Yatta fanzine 10

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Anime Terror in Resonance Anime Sidonia no kishi Anime Inukami Manga food wars manga returner drama deep love drama Gal basara drama Adaptations ost hellsing musique AKIKO SHIKATA japon ijime MODE LOLITA

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edito Et c’est reparti pour une nouvelle aventure ! ^^ Comme vous pouvez le voir le Magazine prend une nouvelle tournure, nouvelle mise en page, nouveau format et nouvelles sections. Pour le code couleur il correspond à notre prochain template de site mais je ne vous en dis pas plus :p *mystèèèère mwahhahahaa* L’équipe s’est agrandie ! nous avons recruté 6 nouvelles personnes (on devient une grande famille ^_^) - Shady : Rédactrice mode - Dyrro - Sheenjee - Kobaitchi : Rédacteurs animes / mangas - Natsumi : Rédactrice dramas - Malis : Reporter dans le nord Nous nous excusons pour le retard pris dans la parution de magazine mais nos vies privées et projets professionnels font que cela devient difficile de sortir un mag tous les deux mois comme nous le faisions au début. Mais nous essayons de nous rattraper sur le site, vous remarquez qu’il y a au moins un article par semaine dessus ^_^ Un énorme merci à Yami Shin pour son illustration pour la couverture de ce nouveau numéro» Merci aux personnes qui ont accepté d’apparaitre dans le magazine : Photogeny (interview), Yami Shin (découverte), Eloi pour son tutoriel sur les pokeball Nous souhatons continuer de nous developper, merci de continuer de nous suivre et de nous lire ^_^ Mais nous avons encore une fois besoin de vous (non nous sommes pas des assistés ! ) comme nous avons une nouvelle mise en page, n’hésitez pas à nous dire ce qui ne va pas afin que l’on s’améliore ! Merci !


Titre : terror in resonance auteur : watanabe shinichiro genre : enigme & policier annĂŠe de production : 2014 nb ĂŠpisode : 11 editeur : wakanim


Mecanotox

terror in resonnance

Terror in resonnance est un anime de 11 épisodes publié en France chez Wakanim en 2014. Les deux premiers épisodes de la série avaient été diffusés en avant première lors de la Japan Expo Paris. De quoi mettre en appétit !

L

’histoire nous emmène à Tokyo, secouée par une vague d’attaques à la bombe où nous vivrons les événements à travers deux jeunes lycéens particulièrement atypiques : Nine au regard froid, accompagné de son meilleur ami Twelve, au sourire éclatant et rayonnant plus que le soleil. Au-delà de leur apparence de simples lycéens, on s’aperçoit rapidement que les deux compères ne sont pas vraiment normaux. En plus d’être les auteurs des attaques à la bombe dans Tokyo, ils ont également commis un larcin plutôt inquiétant : ce sont eux qui ont commis le vol de plutonium quelques semaines auparavant au centre de traitement des déchets nucléaires. Derrière toute cette détermination se cache en fait une grande souffrance : ils sont deux des trois survivants d’un orphelinat, où l’on faisait des tests scientifiques sur vingt-cinq enfants dans le but de créer les plus surdoués des enfants. Mais leur plan se retrouve rapidement perturbé par l’arrivée de Risa Mishima, jeune lycéenne et camarade de classe, qui va se retrouver malgré elle, au mauvais endroit au mauvais moment : elle va ainsi surprendre Nine et Twelve en train de déclencher les différentes bombes situées dans l’un des plus gros centres commerciaux de Tokyo. A ce moment-là, seuls deux choix s’offrent à elle : mourir ou vivre en tant que

complice. Contre toute attente elle va choisir de les accompagner, non pas parce qu’elle approuve leur rêve de détruire le monde, mais tout simplement pour trouver refuge et ainsi tenter d’oublier et de fuir son quotidien difficile composé de harcèlements, de tristesse permanente et qui n’est pas facilité par son cercle familial où elle vit seule avec sa mère, abandonnée par son père, parti du foyer. Pendant ce temps, un autre élément perturbateur est en route : Five, troisième survivante de l’orphelinat, experte en nucléaire, qui semble avoir un rapport privilégié avec Nine. Envoyée par les services secrets américains, elle doit à tout prix arrêter les membres du groupe Sphinx et retrouver le plutonium volé. La course effrénée au temps est alors lancée entre la police Japonaise, sous la direction indirecte de l’inspecteur Shibazaki, les services secrets américains et le groupe terroriste Sphinx.

Entre tragédie, drame, amour et passion, lequel viendra à bout de cette histoire ?


Même si au premier plan, le scénario semble classique, l’intrigue n’est pas relayée au second plan et va tirer son épingle du jeu au fil de l’anime. Chaque personnage a sa propre histoire, son propre passé et ses propres souffrances.

Le charadesign est quant à lui très réussi et en parfaite symbiose avec le thème de l’anime. Les personnages sont détaillés aussi bien sur le plan visuel que sur le plan psychologique. La ville de Tokyo reste somptueuse et grande : les décors sont variés et mis en valeur. La musique ne fait que nous confirmer tous les précédents points, et assoit ainsi définitivement le contexte globale de l’anime : elle est légère, somptueuse et attachante.

Points Positifs : Personnages attachants Bonne intrigue

En ce qui concerne les personnages, ceux-ci sont particulièrement attachants et on est rapidement atteints par le syndrome de Stockholm : Twelve est tellement attachant et reste quelque part l’espoir de cette tragédie. Nine semble tellement seul et démuni malgré le fait qu’il prend tout sur lui sans protester. Enfin Risa et Five, semblent tellement désespérées et en manque d’amour.

Cet anime nous présente finalement ce que nous recherchons peut-être désespérément comme les personnages : l’amour, la reconnaissance et la paix. A voir absolument.



Titre : Sidonia no Kishi auteur : NIHEI TSUTOMU genre : MECHA, ESPACE & SCI FICTIOn année de production : 2014 nb épisode : 12 editeur : Netflix


Mecanotox

Sidonia no kishi

Sidonia no kishi ou Knight of Sidonia est un anime de 12 épisodes (une saison 2 a été annoncée) le manga quant à lui est édité en France chez Glénat.

I

l y a fort longtemps, une race extraterrestre appelée Gauna, mit fin à l’existence de notre planète bleue, la Terre. Les humains furent contraints, après de longs combats, de prendre la fuite à travers l’espace infini où ils errent depuis lors. Cette oasis, dernier bastion de l’humanité se nomme Sidonia et abrite une véritable armée, composée d’hommes et de machines que l’on nomme Sentinelles. Même après ces centaines d’années, l’objectif des ennemis jurés des Terriens reste le même : les détruire jusqu’au dernier. L’histoire principale nous emmène à la découverte du quotidien, vécu dans cette citadelle, aux allures de sanctuaire. Nous vivrons cette épopée au travers des yeux de Nagate Takinaze, jeune érudit, habitant au fin fond de cet énorme vaisseau. Même si en apparence, celui-ci semble plutôt une charge pour la société, on va rapidement constater ses aptitudes au combat, aptitudes qui semblent en lien direct avec son passé, son présent et son héritage génétique. Mais quel est le lien entre Takinaze

et la sentinelle Tsugumori ? Côté chara design, il est clair que l’on se prend l’équivalent d’un cargo dans la tête à la vue des premières images : précisions et détails sont à leur

apogée et baignent dans un savant mélange de couleurs, auxquelles chaque émotion fusionne à merveille dans ce décor somptueux. Après de plus amples vérifications, il est fait état que les animations ont été réalisées par le studio Polygon Pictures, celui qui a réalisé les animations 3D de Ghost In The Shell 2 : Innocence. Donc autant le dire tout de suite, c’est du lourd.


En ce qui concerne les personnages, ceux-ci sont vraiment réussis, tant par leurs caractéristiques physiques où l’on constate que le détail est porté très loin, tant par leur caractère tout aussi unique que ludique. Takinaze apparaît vraiment comme une charge : il mange en permanence et semble avoir des capacités intellectuelles plutôt faibles par rapport à ses camarades. Il réussira rapidement à s’intégrer à la vie particulière de cette société. Il y fera la connaissance de son premier amour Shizuka Hoshijiro, et de ses premiers amis tels que les triplettes Honoka et Izana Shinatose. On ressentira chaque émotion, chaque peur, chaque joie, de tous ces personnages attachants.

Quant à l’histoire, celle-ci m’a un peu déçue et semble aux premiers abords un remake issu des concepts et des idées d’un Macross Frontière : on reprend quelques ingrédients bien connus tels que les extraterrestres, un combat qui semble éternel, une histoire d’amour et on y rajoute une fin tragique pour un des personnages principaux. Enfin en ce qui concerne la bande son, celle-ci n’a pas été travaillée et semble vraiment basique. L’opening ne colle pas vraiment avec la trame générale de l’anime en ce qui me concerne.

Pour conclure, je dirais que les atouts de Sidonia no Kishi sont tout d’abord artistiques et sont vraiment concentrés sur la qualité du chara design et de l’animation. Les points qui auraient peut-être dû être retravaillés, sont la bande son et l’histoire qui partagent trop de points communs avec certains animes existants. En définitive, je le conseille vraiment, au-delà de ses points négatifs. L’anime compte 12 épisodes et une nouvelle saison est prévue pour avril 2015.

Points Positifs : Chara design Animation

Points Négatifs : OST Histoire peu originale



Titre : Inukami! auteur : ARISAWA MAMIZU genre : aventure, ecchi, fantastique année de production : 2006 nb épisode : 26 editeur : non licencé en france


wigame

inukami

Inukami est un anime de 26 épisodes produit en 2006 en non licencié, réalisé par KUSAKAWA Keizō. L’anime nous plonge dans un gros mélange comédie/sérieux, un mélange qui doit bien être dosé sinon on court à la catastrophe.

A

lors est-ce une réussite ou une catastrophe ? Ca dépend des goûts, car de mon côté je dirais une réussite. L’anime a réussi à me faire rire tout en étant à fond dans le scénario (cela dit je n’ai pas dit qu’on avait l’histoire du siècle ^^), si vous avez envie de déconnecter votre cerveau pour vous détendre tranquillement vous n’y arriverez pas : le WTF est suffisamment grand pour vous faire réagir toutes les 2 minutes Mais Inukami, de quoi ça parle ? Je vais vous faire un synopsis car un copiercoller serait ennuyant, résumons cela à combat, filles, humour, sérieux, exorciste et pervers (beaucoup, non mais vraiment, beaucoup). Vous mélangez tout ça et vous avez Inukami. En somme on pourrait considérer ça comme un ecchi de base, et bien non vu que si le scénario est des plus bizarres (=pervers et pas le genre que vous pensez) il arrive d’avoir des moments de sérieux qui sont bien développés et qui vous prennent. Je n’ai absolument pas été déçu (un bon design pour 2006), l’humour omniprésent avec des ennemis charismatiques (ah

ça, vous allez tout voir vous pouvez me croire) et les petites trames scénaristiques qui vous permettent de continuer l’anime en vous disant autre chose que Ecchi-Humour de plus,, il y’a de l’amour aussi même si ce n’est pas le sentiment le plus omniprésent de la série mais il est bel et bien là se développe au fil des épisodes. Pour les personnages vous avez du choix et pour une fois pas de façade méchante ou gentille, tout le monde sera à découvert (regardez et vous comprendrez)

...

Oui ils n’ont pas de jambes et alors hein ? Vous n’avez jamais vu des cul-de-jatte dans des animes?

En bref c’est un univers riche en humour, pervers et en wtf mais qui derrière a un bon scénario bien que tordu, des sentiments et de magnifiques éléphants rose en censure ! Points Positifs :

Un scénario comique Beaucoup de wtf


Titre : Shokugeki no Soma auteur : TSUKUDA YUUTO genre : comédie, ecchi année de production : 2012 nb de tome : en cours editeur : tonkam


Djenaoh

Shokugeki no Soma

Shokugeki no Soma, autrement appelé Food Wars, est un manga écrit par Yuto Tsukuda et dessiné par Shun Saeki il est édité en France chez Tonkam depuis 2014. Actuellement le manga possède déjà 10 tomes et il est toujours en cours au Japon.

S

oma Yukihira rêve de devenir un cuisinier qui peut surpasser son père et ainsi pouvoir reprendre le restaurant familial qui n’est qu’un modeste établissement dans un petit quartier commercial peu renommé. Alors que Soma vient d’être diplômé au collège, son père Joichiro Yukihira, qui apparaît être un cuisiner de renommée, décide du jour au lendemain de fermer son restaurant pour partir aider un ami aux USA et ainsi devenir temporairement chef dans un restaurant 5 étoiles. Il propose à Soma de rejoindre une école de cuisine afin qu’il découvre le monde la cuisine dans son entiéreté. Lui qui pensait arriver dans une école de cuisine classique se retrouve accepté dans une école de cuisine d’élite où seuls 10% des élèves sont diplômés.

Shokugeki no Soma est un shonen accès vers la comédie et la gastronomie; et c’est le genre de manga que je ne conseille pas aux personnes qui n’ont pas une très grande culture du manga, car même si l’histoire est facile à comprendre et les codes du manga respectés il n’en est pas moins bourré de référence a multiples manga cultes ou non. Je pense donc qu’il est préférable pour l’apprécier dans son ensemble de connaître et reconnaître ces références. Il n’en reste pas moins très bon pour celui qui ne lit que depuis peu.

La première chose a savoir sur ce manga, c’est que vous aurez faim! Je vous déconseille donc de le lire trop tard le soir. Blague à part, la cuisine parait juste succulente rien qu’au travers les images, car bien qu’exagéré a la japonaise pour les techniques, elle est réaliste. On a donc juste une seule envie c’est de pouvoir goûter aux plats qu’on voit défiler devant nos yeux. De plus pour rien nous gâcher chaque plat, ou presque, est goûté par un haut gastronome qui nous décrira parfaitement la goût de chaque aliment.


Le manga est haut en couleur avec une multitude de personnage qui viennent des 4 coins du globe et également un humour de qualité qui ne sessouffle pas. Le personnage principal est très bien écrit et c’est un plaisir de ne pas avoir un protagoniste qui s’acharne a répéter que c’est l’amitié qui lui permet de si bien cuisiner. Ne vous inquiétez pas par contre un personnage secondaire s’en occupera pour notre plus grand bonheur ou malheur.

Au niveau du dessin pas grand chose à dire, on voit que le dessinateur a passé énormément de temps pour les plats mais sinon le manga dans l’ensemblte est très beau sans être transcendant, les personnages sont tous différents et facile à identifier et les décors sont présents quand il le faut et assez réalistes. Bref Shokugeki no Soma est un très très bon manga mais je conseille particuliérement a ceux qui ont une bonne culture du manga. Et vous aurez faim! Ce qui au final prouve que le manga est réussi.

Points Positifs :

La cuisine La diversité des personnages Point Négatif :

Nécéssite une grande culture


Sekai no Tsuki est un site, autrefois jeune blog dans la sphère du Net. En proposant des critiques ainsi que des chroniques sur de multiples séries et non les plus connues, nous avons su trouver nos fans. Notre but est de proposer des avis ainsi que des notes sur de multiples séries qui ne sont pas forcément les plus médiatisés, de façon à les promouvoir auprès du public français. Nous avons donc comme but de faire connaître des séries mais aussi conseiller les lecteurs dans leurs lectures. Nous organisons des concours pour fêter de divers événements, car pour nous remercier nos fans est très important. Sans eux Sekai no Tsuki ne serait pas ce qu’il est et nous les remercierons jamais assez. Sekai no Tsuki est tout une communauté et nous espérons être davantage nombreux !

http://sekai-no-tsuki.olympe.in


Titre : Returners auteur : Sakurako GOKURAKUIN genre : Action, aventure annĂŠe de production : 2010 nb de tome : 4 editeur : tonkam


Mecanotox

Returners

Avant de commencer dans le vif du sujet, j’aimerais vous préciser que je lis très rarement, et je suis vraiment noob en ce qui concerne les termes et particularités du manga. Ce premier article manga sera pour moi, l’occasion de vous en présenter un qui a particulièrement retenu mon attention : Returners. Surtout n’hésitez pas à me faire part de vos remarques sur notre page Facebook, Twitter ou directement par mail.

L

’histoire nous emmène sur les terres de Tokyo, de nos jours, dans un contexte postapocalyptique. On apprend qu’il y a treize ans, une météorite s’est écrasée sur la ville, libérant de terribles monstres sanguinaires et détruisant une partie de la mégapole. Les créatures firent de nombreuses victimes humaines, avant de disparaître soudainement. Aujourd’hui la vie de la cité semble avoir repris son cours normal, enfin presque...

Nous faisons rapidement connaissance de Himuka, jeune fille particulièrement belle mais redoutable, et de son ami Ibuya Nozomu, jeune garçon aux attraits ténébreux et mystérieux. Tous deux sont des «Returners» : ceux qui ont disparu il y a 13 ans et qui sont revenus de cet endroit qu’ils appellent «Enfer Rouge», avec de puissants pouvoirs et surtout un tatouage étrange.

Leur mission, qui paraît très simple, est de protéger les humains, et de faire face à ces monstres qui peuvent resurgir à tout moment de la zone où s’est écrasée la météorite, située dans le quartier d’Akaishi. Cette zone, appelée «Hypocentre Zéro», ou encore «Remblai Spéciale N°0 d’Akaishi» sera le théâtre Points Positifs :

Le Chara design Bonne ambiance

de leurs premières investigations. Mais nos deux compères semblent également préoccupés par un événement tant attendu mais tant redouté: est-ce le retour du Roi de l’Enfer Rouge ? L’élément principal qui m’a interpellé immédiatement est la qualité et la précision du chara design. Les décors sont vraiment magnifiques et sont en parfaite adéquation avec le thème du manga. Les personnages sont très précis et on devine facilement et clairement les émotions qu’ils ressentent

Côté ambiance on reste sur un esprit «after dark», grave sans pour autant basculer dans le drame. Les personnages gardent une détermination sans faille, malgré l’environnement qui les entoure. La touche ecchi et humour saupoudre intelligemment l’ensemble qui reste très digeste pour un néophyte. Je pense finalement que ce manga mérite d’être lu et reste accessible pour tout le monde. Si vous le recherchez, sachez qu’il est disponible aux éditions Tonkam et compte 4 tomes reliés au Japon. Point Négatif :

Du ecchi qui peut refroidir


Titre : Deep Love Realisateur : Nagai Yoichi genre : drame, romance annĂŠe de diffusion : 2004 nb d'episodes : 13 chaine tv : TV Tokyo


eloiseeloise

deep love

Ce drama de 13 épisodes est l’adapatation du manga du même nom de Yoshi et Testu et est un pur concentré d’événements tristes tels que le viol, la prostitution et la drogue. Cependant tout est très bien mis en scène pour rendre le drama passionnant.

A

yu est une jeune lycéenne d’environ 16 ans, habitant avec le N.1 d’un host club : Kenji. Tous les matins en allant au lycée Ayu rencontre une grand-mère dans son voisinage, et au lycée Ayu n’a qu’une seule « amie » : Reina. Pour s’amuser et passer un bon après-midi Reina propose à son amie d’aller faire du shopping. A la fin de leur shopping elles sont alpaguées par un vieil homme leur demandant des services sexuels. Si Reina ne sait pas quoi répondre, Ayu va tout de suite accepter et dit à Reina que si elle ne veut pas, elle n’est pas obligée de venir. Reina comprend alors qu’Ayu se prostitue depuis longtemps et est impressionnée par sa non émotivité face aux événements.

Durant les jours qui suivent Ayu trouve, dans un carton, un petit chien Pao, mais elle choisit de le laisser. Quelques jours après, elle repasse voir le chien, un petit garçon essaye de convaincre sa mère d’emmener le chien chez un vétérinaire mais la mère refuse à cause du prix qu’elle devrait payer si elle acceptait. Ayu décide donc de prendre le chien et de l’amener chez la grand-mère, qui va être touchée par son geste et lui laisse la permission de rester chez elle. Au même moment Kenji tombe de plus en plus dans la drogue et pique la jeune fille à son insu.

Suite à cela elle décide de partir vivre chez la grandmère définitivement et de nombreux événements tragiques vont avoir lieu dans la vie d’Ayu : viol de Reina, nostalgie du suicide de sa mère, mort de Kenji après une course-poursuite avec des dealers et pour finir la boucle : la mort de la grand-mère.

La mort de la grand-mère va profondément choquer Ayu et lui promet qu’elle ne vendra plus son corps. Elle va rencontrer Yoshiyuki, le petit-fils de la mamie, atteint d’une maladie cardiaque. Sa famille va avoir besoin d’une grosse somme d’argent, et elle va alors tout faire pour aider...

Comment Reina va-t-elle se remettre de son viol ? Ayu va-t-elle réussir à réunir assez d’argent sans avoir recours à la prostitution ? Yoshiyuki va-t-il être soigné ? Comment leur relation va-t-elle évoluer ?


Concernant les acteurs, on retrouve la très belle Isawa Mayuko (Hanazakari no Kimitachi e, LIAR GAME) et Furuya Keita (Kamachi) du groupe LEAD dans les rôles d’Ayu et de Yoshiyuki.

Les acteurs jouent vraiment très bien et sont attachants. Mayuko n’avait que 18 ans et pourtant même si sur le visage d’Ayu elle n’affiche pas d’émotions, on arrive à y voir des sentiments. Niveau musique, Sato Hiroko nous interprète « ai ga watashit wo sukutte kureruno » et cette chanson colle parfaitement au thème abordé ! La première fois que j’ai vu ce drama j’ai commencé à pleurer à tous les épisodes vers la moitié du drama. Il est relativement court : 13 épisodes de 20 minutes, soit 6 épisodes d’un drama « habituel ». Malgré les sujets durs que ce drama évoque, il fait partie de mes dramas préférés et offre une autre vision du Japon. Si le manga possède deux suites après Deep love~ Ayu No Monogatari ~, une seule a été adaptée en drama : Deep Love ~ Host ~

Grouuu pauvre bête !

Points Positifs :

Bon casting Personnages attachants OST génial

Point Négatif :

Thème mature qui peut choquer



Titre : Gal Basara Realisateur : Sato Futoshi genre : drame, ComĂŠdie annĂŠe de diffusion : 2011 nb d'episode : 1


Forever

gal basara

Gal Basara connu aussi sous le nom «Samurai Angel Wars» est un film japonais réalisé par Satō Futoshi (Majisuka Gakuen) il est sorti en 2011 est dure 110 minutes. La bande son est signé MOKU, l’ending quant à lui est du groupe SKE48.

A

sami, influencée par ses amies du lycée, décide de sécher les cours et par la même occasion, elles esquivent un contrôle d’histoire. Leur professeur décide alors de faire visiter un musée aux élèves ayant eu des mauvaises notes ou étant absents. (sympa la punition quand même ). Alors que la visite se passe plus ou moins mal, les jeunes filles étant collées à leurs portables et les autres élèves étant en mode je m’en fous, nos jeunes lycéennes se retrouvent téléportées en 1572 en pleine époque Sengoku (époque des provinces en guerre). Les cinq élèves se retrouvent en plein champ de bataille, ne comprenant pas ce qui leur arrive, elles se font alors sauver par 3 jeunes futurs samouraï, qui décident de les amener au château de Nagoya voir l’héritier du clan Oda, le célèbre Oda Nobunaga ! Comment vont donc s’adapter nos protagonistes, si habituées à la technologie et à leur petit confort ? Et si elles avaient le pouvoir de changer l’histoire ? Alors que la trame principale de l’histoire avait du potentiel, Gal Basara se trouve être un medley de tout ce qui fait un mauvais film.

T

out d’abord, nous remarquerons de nombreuses incohérences dans le scénario, ne serait-ce que par la facilité des gens à accepter que nos lycéens viennent du futur, ils ne se posent pas vraiment de questions et acceptent cette situation plutôt facilement. De plus Nobunaga en personne vient les accueillir et se laisse influencer par les jeunes filles qui décorent de façon bling-bling le château et qui le font poser avec un «V» de victoire pour une photo (il était plutôt souple notre Nobunaga non ?).


Nous retrouvons aussi tous les mauvais stéréotypes, nos protagonistes filles sont niaises à souhait, en plein champ de bataille, elles se maquillent, se font les ongles..., et le pouvoir de l’amitié est plus qu’omniprésent. De plus les «Kyaaaa» «Kyaaaaaaa» vont sans aucun doute en énerver plus d’un. Concernant nos protagonistes garçons, d’un côté nous retrouvons une espèce de geek sociopathe, obnubilé par les calculs pour rentrer à la bonne époque. Mis à part cela, il ne sert strictement à rien. De l’autre côté nous avons un faux bad boy, qui arrive à battre des guerriers facilement (tss easy de battre des gens qui ont été entrainés toute leur vie).

Niveau bruitages vous ne serez pas en reste ! Avec des «pouif» splash» qui vous feront surement sourire ou partir en courant. Vous avez déjà joué à un mauvais jeu de combat? Ici c’est pareil ! Et c’est même aberrant pour un film sorti en 2011. Ne parlons pas des effets spéciaux (je soupçonne un stagiaire ayant joué avec After Effects), ils sont clairement ridicules et exagérés. Les scènes de combat sont bien souvent surjouées et nous pouvons voir les armes passer sous le bras pour tuer quelqu’un (pas très crédible). Concernant les acteurs, nous n’avons pas droit à de grande têtes d’affiches et leur crédibilité dans leurs rôles fait souvent défaut (surjoués ou mauvais jeux) Cependant, *attention je vais dire quelque chose de positif* la BO est vraiment excellente ! Lors des combats nous avons droit à une musique traditionnelle de guerre modernisée par des sons électriques (un peu compliqué à expliquer :p). Gal Basara est clairement un mauvais film, mais -car oui il y a un mais- il se laisse quand même regarder, outre tous ses points négatifs j’ai quand même passé un bon moment (j’avoue avoir parfois zappé les scènes trop niaises à mon goût). Si vous avez un peu de temps à perdre n’hésitez surtout pas ! Si vous souhaitez voir le film du siècle partez en courant !

Point Positif :

Bonne BO

Points Négatifs :

Trop d’incohérences Trop de stéréothypes



Forever

adaptations

Ils font le buzz

Strobe Edge

Adaptation du manga «Strobe Edge» licencié en France par Kana. Ninako est tombée sous le charme de Ren, le garçon le plus populaire du lycée. Mais celui est malheureusement déjà en couple. Dans le même temps, le meilleur ami de Ninako, Daiki, avoue ses sentiments pour cette dernière. Les incompréhensions et situations gênantes s’enchainent….

Assassination Classroom

Adaptation du manga «Assassination Classroom» licencié en France par Kana. Une salle de cours, un professeur, des élèves… et des coups de feu ! Les élèves de la classe 3-E du collège de Kunugigaoka sont des assassins en herbe, et leur professeur est leur cible à abattre ! Découvrez le quotidien insolite d’un drôle de professeur et de ses élèves !!

Blue Spring Ride

Adaptation du manga «Blue Spring Ride» licencié en France par Kana. Futaba s’est transformée à son entrée au lycée. Douce et féminine au collège, elle est devenue plus énergique et garçon manqué dans l’espoir de se faire des amies. Mais ses nouvelles amitiés sont artificielles et Futaba va bientôt remarquer les limites de son changement de personnalité…


à paraitre

No Longer Heroine (été 2015)

Adaptation du manga «No Longer Heroine» licencié en France par Akata. Hatori est amoureuse de son ami d’enfance, Rita. Ce dernier adore sortir avec des filles mais cela ne gêne pas Hatori car elle est persuadée qu’il finira par la remarquer un jour. De plus, elle a peur qu’en lui avouant son amour, elle le perde à jamais. Cependant, quand elle apprend que Rita sort avec une fille coincée, que tout le monde traite d’intello, Hatori voit rouge ! La jeune fille se laisse submerger par ses émotions et finit par avouer ses sentiments à Rita.

Synopsis : Nautiljon

Prophecy (juin 2015)

Adaptation du manga «Prophecy» licencié en France par Ki-oon. Paperboy, un internaute anonyme affublé d’un masque découpé dans du papier journal, annonce des « prophéties » qui doivent s’accomplir le lendemain. Il s’agit systématiquement de punir des personnes coupables de divers délits ou humiliations à l’encontre de personnes fragiles et pauvres. Les geeks et autres otaku en font rapidement leur héros, tandis que la brigade de cybercriminalité tente de l’identifier et de l’appréhender. Mais Paperboy n’est pas ce qu’il paraît de prime abord : il s’agit en réalité d’un groupe de quatre personnes, dont les motivations véritables, en dépit des apparences, ne sont ni de faire de la politique ni de jouer aux justiciers...

Seven Days (été 2015)

Adaptation du manga «Seven Days» licencié en France par Taifu. Tu veux sortir avec moi, Seryô ? Lundi matin devant le portail du lycée, Yuzuru Shino, élève de terminale, s’adresse à Tôji Seryô de deux ans son cadet. Ce dernier est réputé pour accepter de sortir avec la fille qui lui demande, en début de semaine, mais qui stoppe toujours la relation le week-end venu. C’est donc un peu par jeu et par provocation que Shino lui fait cette proposition, marquant le début d’une troublante semaine pour les deux garçons…

Synopsis : Wikipedia


Ioteta

OST hellsing

B

onjour à tous, cette nuit mes amis nous allons nous attaquer à un monstre. Un monstre tellement puissant et ancien que de simples écouteurs en bois ou des CDs infusés dans de l’extrait d’ail ne suffiront pas. En effet ce Nosferatu des OSTs continue de faire planer son ombre et nous assaille de nouveau à coup de « Ultimate » ou d’OAV de temps en temps encore aujourd’hui. Mais pour comprendre l’origine de ce mal qui fait du bien nous allons nous pencher sur les deux reliques disquaires que nous a laissé la bête : « Hellsing - Original Soundtrack 1 : RAIDS » et « Hellsing Original Soundtrack 2 : RUINS Cette fois-ci je ne séparerais pas les deux OSTs dans ma critique car bien que les deux sont sorties à quelques mois d’intervalles, elles ne comptent pas d’organisations particulières, de bonus ou autres remix. La première nous offre la première moitié de l’OST générale et la seconde la seconde moitié. Labellisé par Geneon à qui on doit d’autres perles d’OST comme « Fate/stay night », « Higurashi no Naku Koro ni », « Ergo Proxy » j’en passe et des meilleurs... et composé par Yasushi Ishii qui composera plus tard un de mes autres coups de cœur : l’OST de la seconde saison de « Darker than black ». Cette OST respecte en tout point l’ambiance de folie sacrée noire de l’histoire de Hellsing. Remarquez, le titre de l’opening, « The World Without Logos », ou originalement « Logos naki sekai » (à traduire par : monde sans rationalité) nous aura prévenu pour la suite.

V

oyageant entre jazz/blues/rock/electro/ classique/funk le contraste peut ne pas être appréciable par tout le monde. En effet on pourrait presque comparer la méthode de composition de Yasushi Ishii à de la composition de musique progressive, qui a pour but de mettre en valeur la technicité monstre des musiciens de par une structure rythmique et instrumentale complexe. Mais ici la notion de contraste est plus appuyée. On retrouve une ligne mélodique perdue entre un piano swing, une ligne de basse rapide et une guitare saturée en contre-temps. Si j’avais un genre à créer à partir de cet OST je l’appellerais le Crazy-Jazz car toujours surprenant et très complexe on discerne toujours une mélodie et un fond « malsain ». Oubliez les OST redondants avec toujours les mêmes trois accords qui tournent en boucle et le rythme qui change en fonction du gai/triste. Ici on vous perd dans des morceaux intelligemment pensés qui donnent l’impression de les découvrir tout en se disant « tiens c’est marrant j’ai l’impression que je connais ça... » Impression de déjà-vu renforcé par l’utilisation discrète de certains rif connus de genres différents. Exemple : « Marche funèbre » de Chopin ou encore « Out Of Nowhere » de Johnny Green. En bref je dirais que cette OST m’aurais pris mon âme si je ne l’avais pas déjà perdue dans un duel de cartes Pokémon en CM2 alors faites attention à vous, cette œuvre de l’enfer ne s’arrêtera pas tant que vous n’appuyez pas sur le bouton stop et dieu sait à quel point cette tâche est ardue...


Ioteta

coup de coeur

Allez on va rester dans le bizarre mais sublimement beau (non je n’en fais pas trop) avec Akiko Shikata et son style J-Pop « Neoclassical ». Connue pour avoir entre autres signé l’opening de Umineko no Naku Koro ni avec « Katayoku no tori ». Sa voix claire unique a une maîtrise des trémolos fantastique et donne à ses compositions une ambiance unique car les instruments utilisés font très « roman occidental » mais sa technique de chant très orientale crée le contraste. Encore un fabuleux mélange à apprécier sans limite.

Dernier Album : Turaida 1 - Toki ni Umoreta Kotoba 2 - Arcadia 3 - Hikari Furu Basho de ~Promesse~ 4 - Arabesque 5 - Kaseki no Rakuen 6 - Hane Naki Hana 7 - Buonanotte 8 - Hiraite Sanze 9 - Gaku -utena- 10 - Inori no Hate no Hitofuri no 11 - Kokugen no Rondo 12 - Leyre Ending 1«Kono Danshi, Uchuu-jin to Tatakaemasu»

Opening 1 «Umineko no Naku Koro ni»

Découvrez l’univers de Akiko Shikata sur : http://shikata-akiko.com/ http://www.nautiljon.com


Forever

ijime

L’ijime ou le harcèlement scolaire (brimade, harcèlement, violence…) est un terme de plus en plus connu en France, grâce à de nombreux mangas et dramas portant sur le sujet. Mais outre la fiction, c’est un véritable fléau pour les étudiants Japonais, ces brimades poussent souvent les persécutés à mettre fin à leurs jours, lassés de devoir supporter jour après jour un tel fardeau.

Mondai no nai watashitachi

A silent voice

LIFE

Un fléau pourtant bien ancré dans la société japonaise. De nombreux faits divers déferlent dans les chroniques Japonaises comme par exemple l’affaire de 2012 concernant un jeune étudiant de 16 ans, invité à quitter son établissement car les brûlures sur ses bras dérangeaient ses camarades (brûlures causées par ces mêmes personnes…) «Les agresseurs justifient les brûlures en expliquant qu’il s’agissait d’une épreuve de courage.» Mais encore cette affaire de juillet 2011 au sujet d’un collégien de 13 ans qui a mis fin à ses jours suite aux persécutions, il était obligé de simuler son propre suicide, de manger des abeilles mortes… Mais le plus troublant et pourtant si banal au Japon, ce fût la passivité des professeurs, pourtant bien au courant de ce qui se passait.

Tiré du clip de Yowai Mushi


Enfin une mesure contre l’ijime ! Alors qu’il y a quelques années l’ijime pouvait s’appliquer à n’importe qui, on remarque que cette intimidation se penche maintenant vers les homosexuels, bisexuels et transgenres (attention, personne n’est à l’abri). Le ministère de l’éducation va enseigner aux professeurs ainsi qu’aux écoles de prendre des mesures spéciales pour empêcher le harcèlement et la discrimination envers les étudiants et étudiantes lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres (LGBT). Le gouvernement offre actuellement son soutien

aux étudiants ayant des troubles d’identité sexuelle, mais un récent rapport du ministère reporte que l’assistance sera étendue afin d’inclure d’autres minorités sexuelles. Les enseignants seront ainsi formés à écouter les problèmes des enfants et à enfin ouvrir les yeux sur ce problème. Le rapport fait état, que les enfants avec un trouble de l’identité sexuelle «ont tendance à avoir une plus faible confiance en eux». Selon le même rapport, avec la pression ressentie de devoir cacher leurs identités sexuelles, ces enfants refusent parfois d’aller à l’école, se font du mal ou deviennent suicidaires. Source : http://ajw.asahi.com/ - Traduction : Charlotte

En 2012, le site Nico Nico Douga dénonce en chiffre les sévices de l’ijime : Cette étude a été réalisée auprès de 1 072 014 japonais

Avez-vous déjà été victime d’ijime à l’école (primaire/secondaire) ? 57,2% des japonais 60,5% chez les filles 54,1% chez les garçons Sur les 1 072 014 de japonais sondés : 26,9% pensent que faire appel aux professeurs est la meilleure solution 22,6% pensent qu’il faut faire intervenir la Police 12,7% pensent qu’il faut en discuter avec leur bourreau 9,7% pensent qu’il faut en parler au conseiller d’éducation 9,4% pensent qu’il faut instaurer un règlement contre les cas ijime 4,9% pensent qu’il faut faire intervenir les parents des deux parties 27,4% des jeunes victimes d’ijime envisagent ou ont envisagé de se suicider. 54,3% des victimes disent ne trouver personne vers qui se tourner pour régler ce problème. 26,5% ont trouvé du réconfort auprès de leur entourage 10% ont trouvé du réconfort auprès leurs professeurs. (Etude : http://adala-news.fr/2012/08/ijime-suicides-au-japon)


Shady

Lolita

Les origines Ce mouvement trouve son origine dans les années 60, dans le célèbre quartier d’Harajuku, en réaction au Kogaru, un style vestimentaire à forte connotation sexuelle. C’était un moyen de s’affranchir en douceur des conventions sociales qu’impose la société japonaise. Les codes d’honneur sont l’élégance, l’innocence, la douceur, la féminité... Le lolita était un style handmade à ses débuts, il ne comportait alors que deux sous-genres : le Gothic Lolita (robe noire et dentelle blanche) et le Sweet Lolita (robe rose/rouge et dentelle blanche). Les robes étaient assez minimalistes, les coiffures étaient simples, il y avait très peu de maquillage et d’accessoires. Aujourd’hui ce style vestimentaire comporte de nombreux sous-genres et le lolita «traditionnel» est appelé Old School.

codes vestimentaires

Loli-Loli Paradise

Le lolita est sans doute le style vestimentaire qui possède les codes les plus stricts. En effet, une tenue lolita digne de ce nom doit être de bonne qualité : une jolie dentelle, des vêtements en coton. Il faut alors éviter les matières qui font déguisement comme le satin bas de gamme.

Joannie Simioni

- La robe ou la jupe ne doit jamais être trop courte, on considère la limite à une main au-dessus du genou. - Lorsque l’on porte une JSK (jumperskirt : robe sans manches), il est d’usage de mettre une blouse (chemise) endessous. - Pour donner le côté bouffant nécessaire à la robe, on se sert d’un jupon ou d’une crinoline. - Pour cacher leurs sous-vêtements (surtout lorsque l’on porte une crinoline), les lolitas portent un bloomer (short bouffant). Il est d’autant plus utile en hiver, lors des grands froids. - Les jambes sont toujours cachées par des longues chaussettes ou des collants. www.lunieshop.com


Le lolita n’est pas du tout un style abordable, les robes qui sont les pièces maitresses de votre coordination coûtent environ 300 euros pour des grandes marques, comme Angelic Pretty (Sweet Lolita), sans compter le jupon, les chaussures, la blouse, les accessoires... De plus ces robes étant fabriquées en très peu d’exemplaires et en taille unique, vous aurez beaucoup de mal à vous les procurer. Il existe néanmoins des sites comme Bodyline (attention à certaines robes de basse qualité), des petites marques chinoises de bonne qualité sur Taobao ou encore des jeunes créatrices avec beaucoup de talent comme La boutique de Mimic.

http://angelicpretty-onlineshop.com

ita lolita Le terme d’ita est un terme méprisant que les lolitas emploient à l’égard des autres lolitas souvent débutantes qui ne respectent pas les règles. Ita vient de «itai» qui veut dire «aïe» en japonais. Le plus souvent, les itas lolitas portent des robes de mauvaise qualité avec de la dentelle, sans jupon, un tissu qui brille, souvent trop courtes. . e stéréotype parfait de l’ita est une robe gothic lolita bas de gamme noire et blanche, avec une dentelle en plastique, très courte, des oreilles de chat, des chaussettes rayées noires et blanches et des New Rock ou des Doc Martens. Toutefois, les oreilles de chat ou les chaussettes rayées noires et blanches ne sont pas des items «ita» quand ils sont bien coordonnés.


Eloise

nail art foils

Photo : http://www.nail-art.fr Les foils sont des petites feuilles de papier sous forme de film plastique, avec la plupart du temps des motifs très brillants et colorés. On les retrouve soit découpés en carrés de 5/6 cm d’arrête , soit en bande d’environ 1m sur 5/6cm. Naturellement sur internet les prix des bandes sont plus abordables que si vous les achetez en boutique... car la plupart du temps on trouve les foils dans des kits (comme celui de Ciaté « Colourfoil manicure » à 22euros contenant ; 1 vernis (13,5ml ) , 30 carrés de foils (6cm de coté) , et une colle foils (5ml) ). Si vous préférez les kits, dans ce cas-là attendez les soldes, les kits foils de Ciaté étaient soldés à -70% chez Sephora, ce qui les ramenait à 6,60euro.

Comment appliquer un foils ? (après avoir protégé vos ongles à l’aide d’une base) Etape 1 : Appliquez une couche de vernis. Le foils ne se pose pas directement sur l’ongle, il lui faut obligatoirement une souscouche (vous pouvez mettre du vernis transparent comme sous-couche). Etape 2 : Appliquez la colle pour foils, la couche doit être très très très fine pour qu’elle puisse bien sécher. Etape 3 : Une fois la colle sèche (devenue totalement transparente), mettez le côté non brillant du foils au contact de la colle (donc le coté brillant/motif est vers vous). Appuyez bien aux endroits où vous avez appliqué de la colle puis arrachez le foils rapidement. N’oubliez pas de bien mettre une très bonne couche de top coat bien épais car sinon dès que vous vous laverez les mains la colle partira et donc le foils aussi. Attention Certains Top Coat font craquer les foils. Je n’ai jamais eu ce problème mais je déconseille les top coat très liquides car ils vont sécher très vite sur le foils et on n’est pas à l’abri que le pinceau ne « racle » pas le foils.


remu

Fimo mage noir

Matériel : - Fimo noire, bleue et jaune - Un objet cylindrique pour aplatir la pâte (même un verre fera l’affaire) - De la colle forte (facultatif )

Et voici le tuto le plus simple au monde (ou pas loin de là) pour une chouette idée cadeau ou déco : 1) Commencez par former une boule noire pour la tête. Puis faites une plus grosse boule pour le corps, et donnezlui une forme un peu carrée-arrondie (comme sur la photo). Lavez-vous les mains (pour ne pas mettre de noir sur le jaune) et faites-lui ses yeux jaunes, deux petits ronds que vous aplatissez. Puis assemblez sa tête et son corps, soit en plantant une tige en métal ou autre pour que cela tienne, soit en utilisant de la colle une fois que les deux parties auront été cuites et refroidies. 2) Passons au chapeau, formez une boule jaune puis donnez-lui la même forme que sur l’image. Faites une petite « boucle » au bout et ajoutez une petite bande bleue à la base. Puis avec un cutter ou un couteau, coupez les bords pour leur donner cette forme et fixez-le sur sa tête. 3) Formez une boule bleue puis formez un boudin que vous aplatirez avec votre rouleau (ou ce que vous aurez pris qui ait une forme cylindrique). Ensuite, lorsque vous aurez atteint la bonne longueur (il faut que la bande bleue fasse le tour de son corps), faites la même chose que pour son chapeau, c’est-à-dire que vous allez de nouveau former un zigzag, uniquement sur le haut. Puis enroulez délicatement votre petit mage noir dans sa robe ^^ coupez le bas si besoin. Passez-le au four, 25 minutes à 110°C. Et voilà ! :)



castile

photogeny

Bonjour et bienvenue pour cette nouvelle interview cosplay. Après plusieurs interviews aux cosplayeurs, nous allons cette fois-ci, pointer les micros de Castile vers une autre partie de la communauté cosplay, je parle bien sur des photographes. Ils vous font prendre les poses les plus loufoques, glamour, splendides, et ils rendent hommage à votre travail. Nous accueillons donc aujourd’hui Photogeny. Bonjour Photogeny, je te laisse te présenter à nos lecteurs ! Bonjour à vous et aux lecteurs de Yatta Magazine. Comme vous l’avez précédemment souligné, j’ai longtemps œuvré dans les salons comme « photographe cosplay » et participé à un grand nombre de salons français pour immortaliser tous ces magnifiques costumes. Je fais aussi d’autres types de photos comme la photo de paysage, des photos de costumes médiévaux, fantasy, vénitiens, des photos d’événements ou des photos de mode, j’ai toujours besoin de découvrir de nouvelles choses et de nouvelles expériences ce qui m’amène à ne pas m’enfermer dans un style en particulier. Comment t’es venue l’envie de te lancer dans la photo ? Étais-tu prédestiné à cette passion ? L’envie de faire de la photo remonte à très loin, je la minutie qu’il accordait aux détails, à la composition pense. Adolescent, c’était un domaine qui m’attirait et à la lumière. J’étais conquis mais je n’osais pas trop mais je n’avais pas eu vraiment l’occasion d’en sauter le pas avec mon petit appareil bas de gamme. découvrir les richesses faute de mentor ou de référent. Il m’a fallu quelques années supplémentaires pour faire Dans les années 2000, quand les premiers appareils le constat qu’un appareil reflex était obligatoire pour numériques sont apparus, j’ai sauté le pas et acheté un m’épanouir un peu plus dans la photo et c’est après ma appareil bas de gamme pour pouvoir immortaliser les première Japan Expo que je me suis mis en tête d’acheter grands événements et il s’est avéré que je transportais un reflex pour pouvoir faire des photos correctes. mon appareil partout et que je prenais tout et L’année suivante donc, en 2008, j’ai investi dans un reflex n’importe quoi sans cesse, un peu comme les gens pour être fin prêt pour l’édition suivante de Japan Expo. qui découvrent l’appareil photo sur leur portable. À cette époque, mes photos étaient mauvaises, je ne Vu que je bougeais beaucoup, j’ai fait énormément de connaissais personne et je faisais ça en autodidacte, photos et j’ai appris les bases du cadrage comme cela. je n’avais personne pour me guider, pas de tutoriels Quelques temps après, j’ai rencontré un photographe qui sur le net (pas comme aujourd’hui) et il y avait m’a donné envie d’aller plus loin : ce qui me plaisait, c’était très peu de photographes dans le milieu cosplay.


Quelles études as-tu suivi pour arriver à ton parcours ? Est-ce ton métier ? Je vais garder les méandres de mon parcours universitaire pour moi car il est très diversifié, peu significatif pour votre question et ça serait trop long à expliquer ! Pour résumer, mes études ne m’ont pas du tout amené à la photographie mais plus tard je me suis spécialisé dans l’infographie et j’ai exercé un moment la photographie en tant que professionnel. Ce métier est bien loin de ce qu’on pourrait croire : la photographie « pro » et la photographie loisir n’ont pas du tout la même approche et les mêmes contraintes. Pourquoi as-tu choisi le cosplay pour exprimer ton art ? « Art » est un bien grand mot, je suis passionné d’arts sous toutes ses formes et j’ai bien trop de respect pour l’Art pour me qualifier d’artiste. Je pense que comme la plupart des gens qui pratiquent une passion artistique, je pratique plutôt l’art de la bidouille et du test. Monter un projet artistique, c’est quelque chose de singulier et c’est un objectif complexe qui prend du temps et qui ne se fait pas au hasard, à mon sens. Il est aussi important de mesurer toute l’étendue du travail qu’il y a derrière une œuvre artistique et ça se calcule parfois en milliers d’heures. Notre époque nous incite à mettre souvent la charrue avant les bœufs et la tentation de se croire « artiste » est grande. J’ai toujours tendance à dire « Qui peine dans son domaine, reste un apprenti » et parfois on reste apprenti toute sa vie : je me considère encore apprenti en photo et je suis encore très loin de mes objectifs et à des

années-lumière des photographes qui me font rêver. C’est pourquoi, je vois plutôt la photo comme une formidable opportunité de tester des idées, des techniques et des démarches, de monter des projets, d’organiser des rencontres qui pourront amener à des séances. L’important étant de se faire plaisir. Le cosplay a surtout été une rencontre photographique un peu inattendue, dans le sens où je me suis d’abord intéressé à la photo classique. C’était un tremplin pour apprendre les techniques photographiques de base, savoir gérer les modèles et surtout prendre confiance en moi. Le cosplay est une mine formidable car le sujet est fin prêt à être photographié. On zappe toute la partie make-up, hairdressing et le photographe n’a plus qu’à gérer la lumière et se concentrer sur son sujet et son matériel : c’est très pratique !


Comment se passe la préparation d’un shooting ?

Avec quel matériel effectues-tu tes prises de vue ?

Quand je fais des photos dans les salons comme Japan Expo, je travaille quasiment uniquement avec du matériel studio sur stand : ça demande de la préparation et de l’organisation mais ça permet un meilleur rendu et aussi de pouvoir gérer un grand nombre de modèles, comme c’est le cas sur nos stands photo.

Mon matériel est très basique au final, je travaille uniquement avec une simple focale fixe 50mm et je fais tout avec, ce qui m’oblige à bouger sans cesse. Pour le studio, j’ai opté pour un combo Elinchrom qui me convient parfaitement.

Qu’attends-tu de tes modèles lors des séances photos ? Pour des shootings personnels de Cosplay, c’est différent et la plupart du temps, je choisis méticuleusement le lieu du shooting. C’est un élément qui m’importe De plus en plus de choses ! -riresbeaucoup pour me sortir de l’univers de la photo Plus on progresse, plus on devient exigeant et studio, j’aime la mise en scène du modèle dans le décor. s’il m’arrive de travailler parfois avec des modèles débutants, j’essaie de les coacher de manière plus Bien sûr le sujet est très important et aujourd’hui directive durant la séance pour les aider et les orienter et je sélectionne minutieusement mes efficacement. collaborations en fonction des projets que j’ai en tête et des projets que me soumettent les modèles. Si le shooting nécessite un ou plusieurs assistants, je dois aussi trouver des personnes susceptibles de nous aider pour les projets et ça n’est pas toujours simple de trouver des personnes motivées, sérieuses et disponibles. Tu fais partie d’un groupe de photographes que l’on peut voir lors des salons nommé la Shudan Pictures, peux-tu nous parler de tes compagnons et de votre rencontre ? Effectivement, je fais partie d’un groupe de photographes avec qui je collabore et nous sommes rassemblés au sein de l’association Shudan Pictures. Nous nous sommes rencontrés lors des salons et sommes restés en contact durant des années et nous avons finalement pensé à nous unir pour pouvoir proposer des stands qu’il n’aurait pas été possible de faire tout seul. J’avais tenu un stand photo tout seul durant le salon TGS 2009 et ce fut un week-end extrêmement difficile pour moi : on se retrouve vite démuni, vu le succès des stands photo ! C’est après ce constat que j’ai envisagé de travailler en équipe et de rejoindre l’association pour couvrir le secteur Sud de la France. Ça fait maintenant un peu plus de 2 ans qu’on collabore ensemble et que nous proposons des stands photo de qualité professionnelle durant les différents gros événements français : depuis, j’ai participé à de nombreux salons avec l’aide de mes collègues photographes et ça permet à tout le groupe de s’améliorer à chaque fois.

Photos des cosplays de Japan Expo par Shudan Pictures : https://www.flickr.com/photos/shudanpictures/


Tu fais plusieurs salons en quête de nouveaux clichés, lequel t’a laissé les meilleurs souvenirs ? Difficile à dire, photographiquement parlant c’est incontestablement Japan Expo pour la diversité, le nombre et la qualité des costumes. Après humainement, j’ai plus apprécié des salons défunts aujourd’hui comme Lovin Japan et Chibi Japan Expo sur Paris où j’ai fait de chouettes rencontres. Dans le sud, mon salon préféré reste Mang’Azur pour la gentillesse de l’équipe organisatrice et le lieu qui reste vraiment superbe et unique en France !

Quelles expériences tires-tu de ces années de photographe ?

Que conseillerais-tu à ceux qui veulent se lancer dans cet univers ?

J’ai appris beaucoup de choses : les techniques de base de la photographie, la découverte du matériel, le travail avec la lumière, la gestion des modèles, les réseaux sociaux et tout le travail de sélection des photos et de retouche.

La patience, le travail et l’humilité me semblent être primordiales : apprendre est un processus naturel, long et nécessaire, ça peut décourager au départ mais pour s’améliorer, c’est la seule voie !

Considérer que l’on n’a plus rien à apprendre, c’est L’expérience permet de mieux appréhender ce que l’on s’enfermer dans une routine ; l’humilité, le respect veut vraiment faire et comment on veut le faire, je mets et l’ouverture sur les autres permettent de ne pas se aujourd’hui un point d’honneur à ne plus m’oublier dans scléroser et de s’ouvrir des portes. tout ce processus. J’ai aussi fait de nombreuses rencontres qui m’ont Et bien sûr, se faire plaisir avant tout ! permis de réaliser quelques jolis projets !

Un petit mot pour finir ? Merci à vous et aux lecteurs de Yatta Magazine de m’avoir suivi !

Retrouvez Photogeny sur : http://photogeny.free.fr www.facebook.com/pages/Photogeny



nom : Yami Shin artiste : Illustratrice yamyami-shin.deviantart.com ephemeralcomic.com Twitter : yamishinoficial


Forever

Yami Shin

Et voila une nouvelle section qui ouvre ses portes dans le magazine avec la découverte de jeunes créateurs ! Ils sont souvent présents lors des conventions, on s’extasie devant leurs fan-arts ou créations originales mais qui se cache derrière tous ces traveaux ? Pour ouvrir le bal nous sommes allés à la rencontre de Yami shin ! Yami shin est une jeune illustratrice qui a récemment fait parler d’elle pour deux raisons, la première, elle a remporté le concours «tremplin manga» de chez ki-oon et la seconde, elle est l’investigatrice du mouvement de nombreux illustrateurs français concernant la nouvelle pub de l’oreal (pour en savoir plus rendez-vous sur le site). Mais Yami shin c’est surtout une passion qui remonte au collège ! (hé oui la technique ne vient pas du jour au landemain ! ) «Jai commencé a déssiner pendant l’adolescence entre deux cours. Je me souviens avoir fait mon propre mini fanzine à coup d’agrafes que je distribuais dans la classe (mais comme je n’avais qu’un seul exemplaire, je devais à chaque fois courir pour le récupérer). Mais j’ai vraiment commencé à dessiner au moment où j’ai débuté mon webcomic «EPHEMERAL» avec june. C’était moins un moment de détente et plus une passion.»

Si vous parcourez sa galerie, vous vous appercevrez très vite que Yami Shin est influencée pour la culture nippone et comme la pluspart d’entre nous c’est la faute au club Dorothée ! «J’ai découvert le manga très jeune (avec le club Dorothée en fait) Mais c’est seulement pendant ma période d’adolescence et grâce à la série Evangelion que j’ai découvert les mangas. C’était un peu cher à l’époque mais j’ai tout de suite utilisé mon argent de poche pour acheter tous les volumes sortis! De fil en aiguilles j’ai fini par tomber dedans.» Malgré sa petite notoriété, elle reste une personne simple et humble ne s’avançant pas trop sur son avenir «Comment se présente ta carrière: Et bien pour le moment, niveau professionnel, c’est trop tôt pour le dire. En ce qui concerne ma vie d’amateur par contre, je continue mes projets en auto-publication (mon stand et mon webcomic). J’ai même quelques projets qui trottent dans ma tête, mais pour le moment je ne peux pas trop en parler!» Nous pouvons donc espérer voir de nouveaux projets sortir de sa plume. (peut etre un nouveau web-comic?) Yami Shin vous intrigue ? Sachez qu’elle sera présente lors de la Japan Expo Paris sur le stand «RAINBOWTOAST» avec son petit groupe d’amis !


Eloi

Tutoriel pokeball

Matériel - Boules transparentes (diametre 5cm) - Peinture Acrylique Blanche et Rouge - Scotch isolant electrique noir - Bouchons en liege ou tampons de chaise

Ouvrez en deux votre boule toute neuve.

Qu’on lui coupe , le kiki ?! Oo

Prenez vos boules en plastique et coupez le kiki de chaque hémisphère à l aide d un outil tranchant. Un couteau ou un cuter par exemple. Badigeonnez l intérieur de vos demis sphères jusqu a les rendre opaques a la lumière. Attention n oubliez pas de faire une demi rouge et une demi blanche. Vous pouvez le faire avec vos doigts ou un pinceau. Laissez bien sécher la peinture avant de refermer les boules ca évite que les couleurs ne se mélangent a l intérieur de la Pokeball En attendant peignez les tampons de chaise d un simple point au centre. Déroulez sur un support de découpage une partie de votre isolant électrique noire et découpez une bande de 3 a 5mm de large (suivant la taille de votre pokeball) a l aide d un cuter ou d un couteau sans dents et bien aiguisé pour une découpe nette. Pour avoir une bande assez large calculez le périmètre de la pokeball. Assemblez vos pokéballs puis enroulez le long de la jointure le scotch noir. Vous verrez que la bande de scotch est a peine trop longue. Ajustez la ou collez les tampons de chaise dessus pour masquer le début du nouveau tour... Et voila votre Pokéball fin prète !

Merci à Eloi pour le tutoriel


Bunshi est une boutique créée le 27 janvier 2015. Vous pourrez y acheter toutes sortes de produits dérivés Mölang, Rilakkuma, Sumikko Gurashi... Venus tout droit du Japon et de Corée. Mais aussi de la papeterie kawaii, des articles panda ou encore Totoro ! La boutique possède un Storenvy en attendant l’ouverture d’une boutique éphémère et un stand aux prochaines conventions.

http://bunshi.storenvy.com/


Forever

Jeux Eloise

nail art foils

SpÊcial League of Legend : Retrouve les personnages qui se cachent dans l’ombre

Shaco - Ziggs - Teemo - Volibear - Cassiopeia - Lux - Zed - Malphite - Graves


Trouve les 7 erreurs :


Forever

Recette Taiyaki

http://hello-saigon.com

ingrédients - 2 œufs - 100 g de farine de blé - 50 g de sucre - 4. 10 mL de miel - 5. 70 mL de lait

Lors de la Mangazur 2015, nous avons pu goûter les fameux Taiyaki et comme nous nous sommes vraiment régalés, nous vous proposons la recette ! Mélanger les ingrédients ci-dessus comme pour une pâte à crêpe (vous remarquez d’ailleurs que ça se ressemble énormement).

Maintenant la garniture, traditionnellement, les japonais y mettent de l’anko (pâte de haricot rouge) mais nous avons eu la chance de les goûter avec plusieurs saveurs (Nuttela, thé matcha, jambon roblochon) donc n’hésitez pas et laissez-vous porter par vos envies

Vous aurez besoin d’un moule à tayaki (que vous pouvez acheter : http://www.satsuki.fr)

Placez donc cette garniture au milieu et recouvrez le http://cuisinejpn.canalblog.com tout de pâte et fermez le moule.

Graissez le moule et faites-le chauffer comme une poêle. (comme quand vous faites des crêpes ^^)

Attendez que la pâte cuise bien, pensez à retourner le moule de façon à bien cuire les deux cotés (comme pour les gauffres ^^) Et voila vos Taiyaki sont prêts !!

Déposer la pâte dans un seul côté du moule et attendre quelques secondes pour qu’elle cuise.

http://www.cookthatsound.com

http://www.ellenaguan.com


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