Lufy & Enzo Voort
Des fêtes de fin d’année enfin retrouvées
Lufy et Enzo Voort, le couple d’influenceurs aux manettes de “L’internet show” sur Tipik se prépare pour les fêtes. Après deux ans de pandémie, ils retrouvent les sensations d’avant. Un plaisir partagé !
Les fêtes de fin d’années approchent. C’est le moment de ralentir son rythme quotidien, de se déconnecter et de profiter des plaisirs culinaires. Si l’on y réfléchit bien, ce Noël sera le premier que l’on passera normalement depuis ces deux années de pandémie . Adieu les visioconférences, les dîners à distance et les problèmes de connexion. Et bonjour les saveurs d’avant et la chaleur des gens. Tout est éphémère, nous l’avons bien compris !
Alors autant vivre les choses intensément à chaque instant. Pour notre part, ces fêtes nous les passerons en Belgique, entourés de nos proches. Une organisation assez classique en somme, que nous n’avons d’ailleurs pas changée depuis nos 11 ans de vie commune. Pourquoi le ferait-on d’ailleurs, puisque chaque année est aussi parfaite que la précédente ?
Il faut dire qu’on met toujours les petits plats dans les grands. Un double Noël au coin du sapin dans deux familles
italiennes au traditions bien marquées, des monceaux de pâtisseries qu’on dévore sans crainte de ce que dira la balance le lendemain, un menu aux petits oignons, élaboré à 4 mains et composé d’entrées variées, de pâtes, de poissons, de viande… sans oublier le paneton. Pas besoin de courir à l’étranger quand on a tout ça sous le nez.
Même si vos parents insistent toujours pour regarder la messe durant le souper, même si l’hymne de Noël de Mariah Carey n’en finit plus de vous casser les pieds et même si votre maman vous offre pour la troisième fois consécutive le même pyjama. Quand on est bien entouré comme ça, le ciel pourrait s’écrouler qu’on ne le saurait pas. Et puis pour remédier aux cadeaux manquant d’inspiration, tentez la “wish list”. Vous nous en direz des nouvelles.
Joyeux Noël et bonne année à tous !
Par Lufy & Enzo Voort Présentateurs Tipik
Quand on est bien entouré, le ciel pourrait s’écrouler qu’on ne le saurait pas .
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Une fin d’année joyeusement calme
Pour beaucoup, Noël rime avec famille et festivités. Pour d’autres, cette période est surtout un moment de calme. Etre seul ou en petit comité en cette fin d’année 2022, ça se déguste aussi avec plaisir.
Ce Noël 2022 ne ressemblera pas à celui des deux années précédentes. Fini le confinement, les bulles sociales et les rencontres en petits comités. Cette année, Noël sera festif, joyeux et sans restriction. Vraiment ? Non, pas pour tout le monde. Car qu’elle soit subie ou choisie, la solitude rendra la fête un peu moins débridée pour certains. Étudiants à l’étranger, célibataires, membres d’une cellule de garde ou encore personnes isolées, ils sont nombreux à se demander comment ils vont pouvoir fêter Noël en petit comité.
Richard, 27 ans, professeur de Game Design, fêtera Noël avec son père : « Pour moi, c’est une manière de se retrouver. Les fêtes de fin d’année sont une période qui nous permet, à mon père et moi, de discuter d’autres choses que de notre quotidien », explique-til. Fêter le 25 décembre en tout petit comité est une habitude pour eux. « On regarde les bêtisiers qui passent à la télévision, on profite du feu, on discute et on mange du gibier. C’est notre tradition de Noël. »
En Belgique, on estime que 23 % des plus de 65 ans sont isolés, soit près d’une personne sur quatre. Christian, 72 ans, vit seul depuis le décès de sa femme. Pour cet ancien militaire, fêter Noël seul a d’abord été un calvaire. « La première année après le décès de mon épouse, les fêtes étaient vraiment une
période difficile. Mais avec le temps, j’ai appris à profiter de cette période pour me faire plaisir. » Christian préfère passer ses fêtes en solitaire, malgré les invitations de ses neveux. « C’est le moment où je fais le point sur ma vie. Et c’est surtout l’occasion de boire une bonne bouteille de vin, en échangeant quelques mots avec les voisins », plaisante-t-il.
Seul.e, à deux ou à trois, il est toujours possible de faire la fête et de s’amuser. Richard profite de Noël pour cuisiner de longues heures avec son père, tandis que Christian se détend devant sa cheminée avec un bon livre. Des façons différentes de célébrer le 25 décembre qu’ils apprécient.
« J’aime la manière dont je fête Noël avec mon père. Je m’imagine bien le fêter un jour dans un chalet, avec un bon livre et un chocolat chaud comme seuls compagnons en regardant la neige tomber. »
« Le fait d’être seul ne m’empêche pas d’aimer la période des fêtes de fin d’année », conclut Christian. « Être seul, c’est l’occasion parfaite pour se faire plaisir et profiter à 100 % de ce que l’on veut faire : si je veux manger du gibier, je mange du gibier. Si je veux aller me promener, je vais me promener. On n’est jamais aussi libre que lorsque l’on est seul. »
Par Adeline SchmitzLe fait d’être seul ne m’empêche pas d’aimer la période des fêtes de fin d’année.
—Christian
VENTES PRIVILÈGES
Repas de fêtes : ne soyez pas en reste !
Il vaut mieux prévoir trop que pas assez, et puis rien ne se perd, tout se transforme… Est-ce que la faim justifie vraiment les moyens de ces faux prétextes censés nous dédouaner chaque année de si mal doser nos repas de fêtes ? Mangeons donc à notre faim, mais profitons en pour faire durer le plaisir au maximum…
Certains se sont spécialisés dans une vraie lutte contre ces excès, en érigeant le Zéro-Déchet comme principe philosophique et fer de lance professionnel. C’est le cas de Louise Martin Loustalot, membre fondateur des Gastrosophes, catastrophée de constater que « chaque année après les fêtes c’est une quantité aberrante qui finit à la poubelle ».
Pour limiter la casse, vous pouvez ressortir la dinde et les crudités pour des sandwiches et congeler les viandes, poissons et légumes à temps pour les soupes de janvier. En fin de soirée, offrez à chaque invité une part du festin à emporter pour ‘‘liquider le stock’’…
Mais plutôt que de devoir gérer le trop-plein, pourquoi ne pas considérer le problème en amont?
Par exemple, en faisant en sorte que vos amuses-bouches en soient vraiment, c’est-à-dire légers, en format mini et en quantité adaptée. Ou plus prévoyant encore : prenez en compte ce que vous avez déjà dans votre congélateur, avant vos emplettes de fêtes, puis achetez en vrac ou à la découpe en fonction du nombre d’invités attendus.
Pour Elke Markey, Responsable communication chez Foodwin, cela ne fait aucun doute : « La
prévention est la plus efficace des manières de lutter contre le gaspillage à tous les niveaux, individuel ou collectif, car cela permet de faire des économies de ressources sur toute la chaîne de production : transport, énergie… une forme de gaspillage à laquelle on ne pense pas assez. »
Mais est-ce suffisant ? Pas pour Louise Martin Loustalot pour qui : « la récup’ et la prévention sont insuffisantes, c’est une dynamique globale qu’il faut instaurer contre le gaspillage dont l’essentiel provient des entreprises, des restes qui sont de nature et d’échelle industrielle.
Bien sûr, le consommateur a sa part de responsabilité, mais c’est au niveau de la pénalisation des entreprises qui gaspillent le plus ou de la défiscalisation des dons alimentaires qu’il faut intervenir ».
Pour agir à échelle locale, l’initiative ‘‘Banquet de la Street’’ offre un chaleureux modèle d’économie circulaire à reproduire : le ‘‘festin’’ d’invendus sauvés par les ASBL est cuisiné, partagé sur des grandes tablées, en musique, avec cadeaux et décorations de Noël… ne serait-ce pas le parfait prétexte pour prolonger la fête entre voisins et recycler le surplus de chacun ?
Toujours en manque d’inspiration? Pourquoi ne pas proposer à vos voisins de partager un petitdéjeuner à base de pain perdu. Entre toasts et terrines, les fruits de la veille feront de délicieuses compotes ou confitures. Pour le dîner, les pains de viandes sont une valeur refuge : volailles, poissons, crustacés, légumes… tout s’y recycle. Plus light, les rillettes seront parfaites pour accommoder vos restes et régaler les gourmands à l’apéro suivant. Eviter le gaspillage c’est faire du bien à la planète mais c’est aussi faire durer le plaisir des fêtes avec autant de personnes que possible.
Par Yassine Imnadine— Louise Martin Loustalot, membre fondateur des Gastrosophes
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vous souhaite un joyeux Noël !
L’humoriste se confie sur cette période qu’il apprécie particulièrement. L’esprit de Noël, les retrouvailles familiales, les cadeaux… pour Pablo Andres, c’est la famille qui prime en fin d’année.
Fêtes de fin d’année : pour Pablo Andres, c’est la famille avant tout
Pablo AndresPar Adeline Schmitz Photo Romain Garcin
C’est depuis Paris que Pablo Andres nous a accordé cet entretien.
L’humoriste, toujours autant accaparé par son travail, a pris le temps de nous parler de sa vision des fêtes de fin d’année. Entre le montage de ses vidéos et la préparation de son nouveau spectacle, Pablo Andres profitera des derniers jours de 2022 pour prendre le temps des retrouvailles en famille.
Que représentent pour vous les fêtes de fin d’année ?
« Instinctivement, je pense à la famille. C’est le moment où on se retrouve tous pour fêter ensemble la fin de l’année. Mes proches sont en haut de ma liste des priorités. J’aime beaucoup les retrouver autour d’un bon repas, discuter et passer du temps en famille. »
Faites-vous partie de ceux qui passent Noël en famille et le Nouvel an entre amis ?
« Pas spécialement. Pour être honnête, pour moi, le Nouvel an est plutôt synonyme de fête ratée. Les rares fois où, plus jeune, je suis sorti en boîte à cette occasion, le résultat n’a pas été celui espéré. Je n’aime pas le côté forcé. D’ailleurs, depuis que je ne me force plus à faire la fête, j’apprécie beaucoup plus le passage à l’an neuf. Je ne passe plus une fête avec un certain groupe et l’autre avec d’autres personnes, je passe juste les fêtes avec les gens que j’aime. Famille, amis, l’important, c’est d’être bien entouré. »
Vous préférez une bonne soirée à la maison…
« Oui, mais c’est peut-être à cause de l’environnement. J’ai l’impression qu’ici tout le monde se juge, s’observe. Il y a en Belgique et en France un jeu de séduction que je n’apprécie pas. Je ne ressens pas cela quand je sors à Londres ou au Mexique. »
Noël rime souvent avec cadeaux. Vous aimez faire plaisir à vos proches ?
« Offrir des beaux cadeaux, c’est un geste de gratitude. J’adore offrir, surprendre, faire plaisir à mes proches. C’est la magie de Noël. »
Quel est votre plus beau souvenir de Noël ?
« 2022 reste un excellent souvenir pour moi. Avec mes frères et ma sœur, nous sommes partis avec ma mère au Mexique, près de Tulum, d’où elle est originaire. On a retrouvé de la famille, des cousins, des tantes pour fêter Noël et le Nouvel an ensemble. C’étaient des fêtes en famille et au soleil, ce qui est pas mal. C’était beau parce que, encore une fois, il s’agissait
de retrouvailles familiales dans un cadre qu’on n’a pas souvent l’occasion d’apprécier. Passer Noël sur la plage avec un grand soleil, de la tequila et des tacos, c’était vraiment quelque chose. »
Malgré les paillettes et la joie, les fêtes de fin d’année restent une période un peu stressante. Comment le gérez-vous ?
« Je ne fais pas partie des gens qui stressent pour trouver des cadeaux ou des idées repas. Je reste cool, je ne me mets pas la pression. Évidemment, j’évite de me rendre rue Neuve la veille de Noël, ce qui m’aide probablement à rester zen (rire). On ne peut pas nier qu’une espèce de folie s’empare de certains, mais j’y échappe en m’organisant à l’avance. C’est peutêtre ça le secret. »
Au Nouvel an, on prend souvent de bonnes résolutions. Quelles sont les vôtres cette année ?
« Je me remets beaucoup en question tout au long de l’année. Plus que des résolutions, pour moi le Nouvel an est plutôt le signe d’un nouveau départ. Je repars à zéro et tout devient possible. C’est un moment de renouveau. Comme résolution pour 2023, je vais peut-être me forcer à plus lâcher prise. Ceci dit, les résolutions, on ne les tient pas tellement. »
Votre Nouvel an parfait, il ressemble à quoi ?
« Mon Nouvel an parfait ressemble à celui de l’an dernier au Mexique. Tant que je suis avec les miens, bien entouré, c’est le principal. Ça n’a rien d’original, mais c’est ce qui se rapprochait le plus de la perfection à mes yeux. Sinon, si je dois changer totalement de vision, je me vois bien passer la Saint Sylvestre dans un chalet en Suisse. J’imagine la neige qui tombe et une super soirée passée à rire, allongés sur des couvertures bien chaudes devant un feu de cheminée. Frank Sinatra passerait à la radio et on cuisinerait ensemble les meilleurs produits afin de se faire péter la panse. »
Quelles activités aimez-vous faire pour bien commencer l’année ?
« J’aime me balader dans les bois, notamment la forêt de Soigne, près de chez moi. C’est quelque chose qui me ressource. Je travaille beaucoup, je n’ai pas le temps le reste de l’année, donc le 1er janvier, c’est vraiment l’occasion de le faire. En plus, après les repas assez copieux, ça fait vraiment du bien. Quand j’en parle, j’ai l’impression d’avoir 84 ans, mais c’est vraiment ce que j’aime. »
Que souhaitez-vous pour 2023 ?
« Je veux continuer à m’amuser, à faire vivre l’enfant qui est en moi. Vivre de ma passion, continuer à progresser et à faire ce métier. Je veux aussi être moins perfectionniste, apprendre le lâcher prise et accepter qu’il y ait des choses qui n’aillent pas comme je le voudrais. »
Smart Fact.
Pour son nouveau spectacle en Belgique en 2023, Pablo dévoile ses failles et son combat quotidien pour rester ce qu’on est tous pour le meilleur et pour le pire : gamin !
Retrouvez le à Braine-LeComte le 22 Mars, Namur le 23, Wavre le 30, Huy le 2 Avril, Andenne le 29, Nivelles le 31 Mai, Marche en Famenne le 16 juin et Bastogne le 17 ! Plus d’infos: pabloandres.be
Projets futurs
« Je me focalise sur mon nouveau spectacle dont je termine l’écriture. Je prends du temps pour moi, pour mon spectacle, pour en être fier. Le but, c’est qu’il soit drôle et touchant à la fois. C’est l’objectif numéro 1. Le spectacle est prévu pour le printemps 2023 en Wallonie. Après, j’ai quelques projets à la télé, mais 2023 sera vraiment consacré à mon spectacle. »
Le souhait de Pablo
« Je souhaite à tout le monde de vivre plus d’amour et moins de tensions. Cessons d’être focalisés sur ce que nous n’avons pas et profitons de ce qui nous entoure. Nous devons être conscients de la chance que nous avons. Je souhaite à tous les lecteurs de Fokus de l’amour, des tacos et de la tequila. Mais surtout, de l’amour et du bonheur en 2023. »
J’adore offrir, surprendre, faire plaisir à mes proches. C’est la magie de Noël... le Nouvel an est plutôt le signe d’un nouveau départ.
Repas chauds
L’asbl ‘’Opération Thermos’’ œuvre à la distribution les soirs d’hiver de repas complets une entrée, un plat chaud, un café/ chocolat chaud et un dessert. Mais ses bénévoles offrent aussi un soutien social. Alors si vous voulez offrir de la chaleur, et des sourires cet hiver ou faire un cadeau, toutes les infos sont sur : www.operationthermos.be
Des fêtes vraiment solidaires
Noël et le nouvel an sont l’occasion de célébrer les traditions en famille et entre amis, mais c’est aussi le moment de penser aux plus démunis. Que ce soit par un don de son temps, ou d’un peu d’argent, les manières de faire scintiller l’esprit des fêtes sont multiples.
Chaque année, les fêtes nous permettent de sortir les décorations scintillantes et les tenues chic, mais c’est aussi un rappel que d’autres sont moins chanceux que nous. Il est heureusement possible de consacrer du temps à sa famille et à ses proches tout en partageant notre joie, nos rires et même nos repas avec ceux qui en ont besoin, pour quelques heures ou pour quelques euros.
assure Cédric, Vice-Président chez Opération Thermos.
Cadeaux de Noël
Dès le 1er décembre, l’opération ‘’ShoeBox’’ récolte chaque année des boîtes cadeaux pour les sans-abris contenant des produits non alcoolisés et prêts à consommer, mais aussi des articles d’hygiène et une carte de vœux. Emballées comme des cadeaux de Noël, elles sont ensuite distribuées par des associations en fin d’année. Pour en offrir une : www.shoe-box.be
C’est bien là le défi que lancent chaque année les associations caritatives. Relevé par des milliers de volontaires organisés, de bénévoles de tous âges et d’horizons divers qui ont choisi de donner de leur énergie pour s’assurer que d’autres ne souffrent pas d’isolement ou de faim durant l’hiver.
Les fêtes semblent en effet être le meilleur moment de l’année pour tendre la main aux autres car « bien que le nombre de bénévoles ait diminué avec les dernières années de covid, on constate toujours un regain de volontaires pour les périodes de fin d’année »,
Et les initiatives ne manquent pas : collecte de fonds, réveillon solidaire, opération ciblée, collecte de dons d’aliments ou de cadeaux… Les opportunités sont multiples mais ne sont possibles que grâce aux bonnes volontés qui les animent. Pour ceux qui voudraient aider mais qui n’en auraient pas le temps, un simple don à une structure telle que la CroixRouge ou les Restos du cœur fera lui aussi toute la différence.
Qu’importe la somme, seule compte la volonté de contribuer, « tout est bon à prendre, du don de matériel lourd à l’essuie de cuisine, même si notre plus gros besoin reste pécunier parce qu’on n’est pas subsidié ». Il n’y a donc pas de petit geste et le moindre euro donné se soldera en bout de chaîne par un repas offert, un estomac repu, et une gratitude certaine.
Mais s’il est bien le nerf de la guerre, tel que l’affirme l’adage et nous le confirme Cédric, l’argent n’est pas forcément le seul moyen pour ceux qui ont des heures au lieu d’euros à offrir. Car contrairement à ce
que nous impose l’autre formule consacrée, le temps ce n’est pas de l’argent, c’est bien plus que ça, c’est mieux que ça.
« Pour nous, le temps est même encore plus important que l’argent », affirme Pascaline, administratrice chez Les Samaritains. Par exemple, pour l’opération ShoeBox, c’est surtout de bénévoles dont nous avons besoin ». Cette opération offre chaque année à des dizaines de milliers de personnes un cadeau de Noël sous forme de biens de première nécessité.
Par Yassine ImnadineOn constate toujours un regain de volontaires lors de la période de fin d’année.
— Cédric, Vice-Président chez Opération Thermos
VOTRE LEGS PEUT CHANGER L’AVENIR DE LA MÉDECINE
Faire un legs à la Fondation Saint-Luc, c’est permettre aux équipes des Cliniques universitaires Saint-Luc de poursuivre leur lutte contre les maladies et de trouver de nouveaux traitements pour les générations à venir. C’est inscrire l’espoir dans le cœur des patients.
Votre legs bénéficiera d’un taux d’imposition réduit. Pour tout renseignement, contactez Astrid Chardome, Juriste à la Fondation Saint-Luc, au 02/764.17.39 ou par e-mail à l’adresse astrid.chardome@saintluc.uclouvain.be
www.fondationsaintluc.be
Bricolages festifs à faire ensemble
À la mode depuis quelques années, les décorations DIY (« Do It Yourself ») sont plus que jamais la bonne idée pour cette fin d’année. Fini de passer des heures dans les magasins pour trouver la déco parfaite, faites la vous-même et en famille !
Pour beaucoup, Noël est la fête familiale à ne pas manquer, mais il y a souvent tellement de choses à préparer que l’on peut parfois se retrouver débordé. Entre la cuisine, la préparation de la table, le sapin et les cadeaux, il n’est pas toujours évident de trouver un moment pour s’amuser ensemble. Or, les activités ludiques font elles aussi partie de l’esprit des fêtes !
Et s’il y a bien une activité qui regroupe tout naturellement petits et grands autour de la table du salon, c’est bien le bricolage. Céline, créatrice de contenus sur le site ‘‘I do it myself’’, ne dira pas le contraire. « Bricoler, ce n’est pas uniquement réservé aux plus petits. Mon papa, qui n’est pourtant pas un amoureux du bricolage, s’est déjà amusé à créer des étoiles décoratives. C’est l’occasion d’être ensemble et de passer un bon moment. »
De l’amusement et de la détente pour les plus grands,et pour les plus petits, une manière différente d’apprendre. « Il existe deux types de bricolages », explique Madame Stéphanie, institutrice en 3ème maternelle dans la commune de Soignies. « Il y a celui pour lequel l’enfant va devoir suivre des étapes, il va donc apprendre la patience et à bien suivre les consignes.
Et puis il y a celui où on lui montre le résultat final. Il doit alors chercher, observer pour recréer ce qu’il voit. C’est davantages un exercice de créativité et de collaboration. »
Dans quel type de bricolage pouvez vous vous lancer ? Si vous aimez cuisiner, il existe de nombreuses recettes faciles pour créer des biscuits aux épices ou au beurre,
que vos enfants peuvent préparer ou simplement découper en forme de sapin, d’étoile… Si vos parents aiment se promener, demandez leur de ramasser des pommes de pins pour en faire des créations personnalisées. Céline, du site ‘‘I do it myself’’, trouve son inspiration sur Internet et dans son quotidien. « Parfois, dans les magasins, mon regard est attiré vers une décoration. Au lieu de l’acheter, j’essaie de la recréer à la maison. Par exemple, un calendrier de l’Avent pour les enfants (ou les adultes), c’est une super activité à faire ensemble. »
Le bricolage est aussi important pour l’éducation des enfants que pour l’épanouissement des adultes. « Une trentaine de minutes est suffisante pour permettre aux enfants de réaliser leur bricolage », poursuit Madame Stéphanie. « Après, pour les enfants qui n’aiment pas ce genre d’activité, n’hésitez pas à réduire le temps dédié à cette activité ou à en trouver une autre qui leur correspondra davantage. Pour les motiver, relisez-lui les étapes ou expliquez-lui la phase suivante pour titiller sa curiosité. »
Par Adeline SchmitzLes résolutions du nouvel an : objectifs réels ou bonne conscience passagère ?
Le nouvel an approche et avec lui son cortège flou de bonnes résolutions : perdre du poids, arrêter l’alcool, moins dépenser… entre ambitions réelles et traditions imposées, y sommes-nous tenus chaque année ? Et par quoi ?
« De manière générale, l’approche de la nouvelle année est synonyme de renouveau dans l’esprit de beaucoup de gens qui ont une envie de changement, d’une occasion de faire le ménage, ou juste de faire place à quelque chose de neuf. C’est une manière de laisser les regrets derrière soi, les choses qui n’ont pas marché au cours de l’année écoulée, c’est une tentative de repartir sur de meilleures bases. Le principe de créer de nouveaux objectifs aide à faire ce ménage intérieur. »
« Pour moi, c’est beaucoup dû à l’euphorie du moment, l’ambiance des grands soirs. Ce sont des grands moments qui exhortent à prendre de grandes décisions, pour changer d’habitudes et changer de vie, mais la plupart du temps ce n’est pas vraiment réfléchi. Dans ma profession, j’observe une augmentation d’à peu près 30 pourcent de ma clientèle qui débarque en début de nouvelle année avec pour résolution classique une perte de poids, une meilleure santé générale, ou de la prise de masse pour les hommes. »
« Parce que c’est la nouvelle année, et donc un nouveau départ, c’est vécu comme un moment charnière par beaucoup. Alors certes, c’est bien souvent illusoire et sans grande conséquence sur le long terme, mais que ce soit en début de semaine, de mois ou d’année, les gens aiment lier leurs prises de décisions à un moment symbolique. En réalité, on peut les prendre à tout moment, mais c’est vrai que le début d’année reste un moment privilégié pour commencer une thérapie par exemple. »
« Sans parler pour d’autres cultures et de manière très générale, ce sont les fins et les débuts de cycle qui ont une importance symbolique pour les gens. En ce sens oui, il y a certainement d’autres cultures dans le monde qui doivent y trouver également du sens, il n’y aurait rien d’étonnant à ce que l’on adopte des comportements semblables aux ‘‘bonnes résolutions’’ mais dans d’autres contextes et pour d’autres occasions que le nouvel an. »
« La tradition du 31 décembre/1er janvier en ellemême est plutôt spécifique au monde occidental, mais il s’agit aussi de quelque chose de culturel lié au lieu de vie. Au niveau de ma clientèle ici en Belgique, les gens viennent en masse à cette période de l’année mais sans réelle distinction d’origine. Donc pour ceux qui vivent en Belgique au moins, il s’agit bien d’une tradition universelle, peu importe les origines culturelles. »
« Je crois que c’est vraiment quelque-chose qui lie profondément les humains, par-delà toutes les cultures du monde. Alors évidemment, certains vont peut-être relier ça à l’apparition de la nouvelle lune ou à un autre phénomène qui leur est culturellement plus proche, mais cette idée du renouveau et de la renaissance est commune, bien que le vrai le changement soit en nous. Peu-importe le moment et la place ou le contexte de la prise de décision, l’envie de changement se trouve dans chaque être humain. »
« Cela part d’un bon sentiment et d’une volonté réelle, mais souvent les motivations s’essoufflent parce que l’objectif était trop difficile à atteindre. Personnellement, j’en ai pris par le passé que j’ai laissé tomber… Aujourd’hui je ne prends plus de résolutions en début d’année, mais seulement en cours d’année. Elles sont réfléchies en cohérence avec ma vie, mon agenda, et je ne crois pas qu’il faille un ‘‘bon’’ moment pour prendre une ‘‘bonne’’ décision, mais juste un bon état d’esprit. »
« Je dirais qu’un petit tiers seulement tiennent leurs engagements, mais la plupart de ceux qui s’inscrivent début janvier abandonnent dès février/ mars et certains ne finissent même pas le mois. Ceux qui continuent leurs efforts sont ceux qui en avaient pris une décision mûrement réfléchie et à tête reposée, bien avant les fêtes. Mais pour la plupart il s’agit juste de faire comme les autres, de suivre le groupe , comme s’il s’agissait d’un effet de mode ou de respecter une coutume. »
« Certaines résolutions ont vocation à être tenues et le seront, d’autres sont d’emblée illusoires, mais l’important c’est la posture, de s’y tenir qu’importe la difficulté. Un objectif simple de 3 kilos à perdre, par exemple, peut être atteint, mais seulement par ceux qui continueront malgré les imprévus et les contretemps. C’est la persévérance qui fait la différence, trébucher ne veut pas dire échouer. Moi aussi je prends des résolutions, mais toujours en fonction de ce que j’ai décidé, pas du moment de l’année. »
Les Petits Riens, bien plus que de la seconde main
Vous êtes fan de seconde main ? Alors vous devez forcément connaître Les Petits Riens : une entreprise d’économie sociale, circulaire et solidaire qui existe depuis maintenant 85 ans. Derrière chaque t-shirt, livre ou objet donné ou acheté à l’association, il y a un projet social et des milliers de personnes que vous aidez. En effet, le revenu généré par l’activité économique de l’association permet de financer leurs nombreuses actions sociales visant à lutter contre la pauvreté en Belgique.
Faites du shopping solidaire dans un de leurs 25 magasins de seconde main Présents à Bruxelles et en Wallonie, les boutiques des Petits Riens sont ouvertes à tou·te·s, avec autant de belles marques que de pièces à prix doux.
En rentrant dans l’un des 25 magasins de l’association, on ne remarque pas que l’on rentre dans un magasin de seconde main. La déco multiplie les clins d’œil récup’ tandis que les rayons débordent d’articles triés sur le volet. Vêtements, accessoires de mode, mobilier vintage, matériel de cuisine, livres d’occasion, créations upcycling ou déco unique, Les Petits Riens regorgent de pépites en tous genres.
Focus sur le plus grand magasin de l’association
Si vous ne deviez faire qu’une seule adresse, on vous recommande sans hésitation le magasin central des Petits Riens. Ce repère ixellois niché en plein Châtelain
est le repère des accros de la seconde main. Au total, comptez 1.500m² réparti entre plusieurs départements: textile, retro, librairie, objets déco, électronique, enfants et mobilier.
► Rue américaine 101, Ixelles
► Ouvert du lundi au samedi de 10h30 à 18h00
Un don pour la bonne cause Envie d’opérer un tri salutaire et solidaire dans votre garde-robe ou vos étagères? Il est possible de faire un don matériel aux Petits Riens.
• Déposez vos dons de textiles ou d’accessoires dans l’une des 800 bulles à vêtements de l’association (dans toute la Belgique)
• Bon à savoir : il est aussi possible de faire don de vos textiles directement dans les magasins des Petits Riens
• Déposez vos dons de livres, meubles, électronique ou objets divers dans l’un de leurs 4 points de dépôt (Ixelles, Anderlecht, Wavre, Namur)
Plus d’infos et adresses complètes sur petitsriens.be/dons-en-nature
Vos dons et vos achats ont le pouvoir de changer des vies Depuis 1937, Les Petits Riens luttent contre la pauvreté et l’exclusion sociale en Belgique.
En plus de son impact environnemental positif, l’activité économique de collecte, tri et vente de biens de seconde main des Petits Riens constitue une plateforme d’insertion socioprofessionnelle pour plus de 500 personnes chaque année.
Cerise sur le gâteau, les bénéfices générés par les magasins permettent de financer de nombreuses actions sociales, dont l’hébergement et l’accompagnement de sans-abri. Chaque année, près de 300 personnes sans logement sont ainsi hébergées au sein des 3 maisons d’accueil des Petits Riens. Chaque centre d’hébergement s’adresse à un public différent aux besoins spécifiques. Une grande maison d’accueil pour hommes sans-abri, une pour des jeunes en errance de 18 à 24 ans et la dernièrenée pour familles monoparentales en situation de détresse.
Envie de (re)joindre ce mouvement circulaire et solidaire ? Un don matériel, un achat solidaire, un don financier, chaque petit geste compte et peut faire la différence, de petits riens en petits riens…
Finissez l’année avec une touche d’originalité
Le passage à la nouvelle année se fait traditionnellement entre amis et devant un beau feu d’artifice. Mais si cette année vous avez envie d’innover et de bousculer vos habitudes, voici six idées originales pour terminer 2022 en beauté.
Un marathon de jeux de société
Depuis quelques années, les jeux de société ont à nouveau le vent en poupe. Outre les traditionnels ‘‘Cluedo’’, ‘‘Monopoly’’ et autre ‘‘Qui est-ce ?’’, une panoplie de nouveaux jeux sont disponibles dans les magasins. Jeux de cartes, de stratégies ou encore de plateaux, que vous jouiez en duo ou à 10, le plaisir sera toujours au rendez-vous. Ajoutez à cela un bon repas et vous pouvez être certains de passer le cap de 2023 dans la bonne humeur.
Un film chronométré
Imaginez célébrer la nouvelle année tandis que l’Étoile de la mort de ‘‘Star Wars’’ éclate ou que les héros de votre film romantique préféré s’embrassent pour la première fois. En calculant bien votre coup, votre soirée peut prendre une tournure fantastique pour terminer l’année d’une manière spéciale. Sur les plateformes de streaming, en DVD ou en Blu-ray, les films sont assez diversifiés pour trouver la perle qui vous ravira vous et vos invités. Par exemple : débutez 2023 avec le claquement de doigts de Thanos en regardant ‘‘Avengers : Infinity War’’ à 21h48.
Du volontariat
Aider les autres c’est bien, personne ne dira jamais le contraire. Mais aider les autres un soir de fête, c’est encore mieux. Si pour beaucoup la soirée du 31 décembre est synonyme de fête, pour d’autres, c’est un soir comme un autre, où il faut se nourrir et se réchauffer. De nombreuses associations, comme la Croix-Rouge ou les Restos du Cœurs, sont souvent débordées en hiver. Se proposer pour les aider est une très belle manière de débuter l’année.
Un karaoké
Tout le monde aime chanter. Et celui qui vous dit l’inverse pensera à cet article la prochaine fois qu’il fredonnera dans sa voiture. Organiser un karaoké dans votre salon est assez simple et ceux qui n’oseront pas pousser la chansonnette pourront toujours s’amuser en écoutant les autres chanter. En préparant une playlist variée, vous serez certain de plaire à une majorité de vos invités. Rock, pop, métal, variété française ou chanson du bout du monde, le choix ne manque pas pour passer toute la soirée un micro à la main.
Trouver un endroit insolite
Faire la fête dans un salon ou dans une salle prévue à cet effet, c’est vu et revu. Pourquoi ne pas chercher des endroits plus insolites pour célébrer l’an neuf ? En Belgique ou au-delà de nos frontières, il existe des centaines d’alternatives : grottes, châteaux, plages, réserves naturelles, parcs animaliers ou d’attractions et, même dans des igloos. Ces lieux insolites et originaux sont de plus en plus demandés par les particuliers qui souhaitent sortir des sentiers battus pour faire la fête.
Ne rien faire
Qui a dit qu’il fallait obligatoirement faire quelque chose pour fêter la nouvelle année. Fatigué(e), besoin de faire des économies ou juste envie de vous relaxer dans votre canapé en lisant un bon livre ? Profitez alors de cette soirée et de la journée du lendemain pour écouter la petite voix dans votre tête qui vous sussure de vous reposer. Passer le cap de la nouvelle année dans le calme et la sérénité de son domicile n’a rien de honteux. Vous profiterez d’autant mieux du 1er janvier sans vaisselle à faire et la tête reposée.
On fête le retour des fêtes !
De retour aux platines, au public, aux fêtes et surtout aux émotions… Après ce ‘‘break-Covid’’ qui, malgré lui, m’aura offert la magie oubliée d’un Noël en couple et le calme des fêtes en petit comité.
Cette année, la période des fêtes nous rappellera toutes les précédentes, celle du monde d’avant : sans restriction ni solitude, un retour à ce qui nous a le plus manqué pendant la pandémie : le rassemblement, la foule, les gens.
Tous réunis pour célébrer ensemble dans les cris, la joie et l’euphorie, par la réunion des corps et surtout dans la communion des cœurs, car c’est à mon sens le vrai secret d’une fête réussie : L’émotion.
C’est ce que les gens viennent chercher, consciemment ou non, plus que les décors, les lumières ou le buffet qui ne sont que contexte. Car ce dont ils se souviendront des années après, c’est ce qu’ils auront ressenti en eux, pas ce qu’il y avait autour d’eux.
C’est là toute l’essence de mon métier, de mon art et de ma vocation, faire de la fête une expérience sensorielle unique, une histoire vécue, un sentiment d’évasion, de chaleur et de partage à jamais ancré dans l’imaginaire, un feu de joie intérieur, un point de repère que chacun garde précieusement en mémoire pour s’y réchauffer aux heures froides.
Pour enflammer ce brasier d’émotions, il n’y a qu’un seul outil, aussi fédérateur qu’universel : la musique. Parce qu’elle transcende les différences autant qu’elle réduit les distances, elle est la seule science qui réunit les hommes et la magie folle qu’exalte chacun d’eux, faisant de tout musicien un créateur d’union et un producteur d’émotion.
Pour moi, une fin d’année c’est un heureux mariage entre deux émotions distinctes mais complémentaires : la douceur nostalgique de Noël qui nous rappelle au souvenir de nos âges tendres, de nos insouciances passées et l’optimisme débridé du nouvel-an, qui nous insuffle l’enthousiasme d’un avenir meilleur, pour laisser le négatif derrière nous. C’est cette union dans la joie, d’où jaillissent ces nuances de bonheur, qui féconde chaque année à venir des meilleurs vœux et des espérances les plus sincères.
Et musicalement vôtre, DJ Daddy K DJ célèbre
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