élève, qu’il soit bilingue ou pas.

Au quotidien, comment gérez-vous la diversité?

Au sein de l’école d’aujourd’hui, l’articulation entre les programmes académiques et les langues est au centre de toute réflexion. La langue est perçue comme un objet et un vecteur d’apprentissage, ce qui est fondamental dans un monde plus marqué que jamais par des processus migratoires dynamiques et une connectivité technologique accrue. À l’École St. George’s, la diversité linguistique est synonyme de richesse. Nos élèves sont familiarisés à

maintes cultures et nationalités. L’éducation internationale offre une pléthore d’opportunités d’apprentissage et de travail. Nos plans d’études sont conçus pour promouvoir des compétences multilingues et aider les élèves à appréhender le monde de la connaissance de manière très ouverte.

L’École se distingue par son excellence.

Elle a obtenu un taux de réussite de 100% au diplôme du Baccalauréat International.

Qu’est-ce qui a favorisé ce succès?

Nos étudiants ont des expériences éducatives multiples et des origines linguistiques diverses. Ils progressent dans un environnement d’apprentissage international et développent une conscience linguistique et culturelle.

Ils ont une perspective très large, s’adaptent facilement, développent de l’empathie, sont habitués à passer d’une langue à l’autre et à explorer des tâches complexes dans diverses situations. Leur flexibilité mentale et le développement de leurs capacités cognitives explique en partie notre excellent taux de réussite aux examens.

Le curriculum de Cambridge International et celui du diplôme du Baccalauréat International sont validés officiellement et incluent deux, voire trois langues.

Qu’ils soient multilingues ou qu’ils commencent à apprendre une deuxième langue, nos élèves sont habitués à cette gymnastique intellectuelle qui accroît leurs performances académiques.

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INVESTISSEMENTS ÉCOLOGIQUES

Bonne résolution pour son épargne: investir de manière sûre et écologique Aujourd’hui, on observe un intérêt toujours plus marqué pour les investissements à impact social et pour de nouveaux outils de financement comme les «Green Bonds». Ces derniers séduisent car ils permettent à tout le monde de générer un impact social ou environnemental positif, d’accélérer la transition énergétique et de protéger notre planète. Il n’y a pas de meilleure résolution à adopter cette année!

TEXTE ANDREA TARANTINI

L

es questions environnementales et sociales se trouvent de plus en plus au centre de notre actualité et une prise de conscience mondiale toujours plus grande se développe. À travers la signature de l’accord de Paris, 197 pays se sont engagés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre afin de limiter le réchauffement planétaire et de protéger notre planète. Cet accord ne vise pas seulement les gouvernements, mais tout le monde et notamment les domaines de la recherche, de l’énergie et de la finance. Ainsi, aujourd’hui, nous sommes tous responsables de l’avenir de notre planète et même la finance dite «verte» ou «durable» peut soutenir l’accélération de la transition énergétique grâce à l’émergence de nouveaux outils financiers et de vastes possibilités d’investissement.

Choisir l’investissement à impact social Aujourd’hui, marier investissement durable et rentable est possible grâce à l’investissement à impact social.

Ce type d’investissement consiste à introduire des critères de placement spécifiques (ISS) qui permettent à l’investisseur d’être reconnu en tant qu’«investisseur responsable». En effet, ne mettant pas sa priorité sur la seule recherche du rendement de son placement, ce type d’investisseur vise à se transformer en un «acteur du changement de la société».

Pour tenir cette bonne résolution, grâce à des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), l’investisseur sélectionnera les entreprises industrielles, manufacturières et les sociétés de services qui agissent de manière responsable tant au niveau de leurs activités qu’à l’égard de leurs collaborateurs, notamment au sujet de leurs chaînes d’approvisionnement.

Financer des projets d’utilité publique avec les «Green Bonds» Ayant connu un essor important depuis 2013, les «Green Bonds» représentent aujourd’hui un marché en croissance exponentielle. Ils s’avèrent en effet des nouveaux outils de financement qui permettent à tout le monde de contribuer au bien-être de la planète en gérant simplement leur épargne, de devenir un acteur financier responsable et de contribuer ainsi à l’accélération de la transition énergétique.

générant des rendements fixes et annuels à 3,25% pour les investisseurs. Une nouvelle priorité a émergé parmi certains épargnants et aussi certains institutionnels, qui tend vers la compréhension de la finalité de l’investissement consenti.» Anna Zambeaux, Responsable Communication, PrimeEnergy Cleantech SA, Genève

Bien évidemment, l’investisseur peut établir sa propre liste des entreprises et organisations dites «responsables». Il pourra ainsi choisir si investir sur le long terme sur les énergies renouvelables et si mettre l’accent sur des sociétés fabriquant des turbines éoliennes ou des panneaux solaires par exemple. Sur la base de critères personnels et de ses préférences, l’investisseur responsable écartera donc les entreprises pour lesquelles la question du développement durable, du respect de l’environnement tout comme celle du respect pour ses collaborateurs ne sont pas des priorités.

Connus aussi sous le nom d’obligations vertes ou environnementales, les «Green bonds» sont en fait des emprunts obligataires émis sur les marchés financiers par des entreprises ou des entités publiques. Ils permettent de financer des projets qui s’inscrivent dans le cadre d’une transition énergétique, comme des projets de centrales solaires photovoltaïques par exemple.

Contrairement aux obligations classiques, les «Green bonds» permettent aux émetteurs de s’engager pleinement en présentant un rapport détaillé qui présente les investissements réalisés et leur lien avec l’environnement. Il s’agit alors d’obligations qui séduisent toujours plus les investisseurs qui, pour la nouvelle année et en tant bonne résolution, veulent s’engager dans la transition énergétique. D’ailleurs, ils attraient aussi les gérants de fonds qui sont à la recherche d’Investissements Socialement Responsables, autrement dit de placements labellisés ISR.

«La protection de l’environnement devient rentable!

Les investissements dans les énergies renouvelables s’envolent et ceux dans les énergies fossiles s’écroulent.

Plutôt que dans la bourse, j’ai préféré investir dans les obligations en énergie solaire de PrimeEnergy.» Bertrand Piccard, Président de la Fondation Solar Impulse et Ambassadeur de PrimeEnergy.

«De nos jours, investir dans le solaire est devenu encore plus rentable que l’immobilier. Si léguer son patrimoine à ses enfants a toujours été la règle, hériter d’une planète en bonne santé est inestimable!

Les ‹Green Bonds› PrimeEnergy contribuent activement à la transition énergétique en finançant des centrales solaires photovoltaïques en Suisse et en

Ainsi, en tant que bonne résolution pour la nouvelle année, chacun peut choisir de faire la différence et de protéger notre planète. Comment? En gérant simplement son épargne, en investissant dans l’économie réelle, l’économie locale et le développement durable et, par exemple, en finançant des centrales solaires photovoltaïques par l’intermédiaire de «Green Bonds».

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Séance d’information online Samedi 27 février 2021 à 10h Développez les Life Sciences de demain Devenez les acteurs de la transition énergétique Plongez au coeur des technologies du 21e siècle

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LT01 / 2021

Je suis la tente qui abrite les victimes de tremblements de terre.

✓ Oui, je commande

mon guide du testament.

Prénom

Je suis ton testament.

Votre testament peut sauver des vies.

Informez-vous dès maintenant sur les legs et les héritages dans notre brochure gratuite.

Nom Rue / No Code Postal Lieu

Photo: Omar Havana, Népal, 2015

Je suis le médecin qui redonne courage aux patients.

Je suis la béquille qui rend la marche à nouveau possible.

Veuillez l’envoyer à: Médecins Sans Frontières Legs & Héritages Rue de Lausanne 78, Case postale 1016 1211 Genève 1

www.msf.ch/legs

Saison hivernale HOP, DANS LA BAIGNOIRE!

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