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Nous devons réaffirmer notre souveraineté et ne plus les laisser espérer

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Par Tamar Abessira

Nous avons été trop permissifs jusqu’à aujourd’hui. Il faut que cela change radicalement. Depuis la création de l’Etat d’Israël, nous vivons une ère où de nombreuses nations étrangères se permettent de dicter à nos dirigeants la marche à suivre aussi bien en matière de politique intérieure que dans nos relations géopolitiques à l’international. Tous nos faits et gestes sont commentés, analysés. « Oui, on peut construire… ah, non, mais pas là ! ». Vous connaissez un autre pays au monde qui se fait sanctionner lorsqu’il décide de développer ses infrastructures ou habitations ?

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DEPUIS DES DÉCENNIES, nous essayons de relever les défis de notre souveraineté juive, en vain. Des accords de statu quo aux accords d’Oslo, les gouvernements qui se sont succédé ont été contraints de faire le dos rond. Ils ont laissé s’installer dans l’esprit des nations et de nos ennemis, que la possibilité de partager un jour, Eretz Israël, tout comme Jérusalem, reste une option. Mais le temps est venu de changer la donne. Il faut mettre un terme à cette mascarade et à ces faux espoirs ! Il serait temps que ces nations cessent de rêver et qu’elles réalisent que ces projets sont utopiques.

NOUS VIVONS SUR LA TERRE DE NOS ANCÊTRES. La terre d’Abraham, Isaac, Yaacov, Sarah, Rahel et Léa, ainsi que Joseph et bien d’autres encore. Tous ont été enterrés en Judée Samarie alors que l’Islam n’existait même pas ! Quelle étrange coïncidence ! Mais depuis la mise en place de ce nouveau gouvernement - pour une fois disons-le, vraiment à droite - nous allons utiliser ce levier géopolitique pour nous affirmer sans plus tarder et asseoir notre souveraineté ! Non pas par le biais de groupes d’anciens betaris qui s’affirment sur les réseaux sociaux, mais par voie diplomatique et officielle ! Il est encore temps de mettre un garrot à l’hémorragie. Israël doit, grâce au gouvernement le plus représentatif que la nation n’a jamais eu aussi démocratiquement, affirmer haut et fort que ces terres appartiennent au peuple juif. Si les jordano-palestiniens souhaitent continuer de profiter de tout le confort qu’on leur offre, ils peuvent rester et vivre en paix chez nous. Dans le cas contraire, s’ils ne se résignent pas et continuent de perpétrer des attentats en tuant des civils innocents, comme ceux du dernier shabbat du mois de janvier qui ont couté la vie à 7 personnes, ils devront sévèrement payer pour leurs actes.

La sanction ne devrait pas concerner uniquement le terroriste qui a agi, mais toute sa famille, souvent complice. Dans l’heure qui suit un acte barbare qui coûte la vie à nos citoyens, leurs maisons doivent être rasées et la citoyenneté israélienne annulée pour tous les membres de la famille qui seront aussitôt transférés à Gaza ou dans leur pays d’origine, en Jordanie.

Malheureusement le problème ne serait pas ainsi résolu. Il nous reste à trouver des solutions pour canaliser et punir les Juifs israéliens gauchistes qui soutiennent cette solution utopique de 2 états et qui incitent à la haine dans les universités, dans le milieu journalistique, ou plus encore, au cœur de notre parlement, en brandissant lors de leurs grossières manifestations, le drapeau de l’autorité terroriste de Ramallah.

Quelle trahison !

TRAUMATISÉ PAR LA DISLOCATION DE LA GAUCHE lors des dernières élections, l’ancien Premier ministre n’accepte que très mal la défaite et appelle le peuple à se soulever. Nous avons gagné par les urnes et vous voulez vous venger par la rue en appelant à plus de démocratie ! De qui se moque-t-on ? Refuser une défaite, c’est un comportement démocratique ?

Ce n’est somme toute que 100 000 manifestants qui ont défilé dans les rues de Tel-Aviv sous prétexte de protester contre le projet du gouvernement de réformer le système judiciaire. Foutaise. Ils manifestent leur mécontentement d’avoir perdu. La pilule ne passe pas, surtout lorsqu’ils ont réalisé que ce sont 2 000 000 d’électeurs qui ont voté pour ce gouvernement, et que la majorité du peuple est avec nous.

Le Premier ministre Benjamin Netanyahou dénonce, à juste titre, un pouvoir excessif des juges, et compte poursuivre la réforme judiciaire qui vise à affaiblir leur pouvoir et renforcer le pouvoir législatif. En Israël, il n’y a pas de Constitution. La Cour suprême prétend jouer le rôle de garde-fou et s’est octroyé le pouvoir d’abroger des lois votées par les parlementaires si elle les estime contraires aux lois fondamentales.

D. merci, nous avons les bonnes personnes aux bonnes places, à la tête de notre gouvernement. Nous avons confiance en elles et sommes persuadés qu’elles feront les bons choix. Nous restons persuadés que le meilleur pour Eretz Israël et Am Israël est devant nous.

Am Israël Hai, Tel Hai

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