Antisèche (avril/ mai/ juin 2014)

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La revue officielle de l’Union des étudiants de la Communauté française

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Editeur responsable : Michaël Holzemann - Unécof asbl - Adresse postale : rue du Congrès, 13 - 1000 Bruxelles

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Interview de Jérôme Lechien Les locales de l’Unécof p. 14

Président du Conseil de la Jeunesse p. 6

Témoignages des stagiaires p.18

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édito Tu as entre tes mains notre dernière Antisèche pour l’année académique 2013-2014. Même si les vacances d’été approchent, l’Unécof continue à défendre les étudiants ! Assemblée générale, suivi de la campagne Unévox, salons SIEP ou encore manifestations ont fait partie des actions de l’Unécof pour ce second quadrimestre. Un feedback de tous ces événements a donc été ajouté dans ce numéro pour te les expliquer. Un grand débat politique a notamment été organisé dans le cadre de la campag ne Unévox, le 30

avril, dans la salle du Foyer Européen (Bruxelles). L’occasion d’entendre

l’avis des partis politiques sur l’avenir de l’enseignement supérieur juste avant les élections. De nombreux étudiants y ont posé leurs questions et ont fait entendre leur voix !

Par ailleurs, l’Unécof s’attèle désormais à développer de nouvelles actions

« Organisation de Jeunesse » (OJ). En effet, outre ses missions de syndicat pour les étudian ts, l’Unécof est également reconnue en tant qu’OJ. Elle lance donc de nouveaux projets de terrain qui permettront aux jeunes de mettre les pieds dans des festivals musicaux ou sur le sol québéco is !

Bref, l’Unécof a eu un agenda bien rempli ces dernières semaines : grand

débat du 30 avril, Assemblée générale élective du 5 mai, séance d’information du 8 mai pour le projet international (plus d’infos sur notre page facebook)… Il y en a eu pour tous les goûts et pour tout le monde !

Je vous souhaite à tous un bon blocus, de belles réussites pour vos examen s de juin et, déjà, d’excellentes vacances d’été !

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Projet festivals : la sexualité vue par les jeunes Axe international Interview du nouveau Président du Conseil de la Jeunesse, Jérôme Lechien Manifestation du CIUM : un INAMI pour tous les étudiants !

L’Unécof en pleine campagne Actualités de l’Unécof Un événement 100 % réussi !

Les locales Des astuces et des conseils pour un blocus réussi !

Témoignages des stagiaires Prix citron/Prix orange Agenda

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Rédacteur en chef : Michaël HOLZEMANN

Comité de rédaction : Rémi BELIN, Sophie COCHART, Aurélie DELVA, Mélissa HANUS, Maryne HUGE, Calogero MAROTTA, Livia VERDELLI Conception graphique : Expansion

Adresse de la rédaction : Unécof asbl Union des étudiants de la Communauté française Rue du Congrès, 13 - 1000 Bruxelles info@unecof.be www.unecof.be Tél. : 02/541 85 00 Fax : 02/541 85 09

Projet

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public sur divers aspects. Par exemple, la banalisation du sexe à travers les médias et, a contrario, l’importance d’une sexualité responsable, à savoir une sexualité qui met en avant le respect de soi mais aussi de l’autre. D’ailleurs, le safe sex est-il toujours d’actualité ? Une question essentielle pour ne pas dire existentielle et, malgré tout, encore trop souvent écartée…

Enfin, si, dans sa dimension la plus concrète, la sexualité perçue en tant qu’acte charnel sera abordé, son aspect plus général, comme au travers des idées reçues, ne sera pas épargné.

v é t i l a se xual

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À l’Unécof, on sait se pencher sur de vraies questions, sur des thèmes qui concernent tout un chacun.

Car, si notre mouvement a des rôles connus en matière politique, à savoir la représentation étudiante, elle a aussi comme objectif, en tant qu’Organisation de Jeunesse, de devoir interpeller les jeunes à se positionner sur diverses thématiques. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de développer un axe citoyenneté basé sur un thème universel : la sexualité.

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Pour aborder ce sujet de manière pertinente, il nous semble essentiel, d’une part, de donner la parole aux jeunes et, d’autre part, de les sensibiliser à certains aspects de la sexualité.

Afin de favoriser l’expression des jeunes, nous avons programmé des rencontres dans des lieux dégagés d’un contexte formel où la sexualité est omniprésente… à savoir les festivals musicaux !

De cette manière, une équipe unécofienne se mobilisera, et c’est son premier objectif, pour recueillir les impressions du public interrogé sur diverses questions : Comment, en 2014, un jeune voit-il la sexualité ? Quelles sont ses appréhensions ? Quel sont ses sentiments positifs et négatifs liés à celle-ci ? Dans un second temps, cette délégation pourra également attirer l’attention du

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Dans un premier temps, nous avons proposé l’idée aux étudiants qui ont répondu de manière enthousiaste. Une quinzaine de personnes s’est donc manifestée pour constituer le « groupe de travail citoyenneté » pour mener ce projet à bien. Afin d’approcher la sexualité sans retenue, il est indispensable de préparer un terrain favorable à l’expression. Les réunions de travail sont programmées pour les mois à venir et sont pensées en collaboration avec un animateur des CEMEA (association de personnes engagées dans des pratiques éducatives, culturelles et sociales) qui forme le staff de l’Unécof préalablement à chaque séance dans un souci d’efficacité. Le but des rencontres entre jeunes sera de s’exprimer et de s’écouter en abordant la thématique de manière ludique, parfois indirecte mais toujours de manières respectueuse et pertinente.

Au terme des diverses réunions, les jeunes investis se déplaceront dans trois festivals (Verdur Rock de Namur le 28 juin, Ardentes de Liège du 10 au 13 juillet et Dour du 17 au 20 juillet) pour remplir leur mission et ainsi joindre l’utile à l’agréable !

Axe international Alors, vous allez vous demander pourquoi l’Unécof parle de ce bon vieux pays. Et bien, parce que nous envisageons de nous rendre à Montréal pendant 14 jours avec 10 étudiants. En effet, le Québec est un pays en pleine effervescence et en constante évolution, surtout au niveau des innovations technologiques. De plus, les richesses culturelles et humaines y sont particulièrement intéressantes. Ces différentes raisons stimulent notre envie de partir et de découvrir ce pays aux multiples facettes.

Ce projet international comprendra deux axes. D’une part, l’axe Organisation de Jeunesse (OJ) aura pour thème le développement durable, la mobilité et les énergies renouvelables. D’autre part, l’axe Organisation Représentative Communautaire (ORC) traitera des systèmes éducatifs, de l’organisation du mouvement étudiant mais aussi de la suite du Printemps Érable, c’est-à-dire

les manifestations étudiantes qui se sont déroulées en 2012 au Québec.

D’un point de vue pratique et organisationnel, nous allons tout d’abord rencontrer des « experts » belges (étudiants en ingénierie, politiques, etc.) qui nous donneront leur avis et partageront leurs expériences. Avant de partir, nous organiserons des visites, des réunions, des conférences, des ateliers et autres. Ensuite, nous constituerons un dossier de synthèse avec tous les points de vue que nous aurons récoltés. Quand nous serons sur place, nous rencontrerons diverses institutions et associations. Ces visites et ces rencontres nous permettront d’établir un dossier comparatif entre les deux pays, de remettre de nouvelles idées aux politiques belges pour notre côté OJ mais aussi de créer des liens internationaux et chercher de nouvelles méthodes d’actions pour notre côté ORC. Si ce projet vous intéresse et que vous avez envie de vous rendre au pays du sirop d’érable et des ours bruns, n’hésitez pas à vous faire connaître via notre adresse mail info@unecof.be.

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Si nous vous disons : pays où les habitants parlent tous avec un accent bizarre, où il fait – 40 degrés en hiver, où des chanteurs comme Garou, Céline Dion ou encore Natasha Saint-Pier sont nés, j’espère que vous avez deviné qu’il s’agissait du Québec !

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Interview du nouveau Président du Conseil de la Jeunesse Le Conseil de la Jeunesse est l’organe porte-parole officiel des jeunes en Fédération Wallonie-Bruxelles. Son rôle est de faire participer les jeunes (16-30 ans) au processus démocratique, notamment en récoltant leur parole sur une série de thématiques qui touchent directement ou indirectement la jeunesse pour ensuite la relayer auprès du monde politique. Le Conseil de la Jeunesse défend l’intérêt des jeunes et les représente aux niveaux national et international. Depuis peu, le Conseil de la Jeunesse a renouvelé ses membres pour le mandat 2014-2015 et un nouveau Président nommé Jérôme Lechien a été élu pour représenter les jeunes. Nous lui avons posé quelques questions…

Jérôme Lechien

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Peux-tu te présenter en quelques mots ?

Originaire de Mons et âgé de 26 ans, j’ai fait un bachelier en médecine à l’Université de Mons, puis j’ai obtenu le grade de docteur en médecine à l’Université Libre de Bruxelles. À l’heure actuelle, je suis trois cursus : je suis médecin candidat spécialiste en ORL à l’ULB où je me spécialise à l’hôpital de Baudour (à mi-temps), je suis Docteur en sciences médicales à l’Université de Mons et je suis en dernière année à la Faculté de psychologie en sciences du langage à l’UMons.

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Au niveau militance, j’ai été membre du Conseil d’administration de l’UMons via l’Organisation Représentative des Etudiants (ORE), j’ai été pendant quatre ans membre du Conseil d’administration de l’ULB via le Bureau des Etudiants Administrateurs, j’ai été Président de l’Assemblée générale des étudiants de l’ULB (représentants du BEA et des bureaux étudiants), j’ai été Président du Conseil InterUniversitaire des étudiants de Médecine (CIUM) pendant quatre ans, Secrétaire général du CIUM pendant deux ans et maintenant je suis Président du Conseil de la Jeunesse.

Quelles ont été tes motivations pour t’investir au Conseil de la Jeunesse ?

J’ai été motivé à m’investir pour aider les jeunes parce que leur situation est actuellement assez problématique dans la mesure où il y a une crise qu’ils n’ont pas voulue d’une part, et qu’il y a des gros problèmes dans l’enseignement d’autre

part. Et j’avais envie de clôturer mon investissement dans la militance par le Conseil de la Jeunesse.

Comment vois-tu ton rôle de Président au Conseil de la Jeunesse ?

C’est avant tout quelqu’un qui va coordonner une équipe, fédérer les personnes volontaires et constructives et rendre le Conseil de la Jeunesse une structure importante pour porter la voix de tous les jeunes, quels qu’ils soient, y compris et surtout ceux qu’on n’entend jamais. Enfin, je mettrai tout en œuvre pour tenter de redresser l’image du Conseil vu la mauvaise gestion du précédent mandat.

Quelles sont les priorités du Conseil de la Jeunesse pour le mandat 2014-2015 ?

Suite à l’Assemblée Générale du 15 mars, le Conseil de la Jeunesse s’est doté d’un plan d’actions ambitieux pour son nouveau mandat… Six axes politiques constituent ses principales priorités : • un emploi de qualité pour tous les jeunes • le stage d’insertion professionnelle • la lutte contre la relégation scolaire • la place des jeunes dans l’espace public • l’égalité des genres • la participation des jeunes au niveau local.

Quelles actions le Conseil de la Jeunesse compte-t-il mener pour l’enseignement supérieur ?

Dans le plan d’actions, il a été décidé qu’il

fallait tendre vers un enseignement de qualité et peu coûteux. L’enseignement supérieur doit être financé à la hauteur de ses besoins. Cependant, la gratuité des études supérieures, c’est dogmatique.

Comment le Conseil compte-t-il faire entendre la voix des jeunes qu’il représente ?

Il faut surtout accroître la participation des jeunes. Pour cela, il convient premièrement de recenser toutes les organisations de jeunesse, les conseils de la jeunesse locaux pour tenter de les rallier à nos groupes de travail ou autres.

Il faut se battre aussi sur des dossiers qui concernent directement les jeunes, comme les sanctions administratives communales par exemple. Il faut essayer d’obtenir la création d’un décret qui crée véritablement des conseils de la jeunesse locaux (comme c’est déjà le cas en Flandre). Un point particulier sur ce sujet est d’ailleurs précisé dans le plan d’actions du Conseil.

Un dernier mot pour la route ?

Le Conseil de la Jeunesse invite cordialement les étudiants unécofiens à participer aux groupes de travail et aux commissions du CJ. Si des thématiques les intéressent, ils peuvent contacter le CJ sur conseil.jeunesse@cfwb.be.

Manifestation du CIUM : un INAMI pour tous les étudiants !

Le 14 mars, l’Unécof est venue soutenir la manifestation du CIUM (Conseil InterUniversitaire des étudiants en Médecine).

Plus de 2000 étudiants en médecine sont venus pour réclamer le fameux numéro INAMI leur permettant d’exercer leur métier en fin de cursus. Selon les infos du CIUM, seul un étudiant sur trois pourra exercer la médecine entre 2014 et 2020.

L’Unécof tenait à être présente pour faire entendre la voix de ces futurs médecins.

C’est pourquoi notre Président Rémi Belin a été invité par le CIUM à faire partie de la délégation reçue par le cabinet de la Ministre de la Santé Mme Laurette Onkelinx.

Celle-ci s’est engagée à faire tout ce qui est en son pouvoir avant et après les élections pour que les étudiants en médecine et dentisterie diplômés d’ici 2020 obtiennent un numéro INAMI.

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Les étudiants ont également obtenu un budget supplémentaire pour revaloriser la médecine générale et des mesures pour pallier la pénurie de maîtres de stage.

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L’Unécof en pleine

campagne Depuis le 12 décembre 2013, l’Union des étudiants de la Communauté française mène une campagne nommée « Unévox » (la voix des étudiants) afin de récolter les avis d’un maximum d’étudiants du supérieur et de rhéto et de débattre sur des thématiques clés de l’enseignement supérieur.

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Pour rappel, cette campagne est née à la suite du premier Congrès de l’Unécof du 5 octobre 2013 à Namur. En effet, à cette occasion, les étudiants ont débattu et dégagé des revendications communes, ce qui a donné naissance à un Manifeste qui guidera les positions de l’Unécof pour les deux années à venir. Cependant, pour les étudiants présents, ce n’était pas suffisant. Il fallait, en effet, approfondir certains points importants. C’est pourquoi les étudiants unécofiens ont décidé de lancer une campagne qui se déroule en trois étapes. Premièrement, nous récoltons l’avis des étudiants via un sondage en ligne sur www.unecof-sondage.be et sur papier lors de trois salons SIEP (Bruxelles, Namur et Liège). Ensuite, les étudiants se mettent autour de la table pour entendre les avis d’experts sur des thématiques clés de l’enseignement supérieur : la transition secondaire-supérieur, le financement et la transition supérieur-monde du travail. En dernier lieu, nous organiserons un grand débat politique à la suite duquel nous remettrons un dossier de revendications aux différents partis. À ce stade de la campagne, nous sommes à l’étape « tables rondes ».

Voici donc, ci-dessous, un feedback des récents débats unécofiens.

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1. Table ronde sur la transition secondaire-supérieur du 13 février Les étudiants ont eu l’opportunité d’écouter des experts et de poser des questions afin d’obtenir des pistes de solutions pour améliorer le changement de casquette rhéto-étudiant du supérieur.

Pour alimenter les débats, nous avons eu le plaisir d’accueillir Monsieur Georges Sironval (Conseiller au Cabinet du Ministre de l’enseignement supérieur), Monsieur Roberto Galluccio (Administrateur délégué du Conseil des pouvoirs organisateurs de l’enseignement officiel neutre subventionné),

peuvent solliciter. Cependant, les informations sur ces aides semblent insuffisantes. L’Unécof n’hésitera donc pas à rappeler ces deux aspects aux pouvoirs politiques lors de prochaines actions.

3. Table ronde sur la transition supérieurmonde du travail du 2 avril

Monsieur Olivier Meinguet (Secrétaire général adjoint à la Fédération de l’enseignement secondaire catholique) et Monsieur Dieudonné Leclercq (Docteur en Sciences de l’éducation et Professeur émérite de l’Université de Liège).

Certaines pistes ont été abordées par ces experts pour améliorer cette fameuse et douloureuse transition, telles que des séances de tutorat, des journées « carrières », des stages d’observation dans le secondaire, des systèmes de « cours inversés » (où les étudiants préparent leurs cours et les font partager en présentiel) ou encore des évaluations mensuelles dans le supérieur. Plus d’infos seront prochainement disponibles sur notre site www.unecof.be.

2. Table ronde sur le financement du 17 mars Ce deuxième débat sur le financement comportait deux volets : le financement de l’enseignement supérieur et le coût des études. Les intervenants invités à venir nous faire part de leur point de vue sur le sujet étaient Monsieur Georges Sironval (Conseiller au Cabinet du Ministre de l’enseignement supérieur), Madame Anita Mathieu (Responsable du Service social étudiant de l’Université Libre de Bruxelles), Madame Marylise Manouvrier (Responsable de l’Administration Centrale de la Direction des Allocations et Prêts d’Études-DAPE) et Monsieur Marc Bourdiaud’Huy (Gestionnaire de dossiers à la DAPE).

Globalement, il est ressorti de cette table ronde que l’enseignement supérieur est sous-financé mais qu’il existe différents types d’aides financières que les étudiants

Une dernière table ronde Unévox s’est tenue le 2 avril sur la transition supérieurmonde du travail. À cette occasion, nous avons reçu des représentants de différents organes du monde du travail et des acteurs de l’enseignement sup’. De plus, lors de cette même journée, nous avons eu le plaisir d’accueillir la Ministre bruxelloise de l’Emploi Mme Céline Frémault pour une conférence sur cette thématique.

UN GRAND DÉBAT POLITIQUE POUR CLÔTURER LA CAMPAGNE Avec l’avis de plus d’un millier d’étudiants et des points de vue d’experts sur diverses thématiques de l’enseignement supérieur obtenus lors des trois débats avec les experts, l’Unécof a tenu un grand débat politique le 30 avril afin de mettre sur la table les réelles préoccupations des étudiants.

Ci-dessous les représentants politiques présents : MR : Françoise Bertieaux, Députée au Parlement de la Fédération WallonieBruxelles PS : Martin Casier, Vice-Président de l’ULB CdH : Joëlle Milquet, Vice-Première Ministre, Ministre de l’Intérieur et de l’Egalité des chances FDF : Caroline Persoons, Députée au Parlement de la Fédération WallonieBruxelles Ecolo : Barbara Trachte, Députée au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles À la suite de ce grand débat, l’Unécof transmettra aux différents partis politiques les constats et les revendications des étudiants, lui permettant donc de défendre son projet central : remettre l’étudiant au centre des préoccupations afin qu’il puisse ainsi jouer pleinement son rôle d’acteur principal de l’enseignement supérieur.

NE Comité Participatif - CoPa Dans la soirée du 5 février 2014 s’est déroulé le deuxième Comité participatif de l’Unécof. Les membres du Conseil d’administration et les membres du staff ont donc réuni les étudiants des Conseils affiliés à l’Unécof dans les locaux de Bruxelles afin de les informer, de les impliquer dans des projets et de débattre avec eux sur certaines actualités liées à l’enseignement.

L’ordre du jour du Comité abordait, en autres, l’actualité de l’Unécof, l’actualité de l’enseignement supérieur et l’actualité des campus.

Tout d’abord, en ce qui concerne l’actualité de l’Unécof, les étudiants ont été informés de la possibilité de collaboration avec l’ASBL « Jeune Et Citoyen », laquelle a pour objectif de motiver les jeunes du secondaire à devenir des acteurs critiques, responsables et solidaires au sein de l’école et de la société en général.

Ensuite, l’Unécof a expliqué l’état d’avancement de la campagne Unévox en communiquant les résultats obtenus aux sondages en ligne ou distribués lors du salon Siep de Bruxelles. Nous avons également informé les étudiants que trois tables rondes étaient organisées sur différents thèmes : l’une sur la transition secondairesupérieur, la seconde sur le financement des études supérieures et la dernière sur la transition enseignement supérieur-monde du travail. Enfin, nous avons rappelé qu’un grand débat politique avait aussi été prévu le 30 avril.

L’Unécof a écouté attentivement les arguments avancés et les intègrera rapidement dans ses prochaines revendications.

Enfin, les étudiants ont partagé les dernières nouvelles de leur école, leur campus et leurs projets.

Ce Comité Participatif, très animé, s’est terminé par un partage convivial de pizzas et de quelques boissons.

Salons SIEP de Namur et de Liège Les 7 et 8 février, l’Unécof était présente au salon SIEP de Namur et les 14, 15 et 16 mars, au salon SIEP de Liège.

De nombreux étudiants de rhéto et du supérieur se sont arrêtés à notre stand afin d’avoir de plus amples informations sur notre ASBL et pour poser des questions sur l’enseignement supérieur.

Nous avons été également heureux de constater qu’un grand nombre de jeunes ont participé avec enthousiasme à notre questionnaire proposé aux étudiants dans le cadre de notre campagne Unévox.

En effet, nous avons récolté au total plus de 350 réponses à Liège. À Namur, nous avons reçu 426 réponses dont 95 pour le sondage sur internet et 331 pour le sondage papier.

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Après avoir communiqué les résultats obtenus lors des nombreuses contradictoires de cette année académique, l’Unécof a également invité les étudiants à participer activement à l’Unécof TV dont le thème suivant est « l’organisation d’un événement par le CE » ; elle a aussi informé de la relance des locales, et expliqué le kit élections.

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Au sujet de l’actualité de l’enseignement supérieur, les participants ont été informés de la mise en place de l’ARES, de l’organisation des pôles académiques et du contenu de la prochaine concertation avec les organisations étudiantes.

Les étudiants ont également été invités à réfléchir sur le sujet « Quelles évaluations pour l’enseignement de demain ? ».

Ainsi, ils ont débattu sur les questions suivantes : • Trouvez-vous que les évaluations mises en place dans l’enseignement supérieur sont adéquates ?

• L e système d’organisation des examens (blocus et sessions) est-il encore adapté aux étudiants de l’enseignement supérieur ?

Faudrait-il penser à le modifier ?

• Quelles améliorations souhaiteriez-vous voir dans le système d’évaluation mis en place dans votre établissement (stages, TFE, remise des résultats) ?

SIEP - Namur

SIEP - Liège

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Assemblée générale du 12 mars 2014 Le 12 mars 2014 s’est déroulée la seconde Assemblée générale de l’année académique 2013-2014. Les membres du staff et du Conseil d’administration ainsi que de nombreux étudiants des Conseils affiliés étaient présents.

Tout d’abord et comme à chaque Assemblée générale, l’ordre du jour et le PV de l’AG précédente ont été approuvés. Par après, l’Unécof a présenté les comptes 2013 et le budget 2014 ; elle a procédé aussi à la décharge aux administrateurs.

Manifestation du 19 février 2014 Quelque 200 étudiants de la Haute Ecole Galilée ont manifesté le 19 février dernier contre le projet de suppression des cours d’italien et d’allemand décidé par la direction de l’Ecsedi-Isalt.

Les étudiants en Assistant de direction et en Tourisme réclamaient, ainsi, le maintien de ces cours de langues. Ils estiment, en effet, que ces cours sont primordiaux pour leur formation et que cette suppression pourrait avoir des conséquences néfastes pour leur avenir sur le marché de l’emploi.

L’Unécof était, bien évidemment, présente afin de soutenir les étudiants de la HEG.

Ensuite, l’Unécof a exposé le rapport d’activités 2013. Nous avons, ainsi, parlé de sa vie interne en expliquant, entre autres, son organisation, ses outils de communication (Antisèche, marchandising, site Internet, Unécof TV…) et ses actions (présences sur le terrain, formations pour les CE…). Enfin, nous avons présenté la vie externe de l’Unécof via ses mandats OJ (Organisation de Jeunesse) et ORC (Organisation Représentative Communautaire).

Les membres présents ont également été informés de l’organisation des prochaines élections du Conseil d’administration de l’Unécof.

Il leur a été, ainsi, expliqué qui pouvait se présenter, qui pouvait voter, comment se déroulait le vote et quelle était la procédure pour envoyer sa candidature.

Après avoir parlé des dernières modifications statutaires, du suivi de la campagne Unévox, de la relance des locales et de l’UnécofTV, nous avons fait une pause pour prendre une collation bien méritée.

Bonne humeur et rires étaient au rendez-vous.

La deuxième partie de l’Assemblée générale a ensuite commencé en expliquant l’implication de l’Unécof en tant qu’organisation de jeunesse. Les axes citoyenneté et international ont ainsi été présentés aux étudiants. Ces derniers, enchantés par la découverte de ces nouveaux projets, se sont montrés très réceptifs et motivés.

Après communication de l’agenda, l’Assemblée générale s’est terminée dans la convivialité autour d’un verre dans les locaux de l’Unécof.

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Nous avons constaté avec plaisir que les étudiants étaient investis et motivés pour défendre leurs intérêts. Nous espérons vivement que leur voix a été entendue ! Si tel n’est pas le cas, nous restons, bien évidemment, à leurs côtés pour les soutenir.

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sur la transition supérieur– monde du travail

Après avoir subi de longues heures de cours et travaillé d’arrache-pied pour les examens, tout étudiant se réjouit à l’idée d’obtenir son diplôme. Cependant, le chemin est encore long… Une nouvelle vie avec de nouvelles responsabilités pointe le bout de son nez dans le monde du travail et la transition est parfois difficile à gérer. C’est pourquoi l’Unécof tient à aider les jeunes diplômés en basant une partie de ses revendications sur la transition supérieur–monde de travail.

Diplôme en poche, c’est bien. Et après ? Soft skills, envie de s’engager ? À l’heure actuelle, certains métiers évoluent sans cesse pour être adaptés, par exemple, aux nouvelles technologies. Les hautes écoles qui proposent des bacheliers professionnalisant se doivent d’être en phase avec les attentes du monde professionnel. Pour cela, l’Unécof demande une évaluation régulière de ces bacheliers via une étude de marché. Cette pratique permettrait d’évaluer fréquemment la pertinence des programmes de cours et de mieux préparer les futurs diplômés au monde de l’emploi.

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Erasmus, besoin de partir ?

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En collaboration avec les étudiants et les acteurs de terrain, l’Unécof initiera une réflexion sur les incitants pour les étudiants à participer ou non à des expériences Erasmus. Il faut également penser à valoriser l’offre Belgica qui peut être une alternative plus raisonnable pour ceux qui désirent apprendre une langue sans devoir s’expatrier. Ce programme d’échange vise en effet la découverte et l’approfondissement des liens avec les autres communautés linguistiques de notre propre pays et l’amélioration de la maîtrise des deux autres langues nationales.

Il nous paraît important de susciter l’éveil du sens critique et citoyen chez l’étudiant, principalement en lui présentant les différents aspects de l’engagement et de la philosophie du secteur nonmarchand (scouts, patro, etc.). Pour ce faire, il faudrait permettre à l’étudiant de pouvoir effectuer un stage durant toute l’année dans une ASBL ou une ONG. En plus de t’engager, tu aurais une expérience professionnelle supplémentaire que tu pourrais valoriser clairement sur ton CV. Pour permettre aux étudiants de s’engager dans les meilleures conditions, il faudrait mettre en place un statut « d’étudiant engagé ». Ce statut officialiserait leur engagement et favoriserait le soutien et la compréhension de leurs professeurs.

Emploi, comment se valoriser aux yeux des entreprises ?

Il devrait exister des activités facultatives en dernière année de cursus pour apprendre aux jeunes à promouvoir leur profil et à pouvoir accomplir des formalités administratives (CV, lettre de candidature, etc.).

Expérience professionnelle, favoriser les Table ronde, nouvelles idées ? stages dès la première année ?

En résumé, l’Unécof souhaite améliorer la transition supérieurEn partant du principe que l’apprentissage de l’étudiant est plus important sur le terrain, l’Unécof souhaite augmenter le nombre de stages en améliorant davantage leur encadrement. Un stage de 60 heures devrait être prévu durant les deux premiers mois de la première année afin que l’étudiant se rende directement compte des finalités éventuelles de ses études et, le cas échéant, puisse se réorienter. De plus, l’Unécof aimerait que les établissements encouragent les étudiants à effectuer leur stage à l’étranger et les soutiennent dans leur démarche.

monde du travail par un accompagnement individuel et personnalisé pour les jeunes diplômés et un suivi récurrent pour leur recherche d’emploi.

Un événement

100 % réussi !

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ton c e v nt a e m e évén endre ? l’autre ? n u er pr ent ou s i y ’ n t a t is orgs commen r un élém o d Tu pa ’oublie s i a s ne ur d e p s Tu a apsule c e n u i o t r ent pou tuces s m a e l t a e i c s é il p e s s éalisé es con L’Unécof a r e t’aider. Au travers d tion d’un événement vidéo afin ds étudiants, l’organisai ! de plusieur aucun secret pour to n’aura plus

Après quelques mois de silence, l’Unécof Tv est de retour avec une nouvelle thématique « l’organisation d’un événement par un CE » !

Cette vidéo reprend dans les grandes lignes des astuces et conseils afin d’organiser comme il se doit un événement au sein de ton école ! Ces conseils ne se veulent pas exhaustifs. Ils sont là dans le but de t’aider si jamais tu ne sais pas par quoi commencer. Ils ont été donnés par des étudiants qui sont rodés dans l’organisation de soirées et d’événements au sein de leur conseil. Ils proviennent, dès lors, de sources sûres !

Tu trouveras ci-dessous une check-list reprenant les points importants à ne pas oublier dans toute organisation d’événement.

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Fixer la date Fixer le lieu Élaborer un planning Trouver un thème Avertir les professeurs et la direction Disposer d’une assurance en responsabilité civile Faire de la publicité Solliciter des sponsors Prévenir la SABAM (pour la diffusion de la musique) Répartir les tâches Penser aux aspects pratiques (boissons, tickets...)

• Veiller à la sécurité (sorteurs, police...)

• Si possible, mettre en place de la prévention (éthylotests, préservatifs, prévoir un poste de secours...)

• Rester calme en cas de tuile Pour voir ou revoir cette capsule, n’oublie pas d’aller jeter un œil sur le site de l’Unécof : www.unecof.be !

L’Unécof TV ne s’arrête pas là ! Dans sa prochaine capsule, ce sera le thème de « l’après-supérieur » qui sera abordé ! Si tu as envie de faire part de ton expérience ou si tu as envie de partager tes idées sur le sujet, n’hésite pas à nous contacter via l’adresse info@unecof.be et, qui sait, tu feras peut-être partie de la prochaine vidéo.

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! s s e r t s e d s Plu

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Les LOCALES

Depuis le début de l’année 2012, l’Unécof a développé différentes antennes régionales, appelées locales, réunissant les étudiants des CE (Conseil étudiant) unécofiens ET ÉTUDIANTS INVITÉS.

En pratique, quels sont les buts d’une locale (liste non exhaustive) ?

À quelle locale fait partie ton école ?

L’Unécof Hainaut

regroupe les établissements des villes de Mons, Tournai, La Louvière et Charleroi.

Les écoles affiliées à l’Unécof qui en font partie sont la HELHa, l’UMons et la Haute école en Hainaut.

•P ermettre aux étudiants d’être plus proches de l’Unécof et inversement ; • A nalyser les problèmes locaux et trouver des solutions avec les acteurs de terrain et les étudiants ; • Sensibiliser les étudiants d’une même région au mouvement étudiant et défendre leurs droits ; • Participer à des actions de l’Unécof sans devoir systématiquement se déplacer sur Bruxelles ; • Mettre en place des activités festives et/ou promotionnelles dans une région ; • Créer des réseaux de contacts ; • Echanger des informations, des idées et des opinions ; • Faciliter la communication entre les CE d’une même région ; • Faire face à des défis locaux ; • ...

regroupe les établissements des provinces de Liège et du Luxembourg.

Nos CE qui en font partie sont le Conservatoire, la Haute école de la Province de Liège et l’Académie des Beaux-Arts.

L’Unécof Bruxelles-Brabant wallon

regroupe les établissements de Bruxelles et du Brabant wallon. Les écoles qui en font partie sont la Haute école Galilée, la Haute école libre de Bruxelles, la Haute école Paul-Henri Spaak et la Haute école Francisco Ferrer.

Bruxelles Brabant Wallon l’ a n t i s è c h e > av r i l / m a i / j u i n 2 0 1 4

regroupe les établissements du namurois.

Les écoles affiliées qui en font partie sont l’Imep et la Hénallux.

L’Unécof Liège-Luxembourg

Carte des locales

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L’Unécof Namur

Liège

Hainaut Namur

Luxembourg

Envie de t’impliquer concrètement dans ta région ?

L’Unécof recherche des étudiants motivés pour coordonner ses locales. Un représentant étudiant, aidé par un membre du staff, sera le responsable d’une région.

En pratique, que doit faire ce responsable ?

Faire un cadastre de ce qui se passe dans nos écoles et susciter la participation des Conseils étudiants de l’Unécof. Ceci peut se faire autour d’un verre ou en allant rendre visite à un CE. Faire remonter l’information locale au niveau de l’Assemblée générale, le Comité participatif et le Conseil d’administration de l’ASBL. Pourquoi est-ce important d’avoir des responsables étudiants régionaux ?

Car il s’agit de personnes de contact des Conseils étudiants de la région. Le responsable peut réagir rapidement à toute demande de nos membres car il est directement sur le terrain. De plus, il est membre de droit avec voix consultative dans le Conseil d’administration de l’Unécof.

En t’impliquant dans ce projet, l’Unécof te promet de belles rencontres, une expérience humaine unique et l’acquisition de compétences et de responsabilités supplémentaires qui te seront utiles pour ta vie future.

Intéressée(e) ? Il ne te reste plus qu’à nous confirmer ton investissement régional par mail (info@unecof.be).

Pour plus d’infos, contacte l’équipe au 02 541 85 00 ou info@unecof.be.

l’unécof sur le

terrain

Table ronde sur le financement, le 17 mars 2014

Un INAMI pour tous les étudiants en médecine, le 14 mars 2014

l’ a n t i s è c h e > a v r i l / m a i / j u i n 2 0 1 4

Table ronde sur la transition secondaire-supérieur, le 13 février 2014

MANIfestation Contre la suppression de deux cours de langue dans certaines filières à la Haute École Galilée, le 19 février 2014

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Des astuces et des conseils

pour un blocus réussi !

Avant le blocus Consacre-toi une journée pour rassembler et ordonner tes notes de cours, rechercher les informations nécessaires concernant les examens.

Des cours organisés et structurés ne seront qu’un plus vers le chemin de la réussite.

Un blocus planifié

Une alimentation saine

Fais un planning et respecte-le ! Beaucoup d’étudiants font leur planning et accumulent déjà un retard après deux jours d’étude.

Sois réaliste, adapte ton rythme d’étude à ton planning. À chacun sa méthode ! Le tout est de savoir le nombre d’heures qu’il te faudra pour étudier chaque cours. Cela dépend du volume de la matière, de tes capacités, de ta participation au cours pendant l’année, de ton intérêt…

Prends des vrais petits déjeuners, dîners et soupers. Pas question de manger vite fait bien fait ou encore de sauter un repas. Demande à tes proches de te concocter des petits plats sains et équilibrés.

Ils ne pourront rien te refuser en cette période !

Des trucs mnémotechniques

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Fais des fiches, des résumés, des synthèses. Utilise des mots clés et surligne les phrases importantes en fluo. Utilise des couleurs, des signes ou encore des moyens mnémotechniques pour emmagasiner plus facilement la matière. Par exemple, si tu as 7 étapes d’un procédé à connaître par cœur, prends la première lettre du mot le plus important de chaque étape et fais-en un mot rigolo que tu n’oublieras pas.

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À chacun sa méthode À chacun sa méthode de travail, le tout est de trouver la sienne !

C’est le matin qu’on est le plus productif ainsi que l’après-midi à partir de 15 h. Le soir, relis tes cours, ton cerveau emmagasinera ces informations pendant la nuit.

Combiner ses mémoires Nous avons tous une mémoire privilégiée. Si tu as une mémoire visuelle, surligne les passages importants de tes cours et les titres.

Si tu as une mémoire auditive, relis tes cours à voix haute. Si tu as une mémoire scripturale, réécrire tes cours te permettra de mieux t’en souvenir. Toutefois, combiner les mémoires (dire et lire en même temps par exemple) rend la mémorisation plus efficace.

Stop à la caféine Évite de boire trop de café ou de boissons énergisantes, une consommation importante de caféine comporte certains risques pour la santé. Pour l’étude, la consommation de caféine ne fera qu’augmenter la nervosité, l’anxiété, l’insomnie, l’irritabilité et le rythme cardiaque. Et pour ce qui est d’augmenter les performances, rien n’est scientifiquement prouvé !

Un endroit adéquat Choisis un coin de travail qui te convient : si possible un coin bien éclairé par la lumière du jour, un endroit pas trop chauffé en hiver et bien aéré en été. Évite les bruits perturbants ainsi qu’une position couchée pour l’étude car elle appelle au sommeil. Éteins également ton ordinateur ! Souvent on laisse par réflexe le PC ouvert, ce qui n’est pas optimal pour la concentration. L’envie d’aller sur Internet ou sur Facebook pendant le blocus devient inévitable ! Le plus facile est, dès lors, de l’éteindre ou de se mettre dans une pièce où il n’y en a pas.

Un sommeil bénéfique Essaie d’avoir au minimum 7 heures de sommeil. Tout au long de la nuit, ta mémoire travaillera encore. Tout ce que tu auras appris dans la journée se fixera dans ton cerveau !

Un bol d’air Bouge et prends l’air ! Le mieux est d’écouter ton corps. Lorsque tu commences à rester sur tes feuilles en n’emmagasinant plus aucune matière, sors et vide-toi l’esprit. Il y a plusieurs solutions: pour les moins sportifs, une petite balade à pied ou en vélo fera l’affaire. Pour ceux qui ont besoin de se défouler, le jogging est votre meilleur allié !

À la douche !

Non, non tu as bien lu ! Certains oublient de se laver pendant le blocus.

Se sentir propre pendant ton étude est plus agréable (pour toi et pour ton entourage). Après, rien ne t’empêche de traîner toute la journée en pyjama ! Mais ne mets pas ton hygiène de côté, même si c’est une période difficile, nous te conseillons de garder un mode de vie sain.

Un temps de pause adapté

Un peu d’entraÎnement Si tu en as l’occasion, entraîne-toi à refaire les examens des années précédentes. C’est le meilleur moyen de te mettre en situation réelle d’épreuve et, avec un peu de chance, tu auras peut-être certains énoncés qui seront les mêmes ! On croise les doigts pour toi.

Bon courage et bonne réussite ! l’ a n t i s è c h e > av r i l / m a i / j u i n 2 0 1 4

Accorde-toi des pauses après chaque objectif atteint. Cela sert à faire le transfert entre ta mémoire à court terme et ta mémoire à long terme.

De nouveau, à chacun son rythme ! Essaie, cependant, de ne pas en faire de trop, ce qui pourrait te démotiver dans l’étude. Lorsque tu sens que tu as bien travaillé et que tu es satisfait de toi, accorde-toi une pause comme récompense.

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Témoignages des

stagiaires Aurélie Delva

stagiaire en secrétariat Étant donné que je ne connaissais pas l’Unécof avant de commencer mon stage, j’avais du mal à m’imaginer ce que j’allais y faire pendant 15 semaines. Cependant, mes premiers pas à l’Unécof ont été très intéressants et vraiment naturels. J’ai directement été plongée dans le bain avec la préparation et la participation au Comité Participatif et au Salon SIEP de Namur dès ma première semaine. Cela m’a permis de m’intégrer très facilement et de créer des liens avec l’équipe permanente.

Travailler au sein de l’ASBL m’a permis de mettre les compétences que j’avais acquises durant mes trois années d’études en pratique, de partager mes connaissances et d’apprendre de nouvelles choses sur le tas.

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J’ai également pris confiance en ce que je faisais sans me poser mille et une questions. Ensuite, plusieurs projets à accomplir tout au long de mon stage m’ont été confiés, dont un qui me tient particulièrement à cœur car il s’agit d’un projet international. Je tiens à remercier le staff de m’avoir donné cette chance et de m’avoir fait confiance pour la gestion de ce projet.

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Humainement, l’Unécof m’a beaucoup apporté.

J’ai pu faire connaissance et tisser des liens avec des personnes incroyables que je vais avoir du mal à quitter le dernier jour de mon stage. Tant les permanents que les deux autres stagiaires qui m’accompagnaient m’ont permis de prendre confiance en moi et m’ont aidé en cas de besoin.

Lors des Assemblées générales, des Comités Participatifs et de la mise au vert, j’ai également fait de belles rencontres avec des étudiants venant de toute la Communauté française qui sont aussi

motivés et aussi sympathiques les uns que les autres. Maintenant, il n’y a qu’une seule chose que je regrette... ne pas m’être impliquée plus tôt dans le Conseil étudiant de mon école !

En conclusion, je voulais encore une fois remercier le staff pour ce stage inoubliable. Vous n’imaginez pas tout ce que vous apportez aux étudiants, vous pouvez être fiers de vous. En tout cas, j’ai été très heureuse de faire partie de l’aventure unécofienne pendant 15 semaines !

« Vous n’imaginez pas tout ce que vous apportez aux étudiants, vous pouvez être fiers de vous. »

Maryne Hugé

stagiaire en communication Déjà la fin d’une belle histoire !

Bientôt fini le quotidien, assise derrière les bancs de l’école. À moi, cette vie professionnelle, trépidante et remplie (comment ça s’appelle encore), ah oui, de responsabilités.

Désespoir pour certains, engouement pour d’autres, de toute façon pas le choix, il faut bien y passer un jour ou l’autre.

Je prends cela comme un tremplin, comme le commencement d’un nouveau chapitre. Certes, pas facile de se dire que c’est déjà la fin. La fin d’une belle histoire de trois ans au sein d’une école plus que familiale où les expériences sont plus qu’enrichissantes, où les contacts humains ont ce petit plus, trouvé nulle par ailleurs !

Mon cursus m’a permis de grandir, de m’ouvrir encore plus mais, surtout, de croire en moi ! C’est pour ces raisons que, du haut de mon mètre soixante, je me suis retrouvée au sein de l’équipe unécofienne à Bruxelles. J’ai passé trois mois inoubliables tant sur le plan humain que professionnel.

Ce stage m’a donné la possibilité de toucher aux trois facettes de la communication (journalisme, relations publiques et animation socioculturelle). Je ne remercierai jamais assez les membres du staff pour la confiance qu’ils m’ont accordée dans l’élaboration des différents projets !

Mon meilleur moment à l’Unécof ? difficile à vous l’écrire ! Chaque événement a été chargé en points forts et en bonnes expériences pour la suite. Que ce soit lors du CoPa, des salons SIEP, en passant par la réalisation des capsules vidéos ou encore « le projet festivals », tous ces projets m’ont poussée à m’améliorer.

« Et oui ! 2014, année de tous les changements ! » Jamais, un jour, je n’aurais pensé aller jusque Bruxelles pour réaliser un stage ou, pourquoi pas, y commencer une carrière. Manquant de confiance en moi, je me vouais à rester dans des lieux que je connaissais. Mais, après tout, la communication, ce n’est pas s’accrocher à ce que l’on connaît déjà, mais bien s’ouvrir à de nouvelles expériences !

Bref, si on me demandait de recommencer, j’emprunterais le même chemin, identique à celui que j’ai parcouru jusqu’à aujourd’hui. Pourquoi vouloir changer quoi que ce soit ?

Oui, c’est la fin d’une belle histoire mais, pour en commencer une nouvelle, il fallait bien y mettre un point final quelque part !

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Et oui ! 2014, année de tous les changements !

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Témoignages deS

stagiaires Sophie Cochart Stagiaire en droit

Étudiante en troisième bac droit à l’EPHEC, j’ai décidé d’effectuer mon stage à l’Unécof du 30 janvier au 9 mai 2014. Certes, c’est un lieu peu commun pour un stage en droit mais je n’ai pas regretté mon choix. Au contraire, plus les jours avancent, plus les tâches sont variées et intéressantes. Au final, ce stage s’avère très enrichissant.

Je pourrais en énumérer les nombreuses qualités. Toutefois, limitée à une page et n’ayant pas le don d’une romancière, je me contenterai d’en reprendre les principales.

Tout d’abord, les stagiaires sont intégrées dès les premiers jours.

En effet, dès le 30 janvier, j’ai assisté à ma première réunion de staff et j’ai dû préparer avec les collègues le Comité Participatif.

J’ai directement reçu une place à part entière dans l’équipe. C’est une chance que peu de stagiaires rencontrent.

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Ensuite, en raison de la place que l’ASBL nous accorde, nous avons également beaucoup de responsabilités et de tâches à effectuer.

J’ai pu, par exemple, préparer une formation sur le décret paysage et organiser le « Tour des écoles » avec l’aide de Maryne Hugé, stagiaire en communication.

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De plus, et comme je l’ai déjà mentionné plus haut, nous nous voyons confier des tâches extrêmement variées. J’ai bien évidemment des tâches spécifiques liées à mon stage en droit. Je réponds aux questions juridiques des étudiants, je synthétise le cadre légal de certaines matières, j’aide à la rédaction de règlements électoraux pour les CE ou je m’informe des dernières modifications législatives. Mais les stagiaires ont également l’occasion de participer à des réunions de staff, d’organiser des tables rondes, d’assister à des concertations au cabinet du Ministre Marcourt

ou encore de soutenir les étudiants dans des manifestations. En œuvrant de la sorte, dans plusieurs disciplines, nous augmentons considérablement nos compétences professionnelles et devenons, ainsi, des futurs travailleurs de qualité.

J’aimerais souligner aussi qu’une caractéristique importante de ce stage est la mobilité. En effet, nous devons souvent nous déplacer dans Bruxelles mais également en province pour nos activités telles que les Salons Siep ou le Tour des écoles. C’est une belle occasion pour moi, habitante de la capitale et n’ayant que très peu visité la Belgique de voir d’autres régions. J’ai ainsi pu découvrir, entre autres, les villes de Liège et de Namur.

Enfin, je terminerai ce témoignage en évoquant la bonne ambiance au sein de l’équipe. En effet, c’est, chaque jour, un plaisir de se rendre au travail pour collaborer avec les membres du staff. Je les apprécie beaucoup et les remercie vivement pour le stage de qualité qu’ils m’ont accordé.

« ... nous augmentons considérablement nos compétences professionnelles et devenons, ainsi, des futurs travailleurs de qualité »

PRIX CITRON Mes résultats d’examens de janvier, c’est en juin que je les aurai !

Après avoir passé une session d’examens, la seule chose que nous attendons tous (après le sentiment de soulagement et de liberté), ce sont nos résultats. Qu’ils soient bons ou pas, nous voulons être fixés rapidement sur nos cotes pour pouvoir agir en conséquence.

L’attente peut parfois être très..longue.

L’Unécof remet son prix citron, son prix le plus acide, à toutes les écoles (ou plutôt aux professeurs) qui rendent les points des examens de janvier en retard.

Il faut savoir que, dans le règlement des examens de ton école (ou de ta faculté), tu trouveras la date butoir que les professeurs doivent respecter pour te communiquer tes résultats.

Et cette date limite n’est pas (encore) toujours respectée ! Les journaux ont encore relaté cette actualité début mars pour différentes écoles bruxelloises où les étudiants

se sont plaints car ils attendent leurs points, la date butoir étant dépassée. Une situation stressante pour eux ! Les autorités académiques (Recteur, vice-Recteur...) se défendent en disant que c’est de la responsabilité des professeurs de respecter cette obligation.

Ces autorités n’ont pas grand chose à dire ni à faire, « à part les rappeler à l’ordre », nous informe le vice-Recteur de l’ULB. En tant que syndicat étudiant, l’Unécof ne peut pas tolérer ce non-respect des règles vis-à-vis des étudiants.

Car, même si de nombreux professeurs accumulent plusieurs fonctions en même temps, ils ne doivent pas oublier que les épreuves de janvier sont les résultats d’une méthodologie de travail que les étudiants ont adoptée depuis le début de l’année.

Le bilan des examens reste donc un élément central dans la vie estudiantine.

Heureusement, dans le nouveau décret paysage qui entrera en vigueur à partir de septembre 2014, l’article 137 (alinéa 4), prévoit que : « sur simple demande, au plus tard un mois après la période d’évaluation de fin de quadrimestre, un étudiant reçoit le détail des résultats des évaluations auxquelles il a participé. » Mais ce texte ne prévoit pas de sanctions contre p r o f e s s e u r s qui ne respectepas cette règle....

les raient

Si cette évaluation arrive trop tard, l’étudiant a peu de temps ensuite pour retrouver une nouvelle manière d’étudier.

PRIX orange En gros, les savoirs et compétences acquis par l’expérience personnelle et/ou professionnelle d’un étudiant peuvent être valorisés pour lui permettre d’accéder à un cycle d’études pour lequel il n’a pas de titre d’accès.

C’est une belle opportunité donc pour l’étudiant de pouvoir profiter de cet avantage par l’expérience qu’il s’est forgée lors d’un emploi (voir ci-contre) !

D’ailleurs, à la fin du mois de février, le Parlement de la Fédération WallonieBruxelles a voté une résolution

Des propositions plus que bénéfiques pour l’étudiant ! L’Unécof décerne donc son prix orange à cette avancée permettant l’accès aux études à un nouveau public.

Attention, le candidat doit quand même justifier 5 ans d’expérience professionnelle en lien avec la filière choisie et devra reprendre des études pendant minimum 1 an (60 crédits).

Ce dispositif concerne tous les niveaux d’enseignement supérieur, tous les programmes et les diplômes (exception faite de la médecine). Grâce à la VAE, l’étudiant peut avoir des dispenses de cours dans son programme d’études.

Par résolution, on entend l’instauration d’un VAE-pass commun à tous les établissements, l’élargissement de l’offre de formations en horaires décalés, le renforcement d’informations sur le dispositif VAE, la prolongation des allocations d’études après 35 ans, l’amélioration de l’accompagnement des candidats, etc.

D’autres pays membres de l’Union européenne, tels que la France, la Norvège ou la Finlande ont développé ce concept et n’ont pas eu de difficultés majeures.

visant à uniformiser et à améliorer les procédures du dispositif de la VAE, indique Le Soir.

Alors, pourquoi pas en Belgique ?

Cette nouvelle décision est/ sera transférée à l’ARES (Académie de recherche et d’enseignement supérieur) qui sera chargée de la mettre en œuvre.

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La VAE va encore plus loin !

La valorisation des acquis de l’expérience (VAE), figurant dans le décret de Bologne, article 6, est « le processus d’évaluation et de reconnaissance des savoirs et compétences d’un candidat dans le contexte d’une admission aux études. »

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Michaël Holzemann, Secrétaire général Michaël coordonne l’équipe unécofienne, s’occupe de la gestion administrative et financière de l’asbl et assure le suivi des projets. Il est aussi la personne ressource du Conseil d’administration et aux différentes réunions de l’ASBL. Comment le joindre ? michael.holzemann@unecof.be - 0474 59 69 32

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Livia Verdelli, Attachée de communication Livia se charge de la communication de l’asbl. C’est elle qui se cache derrière le profil facebook et qui alimente le site Internet tous les jours.

Elle coordonne également tout ce qui tourne autour des publications et de la communication globale de l’ASBL. Comment la joindre ? livia.verdelli@unecof.be - 0478 22 68 75

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Sophie Loodts, Juriste Sophie est à ta disposition pour écouter tes inquiétudes, participer à ta réflexion et mettre en place des solutions pour résoudre tes problèmes juridiques (recours, kots, bourses…). Elle assure avec Calo la permanence juridique.

Comment la joindre ? sophie.loodts@unecof.be - 02 541 85 00 Calogero Marotta, Détaché pédagogique Les formations pour les CE n’ont plus aucun secret pour lui ! Il travaille aussi avec Sophie pour les questions juridiques et gère tout l’aspect pédagogique de l’ASBL (y compris le soutien aux CE).

Comment le joindre ? calogero.marotta@unecof.be - 0499 73 82 65 Mélissa Hanus, Secrétaire C’est sûrement sur elle que tu tomberas si tu téléphones à l’ASBL. C’est aussi grâce à elle que tu reçois un tas de courriers (postaux ou mails) pour t’inviter à une réunion, un évènement ou une formation !

Comment la joindre ? secretariat@unecof.be - 02 541 85 00

agenda 30 avril : 4 h Cuistax de l’Université de Mons 9 h à 21 h : grand débat politique organisé par l’Unécof à la salle du Foyer européen située rue Traversière 17 à 1210 Saint-Josse 5 mai : Assemblée générale élective dans nos bureaux (rue du Congrès 13 à 1000 Bruxelles) à 18 h 6 mai : Tour des écoles à Mons 8 mai : SÉANCE D’INFORMATIONS POUR NOTRE PROJET QUÉBEC DANS NOS BUREAUX (RUE DU CONGRÈS 13 à 1000 BRUXELLES) À 18H 9 mai : 21 h : Bal de l’Organisation des Étudiants de la HELHa (bassin de Mons) 15 mai : Troisième réunion du GT Citoyenneté (Projet festivals) dans nos bureaux (rue du Congrès 13 à 1000 Bruxelles) de 18 h à 20 h 16 mai : « Le plus grand déménagement du monde » de la HELHa à Mons

28 juin : Action citoyenneté sur le festival Verdur Rock à Namur 10-11-12-13 juillet : Action citoyenneté sur le festival des Ardentes à Liège 17-18-19-20 juillet : Action citoyenneté sur le festival de Dour Pour toutes tes questions administratives et juridiques, l’Unécof tient une permanence téléphonique du lundi au vendredi de 9h à 17h. Nous sommes également disponibles par e-mail à l’adresse info@unecof.be

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26 juin : Kayak à Anseremme (Place Baudoin, 2) à 11 h 30

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