Pièce maîtresse de la maison, le salon se doit d’être en accord avec vous. Nos intérieurs ne suivent plus l’une ou l’autre tendance, ils doivent simplement être en adéquation avec notre état d’esprit.
Nous y passerons une très grande partie de nos soirées cet hiver : le salon est donc la pièce qui doit le plus nous correspondre. Pas question d’un salon dans lequel la télévision est allumée en permanence. En 2022, ce sont nos passions qui doivent s’y refléter. Vous ne voulez pas de table basse ? Il existe d’autres objets de rangements. Vous ne regardez pas la télé ? Remplacez-la par une bibliothèque, une plante, une tapisserie…
En décorant une pièce de meubles en bois ou en recouvrant le sol d’un tapis, vous lui donnerez du cachet. Le bois est un matériau noble. En plus d’offrir un retour à la nature, c’est un excellent moyen de conserver la chaleur à l’intérieur de vos pièces de vie. Vous pouvez trouver du bois naturel à moindre coût en seconde main.
Rien de mieux que de se détendre dans une pièce lumineuse, chaleureuse et peu énergivore après une longue journée de travail. Pour ce faire, l’ajout de textiles doux et épais est le bienvenu.
Le velours et le lainage pour le canapé, les couvertures et les coussins, un grand tapis qui débordera sur une grande partie du sol, des lampes d’appoint qui remplacent les plafonniers et apporte ront une sensation de chaleur…
Les magasins de seconde main et les brocantes regorgent d’objets durables qui viendront ajouter de l’originalité ou du confort à votre salon à moindre coût. Aujourd’hui, chiner des meubles, des lampes et des tapisseries en matériaux nobles permet non seulement de faire vivre le marché du « durable », mais aussi de faire de belles économies.
En ces temps difficiles où les prix flambent dans tous les secteurs, écou tez votre cœur pour aménager votre logis. Un Belge sur quatre change de salon tous les trois à six mois. En s’écoutant dès le début et en veillant à la qualité des produits, on peut vrai ment faire la différence.
Par Nafi Rêve, Décoratrice écoresponsable et chroniqueuse déco
Le bois est un excellent moyen de conserver la chaleur à l’intérieur de vos pièces de vie.
Quand les températures baissent, un bon moyen de se réchauffer est de manger un bon petit plat. Les cuisiniers Mallory Gabsi et Arnaud Delvenne, tout deux ex-candidats de l’émission ‘’Top Chef’’, nous ont concocté un menu spécial hiver et très bon pour la santé : une soupe qui réchauffe, un plat typique au choix et un dessert clin d’oeil… voici leurs alléchantes recommandations, qui régaleront vos convives et réchaufferont les cœurs.
Arnaud Delvenne.
« En entrée ou en plat principal, je vous propose une délicieuse soupe de butternut. Je l’apprécie particulièrement, car ce légume représente vraiment la saison. J’aime ajouter des marrons torréfiés à la cuisson du butternut, ça me rappelle la foire d’octobre (à Liège, ndlr). Par-dessus, j’ajoute en garniture une petite nougatine d’amande ou de cacahuète. C’est l’image que j’ai de l’hiver : une bonne soupe. »
Le butternut fait partie de la famille des courges, une variété de légumes permettant de faire le plein de provitamines A, qui interviennent dans le fonctionnement du système immunitaire et de santé de la peau.
« Pour terminer le repas à Liège, on mange souvent des lacquemants. C’est un clin d’œil à ma ville de cœur. J’aime aussi beaucoup le Paris-Brest. Vous pouvez réaliser la version traditionnelle, avec une pâte à choux, un praliné noisette et une bonne crème au beurre, idéale pour se préparer à l’hiver, ou la revisiter à la façon « Bruxelles-Liège ». Remplacez alors la pâte à choux par une pâte à gaufres de Bruxelles, très légère, et la crème au beurre par une crème pâtissière. Vous pouvez ensuite garnir d’un caramel beurre salé, sans trop le dire aux Français qui vont nous voler la recette, et d’une poudre de spéculoos. C’est une belle réinterprétation d’un dessert qui pour moi représente l’hiver. »
« Un plat d’hiver que j’affectionne particulièrement, c’est un morceau de gibier, comme de la biche, du sanglier ou du chevreuil, accompagné d’une sauce poivrade et d’un gratin dauphinois. Quand j’ai débuté ma carrière dans un restaurant étoilé, en 2014, en arrivant chez le chef Yves Mattagne, c’est l’un des premiers plats que j’ai réalisés. J’en garde donc un beau souvenir de mes débuts en cuisine ».
Le gibier reste, avec l’inconditionnelle raclette, l’un des plats favoris des Belges en hiver. Souvent accompagné d’une préparation à base de pomme de terre ou de riz, on remarque que sa consommation augmente au moment des fêtes de fin d’année.
« C’est assez méconnu et pourtant, typiquement belge, mais j’aime vraiment beaucoup l’anguille au vert. C’est un plat flamand, le plat du pauvre, à base d’herbe, donc rien que des bons ingrédients. On peut le manger en plat ou en entrée. L’anguille doit être très tendre, servie avec de l’oseille, du cerfeuil, des épinards et des orties. C’est une sorte de ragoût trop méconnu en Wallonie et à Bruxelles. »
Par Adeline SchmitzL’anguille au vert c’est assez méconnu et pourtant typiquement belge.
— Mallory Gabsi
Dans les arts martiaux, il est souvent question de « Kata ». Ce mot japonais désigne les différents mouvements créés par des combattants aujourd’hui disparus. Avec le temps, les katas sont devenus des outils de transmission de techniques, de principes, mais aussi de combat. En Corée, ils sont nommés « Poumsae » et en Chine, « Tao ».
Les prochains Jeux Olympiques d’hiver qui auront lieu en Italie en 2026 ont déjà annoncé plusieurs arrivées dans la compétition. Cinq épreuves de ski-alpin seront organisées, tout comme une épreuve féminine du combiné nordique. S’il n’est pas encore confirmé, le télémark, une épreuve de slalom à ski, pourrait prochainement devenir une discipline olympique.
Si le ski et le snowboard restent les sports d’hiver incontournables, il en existe d’autres bien moins connus. Venues du Japon et du Canada, voici deux nou velles disciplines qui font sen sation depuis quelque temps.
Pas envie de quitter la Belgique ou bien simplement envie de changer vos routines sportives ? Lorsqu’on parle sports d’hiver, on pense im médiatement au ski, mais de nom breux sports peuvent être pratiqués dès que la température extérieure baisse. Parmi les sports de glisses possibles, le Snowtubing, aussi « Bouée de neige », rencontre un beau succès depuis peu.
en bouées toute l’année. Mathias Brutsaert, responsable événement, explique : « Si vous n’avez pas l’occasion de partir à la montagne, c’est un chouette moyen de profiter des plaisirs de la neige, tant pour les parents que pour les enfants. Cela offre des sensations fortes de vitesse, mais tout en sécurité ».
Près de la frontière française, le parc d’aventure « Ice-Moun tain » est l’un des seul endroits en Belgique à proposer des glissades
Si, chez Ice-Mountain Park, le Snowtubing se pratique à l’inté rieur, cette discipline est également praticable en outdoor. « Si vous avez une belle pente près de chez vous, qu’il y a assez de neige pour que la bouée glisse bien et que l’endroit est sécurisé, le Snowtu bing est le genre de sport prati cable partout en Belgique. C’est un sport très démocratique, il faut juste bien se couvrir et s’équiper d’une bouée de qualité », ajoute Mathias Brutsaert.
Pour ceux qui préfèrent les sports plus calmes, certains arts martiaux peuvent s’avérer très ressourçants. Le Shintaïdo, venu tout droit du Japon, attire de plus en plus d’adeptes chaque année. Mirabelle da Palma, professeur de Shintaïdo à Bruxelles : « C’est un art martial contemporain, né dans les années 60 au Japon et qui est arrivé en Europe il y a plus de quarante ans. Sa pratique offre un moyen de s’exprimer, d’améliorer sa concen tration, ses réflexes, sa souplesse et d’apprendre à méditer ».
— Mathias BrutsaertLe Shintaïdo peut se pratiquer à tout moment de l’année. Si en automne et en hiver, c’est souvent en intérieur que les cours sont donnés, ils peuvent également se dérouler en extérieur, dans un parc, un jardin ou sur une plage. « Mes cours ne nécessitent ni matériel, ni prérequis physique. La pratique du Shintaïdo à Bruxelles se fait à mains nues, mais ailleurs, elle peut également se faire avec un bâton ou un sabre. C’est un art martial ouvert à tous, jeunes et plus âgés, hommes et femmes, sportifs ou novices ».
Par Adeline Schmitz
Il existe autant de types de voyages que de destinations où partir cet hiver. Comment choisir où aller, avec qui et pour quelles raisons ? Quel endroit sera parfait pour les sportifs et quelles villes accueilleront les amoureux de la culture ? Petit tour d’horizon pour trouver la destination parfaite.
Vous attendiez votre retraite pour voyager et découvrir le monde ? Que ce soit pour vous re poser ou pour faire de nouvelles expériences, c’est le bon moment pour découvrir le Maroc, le Sénégal, les Îles Canaries, et pour ceux qui veulent aller plus loin, la Thaïlande ou la Ré publique Dominicaine. En couple ou en solo, ces destinations sont idéales pour se reposer et profiter du soleil loin de la grisaille belge. Et avec toutes les offres de last minute, il ne sera jamais trop tard pour faire vos valises !
Voyager en solo est une expérience que tout le monde devrait tenter au moins une fois dans sa vie. C’est l’occasion de se retrouver seul avec soi-même, de tester ses limites, de faire de nouvelles rencontres et de découvrir autre ment ce qui vous entoure. Certaines destina tions, comme Bali, la Laponie, Dubaï ou les ca pitales européennes, comme Berlin, Rome ou Madrid, sont parfaites pour profiter de l’hiver autrement. Depuis quelques années, l’Amé rique du Sud est également le nouvel eldorado des voyageurs qui partent en solo.
Piste de ski, motoneige, snowboard, snowtu bing, randonnée dans la neige ou en chiens de traîneau, les destinations européennes ne manquent pas de choix pour passer un hiver sportif. Des Alpes françaises à l’extrême nord de la Scandinavie, du Tyrol autrichien à nos collines ardennaises, si vous êtes adepte des sports de glisse ou amoureux des longues pro menades dans la nature, c’est tout un panel d’expériences qui s’offre à vous. Pour ceux qui veulent quitter les frontières de l’Europe, pen sez au Canada, aux Etats-Unis ou, encore plus loin, la Chine et le Japon qui développent un tourisme sportif de haute qualité.
Que vous soyez en couple depuis quelques mois ou amoureux depuis de longues années, passer du temps ensemble à l’étranger cet hiver est une excellente idée. Il y a bien évi demment les destinations connues comme ro mantiques, comme New York, Paris et Vienne, qui figurent dans le TOP 5 des villes à visiter en couple, mais il existe également des des tinations moins urbaines. Les amoureux n’y pensent pas forcément, mais des pays comme le Mexique, la Grèce, la Finlande ou encore le Kenya offrent à la fois un dépaysement total et un cadre romantique en toile de fond.
Voyager en hiver n’empêche pas de découvrir d’autres cultures. Se rendre dans certaines villes à cette période de l’année permet de les découvrir sous un autre aspect. Oubliez les embouteillages et la pollution du Québec et de New York, car une fois que l’hiver et la neige arrivent, ces deux villes changent totalement de visage. Les pays d’Europe de l’Est, riches d’histoire, comme la Hongrie, la République Tchèque ou la Pologne sont aussi particulière ment agréables à visiter sous la neige.
Si vous n’avez pas envie de partir loin et long temps, les destinations limitrophes ou internes à la Belgique sont nombreuses. L’ambiance de Noël au Pays-Bas, en Allemagne et dans le Nord de la France est dépaysante. Et en Belgique, les villes comme Anvers, Liège et Bruxelles sont réputées pour leurs décorations hivernales. Sans oublier les Hautes-Fagnes, une région qui chaque année accueille de nombreux touristes belges et étrangers. Un must-see local dont nous pouvons être fiers.
Par Adeline Schmitz
Sur les sommets de l’Ardenne, Natagora chérit quelques belles vallées au parfum alpestre. On peut s’y balader parmi des plantes qui ne poussent qu’au-dessus de 500 mètres d’altitude, comme le fenouil des Alpes. Le milan royal y a établi ses plus beaux quartiers d’été.
Téléchargez nos balades en Ardenne et partout en Wallonie
Présent dans plus de 140 pays, Missio appartient à un grand réseau mondial de solidarité entre les communautés catholiques, les œuvres Pontificales Missionnaires.
Missio soutient des projets concrets développés sur place par des paroisses, des communautés de religieux ou de religieuses, des laïcs engagés au service de l’Église et de la société.
•Projets à destination des enfants : établissements scolaires, structures d’éducation et d’accompagnement des enfants en difficulté, catéchèse.
•Projets visant à améliorer la vie en société : institutions hospitalières, dispensaires, centres sociaux, aide aux plus démunis.
•Formation des prêtres, religieux et religieuses, agents pastoraux laïcs : par le biais du parrainage de séminaristes et du soutien aux instituts de formation.
•Soutien aux infrastructures de l’Église : construction d’églises et des bâtiments divers pour l’exercice de la mission ecclésiale.
Ces projets font vivre l’Évangile à travers le monde. Dans tous les pays, chaque communauté participe, dans la mesure de ses moyens, à alimenter le fonds de solidarité universelle de l’Église. C’est ce fonds qui permet de financer en tout ou partie des
Comme chaque année, le mois d’octobre est consacré à la mission universelle dans toute l’Église catholique. Le thème retenu pour la campagne 2022-2023 est « Vous serez mes témoins ». Pour mettre en lumière ce thème, Missio Belgique a choisi comme pays phare la République centrafricaine
*Être témoin du Christ: un mandat à accomplir, une mission à vivre
Le slogan du mois de la Mission universelle de cette année –– « Vous serez mes témoins » est tiré du dernier dialogue du Christ avec ses disciples (Actes I, 8). Il ne s’agit pas d’un souhait. Témoigner de ce qu’ils ont vu, en paroles et en actes est un mandat à accomplir, une mission à vivre. C’est leur mission primordiale, et celle de chaque baptisé.
Dans son message pour la Journée missionnaire mondiale 2022, le pape François rappelle que : « l’Église, communauté des disciples du Christ, n’a d’autre mission que celle d’évangéliser le monde en témoignant du Christ. L’identité de l’Église est d’évangéliser».
projets d’évangélisation, de formation et d’éducation dans les communautés chrétiennes les plus démunies.
Missio soutient des projets éducatifs pour tous les enfants du monde
« Avec l’aide de Missio, nous avons pu rénover l’école, installer l’électricité et refaire les peintures pour 10 classes et ouvrir 5 nouvelles classes. Les élèves peuvent ainsi étudier dans de meilleures conditions et nous en accueillerons davantage à la rentrée prochaine. »
-Sr Renée Bientz, Brazzaville, République du Congo
Missio soutient la formation des prêtres de demain « Les séminaristes doivent être solidement formés sur le plan humain, spirituel, intellectuel et pastoral. En ancrant leur pratique dans l’amour de la vérité, la loyauté, le respect des personnes, les futurs prêtres favoriseront la rencontre de chacun avec le Christ. La fécondité de leurs missions dépendra de la qualité de leur foi, de leur vie de prière, des valeurs humaines, spirituelles et morales acquises pendant leur formation. » -Père Didier AFFOLABI, Recteur Grand Séminaire Saint Gall – Bénin
Les enfants aident les enfants « C’est bien que nous puissions aider les enfants d’autres pays.» ; « Surtout que l’argent vient de tout le village »
Merci de soutenir l’Annonce de la Bonne Nouvelle dans le monde en faisant un don à Missio : BE19 0000 0421 1012
Vous êtes fan de seconde main ? Alors vous devez forcément connaître Les Petits Riens : une entreprise d’écono mie sociale, circulaire et solidaire qui existe depuis maintenant 85 ans. Der rière chaque t-shirt, livre ou objet donné ou acheté à l’association, il y a un projet social et des milliers de personnes que vous aidez. En effet, le revenu généré par l’activité économique de l’asso ciation permet de financer leurs nombreuses actions sociales visant à lutter contre la pauvreté en Belgique.
Faites du shopping solidaire dans un de leurs 25 magasins de seconde main Présents à Bruxelles et en Wallonie, les boutiques des Petits Riens sont ouvertes à tou·te·s, avec autant de belles marques que de pièces à prix doux.
En rentrant dans l’un des 25 magasins de l’association, on ne remarque pas que l’on rentre dans un magasin de seconde main. La déco multiplie les clins d’œil récup’ tandis que les rayons débordent d’articles triés sur le volet. Vêtements, accessoires de mode, mobilier vintage, matériel de cuisine, livres d’occasion, créations up cycling ou déco unique, Les Petits Riens regorgent de pépites en tous genres.
Si vous ne deviez faire qu’une seule adresse, on vous recommande sans hési tation le magasin central des Petits Riens. Ce repère ixellois niché en plein Châtelain
est le repère des accros de la seconde main. Au total, comptez 1.500m² réparti entre plusieurs départements: textile, retro, librairie, objets déco, électronique, enfants et mobilier.
► Rue américaine 101, Ixelles
► Ouvert du lundi au samedi de 10h30 à 18h00
Un don pour la bonne cause Envie d’opérer un tri salutaire et solidaire dans votre garde-robe ou vos étagères? Il est possible de faire un don matériel aux Petits Riens.
• Déposez vos dons de textiles ou d’accessoires dans l’une des 800 bulles à vêtements de l’association (dans toute la Belgique)
• Bon à savoir : il est aussi possible de faire don de vos textiles directement dans les magasins des Petits Riens
• Déposez vos dons de livres, meubles, électronique ou objets divers dans l’un de leurs 4 points de dépôt (Ixelles, Anderlecht, Wavre, Namur)
Plus d’infos et adresses complètes sur petitsriens.be/dons-en-nature
Vos dons et vos achats ont le pouvoir de changer des vies Depuis 1937, Les Petits Riens luttent contre la pauvreté et l’exclusion sociale en Belgique.
En plus de son impact environnemental positif, l’activité économique de collecte, tri et vente de biens de seconde main des Petits Riens constitue une plateforme d’insertion socioprofessionnelle pour plus de 500 personnes chaque année.
Cerise sur le gâteau, les bénéfices générés par les magasins permettent de financer de nombreuses actions sociales, dont l’hébergement et l’accompagnement de sans-abri. Chaque année, près de 300 personnes sans logement sont ainsi hébergées au sein des 3 maisons d’accueil des Petits Riens. Chaque centre d’hébergement s’adresse à un public différent aux besoins spécifiques. Une grande maison d’accueil pour hommes sans-abri, une pour des jeunes en errance de 18 à 24 ans et la dernièrenée pour familles monoparentales en situation de détresse.
Envie de (re)joindre ce mouvement circulaire et solidaire ? Un don matériel, un achat solidaire, un don financier, chaque petit geste compte et peut faire la différence, de petits riens en petits riens…
Elle est une ex-Miss Belgique devenue influenceuse, il est Diable Rouge et joue dans un des plus grands clubs européens. Professionnellement, Noémie Happart et Yannick Car rasco ont tout pour être heureux. Et c’est encore plus vrai au niveau personnel, puisqu’ils sont les heureux parents d’un petit Naël depuis le 2 juillet. Les derniers mois de l’année seront donc chargés, entre une Coupe du Monde au Qatar, une vie de famille chamboulée, et d’autres projets encore.
Par Thibaut Van Hoof Photo ©Happart & CarrascoC’est depuis leur maison de Madrid que Noémie Happart et Yannick Carrasco ont pris le temps de répondre à nos questions entre deux déplacements européens pour Yannick, joueur de l’Atletico Madrid. L’occasion pour eux de se pencher sur les mois à venir, avec une période hivernale qui s’annonce chargée à tous les niveaux. Il y a d’abord la Coupe du Monde au Qatar qui approche à grands pas, mais aussi une vie de famille pleine de découvertes depuis la naissance de leur fils, Naël, au début du mois de juillet. Tout cela sans compter la vie d’influenceuse de Noémie, qui nourrit d’autres projets dans les mois à venir. Rencontre avec un couple souriant et attachant, en toute simplicité.
Commençons d’abord avec vous, Noémie. Influenceuse, voilà un terme qui englobe toute une série de métiers. Que faites-vous exactement ?
« En fait, je n’aime pas tellement ce terme. Je suis indépendante et je préfère parler d’un métier d’image, de communication et de marketing. J’ai d’ailleurs un diplôme en marketing, et j’utilise donc tout ce que j’ai pu apprendre durant mes études. En résumé, j’essaye de mettre en place des campagnes de publicité pour les marques avec lesquelles je travaille. J’ai repris cette activité il y a peu et je m’y épanouis. »
Vous n’aimez pas le terme “influenceuse”. Pourquoi ?
« Car, il donne souvent une mauvaise image à notre métier, et que c’est un raccourci un peu facile pour une activité qui rassemble beaucoup de compétences acquises au fil des années. En fait, je vois plutôt cela comme du marketing traditionnel, mais sur les réseaux sociaux. Il y a vraiment une recherche au niveau de la créativité, et tout un système mis en place. De plus, je travaille uniquement avec les marques qui m’intéressent et qui ont des valeurs qui me correspondent. Je ne veux pas faire n’importe quoi, comme certaines personnes qui nuisent à l’image de ce métier. En réalité, il s’agit d’un nouveau métier et il est donc normal qu’il y ait des dérives. Moi, j’essaye de rester à l’écart de ces polémiques. »
On remarque aussi que vous restez assez discrets sur votre vie sur les réseaux sociaux. C’est une volonté de garder chacun son espace privé et de ne pas se “marcher dessus” ?
Noémie : « En effet, on aime bien garder notre intimité et notre vie privée pour nous. Certains la partagent, mais ce n’est pas notre truc, à part pour publier quelques photos de moments importants de notre vie. Mais à part cela, nous restons discrets sur notre quotidien. »
Yannick, impossible d’évoquer vos projets professionnels sans parler de la Coupe du Monde qui débutera le dimanche 21 novembre prochain.
« Il y a évidemment ce gros événement qui arrive et qui chamboulera toute la saison, puisqu’elle se jouera en hiver. Le calendrier est impacté, et ce sera une nouvelle expérience pour tous les footballeurs. Il faudra s’y adapter, mais je pense que cela sera plutôt
positif, en fait, car on sera plus frais que pour un grand tournoi qui arrive en fin de saison, quand on est tous fatigué après les efforts fournis avec notre club. De plus, il ne s’agira pas de penser aux vacances après la Coupe du Monde, puisque la saison en club reprendra directement derrière. La saison sera très longue. »
Noémie, vous allez être la première fan de votre mari, évidemment. Quel est votre rôle pendant un tournoi aussi important ?
« Mon rôle est de le soutenir et de le supporter au maximum, tout simplement. On sait que c’est une période difficile physiquement et mentalement, mais on compte aussi sur leur talent pour faire de grandes choses ! En général, on essaye toujours de communiquer via des messages et des appels vidéo tout au long d’un tournoi. On a aussi la chance que Roberto Martinez organise des Family Days durant chaque tournoi. C’est l’occasion de passer une journée
ensemble et de voir les autres joueurs et leur famille autour d’un dîner. C’est toujours très agréable et cela fait du bien à tout le monde. »
Vous serez donc sur place durant toute la Coupe du Monde ?
« Je suis en train de regarder et tous les hôtels affichent complet. C’est donc assez compliqué d’arranger les voyages, surtout avec notre fils qui est encore tout petit. À Madrid, c’est facile d’aller au stade avec lui, car les familles sont toutes dans une tribune à l’écart de la foule, mais ce ne sera pas le cas lors de la Coupe du Monde. Nous n’avons pas encore pris de décision, mais on fera pour le mieux. »
Ce Mondial provoque aussi beaucoup de polémiques par rapport au respect des droits humains au Qatar. Quelle est votre position à ce sujet ? Vous devez être dans une position délicate…
Yannick : « J’essaye, comme la plupart des joueurs, de ne pas mélanger le football et le reste. Je pense que notre rôle est de nous concentrer sur notre métier qui est de proposer du spectacle. C’est très compliqué de donner son avis. Il ne faut pas oublier que c’est un rêve et un accomplissement pour un joueur de football de jouer une Coupe du Monde. »
Noémie : « Les joueurs sont dans l’embarras et on peut le comprendre. Mais je trouve que ce n’est pas à eux de dire “on n’y va pas”, mais aux pays et aux fédérations. »
Je n’aime pas trop le terme d’influenceuse,
il donne souvent une mauvaise image de mon métier.
— Noémie
C’est difficile de donner son avis sur la Coupe du Monde au Qatar. Il ne faut pas oublier que c’est un accomplissement pour un footballeur professionnel.
— Yannick
Et puis à Madrid, il y a d’autres Diables Rouges. Eden Hazard et Thibaut Courtois jouent au Real, et Axel Witsel a rejoint Yannick à l’Atletico. Vous vous voyez souvent ?
Yannick : « Axel venait souvent chez nous quand il est arrivé car sa femme et ses enfants je l’avaient pas encore rejoint à Madrid. Ils viennent de s’installer dans leur maison. Je le vois bien sûr régulièrement sur le terrain, mais on a un groupe qui s’entend bien et on fait souvent des choses tous ensemble, avec les femmes et les enfants. »
Noémie : « Avec Axel Witsel et sa femme, on a déjà le point commun d’être Liégeois, donc on se connaît depuis des années. C’était plus facile pour lui d’avoir un repère en arrivant. »
Yannick : « Pour Thibaut et Eden, c’est plus compliqué, car nos programmes ne sont pas les mêmes. Mais ce n’est pas vraiment une question de rivalité entre clubs. J’ai déjà vu Eden à Madrid, mais pas forcément avec nos familles. »
Cette année, les fêtes de fin d’année seront aussi particulières pour différentes raisons. Il y aura un retour du Mondial, qu’on espère le plus tardif possible, et surtout le premier Noël de votre fils. Comment cela se passe les fêtes chez les Carrasco ?
Noémie : « Cela se fait toujours en famille, et jamais seuls ! On essaye de réunir tout le monde : nos parents, nos frères et sœurs, etc. C’est vraiment super important pour nous de voir un maximum de monde car les occasions sont rares pendant l’année. Et quand on ne peut pas rassembler tout le monde pour un soir, on fait le tour de la famille. Pour le menu, on n’est pas fixé sur un menu traditionnel, et on change chaque année selon nos envies. L’an dernier, c’étaient des grillades, par exemple. On a déjà fêté cela avec des amis guadeloupéens il y a quelques années. C’était inattendu, mais très bon aussi. Nous avons déjà fêté Noël au ski, c’était également une belle expérience. Mais cette année, ce sera surtout le premier Noël avec notre bébé. On va directement l’inclure dans nos petits rituels,
même s’il a déjà l’habitude de tout faire avec nous. Il aura un peu plus de cinq mois, il va peut-être même pouvoir manger un petit peu avec nous. Cela va être magique de lui faire découvrir tout ça. »
Noémie et Yannick Carrasco lancent un nouveau concept à Awans, en région liégeoise.
« Nous sommes en plein travaux, mais nous allons ouvrir en novembre un centre offrant plein d’activités et de soins différents pour les femmes, explique Noémie. Ce sera un véritable temple de la femme, avec du coaching, des cours de sport, des espaces de soins et de beauté, en fait tout ce qui peut rendre plus agréable quotidien des femmes. Un volet santé est également prévu, avec également un accompagnement psychologique. »
Autre particularité : ce centre ne sera accessible qu’aux femmes. « Nous avons vu ce genre de lieu un peu partout durant nos voyages, et cela manque vraiment en Belgique, observe-t-elle. Le but est de permettre aux femmes de s’épanouir à tous les niveaux, et de pouvoir faire du sport sans avoir un mec lourd qui vienne les draguer (rires). Nous mettons tout cela en place au fur et à mesure, et nous y ouvrirons aussi un espace nutrition et un food bar qui ne proposera que des produits sains. »
Noémie Happart est arrivée sous le feu des projecteurs en 2013, quand elle a été élue Miss Belgique. Après un passage au concours Miss Univers, elle a poursuivi ses études de marketing et s’est lancée dans la vie professionnelle. Elle est aujourd’hui influenceuse freelance et travaille notam ment avec l’agence e-idols. Mariée avec Yannick Carrasco depuis juin 2017, ils sont les heureux parents du petit Naël, né le 2 juillet 2022.
Yannick Carrasco est l’un des nombreux Diables Rouges n’ayant jamais évolué dans le championnat belge. C’est à l’AS Monaco qu’il a fait ses débuts profession nels en 2012. Devenu un des meilleurs joueurs du championnat de France, il a fait ses valises pour l’Atletico Madrid en 2015. Après un détour par la Chine en 2018, il est de retour dans la capitale espagnole depuis janvier 2020. Il a déjà porté le maillot des Diables à 57 reprises et jouera cet hiver son quatrième grand tournoi international, après l’Euro 2016 et la Coupe du Monde 2018 et l’Euro 2020.
Découvre le monde de Pokémon avec des figurines, des jeux et des peluches !
La maison idéale d’aujourd’hui est sans aucun doute neutre en énergie. L’indépendance vis-à-vis des combustibles fossiles et des fournisseurs d’énergie est la clé de la neutralité climatique et de factures d’énergie abordables. Et cela ne se fait pas au détriment de votre confort personnel, au contraire. Grâce aux dernières solutions en matière d’énergie et de climatisation intérieure, la durabilité, l’efficacité énergétique, le confort et la santé vont de pair.
Le premier pas vers une facture d’énergie réduite ? Consommer moins d’énergie ! Le chauffage représente une part importante de votre consommation, jusqu’à 75 %. Avec une bonne isolation, vous avez besoin de moins de chauffage et vos coûts énergétiques diminuent donc considérablement.
Le chauffage sans combustible fossile avec une pompe à chaleur est l’étape suivante. Les pompes à chaleur peuvent chauffer n’importe quelle maison correctement isolée de manière économe en énergie. Vous n’avez pas encore terminé votre rénovation ? Dans ce cas, une installation hybride d’une pompe à chaleur et de votre chaudière existante constitue une bonne solution intermédiaire. Petit plus : une pompe à chaleur peut également rafraîchir votre maison en été !
Les panneaux solaires vous permettent de couvrir votre consommation d’énergie. Votre propre énergie solaire gratuite peut être utilisée pour l’éclairage, les appareils électroménagers et autres, ainsi que pour le chauffage et le refroidissement avec votre pompe à chaleur. Vous êtes ainsi presque indépendant de la fluctuation des prix de l’énergie et vous bénéficiez toujours d’une facture d’énergie minimale.
Dans votre habitation bien isolée, la ventilation est nécessaire pour un air intérieur sain. Avec une ventilation par des fenêtres ouvertes ou un système C, la précieuse chaleur s’échappe avec l’air vicié humide. En revanche, un système D fonctionnant à la demande ventile automatiquement avec une consommation d’énergie minimale et sans perte de chaleur.
Les pompes à chaleur et les systèmes de ventilation d’Itho Daalderop vous permettent de profiter à vie d’un climat intérieur confortable, sain et économe en énergie. Saviez-vous que nos pompes à chaleur géothermiques peuvent être surveillées à distance et ajustées le cas échéant ? Leur qualité est garantie jusqu’à 25 ans. Vous pouvez donc toujours dormir sur vos deux oreilles dans votre maison neutre en énergie.
Fabriqué avec des tissus Eco Care 100 % recyclés, le siège auto Mica Pro Eco est notre référence en matière de sécurité et de confort. Conçu selon les normes de sécurité i-Size les plus élevées, Mica Pro Eco associe le meilleur confort de sa catégorie et des innovations respectueuses de la planète pour créer le premier siège auto durable de ce type.
Qu’on le veuille ou non, l’hiver arrive. Et les dangers sont de plus en plus nombreux sur la route, qu’on soit piéton, automobi liste ou cycliste. C’est donc le moment de se prépa rer à tous les niveaux. Commençons par la voiture, qui reste le mode de transport numéro un. « On ne sait jamais à quel point l’hiver sera rude, mais nous tenons toujours le même discours à nos affiliés : préparez-vous quoi qu’il arrive », déclare Xavier Van Caneghem, porte-parole d’Europ Assistance. Le premier geste est de vérifier l’ensemble de son véhicule. Je pense notamment à la batterie, qui reste le point faible de tous les véhicules. Ce qu’on constate souvent aussi, c’est que les phares peuvent être mal réglés ou défectueux. Il faut aussi penser au changement des pneus, qui reste extrêmement important. Les pneus quatre saisons suffisent en général pour passer l’hiver en Belgique, mais il faut absolument changer ses pneus été. Même si ce n’est pas une obligation légale en Belgique, contrairement à d’autres pays. »
Pour ceux qui partiront à l’assaut des pistes de ski, par contre, ne pas avoir l’équipement nécessaire peut coûter cher. « Des pays comme la France, l’Autriche, la Suisse ou l’Allemagne imposent les pneus hiver, voire d’avoir des chaînes à disposition dans son véhicule. Des amendes sont prévues, et les assureurs refuseront d’intervenir en cas d’accident si la loi n’est pas respectée. En parlant d’assurance, il est impor tant de vérifier son contrat avant de partir, car tous ne prévoient pas une couverture à l’étranger. Des contrats annuels ou provisoires existent », prévient-il.
Pour ceux qui roulent à vélo, il faut avant tout penser à soi avant de prendre la route. Se protéger contre le froid et la pluie est indispen sable pour rouler dans de bonnes conditions et pouvoir rester bien attentif sur la route. Avant de prendre la route, pensez toujours à l’entre tien de votre vélo, qui est aussi important que
celui d’une voiture. « En hiver, il faut graisser la chaîne de votre vélo très régulièrement. On conseille de le faire une fois par semaine pour éviter une chaîne «rincée», résultat de la grande quantité d’eau sur les routes qui enlève toute l’huile sur la chaîne (parfois en un seul trajet). Mais des huiles spécifiques pour l’hiver existent », précise Gaëlle Jaspart, chargée de projet pour l’Asbl Pro Vélo.
Pour les cyclistes, passer aux pneus hiver est également une possibilité. Différentes versions existent et améliorent l’adhérence. Sans oublier les lumières, qui peuvent parfois sauver des vies. Enfin, des assurances existent aussi pour les cyclistes. « Nous intervenons en cas de panne en Belgique et dans les pays limitrophes, et nous pouvons aussi ramener le cycliste chez lui, en cas de besoin », conclut Xavier Van Caneghem.
Par Thibaut Van Hoof
La crise énergétique qui frappe actuellement l’Europe impacte directement le portefeuille des Belges. Et si le gouvernement fédéral et les autorités européennes tentent de trouver des solutions, le premier conseil à suivre est de diminuer sa consommation de gaz et d’électricité. Voici comment.
« Pour baisser immédiatement votre consommation, il existe plusieurs gestes faciles à mettre en œuvre dans de nombreux domaines. Pour le chauffage, on considère que diminuer la température de 20 à 19 degrés permet de réaliser 7 % d’économie d’énergie. Il est bien sûr conseillé de diminuer, voire de couper le chauffage dans les pièces inoccupées. La nuit, une quinzaine de degrés suffisent. Pour la cuisine, il peut être bon de rappeler quelques conseils : éteignez les plaques avant la fin de la cuisson et profitez de leur chaleur résiduelle. Cuisez autant que possible à cou vercle fermé, avec peu d’eau. »
« Le facteur le plus significatif sera de baisser la température dans son logement. Il faut apprendre à vivre avec une température de 19 degrés. Pour une personne qui avait l’habitude de chauffer à 22 degrés, cela peut faire baisser la consommation de 30 %. Ne chauffer qu’une ou deux pièces de la mai son peut aussi être une solution. Ce sont vraiment des habitudes qu’on peut adopter très rapidement, sans rien changer chez soi. »
« L’essentiel va être de diminuer la température de confort. Diminuer le chauffage est une chose, mais on peut aussi faire pareil avec le ballon d’eau chaude, en baissant la température de quelques degrés, cela reste confortable. Attention : la ventilation du bâtiment reste très importante. Ainsi, l’air demeure plus sec et plus sain et cela permet en outre de bénéficier d’une température ressentie plus élevée. Sans compter qu’un air sec permet de chauffer plus facilement une pièce. On parle de 15 minutes par jour, réparties entre le matin et le soir. Au niveau de l’électricité, il faut faire l’analyse de chaque appareil branché et du besoin qu’on en a réellement. Sans oublier la consommation de veille. »
« Optez pour un thermostat intelligent connecté à internet. Ces modèles permettent des économies de 5 à 15%. Certains gestes demandent, par contre, un peu de bricolage : isolez vos conduites d’eau chaude qui se trouvent en dehors des pièces chauffées, placez derrière vos radiateurs des feuilles réfléchissantes sur les murs s’ils donnent sur l’extérieur. Si vous êtes un peu bricoleur, isolez l’entièreté de votre boiler avec du matériel d’isolation classique. L’économie réalisée ainsi peut dépasser les 200 euros par an pour un investissement 4 fois moindre. »
« L’entretien de sa chaudière peut faire gagner quelques pourcents d’efficacité, mais cela ne fera pas de grande différence sur la consommation totale. Pareil pour l’entretien mécanique des châssis qui peuvent améliorer l’isolation, mais cela reste anecdotique. Ce sont vraiment les changements d’habitudes et les gros investissements qui feront la différence. Avec un peu de changement logistique, on peut imaginer que des familles s’habituent à vivre dans une ou deux pièces de la maison durant l’hiver, pour ne chauffer que cette surface. »
« L’idée générale est d’optimiser l’efficacité du système de chauffage. Isoler les conduites permet de garder l’eau plus chaude, et donc de moins faire fonctionner le boiler. Un geste rentabilisé en moins de deux mois. Par ailleurs, l’entretien annuel de la chaudière reste vraiment nécessaire. Un expert peut aussi réaliser un diagnostic approfondi de votre lo gement. Dernier point : vérifier tous les joints autour des châssis, et s’assurer que leur structure soit bien en place. Un menuisier peut régler le problème sans que cela ne vous coûte des milliers d’euros. »
« Une maison bien isolée devient un must : isolation de la toiture, des murs… Par exemple, le remplissage des murs creux avec un isolant permet une économie de 500 euros pour 50 m2 de surface. Vous pouvez aussi remplacer votre ancien vitrage par un vitrage à haut rendement. On estime que le remplacement du seul vitrage permet une économie de 16 euros par m2. Enfin, l’installation de panneaux photo voltaïques sur un toit bien isolé permet, outre les économies sur sa facture d’électricité, de se mettre à l’abri des évolutions des prix. »
« Les panneaux photovoltaïques restent un très bon investissement. Vu les tarifs actuels, ils seront rentabilisés en trois ans, voire 7 ans maximum si ces mêmes tarifs devaient fortement baisser dans les mois à venir. Attention tout de même au nouveau tarif prosumer qui pourrait être instauré par les fournisseurs. Actuellement, le compteur classique tourne à l’envers quand on produit plus d’énergie qu’on en consomme. Avec l’arrivée des compteurs intelligents, les fournisseurs vont faire un calcul par rapport au prix réel de l’énergie sur les marchés, au moment où on la consomme et/ou on la rejette dans le réseau. »
« En un mot, l’essentiel c’est l’isolation ! Refaire toute l’isolation de la maison coûte cher, mais c’est rentable et durable à tous les niveaux. Il faut com mencer par la toiture, et ensuite vérifier si on n’a pas de murs creux. En dernier lieu, ce sont les châssis qu’il faut remplacer. Pour la chaudière, c’est au cas par cas. On peut envisager des systèmes décentrali sés avec des poêles à bois à différents endroits. Les pompes à chaleur peuvent être une bonne solution, mais pas dans tous les cas. Enfin, les chaudières à pellets sont de plus en plus performantes. »
À moyen terme, quels sont les petits travaux à réaliser qui peuvent faire la différence ?
à long terme pour bien isoler sonhabitation et/ou consommer moins d’énergie ? Stéphane Dochy Expert énergie Test Achats Damien Ernst Expert en énergie et professeur Université de Liège Nicolas Gigot Conseiller Guichet Énergie Wallonie de Marche-en-Famenne
Préparez-vous à un hiver froid. Découvrez la gamme de pompes à chaleur et de chaudières à condensation Bosch et gardez votre maison au chaud pendant les mois froids de l’hiver.
Bosch propose une solution de chauffage pour chaque type d’habitation. Nos pompes à chaleur et nos chaudières à condensation ont toutes un rendement maximal et constituent la solution idéale pour un confort élevé en matière de chauffage et d’eau chaude.
Tout commence avec vous: du choix de votre système de chauffage Bosch à nos techniciens qui sont toujours là pour vous. C’est aussi simple que cela !
Découvrez notre gamme de systèmes de chauffage sur www.bosch-climate.be
Demandez votre devis gratuit via www.bosch-climate.be
Réduire la fatigue et le stress grâce à la nature
Les plantes et les huiles essentielles peuvent être d’excellents alliés pour diminuer le stress et la fatigue. C’est le cas du ginseng qui stimule notre organisme et notre activité cérébrale. De son côté, la valériane est une plante reconnue pour ses capacités à diminuer les tensions nerveuses et à retrouver un sommeil adéquat. Enfin, l’huile essentielle de lavande est reconnue comme étant un antistress naturel.
Attention toutefois, elle s’utilise avec précaution et parcimonie.
On le sait, le stress peut engendrer de la fatigue, et la fatigue peut à son tour engendrer du stress. Qu’il s’agisse d’insomnies passagères ou de troubles du sommeil plus fréquents, la fatigue n’est pas le meilleur allié de notre corps. Mais alors, quelles sont les techniques pour en finir avec cette spirale infernale ?
Que vous soyez de nature anxieuse ou calme, le stress est considéré comme le mal du siècle et fait indéniablement partie de notre vie. Cependant, on distingue plusieurs types de stress, à savoir celui généré au quotidien et facilement résorbé par notre organisme, et le stress chronique qui entraîne une fatigue constante pouvant se révéler anxiogène. Myriam Bartiaux, eutoniste, souligne : « la surcharge de tension ressentie par le stress va provoquer
sentis en journée ne sont pas toujours causés par une activité cérébrale im portante durant la nuit. Des troubles physiologiques peuvent être la conséquence d’un sommeil perturbé et, logiquement, d’un stress constant ressenti en journée. Par troubles physiologiques, nous entendons no tamment les insomnies, les apnées du sommeil ou encore, les troubles cir cadiens, provoqués par des problèmes d’ajustement au cycle lumière-obscu rité ou d’origine intrinsèque. Chakar
Ainsi, si la cause du problème provient du stress, cela signifie que le dysfonc tionnement est d’ordre psychologique et émotionnel. Pour pallier cela, outre la psychanalyse, plusieurs méthodes sont préconisées, parmi lesquelles on compte notamment la relaxation, la méditation, la sophrologie ou l’eutonie, une pratique visant à la pleine conscience de son corps.
Le sport, notre meilleur allié Bien que le stress et la fatigue ne nous donnent pas toujours la motivation nécessaire pour exercer une activité physique, le sport est pourtant essentiel à notre organisme. En effet, plus vous habituerez votre corps à un exercice sportif régulier, moins il se sentira essoufflé et plus vous serez en forme. De plus, une pratique quotidienne de 20 minutes suffit à réduire l’anxiété. Qu’il s’agisse de la natation, de la marche, du yoga ou du fitness, tous les sports sont bons pour vaincre le stress et la fatigue.
de la fatigue qui, à son tour, entraîne une diminution de concentration, de mémorisation, de capacité d’adaptation et va exacerber les émotions. Ce sont ces éléments qui nous empêchent de prendre du recul ».
Cependant, les troubles du sommeil peuvent également être provoqués par des stress légers du quotidien, voire du stress dit positif. À ce propos, Cha kar Bassam, neurologue au Centre de médecine du sommeil, confirme : « en dormant, le cerveau gère toutes les situa tions vécues durant la journée, y compris les situations anxiogènes et stressantes. Dès lors, notre sommeil peut être frag menté en raison de ce stress ». À l’inverse, le stress et la fatigue res
Bassam indique d’ailleurs : « l’apnée du sommeil est un problème venti latoire considéré également comme stress physiologique. Ce trouble va bouleverser la qualité de notre sommeil et nous stresser lorsque nous sommes éveillés ».
Dès lors, comment se sortir de cette coalition entre le stress et la fatigue ? La première étape est de poser un diagnostic précis en allant chercher la source du dysfonctionnement : est-ce le stress qui provoque la fatigue ou l’inverse ? Pour obtenir des réponses claires, il est recommandé de procéder à une série d’examens et d’analyses au sein d’une institution compétente telle qu’une clinique du sommeil.
À l’opposé, si la source du problème est d’ordre physiologique, les traitements proposés diffèrent naturellement d’un syndrome à l’autre. En cas d’insomnie, un traitement médicamenteux peut être prescrit afin d’aider le patient à retrouver le sommeil. Néanmoins, une approche psychologique est également recommandée puisque les personnes insomniaques ont tendance à appré hender davantage l’heure du coucher et, par conséquent, à trouver le sommeil. Dans ce cas, les spécialistes entament généralement une thérapie cogni tivo-comportementale afin d’aider le patient à modifier ses comportements liés au sommeil. En ce qui concerne les personnes souffrant d’apnée du sommeil, le traitement le plus efficace reste le CPAP, un appareil permettant de laisser les voies respiratoires du pa tient ouvertes pendant la nuit afin qu’il ne manque plus d’oxygène. Enfin, les traitements à base de mélatonine et la luminothérapie sont recommandés en cas de trouble du rythme circadien.
En conclusion, vaincre la fatigue, le stress et rompre le cercle vicieux qui en découle est avant tout une question d’écoute et d’analyse. Il convient donc de comprendre si le problème de fond provient de votre état psychologique et psychique, et donc de votre anxiété, ou s’il provient d’une maladie liée au sommeil directement.
Par Morgane MignoletEn dormant, le cerveau gère toutes les situations vécues durant la journée, y compris les situations anxiogènes et stressantes.
— Chakar Bassam NeurologueTatiana Silva
Malgré le temps plus froid, sombre et pluvieux, l’hiver nous offre ce qu’il y a de plus précieux : du temps pour soi. C’est l’opportunité de se régénérer, de recharger ses batteries.
Malgré le temps plus froid, sombre et pluvieux, l’hiver nous offre ce qu’il y a de plus précieux : du temps pour soi. C’est l’opportunité de se régénérer, de recharger ses batteries.
Personnellement, j’aime beaucoup cette période. C’est celle où ma musique interne se fait mieux entendre car il y a moins de bruits autour.
Dans une vie où je cours beaucoup, tout ralentit. Je peux enfin me poser chez moi, lire un bon livre au creux du canapé, aller au cinéma, cuisiner un bon plat.
Mais chez certaines personnes sensibles, ces longs mois aux nuances de gris peuvent susciter une profonde mélancolie, faire naître des idées sombres. Si vous en faites partie, partir même quelques semaines au soleil ne suffira peut-être pas à vous redonner le moral.
Alors plutôt que de vouloir nager à contrecourant, laissez-vous donc guider par la nature
et prenez exemple sur elle. Mettez-vous en veille, délestez votre agenda. Essayez, si vous le pouvez, de vous coucher plus tôt et de vous réveiller plus tard.
Durant cette période rude, votre système immunitaire aura également besoin de soutien. Initiez-vous aux douches froides si vous en avez le courage, cela fait un bien fou (si si, je vous le promets). Pour entretenir le moral, regardez des films inspirants, des séries qui vous transportent ailleurs, des documentaires qui vous nourrissent.
Durant l’hiver, on fait des réserves d’énergie, pas de nourriture. Contrairement à ce que la plupart des gens pensent, il serait plus indiqué de manger plus léger en hiver qu’en été, période où les journées plus longues nous font brûler plus de « carburant ».
Enfin, prenez chaque jour le temps de cultiver la gratitude, cela favorise la sécrétion des hormones du bonheur comme la dopamine, l’ocytocine et la sérotonine. Elles vous seront précieuses pour garder un mental d’acier durant les journées les plus maussades.
Nous faisons partie intégrante de la nature : vivre à son rythme nous reconnecte au nôtre. En fin de compte, l’hiver nous offre un merveilleux cadeau pour qui sait le recevoir : trouver l’équilibre quand on l’a perdu.
Par Tatiana Silva, présentatrice météo
