Belgique Pierre de Maere
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D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été excité à l’idée d’imaginer des choses qui partaient de rien. Déjà, en parallèle à mes études en communication, j’avais lancé un projet de création et de vente de cocktails lors d’événements divers et variés.
Aujourd’hui, on pourrait classer mes activités en quatre pôles. Il y a d’abord, bien entendu, ma carrière d’humoriste. Ensuite, je mentionnerais le festival ‘‘ Namur is a Joke ’’, soit une cinquantaine de concerts et de spectacles au Théâtre de la ville, dont la troisième édition se tiendra en mars prochain. Après, il y a la création de la marque ‘‘ Oui et Non ’’, des vêtements et accessoires éthiques et responsables. Et pour finir, ce que je regrouperais sous le volet « production », comprenant la production de spectacles, de programmes TV ainsi que la création d’une agence digitale gérant l’image et la communication de sociétés actives dans le secteur cosmétique ou dans l’HORECA. Et ce n’est pas tout! Puisque je caresse aussi l’idée d’un bar à gaufres à Namur…
Bref, je ne me suis jamais refusé grand-chose. Je suis un véritable hyperactif. Mais je veux aussi m’investir dans des domaines qui ne dépendent pas uniquement de mon image. Car je suis conscient
GUILLAUME WATTECAMPS (GUIHOME) VIDÉASTE ET
que celle-ci n’est pas éternelle. Et puis, le danger serait de penser que je fais l’unanimité, alors que ce n’est bien entendu pas le cas. Il
est donc impératif de conserver un équilibre entre les projets artistiques et les autres.
Alors, la question à 100 francs est évidemment: « Vivons-nous dans un pays qui favorise les initiatives?» Comme tous les entrepreneurs, j’ai dû me farcir un parcours du combattant administratif. Et puis il suffit de déambuler dans une ville et de compter les affiches « à remettre » sur les façades des commerces pour constater que tout ne va pas pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Mais je suis du genre positif ! J’observe donc aussi qu’il existe plusieurs initiatives pour soutenir les jeunes qui se lancent. Des jeunes qui, comme moi, n’ont jamais envisagé l’option d’un « job 9-17». J’ai de toute façon toujours eu un souci vis-à-vis de l’autorité, je l’avoue…
En résumé: je travaille peutêtre beaucoup, mais j’aime ça et je me lève chaque matin avec le sourire.
Les acteurs italiens ne sont pas tous sur les terrains…de foot !
Saviez-vous que vous pouvez respirer l’atmosphère italienne sans quitter la Belgique ?
Venez à la journée portes ouvertes le 16 septembre - rue de Livourne 38, 1000 Bruxelles. Nous vous accueillerons avec un apéritif typiquement italien et vous pourrez plonger au cœur de la culture italienne.
L’Institut Culturel Italien de Bruxelles propose chaque semaine des projections de films, des concerts, des expositions et des conférences auxquelles sont invitées des personnalités éminentes.
L’Institut propose également des cours de langue et de culture italiennes tout au long de l’année, pour tous les niveaux ! Notre siège abrite une riche bibliothèque avec un espace détente où l’on peut étudier. De plus, vous pouvez vous inscrire à notre bibliothèque digitale et emprunter des volumes numériques en langue italienne tout en restant chez vous !
Souhaitez-vous nous connaître ? Visitez notre site iicbruxelles.esteri.it ou suivez-nous sur nos réseaux sociaux pour découvrir des curiosités et suivre notre actualité, et, dès septembre, participer aux évènements pour vivre l’Italie “en temps réel”.
4 Sois belge et ne te tais (surtout) pas !
8 Gastronomie tricolore
12 Interview • Pierre de Maere
18 Voyager en noir, jaune, rouge
20 Smartlist • Savez-vous que...
22 Chronique • Leslie en cuisine
CONTENU ÉQUIPE
Country manager
Christian Nikuna Pemba
Creative director
Baïdy Ly
Content director
Annick Joossen
Texte
Thibaut Van Hoof
Frédéric Vandecasserie
Photo en couverture
Marcin Kempski
Impression
Roularta
Smart Media Agency
Leysstraat 27
2000 Antwerpen
Fokus-online.be
Comme tous les entrepreneurs, j’ai dû me farcir un parcours du combattant administratif.
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Si de tous les peuples de la Gaule les Belges sont les plus braves, ils sont aussi particulièrement ouverts et sociaux. Mais pourquoi ? Nous avons posé la question à des observateurs particulièrement bien placés pour expliquer le phénomène.
Par Frédéric VandecasserieL’Homo belgicus est donc un animal social.
C’est ce que nous confirme Carine Hutois, Administratrice-Gérante du magasin de seconde main « Évasions », qui vend des livres, des disques et des films de seconde main. Et qui, vu sa situation géographique (Rue du Midi, en plein centre de Bruxelles, donc pas loin de lieux très prisés des touristes genre la Grand- Place ou Manneken Pis), accueille aussi de nombreux clients étrangers.
Un large esprit d’ouverture
« Sans tomber dans les clichés, il est souvent possible de déterminer dès les premiers instants si un client est belge ou pas », s’amuse-t-elle. « Si on tente de résumer un peu, nos clients belges sont souvent très sociaux et plus ouverts que la moyenne. Ils sont souriants et directs. Pas que les autres ne le soient pas souvent également, loin de là. Mais on va dire que le Belge n’affiche généralement pas cette distance “de base”, alors que la plupart des clients étrangers attendent toujours un moment afin de parler avec nous,
puisque notre magasin est aussi un lieu d’échange entre passionnés. Par ailleurs, je remarque aussi , notamment dans les milieux de l’édition littéraire et du cinéma que nous suivons forcément de près, que le Belge est souvent trop modeste. »
Fêtard ? Souvent ! Pro ? Tout le temps…
Benjamin Schoos, producteur musical de chanteurs et de musiciens belge et étrangers via le label ‘‘ Freaksville ’’, complète : « Le territoire belge est plus petit, et divisé en plusieurs langues et culture. Ce qui force nos compatriotes à se montrer proactifs et destinés à s’exporter. C’est sans doute de là que vient ce que j’appelle une “énergie d’ouverture”. Je dirais donc que le Belge doit se montrer souple en termes de négociation, car il sait tout simplement que son salut pourra souvent venir de l’étranger. »
Mais si nos concitoyens se montrent volontiers ouverts, à l’écoute des autres et conviviaux, ce n’est pas pour autant qu’ils se demandent constamment ‘‘ Waar is da feestje ? ’’ et ne vivent
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que pour la fiesta. Car si l’Homo belgicus refuse rarement un bon moment de convivialité, il est aussi réputé pour pouvoir se mettre à l’ouvrage avec un maximum de zèle et de précision. « C’est effectivement une chose que j’observe souvent », pointe Benjamin Schoos. «Si le Belge est souvent dit “plus sympathique” que d’autres, et c’est souvent vrai, il est aussi reconnu pour son professionnalisme. Ainsi, si Laetitia Sadier, la chanteuse du groupe mythique Stereolab, nous a fait confiance pour produire plusieurs de ses albums, c’est bien parce qu’elle sait qu’elle sera très bien secondée en Belgique. »
Enfin, le caractère cosmopolite de la capitale belge n’est, lui non plus, pas étranger à cet esprit d’ouverture. Carine Hutois précise : « Bruxelles est une ville très cosmopolite, reflet de nos origines très diverses. Je crois que c’est également un facteur à ne pas négliger pour expliquer notre esprit très ouvert aux autres. Nous cultivons cette façon de considérer la diversité depuis notre naissance. Et c’est ce que j’observe au quotidien dans le magasin. »
Pour structurer et optimiser la prise en charge des patientes atteintes d’endométriose, le CHwapi vient d’ouvrir une clinique qui leur est spécifiquement dédiée. Le Centre Hospitalier de Wallonie picarde ambitionne de devenir un centre de référence dans le traitement de cette maladie caractérisée par la formation de tissu endométrial en dehors de l’utérus.
L’endométriose, maladie gynécologique bénigne mais souvent extrêmement invalidante, touche en moyenne une femme sur dix. Pour permettre à ces patientes de bénéficier d’une prise en charge thérapeutique structurée, globale, pluridisciplinaire et centralisée, le Dr Hut, directrice médicale et le Dr Wayembergh, chef du service gynécologie/obstétrique ont initié la création d’une clinique de l’endométriose. Celle-ci est opérationnelle depuis ce mois de juin. « Cela ne se résume pas à placer une étiquette sur la porte », prévient la gynécologue Céline Petit, l’un des praticiens de référence de la future structure.
« Créer une clinique de l’endométriose implique, d’abord, de mettre en place des consultations ciblées et plus longues vu la complexité de la prise en charge. Ensuite, les patientes ont accès à la clinique de la douleur en étant référées », poursuit le médecin. Un radiologue spécialisé dans les IRM pelviennes - examen complémentaire permettant de détecter la maladie - est affecté à la clinique de l’endométriose dans des plages horaires réservées.
Un « plus » pour les patientes qui bénéficient également d’un accès à des thérapies complémentaires comme l’acupuncture, l’ostéopathie et de suivis psychologique et sexologique.
Une prise en charge multidisciplinaire importante tant « l’endométriose est une pathologie aux multiples visages », selon le Dr Petit. « Certaines patientes ressentent un tel inconfort qu’il impacte leur qualité de vie, leur moral et surtout leur vie de couple et leur sexualité sur le long cours ».
future grossesse. « 40 % des femmes infertiles souffrent d’endométriose », précise la gynécologue. « Ceci explique que les patientes atteintes d’endométriose bénéficient plus rapidement d’une procréation médicalement assistée ». Céline Petit insiste toutefois sur le fait que « grossesse et endométriose ne sont pas incompatibles ».
L’endométriose provoque en effet des douleurs cycliques, difficilement gérables pour certaines femmes. A savoir des maux de ventre anormalement forts durant les règles (qui ne passent pas facilement avec des antidouleurs), des souffrances lors des rapports sexuels, des pesanteurs pelviennes, des troubles du transit (douleurs en allant à selle pendant les règles) et des douleurs en urinant.
A ces situations parfois extrêmement pénibles, s’ajoute la difficulté d’être enceinte. En effet, endométriose et infertilité sont souvent liées, la maladie engendrant un environnement inflammatoire néfaste pour une
Ces dernières années, des personnalités connues atteintes d’endométriose ont partagé leur vécu publiquement et ont ainsi permis de mettre en lumière cette maladie dont on parlait peu. « Elle était assez méconnue et par le passé, on banalisait les douleurs liées aux règles », note le Dr Petit. « A l’heure actuelle, on y est effectivement davantage confrontés. Non pas parce qu’elle est plus développée mais bien parce que les femmes sont de moins en moins sous pilule. Par conséquent, les douleurs de règles sont plus importantes »
Ces douleurs chroniques anormalement fortes constituent d’ailleurs un des symptômes permettant aux médecins de suspecter l’endométriose, comme les souffrances durant les rapports sexuels ou encore les problèmes d’infertilité.
069/333 030
secretariat.gynecologie@chwapi.be
« Grossesse et endométriose ne sont pas incompatibles »
Collections privées Art Contemporain Liège
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La Belgique possède une tradition culinaire gourmande et généreuse. Immédiatement viennent à l’esprit moules frites, steak blancbleu-belge et autres carbonades flamandes. Des spécialités qui font saliver et qui cachent un patrimoine culinaire riche et varié.
Par Thibaut Van Hoof
La gastronomie belge recèle bien des secrets, et il ne faut pas chercher longtemps pour trouver des chefs belges qui ont envie d’en faire la publicité. C’est le cas, pour commencer, de Michel Boreux. Avec sa femme Patricia et leurs trois enfants, ils ont créé un univers 100% belge et wallon dans la région de Bouillon.
Cap donc sur l’Auberge de Rochehaut, où Michel Boreux allie gourmandise et terroir dans son restaurant l’Épi d’Or. Il a aussi écrit plusieurs livres de cuisine et participé à des émissions de télévision. « Je vais être chauvin et surtout parler de la cuisine wallonne », lance-t-il d’emblée. « On n’est pas assez fiers de nos talents en Wallonie, alors qu’on y trouve tout ce qu’il faut pour concocter de superbes plats.
Cela vaut même pour le vin ! Je suis toujours déçu quand je vais au restaurant et qu’il n’y a pas un vin belge à la carte. » Un avis bien tranché qui se ressent dans sa cuisine, généreuse, gourmande et de saison. « La cuisine belge, cela commence avant tout par l’utilisation de produits de saison. Après, il faut les travailler et les sublimer. »
Et le chef d’improviser une recette de saison et 100 % wallonne. « Pour la viande, je partirais sur une entrecôte blanc-bleu-belge avec un bon gras intramusculaire et de vraies nervures. C’est une viande naturellement tendre qui n’a pas besoin de beurre pour la cuisson. Pour les accompagnements, je pense à un braisé d’échalotes avec une noix de beurre, ou encore des asperges, puisque c’est la saison. On peut les préparer à
peine cuites à la vapeur et les rouler dans du beurre, du sel et du poivre. »
De son côté, Ludivine de Magnanville, présidente de la Fédération Horeca Bruxelles et patronne du restaurant Ma Jolie à Saint-Gilles met en avant la diversité de notre gastronomie. « À Bruxelles, on peut manger tibétain, libanais, italien, bref de la cuisine de partout dans le monde, sans oublier les bonnes brasseries bien de chez nous », indique-t-elle.
« Pour moi, ce qui fait également la différence, c’est qu’en Belgique on mange toujours bien, où qu’on aille. On n’a pas cette qualité partout en Europe. Un plat typiquement belge auquel on ne pense pas ? La pêche au thon. Cela paraît banal chez nous, mais on n’en trouve nulle part ailleurs. »
Saveur fruitée 5 g de collagène faible teneur en sucres
A healthy outside starts from the inside avec vitamines C, B3 et B8
Rochehaut, un village à la sauce Boreux
Michel et Patricia Boreux ont repris l’entreprise familiale pour la développer au fil des années. Bien aidés par leurs trois enfants, ils possèdent également trois restaurants, une brasserie, un musée, des gîtes, une boutique, un parc animalier et même un petit train touristique.
La frite au patrimoine mondial de l’Unesco ?
En juillet 2017, les autorités belges avaient officialisé la reconnaissance de la culture du fritkot belge au patrimoine immatériel de la Belgique. Une belle reconnaissance pour nos 5.000 friteries, que certains voulaient porter au patrimoine mondial de l’Unesco, mais le projet met du temps à aboutir.
Les consommateurs d’aujourd’hui veulent des aliments sains et savoir ce qu’ils ont dans leur assiette. La viande naturelle BRASVAR vous o re cette garantie. L’artisanat et l’innovation vont de pair.
Dans les champs de la ville rurale de Nevele, l’authentique porc BRASVAR d’antan est élevé avec amour et passion. Dans leur porcherie, Kristof Verschelde et Angélique Dobbels ne font aucune concession commerciale : artisanat et innovation y sont combinés de manière durable, dans le seul but d’o rir aux consommateurs une viande de porc pure et de qualité supérieure. La viande de porc BRASVAR possède une saveur unique et caractéristique. Un véritable trésor de goût dans votre assiette.
Le refus de la production de masse
Bien entendu, ce goût d’antan ne s’obtient pas sans e orts. Des procédures innovantes et durables, respectueuses des animaux et de l’environnement, font toute la di érence. Chez BRASVAR, pas de production de masse, mais de la passion et de l’artisanat à l’état pur. Le porc Brasvar, sain et fort, qui pataugeait gaiement dans la boue et se nourrissait de pommes de terre bouillies et de déchets végétaux, a été réinventé dans le contexte innovant de l’élevage porcin moderne. Kristof Verschelde : « BRASVAR est synonyme d’alimentation authentique, à savoir celle que les ruraux donnaient auparavant à leurs bêtes ». Les porcs BRASVAR sont nourris avec un aliment liquide sophistiqué. Cet aliment liquide est composé à la ferme de Nevele même, à partir de produits locaux (purée de pommes de terre, lactosérum de fromage, drêche de la distillerie Filliers, pâte de soja, fruits rouges) provenant directement de divers producteurs situés dans un rayon de 25 km. En outre, le maïs cultivé
Les porcs BRASVAR sont élevés par Kristof Verschelde et Angelique Dobbels à :
sur place est utilisé et l’ajout d’huile végétale apporte une note gustative délicate. »
Résultat : grâce à un élevage et à une alimentation soignés, BRASVAR dépasse à chaque fois toutes les attentes en matière de goût de la viande de porc.
Une approche respectueuse des animaux
La di érence avec le porc ordinaire réside dans le choix de la race et le mode d’alimentation. L’élevage sans antibiotiques est également garanti de 20 kg à la maturité d’abattage. « En termes de durabilité, nous prenons déjà des mesures importantes », précise Kristof Verschelde. « Nos étables sont équipées d’épurateurs d’air afin que l’air sortant soit purifié des odeurs, de la poussière et de l’ammoniac. Le fumier excédentaire est transporté vers une usine de biogaz et y est converti en électricité verte. »
« La viande produite de manière saine contient des minéraux essentiels nécessaires aux enfants et aux femmes enceintes. C’est un fait établi, et grâce à notre méthode d’élevage durable, nous o rons une alternative saine aux substituts de viande. » Apportant ainsi la réponse à la tendance des substituts de viande qui se développent dans l’industrie alimentaire.
Le fils de la famille, Louis, âgé de 25 ans, souhaite poursuivre les activités de Brasvar. Il partage la passion et l’amour du porc de ses parents et gère l’entreprise à plein temps depuis 3 ans. Sa formation de boucher constituant un atout supplémentaire. Il connaît donc parfaitement les besoins de l’artisan boucher et du consommateur actuels.
Le savoureux morceau de porc Nevele présente une belle texture marbrée et prend une jolie coloration brune dans la poêle. Il o re au consommateur une expérience gustative intense. De nombreux chefs étoilés, cuisiniers amateurs et bouchers de qualité travaillent exclusivement avec cette viande originaire de Nevele.
De la viande artisanale fraîche livrée chez vous? Avec la boutique en ligne Vlees-inthe-box, vous pouvez commander en toute facilité des produits de qualité en choisissant parmi une sélection de viandes fraîches et de savoureuses préparations à base de viande.
Vlees-in-the-box est le pionnier des boucheries en ligne. Grâce à sa boutique en ligne, ses clients ont accès à un large éventail de produits carnés de haute qualité. Comme chez le boucher du coin. Mais avec l’avantage de ne pas devoir sortir de chez vous. Tout est livré impeccablement à votre porte. Tout le processus, de la commande au paiement, en passant par le choix de la date de livraison peut se faire à partir de la boutique en ligne. Vous avez ainsi la certitude d’obtenir une viande savoureuse et de qualité, sans substituts de viande ni conservateurs. Vlees-in-the-box a été créé en 2014 par GMG Versmarkt, un grossiste en viande. L’idée ayant germé à partir du constat de l’essor de l’e-commerce combiné à la disparition croissante des boucheries locales dans les villages.
En visitant la boutique en ligne, vous découvrirez une large et savoureuse gamme qui met l’accent sur la qualité belge. Ainsi, le bœuf provient principalement du label Blanc-Bleu belge et le poulet de La Belle Flamande. Cela offre aux clients l’assurance de profiter de produits fabriqués selon les normes de qualité belges les plus strictes. Viandes fraîches à préparer au barbecue ou de manière classique, vous trouverez tout ce qu’il vous faut dans la boutique en ligne. Ainsi que les produits VIB Originals : des préparations artisanales spéciales, comme le bacon fumé à l’ancienne ou le véritable et savoureux haché. Ne manquez pas non plus les promotions hebdomadaires !
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Ainsi, la commande reste super fraîche. Les clients peuvent ensuite renvoyer les éléments de refroidissement s’ils le souhaitent, et en échange, ils reçoivent un produit gratuit.
Comme tous les produits sont frais, vous pouvez également les congeler, afin de pouvoir passer commande pour plusieurs jours ou semaines à la fois. À partir de 85 euros, il n’y a absolument aucuns frais de port. Les livraisons sont effectuées du mardi au vendredi dans toute la Belgique, de la côte aux Ardennes. Et le service clientèle est toujours à votre disposition pour répondre à toutes vos questions.
Si vous souhaitez obtenir de l’aide pour commander de la viande,veuillez nous contacter au 0032 11 70 50 80 ou via info@vlees-in-the-box.be
Votre boucher traditionnel
Récent lauréat d’une Victoire de la Musique, Pierre de Maere enflamme les scènes belges et françaises depuis quelques mois. Exilé à Paris mais amoureux de son pays, notre compatriote a pris avec nous le temps d’un retour aux sources.
Àl’image de la Belgique, Pierre de Maere est un artiste inclassable. Il navigue entre les bons mots, le second degré et la poésie pour créer des chansons et des mélodies qui s’impriment dans nos têtes. Et en bon ambassadeur de notre plat pays, il n’oublie pas ses racines, même s’il passe aujourd’hui plus de temps à Paris qu’à Bruxelles. Il a même pris le temps de nous parler de sa vie d’avant la célébrité, d’avant Paris, quand il vivait à Walhain avec sa famille. Rencontre d’un amoureux de la Belgique qui refuse de se prendre la tête.
La Belgique, cela représente quoi pour vous ?
« La Belgique, c’est avant tout un terrain de liberté. Ici, on fait ce qu’on veut dans tous les domaines, et en particulier artistiquement. La Belgique est un pays très libre et spontané, au contraire de la France où tout est plus scolaire. Quand on est belge, on se laisse la possibilité de rêver et d’aller vers l’absurde, par exemple, mais en toute simplicité. En fait, la Belgique est un pays beaucoup plus simple que son système politique. »
Dans votre art, comment pensezvous représenter la Belgique?
« Ce second degré à la belge illustre bien mon art. J’aime le kitsch, j’aime le “mauvais goût”, l’inavouable. Je suis excessif dans mes textes et mes musicalités et j’aime utiliser l’absurde dans mes paroles. Ma chanson “Enfant de”, par exemple, est une chanson très belge. En
« La Belgique, c’est un terrain de liberté »Par Thibaut Van Hoof • Photo © Marcin Kempski Pierre de Maere
résumé, j’espère apporter de la spontanéité aux gens qui écoutent mes chansons. Je ne me pose pas trop de questions, je ne suis pas complexé et je ne me prends pas trop au sérieux, à l’image de la Belgique. Je trouve qu’il faut garder cette force pour grandir. »
Si vous deviez choisir parmi vos traits de caractère le plus belge d’entre eux, ce serait…
« Je dirais ce recul que j’ai par rapport à moi-même et à la vie en général. J’ai beaucoup de second degré dans mon approche de la vie, mais aussi de ma carrière. C’est une forme de dilettantisme que j’apprécie, qui est très belge et qui participe à cette force qu’on a de ne rien prendre trop au sérieux. »
La Belgique, c’est aussi la Flandre. Vous voulez aussi toucher le public du nord du pays?
« Oui, pourquoi pas. Mais c’est encore un peu tôt pour dire que je suis connu de ce côté de la frontière linguistique. Je commence seulement à faire de la promo là-bas, à donner des interviews. Disons que je suis encore en phase de découverte, mais les premiers retours et messages sont très sympathiques à lire suite à mes premiers passages là-bas. J’aimerais donc continuer à toucher ce public. En plus, il s’agit vraiment d’un challenge qui m’anime, car j’y serais davantage reconnu pour ma musicalité que pour mes textes. Ce serait évidemment magnifique de contribuer à fédérer les deux cultures, même si ce n’est pas facile.»
Cet été, vous serez présent sur plusieurs scènes belges durant la période des festivals. C’est l’occasion pour vous de découvrir l’envers du décor ?
« Pour être franc, ce n’était pas trop mon truc (rires). J’ai toujours été très casanier et je passais plus de temps à travailler sur mes compositions plutôt que d’assister à des concerts ou à des festivals. Et puis il faut aimer l’inconfort pour aimer les festivals. Dormir dans une tente, cela ne me plaît pas trop. Je suis donc content d’être de l’autre côté de la foule et d’être un peu plus à l’aise ! »
Vous habitez à Paris et y passez le plus clair de votre temps. Quand vous êtes en Belgique, quelles sont les choses que vous faites en priorité ?
« J’en profite avant tout pour passer du temps avec ma famille et me reposer, tout simplement. Je passe du temps dans notre maison à la campagne et j’en profite aussi pour voir mes amis que je vois très peu. Cela fait d’ailleurs longtemps que
je ne les ai plus vus à cause de mon rythme de travail effréné. Et puis cela fait du bien d’être entouré de Belges qui ont une mentalité simple et plaisante. Ce n’est pas toujours le cas en France, même si j’y ai aussi des amis. J’ai appris à ne pas m’entourer de gens relous (rires). »
Qu’est-ce qui vous manque le plus de la Belgique quand vous êtes en France ?
« Mes amis, ma famille et… mon chat ! Cela fait sourire mais j’y suis fort attaché. En fait, les Belges me manquent au sens large. Et puis il y a de grandes différences entre Paris et Bruxelles. J’adore la capitale française, mais il y a beaucoup moins d’espaces verts là-bas qu’à Bruxelles. C’est un grand atout qui me manque. On ne se rend pas compte comme il est aisé de prendre un bol de verdure à Bruxelles grâce à tous ses petits et plus grands parcs. »
Cet été, Pierre De Maere va donc prendre la route des festivals, en France et en Belgique. On le retrouvera à l’affiche de Lasemo, des Francofolies de La Rochelle et de Spa ou encore au Ronquières Festival. Tout cela en plus d’une tournée qui se poursuivra des deux côtés de la frontière francobelge, l’été sera donc bien rempli. « J’ai hâte de vivre tout cela, mais c’est aussi stressant d’aller dans des festivals. C’est génial d’aller à la rencontre d’un autre public et de découvrir des cadres extraordinaires, mais il s’agit aussi de faire passer un bon moment à des spectateurs qui ne sont pas venus pour moi. C’est un vrai défi. »
J’aime le kitsch, j’aime le “mauvais goût”, l’inavouable.
« Les
c’est stressant »
Le CBD est un diminutif pour parler de cannabidiol, il fait partie de la famille des “cannabinoïdes”. Contrairement à son homologue psychoactif le «THC», le CBD ne vous rend pas «high».
En d’autres termes, il n’altère pas votre perception de la réalité.
Alors quelle est l’utilité du CBD et pourquoi en parle-t-on autant ?
Et bien, à l’heure actuelle, le CBD est le sujet de nombreuses études et recherches concernant ses effets et vertus (un effet anxiolytique, des propriétés analgésiques, décontractant musculaire et bien d’autres encore…).
À Bruxelles et à Nivelles, les Boutiques
Canna-house proposent un large choix de produit bien-être à base de CBD. Des cosmétiques pour déstresser la peau, des gels massant pour soulager vos muscles, sans oublier l’huile de CBD connue pour son effet relaxant puissant.
Forte de son expérience et de ses nombreux partenariats, Canna-House se donne l’objectif d’accompagner ses clients tout au long de leur quête de bien-être et de plénitude.
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Se donner la liberté de bouger, voire le sentiment de frisson du voyage, mais sans passer nos frontières. C’est possible ! La preuve par ces quelques suggestions.
Cette vaste étendue sablonneuse qui s’étend sur 193 hectares dans le Limbourg (Lommel) ressemble à un petit désert constellé de quelques points d’eau. Historiquement, les activités d’une usine de zinc avaient détruit toute la végétation environnante. Et, plus tard, le mélange sable-soleil-vent s’est chargé de transformer radicalement le tout en un « minidésert ». Pas de dromadaires à l’horizon, mais les chiens, eux, sont admis pour des promenades au long cours…
Une plage avec baignade surveillée, de vastes étendues de sable pour laisser jouer les plus jeunes, des kilomètres de balades à travers bois et le long de l’eau, des terrasses où se désaltérer en admirant le magnifique paysage et un réseau incroyable de pistes cyclables… Par beau temps, on se croirait le long d’une plage exotique à l’autre bout du monde. Alors que nous sommes juste dans le Hainaut, à une petite centaine de kilomètres de Bruxelles.
Ici, tout n’est que calme, douceur, volupté et doux clapotis de l’eau ! On peut réserver sa chaise-longue pour un bain de soleil, se baigner dans le lac qui vous chatouille les pieds, et prendre son pied en dégustant un savoureux cocktail. Pourtant, nous ne sommes pas sur une plage privée en Grèce ou à portée de décibels du tapis rouge de Cannes, mais bien à DilsenStokkem, dans le Limbourg belge, pour un moment d’exception et d’exclusivité.
Par Frédéric VandecasserieNous voilà maintenant non loin de Dinant, aux portes des Ardennes. Pour une balade hors du temps à travers une succession d’environnements aussi divers que variés (des grottes, des plateaux haut perchés pour observer une nature à perte de vue, des endroits où la végétation prospère jusqu’à un massif rocheux). Dépaysement et impression d’être loin, très loin, garantis.
Niché au cœur des Fagnes, cet endroit est le spot d’observation idéal d’une nature superbe et intacte. Et là encore, nous n’avons pas dû aller bien loin pour nous retrouver plongés au coeur de cette nature éblouissante.
Retour dans le Limbourg (à Neerpelt) pour 600 hectares de nature et des balades de 1 à 20 kilomètres à travers de la verdure ponctuée par des ponts suspendus, des cours d’eau ou des forêts. Ici encore, on réalisera qu’il ne faut pas se rendre à l’autre bout du monde pour avoir le sentiment d’être seul au monde.
Les plus grands globe-trotters de votre entourage vous ont certainement déjà vanté les mérites du Japon quand il s’agit de se sentir « Lost in Translation ». Pourtant, pas besoin de prendre l’avion direction le Pays du Soleil Levant pour vivre ce sentiment. Il suffit de vous rendre dans le petit village de Prée, dans les environs de Charleroi. Le village est tout petit, mais heureusement, car ici toutes les rues portent le même nom de “Rue de Prée”. Dépaysement en perspective et prises de tête garanties pour votre GPS.
La Belgique, ses moules, ses frites, son Manneken Pis ou encore sa Grand-Place de Bruxelles. Voilà pour une partie de la face visible de l’iceberg. Mais notre pays est aussi pionnier dans bien des domaines et possède tant de choses à découvrir, même pour ceux qui y vivent depuis toujours. Tour d’horizon.
Par Thibaut Van HoofLe chocolat belge, tout le monde le connaît, en particulier nos pralines. Mais d’où viennent-elles ? L’idée vient au départ de Jean Neuhaus, qui était à l’origine… pharmacien. Il a eu l’idée d’enrober certains médicaments de chocolat pour faciliter leur prise. C’est son fils, Jean Neuhaus Jr qui a ensuite proposé un produit 100 % chocolat, en 1912. La praline était née. Aujourd’hui, la Belgique produit 220.000 tonnes de chocolat par an. Ceci équivaut à 22 kg de chocolat par habitant annuellement, soit 61 grammes par jour en moyenne. On n’oublie évidemment pas les gaufres de Liège ou de Bruxelles quand on parle de gourmandises, de même que les douceurs disponibles dans nos pâtisseries.
Avec la crise énergétique, des efforts ont certes été faits, mais la Belgique est connue pour être le pays le plus facilement reconnaissable – de nuit – depuis l’espace. Pourquoi ? Tout simplement car nos autoroutes sont complètement éclairées la nuit. Ce n’est plus vrai pour certains tronçons, mais cela reste une particularité de notre petit pays. La Belgique est aussi le 3ème pays au monde comptant le plus de véhicules par kilomètre carré, après les Pays-Bas et le Japon. Au niveau écologique, on repassera… Mais la Belgique a, a contrario, la plus haute densité de routes et de chemins de fer au monde. Car, au XIXe siècle, elle fut l’un des premiers pays du continent à développer son réseau ferroviaire.
La Belgique offre environ 800 bières différentes, mais ce chiffre évolue presque chaque jour si on inclut toutes les nouvelles bières proposées à la vente dans les bars et magasins spécialisés. Tout cela sans compter le boom des micro-brasseries, très à la mode ces dernières années. Mais la bière – dont on boit 100 litres par an et par personne en moyenne – n’est pas le seul alcool à faire la fierté de la Belgique. Grâce au réchauffement climatique, le vin belge se développe d’année en année. Plus de soleil pour les raisins, c’est un vin de meilleure qualité et avec plus de corps. On pense aussi aux alcools forts, et en particulier le gin, inventé en Belgique.
Humour, littérature, cinéma ou encore bandes dessinées : voilà autant de domaines dans lesquels la Belgique est connue et reconnue au niveau mondial. Fini le temps où les Français se moquaient des “petits belges”. Aujourd’hui, être belge est source de succès dans tous les domaines. Et si on devait en pointer un qui a su influencer le monde entier, ce serait la bande dessinée. En 2003, il y avait 884 séries de bandes dessinées belges enregistrées. La Belgique a plus de créateurs de bandes dessinées au kilomètre carré que n’importe quel autre pays, même le Japon et ses mangas.
Cinq gouvernements, neuf ministres de la santé, des centaines d’élus, une frontière linguistique ou encore des débats sans fin sur l’avenir de la Belgique. Les occasions de pouvoir se plaindre de notre système politique, souvent moqué au-delà de nos frontières, ne manquent pas. Mais notre pays sait aussi montrer l’exemple. La Belgique a ainsi légalisé l’euthanasie en 2002 et le mariage des homosexuels en 2003. En 2006, elle est devenue le deuxième pays au monde à interdire les mariages forcés. Quand c’est bien, il faut le dire aussi.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué?
La Belgique a connu différentes influences avant de devenir indépendante. Nous avons été français, hollandais, espagnols et même autrichiens avant notre indépendance en 1830. Et puisque cette indépendance permettait la création d’un État neutre entre différentes puissances (France, Allemagne, Royaume-Uni, Pays-Bas), elles y ont mis leur grain de sel en mettant sur le trône un héritier allemand. Léopold Ier est ainsi né à Cobourg, mais il avait des connexions avec d’autres monarchies. Il était notamment l’oncle de la reine Victoria d’Angleterre.
Àmoins de 25 km de Bruxelles se niche Nivelles, magni que cité millénaire du Brabant wallon dont l’histoire est intimement liée à celle de sa collégiale : la collégiale Sainte-Gertrude.
Érigé au 7ème siècle, cet édi ce est l’une des plus grandes et des plus anciennes églises romanes d’Europe. Elle fut consacrée en 1046 en présence de l’empereur germanique Henri III.
La ville se targue de posséder un tel joyau culturel aux abords d’un quartier historique au charme indéniable qui raconte son passé au l des méandres de ses ruelles. Il n’en reste pas moins que le coeur de la ville bat aussi au rythme soutenu par les nombreuses activités ludiques et sportives organisées par les di érentes associations et divers organismes de la ville, et ce pour les jeunes de tous âges fréquentant la ville. Le parc de la Dodaine, à quelques centaines de mètres du centre, permet en e et à chacun de s’éclater dans un cadre enchanteur. Plaine de jeux pour les petits, balades pour les romantiques, mini-golf pour les amateurs, piscine pour les moins frileux, athlétisme, tennis, hockey pour les plus sportifs… le tout béné ciant d’une infrastructure et de clubs à la hauteur des performances et des espérances de chacun.
Bref, Nivelles est une destination idéale alliant la culture, l’histoire, le sport… sans oublier son côté gastronomique que nous vous laissons découvrir ainsi que plein d’autres petits secrets aclots…
Jean-Pierre Lennaertz, Administrateur-délégué OFFICE DU TOURISME DE NIVELLES • WWW.TOURISME-NIVELLES.BECONNAISSEZ-VOUS NOTRE VILLE ET SON RICHE PATRIMOINE
L’OTN vous propose de visiter la Collégiale, la Crypte, le sous-sol archéologique et la salle impériale tous les jours, week-end et jours fériés à 14h30. Durée : +/- 1h30 Prix : adulte/6€; seniors et étudiants/5€; enfants de 6 à 12 ans/2€
Promenade au choix dans Nivelles.
Le quartier St-Jacques, la tour Simone, le parc de la Dodaine, le Musée Communal, les Remparts ou visite à thème.
Visites guidées de groupe et forfaits combinés d’un ½ jour ou d’une journée, sur réservation.
Forfaits combinés au choix : le château de Seneffe, Tour du Romain Païs, de l’Abbaye de Villers-la-Ville, du Bois du Cazier, du Musée Royal de Mariemont, de Rebecq, son petit moulin, son musée de la bière et son petit train du bonheur…
Renseignements :
Rue de Saintes, 48 – 1400 Nivelles
Tél : 067 21 54 13 – 067 84 08 64 – Fax : 067 21 57 13 info@tourisme-cnivelles.be – www.tourisme-nivelles.be
Pour le deuxième été de suite, je me prépare à prendre la route des festivals. Le but ? Cuisiner des artistes en parlant musique et petits plats. Si mon été s’annonce donc bien rempli, j’ai néanmoins la chance de pouvoir combiner mon job de créatrice de contenu avec mes passions. Et quand on aime, on ne compte pas… ses heures.
Nous mangeons tous en moyenne trois fois par jour. À ce niveau-là, nous sommes tous pareils. Cet été, je vais donc persister et signer pour concocter des interviews de chanteurs aux petits oignons. On parlera nourriture et musique. Sont déjà confirmés, entre autres, Pierre de Maere, Loïc Nottet ou encore Christophe Willem. Et il y en aura bien d’autres. En effet, je vaist sillonner toute la Wallonie cet été, en passant par le FeelGood Festival (où tous les stands de nourriture sont tenus par des restos locaux), les Ardentes, les Francofolies (qui inaugurent une nouvelle scène réservée aux jeunes artistes), les Solidarités et bien d’autres. Puis, je me permettrai aussi quelques courtes incursions de l’autre côté de la frontière linguistique, avec peut-être une journée à Werchter et une autre au Pukkelpop. Je suis
cheffe cuisinière et passionnée de musique. Il était donc logique de mélanger les deux ingrédients.
Bref, mes vacances s’annoncent actives, puisque nous allons travailler tout en profitant de l’ambiance et déguster de bons petits plats. Et comme tout cela n’est que du plaisir, je n’ai jamais l’impression de bosser, même si je n’arrête pas.
Ma journée type se déroule toujours suivant les mêmes étapes, bien que chaque festival et chaque interview possède bien entendu leurs particularités. Nous effectuons les repérages sur place, réalisons les interviews prévues, captons des images d’ambiance, et enfin, nous montons la séquence sans tarder. Parce que ça recommence le lendemain. Tout ça sans oublier que comme nous entendons toujours livrer du travail bien fait, nous travaillons la production en amont du festival, car nous ne décidons bien entendu pas de tout sur place à la dernière seconde. Je compte un total de 250.000 abonnés! Et pas question de leur poster des vidéos bâclées à la va-trop-vite…
Bref, l’été sera chaud… tant derrière les fourneaux que derrière les micros.
— LESLIE WINANDY AKA LESLIE EN CUISINE CHEFFE ET CRÉATRICE DE CONTENU
Je suis cheffe cuisinière et passionnée de musique. Il était donc logique de mélanger les deux ingrédients.
Découvrez les bières des Sœurs de l’Abbaye de Maredret, une gamme brassée à base d’épeautre et de plantes, inspirée de Sainte-Hildegarde de Bingen.
Côtes de Provence
Idéal pour les chaudes soirées d’été!
La couleur classique de la Provence: une légère teinte rose pêche. Nez expressif de fruits rouges et de pêche avec des notes de grenade et une touche de vanille. Des saveurs de mandarine et une pointe de menthe lui donnent un caractère frais. Pur, avec un corps bien équilibré qui révèle une texture soyeuse et veloutée.
Basé sur une recette ancienne
Parfait avec un tonic rafraîchissant!
Avec un savoir-faire artisanal, Sterkstokers de Brecht transpose l’ancienne recette de l’eau carmélitaine dans les temps modernes avec ce gin spécial. Le mélange soigneusement sélectionné d’herbes et d’épices, avec la mélisse comme ingrédient principal, donne un apéritif contemporain qui se marie sans effort avec le tonic. Le Karmelieten Gin offre une expérience de gin délicieuse et unique.
Jetez un œil à la page du produit! Jetez un œil à la page du produit! Niepoort Ornellaia