Le Dire Et L Ecrire _ 430

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Ce 1er semestre 2023 est particulièrement riche en expositions. Il ne sera probablement pas facile d’éviter la « grande » exposition sur « RAMSES ET L’OR DES PHARAONS » qui se tiendra à Paris, à la Halle de la Villette, du 7 avril au 6 septembre 2023 []. Pour les plus anciens d’entre nous, cette exposition devrait raviver le souvenir de celle de 1967 sur « TOUTÄNKHAMON ET SON TEMPS » qui en 5 mois avait vu affluer 1,2 millions de visiteurs. Un record jamais égalé depuis !

Mais à côté de ce « blockbuster », des expositions sont proposées partout en France, dans la capitale, dans les Régions et aux Antilles. Notre liste, non exhaustive et très subjective, comporte 21 expositions.

Nous avons choisi de vous proposer également deux expositions à l’étranger :

■ à Amsterdam, la grande exposition VERMEER d’Amsterdam (28 tableaux exposés sur les 32 connus du peintre)

■ à Genève, des œuvres de la Galerie nationale d’art de Kyiv, mises à l’abri des bombardements russes.

n° 430 - 15/02/2023
Missak Manouchian Mélinée Sukémian

Le jeudi 9 mars 2023 à l’UCO d’Angers - amphi Bedouelle

Une grande soirée avec Marie-Hélène Lafon

Cette année, nous fêtons les 202 ans de Flaubert. Pas un compte rond, néanmoins un grand conteur que cet écrivain qui, à la fois, a marqué son époque et influencé aussi toute une lignée d’auteurs contemporains. Nous avons souhaité que l’auteur d’Emma Bovary passe par les fourches caudines d’une de ses émules, inconditionnelle : MarieHélène Lafon. C’est à travers l’expérience qu’elle a de son compagnonnage que nous explorerons le rapport personnel que l’auteure de l’Annonce entretient avec l’œuvre foisonnante du « Bon Gustave », comme elle se plaît à le nommer. N’hésitons pas à lire et relire les ouvrages de ce grand homme de lettres, tout en saluant un maître du style dont jamais on ne se lasse.

À 18h30

À 19h30

L’invitation L’invitation

Avec Marie-Hélène Lafon, le retour aux sources ne peut être qu’intense, d’abord les sources du Cantal de son enfance, puis celles de son écriture, unique par sa force, radicale par sa rythmique, « la langue, c’est le pays que j’habite » aime-t-elle à dire. Invitation à se plonger dans ce dernier roman, du même titre, au bouillonnement fiévreux et bouleversant. L’auteure d’Histoires du fils nous emporte à un moment crucial de la vie d’une famille, juste après la mort du père, quand la ferme va être vendue et réunit les 3 enfants en partance chez le notaire. Instant décisif où les souvenirs de l’enfance reviennent en nombre, en particulier l’image de la mère, une mère sans cesse humiliée et violentée par le père devant ses enfants. Un roman en 3 tableaux sur 3 époques qui cogne et époustoufle.

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Formations Événements

(rencontres-théâtre-expositionstélévision-formations-cinéma)

"Les séjours thématiques d’Aleph-Ecriture vous invitent à vous extraire de la vie quotidienne pour vous consacrer, le temps de quelques jours, à l’écriture, dans des cadres inspirants choisis par nos soins.

Nos propositions comprennent les ateliers d’écriture, l’hébergement et selon les cas les repas, pour que vous n’ayez plus qu’à… vous mettre à l’écriture".

Aleph-Écriture s’associe avec Le Pèlerin et La Croix pour vous proposer l’aventure de la transmission écrite : des ateliers à la carte, accessibles à tous, qui peuvent être pris séparément ou ensemble. Ils abordent des thématiques présentes tout au long de l’existence : Mes origines, Portraits de famille, Les lieux de ma vie, Les mots de ma vie, Ma vie professionnelle, Les objets de ma vie, Les événements de ma vie.

Les manifestations littéraires et salons du livre - Année 2023

#10MARSJELIS : quart d'heure de lecture national

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En février En mars En février En mars En février En mars En février En mars En février En mars

Des livres

1953- 2023

Le Livre de Poche a 70 ans. A cette occasion impossible de passer à côté des belles paroles d’un « aristocrate des lecteurs »

La boîte rouge

Antoni Campaňa

Cet ouvrage dévoile pour la première fois les archives du photographe catalan consacrées à la guerre civile. Des archives cachées, découvertes après sa mort par ses enfants dans des boîtes rouges remisées dans le garage de sa dernière demeure qui allait être démolie. 80 ans plus tard, donc, pas moins de 5000 images, tirées ou sur négatifs, retrouvent la lumière. Chaque photographie présentée ici est expliquée et contextualisée

Z ou souvenirs d’une historienne

Claire Zalc

Ce livre n'est pas une egohistoire. Pas plus qu’un mémoire de synthèse.

Claire Zalc s’empare avec originalité du motif de l’écriture rétrospective du je » savant et transforme l’exercice en jeu de piste. Elle se souvient. Et d’abord d’avoir toujours lu et travaillé à partir de l’œuvre de Georges Perec.

Les affinités arbitraires et électives qui la lient à son histoire et à ses pratiques dessinent une approche du métier comme de la discipline. L’itinéraire de l’historienne rencontre celui de l’écrivain sans jamais se confondre avec lui.

De W à Z s’entrecroisent deux manières alternées de penser le retour d’expériences de soi, entre récit biographique et parcours académique. Ce n’est pas seulement un Souvenir d’enfance, d’adolescence, d’étudiante ou de jeune chercheuse confirmée. Le mode d’écriture inspiré et documentaire donne à voir l’infra-ordinaire de l’élaboration scientifique. Réécritures et relectures enchâssées composent un récit à la fois littéraire, intime et savant où affleure une histoire-science sociale.

L’enfant rouge JeanVédrines

De ce père ouvrier, le fils ne raconte pas la vie mais la légende : chaque défilé à drapeaux rouges, c’est Lénine et le père qui marchent en tête. Entre les vieilles pierres d’une ville de province, le fils entend souffler le grand vent qui vient

« Nous, on aime la vie ! clame le père. Celle qu’on a ici, sur terre. Nous, on est le parti des vivants, t’entends ? » Vraiment ?

Au fils, il semble pourtant que le père a son cortège d’ombres, celles qui l’ont suivi depuis le camp de prisonniers en Allemagne pendant la guerre. Mais pourquoi le Parti interdit-il d’en rien dire ? Romancier de la révolte et de la parole vive, Jean Védrines se lance avec L’Enfant rouge dans une archéologie des convictions, à la fois sévère et lumineuse, placée sous l’exigence de la vérité.

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Des livres

Un livre d’une auteure, membre de la Première Nation d’Alderville (Ontario)

Noopiming : remède pour guérir de la blancheur

Leanne Betasamosake

Simpson

Face au colonialisme, les Autochtones doivent continuellement se fabriquer un « chez soi » et y retrouver un sentiment d’appartenance. Pour certains d’entre nous, ce ne sont que des aperçus, des moments furtifs. Parfois, il n’y en a que des fragments. Noopiming signifie « en forêt » en anishinaabemowin. Une constellation de personnages font leur chemin, retissant la relation avec la nature, le vivant, et les uns avec les autres, dans la jungle urbaine, où tout est possédé, emballé et consommé. Ancré dans la narration anishinaabe où les genres fixes n’existent pas et où la place est laissée à la transformation et au mouvement, Noopiming. Remède pour guérir de la blancheur est un acte de décolonisation, de dégentrification et de résistance aux mythes coloniaux.

Un article paru dans LE DEVOIR

Frontières - Petit atlas poétique, Anthologie établie par Bruno Doucey et Thierry Renard

Prononcez le mot Frontières et vous aurez aussitôt deux types de représentations à l’esprit. La première renvoie à l’image des postes de douane, des bornes, des murs, des barbelés, des lignes de séparation entre États que l’on traverse parfois au risque de sa vie. L’autre nous entraîne dans la géographie symbolique de l’existence humaine : frontières entre les vivants et les morts, entre réel et imaginaire, entre soi et l’autre, sans oublier ces seuils que l’on franchit jusqu’à son dernier souffle. La poésie n’est pas étrangère à tout cela. Qu’elle naisse des conflits frontaliers, en Ukraine ou ailleurs, ou explore les confins de l’âme humaine, elle sait tenir ensemble ce qui divise. Géopolitique et géopoétique se mêlent dans cette anthologie où cent douze poètes, hommes et femmes en équilibre sur la ligne de partage des nombres, franchissent les frontières leurs papiers à la main.

Le 21 mars 2023 à 20h à la Maison de la Poésie

Une rencontre autour du livre avec Marc Alexandre Oho Bambe, Nassuf Djailani, Olivier Adam, Bruno Doucey, Laura Lutard, Katerina Apostolopoulou, Sofía Karámpali Farhat & Murielle Szac

Accompagnés de Caroline Benz au piano

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Des livres

Notes, articles, entretiens

Bruits et couleurs du temps - Une famille dans le temps soviétique

Irina Scherbakova

Dans cet ouvrage, Irina Scherbakova retrace l’itinéraire de trois générations engagées dans le XXe siècle russe. Ses grands-parents, juifs, sont portés par l’élan révolutionnaire. Ses parents surmontent la guerre et l’antisémitisme. Ils rêvent d’un « socialisme à visage humain ». Sa génération, lucide sur le passé soviétique et portée par un espoir de changements, assiste à la chute du régime. Ancré dans la mémoire vive et intime d’une famille, ce récit éclaire de manière émouvante l’histoire de l’intelligentsia juive en Russie et, plus largement, le destin tragique de l’Union Soviétique.

Une note sur le blog LES PLAISIRS DE MARC PAGE

Zaatar, Sofía Karámpali Farhat

Un père militant, qui espère voir un jour un Liban libre et laïc. Une tante disparue à l’âge de dix-huit ans, sans réaliser son rêve de voir un jour la mer. Une grand-mère qui sème le zaatar, le thym sauvage, pour conjurer la guerre. Lorsqu’elle quitte son pays pour venir étudier en France, Sofía Karámpali Farhat choisit de confier sa vie à la poésie. Une poésie à l’image du zaatar : sauvage et parfumée, s’épanouissant fièrement même au milieu des décombres. Car malgré les bombes, les haines et les barbelés qui se dressent sur sa route, la poétesse ne courbe jamais l’échine. Au contraire, sa poésie est une invitation à résister, encore et toujours, à ceux qui tentent d’enfermer les corps et les esprits. Un premier recueil placé sous le double signe de la lutte et de la vie.

Entretien avec Catherine Malard sur Radio G

Une note de lecture de Pierre Ahnne

Une note de Corinne Bacharach

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Entretien avec Antoine Wauters Ego-histoire sous le signe de PEREC

Missak et Mélinée, bientôt au Panthéon ?

Le 21 février 1944, le poète arménien Missak Manouchian est assassiné ainsi que 22 autres hommes de son groupe. La seule femme du « groupe Manouchian », Olga Bancic, Roumaine de 32 ans, est décapitée en Allemagne le 10 mai 1944. Ce groupe, à Paris, est composé de trois Français et de vingt et un étrangers dont des Espagnols, des Italiens, des Arméniens et des Juifs d'Europe centrale et de l'est . Ils sont militants et militantes des Francs-tireurs et partisans de la Main-d'œuvre immigrée (FTP-MOI).

Mélinèe Manouchian, née Sukémian, meurt en 1989. Elle participe, pendant la guerre, au TA (Travail Allemand) consistant à faire déserter des soldats parmi les troupes allemandes stationnées en France.

Ma ChèreMélinée, ma petiteorphelinebien-aimée, Dans quelques heures, je ne serai plus de ce monde. Nous allons être fusillés cet après-midi à 15 heures. Cela m'arrive comme un accident dans ma vie, je n'y crois pas, mais pourtant je sais que je ne te verrai plus jamais. Que puis-je t'écrire ? Tout est confus en moi et bien clair en même temps. Je m'étais engagé dans l'Armée de Libération en soldat volontaire et je meurs à deux doigts de la Victoire et du but. Bonheur à ceux qui vont nous survivre et goûter la douceur de la Liberté et de la Paix de demain. Je suis sûr que le peuple français et tous les combattants de la Liberté sauront honorer notre mémoire dignement. Au moment de mourir, je proclame que je n'ai aucune haine contre le peuple allemand et contre qui que ce soit, chacun aura ce qu'il méritera comme châtiment et comme récompense. Le peuple allemand et tous les autres peuples vivront en paix et en fraternité après la guerre qui ne durera plus longtemps. Bonheur à tous... J'ai un regret profond de ne t'avoir pas rendue heureuse, j'aurais bien voulu avoir un enfant de toi, comme tu le voulais toujours. Je te prie donc de te marier après la guerre, sans faute, et d'avoir un enfant pour mon bonheur, et pour accomplir ma dernière volonté, marie-toi avec quelqu'un qui puisse te rendre heureuse. Tous mes biens et toutes mes affaires je les lègue à toi, à ta sœur et à mes neveux. Après la guerre tu pourras faire valoir ton droit de pension de guerre en tant que ma femme, car je meurs en soldat régulier de l'armée française de la libération. Avec l'aide des amis qui voudront bien m'honorer, tu feras éditer mes poèmes et mes écrits qui valent d'être lus. Tu apporteras mes souvenirs si possible à mes parents en Arménie. Je mourrai avec mes 23 camarades tout à l'heure avec le courage et la sérénité d'un homme qui a la conscience bien tranquille, car personnellement, je n'ai fait de mal à personne et si je l'ai fait, je l'ai fait sans haine. Aujourd'hui, il y a du soleil. C'est en regardant le soleil et la belle nature que j'ai tant aimée que je dirai adieu à la vie et à vous tous, ma bien chère femme et mes bien chers amis. Je pardonne à tous ceux qui m'ont fait du mal ou qui ont voulu me faire du mal, sauf à celui qui nous a trahis pour racheter sa peau et ceux qui nous ont vendus. Je t'embrasse bien fort ainsi que ta sœur et tous les amis qui me connaissent de loin ou de près, je vous serre tous sur mon cœur. Adieu.

Ton ami, ton camarade, ton mari.Manouchian Michel.

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Mélinée Sukémian
Lettre écrite, deux heures avant sa mort, par Missak Manouchian à sa femme

Un poème de Missak Manouchian

LE MIROIR ET MOI

Dans tes yeux de la fatigue et sur ton front tant de rides, Parmi tes cheveux les blancs, vois, tant de blancs camarade… Ainsi me parle souvent l'investigateur miroir

Toutes les fois que, muet, je me découvre seul en lui

Tous les jours de mon enfance et les jours de ma jeunesse Je – cœur parfois tout disjoint – les brimais pour l'holocauste Sur l'autel des vanités tyranniques de ce temps, Naïf – tenant pour abri l'espoir tant de fois promis

Comme un forçat supplicié, comme un esclave qu'on brime

J'ai grandi nu sous le fouet de la gêne et de l'insulte, Me battant contre la mort, vivre étant le seul problème… Quel guetteur têtu je fus des lueurs et des mirages !

Mais l'amertume que j'ai bue aux coupes du besoin S'est faite – fer devenue – que révolte, qu'énergie : Se propageant avec fureur mon attente depuis Enfouie jusqu'au profond du chant m'est cri élémentaire

Et qu'importe, peu m'importe : Que le temps aille semant sa neige sur mes cheveux ! Cours fertile qui s'élargit et qui s'approfondit Au cœur de toute humanité très maternellement.

Et nous discutons dans un face-à-face, à "contre-temps", Moi naïvement songeur, lui ironique et lucide; Le temps ? Qu'importe ce blanc qu'il pose sur les cheveux : Mon âme comme un fleuve est riche de nouveaux courants.

Traduction de l'arménien par Gérard HEKIMIAN

LA POESIE ARMENIENNE - Anthologie des origines à nos jours Réalisée sous la direction de Rouben Mélik Les Editeurs Français Réunis

Deux biographies :

Missak Manouchian

Celestino Alfonso

La fiche du livre

La fiche du livre

Une note de lecture de Paquito Schmidt

La fiche du livre

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Iran : « femme, vie, liberté ! »

Plus de 4 mois après la mort de Mahsa Amini, où en est le mouvement de contestation ?

Selon l'ONG Iran Human Rights, plus de 527 personnes, dont 71 enfants, auraient été tués par les forces de sécurité dans le mouvement de contestation déclenché le 16 septembre 2023. Mais les manifestations et la fronde contre le régime continuent.

■Lire l’article et cet article de MEDIAPART

Déclaration de sept femmes détenues dans la prison d’Evin à Téhéran

Dernières paroles de Majidreza Rahnavard

pendu à 23 ans.

À la télévision, les yeux bandés, sommé de formuler une requête funéraire, il a déclaré calmement : « Pas de larmes, pas de récitation du Coran, pas de prières.

Faites la fête ! ».

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Vidéo

Des livresSolidarité avec les peuples d’Ukraine

À paraître en février 2023

On lira dans cet ouvrage plusieurs récits sur la guerre en Ukraine et l’état du monde, volontairement subjectifs, nourris d’expériences personnelles, de témoignages, du passé proche et du présent tragique.

Son auteur évoque les mouvements antiguerre de Russie et du Bélarus, les dénis et les silences d’une partie des forces progressistes. Il pose, pour lui-même et à chacun d’entre nous, les questions de la pratique de la solidarité internationale et de la lutte pour la paix et la sécurité. Comment exfiltrer un nouveau-né et sa mère coincés quelque part au sud de Kharkiv ? Comment faire sortir une journaliste et sa famille de Moscou ? Comment aider des étudiants nigériens fuyant l’Ukraine et se retrouvant confrontés au racisme des institutions d’Europe ? Comment soutenir des réfugié·es en Pologne ? Comment avoir des nouvelles des ami·es ? Comment informer et faire comprendre ce que disent les dissidents russes et les résistants ukrainiens.

531 notices, de A à Z ... Sur chaque sujet, un éclairage court et précis : événements, villes, personnages, sujets de société, etc. Les notices nous emmènent des deux côtés du front, en Ukraine bien entendu, mais aussi en Russie et au Bélarus et nous font découvrir des sujets, présentés parfois sous des aspects inattendus ou originaux.

Un parcours au travers d’une guerre dévastatrice qui n’en finit pas. Une galerie de portraits d’Ukrainien·nes engagé·es dans la défense de leur pays.

L’Ukraine en toutes lettres apporte un éclairage sensible sur la réalité humaine de la résistance ukrainienne. Cette résistance qui fait l’objet également de notices qui l’abordent sous différents aspects : résistance militaire et résistance civile. Les acteurs sociaux sont également présents : mouvements syndicaux, féministes, LGBT+, culturels… Du côté de l’agresseur, la Russie, ses sanglants méfaits sont mis en accusation. Ses massacreurs y sont montrés du doigt, ainsi que ses hommes de pouvoir. Leur idéologie donne lieu à plusieurs entrées...

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Tremblements de terre en Turquie et en Syrie

Des dizaines de milliers de morts

Des millions de sans-abris Et des millions risquent le choléra

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OSAMA HAJJAJ. PUBLIÉ DANS « AL-QUDS », LE 7 FÉVRIER
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