En Garde!
la revue régimentaire
CENTRAIDE.
COURS DE QMB LA RÉSERVE DE
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L’ARMÉE
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SOUVENONS-NOUS
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L A RE VUE RÉGIMENTAIRE DES FUSILIERS DU ST-L AURENT
MARS 2018
CENTRAIDE Le Régiment a remis un chèque au montant de 710 $ à madame Ève Lavoie, directrice générale de Centraide Bas St-Laurent, le mardi 30 janvier 2018. Le montant remis à Centraide Bas St-Laurent a pu être amassé grâce à la participation des réservistes à diverses activités qui ont permis de récolter des dons et sous forme de contribution volontaire. Parmi tous les membres du Régiment qui ont participé à cette collecte de dons, les réservistes de la Garnison de Rivière-du-Loup se sont démarqués en amassant une somme de 395 $ en contribution volontaire. Encore une fois, nos réservistes du Régiment ont démontré qu’ils sont des soldats impliqués dans leur communauté.
De gauche à droite : major Louis-Philippe Tardif, sergent Sylvain Dionne, madame Ève Lavoie, caporal-chef Kevin Morency, sergent François Paradis, caporal-chef Michaël Ouellet, caporal-chef Nicolas Raymond, caporal-chef Jean-Frédérick Durette, caporal-chef Alexandre Gagné, caporal-chef Yoan Morin-Denis, capitaine Yves Roy, adjudant Pascal Turcotte, sergent Christian Gauthier, caporal Jonathan Dupuis, madame Sophie Desrochers.
ERRATUM À la page 14 de la revue du mois de février 2018, il s’est glissé une erreur. La photo de l’élof Philip Vallée devrait être celle-ci.
L’élève-officier Philip Vallée originaire de Sainte-des-Monts et étudiant au Cégep de Rimouski signant son formulaire d’enrôlement.
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Photos : Adjum (ret) Jacques Guay
COURS DE QMB Lors de la fin de semaine du16 février dernier débutait le cours de qualification de base (QMB) 17052. Les stagiaires complèteront leur cours en juin, avant de poursuivre leur formation avec le cours de métier qui se tiendra à Valcartier.
Nous apercevons sur la rangée avant : les soldats (recrues) Steeve Ross, Simon-Olivier Vignola, Anthony Rousseau, Véronique Desrochers, l’élève-officier Philip Vallée, Jérémy Deschênes et Maxim Béland. Rang arrière : Marc-Antoine Thériault, Dominic Jalbert-Bossé, Edward Harrisson, Laury Pelletier, Francis Bouchard, Laurie Boulanger et William Gagnon.
Les stagiaires en formation pour un cours d’exercice élémentaire sous la supervision du sergent Mathieu Fraser. Photos : Adjum (ret) Jacques Guay
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LA RÉSERVE DE L’ARMÉE
Les jeunes Canadiens peuvent toucher un bon salaire ET acquérir des compétences précieuses dans la Réserve de l’Armée canadienne. Nous embauchons et les personnes qualifiées peuvent compter sur des emplois d’été à temps plein bien rémunérés. Pendant le reste de l’année, ils travaillent ou ils étudient, une soirée par semaine ou une fin de semaine par mois. C’est tout ce qu’on demande. C’est peu de temps, mais les réservistes font tout de même une grande différence en servant le Canada et les Canadiens. Si vous connaissez des personnes intelligentes et compétentes à la recherche d’une excellente occasion, partagez cette publication! En savoir plus : canada.ca/armee-emplois-ete
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Source : Armée canadienne
LA RÉSERVE DE L’ARMÉE La Réserve de l’Armée offre un nouveau programme d’emploi d’été à temps plein
Par Krysthle Poitras et Steven Fouchard, Affaires publiques de l’Armée
Ottawa (Ontario) — La Réserve de l’Armée canadienne (Rés AC) est déjà connue pour offrir aux jeunes une précieuse expérience de travail et un emploi stable, mais elle va plus loin. L’année 2018 marquera le début d’un programme d’emploi d’été à temps plein (EETP) dans la Rés AC, grâce auquel on garantira aux nouvelles recrues un emploi d’été à temps plein pour leurs quatre premières années de service. Le caporal Andrew Noël, du 41e Bataillon des services en Alberta, confirme les responsabilités de la sentinelle avec le soldat Myra Koval, aussi du 41e Bataillon des services, pendant l’exercice WILD MUSTANG tenu au Camp Worthington, à l’ouest de Caroline (Alberta), le 22 avril 2017. Photo : capitaine Derrick Forsythe, Quartier général du 41e Groupe-brigade du Canada. ©2017 DND/MDN Canada.
C’est une occasion idéale pour les étudiants qui auront maintenant un revenu stable et prévisible pour soutenir leurs études tout en explorant le vaste éventail de métiers qui font de la Rés AC une partie intégrante des opérations de l’Armée canadienne.
« L’EETP donne à nos nouveaux soldats l’occasion d’explorer des carrières stimulantes dans la Réserve de l’Armée, y compris des carrières non liées au combat qui pourraient avoir un rapport à leur domaine d’études », souligne le lieutenant colonel Sonny Hatton, qui est chargé de la mise en œuvre de l’initiative d’EETP à l’échelle nationale. Mais l’EETP n’est pas une bonne nouvelle uniquement pour les étudiants. Un certain nombre d’emplois d’instructeurs et d’emplois de soutien seront aussi confiés à des militaires qui se sont enrôlés dans la Rés AC depuis 2015. Des techniciens médicaux de la Réserve de l’Armée canadienne exécutent un entraînement en intervention en cas de blessures dans le cadre de l’exercice STRIDENT TRACER 17 à la Base de soutien de la 5e Division du Canada Gagetown (Nouveau-Brunswick), en août 2017. Photo : caporal Peter Ford, Centre d’instruction au combat. ©2017 DND/-MDN Canada. << Lors de leurs quatre premières années, les réservistes qui le souhaitent peuvent s’attendre à être employés pendant tout l’été; ils participeront principalement à l’instruction individuelle ainsi qu’à diverses tâches estivales typiques de la Rés AC, notamment des exercices et des cérémonies, », explique le lcol Hatton. « Pendant ce temps-là, ils touchent un salaire très décent et acquièrent une précieuse expérience de travail. >>
Source : Armée canadienne
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TIR ARME DE SUPPORT
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Photo : Cpl Mattiew Algerson
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LA RÉSERVE DE L’ARMÉE « Nos recruteurs travaillent avec des unités locales pour offrir aux éventuelles recrues des occasions correspondant à leurs intérêts et pouvant élargir leur expérience, leurs connaissances et leur employabilité une fois leurs études secondaires, collégiales ou universitaires terminées. La Rés AC offre aussi des occasions d’acquérir une précieuse formation en cours d’emploi, de créer un réseau et d’obtenir des références dans les métiers techniques. » La Rés AC compte un effectif hautement compétent et diversifié offrant un vaste éventail d’occasions d’emploi – et pas toutes à des fonctions de combat. La Rés AC a aussi besoin d’ingénieurs, de cuisiniers, de mécaniciens ainsi que de spécialistes des communications et des systèmes d’information, pour ne nommer que ceux-là. « Pour un musicien, la Rés AC est une chance unique », affirme le caporal Thomas Argent, un jeune réserviste membre des Governor General’s Foot Guards (GGFG) depuis près de 3 ans ». Les GGFG sont une unité d’infanterie de la Réserve basée à Ottawa qui soutient aussi les cérémonies officielles dans la capitale nationale, où l’on peut voir ses membres qui portent leur tunique écarlate distinctive et leur bonnet à poil. Des membres de la musique de la Garde de cérémonie jouent lors de Fortissimo, en juillet 2017. Fortissimo est un spectacle militaire et musical créé pour se tenir sur les pelouses de la Colline du Parlement et qui a attiré des milliers de spectateurs depuis ses débuts en 1997. Photo : ©2017 DND/MDN Canada.
« Beaucoup de mes amis musiciens vont d’un contrat à l’autre pour essayer de joindre les deux bouts et ça semble un peu trop stressant à mon goût », ajoute le cpl Argent. « Même comme Réserviste à temps partiel, j’ai touché un bon salaire juste en jouant de la musique. J’ai aussi eu beaucoup d’occasions de travailler à divers endroits, dont à des tâches administratives, lors de services d’honneur sur la Colline du Parlement et dans une musicothèque. »
Des réservistes du 35e Groupe-brigade du Canada distribuent de l’eau à des résidents de l’île Mercier pendant l’opération LENTUS, le 14 mai 2017. L’aide aux pouvoirs civils en intervenant lors de catastrophes naturelles n’est que l’un des moyens de servir pour les réservistes. La Réserve de l’Armée canadienne augmente son effectif et offre, entre autres incitatifs, un programme d’emploi d’été à temps plein. Photo : caporal Myki PoirierJoyal, Base des Forces canadiennes/Unité de soutien de secteur St-Jean. ©2017 DND/MDN Canada.
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Source : Armée canadienne
LA RÉSERVE DE L’ARMÉE La Rés AC offre des occasions de servir le Canada de façon significative, dans un milieu de travail offrant des chances égales à tous – stable, mais qui offre des modalités de travail souples. Les réservistes sont essentiels aux Forces armées canadiennes (FAC) et les membres de la Rés AC peuvent se porter volontaires pour être déployés à bref délai, surtout pour des opérations nationales, comme lors d’incendies, d’inondations et de tempêtes de verglas. Par exemple, en 2017, des réservistes ont appuyé les autorités provinciales en intervenant lors d’une tempête de verglas au Nouveau-Brunswick, de feux de forêt en Colombie Britannique, d’inondations au Québec et en Ontario, et ils ont fourni des abris pour des demandeurs d’asile au Québec. Beaucoup d’autres réservistes ont été déployés dans le cadre d’opérations internationales en Ukraine, en Lettonie, au Koweït et à d’autres endroits à l’étranger où les FAC sont engagées dans des opérations.
La stagiaire Heather Kitson (à gauche), de Portage la Prairie (Manitoba), fait ajuster son feuillage par une autre stagiaire du cours, la stagiaire Mercedes Pinch d’Okanagan (Colombie-Britannique), le 17 octobre 2013, avant un exercice de traque au Camp Aldershot en Nouvelle-Écosse, où les stagiaires devaient avancer sur un poste d’observation à 100 mètres de distance, sans être découverts. Photo : adjudant Jerry Kean, 5e Division du Canada. ©2013 DND/MDN Canada.
L’année 2018 marque aussi le 20e anniversaire de l’une des plus grandes catastrophes naturelles au Canada et du plus imposant déploiement de troupes en temps de paix au Canada : des milliers de réservistes sont intervenus lors de la tempête de verglas de 1998 qui a frappé l’Ontario et le Québec. Pendant cette crise, des réservistes ont fourni des abris et des soins médicaux, et ils ont aidé au rétablissement du réseau électrique. Le programme d’EETP est offert du 1er mai au 31 août. Pour de plus amples renseignements, visitez votre unité locale dès que possible et parlez à un recruteur ou visitez le site www.canada.ca/armee-emplois-ete où vous trouverez une mine de renseignements sur la façon de s’enrôler dans la Réserve de l’Armée canadienne.
Source : Armée canadienne
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CHAMPS DE TIR ARME DE SUPPORT Du 23 au 25 février dernier, les membres des Fusiliers du St-Laurent ont pu perfectionner leur maîtrise des différentes armes de support utilisées dans les Forces armées canadiennes et tirer à la tourelle d’un véhicule blindé léger de type LAV 6 dans les secteurs de la BFC Valcartier. Cet entraînement, qui a lieu à chaque année, a pour but de maintenir à jour les compétences individuelles des membres du Régiment sur les armes de support. Cette année, c’est environ 40 membres qui ont pu exercer leur maniement de la mitrailleuse semi-lourde C6, du fusil à pompe Remington 870, de la grenade C13, du lance-grenade M203 et de l’arme anti-char M3 Carl Gustav de calibre 84mm. De plus, en partenariat avec le 1er bataillon du Royal 22e Régiment (1R22eR), les membres des Fusiliers du St-Laurent ont eu la chance de tirer de la tourelle d’un véhicule blindé léger de type LAV 6. J’y svis en garde ! Second- lieutenant Jean-Michèl Turcotte
Préparation de la munition de 25mm pour le tir au canon du VBL 6
Préparation pour le tir de l’arme anti-char M3 Carl Gustav de calibre 84mm.
Tir de jour à l’arme anti-char M3 Carl Gustav de calibre 84mm.
Tir du lance-grenade M-203.
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Photos : Cpl Mattiew Algerson
SOUVENONS-NOUS CAPITAINE PAUL-ÉMILE CÔTÉ, MC
“La deuxième quinzaine de février 1918 ramena dans le secteur de Lievin-Lens, le bataillon qui revenait de Vimy-Méricourt. Secteur tranquille pour le moment. Les relèves se succédaient dans la monotonie habituelle de la guerre de tranchées. Pour varier le programme, on organisa un raid. Le capitaine Paul-Émile CÔTÉ, déjà titulaire d’une « M.C. », se porta volontaire et choisit vingt-quatre hommes parmi ceux, très nombreux, qui s’offrirent pour l’accompagner; nos gars se disputaient l’honneur d’entrer en lice. Après une mise au point qui semblait parfaite, le raid eut lieu dans la matinée du 27 février. Il était 0900 hrs lorsque les «raideurs» passèrent le fil barbelé devant nos lignes, en pleine agglomération, le secteur du 22e couvrant la partie gauche de la ville de Lens. Notre barrage d’artillerie ouvrit au moment où les hommes de CÔTÉ, répartis en trois détachements, atteignaient leurs divers objectifs. Malheureusement, tout au début, un des canons tira trop court et plusieurs projectiles s’abattirent sur les nôtres. Le capitaine CÔTÉ fut blessé par des éclats d’obus de notre propre artillerie et l’héroïque officier mourut de ses blessures à l’hôpital, une semaine plus tard.” Source: Joseph Chaballe. “Histoire du 22e bataillon canadien-français; Tome 1, 1914-1919”. Montréal, Éditions Chanteclerc, 1952. 412 pages. CITATION : Pour bravoure et dévouement remarquables. Il mena ses hommes à l’assaut avec une grande détermination. En dépit du danger, des violents bombardements, il consolida sa ligne et aux moments critiques inspira à ses hommes la plus grande confiance. Il réussit par son excellent commandement à repousser de fortes contre-attaques ennemies.
La Croix militaire (Military Cross ou MC) est la troisième plus haute décoration militaire décernée aux officiers des forces terrestres et, depuis 1993 aux autres catégories de grades de l’Armée britannique et auparavant aux officiers des autres pays du Commonwealth.
Capitaine Paul-Émile Côté, MC, natif de CapChat, il demeurait à L’Isle-Verte. Il est mort de ses blessures le 6 mars 1918. Il est inhumé dans l’annexe du Cimetière communal de Barlin (France). Source Musée de la Gaspésie.
SOLDAT DENIS-ATHOLIN SOUCIE Le soldat Denis-Atholin Soucie né en 1894 à Van Buren, Maine, E-U. Il s’enrôle dans le 189e Bataillon, le 27 mars 1916 à Rimouski, il est affecté au 22e Bataillon. Il fut tué au combat le 30 mars 1918 et inhumé au cimetière du Verger de Wally (Pas-de-Calais, France). Photos : Site web du Gouvernement du Canada
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JUNO LA MASCOTTE DE L’ARMÉE CANADIENNE Juno est la mascotte officielle de l’Armée canadienne et représente les hommes et les femmes en uniforme qui travaillent sans relâche. Elle incarne les traditions, la morale et l’éthique qui constituent l’Armée canadienne. Elle est guidée par trois principes éthiques distincts : la force, le patriotisme et l’honneur. Juno renforce le concept d’une Armée canadienne dont les membres sont Forts, Fiers et Prêts pour toute mission, en tout temps. Histoire L’ours polaire est l’animal parfait pour représenter l’Armée canadienne. Tout comme nos soldats, les ours polaires sont braves, forts, résilients, tenaces, agiles et plus que capables de se défendre. Ils sont également un symbole de longue date du Nord canadien – fort et libre – comme l’Armée canadienne. Un concours a été lancé publiquement en 2003 pour trouver le nom de la nouvelle mascotte officielle de l’Armée canadienne. Près de 100 suggestions ont été reçues de participants de partout au pays. C’est finalement le nom « Juno » qui a été choisi, en hommage à une journée d’une grande importance dans l’histoire mondiale, soit la plage dont les soldats canadiens ont débarqués lors du Jour J le 6 juin 1944 lors de la Seconde Guerre mondiale. . Source : Armée canadienne
Juno salue la foule au début de la Course de l’Armée du Canada de 2016.
Pour informations, suggestions, questions : Téléphone : (418) 722-3260 - Courriel : Fsl2014@outlook.fr Direction et Intégration : Adjum (ret) Jacques Guay Design et création : Cpl Jacques Lévesque Révision : Sgt Sylvain Dionne - Correction : Mme Nathalie Côté M ars 2 0 1 8
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