Le Dire Et L Ecrire 316

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13è année - n° 316

16 septembre 2020

www.ledireetlecrire.com

« La salle des machines » Les premiers invités

Marie-Hélène Lafon

Jean Rolin

Jean-Marie Blas de Roblès

Diane Meur

Léonie Bischoff

Alain Mabanckou

Une nouvelle émission littétaire de France Culture à écouter le dimanche à 17h (ou sur internet) « Deux invité(e)s partagent leur actualité, pour nous permettre d’en explorer les secrets et en entendre jouer les ressorts. Que sous-tend ce roman ? Sur quel paysage ouvre-t-il ? Quel en est l’arrière-plan ? Quelle relation les traducteurs entretiennent-ils avec le livre qu’ils traduisent ? » ►À écouter ICI


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Le dire et l’écrire

La reprise des « Bouillons » d’Angers

Le 23 septembre Rencontre avec Andrea Marcolongo pour son livre

« Etymologies pour survivre au chaos »

Le 6 octobre Rencontre avec Marie-Hélène Lafon pour son livre

« Histoire du fils »


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Le dire et l’écrire

Des livres

La rentrée littéraire

La petite dernière

Histoires de la nuit

Alger, rue des bananiers

Fatima Daas

Laurent Mauvignier

Béatrice Commengé

"Je m’appelle Fatima Daas. Je suis la mazoziya, la petite dernière. Celle à laquelle on ne s’est pas préparé. Française d’origine algérienne. Musulmane pratiquante. Clichoise qui passe plus de trois heures par jour dans les transports. Une touriste. Une banlieusarde qui observe les comportements parisiens. Je suis une menteuse, une pécheresse. Adolescente, je suis une élève instable. Adulte, je suis hyper-inadaptée. J’écris des histoires pour éviter de vivre la mienne. J’ai fait quatre ans de thérapie. C’est ma plus longue relation. L’amour, c’était tabou à la maison, les marques de tendresse, la sexualité aussi. Je me croyais polyamoureuse. Lorsque Nina a débarqué dans ma vie, je ne savais plus du tout ce dont j’avais besoin et ce qu’il me manquait. Je m’appelle Fatima Daas. Je ne sais pas si je porte bien mon prénom."

Il ne reste presque plus rien à La Bassée : un bourg et quelques hameaux, dont celui qu’occupent Bergogne, sa femme Marion et leur fille Ida, ainsi qu’une voisine, Christine, une artiste installée ici depuis des années. On s’active, on se prépare pour l’anniversaire de Marion, dont on va fêter les quarante ans. Mais alors que la fête se profile, des inconnus rôdent autour du hameau.

« Le hasard m’avait fait naître sur un morceau de territoire dont l’histoire pouvait s’inscrire entre deux dates : 1830-1962. Tel un corps, l’Algérie française était née, avait vécu, était morte. Le hasard m’avait fait naître sur les hauteurs de la Ville Blanche, dans une rue au joli nom : rue des Bananiers. Dans la douceur de sa lumière, j’avais appris les jeux et les rires, j’avais appris les différences, j’avais aimé l’école Au Soleil et le cinéma en matinée, j’avais découvert l’amitié et cultivé le goût du bonheur ». En remontant le cours d’une histoire familiale sur quatre générations, Béatrice Commengé entremêle subtilement la mémoire d’une enfance et l’histoire de l’Algérie française. Au plus près de l’esprit des lieux, elle parvient à donner un relief singulier au récit de cet épisode toujours si présent de notre passé.

Un article d’EAN

Présentation par l’auteure à la télévision et la radio

Un article sur le site ENCRES VAGABONDES


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Le dire et l’écrire

Des livres

Autres livres

Beyrouth sous parenthèses Sabyl Ghoussoub Il est défendu à un citoyen libanais de se rendre en Israël. Mais le narrateur, un jeune photographe franco-libanais, décide d’enfreindre la loi de son pays et ne pas suivre l’avis de sa famille. Arrivé à l’aéroport Ben Gourion de Tel-Aviv, il subit un interrogatoire de plusieurs heures. Les questions fusent et se répètent. « Comment s’appelle votre mère ? Comment s’appelle votre père ? Comment s’appelle votre grand-père ? Comment vous appelez-vous ? » Des questions qui reviennent comme une berceuse et qui voudraient obliger le narrateur à se définir de manière définitive. ...

Blues pour l’homme blanc James Baldwin « Dans ma pièce, écrit-il, il est question d’un jeune homme qui est mort ; tout, en fait, tourne autour de ce mort. Toute l’action de la pièce s’articule autour de la volonté de découvrir comment cette mort est survenue et qui, véritablement, à part l’homme qui a physiquement commis l’acte, est responsable de sa mort. L’action de la pièce implique l’effroyable découverte que personne n’est innocent […]. Tous y ont participé, comme nous tous y participons. »

Des revues Avec un entretien avec Florence Aubenas sur le journalisme, l’écriture

Le numéro 44 de la revue « Les Moments Littéraires » présente Catherine Safonoff, journaliste et écrivaine suisse, qui explore « une manière originale de parler de soi, entre autobiographie et autofiction ».


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Le dire et l’écrire

Articles, entretiens

Entretien avec Pascal Quignard sur France Culture, le 08/09/2020

Les Français et la BD Une étude d’IPSOS pour le Centre National du Livre.

A l'occasion de la sortie, en cette rentrée littéraire, de " L'Homme aux trois lettres", publié chez Grasset, 11e tome de son cycle "Dernier Royaume", auquel il se consacre depuis 2002.

Toutes les rencontres en septembre octobre novembre En préparation pour mai 2021

Des films

Adolescentes Dans ce documentaire immersif, Sébastien Lifshitz suit deux jeunes amies, Anaïs et Emma, pendant cinq ans, traversés par les grands rites de l'adolescence et les questionnements qui affleurent à l'approche de la majorité, offrant au passage une radiographie subtile de notre époque.

Le colloque prévu les 5 et 6 novembre à Pau est reporté


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Des formations

Un programme AlephEcriture sélectionné par LE PELERIN. Cet atelier d’écriture ouvrira à Angers, Bordeaux, Lille, Lyon, Paris, ou en résidentiel à St Jacut-de-la-mer près de Saint-Malo. Trois modes de rencontre différents sont envisagés entre octobre 2020 et juin 2021 : - 2 jours par mois, - 3 fois une semaine en résidentiel - 100 % à distance avec des rendez-vous réguliers tous les 15 jours. Un atelier d'écriture au long cours, mené par une spécialiste du récit de vie, pour écrire à partir de vos souvenirs puis transmettre votre histoire à vos proches sous la forme d'un livre. ►Toutes les informations sur le site d'Aleph-Ecriture ►Découvrez l'interview de Michèle Cléach, responsable du parcours, sur

L'Inventoire, la revue littéraire d'Aleph-Écriture. ►Lire l'interview de Mathieu Rousseau, gérant d'Aleph-Écriture, parue

dans Le Pèlerin.


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Le dire et l’écrire

Solidarité avec le peuple libanais

Reconstruire les bibliothèques publiques de Beyrouth Assabil (Les amis des bibliothèques publiques), l'organisation non gouvernementale en charge de trois bibliothèques publiques de Beyrouth, a lancé un appel à soutiens et à financements pour reconstruire et la réhabiliter les trois établissements qu’elle gère. L'accident causé par un stockage dangereux de 2 750 tonnes de nitrate d'ammonium a provoqué de sérieux dommages aux bibliothèques, mais aussi aux musées, aux écoles ou aux librairies. Vitres et portes soufflées par la détonation ou encore bureaux et câbles électriques démolis, l'Assabil réclame pour les bibliothèques 55 000 dollars pour tout reconstruire. Ce sont annuellement 35 000 visiteurs qui se rendent dans ces établissements aujourd'hui fermés. Pour contacter l'association ASSIBIL

Le dernier chant d’Adjoua Un article de Salma Kojok paru dans L'ORIENT Littéraire, numéro spécial septembre 2020

Les vivants et les morts Un article de Georgia Makhlouf paru dans L'ORIENT Littéraire, numéro spécial septembre 2020

Lettre à mes amis libanais Une lettre ouverte de Catherine Malard - 6 décembre 2019 -


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Le dire et l’écrire

Hommage aux assassiné.es de

Rue Nicolas Appert - 75011 Paris

Charlie


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