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Par Tatiana Czerepaniak Madamedebordee @Instagram
2 ÉDITO FR.FOKUS-ONLINE.BE COUNTRY MANAGER CHRISTIAN NIKUNA PEMBA CREATIVE DIRECTOR BAÏDY LY CONTENT DIRECTOR BRYONY ULYETT ÉQUIPE ÉDITORIALE ALINE CORDIER SIMONNEAU, MARIE LARDINOIS, BASTIEN CRANINX, MORGANE MIGNOLET, CÉLIA BERLEMONT, ADELINE SCHMITZ PHOTO EN COUVERTURE PIERRE OLIVIER IMPRESSION IPM GROUP SMART MEDIA AGENCY LEYSSTRAAT 27, 2000 ANVERS TEL +32 3 289 19 40 FOKUS-ONLINE.BE/FRREDACTIE@SMARTMEDIAAGENCY.BE La gamme Selfcare maintenant disponible chez votre pharmacien et revendeurs médicaux. www.hartmann.be La gamme SelfCare est facile à appliquer, de bonne qualité et vous aide à soigner efficacement une plaie Because healing is loving GRATUIT* * 1 boite à biscuits GRATUITE à l’achat de 2 produits SelfCare HARTMANN. Action valable du 22/08/2022 au 31/10/2022 ou jusqu’à épuisement du stock. LDH WCE.indd 1 7/25/2022 10:51:16 AM 4 Mieux Manger 6 Le tourisme belge se surpasse 12 Interview : Hélène Darroze 14 La maison intelligente de la famille connectée 20 Une rentrée sereine en 6 points clés 22 Chronique : Vinz Kanté BONNE LECTURE CORENTIN BORGUET PROJECT MANAGER La maternité dans toute son individualité Journaliste web, auteure, créatrice de contenus mais aussi mère et belle-mère de 4 enfants, je tente depuis 13 ans de comprendre pourquoi la maternité nous bouleverse tant…
J e me souviens très bien de ce que j’ai ressenti quand je suis devenue maman pour la première fois : j’étais à la fois heureuse, triste, perdue, complètement « in love » de ce petit être qui n’avait que quelques heures à peine, mais aussi incroyablement stressée à l’idée de ne pas être à la hauteur. Ajoutez à cela la charge mentale qui s’accumule et vous obtenez un mélange explosif de remise en question : «Suis-je une assez bonne mère ? », « Comment font les autres – à savoir les mamans parfaites des réseaux sociaux – alors que moi j’ai l’impression de galérer au quotidien ? ». Quand j’en parlais autour de moi, on me disait, le plus simplement du monde qu’avoir un enfant ce n’était vraiment QUE DU BONHEUR. Vraiment ? Moi, ce que je ressentais - outre cet amour fou - c’était de la fatigue, du stress, de la pression… Et pas UNIQUEMENT du bonheur ! Je suis alors partie à la recherche d’autres mamans qui se sentaient elles aussi écrasées par les diktats imposant aux femmes d’être conformes à ce qu’on attend d’elles : se sentir à la hauteur en tant que mère. Sur Facebook, j’ai trouvé plus de 140.000 mamans qui, comme moi, essayaient de se défaire des attentes de la société. Des femmes débordées qui vivent leur vie à mille à l’heure, des femmes au foyer, des working mums, des mamans célibataires, d’autres à la tête d’une famille recomposée… Et ces mamans d’aujourd’hui ne ressemblent en rien aux images parfaites et – trop – lisses que le monde nous renvoie de la famille et de la maternité. Avec ces femmes, j’ai compris que le plus important était de s’écouter soimême, de se faire confiance et puis de faire du mieux qu’on peut, selon notre réalité. D’aimer aussi, énormément. Découvrir cela fut si libérateur que j’en ai écrit un livre intitulé « Je suis mère… So What ?! » - dans lequel j’essaie de casser quelques codes, et de partager mes conseils de maman pour que le poids des diktats soit moins lourd à porter.
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Tatiana Czerepaniak
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2. Il est conseillé d’aller faire pipi régulièrement tout au long de la journée (environ 5 ou 6 fois par jour), en allant aux toilettes dès que le besoin s’en fait sentir, sans se retenir trop longtemps. Ne pas oublier d’aller aux toilettes avant d’aller se coucher!
1. Il faut privilégier l’apport de boissons le matin et au cours de la journée. Éviter le plus possible de boire après 18 heures. Donnez-lui à boire de l’eau principalement. Éviter les boissons gazeuses ou sucrées comme collation.
5. Vous pouvez utiliser les culottes de nuit DryNites®. Ces culottes sont ultra-absorbantes et adaptées à l’âge de l’enfant, pour lui permettre de passer une nuit sèche... En toute discrétion!
4. Si votre enfant est assez grand, il peut participer au lavage de ses vêtements mouillés, afin qu’il se sente plus responsable et maître de la situation : il peut par exemple rincer son pyjama et ses sous-vêtements avant de se changer.
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3. Si votre enfant fait pipi au lit, ne le grondez pas. Rassurez-le : faites-lui comprendre que la situation s’améliorera avec le temps.
Pensez aussi à leur servir des féculents tous les jours et à chaque repas, c’est leur carburant. »
I l est l’heure de passer à table et votre progéniture fait la moue devant le plat que vous lui avez concocté ? Rassurez-vous, ça arrive… « Comme pour les adultes, un tas de choses influencent l’appétit des enfants, et il est important de le respecter. Leurs besoins varient d’un jour à l’autre et d’un repas à un autre. Mais votre enfant ne se laissera pas mourir de faim, alors écoutez-le et apprenez-lui à s’écouter », explique Mélissa Moretti, diététiciennenutritionniste à la Clinique du Poids Junior (HUDERF). Et si vous commenciez par lui donner l’exemple ? Car pourquoi lui demander de manger des fruits, des légumes et de boire de l’eau, si vous ne le faites pas vous-même ? « Montrer l’exemple, quand on est parents, c’est la clé ! », indique Stéphanie Bolteyrs, diététicienne pédiatrique. « Comme pour les grands, l’alimentation des plus jeunes doit être variée et la moins transformée possible. Moins il y a d’additifs et de colorants, mieux c’est. » En termes de quantité, comptez cinq portions de fruits et légumes sur la journée. « Il en faut idéalement trois de légumes et deux de fruits. Une portion, c’est l’équivalent d’une pomme, d’une poignée de fraises ou de deux mandarines », précise Mélissa. »
Votre petite tête blonde n’aime pas un aliment ? Ne le laissez pas au placard, présentez-lui entre quinze et vingt fois pour qu’à un moment, il le trouve normal ou attirant… « La texture et le mode de cuisson influencent les saveurs. Vous pouvez lui servir en le préparant de manières différentes : cuit, cru, en soupe, avec du parmesan, etc. Une courgette cuite à l’eau, c’est pas très fun, mais en gratin ou avec des pâtes, ça passe beaucoup mieux. Ajoutez aussi de la couleur à son assiette pour titiller tous ses sens », conseille Stéphanie.
Faire plaisir à tout le monde, c’est possible?
FOKUS-ONLINE .BE4 MIEUX MANGER
Par Marie Lardinois
Inclure vos enfants dans la préparation des repas, c’est aussi une solution pour leur faire découvrir les aliments autrement. Emmenez-les faire les courses, allez avec eux au marché, cuisinez ensemble. « Ça va les aider à comprendre et à accepter ce qu’ils vont goûter à l’heure du repas. » En rendant l’alimentation fun, ils y prendront plus de plaisir, ce qui est tout de même un des objectifs quand on passe à table. Enfin, inutile de leur interdire un aliment s’ils le connaissent déjà. « Manger de tout, c’est aussi manger des aliments qui font plaisir, tout en gérant les portions et la fréquence », conclut Mélissa. Pour bien dormir, pensez aux féculents Pour de nombreuses raisons, mais aussi pour bien dormir sur ses deux oreilles, on peut tout à fait choisir de sauter les protéines le soir. Les protéines peuvent en effet être difficiles à digérer, particulièrement pour les jeunes enfants. Certains féculents, en revanche, favorisent un sommeil de qualité en stimulant la sérotonine et la sensation de bienêtre, mais aussi la production de mélatonine (l’hormone du sommeil).
Testez le concept avec, par exemple, un bon stoemp maison! Et les protéines végétales? Les protéines c’est aussi important que les épinards, parole de Popeye! Si on réduit sa consommation de protéines animales, ou qu’on n’en aime pas le goût, il faut néanmoins garder un maximum de nutriments dans son assiette. Pour garder un taux élevé de protéines dans un repas végétarien, on n’oubliera donc pas d’associer à ses légumes frais des céréales (les produits à base de graines comme les pâtes) ou tubercules (comme la pomme de terre) avec des légumineuses riches en protéines (les plantes comme les lentilles, les petits pois, les fèves etc.).
Qu’ils soient petits ou grands, l’alimentation de vos enfants est un élément clé de leur développement… Et comme les nourrir s’apparente parfois à un véritable casse-tête, deux diététiciennes pédiatriques vous glissent quelques conseils.
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Le marché du tourisme a connu un basculement ces dernières années, mettant davantage l’accent sur la nature. Pour JeanPhilippe Lombardi, porte-parole de la ministre wallonne du tourisme Valérie De Bue, « la crise sanitaire a accéléré la tendance, privilégiant ainsi un tourisme plus durable ». Les multiples confinements l’auront amplement prouvé : la Belgique regorge d’endroits magnifiques, family friendly et surtout, peu onéreux voire gratuits ! C’est donc tout naturellement que le tourisme belge s’est réinventé et en pleine crise économique, ça tombe à pic ! Côté wallon, suite au succès gargan tuesque du chèque de 80 euros octroyé pendant la crise sanitaire, la Région ne s’est pas arrêtée en si bon chemin et a
VOYAGEZ aux quatre coins de la province de Liège ! Parc Naturel Hautes Fagnes-Eifel Blegny-Mine Château de JehayDomaine de PalogneDomaine de WégimontLIÈGE deDomainePalogne palogne.be deDomaineWégimont fr/wegimontprovincedeliege.be/ Blegny-Mine blegnymine.be Parc EifelHautesnaturelFagnes botrange.be Château de Jehay chateaujehay.be FagnoulP.FTPL©FagnoulP.FTPL©FagnoulP.FTPL©FagnoulP.FTPL©Provincedeliege©
FOKUS-ONLINE .BE6 SORTIE DE FAMILLE
À Bruxelles, le tourisme local s’est réin venté dès les premiers mois de confine ment, grâce aux possibilités infinies de balades à faire dans la capitale. Entre la découverte des quartiers bruxellois ou les promenades axées sur l’art, l’offre est alléchante, et surtout gratuite ! Avec la volonté de continuer sur cette lancée, Visit Brussels, l’office du tourisme de la Région, met toujours en avant ces par cours sur son site, mais pas seulement ! Ainsi, le concept « Last Minute Ticket » (anciennement Arsene50) permet « aux familles nombreuses d’acheter le jour même des billets à moitié prix pour des visites guidées, des pièces de théâtre, ou encore des expositions », détaille Alison Dujardin, coordinatrice culturelle au sein d’Agenda Brussels. Pour ceux qui peuvent en profiter le temps d’un weekend, la Brussels Card constitue sans doute la solution la plus économique. Vendue à partir de 29 euros, elle donne accès à 49 musées,
lancé le Pass Visit Wallonia. Présen té sous forme d’application mobile gratuite, il propose toute l’année un ensemble de réductions sur certaines activités touristiques, ainsi qu’un pro gramme de fidélisation. Ainsi, plus vous scannez votre pass, plus vous accumulez de points vous permettant d’obtenir des promotions sur des activités ou des hé bergements de la Région. Jean-Philippe Lombardi précise : « le pass propose des activités proches de chez vous, en adéquation avec votre profil. Il permet donc de mieux orienter le touriste et de le fidéliser, ce qui contribue à la relance du secteur et à sa digitalisation ».
Le tourisme belge se surpasse
Après la crise du coronavirus, c’est la crise économique qui bat son plein dans notre plat pays. Face à l’augmentation du coût de la vie, certaines familles sont ainsi privées de vacances à l’étranger. Voyager en Belgique reste cependant une alternative abordable et pleine de bonnes surprises. Que proposent nos Régions pour concilier tourisme et petits budgets ?
offre des réductions sur les incontour nables de la ville et inclut également les transports en commun. Enfin, la Flandre n’est pas en reste grâce à son Pass Littoral qui propose des réductions et autres avantages, en partenariat avec plus de 40 attractions et musées de la Région. Outre ce pass, de nombreux musées offrent une entrée gratuite pour les jeunes de moins de 18 ans et proposent des balades théma tiques et balisées, également gratuites. Grâce à son immense offre mêlant culture et nature, la Belgique prouve, une fois de plus, que son tourisme est accessible et florissant toute l’année ! Alors, prêts à en profiter ? Par Morgane Mignolet
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« Pas grand chose ! Je suis très heureuse d’avoir les étoiles que j’ai et je prends beaucoup de plaisir à faire ces émissions de TV ! Obtenir une troisième étoile a été mon plus grand bonheur professionnel. Maintenant, mon challenge de tous les jours, ce n’est pas d’obtenir 5, 6, 7 étoiles ou de passer à la télévision et de faire de l’audimat, c’est l’épanouissement de mes collaborateurs et le bonheur de mes clients. »
Être cheffe multi-étoilée et être cheffe multi-étoilée à la TV, finale ment ça change quoi ?
À avectableHélène Hélène Darroze
FOKUS-ONLINE .BE12 INTERVIEW
Héritage familial oblige, vous sembliez destinée à devenir une cheffe de re nom. Avez-vous envisagé un autre parcours ? « En fait, la question d’être cuisinière ne s’est pas du tout posée. Quand j’ai obtenu mon baccalauréat au milieu des années 80, il était impossible d’imaginer qu’une femme, de surcroît bonne élève, fasse de la cuisine son métier. Dans ma tête comme dans celles de tout mon entourage, ces deux stéréotypes qui voulaient que les bons élèves partent faire de grandes études et que les apprentissages de cuisine soient réservés aux hommes avaient la vie dure. Après mon baccalauréat, j’ai fait une école préparatoire et des grandes écoles de commerce. Une fois diplômée, le hasard et mon amour pour le secteur de l’hôtellerie m’ont permis d’aller travailler chez Monsieur Alain Ducasse. En réalité, c’est cette rencontre qui, à 25 ans, m’a fait ouvrir les yeux sur ma passion et mon habilité à faire ce métier. »
Par Célia Berlemont Photo Nicolas Buisson À 55 ans, la cheffe multi-étoilée de 4ème génération, jurée emblématique de l’émission Top Chef et mère de deux filles Hélène Darroze n’est plus à présenter. Partons à la rencontre de celle qui sait allier douceur et magie dans chaque assiette.
Si vous étiez un ingrédient, vous seriez ? « L’œuf ! J’adore ce produit là, il y a tellement de façons de le cuisiner ! »
Et vos filles, elles en pensent quoi ? « Alors ça, c’est à elles qu’il faudrait le demander ! Comme moi, elles sont nées dans une cuisine, c’est leur quotidien. Depuis toutes petites, elles sont habituées à cet univers ainsi qu’à la proximité des clients. C’est leur vie et elles la trouvent normale.
»
« Cette attitude de chef redoutable a été juste à un moment donné. Main tenant, je pense que c’est de moins en moins le cas, voire plus du tout. C’est vrai qu’en tant que chef de cuisine et chef d’entreprise, nous avons une réelle responsabilité, celle de donner du bonheur aux gens. Deux fois par jour, cette responsabilité, ce coup de feu, n’est pas toujours simple à gérer. Pour autant, on a compris aujourd’ hui que ce stress pouvait se gérer au trement que par des cris. Dans mon équipe, beaucoup m’ont dit avoir eu besoin d’un temps d’adaptation parce qu’il fallait m’appeler Hélène et pas
« Dans notre métier, surtout quand on exerce à un niveau exigeant avec deux ou trois étoiles au guide Michelin, la rigueur est obligatoire. Mais attention, elle doit s’inscrire dans un esprit de communication, de respect et d’écoute de l’autre. La rigueur ne doit pas être injuste et entraîner le manque de respect. Au même titre, la bienveillance n’empêche pas la rigueur. Il faut trouver le juste milieu pour imposer une rigueur constructive permettant de reconnaître ses bêtises, de les réparer au plus vite et de mettre en place tout ce qu’il faut pour ne pas les reproduire.
« Tous les jeux ont un aspect cogni tif. Ils ont chacun leur particularité mais tous rassemblent des dimen sions sociales, mémorielles, straté giques et d’adaptation aux tactiques de l’autre. L’apprentissage est plus évident dans les jeux mathéma tiques ou de mémoire mais les jeux de stratégie et d’ambiance ont aussi un aspect éducatif. »
Oh oui ! Complètement par hasard, j’ai appris il y a 3 ou 4 ans qu’à mon insu, mon équipe m’appelait “maman”. Ça veut dire beaucoup. De mon côté, le terme “famille” est celui que j’emploie pour qualifier mes collaborateurs et l’équipe que nous formons. On est une grande famille et c’est dans ces valeurs et cet esprit que je m’efforce de travailler. »
»
Comment mettre en place l’apprentissage par le jeu ?
Bert De Smet General Manager Asmodee Belgium
Quelle est la recette pour qu’un jeu devienne un classique ? « Un classique est un jeu qui se joue partout. L’accessibilité des règles est primordiale, tout comme le fait de pouvoir rejouer plusieurs fois au même jeu sans s’en lasser. » Quels ont été les effets du corona virus sur l’univers des jeux de société ?
Du Royaume-Uni à la France, vos établissements (The Connaught, Le Marsan, Jòia et Villa la Coste) se complètent mais ne se ressemblent pas. Sont-ils, en quelque sorte, l’expression de vos différentes facettes ? « Quand je lance un restaurant, c’est en lui conférant une identité propre qui prend racine dans le lieu où il est inscrit. La culture autour de mes établissements et les produits locaux qui l’entourent sont des éléments qui vont les façonner et leur donner Smart Fact.
Votre inspiration se trouve-t elle pluôt dans les quartiers huppés ou au détour d’une rue populaire ?
«
«
Typiquement, dans votre frigo et placard, on trouvera toujours: des oeufs (toujours), des confitures de chez Christine Ferber, un bon beurre, des cornichons (une de mes filles en raffole), du miso, de la ventrèche (une poitrine de porc poivrée), des légumes de saison, de très bonnes pâtes (le plat plaisir de partage par excellence), une bonne huile d’olive, de la graisse de canard (je cuis tout à la graisse de canard) et du saucisson.
Au petit écran, la crainte qu’inspire un chef et son talent semblent être intrinsèquement liés. Dans la vraie vie, c’est plutôt un portrait réaliste ou un mythe ?
une personnalité à part. Après, ils répondent tous aux mêmes valeurs d’authenticité, de générosité, de créativité et de durabilité. »
Je suis inspirée par tout ce que je vis. Quand je voyage, par exemple, je vais plus souvent manger de la street food que dans des grands restaurants. Dans mon enfance, en famille, on mangeait une cuisine de paysans. Au final ma cuisine à moi est aussi inspirée par cela. Alors bien sûr, ces saveurs sont adaptées à ma clientèle, mais les sources d’inspiration sont sans limites. Mon plat signature est inspiré d’un boui-boui découvert en Inde, il mélange les épices Taandori avec tous les parfums de l’Inde. »
chef et ne pas hésiter à me solliciter ou venir me parler. Je n’ai pas besoin qu’on m’appelle “chef” pour me faire respecter et imposer de la rigueur. Mon prénom c’est Hélène et je pense que de plus en de chefs s’inscrivent dans cette même manière de gérer leurs équipes. »
« Le niveau moyen des joueurs a augmenté puisque les foyers avaient plus de temps à consa crer à la compréhension de règles complexes. Le confinement a aussi donné l’opportunité aux familles de jouer davantage, ce qui a provoqué une hausse des ventes de 16% entre 2019 et 2020 et de 5% entre 2020 et 2021.
»
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Pas de brigade et d’esprit militaire dans votre cuisine. Les valeurs familiales sont-elles le vrai moteur d’une équipe performante ?
Au travail et à la maison, la meilleure qualité s’il ne peut en rester qu’une : rigueur ou bienveillance ?
DOMOTIQUELa
La domotique améliore le confort tout en réduisant les factures. — AG Residential
maison intelligente de la famille connectée
L e foyer reste un lieu refuge, celui où les enfants apprennent le vivre ensemble. Les familles aiment s’y retrouver dans un environnement confortable et sécurisé. La domotique est l’un des éléments qui répond à ces besoins. Si son développement n’est pas récent, les évolutions récentes lui ont permis de se perfectionner et de se démocratiser, posant les bases d’un usage « intelligent » tout en étant source d’économies.
Les habitations sont de plus en plus « connectées » et « intelligentes ». Au-delà des progrès promis par la technologie, comment gagner en confort et en sécurité tout en optimisant sa consommation d’énergie ? Zoom sur la domotique.
Comment la domotique peutelle permettre de réaliser des économies ? « La domotique est capable de débrancher ou de mettre en veille la totalité des appareils liés à l’éclairage et au chauffage d’un logement si ceux-ci sont efficacement programmés. Au-delà de la gestion économique, certains dispositifs permettent d’améliorer le confort en contrôlant, par exemple, le niveau de chaleur de l’habitation en descendant les pare-soleils dès l’apparition des premiers rayons. », poursuit Filip Deprez. La domotique a également un rôle à jouer dans la sécurisation des logements (ouverture des serrures avec son smartphone, simulation de Commentprésence...).utiliser au mieux ces objets pour réaliser des économies d’énergie ? « Avant de penser aux objets connectés, il faut d’abord comprendre les enjeux de consommation d’énergie dans sa maison. Cela permet d’identifier sur quels postes on peut agir (isolation, gestion du chauffage, gros électroménager, appareils électroniques, etc.) pour réaliser des économies d’énergie », explique Jonas Moerman, conseiller énergie et climat pour écoconso, une association d’information et de sensibilisation à la consommation responsable.
« La domotique et les objets connectés posent des questions en termes d’obsolescence. Ils peuvent être utiles pour réaliser des économies d’énergie, à condition de bien les utiliser pour ne pas en faire des gadgets », ajoute Jonas Moerman. Au fond, quelle est l’utilité d’un objet « connecté » ? Bien souvent, ce n’est pas la commande à distance qui est intéressante, mais le fait de pouvoir utiliser l’objet de manière intelligente. »
Par Aline Cordier Simonneau
Les objets connectés et la domotique permettent de gagner en confort, mais l’un de leurs principaux attraits pour les ménages est de pouvoir optimiser la consommation d’énergie grâce à un pilotage « intelligent » des différents dispositifs. « La domotique permet, entre autres, de réduire certaines consommations au sein du logement, en optimisant l’utilisation des techniques liées aux sources d’énergie. Elle améliore également le confort des occupants tout en réduisant leurs factures », explique Filip Deprez, co-responsable du développement chez AG Real Estate pour la partie résidentielle.
FOKUS-ONLINE .BE14 TENDANCE
LESOUPAUWELSSAUCESQUOI? CE SOIR ... BONTOUJOURSC’ESTVOTRERETROUVEZMAGASIN Scannez le code QR.
secteurdanscarrièreuned’avenirl’ITouleinfirmier
Tout le monde a encore en mémoire la lutte insen sée qu’a menée le corps infirmier durant la récente pandémie. La situation a révélé le malaise que le secteur vivait depuis de nombreuses années. Pour Adrien Dufour, président de la Fédération Na tionale des Infirmiers de Belgique, “il n’y a pas de secret, le métier a besoin d’un réel coup de pouce”. L’une des premières choses à faire serait donc de revaloriser le métier. “Il faut donner une image de la profession positive aux enfants dès le secondaire pour faire naître des vocations”. Mais qui dit image positive, dit également qu’une amélioration des conditions de travail y est attendue de pied ferme.
Pour un jeune adulte en quête de sens, ce métier peut néanmoins apporter une réelle satisfaction, même si les salaires sont bas et que les horaires ne sont pas faciles.
Par Bastien Craninx Il faut donner une image de la profession positive aux enfants dès le secondaire pour faire naître des vocations.
Choisir
Guider les futurs adultes sur des choix de carrière n’est pas chose facile pour les parents, mais le monde du travail en Belgique en 2022 regorge encore d’opportunités selon les dernières études. Deux secteurs sont toujours en recherche de candidats : le secteur infirmier et celui de l’IT.
— Adrien Dufour, président de la Fédération Nationale des Infirmiers de Belgique
FOKUS-ONLINE .BE16 ORIENTATION PROFESSIONNELLE
Dans le secteur de l’IT, si la pénurie de profils se fait également sentir, elle ne souffre pas de conditions de travail aussi difficiles. “C’est un secteur au sein duquel la majorité des gens se plaisent énormément”, explique Manuel Pallage, CEO de la société NSI. Le taux de turnovers y est d’ailleurs relativement faible”. Le problème dans ce secteur réside plutôt dans une pénurie de ressources directement opérationnelles. La plupart des entreprises s’arrachent donc les quelques candidats disponibles sur le marché de l’emploi à coup d’offres salariales mirobolantes. Pour le patron de NSI, la solution pour les entreprises serait surtout d’investir dans la formation. “Il faut former les jeunes qui viennent de terminer leurs études, leur offrir une spécialisation et les rendre opérationnels au sein même des entreprises”. Les parents ne doivent pas être en reste non plus : “il faut également former les quinquagénaires (qui en ont besoin) aux nouvelles technologies”. Cela ne prendrait que 4 à 6 mois, mais le bénéfice serait au rendez-vous. Cette façon de faire permettrait aux apprenants de se sentir valorisés tout en assimilant la culture de l’entreprise qu’ils rejoignent de la meilleure des manières.
Manuel Pallage estime enfin que c’est l’adéqua tion humaine avec l’employeur et la variété des missions qu’il propose qui détermine le potentiel d’une nouvelle relation de travail. “L’employeur devra également maintenir une culture familiale au sein de laquelle on travaille dur, mais qui laisse aussi de la place à l’amusement.” Voilà donc un bon point de départ pour chercher un emploi à n’importe quel âge.
F ace aux nombreux chamboulements qu’a connu le monde récemment, on aurait pu croire que le nombre de turnover et de démissions aurait augmenté ces dernières années. Et pourtant, il n’en est rien. Seuls 8,1% de tous les contrats ont été résiliés volontairement ou involontairement en 2021, soit une baisse de 16% par rapport à l’année 2020. Le niveau de rotation est, lui, historiquement bas et en baisse pour la première fois depuis 10 ans dans la majorité des secteurs*. Le monde de l’emploi se porte donc relativement bien en Belgique. Malheureusement, il existe toujours des exceptions. Et c’est surtout le secteur médical et celui de l’IT qui connaissent les plus grosses difficultés.
8 sept. 2022 (14h-16h) Le Forem aide vos enfants à trouver du travail
2. Mon fils ne sait pas comment postuler. Le Forem peut-il l’aider ? Nous dispensons des ateliers collectifs sur différents thèmes pour sa recherche d’emploi. Cela se fait en groupe restreint de 10 candidats au maximum. Nous abordons notamment la création de CV vidéos ou encore la manière de se servir adéquatement des réseaux sociaux. Tous ces ateliers sont compilés sous l’onglet “Agenda” de notre site jeunes.leforem. be. Votre fils est également accompagné tout au long de sa recherche par un conseiller (en présentiel ou en ligne). Nous proposons un tout nouvel accompagnement reposant sur un parcours personnalisé, d’orientation, de coaching et de conseils.
L’une des inquiétudes des parents est certainement l’idée que leur enfant ne puisse pas trouver un travail stable et durable. Heureusement, en Wallonie, ils peuvent compter sur des initiatives encadrantes comme celles réalisées par le Forem. Petit tour d’horizon des questions fréquemment posées par des parents concernés.
3. Mon fils aimerait se former à un métier mais il ne sait toujours pas dans quel secteur. Comment le Forem peut-il l’orienter ? L’idéal pour lui est de nous rendre visite dans un de nos bureaux. Nous analyserons les possibilités en fonction de ses souhaits et de ses priorités. Nous proposons des offres de formations pour des tas de métiers au sein du Forem, mais nous pouvons également l’orienter vers un de nos partenaires. À savoir que les formations que nous proposons sont différentes de celles du système scolaire classique : elles sont réalisées en petit groupe, axées sur la pratique professionnelle et même parfois pratiquées en alternance (en centre de formation et directement en entreprise). De plus, toutes ces formations sont liées au besoin du marché. Elles offrent donc une certaine garantie de trouver un travail par la suite.
Catherine Dejaeger Conseillère en emploirechercheForem Toutes les infos se trouvent sur notre site jeunes.leforem.be
1. Ma fille termine ses études. Que doit-elle réaliser comme premières démarches pour trouver un emploi ? La première démarche est de s’inscrire au Forem comme chercheuse d’emploi. Il n’est d’ailleurs plus nécessaire de se déplacer. Nous faisons beaucoup de choses en ligne. Elle pourra encoder toutes ses informations personnelles dans l’outil « Mon Profil » : c’est un outil de matching qui met en relation les profils publiés par les candidats et les employeurs. En créant son profil, elle aura l’occasion d’être repérée par des employeurs si elle correspond à leurs attentes.
Portes ouvertes
E Q02 613 19 70 • issig@galilee.be • rue Royale 336, 1030 Bruxelles www.issig.be Un parcours riche en apprentissages pour une profession d’avenir Un centre de simulation de 500m2 pour développer tes compétences Une pédagogie active au cœur de la formation La rencontre de nombreux patients-partenaires SoinsISSIGinfirmiers Bachelier (4 ans) • Spécialisations • Master (MSI Brussels)
L’ampleur du budget familial peut constituer une surprise pour les jeunes parents. Pour s’y préparer, il faut prendre en compte le budget de l’enfant de sa naissance jusqu’à sa majorité. Des frais, il y en a, mais il y a également de nombreuses façons d’épargner.
« Les enfants ne font pas ce qu’on leur dit, mais ce qu’on leur montre. Dès tout petit, il faut leur montrer la différence entre leurs besoins et leurs envies. Vous pouvez, par exemple, expliquer à votre enfant, lorsqu’il fait sa liste de cadeaux pour son anniversaire, qu’il aura soit plein de petits cadeaux ou un plus gros, pour qu’ils comprennent la valeur de l’argent. Une fois adolescents, ils comprendront ainsi le principe d’économiser pour pouvoir se faire plaisir avec un achat dont ils auront vraiment envie. »
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« La majorité des familles essaient d’épargner, mais 23 % n’y parviennent pas. Un enfant sur cinq vit dans la pauvreté en Belgique et les allocations familiales sont un véritable plus financier dédié aux enfants. Nous informons les familles des possibilités offertes par les comptes épargne, par exemple. Au quotidien, il est possible d’économiser en faisant des trajets à pied ou en comparant les produits. Les Belges sont plutôt fidèles aux marques, mais parfois, il est bon d’y regarder à 2 fois. »
Que conseillez-vous de faire avant la naissance de l’enfant ?
« Encore une fois, établir un budget est un départ indispensable. On ne peut pas gérer son argent si on ne connaît pas ses dépenses. Ensuite, pour limiter les frais et épargner au cours des premières années, vous pouvez opter pour des couches et des lingettes réu tilisables, allaiter votre bébé, faire des repas maison, acheter (et vendre) en seconde-main, pour vous mais aussi pour vos petits. Les enfants grandissent vite et le seconde-main s’est vraiment bien développé ces dernières années. Quel que soit le budget, il ne faut pas oublier de garder de l’argent pour les plaisirs. »
Avec mon mari, nous avons très peu investi dans du matériel neuf. Un enfant a besoin de très peu de choses, même si la société tente de nous faire croire le contraire. La vérité, c’est qu’un enfant boit du lait maternel et a besoin de couches propres. Tout le reste, nous l’avons acheté en seconde main. Du lit jusqu’aux pyjamas, c’est la méthode que nous avons préféré utiliser. Les enfants grandissent tellement vite qu’ils portent leurs vêtements très peu de temps. Ensuite, nous avons acheté en fonction de ce dont nous avions besoin. »
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FOKUS-ONLINE .BE18 PANEL D’EXPERTS •
« Nous avons ouvert un compte bancaire spécialement pour les enfants, et leurs grands-parents ont fait de même. Nous avons décidé de mettre cet argent de côté afin que nos enfants puissent, quand ils auront 18 ans, démarrer leur vie d’adulte avec une certaine somme, qu’ils pourront utiliser pour passer leur permis, par exemple. Et puis nous avons également un compte commun, toujours pour les enfants, qui est alimenté par les allocations et autres. A leur majorité, on divisera la somme en deux et ils pourront en profiter comme ils le voudront. » « Mes enfants ont trois et quatre ans, donc ils n’ont pas encore de notion sur l’argent. Ce qu’on essaie déjà de faire pour les préparer, c’est de comparer le prix de nos objets avec les leurs. L’agrafeuse de maman vaut autant que ton livre musical. C’est déjà leur faire comprendre la valeur des choses. Je compte vraiment commencer à leur parler « argent » dans quelques années. Pour l’instant, je leur inculque la valeur du travail par le biais des comparaisons et de jeux. »
«
En tant que caisse d’allocations familiales, notre premier conseil aux parents est de demander leur prime de naissance. 20 % des familles la demandent tardivement, alors qu’elle peut être payée deux mois avant la naissance. Elle est importante, car ce n’est qu’après sa demande que le dossier pour les allocations familiales est mis en route. Parentia a également élaboré un guide qui parle des coûts liés à une grossesse. Nous y énumérons les frais à prévoir, les démarches administratives à mener, ainsi que le choix d’une crèche. »
« Chaque enfant est un adulte en devenir, donc il est important de lui apprendre dès l’âge de 4 ou 5 ans à gérer un budget. Quand on l’emmène faire les courses, par exemple. Jusqu’à 8 ans, cette notion est plutôt abstraite, surtout avec le numérique, mais les parents peuvent lui apporter les bases avec des jeux du quotidien ou grâce à l’argent de poche. Apprendre à l’enfant à le déposer dans une tirelire, de préférence transparente, lui permet de voir évoluer la quantité de pièces qui augmente ou diminue selon ses achats. »
Que conseillez-vous de faire quotidiennement afin d’épargner pour l’enfant ?
Comment préparer l’adolescent à sa future vie d’adulte ?
Laurence Pennie Parental Expert Parentia Marie Van Bleyenberghe Créatrice de contenu Marie Gourmandise Marianne Grosjean Coach budget Moncoachbudget.be
Tout événement impose un budget : connaître la réalité financière du couple est très important. Il faut s’assurer que l’arrivée de l’enfant ne provoque pas une perte trop importante des revenus si la ma man doit s’écarter de son emploi pendant un temps.
Par Adeline Schmitz
Les familles devront s’assurer qu’elles pourront accueillir leur enfant dans de bonnes conditions, ce qui peut générer des coûts, et il y a également la garde de l’enfant, qui s’anticipe financièrement elle aussi. Ce sont de petites choses qui doivent être réfléchies avant même que la grossesse ne débute.
EnvisagezBUDGET le budget familial avec sérénité
Pourtant, stimuler l’esprit d’entreprise est crucial pour notre société comme pour notre économie, affirme David Taquin. « En assurant vos propres moyens de subsistance, vous augmentez votre indé pendance économique et sociale et vous contribuez ainsi à une société plus juste et plus inclusive. Le reste de la société en profite également : une entreprise qui se développe et prospère embauche et paie des impôts et des cotisations sociales. C’est bénéfique pour tout le monde. »
Consultez le détail des conditions et des montants (indexés) sur notre site www.famiwal.be microStart est la plus grande institution de microfinance en Belgique. Elle accompagne et octroie des microcrédits aux entrepreneurs qui n’ont pas accès à un financement via le secteur bancaire traditionnel. Créée en 2011, microStart est une initiative de l’Adie, pionnière de la microfinance européenne, de BNP Paribas Fortis et du Fonds européen d’investissement. L’organisation a déjà accordé près de 6.000 microcrédits professionnels grâce auxquels plus de 50 millions d’euros ont été investis dans l’économie.
Certains suppléments en fonction des revenus : (supplément social, famille nombreuse ou monoparentale, malade de longue durée dans le ménage, etc.)
Certains suppléments liés aux particulièressituations: (enfant atteint d’un handicap ou d’une affection, enfant orphelin, etc.)
#FOKUSMAFAMILLE MICROSTART • BRAND REPORT 19 Suivez-nous sur les réseaux sociaux Comment se calculent les allocations familiales ? Mon arrivée... B��j��� M�m��, B��j��� P�p� ! D’i�� ���l��e� m�i� �� p��n��r�� �� b�u� �� m�� ���. S����-v�u� �� � �u�� v�u� ���� �r�i� p��� �e� ��loca�i�n� f����i��e� ?... Une question, une incertitude, un problème pour votre dossier d’allocations familiales ? Contactez le 0800 13 008 ou envoyez un mail à info@famiwal.be Mon parcours (scolaire)... M�i� �� �� �es��r�� pa� �� ���� t�u�� m� ���… E� �è� �� �������� m�i� �� m� n�i�s�n��, v�u� �e����� �’�fi�� �e� ��loca�i�n� f����i��e�, ��r� �� 8 �� �ha��� m�i�. Jus��’� �e� 18 �n�, �� ��r����n� ��r� �ut�ma�i���, s�n� c�n�i�i�n�. En��i��, �e� ��loca�i�n� f����i��e� p���r�n� �’ê��� ��r��e� �us��’� 25 �n�, �� f�nc�i�� �� m� �i�ua�i�� (é�u�e�, sta�� �’�n���i�� ���es�i�������, f��ma�i�� �� �l���n�n��, et�.). Le bon choix ! Ps��… A�j��r�’���, �ha��� f������ �h�i�i� ����-���� s� c�i�� �’��loca�i�n� f����i��e�. C’es� d�n� v�u� ��� ����� f���� �� �h��� �� ��u� a�é�ua� p��� �’a�c��pa���� ��r�n� t�u� m�� p�rc��r�. Op��� p��� ��� é����� �� ���es�i����l�, ��� � � c��� �� ����� m�� dos���� �� m������ ��rs��n��i��� e� �� ��n�n� c��p�� �� �e� ��é��fi�i�é� ��� ��� �� �eç���� �� m�nt�n� �u���� �’�� �r�i�. 0800 13 info@famiwal.be008Tout savoir sur www.famiwal.be À propos de FAMIWAL... La caisse publique wallonne d’allocations familiales est à votre service partout en Wallonie (6 bureaux régionaux et 5 permanences dans les Espaces Wallonie). Elle gère déjà 37 % de la totalité des allocations familiales en Wallonie. Elle est un service public, au service du public. Toute l’équipe FAMIWAL met en avant l’Innovation, le Dynamisme, l’Engagement, l’Expertise et la Solidarité Votre enfant est unique pour vous. Pour FAMIWAL, aussi !
Sans compter que le problème est encore plus aigu pour les femmes issues des classes sociales inférieures. « La plupart des personnes avec lesquelles nous travaillons sont des entrepreneurs qui ne parviennent pas à trouver un finance ment auprès des banques classiques. Parmi eux, la proportion de personnes titulaires d’un master, par exemple, est de toute façon assez faible et si vous êtes un migrant originaire d’un pays non européen, cela constitue un obstacle supplémentaire. 65 % des personnes que nous soutenons sont nées en dehors de l’UE et 70 % ne disposent d’aucun diplôme de l’enseignement supérieur. »
Prime de naissance (même montant pour chaque bébé) Allocations familiales de base (dès deux mois après la naissance) Supplément d’âge annuel (ou prime scolaire, au moment de la rentrée)
Féminisons les conseils de direction
Plus encore que les hommes, les femmes se heurtent à divers obstacles lorsqu’elles veulent créer une entreprise, notamment lorsqu’il s’agit d’en assurer le financement. À quoi ce phénomène est-il dû ? Et comment mieux encourager l’entrepreneuriat féminin ?
E n Belgique, les femmes représentent encore une minorité absolue dans le paysage de l’entrepreneuriat. Dans notre pays, à peine un chef d’entreprise sur trois est une femme. L’ASBL microStart, qui encourage l’esprit d’entreprise sur notre territoire par le biais du microcrédit, ne connaît que trop bien le problème. « Je pense qu’il y a encore beaucoup de préjugés tenaces qui circulent dans notre société, déclare David Taquin, Chief Development Officer. Il y a cinquante ans, l’homme travaillait et la femme s’occupait de la famille. Ce schéma de pensée traditionnel reste courant et cela se reflète notamment au niveau des salaires. Pour un même travail, les femmes demeurent généralement moins payées que leurs collègues masculins. » Bien qu’il s’agisse d’un problème persis tant, il existe peu de données concrètes s’y rapportant. « Pratiquement toutes les parties prenantes concernées s’accordent à dire qu’il existe des préjugés in conscients dans la manière de traiter les hommes et les femmes ; mais dans les faits, c’est très difficile à prouver, explique David Taquin ; pour améliorer l’accès au financement, c’est la société tout entière qui va devoir changer d’état d’esprit, collectivement et en profondeur. »
Pour illustrer à quel point les préju gés envers les femmes qui créent leur entreprise sont absurdes, David Taquin avance des chiffres. « Les femmes se préparent mieux que les hommes, elles affichent un taux de faillite plus faible et remboursent leurs prêts plus rapidement. Après deux ans et demi, 70 pour cent des entreprises qu’elles créent existent toujours. »
S’informer et s’entourer Des réunions d’information ont souvent lieu en fin et en tout début d’année scolaire.
Profiter du jour J Pour éviter que le jour de la rentrée soit synonyme de rush, prévoyez un maximum de choses la veille : vêtements, cartable, petit-déjeuner. Inutile de rajouter du stress supplémentaire en courant partout. L’objec tif est de profiter au mieux de cette journée marquante. Si la rentrée occasionne un peu de stress chez certains enfants, elle reste pour beaucoup un moment joyeux, avec des retrouvailles et des découvertes : nouvelle classe (et même nouvel établissement pour certains enfants), nouveaux professeurs, nou velles activités, et souvent, nouveaux copains.
Une rentrée sereine en 6 points clés
Autre option pour faire des économies : acheter des vêtements sur des sites de seconde main. Reprendre un rythme de sommeil habituel Si vous avez laissé vos enfants profiter des longues soirées d’été et les avez autorisés à se coucher plus tard qu’habituellement, il vous faudra alors quelques jours pour leur faire retrouver leur rythme de sommeil habituel. N’attendez pas le dernier moment avant la rentrée pour reprendre ce rythme.
FOKUS-ONLINE .BE20 SMART LIST • ORGANISATION
La rentrée est souvent une étape financièrement douloureuse pour les familles.
Pensez également à imprimer les différents justificatifs ou documents qui pourraient vous être demandés : justificatif de domicile, certificat médical, attestation d’assurance scolaire, photos d’identité, justificatif de mutuelle santé, etc.
Par Aline Cordier Simonneau
Dès maintenant, commencez à renouer avec les horaires de coucher et de réveil d’une semaine « classique ». Allez-y progressivement pour que la transition se fasse en douceur et sans fatigue.
Anticiper et optimiser les dépenses
Entre les nouveaux vêtements, les fournitures scolaires et les inscriptions aux activités, les dépenses peuvent vite grimper. La solution ? Essayer d’étaler les dépenses sur plusieurs mois (anticiper l’achat des fournitures scolaires avant le départ en vacances, par exemple) pour mieux supporter leur coût. Certains parents effectuent leurs achats de fournitures via des sites d’achats groupés.
Rassurer vos enfants si nécessaire Votre enfant est tracassé par une question durant ses vacances ? Il appréhende son changement de classe ou d’établissement ?
Préparer la rentrée de ses enfants n’a rien d’insurmontable… à condition d’anticiper en réglant progressivement chaque point essentiel. Cela évite d’avoir à courir dans tous les sens à mesure que la rentrée approche. Objectif : permettre à vos enfants de vivre sereinement ce moment important.
Les enfants ont souvent besoin d’être rassurés. Prenez le temps de répondre à ses demandes pour le tranquilliser. S’il s’agit de sa première rentrée, expliquez-lui comment se déroulent les journées à l’école et les différentes activités qui vont lui être proposées. Pour aborder le sujet avec des enfants un peu plus grands, vous pouvez évoquer vos propres anecdotes et raconter à vos enfants vos meilleurs souvenirs.
Assistez-y si vous le pouvez et n’hésitez pas à poser vos questions sur le déroulé des enseignements, le règlement intérieur de l’établissement, les fournitures à acheter, les horaires, le volume de devoirs à faire, les frais, les sorties et voyages scolaires, etc. Vous pouvez également contacter des associations de parents d’élèves pour vous impliquer davantage dans la scolarité de votre enfant ou échanger avec d’autres parents.
Régler les formalités administratives Êtes-vous certain.e d’avoir bien complété et renvoyé les différents documents nécessaires à la rentrée de vos enfants ? La liste est parfois longue : formulaire d’inscription dans l’établissement scolaire et à la cantine le cas échéant, carte de transport, inscription aux activités sportives ou culturelles, etc.
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Bref, Nivelles est une destination idéale alliant la culture, l’histoire, le sport … sans oublier son côté gastronomique que nous vous laissons découvrir ainsi que plein d’autres petits secrets aclots…
Être un ado en 2022
Par Vinz Kanté, dj et influenceur Être aujourd’hui,adolescentc’estsavoirquesonfuturdépendradechangementsmajeurs.
Jean-Pierre Lennaertz, Administrateur-délégué OFFICE DU TOURISME DE NIVELLES
• WWW.TOURISME-NIVELLES.BE
Les ados de 2022 demandent la même chose que leurs prédécesseurs : être écoutés et compris. Leurs expressions ? N’essayez pas de les reprendre pour vous donner un genre. Les réseaux sociaux ? Intéressez-vous y, Facebook n’a plus le monopole. Pas besoin de forcer, cela vous rendra ringard et les désintéressera, soyez juste présents. Nous sommes moins différents que ce qu’il peut paraître.
L’adolescence. Passage obligé pour tous les futurs adultes. Redoutée sur le moment et, parfois, objet de mélancolies lorsqu’elle se termine. C’est la période des grands changements, il faut dire au revoir à l’enfance et accueillir l’adulte que l’on devient, mais que l’on n’est pas encore tout à fait. Entrer dans l’adolescence, c’est entrer dans la vie, la vraie. Faite de ces incertitudes, de ces doutes qui ne nous quittent jamais vraiment. Mais aussi des instants de bonheur ultime, que l’on chérit plus tard. Aujourd’hui, être un adolescent, c’est être submergé d’informations, qu’elles servent à se divertir ou à s’informer. C’est être au cœur des débats qu’ils soient écologiques, sociétaux ou économiques. Être adoles cent aujourd’hui, c’est savoir que son futur dépendra de changements majeurs. Aborder l’adolescence en 2022 doit se faire de manière intelligente. Notre monde change, de plus en plus vite. Nos jeunes en ont bien plus conscience que nous à leur âge. En tant que parents, cette nouvelle génération d’adolescents, la Gen’Z, née entre 1997 et 2010, qui succède aux Millenials, peut faire peur. C’est la première génération a être née avec un téléphone portable à la main, les réseaux sociaux et l’information en continu. C’est aussi la première génération qui prend pleinement conscience, à un âge aussi précoce, de ce qui l’entoure. Le changement climatique, les conflits internationaux, les problèmes sociaux et économiques, ils connaissent. Nous avons donc affaire à une génération qui possède tous les outils pour s’exprimer, mais pour qui la communication reste compliquée.
Vinz Kanté
FOKUS-ONLINE .BE22 CHRONIQUE
L’adolescence n’est pas un moment facile, ni pour le jeune, ni pour ses parents. Comment vivre cette période de changements physiques et psychiques ? C’est une question compliquée, dont la réponse varie d’un adolescent à l’autre.
À moins de 25 km de Bruxelles se niche Nivelles, magnifique cité millénaire du Brabant wallon dont l’histoire est intimement liée à celle de sa collégiale : la collégiale Sainte-Gertrude. Erigé au 7ème siècle, cet édifice est l’une des plus grandes et des plus anciennes églises romanes d’Europe. Elle fut consacrée en 1046 en présence de l’empereur germanique Henri III. La ville se targue de posséder un tel joyau culturel aux abords d’un quartier historique au charme indéniable qui raconte son passé au fil des méandres de ses ruelles. Il n’en reste pas moins que le cœur de la ville bat aussi au rythme soutenu par les nombreuses activités ludiques et sportives organisées par les différentes associations et divers organismes de la ville, et ce pour les jeunes de tous âges fréquentant la ville. Le parc de la Dodaine, à quelques centaines de mètres du centre, permet en effet à chacun de s’éclater dans un cadre enchanteur. Plaine de jeux pour les petits, balades pour les romantiques, mini-golf pour les amateurs, piscine pour les moins frileux, athlétisme, tennis, hockey pour les plus sportifs… le tout bénéficiant d’une infrastructure et de clubs à la hauteur des performances et des espérances de chacun.
ON VOUS LE DÉPOSE À L’ÉCOLE ? ABONNEZ-LE SUR LETEC.BE UN A D O À LA MAISON ?
