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[ Quand la couleur côtoie le noir et blanc… ]
Depuis sa création, Studio Harcourt, hors du temps et des modes, préserve et cultive les valeurs fondamentales qui ont forgé son succès et sa réputation : l’excellence, la valorisation d’une esthétique, une élégance à la française et un art de recevoir très parisien.
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Imaginé par Cosette Harcourt, femme d’exception, moderne et à l’avant-gardisme audacieux, le studio éponyme naît de sa collaboration avec les frères Lacroix, patrons de presse à l’instinct visionnaire et hommes d’affaires aguerris. L’idée de Cosette Harcourt : faire se rencontrer deux arts, la photographie et le cinéma. Ainsi, pour tirer le portrait des grandes familles de l'époque, fait-elle appel aux éclairagistes de cinéma. Une méthode bien à elle qui fera tout le charme de cette emblématique maison.
Studio Harcourt prend ainsi ses marques en 1934, au sein du très chic 8e arrondissement de Paris et puise son héritage dans les racines glamour de l’âge d’or du cinéma français en noir et blanc. L'esprit intimiste et très élégant de la méthode Harcourt séduira le monde du 7e art. De Brigitte Bardot à Alain Delon, en passant par Catherine Deneuve, Carole Bouquet, Laetitia Casta, Vincent Lindon, Jean Reno ou Keanu Reeves pour ne citer qu’eux, ces actrices et acteurs défileront dans l'atmosphère feutrée des studios de la Maison. Sans oublier bien-sûr les personnalités issues de la politique, de la mode, du sport ou de la culture…
Souvent imité, mais jamais égalé, le style Harcourt est devenu au fil du temps un gage d’éternité, une référence iconographique qui s’impose comme une signature incontournable. A l'heure des "selfies" et du tout numérique, dans une période où la presse magazine est souvent délaissée, nous avons souhaité prendre le contrepied et relever ce challenge en lançant Harcourt Magazine.
Au-delà du mythique portrait qui a fait sa renommée, nous allons vous faire découvrir dans ce numéro 1, un univers artistique souvent méconnu où la couleur côtoie le noir et blanc en totale harmonie. Les références iconographiques liées au plan américain, avec son halo de lumière, sont challengées, ce qui permet de créer un magazine en mouvement en pleine cohérence avec notre époque. Tout en respectant les codes du Studio Harcourt, l’esprit de cette édition est résolument contemporain et ne manquera pas de surprendre…
Dans notre premier numéro semestriel avec ses deux « covers » (Black / Red), qui a pour thématique « Studio Harcourt fait son cinéma », Harcourt Magazine clame son amour pour le 7e art au travers de portraits de personnalités qui comptent dans les milieux du cinéma. Des éditoriaux consacrés à la mode, à la joaillerie, à l’horlogerie, aux fragrances, etc. - que nous retrouverons dans les prochaines éditions - viendront compléter ces rencontres. Les prochains thèmes traités pourraient être « Black is Black », « L’intime », « Les 7 péchés capitaux », « Voyage » …
Un grand merci à l’équipe du Studio Harcourt et à la team de Harcourt Magazine qui ont collaboré à la réalisation de ce magazine et partagé cette expérience, ainsi qu’à toutes les personnes qui se reconnaîtront.
COVER BLACK
Photographie, maquillage, coiffure : Equipe STUDIO HARCOURT.
COVER RED
Julie TUZET, mannequin @metropolitanmodelsgroup porte une robe
GEORGES MAKAROUN avec une montre LA D MY DIOR et des boucles
• Secrétaire de rédaction : Alain LABATUT
• P.A.O : Atelier Claire CARREAU manucures : voir dossiers intérieurs
• Dessinateurs : Jade, Ange, Hugo, Tom & Théo, Rose, Swana, Jeyla
• Régie Publicitaire : HARCOURT MAGAZINE, Thibault REICHELL, t.reichell@harcourtmagazine.com et SO EVENTS, Jean-Marc DAHAN, jmd@hdmedias.com,
Marc Lévy
Visuel, cinématographique, son style littéraire a séduit des millions de lecteurs à travers le monde et tapé dans l’œil d’Hollywood. Sa dernière saga, « 9 », aux accents prémonitoires, est en cours d’adaptation en série et pourrait avoir une suite en librairie.
JOAILLERIE | 60
Diamants éternels
LE CINÉMA EST UN ÉCRIN, UNE BOÎTE À BIJOUX
Cinq films recèlent presque plus de perles et de diamants, que toute la place Vendôme. Dans « Breakfast at Tiffany’s » (1961), Audrey Hepburn, vêtue d'une robe noire et d'un collier de perles, rêve devant la vitrine de la célèbre joaillerie new-yorkaise. Composé par Jean Schlumberger, son collier est composé de cinq rangs de perles, orné d'un pendentif en diamants en forme de croissant de lune...
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