Edito Le nom de janvier provient du nom latin du mois, ianuarius ou januarius, lui-même nommé en l’honneur de Janus, dieu romain des commencements et des fins, des choix, des clés et des portes. Pour le coup le mois de Janvier porte très bien son nom ! Fin des vacances et début d’une nouvelle année, fin des descentes de boissons et début des révisions, début des choix d’orientation, toussa toussa… Quelle complexité ! Heureusement que le GIW est là pour vous apporter toutes les clés, pour vous ouvrir quelques portes et qui sait, enfin séduire pendant les entretiens ! Bonne lecture !
Le rédac’ chef
Rédaction du Gem In Way Journal étudiant de GEM Publication Xpression Contact xpression@grenoble-em.com Rédacteur en chef Nathan Hardy Responsable Maquette Charlotte de Verdière Rédacteurs Maela Vincent Antoine Boulet Claire Maraval Emmanuelle Flahaut Joshua Mattei Pierre Jacquemin Albane van Hille Maquettistes Emeline Mauchaussé Antoine Boulet Clara Laugner Photos non contractuelles
Sommaire La vie de l'école Des cours à GEM.......................................p.4 L’article du GEM Career Center....................p.5 Interview d’Ugo Mahin..........................p.6 et 7 listes A.K.A ............................................................p.8 Les Mouss’quetards......................................p.9 Les Gin’s Bond.............................................p.10
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assos La photo de Planètes...............................p.11 L’interview d’un prez : Benoit Prigent...p.12 et 13 Ô stage ! Ô désespoir ! ....................p.14 Le revenu universel, et si l’utopie devenait réalité ? ....................................................p.15 Et si vous cherchiez un stage tourné vers l’économie verte ?......................p.16 et 17
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culture Musique et air du temps........................p.20 L’air qui venait du Sahara..........................p.21 Entretien avec un tatoueur : Cowboy.....p.22 et 23 La démocratie, meilleur des régimes ? ....p.24 et 25 Du rejet à la lumière, il n’y a parfois qu’un pas...........................................p.26 et 27 CD, vinyles, qu’apportent les supports matériels ?..................................................p.28 Le monde selon Garp, Irving.....................p.29 Espace et tiroir-caisse...............................p.30 La minute culture : La classique.................p.31 Frustrés de n’être qu’humains..................p.32 Expression libre Fatigue cognitive et décisions économiques ...p.33 Trump par-delà l’Atlantique.............p.34 et 35 Que cache l’élection de Trump ? ..............p.36 Guide de l’élève qui n’assume pas sa rentrée...p.37 ADN, environnement [...]...................p.38 et 39 Le jeu du mois...........................................p.40 Chaleur ! .....................................................p.41 L’horoscope du gémien........................p.42 et 43
Ecole Les news de l’école !
Des cours à GEM
« Les cours à GEM, c’est de la merde »
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ous avons tous prononcé cette phrase au moins une fois lors de notre scolarité, pourtant GEM monte d’année en année dans tous les classements n’en reste pas moins un établissement de l’enseignement supérieur desservant des Bac+5 aux diplômés méritants. D’où vient le fossé séparant l’avis général des élèves de l’avis des agents extérieurs et des professeurs ?
La plupart d’entre nous (étudiants) a dépassé la vingtaine et, bien que le mode de vie « Ecole de Commerce » nous convienne très bien, nous en avons marre d’être traités comme des terminales : Cours dans une salle, un professeur qui arrive, contraintes posées unilatéralement par ce dernier, absences limitées et suivies, devoirs à la maison à rendre notés sur 20 etc. En outre, qui ne trouve pas dommage d’avoir des cours généraux (de présentation d’un domaine finalement) en 1A et en 2A (S1) alors que nous sommes en Ecole de Management et Bac+3/M1 ? L’avantage connu d’une école de commerce reste quand même d’être un centre de connaissances et de compétences dont regorgent les professeurs ravis de partager leur expérience et les livres de la bibliothèque, satisfaisant les plus curieux d’entre nous.
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Un Gémien lambda, tous les ans.
Ce qui est moins connu en revanche est que l’équipe pédagogique de GEM travaille d’arrache-pied pour améliorer la façon d’enseigner à l’école. M. Fiorina tweete souvent à propos de l’Ecole du Futur et cette école devient peu à peu une réalité ! Il est impossible pour l’équipe pédagogique de révolutionner la façon d’enseigner à GEM en 1 année (contraintes humaines, contraintes des accréditations et impossibilité de sacrifier une promo pour mettre correctement le système en marche), alors cette dernière apporte chaque année un petit changement (journée à Caterpillar en 1A lancée en 2015, cas intégratif en 2A lancé en 2016). Le dernier en date est sans doute GEMBis et ses nouvelles salles de cours (cf interview de Mme Blanco sur le site du Gem In Way). En outre, sachez chers Camarades Etudiants, que l’équipe pédagogique compte sur vous pour améliorer ces petits défauts de l’école. Les rapports d’évaluation de modules que nous devons remplir en fin de semestre sur My ESC sont suivis très attentivement et des décisions (parfois lourdes de conséquences) sont prises chaque année. Le GEM Learning Model est une réalité, c’est juste que chaque pierre est posée avec une prudence extrême.
Nathan Hardy
Ecole
EM Career Center LES 36H DU RECRUTEMENT A GEM !
Tu es à la recherche d’un stage ou d’un emploi ? Tu souhaites te démarquer dans un secteur professionnel ? Découvrir différents métiers ? Faire du networking et te créer un réseau ? Le GEM Career Center a la solution pour toi, les 36 Heures du Recrutement, l’événement Carrières à ne pas manquer !
Forum « Recruter Autrement », Mercredi 1er février 2017, de 17h à 21h, à GEM Mets de côté ton CV, ta lettre de motivation et ton costume! Et viens te démarquer auprès d’une quinzaine d’entreprises partenaires en participant à des mises en situation qui valorisent tes compétences autour d’un recrutement différent. Une manière d’accéder à une relation de proximité avec les recruteurs ; tout en leur permettant d’identifier tes talents « autrement » que par le biais d’un entretien classique! Attention, les places sont limitées…
Forum « Stage & Emploi », Jeudi 2 février 2017, de 09h à 17h, au World Trade Center (à côté de GEM) Plus de 75 entreprises présentes pour le seul forum de recrutement de l’année, un rendez-vous à ne pas manquer ! Pour connaître toutes les entreprises présentes et candidater, connecte-toi à GEM Career Center et inscris-toi à l’évènement. www.grenoble-em.com/careercenter Cette année Les rencontres Partenaires Audit auront lieu le même jour que le forum, un espace sera entièrement dédié pour les étudiants en parcours Audit qui souhaitent rencontrer des acteurs majeurs de l’audit en France.
LA CVTHEQUE ÉPHÉMÈRE :
LA COLLECTE DE CV :
Certaines entreprises organisent des collectes de CV te permettant de décrocher un entretien individuel le jour du forum ! Pour cela, postule en amont aux offres signalées « avec collecte de CV ».
Elle te permet de te faire repérer en amont du forum par les recruteurs et maximiser ainsi tes chances de décrocher le stage ou l’emploi qui te correspond. Ajoute ton CV en ligne lors de ton inscription au Forum Stage & Emploi sur le GEM Career Center et sélectionne tes critères de recherche (par contrat, fonction, secteur d’activité,…) dans ton tableau de bord. Les entreprises pourront ainsi, en se connectant, filtrer les candidats par secteur et ton CV ne sera visible que par les entreprises des secteurs qui t’intéressent !
Petits conseils pour se démarquer sur un salon de recrutement : • Avant le jour J, constitue une liste des 3 ou 4 entreprises qui correspondent à ton projet professionnel et à tes intérêts • Ne mets pas de côté les TPE qui peuvent offrir d’excellentes opportunités de carrière • Fais en amont des recherches sur l’actualité de l’entreprise, sa culture, ses valeurs, sa stratégie de développement... • Et prépare-toi à passer une journée d’entretiens ! • Habille-toi comme pour un entretien d’embauche, ni plus ni moins • Pense à préparer des CV et lettres de motivation personnalisés en fonction des entreprises que tu souhaites rencontrer et imprime les ! • Après le salon, envoie aux personnes que tu as rencontrées un mail de remerciement, et n’hésite pas à les relancer sur ta candidature. A toi de jouer !
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Ecole
interview d
Ugo mahin Pourriez-vous vous présenter en quelques mots ? Avec plaisir ! Je suis arrivé à GEM via le concours Passerelle 1 après avoir fait du droit à la fac. Au cours de cette première année, j’ai découvert d’autres disciplines que je ne connaissais pas, peu ou mal et en 2A je me suis donc « réorienté ». Côté asso, durant ces deux premières années de vie à GEM, mon cœur s’est porté sur Nymphony Records, alors jeune pousse de la Zone Art avec à peine 1 an au compteur et Traders (désormais BIG). En 3A, j’ai décidé de faire les choses encore autrement en allant à l’EISTI, une école d’ingénieur spécialisée dans le traitement de l’information et l’intelligence économique. Aujourd’hui, cela fait presque 2 ans que je suis chez Wavestone (ex Solucom/Kurt Salmon), un pure player du conseil en management qui accompagne les grands groupes et administrations dans leur transformation digitale.
J’ai également eu le plaisir d’animer une conférence sur le métier d’Account Manager Junior chez Wavestone ! J’en profite d’ailleurs pour glisser une info off entre « GEMiens » : dans le cadre de notre volonté de créer un tout nouvel acteur du conseil en management majeur en Europe nous cherchons en permanence de nouveaux talents pour accompagner la croissance à deux chiffres du cabinet. Pourquoi pas vous !? Pour vous donner une idée, nous sommes plus d’une soixantaine de l’école au sein du cabinet, ce qui fait de GEM une des principales écoles représentées au sein du cabinet ! La valeur des étudiants de l’école n’est plus à démontrer !
« Osez ! Entreprenez ! et surtout soyez humble et ouvert ! »
Vous êtes revenus à l’école pour le Forum Stage & Emploi, pourriez-vous nous en dire plus à ce sujet ? Effectivement : je suis revenu l’an passé et j’espère avoir encore le plaisir de revenir cette année puisque Wavestone sera encore présent ! On peut d’ores et déjà se donner RDV au stand 28 le 2 février prochain ! J’ai apporté mon témoignage d’ancien auprès de vos prédécesseurs venus se renseigner sur les opportunités de stages et d’emplois au sein du cabinet, en réceptionnant les candidatures des plus intéressés et en les conseillant sur le processus de recrutement.
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Comment le Career Center et le réseau des anciens vous a-t-il aidé dans vos recherches d’emploi et de stage ? Pour être tout à fait honnête, je dois reconnaître que j’ai perçu la valeur que pouvaient apporter le Career Center et le réseaux des Anciens beaucoup trop tard. C’est depuis que je suis sorti de l’école que j’en ai perçu la force et l’intérêt d’y contribuer (difficile de le faire en étant encore étudiant). Je n’ai donc pas utilisé ces moyens formidables pour faire mes recherches de stage et de job. Si c’était à refaire je ferais à coup sûr différemment, d’autant plus qu’aujourd’hui l’offre est plus lisible qu’à l’époque, où les différences entre les Alumnis et le Career Center étaient pour moi assez floues. Ne sous-estimez vraiment pas la force du réseau des anciens et la valeur que peut vous apporter le Career Center. Utilisez ces moyens dès que vous le pouvez dans vos recherches, et surtout n’oubliez pas que demain vous vous devrez d’y contribuer en vous rappelant à quel point cela a pu vous être utile à l’époque !
Ecole
d'un diplomé
n
GEM ESC 2015 Quel est le plus important lorsque l’on recherche un emploi, un stage ou une césure et que l’on sort de GEM ? Vos avis ont-ils changé depuis votre diplomation ? J’ai eu la chance de signer mon premier contrat avant d’être diplômé ! Mon avis est le suivant : Il faut être clair sur ses envies et ne pas s’imposer de limites. Plus que le fameux « projet » qui peut faire peur ou bloquer, je pense que ce qui m’a aidé c’est de d’abord partir de mes envies : de quoi j’ai envie de vivre aujourd’hui, dans 5 ans, dans 10 ans ? Aujourd’hui je rajouterais qu’il est assez facile de changer de secteur et de domaine. Il faut ensuite être conscient de sa « faiblesse » principale. Cette « faiblesse » n’est pas d’être jeune diplômé, c’est de ce dire « je suis spécialiste de quelque chose » et donc « j’ai toutes mes chances ». La course est plus globale et face aux 2000 autres candidats qui ont également fait de très bonnes écoles. Votre diplôme vous permet juste en réalité d’avoir le ticket pour l’échappée du jour, ce qui est déjà bien. Du coup, fort de cette prise de conscience, gardez un temps d’avance : qu’est ce qui va vous permettre de décrocher ce job, outre votre diplôme ? Vous devez prendre du recul et de la hauteur sur les offres et sur les métiers. Ce dernier point ne doit pas vous freiner, bien au contraire, il doit vous amener à vous interroger pour mieux vous armer. Par conséquent mon dernier point sera : ne vous mettez pas de barrières. Une offre marquée « 3 ans d’expérience requis » vous tente, postulez-y ! Au pire cela aura été un bon exercice, au mieux vous aurez un entretien ! Il ne faut rien pouvoir regretter !
Un dernier conseil pour les étudiants qui commenceront à chercher leur stage ? Osez ! Entreprenez ! Et surtout soyez humble et ouvert ! C’est une petite partie de l’ADN du « GEMien » qui fait une grande différence, croyez-moi !
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listes Nous avons proposé à chaque liste une page dans le GIW, voici ce que les listes les plus chaudes nous ont envoyé :
AKA
EST LA POUR TOI ! P
endant des années, ils ont été là. Ils berçaient ton enfance, animaient tes soirées le vendredi, quand Maman te donnait la permission de minuit. Les aventuriers de Koh-Lanta attendent la relève et c’est ici, sur les rives de l’Isère, qu’ils l’ont trouvée. Aujourd’hui, les aventuriers de la tribu Wiss’King passent le flambeau : menés par Moundir, les AKA ont échoué sur l’île du Gem aux côtés de leurs adversaires. Au début, elles étaient dix, à la fin, il n’en restera qu’une.
Au programme de cette saison 2016-2017 :
Quelques chiffres : 40 membres plus un respo soutien beaucoup trop chaaaaaud
Répartition par TD : 7 membres du TD F, 6 du B, 4 Trilingues, 4 TD A ...
Répartition par asso : 18 assos représentées sur 23 ! 12 membres à la ZA 9 à Planètes 8 au Gem Store 4 à SOS 3 à AMD, à la JAI et à Startin’block 2 à Millési’mets, Xpression et au GALA 1 au BDS, à Aloha, au Dahu, à ENjeu, à BIG, au HUB et à Impact.
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AKAliente : de toutes les soirées, de tous les twerks et de tous les choppes (#AKAKennickDesMers), les AKA sont là pour enflammer le dancefloor… Et pas que. Ni la pluie de tize, ni le froid des retours à 4h du mat’, ni la redoutable épreuve du shotgun ne nous arrêteront. Votez AKA, c’est donc la promesse de vous ambiancer jusqu’au bout de la nuit. Notre seule limite ? Votre foie. AKAvenant : sérieux et assidus, les AKA sont là pour toi. La responsabilité, la fiabilité et la collaboration, les trois poteaux d’Al-Kohlanta. Votez AKA, c’est faire confiance à l’engagement d’une liste qui ne veut pas vous décevoir. Après avoir veillé le feu quarante nuits durant, c’est aux Gemiens que la tribu veut maintenant faire attention. AKAmis : parce que les Al’Kohlanta, c’est avant tout une bonne bande de
potes qui partagent les mêmes délires, mais aussi, et surtout, les mêmes valeurs : la solidarité, le respect, l’intégration de chacun et l’apéro. Voter AKA, c’est intégrer l’AKAFamily, quarante personnalités uniques et excentriques qui seront toujours là pour toi. L’aventurier n’a qu’une seule règle : ne jamais laisser tomber (les autres). Cette année, les aventuriers de la tribu GEM, décidez de nous élire et votre semence sera irrévocable. N’oubliez pas : AKA, AKA EST LA POUR TOI.
Les AKAs
listes
Mouss'quetards
Mouss pour tous et Mouss pour un !
N
ous sommes les Mouss’quetards, une bande de fêtards, couche-tard, prêts à amasser des milliards et vous affronter au billard.
Suite à un WEI haut en couleurs, notre escouade de mouss’quetards s’est formée pour vous offrir un spectacle à la hauteur de vos espérances. Ce nom, si joliment choisi, polysémique, ambivalent, riche, a fait mousse. Pour commencer, la bière : nous, la pression, on ne la subit pas, on la boit. En plus de la mousse, on aime les jolies quetardes, parce que dard tagnan. Et d’après un dicton bien connu : jamais deux sans trois mousquetaires, thème central (on a des épées en mousse, attention). Nous avons cravaché pour monter une vidéo de qualité avec poney, chapeaux, moustaches, choppes, épées et mousse afin de vous faire partager notre univers. Ce n’était toutefois qu’un avant-goût de ce que pourrait donner notre SAT de liste (inchallah) et éventuellement notre WEI (inchallah X1000). En dépit des critiques qui fusent de toutes parts, nous ne sommes en aucun cas une « liste hautaine », « agressive ». Pour rester fidèle à notre cher ami Fatal, que vous-mêmes vous avez côtoyé pendant votre WEI, nous avons poursuivi notre prestation sur le ton du clash. Inutile de préciser que Fatal fait preuve de second degré, voire de troisième degré.
Quelques chiffres : 38 membres dans la liste !
Répartition par TD : 5 membres du TD F, 4 English Track et du TD J, 3 des TD A, B, G, I et L...
Répartition par asso : 9 membres d’AG 6 du BDS 5 d’SOS 3 du Gala et de la ZA 2 d’AMD, d’Impact, du Gem Store et d’Aloha 1 de Planètes, du Dahu, de GED d’Enjeu et de la JAï
Nous sommes avant tout une bande de copains ayant décidé de vivre ce rêve bleu, tous ensemble, pour nous et vous faire kiffer à travers nos prochaines idées de rallyes déjantées et décalées #rallyeclopeenhautdelabastille #beerponghumain #beatbox. A la vue de vos envies frugales voire fringales, nous nous préparons dès à présent à affronter l’open bouffe. Nous sommes armés d’une détermination sans faille, encore là pour vous servir pendant deux semaines et demie de rallye. N’hésitez pas à vous démener pour nous proposer vos rallyes les plus fous, ce serait une bonne occasion de faire connaissance et de vous prouver notre crédibilité et motivation pour cette étape indispensable pour accéder au deuxième tour.
Mouss pour tous et Mouss pour un ! Show Mouss’Go on ! La bise mousseuse
Les mouss’quetards
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listes
Gin's Bond( Let’s get nasty- Billie
C
’est qui ? C’est GIN’S BOND ! Notre ami Billie remercie Xpression de pouvoir tchatcher un peu !
Inspirés par le super boulot des Whis’kings, les Gin’s Bond veulent prolonger cette tradition d’un BDE qui pèse. Parlons d’un des plus grands évènements de la vie étudiante : le WEI. Whis’king a fait fort cette année en nous proposant du soleil, des artistes de folie et surtout cette délicieuse salade pâtes-surimi dont tout le monde se souvient sous diverses formes (ie plus ou moins digérée). Les GB ont bien l’intention de vous offrir un WEI de qualité, et ce sans salade au surimi ! Il en va de même pour les SAT : préparez-vous à du lourd, notre thème nous offre pleins de possibilités (des flingues, des gazelles en bikini, t’inquiète !) ! Parlons un peu de notre équipe d’élite ! Nous avons la belle Clara qui avec son équipe démarche sans relâche et nous trouve toujours plus de partenaires pour vous enjailler. Ensuite la délicieuse Maëlle et ses petits se saignent sur divers plannings et deadlines pour tirer le meilleur de leurs équipes. Alexis et nos teambuilders sont quant à eux au top pour chaque semaine (ou presque !) nous offrir la possibilité de perdre un peu de notre dignité. N’oublions pas l’incroyable respo com Margaux et ses collègues, qui n’ont pas dormi pendant environ deux semaines et qui aux dernières nouvelles commencent à avoir des hallucinations. La sublime Orancie et son pôle event vous ont déjà fait goûter à ses talents de danseuse, et elle n’est pas prête de s’arrêter… Et enfin, le bureau, l’origine de cette belle aventure, une belle branchette d’idiots prêts à kiffer et à s’investir à fond : Camille, la présidente survitaminée (ou dopée on cherche encore), le très engagé vice-président Adil, le trésorier Bastien qui a plus de cheveux blancs que son père à présent et qui est accompagné de Simo son Vice, et enfin la secrétaire Oriane, respo punchlines à ses heures perdues. Bien entendu cette liste de choc ne se limite pas à ses simples postes, nos joyeux lurons sont aussi danseurs (qui a dit twerk ?!), chanteurs, guitaristes, boxeurs (chaleur), coureurs... Nous sommes une team soudée et ambiancée, qui veut s’éclater et offrir aux autres étudiants des moments inoubliables et surtout l’envie de lister ! Préparez-vous, cette année le porte-jarretelle va tomber, la cravate va se faire arracher, que cette année soit belle, qu’elle soit longue, que cette année soit celle des Gin’s Bond ! Let’s get nasty- Billie
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Gin’s Bond
Quelques chiffres :
40 membres repartition par td :
7 membres du TD J et K, 5 du TD I, 4 du TD A et M, 3 Trilingues et TD C, 1 du TD B, E, F, G, H et L repartition par asso :
12 membres de SOS 7 de la Zone Art 4 d’Aloha et du Gala 3 de Big et de Millési’mets 2 de Startin’ Block, du Gem Store, de GED, du Dahu, de Planètes et d’Impact 1 d’Enjeu, d’ICO et d’AMD
Asso
La photo de planètes
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Asso
L'interview d'un prez
Benoit Prigent Bonjour Benoit, peux-tu te présenter en quelques mots ? Etant très modeste et timide (lol), j’ai eu du mal à répondre à cette question… C’est pour cela que j’ai demandé à ma chère et tendre vice-présidente de me tirer le portrait : « Benoit est un jeune breton, fan de clubbing ce qui lui aura valu le doux surnom de « Benight ». Un président top, qui a de grandes ambitions pour le GS. Toujours investi dans ce qu’il fait, Benoit est un éternel insatisfait ! C’est peut-être pour cela qu’il multiplie les romances. Et oui mesdemoiselles, Benoit est un cœur à prendre. Alors si tu le croises à la prochaine SAT, saisis ta chance ! Ah non mince… j’avais oublié… Benoit est aussi un WK donc il sera surement en staff. Quoi que, un petit staff ronde n’aura jamais empêché de chopper (sorry Constance..). Bref, revenons-en au GS, Benoit est le représentant parfait de notre association : jeune, dynamique et corpo ! »
Quels sont les liens entre le GS et l’école ? Êtes-vous indépendants ? Pourriez-vous sortir un produit sans le logo GEM dessus ? Le Saviez-vous ? Pour créer une association à GEM, il faut obligatoirement qu’elle soit rattachée à une autre association. Et oui, c’est le cas d’Altigliss qui fut un temps rattaché au BDS. A sa création en 2011, le GEM Store était rattaché au service communication de l’école. Petit à petit, le GEM Store a pris son envol et aujourd’hui la boutique est plutôt indépendante.
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Nous faisons toujours valider tous les produits que nous sortons en boutique par l’administration. Le logo de GEM nous donne beaucoup de fil à retordre puisqu’il s’inscrit dans la charte graphique de l’école (le logo ne peut pas être noir sur un fond coloré par exemple) Après nous avons une certaine déontologie à respecter. Pas de cendrier, pas de capote, pas de t-shirt « GEM la teuch» ou « GEM la teub » donc… Sorry guys ! Fun Facts : Contrairement à ce que l’on peut croire, moins de la moitié de nos produits possèdent le logo de GEM. Nous avons un pôle graphisme et design qui travaille sur de nouveaux designs et logos comme celui du pull de promo.
Quels sont tes projets pour cette année ? C’est bien simple c’est consolider notre activité et notre implantation dans l’école. De nouveaux produits mais surtout des produits qui marchent ! Adieu l’écharpe de Poudlard, cette année nous mettrons des headbands sur les têtes de nos belles gémiennes et des post-it à la disposition des gémiens pour organiser leur tableau de prospection de choppes avant les SAT. Bref, des produits beaux mais aussi utiles. Notre réel but de l’année a déjà été atteint : que toutes les associations du couloir nous fassent confiance ! Nous profitons donc à cette occasion de cet article pour tous vous remercier de la confiance que vous nous avez accordée cette année ! Et pour finir, des événements festifs : le pot de rentrée, la SAT’A’NIK et la pull party !
Asso « Le Gem Store ne serait rien sans notre équipe. Une belle bande de potes, plus motivés que jamais. »
Quels sont les produits phare du GS cette année ? Incontestablement, le pull de promo ! Nous en avons commandé cette année plus de 800, ce qui constitue une nette progression par rapport à l’année dernière. Nous sommes très heureux de voir déjà autant d’étudiants le porter ! De plus, cette année nous avons décidé de développer l’image de marque du GEM Store en recentrant nos produits autour du textile, lui donner une image trendy. En résumé, bienvenue au « Designed by GEM Store » ! C’est pour cela que nous avons lancé en début d’année un T-shirt, un débardeur, un legging, et un K-way. Tiens, le K-way, parlons-en ! Un réel succès avec le premier arrivage écoulé en seulement 1h30 ! Les Must-Have, en exclusivité la liste des 3 produits phare du GS : Sac de sport, Gourde et Bonnet sont les trois essentiels du gémien.
Comment expliques-tu que le GS attire de plus en plus de personnes ? Nous avons la chance d’avoir une association où il reste beaucoup de choses à faire ! Il est encore possible de lancer de nombreux beaux projets ce qui permet à l’association d’être dynamique.
Le chiffre d’affaire est en croissance, le nombre de nouveaux produits également et nous lançons de nouveaux événements. J’espère d’ailleurs que comme tout bon gémien, tu étais à la SAT’A’NIK ! (Coucou Aloha) Nous avons mis un point d’honneur à accentuer notre communication cette année. Lee GemStore sinon rien ! Enfin, le Gem Store ne serait rien sans notre équipe. Une belle bande de potes, plus motivés que jamais.
Comment vois-tu le GS dans 5 ans ? C’est simple : le GEM STORE sera LA référence. Avec au moins 5 boutiques en France et des franchises à l’internationale, Zara n’aura qu’à aller se rhabiller ! Et Inchallah’, meilleure Asso de France. Plus sérieusement, nous aimerions devenir un incontournable pour les commandes personnalisées des associations mais aussi pour un public plus large. Encore plus de produits à la boutique, agrandir notre store et pourquoi pas nous exporter après Paris dans les autres campus de GEM (Berlin, Londres, Singapour…)
e r o t S m e igned by G
Des
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ASSO Ô stages ! Ô désespoir! Que tu sois 1A ou 2A, la recherche de ton stage pour 3 mois ou pour ta césure commence maintenant.
A
h le stage ! Quelle belle expérience, que ce soit ton premier stage ou que tu partes en césure, c’est toujours l’occasion d’avoir une ou plusieurs expériences professionnelles qui te serviront à savoir ce que tu veux faire plus tard et qui boosteront ton CV dans l’optique de décrocher ton premier job dans 2 ou 3 ans. Mais attention à toi, que tu sois 1A ou 2A la recherche de ton stage n’est pas un long fleuve tranquille.
Pour toi 1A : vers la plongée dans l’inconnu.
On commence à te parler depuis plusieurs mois de stage à la fin de l’année (et oui tu pensais que tu allais te dorer la pilule pendant 5 mois à la plage ?) et là on ne parle pas d’un stage comme ton stage de troisième que tu as fait chez tes parents à faire des photocopies et passer ton temps sur Facebook. Alors à toi les premières galères pour réussir à trouver une entreprise prête à embaucher quelqu’un sans « véritables » compétences (ne le prends pas mal mais c’est vrai). Plein d’espoir tu penses déjà pouvoir faire un stage dans un cabinet de conseil mais tu vas vite être réduit à éplucher les offres pour être caissier ou vendeur parce que bien sûr tu vas te dire que tu as tout le temps qu’il faut pour trouver, mais comme un bon bizuth tu vas t’y mettre au dernier moment.
Pour toi 2A : césure is coming ! Attention la césure approche ! Toi, jaïeux qui rêve de faire ta césure chez PWC, surtout depuis que la JAÏ a été élue meilleure asso de France, et toi qui n’y as même pas encore véritablement pensé, sachez que ce qui vous attend : une période de recherche synonyme de plaisir. Envoyer des CVs et des lettres de motivation par centaines à droite à gauche pour obtenir seulement quelques réponses. Ou alors tu es de ceux qui ont distribué leur cv dès qu’ils le pouvaient aux rencontres d’entreprises, aux réunions etc … et là tu espères secrètement que l’un d’eux te rappelle alors que ton CV sert à caler la table bancale du DRH. Après avoir obtenu le Saint Graal, tu te trouveras très probablement à Paris et là, après avoir maudit Grenoble pendant 2 ans, tu te rendras compte que la cuvette te manque surtout quand tu te retrouveras à payer une bière à 8€ et que tu vivras dans une chambre de bonne de 7m2 pour le même prix de ton loyer de ta coloc de 100m2 à Grenoble. ●
« Après avoir maudit Grenoble pendant 2 ans, tu te rendras compte que la cuvette te manque »
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ent Adrien Tall
Asso
Le revenu universel :
Et si l'utopie devenait réalité ? Véritable serpent de mer pour certains, alternative au système social actuel, le revenu universel – ou revenu de base – anime les débats en ce début de campagne présidentielle. Eclairage.
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vant toute chose, un petit rappel semble être nécessaire. Le revenu universel est une allocation de base distribuée à chaque individu, quelque soit son revenu, qu’il travaille ou non. Il faut remonter au XVIII siècle pour retrouver trace d’une telle idée. Dans son œuvre Agrarian Justice, l’auteur américain Thomas Paine prévoit de distribuer une dotation inconditionnelle pour tout individu ayant l’âge adulte. L’état chancelant de notre système social n’est pas étranger à la réémergence de ce concept sur la scène politique. Car en effet, le revenu de base a pour vertu de rassembler toutes les aides et allocations actuelles pour n’en former plus qu’une seule. Gauche et droite s’en emparent sans exception. Pour des raisons qui sont cependant différentes. C’est à l’aile gauche du PS que l’on retrouve les défenseurs les plus ardus de ce concept, en l’occurrence Benoît Hamon et Marie-Noëlle Lienemann, candidats à la primaire de la gauche. Cette proposition naît de deux constatations. Premièrement, le marché du travail est en pleine évolution car la population active augmente tandis que le nombre d’offres d’emploi tend à se stabiliser voir à diminuer. Selon les leaders de ce courant de pensée, la robotisation et l’automatisation des processus de production détruisent des emplois qui ne seront pas remplacés par le développement de nouveaux secteurs. Ce même Benoît Hamon annonçant même le chiffre de 40% d’emplois menacés en France.
seuil et redistribué pour toute personne se situant sous ce seuil. Cette allocation a pour vertu de ne pas être paternaliste, tout individu pouvant l’utiliser comme bon lui semble. Dans tous les cas, le but avoué des défenseurs du revenu de base est d’éradiquer totalement la pauvreté. Cependant, cette proposition ressemble plus à la mesure phare du moment qu’à un projet mesuré et réfléchi si l’on écoute les penseurs de tout bord. Le parti communiste allant même à parler d’un cheval de Troie libéral. Le revenu de base serait un moyen pour les plus libéraux de dissoudre le système social protecteur actuel. Dans une moindre mesure, les opposants au revenu de base pointent surtout du doigt la question cruciale du financement de cette mesure. Le système social actuel coûte actuellement, par exemple, 600 milliards à l’état français chaque année. Or, la mise en place d’un revenu pour tous ferait exploser ce montant de manière abyssale. Enfin, il est décrié car il s’apparente plus à une rustine contre le chômage qu’à une véritable mesure pour garantir un revenu pour tous. La gauche social-démocrate, les communistes et le centre-droit le dénonçant pour parier sur un hypothétique retour du plein emploi dans les pays occidentaux.
« Cependant, cette proposition ressemble plus à la mesure phare du moment qu’à un projet mesuré et réfléchi. »
Deuxièmement, le mode de vie actuel pousse les Hommes à être aliénés par le travail (tout comme les gémiens) et donc à ne pas profiter de loisirs ou de temps libre à consacrer à leur développement personnel (encore une fois comme les gémiens !). Le revenu de base aurait donc pour avantage de résoudre l’épineuse question du chômage et permettre à certains individus de se réaliser à travers des activités non rémunérées. A droite, NKM reprend les idées du théoricien libéral Gaspard Koenig qui défend le concept du LIBER. C’est un impôt prélevé à partir d’un certain
Certains exemples dans le monde montrent que l’instauration d’un revenu de base peut être bénéfique pour une communauté, le plus souvent à des échelles microscopiques. Au Brésil, 30 Réals, soit 12 Euros, furent alloués tous les mois à des habitants d’un village de l’état de Sao Paulo. Les résultats démontrent que les habitants ont consommé d’avantage et que des initiatives telles que la création d’entreprises ou la mise en place d’une plateforme de microcrédit ont vu le jour. La question du revenu de base nous mène donc à réfléchir sur des sujets philosophiques beaucoup plus généraux. Le travail doit-il être considéré comme un droit ou bien est-il un devoir envers la société ? Est-il la seule reconnaissance sociale possible ? Méditons....
L’équipe de
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Asso
ET SI VOUS RECHERCHIEZ UN STAGE TOURNÉ VERS L’ÉCONOMIE VERTE ? A
la suite de l’Accord de Paris, dans les nombreux pays signataires, on a pu observer un engagement croissant de la part des chefs d’Etat dans le développement des métiers verts. Ces métiers regroupent tous les métiers visant à protéger l’environnement, à trouver des alternatives au modèle économique actuel et en définitif à rendre notre croissance soutenable. De ce fait, en France, Francois Hollande prévoit de mettre en œuvre un plan massif de formation des demandeurs d’emploi vers les métiers de demain et notamment les métiers verts. Ainsi toi Gémien à la recherche de stage, nous allons te renseigner sur les offres actuelles dans ce secteur parfois méconnu mais qui représente un réel vivier !
Comment et où dégoter un ‘’green internship‘’ : 13% des métiers verts se concentrent en région Auvergne-Rhône-Alpes, quelle chance pour nous gémiens sensibles aux enjeux de l’économie verte ! Les secteurs qui recrutent le plus sont le traitement de l’eau (21,4%des offres d’emploi) et celui de l’éco-construction (bâtiment). Les métiers orientés vers ces secteurs pourraient alors être une opportunité pour vous, d’autant plus qu’en ce contexte de crise le personnel qualifié est assez rare dans ces secteurs. Pour saisir votre chance, n’hésitez pas à aller consulter des sites internet spécialisés afin de trouver dans les meilleurs délais un stage étudiant qui vous permettra de changer le monde à votre échelle !
« You must be the change that you wish to see in the world » -Gandhi Métiers liés à l’eau, à l’énergie ou aux déchets mais aussi à la protection des milieux, à la sensibilisation à l’environnement ou au management environnemental.
http://www.emploi-environnement.com/fr/gestion_offre/offres_ emplois.php4
Le site est spécialisé dans les secteurs de l’éducation à l’environnement et de la protection de la nature. http://www.reseau-tee.net/
Le site offre de nombreux conseils à tous ceux qui veulent changer de job pour un métier « avec des valeurs » et Il regroupe des offres d’ONG et d’entreprises sociales. http://orientationdurable.com/
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Asso Les auditeurs verts d’Impact : un moyen de découvrir le principe du ‘’green job ‘’ au sein même de GEM : Le label Ecofest est un gage de qualité que les auditeurs d’impact s’engagent à entretenir et à améliorer pour leurs clients dans le but que ces derniers puissent brandir que leurs actions sont conçues dans le cadre d’une démarche écoresponsable. En effet ces derniers ont pour but de réduire l’impact énergétique de tout événement sur lequel leurs services sont sollicités. Pour cela les auditeurs verts mettent en œuvre 5 grandes étapes (citées ci-dessous) dans le but de rendre tout événement responsable et durable. C’est alors une première expérience dans le secteur des ‘’ green jobs’’ au sein même des locaux de Gem.
D’ailleurs ce concept a eu énormément de succès à la COY 12 où Impact a tenu son stand Ecofest toute la journée du 5 Novembre. Il s’est avéré être un réel succès : l’équipe a reçu beaucoup de retours positifs notamment à propos de la sortie de l’application ! Des simulations ont permis aux visiteurs de jouer le rôle d’un auditeur vert, rendant la démarche active et plus efficace. Etes-vous à présent convaincus ?
Jeanne Ba - Reporter Impact
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Exemple : Pour un prêt d’un montant total de 30000€ sur une durée totale de 60 mois, vous remboursez 60 échéances de 509,85€ (hors assurance facultative). Pas de frais de dossier. Taux débiteur fixe : 0,77% l’an. TAEG fixe: 0,77%. Montant total dû par l’emprunteur : 31131,00€. Intérêts 1131,00€. En cas de souscription à l’assurance facultative(3) (décès, Perte totale et irréversible d’autonomie, Incapacité totale de travail) : taux annuel effectif de l’assurance (TAEA): 0,70%, montant total dû par l’emprunteur au titre de l’assurance sur la durée totale du prêt : 540€, montant de l’assurance par mois : 9,00€, ce montant s’ajoute à l’échéance de remboursement du crédit.
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Culture Découvre ce à quoi nos rédacteurs se sont intéressés ce mois-ci !
Musique et air du temps Rythmes et mélodies immuables
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e chant des oiseaux qui murmurent, le piaillement du vent dans les feuilles, les paroles des animaux et le grognement des hommes, autant d’ondes de choc qui ont fasciné l’homme du paléolithique. Tellement absorbés par les bruits de la nature, qu’il a voulu la singer, dans une cacophonie d’abord, puis dans un rythme ordonné. La musique était née et la nature mise au pas.
Des simples bâtons de bois aux tables de mixage en passant par l’orgue, les incroyables prouesses de l’homme devaient se faire entendre. La technologie a toujours accompagné délicatement le souffle vital de l’homme savamment transformé en voix, chants, ballades, cris, complaintes. Dès lors a débuté, la lutte entre la voix et l’instrument comme la lutte entre la machine et l’âme. La musique a suivi l’évolution des sociétés à travers les âges et leurs évolutions. Outil de divertissement pour la chanson de variété, qui, de la chanson des buffets gaulois d’Astérix, au tube de Calogéro, sans oublier l’accordéon des bals musettes, a su offrir une joie simple au quotidien à des millions de personnes. Outil d’exaltation collective des sentiments, qui, des tambours, cors et trompettes guerrières, aux grands claquements des basses de Tomorrowland, en passant par le renversant requiem de Mozart, a su offrir rage, exaltation ou recueillement à de vastes assemblées. Outil de distinction sociale, qui, des chants grégoriens, aux compositeurs déconstructivistes actuels en passant par la musique de chambre des fastueux palais, a su permettre à des castes sociales de se distinguer radicalement des autres. Mais aussi outil de transmission, comme les chants traditionnels africains, outil de manipulation comme celle que les experts en neuromarketing diffusent dans les magasins, outil de méditation, outil de cohésion, outil d’expression… La versatilité de la musique est fabuleuse. Si la musique populaire a considérablement accru son tempo ces deux derniers siècles, c’est parce qu’elle a suivi le progrès technique, l’horlogerie, la machine à vapeur, le moteur à explosion, l’ordinateur. De fait, ce n’est pas le métronome qui s’est accéléré, mais le temps. Dans cet air du temps, il faut jouer de tous ces outils, ne s’interdire aucun genre, aucune mélodie, mais les choisir avec soin : Classique, Dubstep, Pop, Hardcore, Dub, Reggae, Ambient, Metal, Rap Game, Jazz, R&B, House, Folk, Tribal… ou simplement, le chant des oiseaux et le bruissement des feuilles.
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Charles Bazin
culture Le vent qui venait du Sahara Et si on prenait le temps de voir au-delà du dessin animé ?
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hibli : mot d’origine arabe désignant un vent chaud venu du Grand Désert ou référence à un avion – la passion d’Hayao Miyazaki, co-fondateur du studio – de la flotte italienne ? En réalité, seule la volonté exprimée derrière ce nom compte : celle de « faire souffler un vent nouveau sur le monde de l’animation japonaise ». Une volonté clairement réalisée si l’on en croit le succès des films des Miyazaki – père et fils – ou encore d’Isao Takahata, que ce soit au Japon ou à l’international. Voilà en effet près de 32 ans que les réalisateurs du studio Ghibli font rêver enfants et adultes au travers de films d’animation qui sont le fruit d’années de travail -– Boro la Chenille, prochain long-métrage de Miyazaki père (qui sort quand même pour la sixième fois de sa retraite…), est un projet vieux de près de 20 ans – et de réflexion. Outre le fait que tous les dessins soient, encore aujourd’hui, réalisés entièrement à la main, chaque film du studio Ghibli apporte avec lui son lot de merveilles, parfois d’étrangetés, de sentiments et de valeurs.
histoires mêlant réalité, légendes anciennes et croyances japonaises. Et si ce n’était que ça ! Sophie, Nausicaä, Chihiro, Sheeta… Tels sont les noms des héroïnes de Miyazaki, qui se revendique clairement comme féministe : chez Ghibli, ce sont toujours les femmes qui sont à l’honneur ! Toujours pas convaincus ?
« Chaque film du studio Ghibli apporte avec lui son lot de merveilles » Levez-vous donc, fervents défenseurs de l’environnement, car Hayao Miyazaki adhère en effet à votre cause ! Des forêts empoisonnées de Nausicaä de la vallée du vent à la lutte de San – héroïne de Princesse Mononoké – en passant par les critiques contre la pollution de la mer que l’on retrouve dans Ponyo sur la falaise, tout est fait pour montrer l’attachement que le « Maître » porte à la nature, et son désir de la préserver telle qu’il l’a connue grâce à des dessins et à des
Allez donc regarder «Le Vent se lève», ou encore «Le Tombeau des Lucioles» d’Isao Takahata. Des films d’animation, certes, mais traitant de la guerre et de ses conséquences avec une douceur amère, sans jamais rien cacher de la dure réalité et des horreurs dont nous, les Hommes, sommes capables.
Alors passez outre les premières impressions, souvent trompeuses, et plongez-vous dans l’univers un peu étrange et profondément émouvant du studio Ghibli, qui vous fera voyager au-delà des frontières de votre réalité… ●
Emmanuelle Flahaut
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Culture ENTRETIEN AVEC UN TATOUEUR : COWBOY « Cherchant désespérément un saloon pour m’accueillir, c’est à dos de mon cheval que je me suis arrêté près d’une chapelle nommée Blacksheep », c’est ainsi que décrit Cowboy son entrée au salon Blacksheep tattoo.
Comment en es-tu arrivé à tatouer ? C’est un art qui a toujours fait partie de mon univers, de près ou de loin. Je fais de la musique depuis mes 16 ans, j’ai fait partie de plusieurs groupes de rock, de metal et de blues, et c’est une pratique courante dans le milieu. Quand j’ai commencé à vouloir me faire encrer, j’ai pas mal cherché ce que je voulais mais je ne trouvais pas vraiment. J’ai donc décidé de créer mes propres dessins avec l’aide d’un pote. Après, je suis allé me les faire piquer au Blacksheep tattoo (et aussi à Oneflame tattoo). Ils sont devenus des amis. A force de faire des motifs pour moi et pour les gens sur papier, un jour je me suis dit que j’essaierais bien de les piquer moi-même. Le Blacksheep a bien voulu me faire «tester» la sensation d’une machine et là, ça m’a tout de suite plu. J’ai décidé après mûre réflexion que j’avais envie de tenter l’expérience. Au départ j’ai commencé à mi-temps car je continuais à travailler en graphisme dans mon agence de communication. Ensuite, vu le travail et l’investissement que ça demandait, je m’y suis mis à 100% ! Par chance, le Blacksheep avait une salle de libre et à bien voulu m’accepter dans la team !
Est-ce que tu te sens faire partie d’un courant en particulier ? Je pense que je suis de ce que j’appellerais la «seconde génération» de tatoueurs. Il y a 10 ou 15ans c’était un métier peu répandu, le côté artistique était moins présent. Depuis cela s’est vraiment développé, des gens d’autres univers ont commencé à se mettre au tattoo : graphistes, graffeurs, illustrateurs, etc. Le matériel a aussi beaucoup évolué. J’arrive dans le métier dans une période idéale. Le revers de la médaille, c’est que le niveau artistique et technique a explosé, il faut donc sacrément bosser pour être au niveau et se faire un nom. Dans
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mon travail, je me sens proche des tatoueurs communément appelés «blackworkers».
« Aujourd’hui il y a des artistes incroyables à travers le monde, [...] et du travail pour tous ceux qui se bougent le cul ! » W
De quoi t’inspires-tu ?
D’un peu tout et n’importe quoi, mais j’avoue être très cinéphile, je bouffe du film à gogo, je m’inspire beaucoup de ce que j’y vois. Il y a aussi les jeux vidéos, les comics, les BD, l’art graphique en général vu mon passé de graphiste et la musique bien sûr ! Et puis sûrement inconsciemment, le travail de tous les tatoueurs que j’aime.
culture Comment envisages-tu le processus de création ? Est-ce que tu fais ça d’un coup ou est-ce que tu pars sur plusieurs idées au départ, redessine, etc. ? J’ai une manière un peu étrange de dessiner d’après mes collègues de travail. Je fais des montages photos très grossiers de ce que j’ai dans la tête et passe du temps à déplacer les calques, puis je redessine tout. Ça m’arrive aussi de scanner mes dessins et de retoucher encore le rendu global. J’aime avoir la main sur ce que je fais et ne pas être figé par un coup de crayon. Je pense avoir une vision plus ou moins floue de ce que je veux, puis cela s’affine au fur et à mesure.
Tu penses quoi de la généralisation des tatouages, est-ce qu’en un sens ça fait perdre de son sens à cet art ? Pour moi c’est la meilleure chose qui ait pu arriver à ce milieu. Aujourd’hui il y a des artistes incroyables à travers le monde, des nouveaux styles et de nouvelles techniques qui apparaissent régulièrement, des conventions superbes qui attirent toujours plus de monde, et du travail pour tous ceux qui se bougent le cul ! Et cela, on le doit aussi aux gens qui veulent bien qu’on leur fasse tous ces tattoos, qui acceptent de porter «l’œuvre» d’un artiste
tatoueur. Ils ne veulent plus seulement un tribal, des ailes d’anges ou un prénom. Après, comme tout mouvement qui s’émancipe, il y a aussi des travers, des abus, des ratés, des cons, des mauvaises idées.... C’est normal. Mais à côté de ça, je retiens surtout les gens trop cools, qui sont prêts à faire des kilomètres pour venir se faire encrer à vie un des dessins que t’as posté sur ta page Facebook ! C’est quand même un putain de métier ! J’allais oublier ceux qui commencent par un petit truc classique et qui reviennent te voir quelques mois plus tard avec un projet plus gros et plus personnel, ça fait super plaisir.
Ça t’arrive de refuser de tatouer quelqu’un ou un motif particulier ? Oui régulièrement, toute la mode des trucs sur les doigts, mains et autre endroit qui ne tiennent pas, ou encore le visage. Au shop on le fait seulement sur ce qui sont déjà bien «blasté» sur le corps. On ne tatoue pas les mineurs non plus. Et aussi tous les styles que je ne maîtrise pas. Ma vision c’est que chaque tatoueur a sa spécialité. Par exemple si on me demande du réalisme pur, je les envoie direct chez nos potes de DHT, pour du Polynésien ou du Oldschool, pareil, autre copain tatoueur. Ça ne m’empêche pas de prendre des risques pour sortir de ma zone de confort de temps en temps.
Tatouage du cowboy
Claire Maraval
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Culture La démocratie, le meilleur des régimes? Une histoire d’intelligence absurde
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elle histoire qu’est le théorème du singe. Ce théorème, inspiré d’une expérience similaire, décrit le passage de vie de quelques singes dans une cage ayant en son centre une échelle permettant d’accéder à une banane. Les singes voyant ce que je viens de décrire commencent à escalader l’échelle pour se remplir la panse mais presque aussitôt tous les malheureux se font asperger d’eau glacée. Ils tentent tour à tour leur chance mais le résultat est le même : tous les singes se font asperger. On décide alors de remplacer un singe de la cage par un nouveau, non au fait de la malédiction de la banane. Ce dernier, innocent, escalade l’échelle mais se fait violemment attaquer par ses camarades qui refusent catégoriquement de recevoir une nouvelle douche. Peu à peu, tous les singes sont remplacés par des nouveaux qui adoptent le comportement général en ne sachant pas pourquoi, n’ayant jamais subi de douche glacée.
« Les chimpanzés, trop occupés à surveiller qu’aucun d’entre-eux ne monte l’échelle, n’ont pas remarqué que la banane a été remplacée » Cette histoire fictive a le mérite de mettre en valeur l’instinct grégaire qui habite tous les hommes, la facilité de coller à l’inconscient collectif sans trop savoir pourquoi. Comme par exemple, la peur des régimes autres que la Démocratie. Nous en avons « peur » car tous les autres régimes desservent la majorité ou persécutent une minorité. La raison est bonne, mais arrêtons-nous deux minutes : Sommes-nous mieux lotis aujourd’hui ?
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culture
Trump a constitué une équipe de bons amis milliardaires très conservateurs et climato sceptiques. S’il a effectivement été élu, ses électeurs risquent de s’en mordre les doigts par le futur. Fillon, surprise et égérie LR, a un programme très conservateur et souhaite, comme tous les autres candidats à la primaire de la droite et du centre, supprimer l’ISF, diminuer l’impôt des plus modestes et augmenter la TVA. Autrement dit, baisser drastiquement la taxation des plus riches, augmenter la taxe touchant le plus de ménages en France et faire des fleurs aux plus pauvres. Dans l’histoire, une majorité (la classe moyenne) continue encore et encore de payer pour les plus modestes (compréhensible) mais aussi pour les plus riches qui font du chantage à l’exil fiscal. L’école, fier instrument de nos démocraties, s’est révélé n’être qu’un banal outil de reproduction sociale. Pour rester dans cette optique, notons que tous nos politiciens sortent de l’ENA et d’autres écoles prestigieuses. S’il faut en effet avoir un bon esprit et de solides compétences pour gérer la vie de 70 millions de Français, comment y arriver si ceux qui le font ne connaissent pas leur sujet et si ceux qui le connaissent ne sont pas écoutés ? La majorité silencieuse est bien desservie par rapport à une minorité très bien lotie. Le Peuple, est-ce bien ça que tu voulais ? La « Démocratie » dans laquelle nous vivons en est-elle vraiment une ? Le portrait ainsi dressé est sombre et n’incite pas à une réponse positive, il
décrit néanmoins le sentiment général. C’est dire qu’après les scandales, les décisions imposées, les négociations de traités détruisant encore plus la souveraineté des peuples (Coucou TAFTA et CETA), l’impression n’est plus tant d’élire des représentants qui défendront nos intérêts mais plutôt d’élire des charlatans qui défendront les leurs. L’espoir des jeunes est englouti par le pessimisme des anciens lui-même alimenté par la réalité. Nous ne choisissons plus entre deux candidats égaux, nous prenons « le moins pire ». L’enthousiasme est mort et remplacé par la mélancolie. C’est plutôt clair : La voix du Peuple s’est tue, le système est cassé, enrayé. Ainsi, si la Démocratie est le meilleur des régimes, ou le moins pire, ça dépend des points de vue, il nous est impossible de le savoir étant donné que nous ne vivons pas – ou plus – sous ce régime. Nous qui étions si attachés au régime démocratique, nous n’avons pas réalisé que celui-ci s’effaçait, disparaissait de l’intérieur ne laissant qu’une façade. Car c’est bien tout ce qui reste : Nos libertés ne sont pas contraintes, nous pouvons voter et protester mais, la plupart du temps, cela ne sert à rien (Coucou Notre Dame des Landes ! Salut TAFTA CETA ! Comment vas-tu Loi Travail ? Et toi, Traité de Lisbonne, quoi de neuf depuis le temps ?). Les chimpanzés, trop occupés à surveiller qu’aucun d’entre-eux ne monte l’échelle, n’ont pas remarqué que la banane a été remplacée.
Nathan Hardy
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Culture
Du rejet à la lumière, il n'y a parfois
qu'un pas
Peinte par Monet, « Impression, soleil levant » est l’une des œuvres les plus connues au monde.
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port, quelques bateaux, de la brume et le soleil. Rien de plus banal que de peindre un paysage tel que celui-ci diront certains. Et surtout, rien de nouveau pour le XIXe siècle ! Pourtant, cette œuvre a fait l’objet de vives critiques puis d’une indifférence totale avant d’être enfin reconnue. Tout commença dans les années 1850. Les impressionnistes de l’époque, dont fait partie Monet, se voient systématiquement refuser l’accès au Salon. Ce dernier présente des œuvres sélectionnées par un jury et expose l’art actuel, permettant de faire connaître des artistes au grand public. La cause de ce mépris? Le mouvement refuse les théories artistiques, et en particulier les règles du classicisme en vigueur à l’époque. Il recherche une certaine spontanéité, compose des œuvres « sur l’instant ». Rejetés, les impressionnistes peinent à vivre dignement (c’est d’ailleurs souvent le cas me direz-vous pour des artistes) et choisissent d’organiser leur propre exposition dans l’atelier du photographe Nadar en 1874. Pour cette exposition, Monet choisit d’envoyer ce tableau. Mais lorsqu’on lui demande un titre, il est désemparé et propose « Impression ».
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L’exposition se révèle être un fiasco. Cette œuvre en particulier subit les critiques. Les impressionnistes sont raillés à la fois par les visiteurs, mais également par les journalistes. Parmi eux, Louis Leroy, critique au journal Charivari, emprunte le titre de cette œuvre pour dépeindre avec dégoût ce qu’il appelle « l’exposition des impressionnistes ». Le terme désignant le mouvement a alors une connotation extrêmement péjorative et ne sera accepté par le groupe qu’en 1877. Suite à ce tollé, « Impression » subit l’indifférence du public et des institutions culturelles.
représente réellement un lever de soleil. La toile change d’ailleurs plusieurs fois de nom. On peut donc retrouver de temps à autre l’intitulé « Impression, soleil couchant ». En plus de cela, différentes dates sont avancées concernant sa réalisation. Après de nombreuses recherches et aidé entre autres par des astrophysiciens, le Musée Marmottan, où elle est toujours exposée, parvient à déchiffrer l’œuvre.
« Mais lorsqu’on lui demande un titre, il est désemparé et propose ‘‘Impression’’».
Il est revendu pour un prix de 210 francs en 1878. Une misère ! C’est seulement dans les années 1950, après plusieurs rétrospectives sur l’œuvre de Monet et surtout grâce à la volonté de la famille Donop de Monchy, propriétaire de la toile de la faire connaître, qu’elle est reconnue. Beaucoup de questions commencent alors à se poser à son propos. On se demande si elle
Le lieu de la scène est retrouvé grâce à des photographies. Puis, des analyses de la position du soleil et des marées ont permis de déterminer que la toile aurait été peinte le 13 novembre 1872, aux alentours de 7h35. Après autant de rejet et d’ignorance, cette détermination à trouver de tels détails sur l’œuvre semble presque ironique… Comme quoi, il suffit parfois de la détermination d’une famille pour changer le destin d’une œuvre. ●
Maela Vincent
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Culture
CDs, vinyles, qu’apportent les supports materiels ? Tandis que l’écoute de musique sur support matériel chute au profit du streaming, pourquoi certains s’acharnent-ils à compléter amoureusement leur collection de CDs ?
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e disquaire Gibert Joseph de l’avenue Gambetta est un endroit assez spécial. Il n’y a personne la journée, quelques quinquagénaires à midi ou vers dix-huit heures, et jamais plus de trois personnes à la fois. Il faut dire que le choix proposé est insolite : des quelques rayons de la boutique, les deux plus fournis sont ceux jazz et metal. Pas forcément ce que le plus grand nombre écoute. En fait, cela me semble assez représentatif d’un phénomène répandu : on délaisse les supports matériels pour le streaming, certes, mais certains bastions font de la résistance. Pourquoi ? Parce que certains ne se sont pas mis à la page, mais aussi parce que d’autres n’en ont pas envie. Acheter un disque ou un vinyle, c’est un rejet de l’éphémère. C’est aimer un artiste au point de vouloir donner sa chance à des morceaux qui n’apparaitraient pas forcément sur une playlist en streaming. C’est la chance de découvrir des pistes qui disparaissent dans le brassage de ce qui est trendy ou non sur internet. Mais c’est aussi écouter un album dans son intégralité et en suivant un ordre voulu par l’artiste.
Certes, le streaming donne la possibilité de se perdre, de se laisser porter par des enchaînements de pistes aléatoires, et de se rendre soudain compte, trois quarts d’heure plus tard, qu’un morceau incroyable passe, morceau qu’on n’aurait peut-être pas découvert sans l’algorithme qui fait défiler les chansons. Evidemment, internet permet aussi d’accéder à des titres rares ou inédits qui coûteraient un bras à acquérir sur support matériel. Mais je n’ai pas été honnête. Ecouter un disque dans son intégralité, respecter l’ordre original des morceaux, tout cela est possible sur internet. Quelles différences réelles alors entre les deux supports ? Certes, il y a un certain plaisir de l’objet, un plaisir de la possession, qui parlera à certains. Mais surtout, il y a quelque chose de difficilement identifiable, et encore moins explicable. Ecouter un CD, ce n’est pas la même démarche que d’écouter de la musique en streaming, cela met dans un état d’esprit différent, plus ouvert peut-être, prêt à accueillir, par rapport à la musique. Allez savoir pourquoi, beaucoup ne ressentent sûrement pas cette différence, qui, il est vrai, est minime et très subjective, mais je crois que c’est avant tout pour cela que j’achète encore des disques.
Claire Maraval
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culture
Le Monde selon garp, irving Publié en 1978, Le Monde selon Garp est le roman qui révéla Irving, qui, d’obscur universitaire, devint un auteur à succès, assurant ainsi à tous ses futurs romans le statut de best-seller.
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omme la plupart des livres de John Irving, Le Monde selon Garp s’inspire en partie de la vie personnelle de l’auteur. Un jeune homme intelligent, de père inconnu, se découvre un amour pour l’écriture. Au-delà du protagoniste, de nombreux sujets récurrents dans l’œuvre d’Irving sont repris : les prostituées, Vienne, les ours, etc. Cela peut paraître étonnant si on ne connaît pas Irving, mais ce sont des éléments qui reviennent sans cesse dans ses romans. Le protagoniste, T.S. Garp, est le fruit d’une union absurde, de l’abus froidement planifié de son père par sa mère. Celle-ci, Jenny, est une infirmière qui rêve d’avoir un enfant sans s’encombrer d’un homme et qui par un « heureux » hasard soigne un militaire réduit à l’état de légume, souffrant d’une étrange affliction : une érection perpétuelle. Plus tard, elle deviendra une auteure à succès et une égérie féministe grâce à son autobiographie, qui n’est que provocation et lourdeur. Mais Garp, malgré une réelle ambition littéraire, n’aura qu’un succès tardif, qui reposera plus sur sa filiation que sur son talent. Le Monde selon Garp suit ainsi l’existence d’un écrivain raté, tiraillé entre son envie d’écrire et les rôles que la société lui attribue, à commencer par celui de fils. L’auteur décrit un monde perturbant, improbable, animé par des péripéties plus rocambolesques les unes que les autres. Au milieu de tous ces chamboulements, une seule notion trouve grâce aux yeux de l’auteur : la famille, accompagnée d’une peur lancinante de perdre ceux qu’on aime. Ces inversions des valeurs, ces remises en cause de ce que l’on tient pour juste ou vrai sont omniprésentes dans l’œuvre d’Irving. Parfois, tous ses romans peuvent sembler décrire de la même manière et par les mêmes artifices la même histoire. Mais Irving n’a de cesse d’écrire sur toute sorte de sujets, de la transsexualité à la religion, si bien qu’il n’y a finalement qu’une seule constante dans son œuvre : la finesse de son écriture. S’il paraît parfois céder à la tentation de la provocation, il le fait avec une telle subtilité qu’aller vers l’outrageant ne le rapproche que plus de la réalité. Finalement, Le Monde selon Garp illustre parfaitement cette capacité à décrire un monde excessif et irréel, derrière lequel on devine mieux que jamais, et d’une manière bien plus fidèle que dans nombre de romans plus réalistes, le monde que nous habitons.
Pôle Litté
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Espace & Tiroir-Caisse Qui rêve de devenir un astronaute d’affaires ?
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tar Wars, épisode 2, qui se souvient du combat de Jango-Fett et d’Obi-wan Kenobi ? Leurs vaisseaux dansants au milieu de gigantesques astéroïdes s’entrechoquant, voilà une scène marquante. Le cinéma hollywoodien regorge de scènes représentant cet espace rempli de planètes, de gaz, de roches, et bien sûr de grandes puissances interstellaires exploitant cette immense réserve de métaux en tout genre pour construire les vaisseaux les plus délirants. Mais alors, qu’attendons-nous donc ? La NASA a récemment estimé la valeur en métaux des cailloux de la ceinture d’astéroïdes (entre Mars et Jupiter) à la valeur… astronomique de 700 quintillions de dollars. En n’utilisant que des billets de 1 dollar, le magot pèserait environ 369 Jupiter, rien que ça. Mine de rien, ça intéresse quelques mordus de SF aux porte-monnaies biens garnis.
Plusieurs sociétés se donnent déjà pour but la prospection et l’exploitation minière de l’espace, d’ailleurs, leurs noms sont équivoques : Deep Space Industries ou Planetary Ressources… Elon Musk, le futuriste PDG de Tesla et de SpaceX a quant à lui les yeux rivés sur Mars pour y établir une colonie humaine. Que penser alors des projets étatiques ? La NASA & l’ESA rêvent d’industrialiser la Lune, l’hélium 3 présent en masse là-haut pourrait alimenter des réacteurs à fusion pour des centaines d’années, mais la NASA repousse ces projets encore et encore, les Européens manquent de fonds et les Chinois cherchent des rivaux. Contre toute attente, c’est le Grand-Duché du Luxembourg, qui après avoir été une blanchisserie, se veut puissance spatiale en investissant, aux côtés de partenaires privés, dans la prospection spatiale. Tout ceci ne se fera pas sans difficulté. Premièrement, même s’il existe un grand nombre d’objets dans le système solaire, ils sont tellement éloignés les uns des autres et éloignés de nous que les défis technologiques et économiques sont colossaux et loin d’être résolus. Deuxièmement, ce sont les défis juridiques qui risquent de provoquer un futur tumultueux. Malgré les tentatives des instances internationales de réguler les activités dans l’espace, les firmes privées vont plus vite et font pression sur certains états pour obtenir le droit d’exploiter les objets et d’en conserver les bénéfices. Les USA ont adopté le Space Act et le Luxembourg (tiens tiens) a récemment adopté une loi permettant à ses citoyens de devenir des mineurs de l’espace.
Charles Bazin
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culture
LA MINUTE (CUL)-TURE LA CLASSIQUE La classique, « salade-tomates-oignons » de l’amour. La classique, cette chère et bonne position de toujours, meilleure amie de la SAT. Béni soit l’Homo erectus qui l’a inventée. La classique est à l’être humain ce qu’est la ficelle à MacGyver, la friend zone à Harry Potter, l’anneau à Frodon, à Messi le ballon rond, le shampoing à Nabila, les bourdes à notre François, les sourcils à notre Fillon, la salive à Alain Juppé, le talent à David Gilmour, la surdité à Beethoven, la classe à J2F. Aaaaah la classique ! Connue sous le nom somme toute moins stylé de « missionnaire », elle est la position la plus naturelle que, tout comme la musique et les grecs salade-tomates-oignons, seuls les humains pratiquent. Madame est allongée sur le dos, jambes écartées. Allongé sur Madame, Monsieur la pénètre, sans pression, sans demander pardon, en appui sur ses genoux ou sur ses coudes pour ne pas trop peser sur elle. Quand même, faut pas abuser. Avantages : Idéale pour les romantiques, cette position favorise les échanges et les étreintes. Les deux corps sont en contact sur toute leur longueur, les amants sont face à face, yeux dans les yeux. Facile et naturelle, c’est la position des premières fois. Et de la deuxième fois. Et de la 156ème fois. Et celle de la dernière fois aussi.
Côté plaisir : L’homme profite plus du missionnaire que la femme. Féministes s’abstenir, c’est lui qui contrôle tout : rythme et intensité de la pénétration, inclinaison du pénis, distance de freinage, ABS, boîte automatique, essence ou diesel. Disposant de peu de marge de mouvement, Madame ne peut que bouger son bassin ou ses jambes pour obtenir une meilleure stimulation du clitoris.
« C’est la position la plus naturelle » Bref, l’extase n’est pas garantie pour elle, désolé… Mais enfin ça, ça veut rien dire, elle adorera quand même. Après une SAT vous n’allez pas partir en brouette thaïlandaise ou autre position improbable à moins de chercher à vidanger... L’homme pourra aussi prendre un égoïste plaisir à faire admirer la longueur de sa flûte traversière à Mdame en lui demandant de serrer les jambes : « Eh oui, même à cette distance… », saura-t-il subtilement suggérer d’un geste de la tête en direction de l’action, fier de sa performance musicale. Et, oui, on croise les doigts pour que ça chante.
Inconvénients : Jugé parfois trop monotone et banal, le missionnaire a une image plutôt «routinière». C’est l’amour sans se fatiguer. Mais bon depuis quand faut s’emmerder pour prendre du plaisir sérieux ?
Joshua Mattei
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Culture
Frustrés de n'être qu'humains L’homme et son incroyable potentiel
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’homo sapiens, mammifère bipède, usuellement de 1m40 à 2m, pour un poids moyen de 62 kg, se distingue du reste du monde animal par son endurance physique et par ses capacités cognitives. Pourtant, nous, hommes savants, conscients de nous-mêmes, éprouvons une profonde rancœur contre ces quelques données que nous essayons de tordre, d’étendre et de métamorphoser. L’athlète proteste contre ses jambes qui refusent d’avancer, l’intellectuel proteste contre sa mémoire qui s’évapore, le religieux proteste contre son esprit qui le tente. Des remèdes existent, l’EPO, le calepin, le prêche, mais ils ne sont pas vraiment satisfaisants. Finalement, être humain, n’est-ce pas décevant ? Pourquoi ne court-on pas aussi vite que le guépard ? Pourquoi ne nageons-nous pas aussi bien que le dauphin ? Pourquoi notre cerveau est-il aussi peu performant et si faillible ? L’objectif de ce misérable être est pourtant inscrit au plus profond des cultures qu’il a bâties. C’est une quête, devenue course avec le temps qui passe, une course à la divinité. L’immense majorité des civilisations a pensé le concept d’un Dieu, un esprit qui se distingue par 3 caractéristiques : l’immortalité, l’omniscience et l’omniptence. Cet être est l’idéal de l’humanité toute entière, et elle est toute entière tournée vers lui, dévouée à lui ressembler.
« Harder, better, faster stronger » n’est pas seulement un best-seller des Daft-Punk, c’est aussi l’hymne de l’humanité transformée » « Harder, better, faster stronger » n’est pas seulement un best-seller des Daft-Punk, c’est aussi l’hymne de l’humanité transformée : la transhumanité. Une nouvelle espèce qui émerge de la fibre optique, façonnée par la poigne de fer des robots, dessinée par l’informatique en réseau, et qui ambitionne de devenir des Dieux. Grâce aux multiples mutations technologiques de notre corps et à ses nouvelles extensions telles les smartphones, nous sommes en mesure de savoir tout en tout temps et en tout lieu, l’omniscience est achevée. Grâce aux machines et au savoir déchaînés sur un monde maîtrisé, nous sommes en mesure de tout construire, de tout bâtir, de transmuter la matière, seul le temps constitue encore une barrière à l’omnipotence. Grâce à la domination biochimique de la vie, nous sommes en mesure d’excommunier la mort de notre existence, l’homme qui vivra 1000 ans serait déjà né. Alors, serez-vous des frustrés, ou de ceux qui acceptent d’être à l’image des dieux ? ●
Charles Bazin
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Libre Fatigue cognitive et décisions économiques Oui, quiconque chouchoute sa cognition chouchoute son porte-monnaie.
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ne étude scientifique tout juste sortie de l’emballage nous explique le lien direct entre la pauvreté de vos choix (économiques notamment) et votre taux de stress, ou « fatigue cognitive » pour les intimes. Le moment où t’es au bout du rouleau, que tu rigoles pour rien, et que tu te mets à acheter n’importe quoi, c’est de la faute des cours, des devoirs, des shotguns, de Médiaplus, des mille et un parcours disponibles... Enfin bref, nous sommes en école de commerce. On va donc récupérer le fil rouge qu’on a trop vite laissé tomber, et parler de billets verts. Oui, quiconque chouchoute sa cognition chouchoute son porte-monnaie. Voyons en quoi. L’expérience. Résister à la gratification immédiate, c’est difficile, ce qui explique le succès du Mac Donald’s de la gare. Et pourtant, résister à notre impulsivité animale est la clef de notre insertion sociale et de notre réussite économique. Mathias Pessiglione et son équipe ont donc émis l’hypothèse qui veut que nous ayons une réserve limitée de « self-control », qui, une fois épuisée, nous verrait devenir de plus en plus impulsifs. Ces scientifiques ont alors réparti des tâches différentes à trois groupes de personnes. Les premiers devaient investir un effort cognitif considérable dans des tâches complexes pendant six heures. Les seconds étaient exposés à des problèmes plus simples. Les derniers n’avaient comme devoir que de se détendre, de se divertir, sur FIFA et Call Of notamment. Chaque groupe se voyait proposer un choix toutes les demi-heures : soit une petite somme d’argent tout de suite, soit une plus grosse somme plus tard.
« Résister à notre impulsivité animale est la clef de notre insertion sociale »
Le résultat. Evidemment, ceux qui faisaient le plus d’efforts cognitifs (premier groupe) demandaient toujours à avoir la plus petite somme tout de suite, plutôt que d’avoir à attendre pour la grosse somme, là où le troisième groupe savait patienter et se projeter dans le futur avec beaucoup d’argent, une chaîne en or et une Lamborghini. Conclusion : Il faut absolument demander des cours intensifs de sieste et des consoles dans les salles, pour le bien de l’école. Ce serait une façon pour elle d’élargir l’éventail de ressources du Gem Learning Model, en inventant une nouvelle forme de management : le management par la détente, qui, selon la science, verra naître une nouvelle génération de génies de la gestion économique.
Joshua Mattei
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Libre
TRUMP PAR-DELÀ L'ATLANTIQUE Allons donc voir ce qu’en pensent nos amis américains !
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016, ou l’année que l’on est sûr de ne jamais oublier. Il semble que l’élection de Donald Trump en tant que président des États-Unis en soit l’un des points culminants, peu importe l’opinion qu’on ait sur le sujet. Sûrement parce que personne – et probablement pas même Trump luimême – ne s’attendait à ce qu’il devienne le nouveau locataire de la Maison Blanche. Oh oui, le choc, bon ou mauvais, fut grand, et même si les premières vagues de protestation commencent à monter, Hillary Clinton s’est inclinée face à la loi du scrutin indirect : Trump entrera en fonction le 20 janvier 2017. Sur le Vieux Continent, ce résultat suscite également quelques remous. Nous ne comprenons pas : les médias ont présenté Hillary comme une corrompue, et Trump comme un clown. Entre la peste et le choléra – semble-t-il –, les américains ont dû choisir ; comment ? Pourquoi ? Quelle a été la logique à l’œuvre dans toute cette histoire ? Peut-être les réponses de deux étudiants et d’un professeur de GEM, tous trois américains ayant voté lors des élections, pourront-elles nous éclairer sur la situation…
« Make America Great Again », tel était le slogan du nouveau président pendant sa campagne, et il semblerait qu’il ait touché plus d’un nostalgique des « good old days » avec celui-ci. Malheureusement pour eux, au vu des changements, et à la vitesse à laquelle le monde continue d’évoluer, ce rêve n’est déjà plus qu’une utopie. Mais outre cette volonté irréalisable, voter pour Trump aurait également été une forme de protestation ; contre la situation économique et sociale du pays, contre les élites, contre l’échec de l’Obama care, contre le fait que si peu ait été fait en 8 ans – on en oublierait presque que l ’e x- p r é s i d e n t a dû composer avec des Républicains peu coopératifs. Quoi qu’il en soit, il faut donc également remarquer l’espoir – si ce n’est la conviction – des citoyens américains de voir les choses changer grâce au père de l’empire Trump. Et si ce n’était pas par colère que les votants se sont tournés vers Trump, c’est par simple peur de faire d’un autre Clinton le chef des États-Unis. Entre les histoires de corruption et la menace de durcissement des relations avec la Russie, « Killary », comme certains l’ont nommée, n’a pas fait l’unanimité partout. Du moins, pas chez les grands électeurs on dirait.
« Entre la peste et le choléra – semble-t-il –, les américains ont dû choisir ; comment ? Pourquoi ? Quelle a été la logique à l’œuvre dans toute cette histoire ? »
First of all… WHY would some people vote for Trump ? C’est la question que beaucoup se posent. Alors que la réponse nous semble aussi claire que le cours de MQAD, surtout quand on écoute de nouveau les discours nationalistes, conservateurs et saupoudrés d’une bonne dose de misogynie du Président, il semblerait que les arguments de gens ayant voté Trump – notez la différence entre ces derniers et les pro-Trump– ne soient pas ceux auxquels on pouvait s’attendre.
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Libre Hocus POTUS ! Will the magic work ? Est-ce que tout cela va réellement fonctionner ? Il y a de quoi douter, vu la violence des réactions le jour de l’annonce des résultats. On l’a vu dans les médias, et certaines réponses obtenues lors de la préparation de cet article l’ont confirmé : une partie des Américains pensent que Trump peut devenir une vraie menace pour tous les citoyens des ÉtatsUnis, mais également pour d’autres pays. C’est d’ailleurs pourquoi certains sont prêts à se mobiliser, qu’ils vivent encore en Amérique ou non, en faisant, par exemple, des dons à des associations telles que le Planning Familial (qui risque de souffrir de l’opinion de Trump, quant à l’avortement notamment). Mais à côté de ça, une partie de la politique extérieure paraît plaire et rassurer les citoyens : le fait de ne pas vouloir envenimer la situation avec la Russie, voire d’en parler comme un possible allié, a eu un certain succès. Pour le reste, une grande partie de votants semble espérer que Trump ne parlait pas sérieusement… et penser que c’est la future équipe du Président qui est à craindre, plus que le Président lui-même. Ne partons cependant pas trop vite en besogne sur ce sujet, car il faut d’abord voir si toutes les promesses faites jusque-là seront tenues…
Et Marine dans tout ça ? Certains ont vu dans l’élection de Trump un signe que le Front National avait également ses chances en France. Alors, certes, les deux camps sont d’extrême droite, mais à partir de là, les opinions divergent. Si certains ne voient que les points communs, l’une des personnes interrogées a confié pouvoir au moins respecter Marine Le Pen pour son acharnement et sa volonté, alors que Trump ne cesse de revenir sur ses paroles, notamment celles prononcées durant sa campagne… Exit donc la confiance pour le moment. La morale de tout ça ? Ne jugeons pas trop vite la situation et les choix faits. Laissons le bénéfice du doute à Trump ; avec un peu de chance, 2017 se révèlera finalement être plus agréable que 2016…
Emmanuelle Flahaut
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Libre QUE CACHE L’ELECTION DE DONALD TRUMP? La victoire de Donald Trump apparaît comme le symbole d’une nouvelle façon de faire de la politique.
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ercredi 9 novembre 2016 : l’impensable se produit. L’impensable ? Pas vraiment en réalité. Nous n’avons juste pas vu arriver le succès de Donald Trump, qui, loin d’être la brute épaisse souvent représentée, est en réalité terriblement pragmatique.
A travers le monde, et plus particulièrement dans les démocraties occidentales, de nouveaux phénomènes émergent et prennent de vitesse aussi bien les pouvoirs en place que les journalistes. On nous présente tout cela sur l’habituel refrain de la victoire « du peuple contre les élites », de la vivacité de la démocratie et de l’esprit critique des peuples qui veulent rester maîtres de leurs destins et de leurs territoires. Pourtant, après la campagne victorieuse en faveur du Brexit et l’élection de Donald Trump, il ne semblerait pas que le débat démocratique en sorte grandi. Pour avoir une chance de l’emporter, la tendance est aujourd’hui de tout faire et de tout raconter pour faire appel à l’émotion et aux opinions personnelles. Le dictionnaire Oxford ne s’y trompe d’ailleurs pas en consacrant le terme « post-truth » comme mot de l’année 2016. Les réseaux sociaux, en mettant l’opinion de chacun sur le même plan et en se faisant l’écho de toutes sortes de ragots ne sont évidemment pas étrangers au phénomène.
« Signe que les temps changent, l’expression « posttruth » ou « post-vérité » est devenue courante en 2016 dans les pays anglo-saxons. » Avec la post-vérité, la vérité devient tout simplement secondaire. La post-vérité ne doit pas être confondue avec un mensonge puisque « celui qui ment a du respect pour la vérité puisque sans elle, il ne pourrait exercer son art » pour reprendre les termes de Pascal Engel. Or, Donald Trump n’a que faire de la vérité. Il pratique une politique de l’instinct, sent le vent tourner et se moque d’être cru : l’essentiel est de baratiner et que l’on croit en sa capacité d’agir.
Pierre Jacquemin
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Libre
Petit guide de l’élève qui n’assume pas sa rentrée
Se remettre sur pied en 5 étapes (6 si tu es vraiment au bout de ta vie)
R
etour à Grenoble un peu dur après deux semaines de vacances surtout si le voyage s’accompagnait d’un fort mal de tête post-nouvel an. En plus, c’est l’hiver et la perspective de skier ne te réconforte que moyennement à 7h50 quand tu affrontes le froid.
C’est un peu la panique aussi vu que ces vacances de Noël n’ont pas forcément rimé avec révisions studieuses ! De là, comment trouver la motivation pour rattraper le temps perdu alors que tu as déjà oublié ce qu’était un amortissement et la moitié des formules Excel (sois honnête, les as-tu vraiment sues un jour ?) . Enfin, cerise sur le gâteau, tu te remémores tous ces délicieux plats que tu as dégustés pendant les fêtes tandis que tu manges des pâtes pour la 4ème fois de la semaine… et on est mercredi. Dur, dur 2017. Pas de souci, chaque problème a sa solution. Déjà, tu peux te détendre un peu devant la série 100% inspirante : Chef’s Table. En effet, chaque épisode est un documentaire super quali qui suit des grands chefs. Le + : des plats qui font rêver et à même de te rappeler la dinde de Noël de ta maman, la bûche et tous les délices que tu as pu te mettre sous la dent. Ensuite, chaque épisode est un voyage – tu pourrais te retrouver sous le soleil chaud de LA, non négligeable quand il fait 2°C. De plus, la réussite de ces chefs nous rappelle qu’il faut suivre ses rêves et tout faire pour les atteindre: inspirant tout en poésie. En somme, tous les ingrédients pour un regain de motivation et d’énergie en ces temps difficiles, tu trouveras peut-être même de la poésie dans les statistiques. Qui sait ?
«Comment trouver la motivation pour rattraper le temps perdu ?» Plus sérieusement, si ton retard est trop important et que tu as bientôt tes partiels, passe directement à la phase de révisions.
1.Revue des priorités
2.Rappel des enjeux (oui, oui pense à tes échanges ou spé pour l’année pro)
3. Récolte des cours que tu as manqués (c’était tendu le vendredi matin… le mercredi aussi)
4. Mise à distance de toute potentielle source de distraction
5. Révisions (commencer par les plus grandes difficultés, objectif 0 rattrapage) Mais que faire si tu n’arrives toujours pas à te concentrer ?
Etape 6 : pense aux frais de scolarité, à tes potes qui vont réussir, à tes parents, à ton avenir…
Normalement, tu devrais être un peu plus motivé mais tu peux encore chercher ; la motivation peut venir de tout et n’importe quoi. Et puis, nouvelle année = plein de bonnes choses et c’est cool. ●
Albane Van Hille
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Libre
ADN, Environnement et Mémoire générationnelle L’ADN, macromolécule malléable, est un véhicule de la mémoire à travers les générations !
B
on les génies, aujourd’hui on s’attaque à un sujet des plus passionnants. Pas passionnant dans le genre sympathique, mais dans le sens énorme. On va rencontrer le nouvel ADN, puis on analysera une étude scientifique fascinante, et on verra en quoi toutes ces belles idées sont applicables dans vos vies de Gémiens endurcis. On va passer de la science à la philosophie, et de la philosophie à la pratique. Clignez des yeux si vous êtes contents. Faites-le, avant de lire la suite. Vraiment. Mais Jamy, kesako l’ADN ? Pour faire simple mais efficace, votre ADN est votre carte d’identité, mais en beaucoup plus long. Dans votre ADN est écrit toute votre information génétique. Clignez des yeux si vous comprenez. Essayons de passer outre les complexités scientifiques, en notant simplement qu’ADN signifie Acide DésoxyriboNucléique (à apprendre par cœur) et constitue la macromolécule support de l’information génétique héréditaire. En quelques chiffres : plus de vingt mille gènes composent votre ADN, et votre ADN est présent dans chacune des cent trillions de cellules qui constituent votre corps si sexy. Ce que la science a récemment découvert, c’est que l’ADN est une potentialité : c’est-à-dire que les différents gènes qui le composent peuvent être activés ou non selon l’environnement dans lequel l’ADN, et surtout son hôte, évoluent. Non seulement ça mais, vous allez le voir, l’ADN, macromolécule malléable, est un véhicule de la mémoire à travers les générations ! Allez ça cligne.
L’ADN, figé ou malléable, nature ou culture, inné ou acquis ? Une potentialité ? Oui, c’est une notion d’épigénétique qui peut s’expliquer ainsi : avant, on croyait que l’ADN était prédéterminé et prédéterminant (on appelle ça le déterminisme génétique), et donc que si votre ADN était pourri, votre vie aussi était destinée à l’être, du type désolé, revenez plus tard. Aujourd’hui, on sait que l’ADN est fonction de l’environnement, ce qui ne fait pas seulement référence au bitume et à la cuvette grenobloise (physique), mais bien à l’environnement émotionnel et diététique de l’hôte (vous, mes génies clignotants). On part donc sur de l’acquis, de la culture, de la malléabilité. Mais ce n’est pas tout ! Jetons un œil à une expérience scientifique fascinante. Allez, on cligne des yeux, personne ne vous verra. Une expérience sur des souris Cette expérience, au cours de laquelle aucune souris n’a été blessée, se déroule en deux temps. Tout d’abord, des petites souris toutes mimis furent exposées à une odeur en guise de plat de résistance, et tout de suite après, c’était choc électrique dans la face au dessert. Cette première fournée d’infortunées avait donc associé un danger à une odeur (de fleur de cerisier pour les jusqu’au-boutistes et autres génies). Eh bien, figurez-vous que la deuxième génération de souris, qui jamais n’avait eu à endurer l’aller-retour électrique dans le museau, se mit à réagir à l’odeur comme si elles avaient déjà elles-mêmes subi le choc électrique, sans que ça ne soit le cas, bien évidemment !
« L’ADN, macromolécule malléable, est un véhicule de la mémoire à travers les générations ! »
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Libre D’accord… Mais j’en fais quoi moi ? C’est là qu’intervient la partie pratique. La science nous a appris quelque chose, ce quelque chose est devenu de la philosophie, du savoir, de nouvelles connexions neuronales dans notre lobe frontal.
Maintenant il ne tient qu’à vous, bande de génies, d’appliquer ces concepts et de cligner des yeux. Je sens que ça fatigue, alors je résume vite fait, un petit exemple, et vous pouvez y aller.
Première chose : l’ADN est malléable. Deuxième chose : l’ADN porte l’empreinte de la mémoire.
ADN évolue dans un environnement sain, dans une anima sana et un corpus sanus, vous pourrez vous remercier vous-mêmes, mais en plus, vos rejetons rechigneront moins à payer votre retraite si vous leur expliquez à quel point vous vous êtes forcés à être heureux et à vous amuser, pour leur bien. Petite larme. Petit clin d’œil.
Anima sana in corpore sano Comment pouvez-vous directement l’influencer ? En étant hommes et femmes de bien, bande de génies. Par le type d’émotions que vous entretenez, dans votre tête et dans votre corps de rêve. Ce qui signifie reprendre les choses en main, sourire quand ça ne va pas, respirer un bon coup avant, pendant et après les partiels, carpe diem et autres dictons de jeunes rebelles. Vous voulez une raison de plus pour être heureux, pour sourire, pour aller faire du sport après la SAT d’hier soir, pour arrêter de fumer, pour réviser, pour entreprendre ou demander pardon ? Pensez à vos futurs lardons. Si votre
Le mot de la fin De là, on peut dire que si vous oubliez de sortir couverts, ce que je ne vous souhaite pas, et qu’il vous est donné, en un jour saint de l’an de grâce 2025+, de voir vos gosses en train de lire un article sur l’ADN, la génétique et l’environnement, vous pourrez les surprendre à cligner des yeux comme des forcenés, sauf qu’eux ne comprendront même pas ce qui leur arrive.
Joshua Mattei
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Libre
le jeu du mois Ce mois-ci, le classique sudoku ! A gauche, difficultĂŠ moyenne, Ă droite, difficile.
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Libre
CHALEUR !
« Soleil, soleil, tu n’as pas ton pareil, pour faire pousser les feuilles de chou, pour torcher mon… » Grenoble, 3 janvier 2017. C’est la fin des vacances de Noël. Les nez, pieds et mains sont gelés – enfin, jusqu’à ce qu’on arrive dans l’école, où la chaleur nous donne l’étrange envie d’arracher les trois pulls enfilés le matin-même. Mais il y a pire que le froid et le fait de ne pas encore avoir décuvé de sa soirée du Nouvel An, car qui dit janvier dit… partiels. Enfin, pas pour tous mais ça, c’est une autre histoire. Toujours est-il qu’après ces vacances un peu trop courtes, on a besoin de se changer les idées. Quoi de mieux pour ça qu’un petit tour à la Réunion ? Embarquons donc pour l’Océan Indien ! Après un voyage de plus de 10 heures, nous voilà à l’aéroport Roland Garros à Saint-Denis. L’air est lourd… il fait bien 30°C, et à votre plus grand étonnement, le ciel est tout gris. Bienvenue à la Réunion, où Noël est synonyme d’été, de moustiques… et de saison des pluies ! Mais pas d’inquiétude, vous aurez plus d’une occasion de profiter du soleil. Evitez quand même de vous afficher et mettez de la crème solaire : chez nous, on repère les touristes à leur magnifique couleur écrevisse et aux marques de lunettes de soleil et de maillot de bain qu’ils arborent fièrement. Que vous vous dirigiez ensuite vers les montagnes ou vers le littoral, vous n’aurez pas l’occasion de vous ennuyer grâce aux balades en forêt, en hélicoptère ou en bateau, aux randonnées à travers les
Cirques, aux détours par les cascades, aux beaux paysages – vive les flamboyants ! –, aux visites à la vanilleraie de Bras Panon et autres activités bien sympathiques. Une petite faim ? Au menu : Rougail saucisse, carry poulet – on fait gaffe au piment sous peine d’avoir le
« Arrêtez de regarder la mer comme si un requin allait en jaillir pour croquer vos jolies fesses et allez vous baigner ! » feu aux… bref. –, riz, lentilles, gâteau patate, letchis, mangues et longanis. Rien à envier à la raclette ! Après s’être fait exploser le ventre, il est l’heure d’aller à la plage : Saint-Gilles, Saint-Leu (gare au sable noir cependant !), l’Etang Salé et autres, le choix est vaste. Mais arrêtez de regarder la mer comme si un requin allait en jaillir pour croquer vos jolies fesses et allez vous baigner ! Et le soir, ça part pour un apéro des familles avec samoussas, bonbons piments, sarcives et bouchons, bière et whisky-coca, puis pour un repas ponctué par les feux d’artifices, qui seront au rendez-vous presque tous les soirs jusqu’à la fin des vacances… le 30 janvier ! ;)
Emmanuelle Flahaut
Signature
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Libre
L'HOROSCOPE
Qu’est-ce que les astres t Lis notre horosco
Verseau
Sweet Dreams – Eurythmics. Doux mois que ce mois de janvier, surtout si c’est ton anniversaire. Des rêves se réaliseront peut-être, la joie en tout cas sera au rendez-vous. Attention à l’influence de certaines personnes et comme le dit si bien la chanson, « Keep your head up, movin’ on ».
Capricorne Closer – The Chainsmokers. Si tu te rapproches de certaines personnes, notamment d’une en particulier, sache petit Capricorne que tu devras prendre de (grandes) décisions qui pourraient ébranler tes certitudes. N’oublie pas de travailler par contre, on ne vit pas que d’amour et d’alcool frais.
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Poisson
La macarena. Ce mois-ci, tu ferais bien d’apprendre la chorégraphie pour célébrer les multiples réussites qui t’attendent. Son rythme endiablé te donnera la force nécessaire pour triompher des partiels et des cours et même pour danser en soirée avec classe (ou pas).
Lion Paint it black – the Rolling Stones. Le moral ne semble pas au beau fixe en ce froid début d’année, tu regrettes déjà les vacances et attends l’été avec impatience. Tu peux toujours te consoler en allant skier et en te félicitant de tes réussites scolaires.
Bélier
Allumer le feu – Johnny Hallyday. La chance te sourit en janvier. Il te suffira de peu d’efforts pour réussir - d’une étincelle environ. La concrétisation de projets, des rencontres, de bonnes nouvelles, etc. Profites-en !
Scorpion Let me love you – Justin Bieber. Tu fais bien d’avoir peur Scorpion, pourtant il faut tenter de nouvelles choses –musicalement parlant et dans la vie. Ce qui semblait terrible ne l’est pas tant que ça, et c’est même pas mal alors, toi aussi, laisse-toi surprendre dans les semaines à venir.
Libre
E DU GEMIEN
te réservent encore donc ? ope pour le savoir !
Taureau
Hasta el amanecer – Nicky Jam. Tu as tes objectifs bien en tête et très clairs. Malgré le stress, tu vas aller à fond et au fond des choses, quelles qu’elles soient… Tu sauras de plus dynamiser ton entourage (ce qui est assez utile pour les travaux de groupe) et t’ambiancer dès que possible.
Vierge Suis-je – Deen Burbigo. Avec la nouvelle année viennent les fameuses résolutions. C’est l’occasion pour toi de te remettre en question, de faire des choix : en plus de nouveaux cours arrivent, l’occasion de te réinventer. Tu vas peut-être enfin tourner la page avec la MQAD ou toute autre matière que tu aurais dû bosser un peu plus.
Gémeau
Cancer
Highway to hell – AC/DC. Tu fonces. Tu débordes d’énergie et 2017 semble être l’année tant attendue de ton épanouissement. « Livin’ easy, livin’ free » c’est un peu ton leitmotiv, attention à tes priorités car à cette vitesse, c’est un mur que tu risques de te prendre.
Hold on – Møme. Hélas, la concentration ne sera pas toujours au rendez-vous, il semble que des préoccupations plus futiles que ton avenir t’occupent. La choppe de ta dernière SAT peut-être ? Une rencontre fortuite sur la mezz ? Te voilà prévenu.
Balance
Sagittaire
Alright – Kendrick Lamar. SI tu as eu des moments difficiles, des moments de doute par rapport à tes spécialisations, tes échanges, tes cours ou même ta liste. L’espoir renaît et 2017 devrait commencer de la meilleure manière qui soit.
What a wonderful world – Louis Armstrong. Tu vois le monde sous un nouvel angle, tout te semble bel et bien merveilleux et beau, tes cadeaux de Noël t’ont ravi ainsi que ceux de ton anniversaire et ton année commence extrêmement bien avec une fête du nouvel an réussie. Toutefois, prends garde à l’aveuglement !
Albane van Hille
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Ne pas jeter sur la voie publique.