TROUVER EN ISRAEL AVRIL by Trouver en Israel

Avril 2019 / www.trouverenisrael.co.il

Édito

« L’an prochain dans la Jérusalem reconstruite »

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Partenariat :

’avais sept ans quand je suis montée avec mes parents en terre d’Israël. C’était tout juste un mois avant la guerre du Golfe. Nous sommes arrivés au centre d’intégration de Raanana et nous nous sommes retrouvés plongés en pleine guerre : sirènes, masques à gaz, et missiles, voici ce que nous avons enduré. Environ six mois plus tard, mes parents ont emménagé à Jérusalem. C’est alors que la seconde intifada a commencé. C’était très éprouvant. Les autobus qui explosaient, la peur de sortir dans la rue. J’ai subi la période de l’expulsion de Goush Katif, la seconde guerre du Liban, l’opération « Bordure Protectrice » et « Dôme de fer », et ce n’est pas fini. Les roquettes n’arrêtent pas… On nous a raconté que la terre d’Israël s’acquiert au prix de souffrances, mais nous en ignorions la mesure. Le pays pour lequel les pères de nos ancêtres ont rêvé : « L’an prochain à Jérusalem ». Et nous avons pu mériter la concrétisation de ce rêve, ce qui n’est absolument pas évident. Alors, bien que ce ne soit pas facile : une nouvelle mentalité, une nouvelle langue, le sentiment d’insécurité… Envers et

contre tous, ce tout petit pays est le nôtre et nous sommes en devoir de le préserver à tout prix. Grâce à D., nous avons une armée puissante qui nous protège de tous les ennemis qui nous entourent, et par-dessus tout, le Maître du Monde veille toujours sur nous. L’auteur du Tania dit que chaque année, la terre d’Israël gravit les échelons de la sainteté et en obtient un nouveau visage. Il a pour preuve le verset : « Le pays où les yeux de l’Eternel ton D. sont rivés, du début de l’année jusqu’à la fin de l’année. » Dans les semaines qui viennent, nous nous apprêtons à sortir de l’esclavage pour la liberté, à célébrer la fête de la délivrance. Pour moi, la fête de la délivrance consiste à se détacher de toutes les choses négatives que nous avons l’habitude de voir et dont nous parlons. La sortie pour la liberté c’est l’amour, la compréhension, avoir un cœur bon et heureux, et notre gratitude pour le bien. Puissions-nous toujours ne voir que le bien en notre prochain. Bonne fête de la Délivrance.

Sarah Ben

E Trouver en Israël

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« Tel-Aviv symbolise pour moi la modernité et l’espoir ! »

Gilles Lellouche PAR

VANESSA ATTALI

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Dans le cadre de sa 16ème édition, le Festival du Film Français en Israël, conjointement produit par l’Institut français d’Israël et la société Eden Cinéma et qui s’est déroulé du 14 au 30 mars dans l’ensemble des Cinémathèques du pays, a reçu cette année le célèbre et très sympathique acteur et réalisateur Gilles Lellouche. Accompagné de ses producteurs Alain Attal et Hugo Sélignac, Gilles Lellouche est venu présenter son dernier film « Le Grand Bain », considéré comme le plus gros succès cinématographique de l’année avec plus de quatre millions d’entrées au box-office et dix nominations aux César. « Le Grand Bain » a fait l’ouverture du Festival et sera partout dans les salles en Israël à partir du 4 avril. Le réalisateur nous raconte tout sur ce projet, le tournage… et nous livre aussi ses impressions sur Israël et l’antisémitisme en France. Rencontre inédite.

Comment est né en vous ce projet de réaliser ce film ? Tout a commencé il y a 14 ans lorsque j’ai réalisé mon premier long métrage Narco. Dès le lendemain de sa sortie, j’ai dit que je voulais refaire un film… J’avais envie de prendre la parole avec ma caméra, d’évoquer la quarantaine, la lassitude et la dépression que je ressens chez les gens de ma génération ou même plus globalement en France, l’espoir et en même temps la vie que l’on n’a pas eue et que l’on aimerait avoir… Avec

mes producteurs Alain Attal et Hugo Sélignac, on a évolué vers plusieurs sujets et il y a quatre ans, Hugo a trouvé un documentaire sur des hommes qui avaient une équipe de natation synchronisée en Suède. Ce sujet était le carrefour entre l’expression que j’avais envie de donner à ces personnages et une forme de poésie qui semblait innovante et intéressante. En France, le film a eu plus de 4 millions d’entrées au box-office, dix nominations aux César, une à Cannes, deux aux Globes de Cristal. Comment avez-vous vécu un tel succès et comment l’expliquez-vous ? Je l’ai évidemment très bien vécu. Je peux dire que ce film a été un conte de fée absolu. Parfois, il arrive que les choses s’articulent merveilleusement bien sans que l’on ne sache trop pourquoi. Tous les feux étaient au vert. L’écriture du film a été extrêmement joyeuse. Le casting a été facile. Le tournage vraiment génial. Je peux dire que c’est de loin la plus belle expérience professionnelle que j’ai pu vivre. J’ai fait beaucoup de films, presque cinquante ! Mais il n’y a pas d’équivalence avec ce que j’ai vécu avec ce film. Avec mes producteurs, on a eu une réelle complicité à le produire, le fabriquer, l’emmener à Cannes… voir tous ces gens se lever et applaudir à Cannes, avoir toutes ces critiques dithyrambiques de la presse en France, c’était merveilleux ! Pour une comédie, c’est assez rare ! Sans compter ces millions d’entrées au box-office, ces nominations…

otre dernier film « Le Grand Bain » sera dans les salles en Israël à partir du 4 avril. Que ressentez-vous de venir le présenter ici dans le cadre du Festival du cinéma français ? Venir présenter mon film en Israël était pour moi une évidence. Lorsque je suis là, je pense à mon papa Claude. Mon frère Philippe est né ici… Donc, forcément, promouvoir ce film à Jérusalem et à Tel-Aviv, c’est très émouvant pour moi. Le présenter dans le monde entier, ça l’est moins mais ça l’est quand même [rires] ! C’est intéressant de voir comment le film est reçu. C’est complètement différent selon les pays : il plait énormément en Italie, en Nouvelle Zélande, au Québec. En Russie, c’est un flop. En Belgique, ce n’est pas top et en Suisse, il cartonne. C’est très difficile d’analyser ça pour moi. Je pense tout simplement que le film est très français et que certains pays se sentent plus proches de la problématique française que d’autres.

Cela me donne qu’une envie, c’est de vite revivre cette magie. Je ne l’ai jamais connu en tant qu’acteur ! Justement, en tant qu’acteur, vous avez joué dans La French, Ils sont Partout, Le Sens de la fête, Pupille… Et là, vous réalisez Le Grand Bain. Vous passez d’un genre à l’autre complétement différent, qu’est-ce qui vous motive à jouer ou réaliser un film ? C’est justement l’idée de ne pas me répéter, de n’être jamais installé dans une zone de confort ! J’aime aller dans plein de genres différents pour trouver le moteur que je trouve fondamental pour un acteur : le trac ! Moi, je suis très cinéphile à la base. Avant d’être acteur, j’étais un enfant qui regardait plein de films, tous les soirs, tous les week-ends… Au même titre que j’adore tout type de musique, j’adore tout type de cinéma et il me semble que lorsque l’on a la chance d’être acteur et de pouvoir faire des choix, la moindre des politesses est d’essayer d’être original, de ne pas se répéter. D’ailleurs, celui qui m’a donné envie de faire du cinéma, c’est Robert De Niro. Et de Niro, c’était la quintessence de plein de choix : la comédie, le polar… Ce qui m’attire, c’est la diversité !

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Comment vivez-vous l’antisémitisme en France ? Ça vous dérange ? Evidemment que ça me dérange ! Je suis un « demi-juif » et un « demi-catho ». J’étais dans des écoles privées catholiques lorsque j’étais enfant et tous les matins, il fallait se lever pour réciter « Je vous salue marie » et le professeur de français disait : « Tout le monde se lève sauf Lellouche ! » Et quand j’allais le vendredi soir à la synagogue avec mon père pour shabbat, je voyais des enfants toucher et embrasser le sefer torah et moi, je n’y avais pas le droit ! J’étais condamné à rester assis. Ce n’était pas facile. Mais il n’empêche que lorsque vous êtes en France à moitié juif, vous êtes juif tout court. Parce que lorsque vous faites partie d’une minorité et que cette minorité est attaquée et bien, vous vous battez pour elle. Je me bats contre l’antisémitisme. Je sais que je ne suis pas considéré juif pour les juifs mais pour moi, je le suis. C’est comme ça que je le vis. Evidemment que 6

Focus sur Le Grand Bain © Tomer Appelbaum

En parlant de diversité, c’est ce que vous représentez puisque vous êtes né d’un papa juif d’Algérie et d’une mère bretonne d’origine irlandaise. Est-ce que vous ressentez cette diversité culturelle en Israël ? Oui absolument ! La diversité à Tel-Aviv est exceptionnelle. Nous sommes là que quelques jours avec mes producteurs et malheureusement, on a peu de temps pour visiter mais pendant le tournage du film d’Yvan Attal, j’ai eu l’occasion de voir toute cette diversité, de voir des femmes voilées et des juifs sur les mêmes plages... Il y a la plage des homosexuels à côté de celle des religieux et ils arrivent à vivre tous ensemble, la vie est belle ! Je trouve ça formidable ! Le problème, c’est que ça, on ne le voit jamais dans les médias ! Je ne vois jamais dans la presse française la magnifique diversité et la tolérance absolue qui règne dans cette ville. Tel-Aviv symbolise pour moi la modernité, l’espoir !

L’Histoire C’est dans les couloirs de leur piscine municipale que Bertrand, Marcus, Simon, Laurent, Thierry et les autres s’entraînent sous l’autorité toute relative de Delphine, ancienne gloire des bassins. Ensemble, ils se sentent libres et utiles. Ils vont mettre toute leur énergie dans une discipline jusquelà propriété de la gent féminine : la natation synchronisée. Alors, oui, c’est une idée plutôt bizarre, mais ce défi leur permettra de trouver un sens à leur vie... Critiques de la presse Le Parisien : « Cette comédie ovationnée lors de sa projecl’antisémitisme me choque, me touche, me désole, me met en colère… Mais il en est de même pour tout ce qui se passe actuellement en France dans les églises, les mosquées… On vit une époque abominable ! Revenons-en à votre film, le casting réunit Benoit Poelvoorde, Guillaume Canet, Jean-Luc Anglade, Virginie Effira, Mathieu Alamaric… comment avez-vous réussi à convaincre de tels acteurs de jouer en maillot de bain ? En les payant cher [rires] ! Je crois surtout qu’ils ont cru en mon projet. Je réalise maintenant que j’ai vraiment eu beaucoup de chance d’avoir tous ces

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tion à Cannes, qui rappelle la mécanique d’un « Full Monty », en plus survitaminée encore, est un bonheur de jeu et d’écriture… » Le Point : « Le Grand bain nage entre deux eaux, le rire et la mélancolie. On plonge la tête la première. » Closer : « Servie par un casting cinq étoiles, cette comédie signée Gilles Lellouche sur la reconquête de l’estime de soi est à la fois touchante et drôle. Elle : « C’est malin et drôle : on rit d’eux (un peu avouonsle) mais surtout avec eux, et c’est ce qui fait toute la réussite du « Grand bain ». Femme Actuelle : « A voir à tout prix. » acteurs prêts à partager mon rêve ! C’est très compliqué pour un comédien de se dire « je ne vais pas faire du théâtre, ni aller sur un film, ni partir en voyage mais m’entrainer pendant quatre mois pour ce scénario sans savoir ce que le réalisateur va en faire et ce que cela va donner au final. Cette impulsion qu’ils ont eue de m’accompagner et de croire en mon projet, je la trouve vraiment fantastique ! Aussi, je pense que l’idée d’avoir une préparation physique, ça les excitait ! C’est atypique, original. Par ailleurs, j’ai bénéficié d’une chose extraordinaire, c’est que mes acteurs se sont rencontrés dans le bassin puis après au vestiaire et au

de scènes que j’adorais. Mes producteurs m’ont laissé une marge de manœuvre inouïe. Je pouvais faire ce que je voulais. Mais ils m’ont fait comprendre qu’il y avait des scènes qui n’avaient pas de sens, qui rendaient le film mou… Moi, j’étais à fond au service des personnages, du récit. Mais c’est vrai qu’il y a des réalités à prendre en compte dans l’efficacité de la narration. Mes producteurs sont intelligents, petit à petit, ils ont fait un travail sur moi, ils ont « tourné autour de la bête » [rires] ! pub… comme dans le film ! C’est quelque chose que je n’avais pas appréhendé. Et quand je les ai eus pendant quatre mois sur mon plateau, j’ai compris que c’était exactement la bande que j’avais imaginée dans ma tête ! Pourquoi n’avoir pas joué dans votre film ? Je ne pouvais pas accepter de recevoir des ordres d’un metteur en scène en maillot de bain [rires] ! Jouer et réaliser, ce n’est pas le même métier. Lorsque je suis réalisateur, j’ai envie d’être attentif et concentré sur le cadre, avec mes équipes de tournage, mes acteurs… Je ne peux pas être devant et derrière

la caméra. Je ne pense pas que l’on puisse faire le même travail, je n’y crois pas ! Et puis, je ne suis pas assez égocentrique pour me retrouver au milieu de tous ces acteurs. L’avoir écrit, réalisé et aussi joué dedans, non, à un moment donné, ça va quoi [rires] !

Infos sur les salles et projections du Grand Bain en Israël sur : www.seret.co.il

Vous avez prévu une version longue pour le DVD… Oui mais il n’y a pas beaucoup de différence. Le film dure 2 heures et la version longue 2h20. On a rajouté ce qui nous semblait important. Au départ, dans ma tête, j’étais persuadé que j’allais faire un film d’environ 2h30. Il y avait plein

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L’ÉLECTION LÉGISLATIVE 2019 AUX FORCEPS

L’accouchement promet d’être difficile

’élection des députés à la 21ème Knesset, ressemble à toute autre élection de par le monde, à cela près que le particularisme juif confère à toute confrontation des idées et des points de vue des parfums de fin du monde. Il est bien connu que si deux juifs peuvent partager trois avis, à fortiori 6.339.000 électeurs (selon les chiffres du dernier recensement), seront à même de contrecarrer les plans des instituts de sondage les plus coriaces. Le Scrutin en Israël est à la proportionnelle intégrale à une circonscription (l’état d’Israël dans son ensemble), les électeurs votant pour une liste préalablement déposée auprès de la commission électorale centrale, qui a le pouvoir de décider si les parties en présence ne représentent nullement un danger pour l’équilibre de la nation en fonction d’un texte de loi précis : « Les Parties loi, 1992, prévoit qu’une partie ne sera pas enregistrée si l’un de ses buts ou actions, explicitement ou implicitement, contient : Négation 8

PAR

YAACOV BEN DENOUN

de l’existence de l’Etat d’Israël en tant qu’Etat juif et démocratique; l’incitation au racisme ou soutien à une lutte armée d’un Etat ennemi ou une organisation terroriste contre l’Etat d’Israël. La loi interdit également l’enregistrement d’une partie s’il y a des motifs raisonnables de déduire qu’il servira de couverture pour des activités illégales. » Ce texte a servi de référence pour statuer sur l’éligibilité de candidats. En définitive, la Cour Suprême a décidé d’exclure Michaël Ben Ari du parti Otsma Yéhoudit (considéré comme « raciste ») tout en acceptant les partis arabes : Liste arabe unie - Balad et Ta’al-Hadash (considérés comme antisionistes), qui pourront se présenter lors de l’élection législative du 9 Avril prochain. La loi précise aussi les principes sur lesquels le système électoral est fondé « Le cadre général des élections a été prévu à l’article 4 de la Loi fondamentale sur la Knesset, et selon elle, la Knesset doit être élue lors des élections générales, à l’échelle nationale, au scrutin direct, égal (Tous les votes sont de valeur égale), secret (Le vote a lieu à huis clos, derrière un

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écran. Le principe du secret assure l’équité dans les élections et empêche l’exercice d’une pression indue sur les électeurs), et proportionnel (Toutes les listes qui passent le seuil électoral de qualification sont représentées à la Knesset… ». Il n’y a donc pas de représentation directe, et les futurs députés, inscrits sur une liste, incarnent un programme, un catalogue de décisions qui impacteront leurs votes futurs. Cette configuration prive les électeurs d’un interlocuteur privilégié, tenu de rendre des comptes, et de servir au mieux les intérêts de ses administrés. Elle évite aussi aux députés d’aller sur les marchés, de serrer des mains, et de déguster des produits du terroir souvent trop forts en goût. Leur participation à des meetings suffit à les mettre en joie. Le système électoral repose principalement sur deux lois :

Informations générales sur les élections à la 21e Knesset

2873 millions de NIS Budget de la Commission électorale centrale de la 21e Knesset, pour l'exercice 2019

6 339 279

Nombre d'électeurs éligibles

- La Loi fondamentale: la Knesset (1958) - La loi de la Knesset sur les élections (version combinée) 1969. Il permet aussi de préciser ceux qui peuvent apporter leur bulletin lors du scrutin : « chaque citoyen israélien qui est âgé d’au moins 18 ans a le droit de vote », et qui peut être éligible : « tout citoyen israélien d’au moins 21 ans…», et indique en outre : « Ceux qui détiennent certaines positions officielles, comme le Président de l’État, le contrôleur de l’État, les juges et dayanim, les officiers de carrière de l’ armée et des hauts fonctionnaires, ne peuvent pas participer à une élection à la Knesset , à moins qu’ils ne démissionnent de leur poste 100 jours ou trois ans avant les élections. » Il est donc clairement énoncé, par défaut, que toute personne n’étant pas jugée coupable, pourra se présenter lors des

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élections, Le regard se tourne bien évidemment vers Benjamin Netanyahou, possiblement inculpé dans diverses affaires aussi opaques qu’un jour de grand brouillard à Londres.

Le nombre de bureaux de vote réguliers à travers le pays

La Torah n’est pas ambiguë, et l’on peut trouver les mots : « Ne fais pas fléchir le droit, n’aie pas égard à la personne, et n’accepte point de présent corrupteur » (Deutéronome 16/9), qui imposent la rectitude et la rigueur, et ne contredisent pas d’autres mots : « Mais toi, tu n’as d’yeux ni de cœur que pour ton intérêt, pour verser le sang innocent, pour exercer l’oppression et la violence. » Jérémie (22/17) ou : « Voyez, j’ai préparé ma défense, j’ai conscience d’être innocent. Est-il quelqu’un pour plaider contre moi? … Combien ai-je de péchés et de forfaits à mon compte? Fais-moi connaître mes fautes et mes erreurs. Pourquoi dérobes-tu

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Nombre de bureaux de vote dans les hôpitaux

Le nombre de bureaux de vote dans les prisons et les centres de détention

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Nombre total de bureaux de vote dans tout le pays

Nombre de bureaux de vote dans les ambassades israéliennes à l'étranger (date du vote à l'étranger - 28.3.2019)

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Bureaux de vote spéciaux pour les personnes à mobilité réduite dans tout le pays

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ta face et me prends-tu pour un ennemi? Quoi! Veux-tu briser une feuille chassée par le vent, t’acharner contre un peu de chaume desséché, pour que tu écrives contre moi des arrêts amers…Pour que tu épies tous mes mouvements et t’attaches aux traces de mes pas? » Job (13/18-27) qui font état de la nécessaire présomption d’innocence. Dont acte.

Les israéliens se cherchent un nouveau Moïse prêt à les délivrer d’eux-mêmes et d’une situation inextricable. Les ennemis extérieurs pèsent moins dans les débats que les dissensions internes. Les clivages n’augurent rien de bon, et le vivre ensemble pourrait être affecté par des avis tranchés et peu respectueux. Mais les électeurs israéliens sont adultes et doivent trouver la voie de la séréDe ce fait, ce seront 47 listes qui apnité. Nous n’avons d’autre alternaparaitront dans les cases que tout tive que celle de vivre les uns avec électeur aura devant lui avant de se les autres, de nous entraider, de décider à placer son bulletin dans restaurer une unité que certains l’enveloppe. s’amusent à fracturer. Cette élection doit constiLe seuil d’éligibilité a été fixé à 3.25 % des tuer un formidable tremplin suffrages exprimés (fixé à 1 % en 1948, pour nos espérances. porté à 1,5 % en 1992 puis à 2 % en 2006, et depuis mars 2014 à 3.25%), soit à priori De quelques questions et entre 170.000 et 200.000 voix, qui corresdes réponses que nous pondront à 4 ou 5 mandats. pourrons apporter, dépendra l’issue de ce scrutin. A Le parti des « Pirates » par exemple, nous de les aborder, avec notre aura bien peu de chance d’être recœur, notre intelligence, notre présenté à la Knesset, ce qui aurait culture, et de définir ce que sera mis un peu d’animation. De même l’Etat d’Israël de demain matin. pour « Noah », « Juste l’amour », ou le « parti bloc biblique ». 1. Quel sera l’impact de la décision du procureur général Avishaï ManCe système électoral exige pour sa delbit d’inculper Benjamin Nestabilité que le président de l’état, tanyahou à quelques semaines du Réouven Rivline désigne la tête de vote ? liste susceptible de former un gou2. Quel homme providentiel pourvernement stable, après concerrait remplacer « le roi », l’indétation, en créant une coalisation trônable, celui qui a projeté Israël suffisamment forte pour résister à dans le 21ème siècle ? tous les raz de marée, tous les dé3. La gauche est-elle capable de luges, et Dieu sait combien, les juifs renverser la tendance ? Quelles sont friands de ce type de dérèglesont les alliances possibles entre le ment climatique. parti travailliste et le parti Bleu et Blanc ? Les élections auront lieu le 9 Avril 4. Quel sera le poids des petits de cette année, soit le 4 Nisan partis ? Entreront ils dans une 5779, à quelques jours de la fête coalition ou affaibliront ils l’un ou de Pessah. Comment ne pas voir l’autre des camps ? (Orly Levy Abeun signe dans ce rapprochement cassis, Moshé Feiglin…) calendaire ? 5. Le Likud, le parti du premier mi10

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120 sièges sont à pourvoir, et les principaux partis en lice peuvent être ainsi résumés (en partant de la droite vers la gauche, comme le prescrit la langue hébraïque) : • L’Union de la Droite (Habayt Hayéhoudi, Tkouma et Otsma Yéhoudit) • Zehout : de Moshé Feiglin • La Nouvelle Droite : de Naftali Bennett et Ayelet Shaked • Le Likoud : de Benjamin Netanyahou • Israël Beiteinou: d’Avigdor Lieberman • Koulanou : de Moshé Kahlon • Le parti BleuBlanc : de Benny Gantz, Yaïr Lapid, Moshé Yaalon et Gaby Ashkenazi • Le Shass : d’Arié Dery • Yahadout Hatorah : de Yaakov Litzman • Le Parti travailliste : d’Avi Gabbaï • La liste arabe Taal-Balad • La Liste arabe unifiée-TaalHadash: • Le Meretz : de Tamar Zanberg

Selon les jours les résultats fluctuent 11. Quelle sera l’influence des réseaux sociaux chaque jour plus présents dans cette élection ? 12. Quel sera le taux d’abstention ? Que décideront les indécis ?

nistre, saura-t-il s’appuyer sur une coalition avec les partis de droite, celui de Rafi Perets et celui de Naftali Bennet ? 6. Les partis orthodoxes imposeront ils leurs vues ? Seront-ils partie prenante dans la vie du pays ou pencheront ils vers le plus offrant ? Resteront-ils unis ? Imposeront-ils de mettre au rebut la loi de conscription des élèves de Yeshiva, d’assurer le financement de leurs institutions et des écoles talmudiques ? 7. Quels seront les choix du président Rivline en cas d’équilibre entre les blocs ?

8. Les partis arabes décideront ils de ne plus rester en marge du pays ? Benny Gantz devra-t-il faire alliance avec eux ? 9. Sur quels critères se fondera l’avis des israéliens pour décider de leurs votes : l’économie, les accords de paix, le sort de la Judée Samarie, l’évolution sociale, les difficultés de vie et la cherté des produits, la sapidité de la Matsa Chmoura, la qualité du petit lait de la Mimouna…? 10. Les israéliens accorderont ils leur confiance aux instituts de sondage et aux résultats publiés ? Bien à vous.

Ces questions et bien d’autres encore nous permettront de définir le cadre de notre participation au vote. Saurons-nous établir des priorités et donner de l’importance à ce qui fait la trame de nos aspirations, de notre quotidien ? Saurons-nous nous satisfaire de gérer les problèmes immédiats, ou une visée plus messianique présidera-t-elle à notre élan en faveur d’un camp plutôt qu’un autre ? A vous de voir, de décider ? J’ai ma petite idée, et je partage mon avis. Nous saurons bientôt quel était le vôtre.

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LES ACCIDENTS DE LA ROUTE MORTELS EN ISRAËL A qui la faute ?

316

tués en 2018, une baisse de 13 % par rapport à l’année précédente

22.349

personnes ont été blessées dans 12.167 accidents de la route survenus sur les routes d’Israël (en moyenne 3 accidents par heure)

PAR

YAACOV BEN DENOUN

n matière de climatologie, depuis quelques années déjà, l’on fait la différence entre la température mesurée, sous abri, et celle ressentie, qui tient compte des conditions locales, des vents, des perturbations, de la déclivité du sol… En ce qui concerne les accidents de la route en Israël, le différentiel est aussi apparent. Les chiffres

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publiés par l’institut israélien des statistiques et la police, font état d’un tassement réel, qui est évident lorsque l’on regarde les courbes de la fréquence des accidents. Mais dans un pays où la sécurité des personnes est un préalable à toute autre considération, où la mortalité violente liée aux attentats, aux assassinats, aux déviances d’une société qui s’est beaucoup occidentalisée a augmenté, la pu-

blication régulière d’avis d’accidents, souvent mortels, est chaque jour un peu plus perçue avec douleur par les israéliens. Les accidents de la route, tout l’atteste, sont devenus la première cause de la mortalité en Israël, devant les actes terroristes, et les maladies cardiovasculaires ou liées au cancer. Ce désastre qui a pris des allures de fléau est devenu prioritaire en Israël, et les autorités ne peuvent que décider d’intervenir. Avant d’en faire le détail, de déterminer les raisons d’une telle inflation dramatique, de déterminer les causes, de trouver des solutions viables, une question nous est posée : A qui la faute ? Il ne s’agit pas de nous cacher derrière notre petit doigt, d’en appeler à l’implication des services publics, à l’insuffisance des infrastructures, et de rechercher des coupables qui porteront seuls le poids de la condamnation publique. Nous sommes tous, autant que nous sommes, responsables de

ce syndrome collectif dont nous n’avons pas encore pris la mesure. Les chiffres Pour la première fois depuis 5 ans, le taux de mortalité lié aux accidents de la route en Israël a diminué : • 316 tués en 2018, une baisse de 13 % (48 personnes) par rapport à l’année précédente (en 2017, 364 morts) Au cours des 12 derniers mois, 135 décès ont été dénombrés en milieu urbain et 180 sur des autoroutes. La population arabe, elle aussi touchée par ce fléau, de façon encore plus aggravée (2 fois plus de décès que la population dans son ensemble) a vu le nombre des décès diminuer : 95 en 2018, 116 en 2017. • Le nombre des décès parmi les conducteurs de vélos électriques a lui beaucoup augmenté : 7 morts en 2017, 19 en 2018 (le nombre de décès concernant des vélos non électriques est passé de 12 en 2017 à 16 en 2018)

Yaniv Jacob, directeur général adjoint d’Or Yarok, un groupe de pression non gouvernemental pour la sécurité routière, préfère attendre que les chiffres publiés ne relèvent pas seulement d’une tendance ponctuelle pour se déclarer optimiste. • Le nombre d’accidents a diminué de 9% par rapport à 2017. • 22.349 personnes ont été blessées dans 12.167 accidents de la route survenus sur les routes d’Israël (en moyenne 3 accidents par heure). • En 2018, 56 piétons ont été blessés par semaine et 7 enfants blessés chaque jour. Les causes ° L’augmentation des décès sur les routes depuis 2012 est lié principalement à l’utilisation accrue des téléphones cellulaires par les conducteurs, et le développement de l’usage des vélos électriques. - Les smartphones multiplient par 10 les risques d’accident mortel.

- En 2018 la police a arrêté plus de 74 500 conducteurs pour des infractions liées aux téléphones portables. 100 000 procès-verbaux ont été dressés en 2017, et 110.000 en 2018. - En 2016, 8 000 amendes ont concerné les utilisateurs de vélos électriques. En 2017 ils étaient 14 300, et sont devenus 24 000 en 2018. ° Certaines routes, plus meurtrières que d’autres, sont particulièrement visées. La Route 90 est la plus longue d’Israël et la plus dangereuse aussi. Elle s’étend sur 480 kilomètres, de Metula (à la frontière nord avec le Liban), le long du côté ouest de la mer de Galilée, à travers la vallée du Jourdain, le long de la rive occidentale de la mer Morte, à travers la plaine de l’Arava et jusqu’à Eilat (et la frontière sud avec l’Egypte sur la mer Rouge). La majeure partie de cette route est ancienne et ne comporte qu’une voie dans chaque direc-

tion, sans barrière de séparation. Entre 2003-2018, plus de 2.250 accidents de la route ont été recensés sur cette route, 223 personnes ont été tuées, plus de 6450 personnes blessées, dont 700 sérieusement. (De la Route 90 partent d’autres routes, comme la Route 25, qui relie Dimona à Beer Sheva, et la Route 1 entre la mer Morte et Jérusalem, qui posent aussi de gros problèmes). Au mois d’octobre dernier, 17 personnes ont été tuées sur la Route 90 dans la même semaine. Huit Israéliens d’une même famille, dont six enfants et deux adultes, ont été tués lors d’un terrible accident impliquant deux voitures, entre la mer Morte et le site d’Ein Gedi, en direction d’Eilat. Tous les membres de la famille Atar, originaires de Psagot, en Judée Samarie, ont été calcinés dans l’incendie de leur fourgonnette.

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L’augmentation des décès sur les routes depuis 2012 est lié principalement à l’utilisation accrue des téléphones cellulaires par les conducteurs, et le développement de l’usage des vélos électriques.

Six arabes de Jérusalem-Est sont morts dans des circonstances similaires dans la vallée du Jourdain, peu de temps après.

Que faire ? Face à la gravité de ce phénomène, des mesures d’urgence s’imposent qui doivent aller dans différentes directions :

1. L’amélioration et la créa-

tion d’infrastructures routières adaptées. Par exemple, le ministre des Transports Israël Katz est intervenu pour que soit conçu et réalisé un plan d’élargissement des principales routes du pays, alors que certaines contraintes budgétaires, et des problématiques liées à la circulation et à la sécurité, rendaient jusqu’alors les travaux de rénovations impossibles à réaliser. La Route 90 sera élargie à deux voies dans chaque direction, (avec l’option d’ajouter une troisième voie, et il en sera de même pour les Routes 25 et 1), et sera installée une barrière de séparation entre les voies, solution qui paraissait difficile à appliquer (les automobilistes pouvant être empêchés de doubler des motos, et les comportements imprudents pouvant être encouragés). Selon le ministre, « la Route 90 deviendra l’axe oriental d’Israël et s’appellera la Trans-Israël East… le projet s’inscrit dans « une vision nationale stratégique » d’amélioration du réseau routier ».

2. Il faut établir de nouvelles

règles pour augmenter à la fois l’initiation, la dissuasion et la répression : contrôles de vitesse, utilisation de jumelles de vision lointaine, d’hélicoptères dans certaines zones, contrôles techniques, réforme du permis de conduire…

Il faut rendre le port du casque obligatoire pour les conducteurs de vélos électriques et de petits scooters, qui devront être sévèrement sanctionnés en cas de transgression des règles urbaines de conduite.

3. Mettre à profit les tech-

nologies et l’autonomisation des moyens de transport. « La majorité des accidents de la route — peu importe les protagonistes impliqués — sont dus à nos limites en tant qu’humains », a noté Raz Peleg, le directeur des ventes de Mobileye, une entreprise d’Intel qui développe, depuis déjà plus d’une décennie, des programmes d’aide à la conduite. En fait, à en croire les plus récentes études sur le sujet, les erreurs humaines seraient responsables de près de 90 % des collisions routières. » L’intention est de « munir les véhicules d’un module d’aide à la conduite. L’objectif ? Ajouter une paire d’yeux et un cerveau supplémentaires (numériques, ceux-là) dans le plus de voitures possible afin de réduire le nombre d’accrochages dus aux distractions ambiantes ou à une attention chancelante », d’installer des systèmes de copilotage numérique, en particulier sur les camions (technologie EyeSight Tech, en collaboration avec l’industriel chinois Exsun), pour réduire la somnolence et l’inattention du conducteur.

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Il sera alors possible d’utiliser une « mobilité intelligente », et de « l’Intelligence Artificielle » pour pallier les carences humaines.

. Nous devons, nous, conducteurs, nous remettre en question, prendre en compte nos insuffisances, la lenteur de certains de nos réflexes, l’affaiblissement de nos facultés… Notre culture de la conduite doit évoluer, être plus respectueuse des autres, plus rigoureuse. L’utilisation des téléphones, des écrans vidéos, l’ingestion d’alcool, de substances hallucinogènes, doivent être proscrits lorsque nous prenons le volant. La vitesse excessive, le sentiment de puissance et d’impunité, la volonté de rechercher la vitesse, sont trop souvent la cause de nombreux accidents. Cette hécatombe doit cesser. Nous sommes devenus les objets de notre propre dangerosité. A nous de réagir, de prendre des mesures de bon sens, afin d’éviter que des vies soient ôtées, que des existences soient brisées, des responsabilités engagées, porteuses de remords lourds. Bien conduire est avant tout l’art de bien se conduire, et en Israël cette préoccupation doit être pour chacun permanente, à tous les instants.

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ECHOS D’ISRAËL PAR

YAACOV BEN DENOUN

2. De nouvelles alternatives résidentielles: Quelles sont les villes où résident les Israéliens?

Le site www.happy-landing.net. fr faisait récemment le recensement des armées les plus puissantes au monde. Evoquant l’armée d’Israël voici ce qui était inscrit : « Après 2 600 ans, Israël est redevenu une nation le 14 mai 1948. Depuis lors, les tensions entre le petit pays et les nations ennemies environnantes sont élevées. À cause de cela, Israël a renforcé son armée et dispose désormais de l’une des plus fortes armées du monde. Bien que petit, l’armée du pays est puissante. Ils ont 160 000 membres actifs dans l’armée et 630 000 en réserve, ainsi que 691 véhicules aériens, 4 170 chars et 66 navires. Les forces de défense israéliennes exigent que chaque homme et chaque femme de 18 ans serve 18

et protège les frontières et les citoyens du pays. Israël dépense 16 milliards de dollars par an pour son budget de la défense. » Les premières lignes ont quelque chose de revigorant dans un monde qui conteste la souveraineté d’Israël sur sa terre.

Petah Tikva High-Tech Park

1. Les armées les plus puissantes au monde

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Le site Y net nous en dit plus. Petah Tikva, Ashkelon, Beit Shemesh, Rehovot, sont quatre de ces rares villes en Israël qui jouissent depuis cinq ans d’un solde migratoire interne positif (plus d’arrivants que de partants). Selon une analyse des données fournies par le Bureau central des statistiques, réalisée dans 15 grandes villes d’Israël dans les années 2013 à 2017, données qui ont été comparées à d’autres données comme la mise sur le marché de nouveaux appartements et l’augmentation du prix des logements, il apparait que les grandes villes comme TelAviv, Jérusalem, Haïfa et Beersheba, souffrent au contraire

d’une migration interne négative. 10.000 habitants ont préféré venir habiter à Petah Tikva (7.221 nouveaux appartements ont été construits au cours de la période récente) A Ashkelon, 1100 personnes sont venues habiter en 2013, 2.000 en 2015, et de nouveau 1100 en 2017, soit au total plus de 7500 habitants en 5 ans. Ainsi, l’étude concernant le prix des logements, à partir des données de l’administration fiscale, montre que si les prix des appartements à Petah Tikva en 2013 ont diminué de 5% par rapport Ramat Gan, en 2017 l’écart avait déjà atteint les 21%. La différence de prix entre Rehovot et Rishon Letzion est passée de 3% en 2013 à 12% en 2017. Cet écart de prix constaté entre Ashdod et Ashkelon a été de 40% en 2017. 3. Pourquoi démolir une synagogue à Tel-Aviv ? (Atouts 7) Les habitants de Tel Aviv protestent contre l’intention de

la municipalité de démolir la synagogue « Hekhal Shlomo » du quartier de Nahalat Yitzhak, pour construire à sa place un bâtiment public. La synagogue a été construite il y a environ 43 ans, et 120 personnes peuvent y prier (femmes comprises). Depuis sa fondation jusqu’à aujourd’hui, la synagogue est un lieu central pour les résidents du quartier, qu’ils soient religieux ou laïques. Les manifestants reprochent à la municipalité d’avoir élaboré son projet de la synagogue sans répondre aux besoins de

la communauté, à tous ceux qui viennent pour participer aux offices, à ceux qui sont intéressés par les activités communautaires, aux anciens qui ne peuvent se déplacer facilement pour atteindre un autre lieu de culte. Ils ont indiqué en outre que le quartier de Nahalat Itzhak est en constant développement ces dernières années, que la population augmente, et donc nécessairement les besoins. La ville de Tel-Aviv est pour l’instant restée sourde à ces doléances, et les habitants vont continuer à se battre ont-ils dit.

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LOCALISATION DE SOMMES

D’ARGENT PERDUES

Trouvez-vous logique d’avoir de l’argent dont vous ignoriez l’existence ?

ous avez perdu un membre cher de votre famille ? Vous êtes passé par plusieurs employeurs ? Vous avez participé aux guerres d’Israël ? Vous avez vécu en Israël au moins un an dans le passé ? Vous avez changé de lieu de travail ? Vous avez vécu pendant un certain temps à l’étranger ? Si la réponse est « oui », il semble que vous ayez de l’« argent perdu », et le moment est venu de localiser vos avoirs ! de l’Etat, comme le registre des successions, le directeur de l’enregistrement des sociétés, l’administrateur général, et ainsi de suite, afin de s’assurer, de localiser et de récupérer les sommes d’argent vous revenant de droit.

Que signifie la localisation de sommes d’argent perdues ? L’argent perdu, c’est tout cet argent qui vous appartient sans que vous ne le sachiez, dont vous avez oublié l’existence ou dont vous ne vous souvenez plus de l’endroit où il se trouve. Ce sont en fait des sommes qui n’attendent que vous… n’est-ce pas dommage ? Afin de retrouver de l’argent perdu, il faut marquer un arrêt momentané dans votre vie quotidienne, et réfléchir sur les plans d’épargne et les comptes que vous avez pu ouvrir dans le passé ou s’il y a des chances que vous ayez hérité d’un proche défunt. Rappelez-vous : les 20

sociétés d’assurance ne s’adresseront pas à vous pour restituer l’argent. Eyally la société nationale pour la localisation et la réalisation de droits et d’actifs, œuvre depuis plus d’une décennie et se spécialise dans la localisation et la récupération de sommes d’argent et la réalisation d’actifs, de biens et de droits pour des membres, des clients et des assurés – et au cas où le détenteur des droits est décédé – des héritiers et/ ou des ayants-droit. La société travaille en collaboration avec plus de 91 fonds et caisses de retraites en Israël, et entretient des relations directes avec les autorités

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La société « Eyally » œuvre pour le repérage de cet argent en faveur de ses clients, tout en travaillant avec des avocats, des agents d’assurance, des sociétés d’assurance et l’Etat d’Israël. Nous sommes là pour vous servir en cas de besoin. L’histoire d’une réussite Nous voulons profiter de cette occasion pour vous raconter l’histoire de N.A., âgée de 72 ans, veuve et mère endeuillée. La vie lui a réservé bien des désagréments, mais, de son côté, elle se bat courageusement. Elle s’occupe, avec ses pensées, ses aspirations et son train de vie. Elle reçoit un jour un appel téléphonique de la société « Eyally » : « Vous avez des sommes d’argent

34 On estime que les sommes sans demandeurs qui se trouvent dans les emprunts de la banque d’Israël, dans des comptes bancaires inactifs, des polices d’assurance gelées, des caisses de retraite anciennes etc., avoisinent le montant de 34 milliards de shekels !!!

non récupérées chez une société d’assurance, et nous voudrions les récupérer pour vous…» De son côté, elle a pensé : « Soit on cherche à me faire marcher, soit on veut me soutirer de l’argent, soit on va me demander les coordonnées de ma carte de crédit. Ou alors, on cherche à savoir ce que je possède exactement, ou encore à s’introduire chez moi…» «La vérification et la localisation des sommes sont réalisées par un avocat qui se tient à la tête de l’entreprise, et les sommes d’argent, comme il est précisé explicitement dans le contrat signé par nos clients, ne sont récupérées qu’en faveur du client. C’est seulement si nous parvenons à retrouver les sommes, que nous réclamons nos honoraires. Seriez-vous intéressée par une rencontre avec nous? Ça peut se faire chez vous, avec une représentante désignée par nous, ou chez nous, en présence d’un représentant de notre société, dans nos bureaux de Rishon Lezzion.» Environ quatre mois plus tard, Mme A. a touché un chèque du montant de 310 000 ILS, de l’une des plus grandes sociétés d’assurance d’Israël. Son émotion et les remerciements qu’elle n’arrêtait pas de nous adresser réchauffaient le cœur. La société « Eyally » vous invite à vous faire une idée sur notre site internet, à prendre contact avec nous et à vérifier si vous avez des droits. Pour tout ce qui a trait à des références, des exemples et d’autres informations, nous sommes à votre disposition. L’itinéraire sûr : L’itinéraire où le client se contente de régler des honoraires d’un montant réduit de 990 ILS, mais uniquement si notre société parvient à localiser concrètement des sommes non réclamées

(de l’argent défini comme « dormant », dont le client n’a pas fourni d’éléments préalables sur sa connaissance). Le client réglera également des honoraires variables en pourcentages. L’itinéraire partagé : L’itinéraire où le client règle 1450 ILS sans relation avec ce que notre société aura localisé en faveur de celui-ci, mais où il n’aura pas à régler d’honoraires supplémentaires, ni en pourcentage ni en shekels. Il arrive souvent que nous retrouvions pour nos clients des sommes avoisinant les 200 000 ILS. Ce sont des sommes perdues/dormantes pour lesquelles les honoraires dépassent les 20 000 ILS. Personne n’est prêt à payer une somme pareille. Cet itinéraire arrange tout le monde. L’itinéraire du contrôle pour un défunt : Afin de démarrer la procédure de vérification des droits d’un défunt au nom de son héritier, il faut transmettre à notre bureau une copie du certificat de décès de ce défunt et une photocopie de la carte d’identité de l’un des héritiers. Sans ces documents, il n’est pas possible de lancer la procédure du contrôle des droits du défunt. Nous tenons à signaler qu’il n’est possible de retrouver que le nom de la société ou de l’organisme institutionnel qui détient l’argent du défunt et non pas le montant réel des sommes, c’est-à-dire de retrouver la caisse uniquement.

Le contrôle des droits non revendiqués par un homme entretemps décédé est plus long et plus complexe qu’un cas habituel. Notre société, par le biais d’un certain nombre d’avocats, qui œuvrent face à 91 organismes financiers en Israël, a pour objectif de localiser en faveur des héritiers les sommes « perdues ». C’est pourquoi, le payement pour la vérification inclut-elle les frais de redevance, de courrier, les honoraires d’avocats, le travail d’un comptable et autres, s’élève à 2450 ILS, payement unique, Tva comprise.

Adresse : Rehov Hertzl 30 Rishon Letzion Téléphone : 1-700-722-555 Fax : 03-6221132 Mail : info@eyally.com www.eyally.com

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LÉGISLATION DU TRAVAIL EN ISRAËL

CONNAISSEZ VOS DROITS ! PAR MAÎTRE HAMOUTAL BANOU, DIPLÔMÉE EN DROIT DE L’UNIVERSITÉ DE TEL-AVIV ET HABILITÉE À JUGER DEPUIS 2010.

En quoi consistent les droits sociaux et à qui s’adressent-ils ?

’équivalent du pain et de l’eau, concernant les lois du travail, sont les droits sociaux accordés aux travailleurs. Le lot désigné sous l’appellation des droits sociaux inclut : les congés maladie, le droit de s’absenter en situation de maladie d’un enfant ou d’un parent, les jours de convalescence rémunérés, les congés payés, les frais de transport, la retraite, les indemnités, les heures d’absence des femmes enceintes ou pour traitement liés à la fertilité, les heures supplémentaires, le salaire des jours de fêtes, la majoration des heures du shabbat, la majoration de salaire pour le travail nocturne, les droits attribués dans le cadre d’une convention collective, ou de l’usage du lieu de travail, le préavis de licenciement, et bien entendu le droit d’obtenir son salaire à temps sans rétention salariale, etc. Néanmoins, tous ces droits sont accordés uniquement à des tra-

vailleurs et non pas à des employés indépendants qui produisent des factures. Mais que faire lorsque l’employeur contraint le travailleur à accepter le modèle d’une tâche contractuelle quand il s’agit en réalité de relations de travail ? Les tribunaux du travail, dans un grand nombre de verdicts, ont mis au point un système de signes pour identifier une situation où il est question en réalité d’une relation employeur-employé. Dans de nombreux cas, si une plainte est déposée, l’employeur sera alors tenu de s’acquitter des droits sociaux. L’ensemble des droits attribués à tout travailleur en Israël est un principe irrévocable, même en cas d’acceptation du travailleur. Et ce, afin de prévenir l’exploitation de ces travailleurs qui cherchent à intégrer le marché du travail. Ainsi, la semaine de travail a-telle été réduite sur l’ensemble du marché à 42 heures hebdomadaires seulement et à 182 heures mensuelles. Tout ce qui déborde de ce qui précède (aussi bien quotidiennement qu’hebdomadairement),

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implique l’intervention d’un salaire basé sur les heures supplémentaires. Il importe de savoir que des pauses doivent être accordées à chaque journée de travail de plus de six heures, car le temps de récupération ne peut être inclus dans le salaire et il en est de même pour les frais de transport. Les commissions et bonus représentent parfois une partie importante du salaire mais ne sont souvent pas considérés comme partie intégrante de ce salaire en ce qui concerne l’évaluation du montant de la retraite ou des indemnités, et cette pratique n’est pas toujours légale. Dans les cas où les commissions et bonus ne portent cette appellation que pour échapper au règlement des il est possible de déposer une plainte à cet effet au tribunal du travail. Un sujet très important consiste dans la retraite et les cotisations aux caisses d’indemnisation que chaque employeur en Israël est légalement contraint de verser pour ses employés, et ce en vertu des conditions prévues par la loi. Un autre est celui du versement d’indemnités. Il importe de consulter un avocat chaque fois que l’on commence un travail, afin de maximaliser les pourparlers en vue de la signature du contrat d’embauche et de bien comprendre toutes les conditions mentionnées dans le contrat, ainsi que celles qu’il est possible d’obtenir même si elles n’y sont pas mentionnées. Mail : hamutal@beno-law.com Téléphone : 054-201-1345 Fax : 09-7496502 Adresse : Rehov Yair Stern 43 Hod HaSharon

LE CENTRE ISRAÉLIEN DES ÉVÉNEMENTS by Noa Shoham

ous considérons notre travail comme une mission pour prendre soin de vous, afin que vous puissiez être des hôtes tranquilles du début à la fin de votre réception. Vous méritez que votre événement soit parfait, avec zéro dysfonctionnement, car un événement ne peut être réparé. Nous produisons de tout notre cœur des événements magiques, avec une relation personnalisée et un suivi proche. Vos rêves sont réalisables. Ce que vous vous figurez en pensée peut se changer pour vous en réalité. Nous sommes là pour vous produire un événement émouvant, original et inoubliable, pour vous faire profiter de votre soirée de fête. Nous décorerons, planifierons, calculerons le prix, vérifierons, vous aiderons à choisir entre les centaines de fournisseurs contrôlés par nous minutieusement (qui ont obtenu le label du Centre israélien), nous réaliserons, nous démonterons, et vous serez détendus et profiterez en tant que hôtes de la sérénité, sans avoir besoin d’être préoccupés par les infimes détails et sans

DES ÉVÉNEMENTS SOUS UN AUTRE ANGLE vous agiter pour vous occuper des problèmes qui risquent de surgir. Cette journée sera inoubliable! Vous serez des hôtes détendus, pendant que l’événement se déroulera d’une façon hautement professionnelle. Tout cela se réalisera grâce à vingt ans d’expérience, à une équipe qui vient de tout son cœur et de toute son âme au travail. Nous aimons ce que nous faisons, ce qui assure un événement impressionnant, précis, heureux et succulent. Tout le monde l’éprouvera. Car nous ne nous soucions pas

seulement des infimes détails pour que tout semble parfait; nous avons à cœur que vous puissiez assumer le budget adéquat sans dépenses superflues, car, pour nous, c’est une mission de veiller sur vous et de vous faire obtenir ce qu’il y a de meilleur. Sans surprises au milieu de l’événement, avec toutes les garanties nécessaires. Au Mur Occidental, à Massada, à la maison, dans la nature ou en tout lieu que vous vous imaginerez, nous réaliserons pour vous votre rêve intégralement. Et nous vous promettons que l’événement sera remarquable et inoubliable.

Noa Shoham 052-3976882 - 077-8855080 | www.noaevents.co.il | Avril 2019 / www.trouverenisrael.co.il

COMMENT BIEN CHOISIR SA MÉZOUZA

ATTENTION AUX

Mon certificat de sofer

Laboratoire de falsification de Mézouzot

a fixation de la mézouza est un commandement très important, pour lequel il faut être bien préparé et savoir ce qu’il faut exiger et contrôler afin de l’accomplir concrètement. L’importance du commandement, qui s’exprime du fait qu’il est observé dans toutes les maisons d’Israël, et dans toutes les pièces (sauf de commodités etc.), a imposé une réalité laissant entendre que si j’achète une mézouza, c’est qu’elle est nécessairement cachère et répond à tous les critères de la halakha.

Toutefois, des escrocs profitent de cette exigence et font de la contrefaçon. S’il arrive qu’elle se traduise par son impression sur du papier ou du carton ou sous la forme d’un modèle près à l’impression. il est certes aujourd’hui, avec le progrès technolo1 gique, plus difficile d’identifier la contrefaçon. des Par exemple : consimézouzoth dérons la contrefaçon en Israël d’une mézouza à partir seraient des d’un parchemin et d’une faux. encre véritables, mais Source : ayant recours à une imisraelhayom. primante moderne. Il co.il sera très difficile de la démasquer. 2 Code des Lois, Yoré Les données publiées Déa’, dans la presse sont égachapitre 285, lement inquiétantes : Dans un article publié ou traité par le journal « Israël Autalmudique jourd’hui », en janvier 20191, Chabbat, il apparaît que seules 42% page 32b. des mézouzoth destinées

58%

à protéger les habitants de la maison se sont avérées cachères, tandis que 10% d’entre elles se sont avérées vides en raison d’une vague de vols. On ne trouve presque pas de maison juive sans mézouza. Ça n’a rien à voir avec notre niveau religieux. Un déménagement, l’achat d’une nouvelle maison, l’ajout d’une pièce et la ferme intention d’avoir des mézouzoth de première qualité afin de réaliser le commandement de la meilleure façon possible, sont des événements qui nous concernent au moins une fois dans notre vie. C’est une halakha explicite qui veut que tout individu attentif au commandement de la mézouza verra se prolonger ses jours et ceux de ses enfants, alors que dans le cas contraire, ils risquent de se raccourcir2. La fixation d’une mézouza cachère chez moi est un privilège et une obligation, et la bonne méthode consiste à s’adresser à un scribe fiable détenteur d’un diplôme de qualification et expérimenté, pour s’assurer de l’achat d’une mézouza apte et embellie tout en s’assurant que la mézouza acquise est effectivement valable. Après environ 14 ans d’expérience dans l’écriture sainte, j’ai créé « Min Ha-stam », dans l’optique de la cacherout, la responsabilité et la fiabilité. Chaque mézouza est écrite à base de matières premières de qualité, et

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Quelques conseils pour l’achat d’une mézouza : *L’achat doit se faire chez le scribe ou son délégué. Exiger qu’il vous présente son diplôme. *Exigez la double vérification humaine et le contrôle par ordinateur. *Exigez un reçu pour votre achat. Il a valeur de certificat montrant qu’il s’agit bien d’une entreprise sérieuse et aussi de preuve d’achat. *Vérifiez qu’elle est effectivement écrite sur du parchemin et pas sur du papier ou du carton. *Il est déconseillé d’acheter des mézouzoth de moins de 12 cm de hauteur. Généralement, cela pose des problèmes halakhiques au niveau de la forme des lettres et de lettres collées. *Choisissez un boîtier difficile à ouvrir, ce qui découragera les voleurs. est soumise à deux contrôles humains puis un contrôle informatisé, qui fait office de certificat de garantie pour le client. Nous serons heureux de vous offrir nos services pour toute question. Vous pourrez vous faire une idée sur notre site, www.minhastam.com Pour toute consultation, aide ou suivi : Yéhouda David- – 052-3052617 Scribe, propriétaire de l’entreprise « Min Ha-stam », mochav Hazorim.

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VOYAGEZ AU COEUR DE VOUS-MÊME

alérie Cohen certifiée praticienne de NeurOptimal® Dynamic travaille à Tel-Aviv en Israël. Elle a souhaité nous raconter son histoire, pourquoi et comment estelle devenue praticienne. Ma fille est âgée de 22 ans, elle est née autiste. Un état que je n’ai pas voulu accepter jusqu’à qu’elle atteigne l’âge de 6 ans, âge fatidique et de vérité puisqu’il est celui de l’entrée en cours préparatoire 1ère année. Lorsque le diagnostic a été posé, tous autour de moi, affirmait que c’était irréversible, on ne guérit pas de l’autisme. J’ai subi les découragements et le désespoir. Mais, je n’ai pas baissé les bras, je n’ai eu de cesse de m’informer sur l’autisme, tout le temps, j’ai tout tenté et à chaque fois avec le même espoir. Mais face à l’impossible on ne peut attendre que le miracle. En chaque technique j’ai vu et compris qu’une petite parcelle

du miracle tant attendu s’offrait à nous, à elle en particulier. Ces parcelles ont été suffisantes pour avoir envie de continuer pour elle. Aujourd’hui, c’est à elle que je dois d’avoir découvert le NeurOptimal® Dynamic. J’ai donc tout arrêté et consacré ma vie pendant 14 ans à cette petite fille si différente. Avec le temps, les soins, les stimulations diverses et variées ainsi que les méthodes alternatives pour essayer de l’aider ont réussi à la hisser jusqu’en 1ère S. Un exploit, un miracle ? En tout cas beaucoup de travail, d’investissements, et beaucoup beaucoup d’amour. À ce stade-là, le bac n’était pas le sujet du jour. Je ne pouvais simplement pas imaginer qu’elle puisse avoir son bac. Le bac était donc hors de portée et hors de mes pensées, seulement dans un rêve, ces rêves de mamans. Mais ma fille était différente, je n’en espérais pas tant.

Et puis, un jour, j’ai entendu et lu que le NeurOptimal® Dynamic pouvait l’aider un peu plus, et particulièrement sur la concentration. Et ce rêve enfoui est devenu réalité. Ma fille a eu son bac ! Combien de personnes qui vivaient avec des insomnies, des maux de têtes récurrent sans origine médicale, troubles alimentaires, toc, crises d’angoisses, crises d’anxiété, ont réussi à les contourner grâce au NeurOptimal® Dynamic et peuvent attester d’une vie optimale. Plus de 120 comportements peuvent être modifiés avec NeurOptimal® Dynamic. Aujourd’hui, à mon tour, je souhaite, aider les enfants et leurs parents, les aider à trouver un autre chemin pour contourner leurs mauvaises habitudes, donner de nouvelles réponses à leur cerveau pour contourner ces problèmes réguler l’activité de leur cerveau afin de vivre pleinement son potentiel.

NEUROFEEDBACK OPTIMAL

LE BILAN + 1 SÉANCE OFFERT Valérie Cohen à Tel Aviv 053-7086836 NEUROFEEDBACK-TEL-AVIV Valérie Cohen exerce le Neurofeedback à Tel-Aviv elle vous reçoit pour une première séance et un audit gratuit à son cabinet tous les jours.

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Pour tous renseignements sur le NEUROFEEDBACK et les disponibilités de Valérie Cohen vous pouvez la joindre à ce numéro à Tel-Aviv : 053-7086836

MAL DE DOS QUE FAIRE POUR SOULAGER LA DOULEUR ?

PAR

ORIT VANGER, SOIGNANTE SHIATSU DIPLÔMÉE

uelle sera votre vie sans douleurs lombaires ? Si vous ne pouvez pas aller au travail quand vous avez mal au dos, vous perdez du temps et de l’argent. Quand vous êtes réveillé la nuit par la douleur et fatigué toute la journée, c’est votre système immunitaire qui est touché. Les soins shiatsu sont aussi bien des traitements contre les douleurs orthopédiques du dos qu’un renforcement du système immunitaire. Ils améliorent en outre les énergies. Le traitement inclut des étiL’histoire d’Yfat : « Dans mon travail de puéricultrice, je suis obligée de me pencher sans arrêt sur les enfants. J’ai souffert pendant trois ans de douleurs lombaires. J’ai consulté beaucoup de traitants mais c’est chez Orit que j’ai eu droit à une considération personnelle particulière. Les mains chaudes d’Orit m’ont tout simplement remis le dos en état et, suite au traitement, la douleur est passée. Elle m’a aussi appris à faire des étirements utiles. La confiance que je fais au shiatsu et à Orit et ma persévérance pour me rendre chaque semaine à ma séance de soin ont été payantes. Après quelques séances de soins, la sensation et la tension que j’éprouvais dans le dos ont disparu. Aujourd’hui, je suis une puéricultrice plus détendue et heureuse. »

rements qui éloignent les vertèbres de la colonne vertébrale les unes des autres et préviennent la tension présente dans les nerfs et les muscles de cette zone. Les pressions le long du dos et des jambes entraînent le rétablissement plus rapide de celui-ci et le retour aux habitudes de la vie. Une douleur lombaire peut consister dans une douleur ponctuelle et ininterrompue qui apparaît après un mouvement brusque, même quand vous vous reposez. Elle est ressentie comme une piqûre dans la zone des hanches. Une douleur lombaire chronique est une douleur que l’on ressent plus fréquemment le matin et à un faible degré pendant la journée. Après une station debout prolongée ou la conduite, la douleur s’intensifie. Pourquoi ressent-on une douleur ? Quand vous subissez une douleur lombaire, les muscles du dos et du postérieur se contractent inconsciemment et intensifient la douleur. Majori-

tairement, le muscle psoas majeur est atteint, c’est un muscle profond qui passe par les vertèbres lombaires, le bassin et les cuisses. Douleur nerveuse – quand les vertèbres lombaires (L1-L5), font pression sur les nerfs qui leur sont voisins, on subit un rayonnement douloureux dans la cuisse (en général dans une seule). Le nerf qui est touché est le nerf sciatique – qui démarre de la zone lombaire en direction du postérieur et de la jambe, c’est pourquoi on ressent la douleur là où il passe. Plus vous vous dépêcherez de recevoir des soins, plus vous augmenterez vos chances de ramener votre situation à son état initial.

OritVanger : soignante-cheffe en shiatsu, spécialisée dans le traitement des douleurs lombaires, travaille avec les caisses de maladie et dans une clinique. Vous êtes invité à une consultation gratuite. Téléphone : 052-632-0679 Mail : orit3244@walla.co.il

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RELOOKING DÉCO INTÉRIEUR MAISON :

QUELQUES ASTUCES PAR DANA

BILDNER, PLANIFICATION ET DÉCORATION D’INTÉRIEUR

faire part de quelques astuces accompagnées d’anecdotes qui pourront vous aider dans vos prises de décisions avant la rénovation ou la construction de votre maison.

« Comme j’aime ma maison ! »

ette phrase, chacun devrait la prononcer même après s’y être installé depuis des années. Mon approche de la déco exige que je considère chaque projet comme s’il s’agissait de ma propre maison, ou de celle de mes quatre merveilleux enfants. Le travail de la déco, de la planification et du suivi reflètent les grands amours de ma vie : les gens et le style. Cela fait environ dix-sept ans que je vis, respire et réalise des projets. Dans le processus de la décoration d’un appartement, d’une maison, d’un magasin ou d’un bureau, il est primordial de travailler de pair avec les propriétaires, dans une relation interhumaine ouverte et honnête, de respecter les délais pour lesquels je m’engage, et de ne pas dépasser le budget convenu au départ. Pour moi, une maison est une sorte de lumière intense, ce qui n’a rien à voir avec l’intensité de l’éclairage ou de la lumière naturelle qui y sont présentes. Avec l’expérience que j’ai acquise durant les années, je vais vous

Exploiter les espaces inutilisés et les rendre plus fonctionnels. Il importe de rester ouvert aux changements. Par exemple, un espace donné existant, qui a été destiné à assumer une certaine fonction, peut généralement servir à un autre usage. Une cage d’escalier peut servir pour le stockage, les balcons de service peuvent être utilisés de manière plus pratique que ce qui avait été prévu, à l’aide d’armoires allant jusqu’au plafond, etc. Je me rappelle très bien que durant l’un de mes plus grands projets – la décoration d’une maison privée – il y avait un petit espace qui servait comme une sorte de cagibi dans lequel s’entassaient toutes sortes d’affaires. Dans cette pièce se trouvaient dispersées quelques guitares en désordre. Le client, guitariste, m’avait demandé d’essayer de réfléchir à la possibilité de lui trouver un coin où il pourrait rassembler ses guitares variées éparpillées dans sa maison. Le résultat s’est inscrit dans le cadre de la planification et de la déco. J’ai créé une pièce dédiée à la musique. Les clients étaient très surpris et emballés par le résultat final. La chambre du désordre qui servait de débarras à la maison jusqu’au ravalement, a changé d’objectif pour devenir une élégante chambre musicale, intime et éveillant l’inspiration, où il est désormais possible de jouer et de s’entraîner sans déranger les autres occupants de la maison. Dans un autre foyer, une petite chambre d’armoires a été annulée, deux de ses cloisons ont

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Premier RDV gratuit !

été démontées et elle est devenue un coin familial très chaleureux qui a résolu bien des problèmes dans la gestion du foyer. L’intégration et le travail des couleurs et de matériaux divers, s’ils sont bien agencés, produisent de l’intérêt, du caractère, de la fonctionnalité et des espaces décorés. Un travail sur les contrastes résout souvent des problèmes de décoration. Quand je me trouve chez des clients dont la maison contient de vastes espaces et qu’ils craignent qu’ils ne suscitent une sensation de froid et d’inhospitalité, je m’efforce de les combler à l’aide d’éléments d’où se dégagent chaleur et convivialité. Par exemple : un sol en parquet, un éclairage approprié, des meubles aux teintes chaudes, et des objets dégageant un message et de la prestance. Dans les appartements exigus, je travaille beaucoup sur la création de l’illusion de grandeur à l’aide de miroirs, de pose de carrelages et de revêtements dans le sens de la longueur ou de la largeur selon l’espace concerné, la mise en place d’objets aux dimensions imposantes et parfois hauts qui attirent sur eux l’attention en donnant l’impression d’espace. J’ai adopté comme devise une véritable écoute des besoins des clients et une réflexion créative à chaque étape. Les rêves sont faits pour être réalisés ! C’est ma devise ! A ce propos, plus de 150 clients pour qui j’ai planifié et décoré plus de 5000 m² pourront apporter leur témoignage. Je serais heureuse de faire votre connaissance et de me lancer dans ma prochaine expérience en votre compagnie. Vous pouvez me contacter au : 0545564484 E ‫תכנון ועיצוב פנים‬- ‫דנה בילדנר‬

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SCANDALES PAR

L’escroc de Tinder Un Israélien est accusé d’avoir arnaqué plusieurs jeunes femmes qu’il a rencontrées via le célèbre site Tinder. Pour entrer en contact avec ces dernières, l’homme âgé de 28 ans s’est rendu au RoyaumeUni, en Suède et en Norvège. Il profitait de l’argent de l’une pour mentir à l’autre, tout en sortant le grand jeu. Jet privé, séjours dans les plus beaux hôtels, diner dans les meilleurs restaurants gastronomiques. L’escroc se faisait passer pour le fils de Lev Levaiev, « le roi du diamant », l’un des plus riches au monde. Les femmes tombaient sous le charme du soi-disant riche héritier, mais tout était faux. L’une d’elles s’est confiée au journal norvégien Verdens Gang. Elle raconte que dès les premiers rendez-vous, tout était parfait. Des moments idylliques mais qui ont vite tourne a de l’escroquerie. Un tour en avion jusqu’en Bosnie, et rapidement les messages d’amour laissent place à des demandes plus étranges. Le pseudo-homme d’affaires exige de la jeune femme de 31 ans, de lui virer des sommes d’argent tres importantes afin d’éviter de laisser des traces d’opérations bancaires. La norvégienne est toujours sous le charme et s’endette à hauteur de plus de 200.000 euros. Dans le même temps, à des milliers de kilomètres, cet 30

OLIVIA ABECASSIS-LASRY

argent sert à financer des cadeaux pour d’autres nouvelles conquêtes. Le tabloïd norvégien a enquêté sur cette affaire durant plus de 6 mois. Le voleur aurait déjà fait 3 ans de prison en Finlande pour avoir escroqué 3 autres femmes. Il est ensuite extradé en Israël pour y être jugé en 2017. Là, il est libéré sous caution, avant de disparaître. Depuis cette disparition, l’homme s’est créé ce personnage de millionnaire pour séduire de jeunes Européennes. Il aurait récemment été aperçu à Munich en Allemagne. Lev Leviev, son « père » de substitution, a porté plainte contre lui auprès de la police israélienne. De son côté, l’avocat de l’escroc assure être sans nouvelle de lui. Selon le quotidien israélien Haaretz, Simon Hayut, le vrai, a grandi à Bnei Brak dans la banlieue de Tel Aviv. A l’heure où nous écrivons cet article, le « Tinder Swindler », comme le surnomme le tabloïd, n’était toujours pas identifié. Il est activement recherché par la police israélienne et signalé pour escroquerie en Suède, au Royaume-Uni et en Norvège. A quelques jours des élections législatives, les critiques vont bon train. Et récemment, quelques artistes n’ont pas hésité à s’exprimer. Tout a démarré lorsque la ministre de la Culture a invité les électeurs à ne pas voter pour les adversaires du premier mi-

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nistre Benyamin Netanyahou. Selon la ministre Miri Regev, le parti Bleu Blanc de Benny Gantz tenterait de former un gouvernement avec des partis arabes. Face à ces propos, l’actrice et mannequin Rotem Sela, sans langue de bois, a vivement réagi sur Instagram. « Quel est le problème avec les Arabes ? Bon sang, il y a aussi des citoyens arabes dans ce pays. Quand donc quelqu’un dans ce gouvernement passera le message au public qu’Israël est l’État de tous ses citoyens et que tous les gens ont été créés égaux, et que même les Arabes, les Druzes, les LGBT et les gauchistes sont humains ». La réaction du premier ministre ne s’est pas fait attendre. « Chère Rotem, une correction importante : Israël n’est pas un État de tous ses citoyens. Selon la loi sur l’État-nation que nous avons adoptée, Israël est l’État-nation du peuple juif – et personne d’autre », a déclaré Benyamin Netanyahou. Aussitôt, Rotem Sela a été soutenue par une autre actrice, la cé-

lèbre Wonder Woman, Gal Gadot. Autre soutien, celui de l’actrice israélienne Yael Abecassis. « L’opinion de Rotem Sela est celle de la majorité, il n’est plus question de droite ou de gauche, il s’agit d’humanité contre l’insanité, » a déclaré l’actrice sur la Treizième chaîne de la radio publique israélienne ».

que ceux qui ne sont pas loyaux envers cet État ne devraient pas être citoyens de cet État. » Pour le parti de droite, « c’est l’une des décisions les plus scandaleuses que la cour n’ait jamais prises. On se souviendra de cela historiquement comme d’un coup mortel pour la démocratie ».

Une décision d’autant plus surprenante que ce même conseiller juridique a validé les listes arabes au motif “qu’il n’y a pas de preuves suffisantes pour une telle décision”. Le tribunal a en effet approuvé la candidature des partis arabes Ra’am-Balad et Hadash’Ta’al.

La Cour suprême a annulé la candidature du Dr Michael Ben-Ari, candidat de la droite Otzma Yehudit, aux élections législatives d’avril.

Dr Michael Ben-Ari

Une majorité de 8 juges contre 1 a décidé de disqualifier le candidat. Le conseiller juridique du gouvernement Avihaï Mandelblit, qui a dit se baser sur l’avis du Procureur de l’État Shaï Nitzan, a adressé son avis à la commission électorale centrale et a considéré qu’il y avait lieu d’invalider la candidature du Dr. Ben-Ari pour “incitation au racisme”. Pour le procureur : « Il ne faut en aucun cas baisser les bras et nous devons combattre le racisme par tous les moyens. Le racisme est un poison qui s’instille dans les veines de la nation et fait son chemin. C’est pour cela qu’il est difficile de le combattre. » La réaction à cette décision ne s’est pas fait attendre : « Une junte judiciaire tente de prendre le contrôle de nos vies. Ce n’est pas la démocratie, a réagi le docteur. » Son avocat Itamar Ben Gvir a expliqué à la cour que son client n’avait aucun problème avec les Arabes, qui considèrent Israël comme l’état du peuple juif et

Iront-ils jusqu’au bout et seront-ils sur scène à Tel Aviv lors de l’Eurovision ? Plusieurs questions se posent après la sélection du groupe islandais Hatari au concours de l’Eurovision, le 18 mai prochain. Le groupe provocateur de techno-punk a été choisi pour représenter son pays en Israël. Il interprètera sa chanson “Hatrid Mun Sigra” ou encore “La haine l’emportera”. Titre pour le moins évocateur. Les membres du groupe se sont fait remarquer aussi par leur look et leur mise en scène très inspirée de la culture BDSM (“bondage, discipline, sado-masochisme”). Selon nos confrères de Times of Israel, le groupe Hatari a partagé sa volonté

de protester sur la scène de l’Eurovision et de dénoncer Israël. Un membre du trio, resté anonyme, a même invité le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu à affronter le groupe lors d’un match de glima, lutte scandinave. Une initiative qui serait contraire aux règles du concours, rappelons que cet évènement interdit tout commentaire politique sur scène. Le groupe Hatari ne cache rien de ses sensibilités pro-palestiniennes et semble bien décidé à les mettre en avant. Enfin, selon Haaretz, l’organisation Shurat Hadin qui représente les victimes du terrorisme et des causes juives et israélienne, a demandé au ministre de l’Intérieur, Arye Dery, d’interdire Hatari d’accès au territoire. Une requête qui serait, selon plusieurs médias locaux, actuellement étudiée par plusieurs ministères.

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