Y a-t-il fête plus réjouissante et en même temps plus difficile que Pessa’h ? Est-ce parce que l’investissement dont nous sommes capables à l’approche du 15 Nissan est si important ? Cet investissement doit aussi être tourné vers les autres. Car pour que le soir du 15 Nissan, nous soyons comme des rois, il faut aussi penser à notre prochain… 2
Qui ne ressent la veille du seder le bonheur du travail accompli ? Mais avant d’en arriver là, que d’efforts, que d’intenses heures de labeur ! Le premier d’entre eux, c’est bien sûr le nettoyage. Certaines ménagères ne lésinent pas sur les moyens et c’est toute la maison qui retrouve peau neuve. Chaque recoin de l’appartement est passé au peigne fin, ou plutôt à l’eau de javel. Et même si c’est plutôt le ‘hamets qui doit être l’objet de tout notre attention, il est difficile de ne pas faire également la chasse à la poussière. Après des semaines de travail sans relâche, la maison est d’une propreté irréprochable et le ‘hamets n’a qu’à
bien se tenir… Vient alors le temps des achats. Car qui dit fête, dit renouvellement. Chaque enfant a le droit à un nouveau vêtement, de nouvelles chaussures. Il faut passer des après-midis entières dans les magasins afin de trouver l’ensemble parfait pour chacun, sans oublier les mères et les pères. Car le soir du seder, nous ressemblerons à des rois, et nous boirons allongés les quatre coupes de vin. Pour ce faire, il faut bien sûr faire les achats alimentaires. Et là aussi, le renouvellement est complet : tous les produits sont achetés avec
le tampon « cacher lePessa’h ». Tout semble neuf dans les armoires : la vaisselle et aussi les aliments dont nous aurons besoin pour préparer le ‘harosseth, avec des dattes, des noix et du vin doux… ainsi que tous les plats traditionnels de la fête. Et c’est avec une immense satisfaction que nous nous asseyons à la table du seder, le plateau et les matsot au milieu de la table, sentant que ce moment est unique. Malheureusement, certains n’ont pas la même sensation au moment de commencer la haggada. Car même si tout le monde peut procéder au nettoyage minutieux de sa maison, de nombreuses familles ne peuvent
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les gens se réjouir. Haïm était assis dans le salon, la jambe encore dans le plâtre. Le Rav s’assit à ses côtés et lui posa des questions sur sa santé. - Tout ira bien, j’en suis sûr ! répondit Haïm. C’est un mauvais moment à passer mais ça va s’arranger…
prétendre à faire les achats nécessaires pour la fête. Tout le monde le sait, le coût des denrées nécessaires est élevé, sans parler des vêtements et des autres frais liés à Pessa’h. Parmi les témoignages parvenus au Vaad Harabanim, certains nous ont particulièrement émus. Le cas de Haïm par exemple. Cet homme d’une quarantaine d’années est père de famille. Jusqu’à l’accident de travail qui l’a cloué au lit durant de longs mois, il a toujours réussi à subvenir aux besoins de sa famille. Le Rav de sa communauté le connaît bien et l’a soutenu tout au long de sa convalescence. Le jour de Pourim, il n’a pas hésité une seconde à laisser de côté ses activités afin de lui rendre visite et de lui remettre une enveloppe du Vaad Harabanim contenant de l’argent pour le michté. L’épouse de Haïm lui a ouvert la porte. La maison était vide et sur la table, à la place d’un fastueux festin, quelques fruits faisaient pâle figure. Les enfants étaient sortis dans la rue voir
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Le Rav fut impressionné par le courage de cet homme qui souffrait tant. Il lui tendit l’enveloppe et lui fit une bénédiction pour qu’il recouvre une santé parfaite. Haïm le remercia chaleureusement et lui dit : - Rav, je sais que je devrais me servir de cet argent pour acheter de quoi fêter Pourim dignement. Mais mon fils à une rage de dent et les soins s’élèvent à 200 euros. Puis-je le laisser ainsi souffrir ? Le Rav n’avait pas attendu cette question pour savoir quoi faire. Il avait déjà en tête la solution au problème : faire appel au Vaad Harabanim afin d’obtenir une bourse spéciale pour les soins dentaires du petit garçon. - Ne vous inquiétez pas… Vous pouvez tranquillement demander à votre femme de se servir de l’argent contenu dans cette enveloppe pour acheter de quoi fêter le michté. Pour les soins dentaires, c’est comme si c’était réglé. Dès demain, vous pouvez prendre rendez-vous. Je m’occupe du reste…
Veuillez remplir le coupon ci-joint et le renvoyer au Vaad Harabanim. Je souhaite offrir un panier pour une famille : Pour le soir du seder d'une valeur de 52 euros pour _____ familles Pour toute la fête d'une valeur de 300 euros pour _____ familles
Une autre histoire, toute aussi émouvante, a retenu notre attention. Simh’a est une mère de famille nombreuse. Un soir, elle est partie assister à un mariage et a demandé à la fillette de sa voisine de garder ses enfants. Avigaël a accepté et s’est installée à la table du salon pour faire ses devoirs alors que les enfants dormaient tranquillement. Mais une heure après le départ de Sim’ha, le bébé s’est mis à pleurer. Avigaël s’est dirigée vers la cuisine pour préparer un biberon. Elle a ouvert l’une des armoires afin de trouver du lait en poudre. Mais à sa grande surprise, les étagères étaient totalement vides. Elle a alors pensé que, sans doute, une planche avait été cassée et a ouvert les autres armoires… pour découvrir le même spectacle : des étagères cruellement vides ! Toutes étaient parfaitement propres et aucun aliment ne menaçait de les salir ! Avigaël n’en revenait pas ! Elle se remémora alors que Sim’ha demandait de temps à autre quelques légumes, toujours en faible quantité, ou un paquet de pâtes. C’était là la raison ! Elle n’avait rien à la maison… Avigaël courut chez elle chercher du lait pour faire un biberon au bébé. Mais son cœur se serra lorsque le lendemain, elle raconta tout à sa mère. Malgré les épreuves auxquelles elle fait face au jour le jour, Sim’ha garde toujours le sourire. Dix
ans plus tôt, son mari a été atteint d’une maladie rare et grave. Et depuis, il ne peut plus exercer son métier. Dévouée et aimante, Sim’ha fait tout ce qui est en son pouvoir pour atténuer ses peines et le soulager, tout en s’occupant de ses enfants et de la bonne marche du foyer. Mais le niveau de vie baisse progressivement, et malgré la petite allocation de la sécurité sociale, Sim’ha, son mari et ses enfants doivent se contenter du minimum vital. On ne la voit jamais dans les magasins car elle ne fait jamais les courses. Elle récupère les vêtements usagés et les voisins sont habitués à lui donner ce dont ils ne se servent plus. Malgré tout cela, Sim’ha ne se plaint jamais. Mais quand arrive une fête comme Pessa’h, la situation devient intenable. Comment se procurer les Matsot, le vin, les aliments de base ? C’est la question qui ne laisse pas de répit à Sim’ha en cette veille de fête. Et c’est la question à laquelle a décidé de répondre le Vaad Harabanim lorsqu’il a instauré la remise des paniers de Pessa’h. Grâce à eux, des familles comme celle de Haïm ou de Sim’ha peuvent se procurer tout ce qui est nécessaire afin de passer une fête de Pessa’h comme des rois, et non de manger le pain de misère…
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Roch ‘hodech Nissan est une bonne date pour commencer les préparatifs de Pessa’h. En effet, la fête avance à grands pas et, au Vaad Harabanim, nous avons la volonté d’anticiper afin de toujours mieux répondre aux attentes du public. C’est chose faite avec l’opération kim’ha de piss’ha qui doit se dérouler ces prochains jours… L’année dernière, le Vaad Harabanim a innové en permettant à des milliers de familles d’acheter des Matsot à un prix symbolique. Comment réussir ce tour de force ? Grâce au concours de nombreux donateurs, grâce à la générosité de tous ceux pour qui les fêtes juives sont synonymes d’entraide, l’Association a pu livrer des milliers de kilos de Matsot à des familles qui n’ont pas les moyens de s’en procurer. Techniquement, le principe est simple : le Vaad contacte une fabrique de Matsot et commande une grande quantité de marchandises qu’il paie comptant. Ensuite, il distribue les précieuses Matsot aux nécessiteux, qui peuvent, contre une participation minime, les acquérir et les servir le soir du seder.
activité afin de rendre ce rêve possible. C’est que nous confirme Motti, responsable de l’opération : « Nous nous donnons complètement, durant des semaines, afin que la distribution puisse avoir lieu en temps et en heure. Les bénévoles sont tous des hommes de bonne volonté qui n’ont qu’un désir : celui de donner de tout leur cœur. C’est pour cela que je suis certain, malgré les contretemps et les difficultés rencontrées, que nous parviendrons à remplir nos objectifs : livrer des centaines de cartons de Matsot à des familles aux quatre coins du pays. » Comme Motti, vous avez la possibilité de participer à cette fabuleuse entreprise, vous qui êtes à des milliers de kilomètres. V o t r e don vous procurera le mérite d’accomplir la mitsva de Kim’ha de Piss’ha, décrite par le Choul’han Arou’h. Grâce à vous, des familles nombreuses, des personnes esseulées, des érudits sans moyens et des personnes défavorisées pourront manger le « pain de misère », ce pain béni que vous leur offrirez comme autant de Matsot en forme de cœur.
Des Matsot en forme de cœur
Se donner, complètement Le Vaad Harabanim est d’ores et déjà en pleine
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Les Grands de la gĂŠnĂŠration transmettent Kimh'a Depissh'a par l'intermediaire du Vaad Harbanim
Notre maitre le Gaon
Aaron Leib Steinman Chlita Rav
Notre maitre le
Haim Kaniewsky
Gaon Rav
Notre maitre le Gaon
Chmouel Auerbach Chlita Rav
Notre maitre le Gaon
Nissim Karelits Chlita Rav
Chlita
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Le Kottel Hamaaravi
Dimanche
Lundi
Mardi 15 Nissan - 26 Mars
Mercr 16 Nissan
1e Jour du
La tombe de Rah'el
La tombe de Rabbi Meir Baal Haness
1er Jour de Pessah'
2e jour de
23 Nissan
20 Nissan - 31 Mars
21 Nissan - 1 Avril
22 Nissan - 2 Avril
5e Jour du Omer
6e Jour du Omer
7e Jour du Omer
H'ol Hamoed Pessah'
Chevii Chel Pessah'
8e Jour de Pessah'
Issrou
27 Nissan - 7 Avril
28 Nissan - 8 Avril
29 Nissan - 9 Avril
30 Nissan
12e Jour du Omer
13e Jour du Omer
14e Jour du Omer
Prière speciale
8e Jour du
15 Jour du
Roch 'Hod
La tombe de Rabbi Chimon Bar Yoh'ai
La tombe de Rabbi Moche Lussato
La tombe de Cmouel Hanavi
04 Iyar - 14 Avril
05 Iyar - 15 Avril
06 Iyar - 16 Avril
07 Iyar -
19e Jour du Omer
20e Jour du Omer
21e Jour du Omer
22 Jour du
11 Iyar - 21 Avril
12 Iyar - 22 Avril
13 Iyar - 23 Avril
14 Iyar -
26e Jour du Omer
27e Jour du Omer
28e Jour du Omer
29 Jour du Hilloula d Meir baal
18 Iyar - 28 Avril
19 Iyar - 29 Avril
20 Iyar - 30 Avril
21 Iyar -
33e Jour du Omer Lag Baomer
34e Jour du Omer
35e Jour du Omer
36 Jour du
25 Iyar - 5 Mai
26 Iyar - 6 Mai
27 Iyar - 7 Mai
40e Jour du Omer
41e Jour du Omer
42e Jour du Omer
Hilloula de Rabbi Moche Lussato La tombe du Chlah Hakadoch
28 Iyar -
43 Jour du
Hillou Chmouel
03 Siwan - 12 Mai
04 Siwan - 13 Mai
05 Siwan - 14 Mai
47e Jour du Omer
48e Jour du Omer
49e Jour du Omer
06 Siwan
1er Jo Chavo
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0-800
redi - 27 Mars
Jeudi
Vendredi
Chabbat
17 Nissan - 28 Mars
18 Nissan - 29 Mars
19 Nissan - 30 Mars
er u Omer
2e Jour du Omer
3e Jour du Omer
4e Jour du Omer
e Pessah'
H'ol Hamoed Pessah'
H'ol Hamoed Pessah'
H'ol Hamoed Pessah'
n - 3 Avril
24 Nissan - 4 Avril
25 Nissan - 5 Avril
26 Nissan - 6 Avril
e u Omer
9e Jour du Omer
10e Jour du Omer
11e Jour du Omer
01 Iyar - 11 Avril
02 Iyar - 12 Avril
03 Iyar - 13 Avril
5e u Omer
16e Jour du Omer
17e Jour du Omer
18e Jour du Omer
dech Iyar
Roch 'Hodech Iyar
17 Avril
08 Iyar - 18 Avril
09 Iyar - 19 Avril
10 Iyar - 20 Avril
2e u Omer
23e Jour du Omer
24e Jour du Omer
25e Jour du Omer
24 Avril
15 Iyar - 25 Avril
16 iyar - 26 Avril
17 Iyar - 27 Avril
9e u Omer de Rabbi l Haness
30e Jour du Omer
31e Jour du Omer
32e Jour du Omer
- 1 Mai
22 Iyar - 2 Mai
23 Iyar - 3 Mai
24 Iyar - 4 Mai
6e u Omer
37e Jour du Omer
38e Jour du Omer
39e Jour du Omer
- 8 Mai
29 Iyar - 9 Mai
01 Siwan - 10 Mai
02 Siwan - 11 Mai
3e u Omer
44e Jour du Omer
45e Jour du Omer
46e Jour du Omer
ula de l Hanavi
Prière sur la Tombe du Chlah
Roch 'Hodech Siwan
u 'Hag - 10 Avril
- 15 Mai
our de ouot
Notre Maitre le Gaon Rav Yosseph Chalom Elyachiv Zatsal
Notre Maitre le Gaon Rav Aaron Leib Steinman Chlita
Notre Maitre le Gaon Rabbi David Abouh'atseira Chlita
Notre Maitre le Gaon Rav H'aim Kaniewski Chlita
Notre Maitre le Gaon Rav Yaakov Hillel Chlita
Notre Maitre le Gaon Rav Yehouda Ades Chlita
07 Siwan - 16 Mai
2e Jour de Chavouot
Notre Maitre le Gaon Rav Reouven Elbaz Chlita
0-106-135 www.vaadharabanim.org
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Alors que font rage des pogroms dévastateurs dans toute la Pologne, Rabbi Chimchon Ostropoli, un Rav d’une érudition exceptionnelle, va léguer à sa génération et à la postérité une lettre très précieuse. Cette lettre est aujourd’hui encore, pour chacun d’entre nous, une source d’inspiration et d’espoir. Qui est Rabbi Chimchon Ostropoli ? Témoin des pogroms perpétrés par les Cosaques en Pologne au milieu du 17e siècle, il meurt assassiné avec sa communauté « al kidouch Hachem ». Ce grand Sage, qui connaissait toute la Thora, était un kabbaliste reconnu et mérita, grâce à ses qualités morales et son investissement permanent pour la Thora, de dévoiler de grands secrets de la Kabbale. Rabbi Moché Haïm Luzzato, le célèbre
Ram’hal, dira à son sujet qu’il était « un homme saint, un grand Sage très versé dans l’étude et qui a mérité d’avoir accès aux enseignements cachés de la Thora. » La guerre et la dispersion coûtèrent non seulement la vie à des milliers d’hommes mais provoqua aussi la perte d’écrits précieux. Ainsi, des ouvrages de Rabbi Chimchon Ostropoli, il ne reste que peu de traces. Mais une lettre a été miraculeusement conservée et
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nous est parvenue malgré les épreuves et les vicissitudes.
A feu et à sang La Pologne entière est le théâtre de sanglants pogroms qui déciment des centaines de communautés. Mais loin de se décourager, les Sages n’ont de cesse de prier pour la délivrance. En ces temps sombres et d’une cruauté indicible, ils gardent la emouna et la transmettent à leurs enfants et à leurs disciples. C’est dans ce contexte que voit le jour la lettre de Rabbi Chimchon Ostropoli. Une lettre de emouna et d’espoir qui permettra de renforcer la confiance en D.ieu des générations futures. Dans cette lettre, le Rabbi expose de grands secrets de kabbala concernant la gueoula. Et il précise à la fin de son texte que celui qui le lira sera protégé de tout mal et permettra à la délivrance finale de voir le jour. Quelle est la portée réelle de ces mots qui cachent un sens profond et secret ?
A lire absolument la veille de Pessa’h La lettre de Rabbi Chimchon Ostropoli contient des secrets concernant la délivrance du peuple juif. « La veille de Pessa’h, celui qui lira la lettre sera protégé de tout mal », précise le tsadik. La fête de Pessa’h n’est-elle pas une préfiguration de la délivrance finale ? Grâce aux indications du Rav, les communautés juives de par le monde lisent cette lettre qui figure dans de nombreuses Haggadoth et permettent ainsi d’accélérer le processus de délivrance. La lire est donc déjà d’une importance capitale. Plus fondamentale encore est sa lecture pour celui qui est capable de la comprendre ! De nos jours, seuls certains érudits en Kabbale sont susceptibles d’élucider le sens profond des mots de Rabbi Chimchon Ostropoli. Parmi eux, l’un des plus reconnus est Rav Haïm Kanievsky.
D’Ostropole à Bné Brak Un petit appartement très simple à Bné Brak. Les pièces sont remplies de livres. Une atmosphère très particulière règne à l’intérieur de cette enclave de kedoucha. Le nettoyage de Pessa’h a commencé il y a quelques jours et vient de se terminer. Dans tous les foyers juifs, la veille de Pessa’h est marquée par un regain d’activité. Il faut préparer les derniers repas, les courses, le seder, les tenues des enfants. Mais chez Rav Haïm Kanievsky, l’ambiance est différente. Le Rav
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se prépare au grand soir. Il est entouré de ses livres et parmi ses lectures, se trouve une lettre sur laquelle il se concentre particulièrement, la lettre de Rabbi Chimchon. Rav Haïm comprend la signification de chaque mot, de chaque expression et c’est pourquoi il en comprend la portée véritable. Il espère dans la gueoula et prie pour que chacun d’entre nous soit délivré personnellement. Ainsi, après la lecture de la lettre, en signe de reconnaissance envers les donateurs du Vaad Harabanim qui, toute l’année, redonnent vie et espoir aux personnes en difficulté, Rav Haïm les mentionne afin qu’ils bénéficient de la protection promise dans la lettre.
Cette année, ce que nous vous proposons, ce n’est pas simplement de transmettre votre nom. Cette année, nous voulons tous ensemble, où que nous soyons, à la maison, à la synagogue ou au beith hamidrach, en pleins préparatifs ou dans une chambre d’hôtel, lire la lettre de Rabbi Chimchon Ostropoli.
A 14h30
nous nous arrêterons tous afin que nos voix, en écho à celle de Rav Haïm, s’unissent pour une tefila spéciale. Et tous ensemble, ou que nous soyons, nous nous unirons afin de lire la lettre de Rabbi Chimchon et de mériter la gueoula, délivrance de tout le peuple juif et de chacun d’entre nous.
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Mi’hal a passé un an extraordinaire au séminaire avant de retourner en France pour poursuivre ses études. Mais elle a du mal à trouver l’âme sœur. Kevin a très bien réussi dans les affaires et est déjà propriétaire de deux magasins. Mais il est encore célibataire. Jérémie a décidé d’étudier à plein temps à la Yechiva. Il attend de rencontrer celle qui lui est destinée. Pour eux et pour tous ceux et celles qui sont dans leur cas, il existe une réponse : la tefila. Mi’hal est une jeune fille de vingt-trois ans. Après le bac, elle est partie étudier un an en Israël avant de commencer ses études à Paris. Cela fait maintenant plusieurs années qu’elle poursuit son cursus en pharmacie et ne pensait pas rester célibataire aussi longtemps. Elle était persuadée qu’à son retour d’Israël, elle trouverait celui avec qui unir ses jours. Mais tel ne fut pas le cas et l’avenir ne lui semble plus aussi clair qu’avant. Kevin est un brillant homme d’affaires. Il a ouvert avec succès un premier magasin de téléphonie à Paris. Sa réussite l’a encouragé et il est maintenant propriétaire d’un second. Mais la réussite sentimentale n’a pas été aussi rapide et il attend toujours de rencontrer l’âme sœur. Ses efforts n’ont rien donné et il s’investit de plus en plus dans
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son travail afin de ne pas souffrir de cette situation. Un autre jeune homme traverse la même épreuve : Jérémie est un ba’hour prometteur. Il a décidé d’étudier à plein temps à la Yechiva après plusieurs mois enthousiasmant où il a découvert un cadre où il pouvait s’épanouir pleinement. Mais la question des chidou’him est présente, comme pour nombre de ses camarades. Il sait qu’il n’est pas si facile de trouver un conjoint. Il sait qu’il faut beaucoup de siyata dichmaya – d’aide providentielle –pour trouver la bonne épouse. Chacun prie pour parvenir enfin à l’heureux moment des fiançailles. Sa future kala prie également, sans connaître le moment de leur délivrance commune…
L’ouverture de la mer Nos Sages ont enseigné qu’il est aussi difficile de trouver le zivoug que d’ouvrir la mer pour laisser passer les bné Israël. Cette parabole nous révèle en fait un secret. Le moment de l’ouverture de la mer – le septième jour après la sortie d’Egypte qui correspond au dernier jour de Pessa’h –, est le moment idéal pour prier afin de trouver l’âme sœur. Ce moment précis, où Hachem a bouleversé les lois de la nature pour sauver Ses enfants, est un moment spécial où tout est possible. Hachem a décidé d’ouvrir la mer en deux et est prêt, pour unir deux êtres, à accomplir un processus similaire. Pour ce faire, il faut bénéficier d’un mérite spécial, que l’on peut acquérir par la tefila. C’est pourquoi, cette année, les délégués du Vaad Harabanim se rendront à Amouka, lieu propice pour adresser la prière du zivoug et feront une tefila spéciale à minuit précise.
Les délégués du Vaad Harabanim seront présents sur la tombe de Rabbi Yonathan Ben Ouziel afin de réciter la Chirat Hayam et Chir Hachirim et mentionneront tous ceux qui ont besoin d’« ouvrir la mer ». Prière spéciale pour le zivoug, chevii chel Pessa’h à Amouka. Le 21 Nissan, 01/04/13. 15
Pour que les Grands de la Génération prient pour vous
- Le soir du Seder du Pessah' - Le 7e Jour de Pessah' Prénom en hébreu ____________________________________ Prénom de la mère ___________________________________ Bonne santé Parnassa Enfants Mariage Réussite avec les enfants Succès Autre ____________________ Prénom en hébreu ____________________________________ Prénom de la mère ___________________________________ Bonne santé Parnassa Enfants Mariage Réussite avec les enfants Succès Autre ____________________
Veuillez remplir le coupon ci-joint et le renvoyer au Vaad Harabanim. Je souhaite offrir un panier pour une famille :
Pour le soir du seder d'une valeur de 52 euros pour _____ familles Pour toute la fête d'une valeur de 300 euros pour _____ familles
0-800-106-135
Un reçu sera envoyé pour tout don.
5 possibilités pour transmettre vos dons au Vaad haRabanim :
1
Appelez ce numéro pour un don par carte de crédit : 0-800-106-135 en Israël:
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00. 972.2.501.91.00
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Envoyez votre chèque à :
Vaad haRabanim
10, Rue Pavée 75004 Paris
Sur notre site :
3 Envoyez votre don à l'un des Rabanim de votre région (demandez la liste au numéro 0-800-106-135).
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Veuillez libeller vos chèques à l'ordre de Vaad haRabanim