Yatta fanzine 13 by Yatta Fanzine

YATTA FANZINE N°13 SOMMAIRE À LA UNE À LA UNE - MUSIQUE MANGA - GATE AU-DELÀ DE LA PORTE MANGA - RE : MONSTER MANGA - BOKURA NO NEGAI MANGA - BRIDE OF THE FOX SPIRIT ANIME - BUNGOU STRAY DOGS ANIME - WORKING!!! ANIME - ACE ATTORNEY DRAMA - ASSASSINATION CLASSROOM DRAMA - VAMPIRE HEAVEN JAPON - GOODIES & FIGURINES JAPON - ALCATRAZ JAPON - TONKATSU JEU VIDÉO - JOURNEY TO KREISIA JEU VIDÉO - FAIRY FENCER F: ADVENT DARK FORCE JEU VIDÉO - THE KING OF FIGHTERS XIV COSPLAY - TUTORIEL JUDY ZOOTOPIE INTERVIEW COSPLAY - AYUMI LAURIE INTERVIEW COSPLAY - HESTIA LULU DÉCOUVERTE - LESCARGOTGRAPHE MODE - NAIL ART PASTÈQUE DIVERTISSEMENTS

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EDITO

CONTACT info@yatta-fanzine.fr PRÉSIDENTE / GRAPHISTE Forever / Pey Magali CORRECTRICES Remu Maereva

Bonjour à tous C’est la fin de l’été et la rentrée pour les étudiants ! Avant de vous replonger dans les études, plongez-vous d’abord dans ce nouveau numéro ! Cette fois-ci, nous pensons avoir enfin trouvé la mise en page qui nous convient parfaitement, n’hésitez pas à nous faire des retours ! Le Yatta Fanzine est sur plusieurs fronts : suivez-nous sur Facebook, Twitter, Instagram & Youtube (si si, allez voir nos vlogs pour savoir qui se cache derrière le staff !) Nous accueillons dans la team un nouveau membre, Mr Suiguichi ! Un nouveau rédacteur anime & drama. Sur ce, nous vous souhaitons une bonne lecture. N’hésitez pas à faire découvrir le Yatta Fanzine à vos amis !

RÉDACTEURS MANGA Kobaitchi Forever RÉDACTEURS ANIME ByOz Suiguichi Castile RÉDACTEURS DRAMA Eloïse Natsumi RÉDACTEURS JAPON Forever Izaya Inod RÉDACTEURS COSPLAY Inod Forever Luka RÉDACTEUR JEU VIDEO Inod ONT COLLABORÉ Lescargotgraphe - Ayumie Laurie Hestia Lulu - Luka - Izaya -

www.yatta-fanzine.fr Toutes les images, dessins, photos et autres éléments de ce magazine sont la propriété de leurs auteurs Les textes sont la propriété de l’association Yatta Fanzine, leur reproduction même partielle est interdite dans tout pays quel que soit le support.

À LA UNE

WORLD SUSHI CUP Tokyo recevait la 4e édition de la World Sushi Cup en Août, une compétition pour laquelle concou rent des «chefs sushi» venus du mond e entier.

OLS VEC DES ID MANGER A aurant aine de rest arger h c la , a k ? À Osa téléch anger seul s clients de Marre de m yama» propose à se g du roupe Sasa e une idol n è sc n (histoire e de ramen « t n metta es ramens d r e g n a une vidéo m de onibles. s sont disp Z» en train o ls é ir id v rg u 5 b . t) lien fin de «Ham agnie au c est offert a s. p e m d co co ir R n Q n ie de te mmande, u s compagn À chaque co ter de ces charmante fi ici pouvoir pro Vidéo par

Et c’est Eric Ticana qu i a représenté la France lors de cet év énement, cependant notre champion est revenu bredouille !

POKÉMON GOKON Jouer tout en chassant l’amour en plus des Pokémon, c’est l’idée folle qu’a eu l’entreprise ENA qui a organisé au mois d’Aout un événement sur Tokyo pour les célibataires fans de pokémon !

KIRBY CAFÉ Kirby, le petit glouton est désormais à l’affiche d’une chaîne de restauration dont le premier a ouvert ses portes le 16 août à Osaka au Japon. Un prochain restaurant verra le jour le 26 août à Tokyo. Cette initiative est en revanche temporaire et leur fermeture est prévue pour le 4 septembre.

À LA UNE - MUSIQUE THE U TESTAMENT DÉBARQUERA EN SEPTEMBRE

UN MINI ALBUM POUR INKT Le quatuor INKT sortira son mini album «Life’s Color» le 21 septembre. Une tournée au Japon suivra, du 1er octobre au 19 novembre.

«The U Testament», prochain album de la chanteuse Utada Hikaru, débarquera le 28 septembre. Y figureront notamment les morceaux «Sakura nagashi», «Hanataba wo kimini» et «Manatsu no tooriame», ce dernier dont le clip cartonne depuis le mois de mai.

BAND-MAID ARRIVE EN FRANCE BAND-MAID va tout bientôt faire valser le public européen pour la première fois, via sa tournée BAND-MAID “Brand New MAID” Release Tour World Series. Six dates sont prévues, dont une en France, le 16 octobre à La Boule Noire de Paris.

BEST OF D’AOI EIR

Le premier best of d’Aoi Eir arrivera le 19 octobre, afin de célébrer ses 5 ans d’activité. Plus exactement, 2 versions seront disponibles :»Best -A-» et «Best -E-», avec notamment une chanson inédite pour chacune.

MY RESISTANCE 3ÈME MINI ALBUM DE DIAURA La formation visual kei DIAURA délivrera son 3e mini album «My resistance» en 2 versions, le 16 novembre.

MANGA - AVIS

GATE AU-DELÀ DE LA PORTE Gate au-delà de la Porte est un seinen créé par Satoru SAO et Takumi YANAI. Il a été licencié en France chez Ototo. Le tome 3 sera disponible dans nos librairies dès le 8 septembre. Gate a eu droit à une adaptation en animé, celle-ci est licenciée chez Wakanim.

n plein centre de Ginza, à Tokyo, une porte géante apparaît. En déferlent des hordes de soldats, monstres et dragons venus d’un autre âge et dont l’invasion est stoppée par les Forces japonaises d’autodéfense. La contre-attaque ne se fait pas attendre : un petit contingent de troupes nipponnes est envoyé de l’autre côté de la porte pour y découvrir un pays de magie, d’elfes et de trolls. Yoji Itami, soldat et fier otaku, fait partie de cette expédition en route pour découvrir ce nouveau monde et braver ses nombreux dangers ! Un Stargate à la japonaise qui oppose un Japon contemporain à un Empire antique habité d’humains et de créatures fantastiques ! Au-delà d’une guerre entre deux mondes, Gate développe son intrigue sur un fond de politique internationale où le Japon devra faire face aux déstabilisations et manigances des autres grandes puissances terriennes.

UN MANGA QUI NE PERD PAS DE TEMPS Une porte qui s’ouvre et, derrière elle, un monde inconnu (et hostile ?) à découvrir. Des animaux nouveaux (des monstres ?) qui en sortent et un peuple moyenâgeux prêt à en découdre. Voilà un programme pour le moins alléchant. Ce manga ne perd pas de temps et dés la première page le lecteur est confronté à la fameuse porte, s’ouvrant justement en plein centre de Tokyo et déversant dans notre monde son lot de bêtes et hommes armés jusqu’au dents.

Passé la panique initiale et la riposte de l’armée japonaise (que l’on nous évite parce qu’il ne s’agit pas du thème de cette histoire) nous nous retrouvons rapidement au milieu de l’unité spéciale envoyée sur place, dans le nouveau monde. L’homme a l’origine de la décision qui sauvera bon nombre de civils, Yoji Itami, est envoyé la bas pour diriger cette unité. C’est également lui que nous suivrons le plus tout au long de ce premier tome.

YOJI ITAMI, SOLDAT ET FIER OTAKU

Ce manga ressemble assez à ce que le lecteur pourrait imaginer. Entre les militaires (plutôt attachant.e.s) qui découvrent la nouvelle terre, rencontrent ses habitants et commencent à tiser quelques liens avec eux. Et les politiques restés dans notre monde, qui, eux, commencent déjà à spéculer sur ce nouvel Eldorado, cette terre vierge qu’ils convoitent déjà tous alors qu’elle n’est pourtant clairement pas inhabitée. On sent d’ailleurs que ces derniers vont jouer un rôle important et foutre un gros bordel dans l’avenir.

A part la princesse Pina et le héro Yoji les autres personnages, aussi bien militaires que civils, sont assez peu défini dans ce premier tome. On apprend quelques petites choses sur certains d’entre eux mais finalement très peu. Ils sont néanmoins assez nombreux et il faudra bien à un moment ou un autre nous en dire plus à leur sujet, ce qui ne se fera clairement pas en un seul tome. En même temps, s’agissant d’un premier tome, qui en plus doit installer tout un univers et nous en faire comprendre les codes qui le régissent, c’est assez normal. Maintenant que nous connaissons mieux le nouveau monde, qu’une première quête a été relevée, nous informant sur les difficultés avec lesquelles il va falloir compter, et qu’une seconde, pleine de promesses, se profile, la trame devrait pouvoir se construire et les protagonistes se révéler.

7 19

Le dessin n’est pas exceptionnel et c’est peut-être le point le plus négatif que j’aurais à soulever. Il est parfois difficile de reconnaitre certains persos d’une page à l’autre (d’avantage les militaires, leurs tenues étant identiques, que les civils qui, eux et elles, possèdent des styles bien différents les uns des autres, ce qui est pratique pour les différencier mais parfois un peu étrange vu l’univers où iels évoluent). Les persos manquent parfois un peu de vie et semblent trop raides mais ce n’est pas désagréable à regarder non plus. En conclusion, c’est un bon premier tome, qui donne envie de connaitre la suite et qui peut vraiment aboutir sur une série sympa. Les personnages ont du caractère et un beau potentiel.

Kobaitchi

MANGA - AVIS

RE : MONSTER Re:Monster, les gobelins au pouvoir ! C’est ainsi que se présente ce nouveau seinen dans le catalogue de chez Ototo Issu d’un light novel du même nom écrit par Kogitsune Kanekiru, ce nouveau manga est adapté par le dessinateur Haruyoshi Kobayakawa, à qui nous devons aussi BlazBlue: Chimelical Complex.

près une mort des plus sauvages, Kanata Tomokui se réveille pour constater qu’il s’est réincarné en gobelin et qu’il répond au nom de «Rô». D’abord dérouté, il parvient cependant bien vite à s’adapter, en partie grâce à sa faculté d’ « absorption » qui lui permet d’obtenir les pouvoirs de tout ce qu’il mange, lui permettant d’évoluer de façon fulgurante et de prendre rapidement la tête de sa tribu. Désormais, il est temps pour la race des gobelins d’entrer dans une nouvelle ère ! Un univers sans pitié régi par la loi du plus fort, où la plus faible des espèces doit être prête à tout pour survivre !!

LE JOURNAL INTIME D’UN GOBELIN

GOBELIN DIGIVOLVE TOI EN HOBGOBELIN !

Réincarné en créature considérée par tous comme étant l’une des plus faibles des mondes fantastiques, Kanata ne se laisse pas abattre et arrive assez facilement à s’adapter à ce nouveau lui et à ses nouveaux compagnons.

Les habitués des récits fantastiques ou des rpg se retrouveront facilement dans l’évolution de Kanata, réincarné en un faible gobelin pratiquement à poil, il va devoir comprendre le mode de fonctionnement de sa nouvelle race afin de pouvoir évoluer, et c’est sans surprises. Étant donné qu’il a gardé les connaissances et le pouvoir d’absorption de sa vie antérieure que notre héros va très vite s’imposer comme étant un leader né, établissant des stratégies pour combattre différents «monstres» et trouver des méthodes de craft pour améliorer son équipement (arme, armure, nourriture...)

Ce premier tome se présente comme le journal intime de Rô, en effet le récit est écrit à la première personne, permettant ainsi au lecteur une immersion totale dans l’univers de Re:Monster. Jour après jour, les sentiments, les réflexions et les actions de ce jeune gobelin sont décrites en détail, facilitant la compréhension de ce monde si particulier, qui prend il faut bien l’avouer le lecteur à contre pied.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le personnage de Rô ne se positionne pas en un être égoïste bien au contraire, iil se liera rapidement d’amitié avec deux autres gobelins ayant un certain potentiel et il ira même jusqu’à entrainer les membres de son nouveau clan afin de ne laisser personne à la traine. Et c’est ainsi que les faibles gobelins purent évoluer en hobgobelin ,Au fil du récit, nous apprenons que les gobelins peuvent évoluer en fonction de leur expérience et que bien entendu c’est la loi du plus fort qui régit cette communauté.

Ce premier tome pose extrêmement bien les bases de ce nouvel univers ancré dans la dark fantasie, le lecteur pourra y découvrir bien plus que l’histoire des gobelins. En effet l’auteur laisse entrevoir un bestiaire varié et une possibilité de scénario multiple. Rô va-t-il renverser le cours de l’histoire et imposer les gobelins comme une race «Suprême» ou du moins dominante parmi les monstres ? Va-t-il chercher à se venger de son amie qui l’a gentiment poignardé au début du tome ? Pour le moment le passé de notre jeune Takana est rempli de mystère et hormis les 2/3 premières pages le lecteur ne sait que très peu de choses sur qui il était, et pourquoi il a été assassiné. En somme, Re Monster est un très bon manga s si on aime un tant soit peu les mondes fantastiques, il est extrêmement facile de s’identifier à notre héro et le mode de narration est sans aucun doute un atout majeur pour cette série qui arrive à nous surprendre au fil des pages tant par un scénario orignal que par ses dessins soignés et ses scènes d’action dynamiques. Une seule conclusion : FONCEZ ! Forever

MANGA - AVIS

BOKURA NO NEGAI Licencié en France dans la collection Hana de chez IDP, Bokura no Negai se trouve être un spin off du manga Mankai Darling. Au Japon la série est terminée en 2 volumes. Attention, ceci est un yaoi -16 ans.

ors du remariage de son père, Ryo emménage avec sa nouvelle belle-mère ainsi que ses trois fils. Et, lui qui était enfant unique, se retrouve, à 19 ans, l’ainé de cette fratrie recomposée. Si au début il ne s’y sent pas à sa place, il finit assez rapidement par apprécier tout ce petit monde et réussit à se faire son trou au sein du cocon familial. (Sans mauvais jeu de mot. Ce yaoi étant, pour l’instant du moins, plutôt un shonen-ai).

UN DÉMARRAGE UN PEU TROP FACILE

UN TOME QUI FAIT PLUS QUE POSER DES BASES

Au premier abord, le scénario de Bokura no negai laisse penser à une histoire toute mignonne, avec une petite famille recomposée qui respire les bons sentiments. Puis on capte un regard un peu triste dans les yeux du père. Et on se rend compte que si les garçons nous ont tous été présentés, le prénom des parents n’a pas été prononcé une seule fois. C’est là qu’on commence à comprendre.

Comme on l’a vu précédemment, les jeunes mariés ne vont pas survivre longtemps et le second chapitre s’ouvre sur la nouvelle vie des quatre garçons, dorénavant orphelins. Ryo, en âge de travailler, a décidé de reprendre le café que tenait sa belle-mère. Aidé de ses frères adoptifs, il va tenter de le faire prospérer tout en apprenant le boulot.

Leurs jours (ou leurs pages) sont comptés et le lecteur n’a effectivement pas le temps de s’attacher à eux que, d’affreux concours de circonstances les ont déjà arrachés. Alors certes, des parents qui se remarient et qui partent faire le tour du monde, prenant bien soin d’allonger leur voyage de quelques mois à chaque nouveau tome, à la Sugar Family en somme, c’est un peu irréaliste. Mais au moins n’ont-ils pas été éliminés froidement juste parce qu’ils gênaient dans la trame. Mais après tout il ne s’agit pas là du thème de ce manga. Et la famille n’est finalement pour la mangaka qu’une façon d’arriver à ses fins et non un but.

Au fil des pages nous allons voir des liens se tisser entre les garçons, et pas forcément entre ceux sur lesquels ont aurait peut-être misé à la base. L’histoire de chacun avance tranquillement et on peut suivre l’évolution de leurs sentiments sans grande difficulté. Le fait que ça n’aille pas trop vite est reposant et ajoute de la crédibilité à ce titre. C’est un très bon point. Ce premier tome fait plus que de poser les bases. Et il attaque sur autant de fronts qu’il n’y a de frères. Le temps imparti à chacun étant presque équitable. Seul le benjamin, Masato, est, pour l’instant, laissé un peu de côté. Si nous ne pouvons actuellement que deviner vers qui le cœur de Ryo penchera, l’histoire de l’un des autres frères se développe quant à elle bien plus vite. Les personnages n’ont pas tous la même maturité et il est intéressant de les voir devenir adultes à leur rythme. Sans pression et sans faux semblant, il semble évident qu’ils ont encore beaucoup de choses à nous dire.

Graphiquement c’est très agréable sans être spectaculaire. Le trait est doux et fin, ce qui met parfaitement l’histoire en valeur. C’est une bonne découverte que ce manga qui est en fait un spin of de Mankai Darling, que je n’ai pas lu. La série aurait pu tomber dans le mélo à la mort des parents mais elle s’en sort finalement très bien, glissant même un peu d’humour de ci de là. Encore un bon choix de la collection Hana des éditions IDP. Kobaitchi

MANGA - AVIS

KAKEMAKUMO, KASHIKOKI © RIHITO TAKARAI / MIRYU MASAYA 2012 ORIGINALLY PUBLISHED IN JAPAN IN 2012 BY SHINSHOKAN CO., LTD., TOKYO.S

BRIDE OF THE FOX SPIRIT Bride Of the Fox Spirit signe le retour de la talentueuse et très en vogue Rihito Takara (10 count) dans le catalogue Taifu Comics. Ce shojo de 224 pages scénarisé par Miryu Masaya et illustré par Rihito Takarai offre un mélange détonnant de folklore japonais et de comédie romantique.

KAKEMAKUMO, KASHIKOKI © RIHITO TAKARAI / MIRYU MASAYA 2012 ORIGINALLY PUBLISHED IN JAPAN IN 2012 BY SHINSHOKAN CO., LTD., TOKYO.S

14 © TAKUMI YANAI SATORU SAO ALPHAPOLIS

ar un malheureux concours de circonstances et à cause d’un Kotodama dont il ne connaissait même pas l’existence, Shin, un jeune japonais de 23 ans sans abri, en quête de nourriture se retrouve marié à Ginrei, un beau gosse avec un goût de la mode des plus douteux qui se trouve être un esprit renard. Nos deux protagonistes que tout oppose devront collaborer afin de faire disparaitre l’anneau qui symbolise leur mariage et ainsi éviter que Shin se fasse dévorer par celle dont il a malencontreusement pris la place.

KAKEMAKUMO, KASHIKOKI © RIHIT

UN ONE SHOT BIEN MONTÉ

Contrairement à ce que pourrait nous laisser croire la couverture, Bride of The Fox Spirit n’est pas un yaoi mais bel et bien shojo, même si l’histoire d’amour est complètement mise en arrière-plan elle n’en reste pas moins le fil conducteur du scénario. En effet, Shin et Ginrei devront collaborer ensemble afin de briser leur union improvisée mais la tâche ne sera pas de tout repos, entre un renard des plus hautains et un humain défaitiste, l’entente semble vouée à l’échec. Cependant, au fil de l’histoire, une certaine complicité se noue entre nos héros ; comprenez bien une complicité amicale, et de nombreuses embuches les attendent, ils iront même jusqu’à demander de l’aide à d’autres dieux. Même si nous avons affaire à un one shoot, la personnalité et l’évolution des personnages sont plutôt bien décrites et bien ancrées dans le scénario, nous assistons à une réelle progression au fil des pages.

KAKEMAKUMO, KASHIKOKI © RIHITO TAKARAI / MIRYU MASAYA 2012 ORIGINALLY PUBLISHED IN JAPAN IN 2012 BY SHINSHOKAN CO., LTD., TOKYO.S

SIMPLE , EFFICACE ET ÉPURÉ

UN CHARA DESIGN SOIGNÉ

Plus qu’une simple quête Miryu Masaya arrive à nous plonger dans le folklore japonais et dans un monde onirique, heureusement pour le lecteur, de nombreuses notes et explications ont été placées afin de comprendre au mieux les termes japonais employés et les différentes divinités. De plus, l’auteur a essentiellement misée sur de la comédie de situation, permettant une lecture fluide sans casser le rythme, ni l’avancée de l’histoire. Ici on va droit au but et c’est ce qui fait aussi le charme de Bride of The Fox Spirit , c’est simple , efficace et épuré. Par ailleurs, telle une fable nous avons même droit à une morale ; «quand on renonce avant d’avoir commencé cela ne donne rien de bon», (enfin si je peux avoir comme mari un esprit renard en étant défaitiste, je veux bien être une usop N°2)

Avec Rihito Takara, le dessin ne pouvait qu’être bon et c’est sans surprises qu’il ne décevra pas les fans du genre. Un charadesign soigné et des personnages masculins et féminins aux traits fins. De plus, les expressions et les sentiments sont très bien retranscrits. Nous regretterons cependant que la plupart des fonds ne soient pas travaillés, il y a énormément de cases blanches alors que le thème abordé laissait envisager un travail plus soigné pour le décor. En somme, Bride of The Fox Spirit est une très belle surprise dans le catalogue Taifu ! Un shojo simple qui plongera bon nombre d’entre vous dans un monde onirique où la comédie et la romance sont reines ! Forever

TO TAKARAI / MIRYU MASAYA 2012 ORIGINALLY PUBLISHED IN JAPAN IN 2012 BY SHINSHOKAN CO., LTD., TOKYO.S

YUYU HAKUSHO

COUP DE COEUR DU STAFF

Yusuke Urameshi est une voyou qui aime beaucoup la bagarre. Un jour, il meurt en sauvant un petit garçon d’un accident de voiture. Mais voilà, sa mort n’était pas prévue, car même le Tout-Puissant ne pensait pas qu’un tel voyou aurait un geste de compassion. On lui propose alors la possibilité de ressusciter s’il réussit certaines épreuves. Il s’en retrouve doté de pouvoirs qu’il mettra au service du bien en tant que détective de l’au-delà. Ainsi commence Yuyu Hakusho… Volumes : 19 (terminé) Genres : Aventure - Fantastique Auteurs : TOGASHI Yoshihiro Editeur : Kana

ONLINE THE COMIC

COUP DE COEUR DU STAFF

Volumes : 2 (en cours) Genres : Historique - Tranche de vie Auteur : AMAGAERU Midori / KYOKA Tsukasa Editeur : Delcourt

©Scénariste AMAGAERU Midori /Illustrateur : KYOKA Tsukasa

Mai Yashiro est une jeune fille qui mène une vie tout à fait ordinaire. Mais son existence bascule le jour où elle reçoit un mystérieux jeu vidéo dans sa boîte aux lettres. Elle va alors être obligée d’affronter en duel des adversaires de plus en plus forts ! Quand l’un des deux joueurs perd une partie, il est condamné à être mutilé ou voir un de ses proches mourir.

MASKED NOISE

COUP DE COEUR DU STAFF

La petite Nino adore chanter. Lorsqu’elle est obligée de se séparer de Momo, son premier amour et de Yuzu, un jeune compositeur, les deux garçons lui font une promesse : ils la retrouveront grâce à sa voix… Depuis ce jour, Nino continue à chanter. Et c’est à son entrée au lycée que leurs chemins se recroisent, entraînant nos trois amis dans le monde de la musique !

COUP DE COEUR DU STAFF

Volumes : 3 (en cours) Genres : Romance - Musique Auteur: FUKUYAMA Ryôko Editeur : Glénat

TAKANE & HANA

Volumes : 2 (en cours) Genres : Romance - Comédie - School Life Auteur : Shiwasu Yuki Licencié : Kazé © Yuki Shiwasu / Hakusensha

Hana, lycéenne de 16 ans, est contrainte de prendre la place de sa sœur lors d’une rencontre arrangée ! Présentée à l’héritier du grand groupe Takaba, le très séduisant Takane Saibara, la jeune fille déchante vite face à son arrogance. N’y tenant plus, elle lui jette ses quatre vérités à la figure, croyant se débarrasser ainsi de lui. Pourtant, dès le lendemain, Takane lui propose un nouveau rendez-vous, à croire qu’il en redemande ! Elle a un sacré caractère… et il aime ça !

ANIME - AVIS

BUNGOU STRAY DOGS Bungou Stray dogs est une adaptation anime du manga d’Asagiri Kafuka et d’Harukawa 35. Licencié en France chez Crunchyroll, l’anime dispose d’une première saison de 12 épisodes, d’un OAV et d’une future seconde saison, sorti tout droit du studio Bones. Chassé de son orphelinat sans aucune explication, Atsushi Nakajima se retrouve à la rue et au bord de la famine. C’est alors qu’il croisera la route d’un duo de détective possédant des aptitudes sortant de l’ordinaire : Des super pouvoirs. Ces détectives font partie d’une agence s’occupant de toutes les affaires trop dangereuses pour la police. Leur enquête du jour consiste à retrouver un tigre mangeur d’homme, tigre qu’à l’air de connaître Atsushi…

i le but de Bungou Stray Dogs était de se démarquer, ce n’était pas par le biais de son scénario : Déjà vu, l’agence de détective avec des super pouvoirs peut faire penser à un certain Hamatora de 2014.

Là où l’anime peut espérer apporter un vent de nouveauté, c’est sûrement du côté des personnages.Chacun représentant un écrivain, leurs pouvoirs sont même inspirés de leurs propres œuvres, et on peut retrouver des références faisant partie intégrante de l’intrigue (L’exemple le plus visible concerne l’écrivain Dazai Osamu, obsédé du suicide, tout comme son personnage).

Kafuka

DES PERSONNALITÉS ET UN SCNÉARIO MAL EXPLOITÉS Cependant, cela n’est pas développé plus que cela, le casting souffre d’une faiblesse de développement, ce qui entraîne un manque d’empathie, et c’est là l’un des plus gros défaut de cette série. L’intrigue, quant à elle, suit un cheminement assez spécial et qui peut s’avérer frustrant ; l’introduction de la trame principale pour ensuite la délaisser afin de s’occuper des petites affaires. Outre que cela entraîne une incohérence globale (pourquoi les antagonistes attendent que l’agence ne soit plus occupée pour agir ?), cela entraîne une précipitation lors des derniers épisodes de cette première saison.

Se présentant comme un seinen, le spectateur peut être déçu de voir que l’anime oscille entre une ambiance sombre et une ambiance comique ; cela crée un effet de rupture ainsi qu’un décalage, empêchant l’immersion totale dans l’univers de Bungou Stray Dogs, tout de même sensé être plus grave à la vue des thèmes abordés (mafia, mort, attentats..).

UN CHARA DESIGN SOIGNÉ MAIS UNE ANIMATION BANALE L’animation n’a rien d’extraordinaire ; de nombreux plans fixes, des scènes d’actions bien animées, mais aussi une réutilisation excessive d’une scène : Régulièrement, le protagoniste aura un même flash-back, apparaissant au moins une fois par épisode, ce qui s’avèrera envahissant et inutile au fur et à mesure. Cependant, le chara design est soigné, ce qui apporte du charme aux personnages. Les graphismes sont beaux également, même si on peut constater tout de même une différence de qualité au fil des épisodes, notamment au niveau des arrières plans. Coté OST rien de transcendant, seul l’opening et quelques pistes peuvent se dégager. Mais de façon général, les différentes musiques collent parfaitement à l’ambiance de la série. Cette première saison aura davantage servie d’introduction à la seconde, le dernier épisode se terminant sur une invitation à la voir cet automne. Malgré ses nombreux défauts, Bungou Stray Dogs vaut le coup d’oeil car la suite s’avère pleine de promesses et devrait surpasser de loin ces 12 premiers épisodes. -

Hirukawa 35

ByOz 19

ANIME - AVIS

©Yoshimasa Hiraike / A-1 Pictures

WORKING!! Working !! est une série pas très connue du grand public et c’est bien dommage ! Cet anime slice of life est composé de 36 épisodes et d’un mini film et tiré du manga du même nom toujours en cours au Japon. La série est produite par A-1 pictures et n’est pour le moment pas disponible chez nos éditeurs français.

’histoire prend place dans un restaurant, le Wagnaria et nous montre le quotidien des gens qui y travaillent. On pourrait se dire «ah ok ...» sauf qu’il n’y a personne de «normal» dans ce restaurant. Entre notre protagoniste, Takanashi Souta, qui est complètement fou des petites choses, Inami Mahiru qui souffre d’androphobie (Peur des hommes), Souma Iroomi qui fait du chantage pour ne pas faire son travail, la chef Todoroki Yachiyo qui porte toujours un katana sur elle, la manager qui ... ne fait rien à part manger sans arrêt et une panoplie de personnages tous autant déjantés les uns que les autres.

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WORKING

WORKING ©Yoshimasa Hiraike / A-1 Pictures

LA FORCE DE L’ANIME : SA SIMPLICITÉ Vous l’aurez compris, la série est une pure comédie. Ne vous attendez donc pas à un Shojo dramatique ni à une quelconque romance. Il y a certes une avancée dans le scénario sur la dernière saison et le film de 40 minutes Lord of Takanashi mais cela reste toujours très simple. «Simple», c’est d’ailleurs la force de l’anime, on s’attache simplement aux personnages, on les suit, on les regarde, on rigole et au final on passe un très bon moment. Le palmarès revient à Yamada Aoi, probablement le personnage le plus drôle et à la fois le plus attachant de la série. UNE ANIMATION & DES OST PLAISANTES Sur le point animation, la série nous offre des dessins haut en couleur. L’animation n’est certes pas du niveau des plus grands animes du moment mais suffit pour ce que la série nous raconte. On peut cependant noter une légère amélioration au fur et à mesure des saisons et du dernier film.

Difficile d’en dire long sur Working ... Parce que c’est simple, c’est frais, c’est drôle et si vous déprimez, ou pas d’ailleurs, c’est une série qui vous permettra de vous sentir mieux. N’y cherchez cependant pas une histoire poussée ou un suspens insoutenable car ce n’est pas ce qu’offre cet anime. Pour tous les amateurs de comédie ou de slice of life à la K-ON ou à la Barakamon, alors n’hésitez pas à aller voir Working!!, qui vous satisfera surement ! Suiguichi

K R O W

O W NG

W G N I RK

G N I K R

G N I K OR

IN K R WO

©Yoshimasa Hiraike / A-1 Pictures

Côté musiques, rien à redire. Les openings représentent tout à fait l’ambiance globale de l’anime. Au niveau des OST, rien de bien grandiose mais tout comme l’animation cela suffit à poser l’ambiance de ce restaurant et des scènes plus ou moins drôle qui nous sont racontés.

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ANIME - AVIS

©Ayumu Watanabe/ A-1 Pictures

ACE ATTORNEY OBJECTION ! Ce mot retentit au travers des salles de procès depuis des années sur les Nintendo DS de tous les pays, et pourtant, depuis avril dernier, on peut l’entendre dans les télévisions japonaises. Cet avocat fringant, défendant les pauvres âmes innocentes durant des procès de meurtre contre des procureurs toujours plus sadiques au fil des épisodes, se voit aujourd’hui réadapté en version animé et licencié en France chez Crunchyroll, pour le plaisir des jeunes avocats en herbe du monde.

otre histoire raconte les aventures de Phoenix Wright (Naruhodō Ryūichi), un nouvel avocat de la défense et employé du célèbre cabinet Fey & Co de Tokyo. Après des années d’études et quelques déboires juridiques, son envie de protéger son prochain lui a permis d’obtenir ce titre très convoité, et c’est au cours de cette première journée au Barreau qu’il va pouvoir prouver ses capacités et défendre ses convictions. Soutenu par sa patronne, Mia Fey (Ayasato Chihiro), une avocate de renom, il va devoir lutter avec les pièces à convictions et les témoignages afin de sauver son ami Paul Defes (Yahari Masashi), accusé d’avoir tué son ancienne petite amie. Mais avec l’apparition d’un témoin affirmant avoir vu Paul le jour du crime et l’accusant, des preuves qui s’amassent contre l’accusé ainsi que le comportement explosif et imprévisible de ce dernier, la tâche de Phoenix sera rude et l’amènera à de nombreuses situations dangereuses où seul son talent et sa croyance en l’innocence de Paul lui permettront de triompher.

Au fil des mois qui suivront cette affaire, Phoenix devra faire face à de nombreux procès dont celui de l’assassinat de son patron, ainsi que la rencontre avec Maya Fey (Ayasato Mayoi), la jeune sœur de Mia qui deviendra l’assistante de Phénix durant les mois qui suivront, et ses confrontations avec Benjamin Hunter (Mitsurugi Reiji) avec qui Phoenix partage un passé commun ...

©Ayumu Watanabe/ A-1 Pictures

ÊTRE AVOCAT, C’EST SOURIRE DU DÉBUT À LA FIN DU PROCÈS ET CE, MÊME SI L’ON EST AU BORD DU GOUFFRE.

ARCHIVES D’UN TÉMOIGNAGE AU COURS DU PROCÈS Ace Attorney, un nom qui m’évoque de nombreux souvenirs, surtout celui de l’achat de ma première DS rien que pour ce jeu (et pour Trauma Center). Ayant découvert cette série lors d’un test de la DS en magasin de jeux vidéo, j’ai donc pu découvrir cet univers (sorti avant la DS sur GBA seulement au Japon) et rapidement m’y intéresser grâce au portage en français des quatre premiers jeux. Et voir aujourd’hui, cette série à succès de Capcom débarquer en version anime m’a très agréablement surpris.

©Ayumu Watanabe/ A-1 Pictures

UN ANIME QUI PARLERA AUX NÉOPHYTES COMME AUX FANS Au niveau de la direction artistique, les personnages sont plutôt bien réussis (même si j’ai l’impression que Mia à un peu trop forcé sur le gloss :p) et qu’ils soient des protagonistes ou antagonistes, ils restent tous attachants avec leur humour, leur sarcasmes et leur crises (même si j’avoue que j’ai toujours du mal à me digérer Redd White, mais les personnes connaissant la série me comprendront). Accroché par une musique qui sait rester sobre et offrant des thèmes fidèles aux jeux console, Gyakuten Saiban passe aujourd’hui de jeu vidéo à succès, à animé bien rythmé et prenant. L’anime s’adresse ainsi aux néophytes comme aux fans de la première heure ! Castile

©Ayumu Watanabe/ A-1 Pictures

Malgré le fait de connaître toutes les affaires actuelles du jeu (hormis Spirit of Justice sorti pour l’instant uniquement au Japon), découvrir les personnages en version anime, leur célèbres mimiques, les doublages aussi bons en japonais qu’en sous-titré est un bon rafraîchissement de cette licence et permet aux gens qui n’ont pas encore ou qui ont du mal avec l’univers de la réflexion, de pouvoir découvrir les aventures de ces personnages sans forcément se creuser la cervelle.

SERVAMP

COUP DE COEUR DU STAFF

Shirota Mahiru, jeune lycéen, recueille un jour un chat noir sans se douter qu’il s’agit en réalité d’un “servamp”, un vampire servant, lequel se révèle être en outre un véritable tire-au-flanc, partisan du moindre effort ! Devenu son maître, le jeune garçon va rapidement se retrouver entraîné dans un conflit entre vampires. Comment nos deux héros vont-ils se sortir de cette délicate situation ?

Episodes : 12 Genres : Action - Comédie - Josei - Surnaturel Studio d’animation : Brain’s Base, Platinum Vision Licencié : Wakanim

COUP DE COEUR DU STAFF

SHINGEKI NO BAHAMUT

Il y a 2000 ans, un dragon géant surnommé « Bahamut » menaça le monde. Mettant de côté leurs différends, les humains, les dieux et les démons scellèrent son pouvoir et divisèrent la clé du sceau en deux, confiant une moitié aux dieux et l’autre aux démons. Vivant dans un monde en paix, une humaine va bousculer cet équilibre en volant la partie laissée aux dieux. Mais dans quel but ?

Episodes : 12 Genres : Magie - Medieval - Combat Studio d’animation : Mappa Licencié : Wakanim

FUKIGEN NO MONONOKEAN

COUP DE COEUR DU STAFF

Hanae Ashiya vient de passer sa première semaine au lycée coincé à l’infirmerie à cause d’un yôkai qui le poursuivait. Il finit par demander de l’aide à Haruitsuki Abeno, le propriétaire du Mononokean, un petit salon de thé. Ce dernier est justement maître mononoké, un exorciste aidant les esprits égarés dans notre monde à retrouver leur chemin...

Episodes : 13 Genres : Ecole - Yokai Studio d’animation : Pierrot Plus Licencié : Crunchyroll

©Wazawa Kiri / Pierrot Plus - Yomiuri Telecasting Corporation (YTV)

COUP DE COEUR DU STAFF

©Wazawa Kiri / Pierrot Plus - Yomiuri Telecasting Corporation (YTV)

AMANCHU!

C’est le dernier jour des vacances de printemps ! Hikari en profite pour faire un peu de plongée, sa grande passion. Le vent du large, un soleil éblouissant, la mer à perte de vue lui font oublier que le lendemain, c’est la rentrée… C’est le moment que choisit Futaba, qui vient d’emménager sur l’île, pour garer son scooter face à la plage. Ce que les deux jeunes filles ne savent pas encore, c’est qu’elles seront ensemble au lycée le lendemain… et que la plongée va les réunir !

Episodes : 13 Genres : Ecole - Comédie - Sport Studio d’animation : J.C Staff Licencié : /

©Amano Kozue / J.C. Staff

ANIME - AVIS

ASSASSINATION CLASSROOM Assassination Classroom a connu un très bel accueil en France et au Japon, l’animé est actuellement licencié chez ADN, tandis que le manga se trouve dans le catalogue de Kana. C’est sans surprise que cette licence a eu droit à son adaptation en film live !

uite à la destruction partielle de la Lune, un étrange personnage apparaît. Grand, jaune, muni de tentacules et affichant un grand sourire si particulier ; on le nomme Koro-sensei. Après avoir discuté avec le gouvernement, qui n’arrive pas à se débarrasser de lui, il propose la chose suivante : il veut devenir professeur principal de la classe 3-E du collègue Kunugigaoka et affirme que si les élèves n arrivent pas à le tuer alors il détruira la Terre. Forcé d’accepter, c’est comme cela qu’il devient professeur principal de la classe 3-E, classe qui recueille les plus mauvais élèves du collège, au point où leur salle de cours se situe à l’écart du bâtiment principal, dans les montagnes voisines. Après leur rencontre avec Koro-sensei, ils apprennent qu’ils n’ont que 6 mois pour réussir à le tuer. Et c’est sans plus attendre que leur entraînement commence et que les tentatives d’assassinats s’accumulent.

UNE BONNE ADAPTATION ET DES EFFETS SPÉCIAUX DE QUALITÉS Adapté du célèbre manga Assassination Classroom de Yūsei Matsui, ce live action est un bon film qui reprend le scénario original, changeant parfois le décor afin d’éviter de trop grandes difficultés de tournages. On aurait pu redouter que l’intégralité du manga soit adaptée dans ce film ayant pour conséquence qu’il y ait énormément de scènes intéressantes qui soient supprimées. Mais étonnement, le film s’arrête relativement tôt par rapport à l’intégralité du manga, permettant de mettre en scène la majorité des moments clés de l’histoire. Un très gros point positif dans cette adaptation réside dans la qualité des effets spéciaux, il est rare que cela soit aussi bien réalisé sans tomber dans le cliché t(quelques exceptions tout de même, telle que la scène de chute de Karma face à Koro-sensei).

Au niveau du casting principal, on retrouve le très talentueux Suda Masaki (High School Debut (2011), Shinigami-kun (2014) ) dans le rôle de Karma, qui, dû au fait qu’il fait souvent l’école buissonnière, se retrouve dans peu de scènes qui restent marquantes par son jeu d’acteur. C’est Yamada Ryosuke qui interprète Nagisa. Il est bon dans le rôle, mais le personnage qu’il interprète est fade et a l’air totalement perdu face aux différentes situations. Même s’il n’apparaît pas physiquement, Ninomiya Kazunari (GANTZ) qui joue Koro-sensei a fait un travail de doublage fabuleux en transmettant avec talent le charisme particulier de notre personnage préféré.

Un petit bémol tout de même par rapport aux entraînements qui ne sont pas du tout assez présents dans le film, ce qui nous empêche de prendre conscience des capacités que chaque élève possède. Malgré cela, les scènes de combats sont assez bien réalisées et ce grâce aux effets spéciaux et au jeu d’acteurs ; il faut quand même souligner qu’elles sont abrégées par rapport à celles du manga mais cela reste très léger. En résumé, un film assez typique dans son genre : une classe avec des élèves turbulents en échec scolaire qui vont devoir travailler ensemble pour arriver à leur but malgré les nombreux obstacles, cependant Koro-sensei apporte la touche extravagante qu’on ne voit qu’au Japon. Eloïse

ByOz 27

DRAMA - AVIS

VAMPIRE HEAVEN Vampire Heaven ou le Paradis des Vampires est un drama japonais datant de 2013. Réalisé et écrit par Seta Natsuki , celui-ci nous plonge dans un univers dramatique, romantique, baroque et déjanté.

’histoire tourne autour de deux jeunes filles, Sakurako (Aya Oomasa) et sa meilleure amie Komachi ( Tsubasa Honda). Étant toutes les deux des vampires, elle vivent dans un monde inconnu des humains. Malheureusement, après avoir violé un tabou , les deux jeunes filles se font poursuivre par un comte (Sasai Eisuke) qui est égoïste et imbu de lui-même. Afin de s’échapper des griffes de ce baron diabolique, elles vont se retrouver dans le monde des humains. Elles vont devoir s’adapter, se trouver un logement, un emploi dans un café dans lequel elles vont rencontrer le charmant musicien Hayato (Yuta Hiraoka). Sakurako tombe éperdument amoureuse de cet homme, ceci étant dit, elles ne sont rien d’autre que des vampires, pour survivre elles ont besoin de sang...

Sakurako devra lutter contre son désir et sa soif de sang. Komachi quant à elle, verra naître petit à petit des sentiments envers ce même jeune homme. Leur seul remède afin de résister à ces pulsions est de jouer de la musique. Cependant, l’envie se fait de plus en plus importante à mesure que les sentiments grandissent.

Arriveront-elles à garder secrète leur vraie nature ? Quelle sera la réaction de Sakurako lorsqu’elle va découvrir les sentiments naissants de sa meilleure amie ? Arriveront-elles à se sortir des griffes de ce baron ?

UN DRAMA QUITTE OU DOUBLE

UN JEU D’ACTEUR KITCH ET SURJOUÉ

Vampire Heaven est un drama qu’il ne faut pas prendre Comme dit plus haut, il ne faut pas s’attendre à grand au sérieux, c’est soit on aime soit on déteste, c’est chose de ce drama, il y a quelques scènes loufoques, quitte ou double. notamment le côté arcade/jeux lors des scènes de combats, ou bien les effets de lumière plus que L’ouverture de la série est très originale, on peut passables dès le début du drama. apercevoir un livre s’ouvrir et un dessin animé se lance pour ensuite défiler sur les scènes du drama, une De plus le jeu des acteurs est.... vraiment pas terrible, voix off accompagne ce début en nous plongeant c’est surjoué, c’est kitch et ce n’est pas sans rappeler directement dans l’action à la façon d’un conte. Vampire Host ! A croire que les japonais ne sont pas très doués avec le thème des vampires pour les Enfin vient l’opening réalisé par le groupe d’idole dramas. «Shiritsu Ebisu Chuugaku» n’est pas si mal à condition d’aimer la Jpop. De plus n’hésitez pas aller voir le clip Petit clin d’œil aux Gothic Lolita, qui seront réjouies qui fait totalement référence à nos vampirettes. des tenues des deux jeunes filles. Attention ! défilé à en faire palir H Naoto. Natsumi

Oomasa Aya interprète Sakurako zer Beat) (Paradise Kiss, Kamen Teacher, Buz

Hiraoka incarne Hayato (Tokyo Friend, Ataru, Daisuki!! )

machi ans le rôle Ko d sa a b su T a Hond onbi, Piece...) (GTO 2012, T

NOBUNAGA CONCERTO

COUP DE COEUR DU STAFF À la suite d’un étrange phénomène, Saburo est projeté dans l’ère Sengoku (une époque située entre le XVe et le XVIe siècle). Il rencontre un jeune homme malade, un certain Oda Nobunaga, amené à devenir l’un des plus grands seigneurs de guerre du Japon. N’ayant pas la force d’assumer cette fonction, Nobunaga demande à Saburo de le remplacer, d’autant que tous les deux se ressemblent d’une façon troublante. Avec ses connaissances du monde moderne, Saburo parviendra-t-il à unifier le pays ? Episodes : 11 Genres : Samouraïs - Voyage temporel Acteurs : Oguri Shun - Shibasaki Kou Mukai Osamu - Yamada Takayuki Licencié : Crunchyroll

COUP DE COEUR DU STAFF

Une fille d’une petite ville de province, jouée par Otsuka Ai, se rend à Tokyo à la poursuite de ses rêves. Elle y sera engagée comme serveuse dans un bar où elle se fera de nouveaux amis. Elle y fera également la connaissance des Survival Company, un groupe de rock amateur rêvant de succès. Ce drama se concentre sur Ai et ses amies, leur amitié et leurs problèmes respectifs.

Episodes : 5 Genres : Romance - Musique Acteurs : Otsuka Ai - Eita - Matsumoto Rio

TOKYO FRIENDS

BLUE SPRING RIDE

COUP DE COEUR DU STAFF Izawa Riiko est une jeune fille pure qui croit en l’amour mais elle tombe toujours amoureuse du mauvais garçon... Kronos Heaven, un constructeur de robot va la choisir pour tester leur nouveau robot qui correspondrait à l’homme parfait et dévoué selon les critères de Riiko. Au début, Riiko ne le considère que comme un appareil ménager qu’elle nomme Night. Mais lorsque qu’elle voit la dévotion de celui-ci pour elle, Riiko s’aperçoit qu’elle est tombé amoureuse de lui. A tout cela s’ajoute Asamoto Soshi, le boss de Riiko, qui alimentera le triangle amoureux. Episodes : 1 (film live) Genres : Romance - Ecole Acteurs : Honda Tsubasa - Higashide Masahiro

COUP DE COEUR DU STAFF

KAMEN TEACHER

Gota Araki commence à travailler dans un nouveau lycée. Il est affecté à la célèbre classe 2-C comme leur professeur principal. La classe 2-C contient le plus de délinquants qui sont violents et qui n’ont aucun respect pour l’autorité. Gota Araki devient rapidement acclimaté avec les élèves au cours de sa première journée. Il est battu par ses élèves, mais il ne se défend pas. Gota Araki veut percer les dures carapaces de ses élèves, mais il découvre bientôt que les élèves sont plus blessés que ce qu’il pouvait imaginer. Gota Araki se tourne alors vers son masque. Pourra t-il réussir son challenge ? Episodes : 12 Genres : Action - Ecole Acteurs : Yamada Shintaro - Fujigaya Taisuke

JAPON - GOODIES & FIGURINES

GOODIES & FIGURINES Figurine Hestia ~ 180 € / http://goodsmileshop.com Avec la sortie du second tome de Dan Machi en France, il était impensable de passer à côté de cette superbe figurine d’Hesita !

Ronflex 35 cm 20,26 € / www.ninoma.com Avec la folie Pokémon du moment, nous étions obligés de vous proposer ce mega ronflex ! Parfait pour les petites siestes !

Mug Dreamland 12,50 € / www.dreamlandshop.com/

Découvrez les héros de Dreamland dans de superbes mugs. Soutenez la French Touch ! 34

Nendo REM (Re Zero ) ~42 € / http://goodsmileshop.com

Artbook COCOA Fujiwara ~29.50€ / www.cdjapan.co.jp ArtBook regroupant plus de 360 de ses illustrations. A noter, qu’il s’agit d’une édition à titre posthume, l’auteure étant décédée en 2015 des suites d’une longue maladie.

Découvrez notre petite ogresse REM de 10 cm de la série Re:Zero kara Hajimeru Isekai Seikatsu en version nendo !

Figurine ODIN - Final Fantasy XIV ~135 € // square-enix-boutique.com Figurine non articulée (enfin!) proposée par Square Enix illustrant Odin de FF14. Dimensions : H 290 mm X 100 mm X 170 mm Obtention d’un code promo pour avoir une emote dans le jeu

Edition Collector Limitée : Valkyrie Drive : Bhikkhuni Liberator 69,99 € / ricedigital.fr Le coffret comprends : Le jeu sur PlayStation Vita - 8 superbes Art Cards - Une skin case pour PlayStation Vita - La Bande-Son Officielle sur CD - Le Valkyrie Drive: Bhikkhuni Artbook - Un magnifique fourreau dont le desing a été conçu par Takaki-san HIMSELF *-* !! 35

JAPON - CULTURE

http://alcatraz-er.net

ALCATRAZ E.R Un petit journal de bord de nos différents voyages au Japon ça vous tente ? Aujourd’hui nous allons nous focus sur un izakaya incontournable à Shibuya... l’Alcatraz ! Une ambiance déjantée et parfois malsaine, c’est ce que vous réserve cet endroit pour le moins atypique, basé sur le thème d’un hopitâl de prison.

lles nt ni de be ra u a t s ré e ien de salle d e prison b n d ra le g u e ll d e t c ans is une Ici poin n mettre d ssées ! ma ie re b i d o n u ie q b e ée. D tables e salle priv m m o e! c e d cra l’ambianc

Un service irréprochable ! Non je déconn e! Les serveuses sont là pour mettre l’ambian ce en petite tenue d’infirmière, elles propos ent plusieurs animations à table plus ou mo ins glauques voire trash (sexe). Un jeu de rôle adapté au lieu en somme.

Vous reprendrez bien un pe u de foie ? Les plats commandés sont bien en tendu adaptés au thème et pfiou, quelle im agination ! (ici une omelette).) Si vous souhait ez avoir un aperçu la carte est disponible sur le site de l’alcatraz

? Les e petite soif n U ! s n n n n paille .. Braiiiin e tête, et à la n Braaaaains.. u s n a d is nt serv it ! cocktails so s’il vous pla ble :D tous ensem r e u q in tr e pose d Je vous pro

leur ouiiii Un peu de cou ne u... En plus d’u le b y rr cu e rb llement Avec un supe lats étaient rée p s le , le a in g z! ri esthétique o d’y aller fonce té ili ib ss o p la z ave bons ! Si vous

Malgré ce que l’on po urrait croir plutôt bon e, l’ambian enfant et le ce est personnel n’hésite pa rigoler ave sà s le Si vous ave z un peu d s clients. e chance v même par o ticiper à l’e vent du pri us pourrez sonnier év adé !

JAPON - CUISINE

PORC TONKATSU Bonjour à tous ! Aujourd’hui direction une recette simple et rapide qui ravira les petits commes les grands ! je parle bien entendu du Tonkatsu !

ING RE DIE NT S TO NK AT SU

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Escalopes de porc 2 œufs Farine Panko (chapelure) Huile Sauce Tonkatsu Riz

1. Première étape, préparez vos préparations. Positionnez la farine, le Panko (ou chapelure), et vos oeufs (préalablement battus) dans des récipients séparés.

2. Aplatissez votre viande, et imbibez la de farine.

5. Faite attention, le panko et l’oeuf collent vraiment aux doigts, je vous conseils de préparer toutes vos viandes avant de passer par le panko

3. Passez la ensuite dans les oeufs, attrapez la viande par un bout afin de la badigeoner au maximum. 6 . Astuce pour savoir si votre huile est bien chaude. Placez vos baguettes au centre, si des petites bulles s’échappent c’est que c’est bon ! sinon laissez chauffer

4. Dernière étape, placez votre viande dans le panko afin de bien l’enrober, n’hésitez pas à faire plusieurs aller-retour.

7. Passez à la friture.

25,rue sainte 13001 Marseille

8. Concernant la sauce, vous pouvez la faire vous même ou tout simplement l’acheter en supermarché. Nous avons optés pour la seconde solution. Placez ensuite votre sauce sur votre porc.

9. Normallement le Tonkatsu s’accompagne de légumes, notament du choux, nous avons plutôt optez pour du riz (comment ça on aime pas les légumes >.<?).

10. Pour que votre riz soit bien cuit et gluant, voici une astuce qui marche à tout les coups. Remplissez votre casserole afin de couvrir votre riz et rajoutez l’équivalent de 1 doigt d’eau supplémentaire !

11. Couvrez et laissez cuir à feu doux.Dès que c’est bon n’hésitez pas à rajouter de la sauce Tonkatsu par dessus votre riz aussi ! un vrai régale

A 33 ans, Christophe Caïola décide d’ouvrir la première crêperie japonaise de Marseille. L’idée de ce restaurant atypique est venue de l’association de son expérience de 4 ans dans une crêperie bretonne et de sa passion pour la cuisine et la culture japonaise.

Pour que son projet prenne vie, il a été aidé par un chef originaire d’Hiroshima: NORIAKI Shimbara, spécialisé dans les «Okonomiyaki» (crêpe japonaise) et formé dans une école prestigieuse de cuisine d’ Osaka.

Tout d’abord, n’hésitez pas à lavez plusieurs fois votre riz afin qu’il devienne bien blanc

Forever 39

JEU VIDEO - AVIS

JOURNEY TO KREISIA La 3DS continue d’accueillir de nombreux jeux de rôle, dont une large partie sait introduire les codes datant d’il y a plus de 20 ans, dans la modernité. Kemco nous l’a justement prouvé plusieurs fois et espère bien perdurer avec Journey to Kreisia.

lors qu’en bon sale geek Yusis, lycéen de 17 ans, comptait zapper ses devoirs pour aller s’encanailler avec ses amis à la salle d’arcade, le destin en a décidé autrement. Notre héros se retrouvant enveloppé par une puissante lumière et transporté au sein de Kreisia. Un monde alternatif, où se mêlent la réalité comme nous pouvons la connaître et un univers tout ce qu’il y a de plus fantastique. Cependant, notre jeune ami pense qu’il s’agit d’un rêve, mais il devra bien vite faire face à ce qui l’attend : sauver cet endroit, car c’est dans ce but qu’il a été invoqué et est donc arrivé ici. La menace venant elle d’Orzand, vil personnage qui n’est autre que l’incarnation de l’Overlord réapparaissant à chaque décennie, afin de semer chaos et désolation.

Yusis ne sera toutefois pas seul afin d’atteindre cet objectif, puisqu’il sera notamment accompagné de Cynthia Klaus. Elle est en revanche en-dessous de 17, car elle n’a que 15 ans, mais cela ne l’empêche point de ne pas avoir la langue dans sa poche. Dès les débuts de Journey to Kreisia, elle doit clairement avoir repéré que le jeune homme est un geek, puisqu’elle le traite de «pervers» L’histoire s’avère très drôle malgré le marasme ambiant et parsemée de rencontres avec d’autres personnages assez charismatiques. On prend donc plaisir à la suivre, néanmoins l’intégralité des textes est en anglais, ce qui n’empêche en rien l’avancée dans l’aventure, mais évidemment la compréhension du scénario n’en sera pas la même si vous saisissez ou non les dialogues.

IL A UNE BELLE ORBE Tout en délivrant une saveur à l’ancienne de par son approche des affrontements au tour par tour, Journey to Kreisia n’en propose pas moins moult particularités le rendant assez original. Premièrement, lors d’une bataille sont proposés 8 grands choix d’actions : attaquer, utiliser un objet, brûler, se servir d’une capacité spéciale, défendre, changer la formation, fuir et enfin laisser le déroulement procéder de manière semi-automatique. Bien sûr, les possibilités changeront selon votre équipement et à force de dures luttes, votre escadron évoluera et deviendra plus efficace. Cependant, en face l’affaire se corsera continuellement et, au-delà des niveaux que vos héroïnes et héros gagneront, il sera nécessaire d’associer des orbes à vos parties d’armures pour être rapide mais aussi résistant, ainsi qu’à vos armes afin d’en obtenir de plus dévastatrices. Il sera même envisageable de fusionner des orbes entre elles, de quoi voir en résulter une plus puissante, toujours dans le but qu’elle ne fasse plus qu’une avec votre équipement.

JEU VIDEO - AVIS

VOYAGE VOYAGE Journey to Kreisia dispose d’une vue et de graphismes changeant du tout au tout selon la situation. En l’occurrence, ceux utilisés lors de l’exploration de la ville ou de n’importe où ailleurs, reprendront les codes des cartouches de RPG 8 et 16 bits, avec cette 2D nous offrant un large plan en contre-plongée, avec des personnages plutôt mignons et de tailles réduites. Ces phases comportent également de nombreux échanges textuels, permettant de se régaler des divers artworks, nous laissant voir davantage de détails sur les protagonistes. La plupart s’avérant aussi charismatiques de par leur caractère, que par leurs traits. Finalement celui qui l’est le moins physiquement c’est tout bonnement notre héros Yusis. En revanche, son côté geek un peu gauche le rend tout de même attachant, il ne figure pas vraiment dans le stéréotype du personnage principal d’un jeu de rôle, avec la prétention d’un un sauveur... Alors qu’il s’agit bel et bien de la tâche qui lui incombe. On découvre un tout autre aspect en passant en mode combat, avec une vue latérale voyant se faire face les ennemis et nous-mêmes, quoi qu’ils sont persuadés que l’ennemi c’est nous... On bénéficie alors de sprites assez grands, nous permettant de découvrir les protagonistes des deux bords de la tête aux pieds, enfin nous ignorons si les blobs ont réellement des pieds ou s’il faut employer un autre terme. Les détails sont là et l’on apprécie particulièrement de voir tout ce petit monde sous cette forme. Les attaques s’en retrouvent donc elles aussi d’un intérêt supérieur visuellement parlant. On n’en finit plus d’accueillir de superbes jeux de rôle, alors que l’on entend encore des «spécialistes» dire qu’aucun RPG ne sort et a forttiori surtout en Europe. On leur conseille de se pencher sur Journey to Kreisia, mêlant un système de jeu à plusieurs embranchements et une histoire prête à les tenir pendant des heures et des heures. Inod

Développeur : Exe-Create Editeur : Kemco Genre : RPG Support : 3DS Date de sortie : En France, 14/7/16

JEU VIDEO - AVIS

FAIRY FENCER F: ADVENT DARK FORCE Fairy Fencer F tout court, sorti au Japon en 2013 et en septembre 2014 en Europe sur PS3, avait été une très bonne surprise, puisque tout de même une nouvelle licence, ce qui n’est plus si courant. Sa réussite lui permet aujourd’hui de se voir gratifié d’une nouvelle version pour la génération d’après, en l’occurrence Fairy Fencer F: Advent Dark Force sur PlayStation 4.

FÉE-MOI UNE HISTOIRE

l y a fort, fort longtemps, dans une gala... euh non, ce n’est pas la bonne licence. On se retrouve effectivement il y a bien longtemps, dans un monde voyant s’affronter la Déesse et le Dieu maléfique. Aucun des deux n’arrivant à prendre le pas sur l’autre, ils fomentèrent chacun de leur côté un plan leur faisant réunir moult armes enrichies de leur puissance divine et comportant la force vitale d’une fée. Cette doublette n’arrivant toujours pas à se départager, elles finirent par se sceller l’une et l’autre dans l’immense inconnu. Une rumeur court à propos de ces armes nommées Furies, comme quoi quiconque en découvre une pourra faire exaucer l’un de ses souhaits. Dans le but de toutes les attraper, les Fencers, guerriers employant les Furies, se livrent bataille depuis des années. Le jeune Fang en trouva lui une enfoncée au sein d’une pierre, devenant du coup lui-même un Fencer. Il fit rapidement par la suite connaissance de Tiara, s’avérant être rien de moins qu’une Fencer. Cette rencontre changera alors le destin de notre héros, désormais au centre de ce conflit.

Si vous avez connu le FFF de base, vous vous dîtes que rien ne change, cependant Compile Heart s’est en réalité avéré très actif au niveau des ajouts concernant l’histoire. En effet, Fairy Fencer F : Advent Dark Force délivre deux embranchements scénaristiques supplémentaires, plus précisément celui de la Déesse malveillante et celui du Dieu maléfique. Avec d’énormes changements narratifs ou encore de relations entre les personnages, selon la voie choisie, soit des nouveautés importantes, amenant au passage une incroyable rejouabilité, puisque l’on aura de quoi faire afin de découvrir chaque chemin une fois l’un terminé.

FAIRY PLAYING GAME Fairy Fencer F: Advent Dark Force propose les deux phases d’un RPG plus ou moins classique, à savoir l’exploration permettant notamment d’aller discuter avec les protagonistes croisés et cela s’avèrera très important, tant le logiciel exploite grandement les liens tissés. Cela offrira également l’occasion de dénicher des objets cachés dans d’autres à briser, mais aussi d’aller à la rencontre d’ennemis ou bien de les éviter. Si toutefois vous décidez de les affronter, voire si vous n’avez pas le choix, vous passerez alors en phase de combat au tour par tour. Le terrain y reste vaste et l’on peut ainsi se déplacer par rapport à l’adversaire ou aux adversaires, mais également en fonction du terrain. On bénéficie en sus d’une certaine originalité de par la possibilité d’utiliser jusqu’à 6 personnages dans les batailles, un chiffre très rare, là où la plupart des softs du genre se limitent à 3. Les héroïnes et héros ont évidemment l’occasion d’employer attaques normales, objets servant aussi bien à se soigner qu’à affaiblir l’opposition ou encore lancer des offensives spéciales. En enchainant les coups, aussi bien donnés que reçus, une jauge se remplira et quand celle-ci aura atteint son maximum, vous pourrez enclencher le mode fury. Ce dernier transformant votre fée sélectionnée et lui octroyant des pouvoirs accrus. Ce à quoi l’on se doit d’ajouter la possibilité d’effectuer des combos époustouflants, délivrant une richesse rarement vue dans le genre.

JEU VIDEO - AVIS

FÉE DU LOGIS En arrivant sur PS4, Fairy Fencer F: Advent Dark Force bénéficie d’un bon coup de plumeau par rapport à la version originelle sortie sur PS3. Même si cette dernière datant d’il y a quelques années, dégageait déjà un immense charme au niveau visuel. Comme généralement chez les jeux de rôle, les phases d’exploration ne paient pas de mine, mais dès que l’on passe aux affrontements on a droit à de sacrés moments. Les multiples attaques spéciales pour chaque personnage et autres transformations des fées feront exploser nos yeux de plaisir, de par un tas d’effets ultra dynamiques et colorés du meilleur effet, n’ayant rien à envier aux animes devenus charismatiques grâce à ce type d’évènements. Tous les éléments graphiques s’avèrent en plus galvanisés par la bande-originale, oscillant entre des ambiances assez variées en fond sonore et du rock aussi dévastateur que parfois un peu plus pop, mais toujours aussi énergique. On retrouve en particulier au niveau des artistes : Matsunaga Maho de StylipS, Watanabe Kazuhiro, Isoe Toshimichi, Itou Hiromu, ChouCho, Vertueux et bien sûr les éminemment réputés Earthbound Papas, groupe constitué d’Uematsu Nobuo, d’Okamiya Michio, Narita Tsutomu, Hirota Yoshitaka et Hanyuda Arata. Davantage qu’une simple version améliorée, Fairy Fencer F: Advent Dark Force délivre un nombre important de nouveautés, au sein d’un jeu qui était déjà d’un très haut niveau, tant dans son système, que dans ses graphismes. De quoi convaincre celles et ceux qui ne s’étaient pas penchés vers FFF sur PS3 et même les joueuses et joueuses l’ayant acquis, notamment grâce à sa nouvelle démesure scénaristique. Inod

Développeur : Compile Heart Editeur : Idea Factory International Genre : RPG Support : PS4 Date de sortie : En France, 29/7/16

JEU VIDEO - AVIS

THE KING OF FIGHTERS XIV Dans la dure lutte des jeux de baston, The King of Fighters reste l’une des licences les plus fortes et plus marquantes. Il est donc peu de dire que The King of Fighters XIV était attendu par les aficionados et peut-être désormais au moins autant des autres, surtout de par son arrivée dès à présent sur PS4, là où KOF possède toujours cette identité de salle d’arcades.

JE SAIGNE ENKYORE

n revenant en plein combat entre différentes licences de versus fighting, SNK Playmore ne pouvait que délivrer du lourd au travers de The King of Fighters XIV s’il voulait pouvoir s’en sortir. Dans ce but a été privilégié le fameux 3 contre 3 de la franchise, avec la constitution d’équipes équilibrées, où figurent des protagonistes apportant chacun ses particularités, le tout au sein d’un tas de façons de se battre et bien sûr pas seulement trois. Précisons que nous ne sommes néanmoins pas limités au 3 vs 3 et que l’on pourra tout aussi bien se mettre sur la figure en un contre un.

Afin de les constituer, les développeurs ont vu les choses en grand et il s’agit là du premier grand point fort du logiciel. Alors que ses concurrents s’avèrent de plus en plus rachitiques, avec seulement quelques personnages jouables de base, puis la possibilité d’en payer à coté si l’on veut commencer à bénéficier d’un casting intéressant, The KOF XIV en jette directement cinquante dans la bataille et oui, rien de moins ! On relèvera également le gros coup de fraîcheur apporté, puisque déjà qu’en face les autres softs mettent peu de combattant(e)s à disposition, celles et ceux inédits sont encore plus rares. Ce n’est pas le cas ici, car l’on dénote 19 nouvelles entités. Un nombre astronomique, surtout que l’on a l’habitude de voir ailleurs moins de monde tout court dans le line-up, alors quasiment une vingtaine de fighters neuves et neufs, ça met un bon uppercut au milieu vidéoludique actuel.

KOF FAIRE DANS CE JEU ? On a pu constater qu’au niveau du roster, The King of Fighters XIV éclatit ses adversaires directs. Cependant, ça ne s’arrête pas là car il apporte également ce que l’on demande constamment au niveau des modes de jeu. Des spécificités pourtant absentes chez la majorité de la concurrence et cela a plus que jamais été reproché à ces logiciels non complets, non finis et même plus exactement vides. Ici, on retrouve un mode histoire comme on le désire à chaque fois. Bien sûr on enchaine les affrontements, mais avec en sus un véritable enrobage scénaristique pour les multiples triplettes, avec des cinématiques afin d’illustrer la narration. Un ajout qui ne sera pas sans titiller les déçus de pléthore de versus fighting, ayant du mal à se contenter de quelques artworks agrémentés de sous-titres.

On est donc déjà satisfait en découvrant sa présence, en sachant qu’il est en plus idéal afin de découvrir un peu tous les personnages et donc d’apprendre à les contrôler et de dénicher ainsi ses favori(te)s pour la suite, surtout lors de de parties en multijoueur.

Plus originaux, les défis demandant de réussir tel, puis tel combo, avec une évolution évidente puisque partant du plus simple, pour arriver au cinquième et ultime mouvement, s’avérant le plus compliqué. Pas besoin de s’éterniser sur le tutoriel, vous comprenez sans aucun mal de quoi il en retourne. Sachez tout de même qu’il est on ne peut plus complet et se trouve être vraiment intéressant pour quiconque souhaite progresser et apprendre les rouages de ce KOF, là où les entrainements des logiciels de baston déçoivent souvent. Concernant le multijoueur, tout est là, aussi bien en local qu’en ligne, ce qui devient de plus en rare de pouvoir se mesurer face à ses potes et ennemis sur la même console, peu importe le style du jeu, et mérite donc d’être souligné. On aura donc l’opportunité de prendre part à des matchs avec ou sans incidence sur le classement, s’y adonner seul face à une autre personne ou bien par équipe, s’entrainer en ligne ce qui est plutôt intéressant, mais également visionner des combats. En ce temps où les jeux vidéo sont devenus un programme cartonnant sur différentes plateformes en ligne, tant pour simplement regarder, qu’avec l’objectif d’améliorer ses propres compétences en y découvrant diverses techniques et autres, cette feature devrait remporter un sacré succès.

Et même si l’on explose déjà de cette manière le contenu de beaucoup de ses adversaires, cela s’avère loin d’être terminé. On retrouve des segments classiques de la baston avec le contre-la-montre et la survie, avec ces fameux enchainements d’opposant(e)s à vaincre.

JEU VIDEO - AVIS

Dans l’approche du système de jeu, The KOF XIV a beau amener du frais, il n’en rebutera pas pour autant les habitués de la franchise. L’approche restant celle de ce que l’on peut connaitre de sa série principale, avec cette particularité du combat en 2D, comprenant trois phases de saut allant du plus petit au plus grand, ses roulades, ses attaques percutantes et combos énormes sur lesquels on passera du temps à en apprendre un maximum, ainsi que l’efficacité de tel protagoniste sur tel autre... Enfin pas nécessairement, puisque la touche carré offrira l’occasion de sortir ce genre de coups titanesques très facilement. Cela s’avère toujours sympathique pour des affrontements où l’on décide de s’amuser davantage que lors de parties acharnées et techniques. Mais c’est surtout un point primordial pour les néophytes, pouvant ainsi réaliser ces phases spectaculaires sans aucun problème. Pas de quoi s’inquiéter toutefois pour les plus aguerri(e)s, étant donné que cela sera loin d’assurer une victoire, de par le danger pris comme il faudra s’approcher et pas qu’un peu de son adversaire. De quoi bien se faire contrer à chaque fois face à un(e) habitué(e). KOF, KOF, KOF Ils étaient nombreux à toussoter en voyant les premières images à la modélisation en 3D des versions en cours de travaux de The King of Fighters XIV. Et oui, SNK Playmore avait eu l’honnête idée de montrer de vraies vidéos et non de gros fakes sur des PC surpuissants, afin de leurrer le public & la presse. Malheureusement, cette dernière continue encore et toujours à se faire berner et, même une fois les jeux sortis, elle «oublie» de faire part aux acheteuses et acheteurs qu’une grosse arnaque se profile, pour au final acquérir tout un tas de logiciels tous plus décevants les uns que les autres, aussi bien visuellement que dans la jouabilité. Avec ce KOF, on a remarqué au fur et à mesure ses progrès techniques, pour désormais se retrouver avec des graphismes plus que jamais que corrects, avec ses bons côtés, certains un peu moins selon les goûts,comme l’aspect lisse des visages. On se régale en revanche lors des attaques spéciales, toutes plus impressionnantes les unes que les autres. Et surtout, le game system et le gameplay sont au top et c’est bien cela que l’on demande à un JV. 50

Au niveau sonore, on se retrouve dans la bonne tranche du versus fighting, avec un sound design et des thèmes très bons. Concernant ces derniers, on n’en a pour le moment retenu aucun ultra emblématique, mais finalement en a-t-on déniché un depuis les cartouches 16 bits ? C’est l’histoire à suivre qui fera tout sur.ce point Critiqué par des personnes bien-pensantes qui n’avaient pourtant même pas touché le jeu, The King of Fighters XIV s’avère tout bonnement une grande réussite dans tout ce qu’il propose : sa jouabilité, sa profondeur, son riche contenu.... Déjà indispensable pour qui a envie d’’un logiciel de baston. Inod

Développeur : SNK Playmore Éditeur : Deep Silver Genre : Combat Support : PS4 Date de sortie : En France, 26/8/16

COSPLAY - TUTORIEL

QUEUE JUDY

ZOOTOPIE

Dans ce nouveau tutoriel, nous nous lançons à la conquête de zootopie, avec la queue du personnage principal, Judy ! Vous pouvez retrouver le tutoriel pour les oreilles sur notre site. On remercie la cosplayeuse LUKA qui a bien voulu nous partager ses tutoriels.

MATÉ RIE LS

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Fourrure grise Fourrure blanche De la mousse ou du rembourrage Fil de fer Colle chaude

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Promarkers (gris chaud, noir) Petite plaque en fer trouée ( Leroy Merlin, 70 cents)

ETAPE 1 : LA DÉCOUPE Découper une première pièce en fourrure grise, en forme de «cerf volant». Les deux arretes superieures sont plus courtes ( 8 cm environ) que les arretes inferieures (10 cm environ) On découpe aussi une pièce de fourrure blanche, en forme de losange cette fois ci, avec des arretes égales, de 10 cm environ. Elle est un peu plus grande que la pièce grise. //mesures sur l’image

ETAPE 2: LA PIÈCE INFERIEURE

ETAPE 3 : L’ASSEMBLAGE

On prend la piece blanche, et on incise au niveau des pointillés verts. Le but est d’ensuite coudre vers l’interieur sur les pointillés rouges: on obtient une forme incurvée, qui sera le bas de la queue.

Les arretes qui ont été modifiées sont maintenant plus courtes: il faut les assembler aux cotés les plus cours de la pièce grise en cousant. On peut le faire à la machine ou à la main. On colle un bout de fil de fer au niveau des deux arretes superieures, le plus compliqué sera ensuite de retourner la queue.

ETAPE 4 : MISE EN FORME La queue est retournée, on peut coudre la moitié des arretes inferieures, mais on n’oublie pas de rambourrer la queue pour lui donner du volume et du moelleux! On peut enfin tout fermer, en laissant les fils de fer dépasser.

ETAPE 5: LA COLORATION Je l’ai fait au feeling, de la même manière que pour les oreilles, je colore par petites touches avec le promarker gris chaud, en frottant avec les doigts pour donner un effet plus naturel, ainsi que differentes nuances au gris de la queue. Avec le noir je donne aussi des petites touches et des nuances que j’estompe avec les doigts sur la fourrure

ETAPE 6 : L’ARMATURE DANS LE PANTALON La plaque en fer va donc servir à tenir la queue sur le pantalon (exprès pour Judy car il sera sacrifié si on utilise cette attache). On pose un point de colle sur la plaque pour la fixer dans le pantalon. On troue le pantalon au niveau des trous de la plaque, et maintenant les fils de fer de la queue peuvent passer et venir s’attacher entre eux. Surtout on serre bien! Le fil de fer va permettre de donner la forme à la queue et la remonter comme celle de Judy! RETROUVEZ LUKA SUR :

INTERVIEW - COSPLAY

AYUMI LAURIE

COSPLAY

La Grotte de Karas

arle ? y ça vous p la p s o C ie r Ayumi Lau ette terviewé c in jà é d s n vio site ! al ! Nous a s sur notre n a 2 C’est norm ’a y il layeuse jeune cosp w te intervie n e d é c é r p uver sa Pour retro r ici :) cliquez pa

Salut Laurie, les lectrices & lecteurs doivent déjà te connaître, peux-tu néanmoins te présenter brièvement ? Bonjour, je suis une cosplayeuse française depuis bientôt 2 ans. Je fabrique les cosplays de personnages de mangas qui me plaisent et également du jeu League of Legends. Je suis une grande fan de gore/horreur/seinen mais je touche également à d’autres domaines tels que l’ecchi et le magical girl avec Lux Star guardian. Je suis également fan de certains personnages notamment de Lux de League of Legends ou encore Yuno de Mirai Nikki et Sora de Yosuga no sora. Quelles-sont les différences entre ton approche des prémices du travail d’un costume à l’époque et maintenant ? Je choisis maintenant bien mieux quel matériel serait le plus adapté grâce à l’expérience ! Je le choisis maintenant en fonction de ce que je veux faire, et de son prix, lequel remplira l’enjeu qualité/prix ahah. Ça me remplit de joie quand je pense que l’année prochaine je les choisirai encore mieux que maintenant Mais également, je fais beaucoup plus de schémas de ce que je souhaite faire. Ça m’aide vraiment à visualiser ce que j’ai besoin de faire. Je réalise aussi beaucoup de « listes» pour aller chercher ou commander mon matériel. Avant j’y allais beaucoup plus en improvisation ahah !

La Grotte de Karas

Un peu plus d’un an d’écoulé depuis le précédent entretien et celui-ci, j’imagine que tu as beaucoup évolué dans plusieurs domaines. Ton approche du cosplay, a-t-elle changé notamment en ce qui concerne le choix des personnages ?

As-tu découvert de nouvelles techniques ayant révolutionné ta manière de procéder ?

Oh que oui ! Le worbla, malgré son prix très élevé, il en vaut la peine (pas pour tout évidement, mais pour certaines pièces/objets.) Je me suis lancée dans la Effectivement, mon choix des personnages a un peu confection de Gemmes et c’est vraiment simple ! Je ne évolué depuis. À présent il m’arrive de réfléchir au regrette pas, la résine donne vraiment un rendu sympa succès du personnage que je choisirai. Par exemple, pour certains costumes qui en ont besoin, comme je serai plus motivée à me lancer dans la réalisation Zelda par exemple. de Rengar de League of Legends dont le personnage est connu, l’armure est badass tout en restant plus ou J’ai aussi appris à me servir du DIP étanche et du gesso, moins sexy, ce qui me procurera un certain «succès» vernis/colle qui font de très bonnes sous couches/ assuré. Mais cela ne m’empêche pas de toujours bases pour les armures, et aussi de finitions pour le choisir des personnages que j’adore, tels que Sora de vernis. Yosuga no sora que j’ai porté à Japan Expo Paris cette année. Je n’ai jamais eu si peu de « succès « auprès des Le fil de fer me sauve beaucoup la vie en ce moment, visiteurs et même des photographes ahah ! que ce soit pour les pièces d’armures ou pour l’armature d’une queue de chat, etc... Ce que je surnomme « succès » est le mouvement que mon costume réalisera en convention : quand les Au niveau de la peinture, le brossage à sec pour faire gens s’arrêtent pour vous demander des photos, idem des ombrages sur les pièces d’armures ou armes qui pour les photographes, le regard des gens sur votre rend la pièce bien plus vivante, bien plus usée, bien costume, etc... plus jolie. J’ai enfin réussi à donner un effet de vraies éclaboussures de sang sur ma peau ou mes pièces En convention, j’aime vraiment que l’on me reconnaisse d’armures. en tant que cosplayeuse, et en tant que personnage que j’incarne. J’ai de plus en plus envie de me lancer Mais l’obtention de ma machine à coudre est devenue dans la réalisation de costumes qui susciteront essentielle pour la suite de mes costumes, cela me fait l’étonnement et le « wow « des gens, en convention, gagner du temps, et c’est bien moins pénible. comme ailleurs.

INTERVIEW - COSPLAY

Et progressé dans certains domaines ?

Tu m’avais confié ton envie de concevoir de nouvelles versions de certains personnages. Est-ce toujours le cas &, si oui, quels cosplays as-tu réalisé en ce sens depuis ?

Je pense avoir progressé dans la réalisation d’armes et armures, mais c’est aussi la partie cosplay que je préfère ahah. J’ai bien mieux appris à manipuler la mousse : le tapis de sol, la créamousse, l’EVA, je pense m’être Oui, j’ai effectivement donné vie à une deuxième Junko améliorée au niveau de la manipulation. Enoshima, dont le costume et mon roleplay ne me plaisait pas. J’ai alors refait les barrettes dans les cheveux, Je pense aussi sincèrement avoir évolué dans le roleplay changé de chaussures, mis une nouvelle jupe, j’ai refait des personnages, en convention et sur photos. Mais je une cravate et un nœud rouge, de nouvelles lentilles. Je le travaille encore beaucoup ahah. suis bien plus satisfaite de ce costume que de mon premier. Je crois m’être améliorée au niveau de la stylisation de wigs et de la couture. Mais c’est normal, je pense Fan de Lux que je suis, j’ai également fait une nouvelle vraiment que le cosplay est une pratique qui ne sera version du personnage, ayant fait Lux au Skin Classique, jamais acquise à 100% un jour, on en apprend de chaque j’ai aussi réalisé le costume de Lux Gardienne des étoiles costume et c’est vraiment ce qui me plaît. que j’adore. Je ne pense pas m’arrêter là, Lux étant mon personnage préféré, j’en suis tellement fan, que j’espère réaliser le plus de versions sur Lux possible. Mais pour l’instant, je me concentre sur d’autres projets. Mais Lux sorcière, Lux voleuse de sorts, Lux de la légion d’acier, rts PM ForeverA sont des costumes auxquels je pense fréquemment. En ce qui concerne Lux Impériale et Lux commando, je ne pense pas les faire, les costumes ne me plaisent pas du tout, bien que ce soit Lux. J’aime aussi beaucoup Yuno Gasai, peut-être qu’un jour je réaliserai la version étudiante. s La Grotte de Kara

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Idem concernant l’identité trouble que tu apprécies chez certains personnages : angélique & sanglante ? J’aime effectivement les personnages aux identités troubles. C’est pourquoi j’ai refait des shoots de Yuno hors convention et c’est pourquoi j’ai complètement refait mon cosplay de Junko. Néanmoins, avec le nombre de cosplays que j’ai fait en ce sens, tels que Yuno Gasai, Lucy (Nyuu), Sachiko Shinozaki, Junko Enoshima, je pense en avoir (malheureusement) fait le tour. Je me souviens quand même de l’animé Higurahi no naku koro ni que j’avais adoré... Peut-être me lancerai-je dans la confection d’un costume de la fille à la hache, Rena Ryugu que j’avais adoré. J’avais également adoré Saeko Busujima de Highschool of the dead, une fille qui prend du plaisir à tuer. Pourquoi pas, votre interview m’y fait y repenser et m’en donne envie (rires).

D’ailleurs en tant que lectrice de DeadTube que tu es, certains filles de ce manga pourraient te donner des idées car elles ont tendance à posséder cette double facette. Est-ce planifié ? J’ai adoré DeadTube, mais le manga n’a sorti qu’un tome pour l’instant. Je voudrai les lire tous et me faire une réelle idée de ce manga. De même, je préfère faire des costumes de personnages d’animés. Prions alors pour qu’il sorte en animé ahah. D’autres projets en vue ? Cosplays, vidéos, tutos, concours... ? Bien sûr ! Zelda de Twilight Princess en duo avec mon chéri qui sera en Link est toujours d’actualité. Néanmoins, après avoir fini Rengar et Zelda, qui sont deux très gros projets et certainement mes plus gros projets en date, je n’ai pas encore d’idées concrètes quant aux cosplays qui les suivront.

Peut-être un jour, si je trouve un animé sanglant avec un personnage à double identité qui me plait vraiment, Je pense également de plus en plus aux concours, peutcar j’aime beaucoup ces cosplays, ce sont certainement être un jour, avec mon Rengar. Mais j’aimerais, pour ceux que j’aime le plus ! mon premier concours, être accompagnée. L’idéal serait de faire mon premier concours en Zelda en compagnie de mon chéri, en Link.

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Je pense aussi à faire des vidéos tutos sur Youtube. Et également à des streams. Malheureusement pour les streams, je n’ai pas la connexion Internet ni le matériel adéquat. Peut-être un jour ahah.

Merci à vous, je remercie tous les lecteurs de cet article, et surtout toutes les personnes qui me suivent et m’encouragent dans mon parcours de cosplayeuse, cela me donne beaucoup de force et de courage. Je vous remercie vraiment vous aussi, pour ces deux articles qui me sont dédiés, cela me fait très plaisir !

Retrouvez Laurie en convention : Lyon Hanabi Japan Touch Lyon e-Sport Japan Touch Haru

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Interview par Inod 57

INTERVIEW - COSPLAY

NORIO

Lescargotgraphe

HESTIA LULU Découvrez la réaction de Hestia en vidéo en apprenant qu’elle fera la couverture du magazine. Héstia est une jeune cosplayeuse niçoise que nous avons rencontrés lors de notre shooting organisé à Japan Expo Paris. Salut Hestia Lulu, commençons basiquement avec une présentation de toi-même, ainsi que de ton activité de cosplayeuse.

D’ailleurs, comment s’est déroulée cette séance avec notre photographe Forever ?

C’était mon premier shooting avec elle, mais ça Bonjour, ici Hestia des Miss Cosplayeuses. Nous fait longtemps que j’admire ses photos. Quand venons de Nice et nous débutons tout juste dans on a vu son invitation à faire un shooting on a l’art du cosplay. Notre but est de toucher à tous sauté sur l’occasion ! Et l’expérience était vraiment les univers, jeux, films et mangas confondus (avec extraordinaire, déjà sur place, mais aussi après un petit penchant pour Square Enix). On a un peu quand on a reçu nos jolies photos ! plus de 20 ans et pas beaucoup de costumes à notre actif mais de nombreuses heures écoulées Je craignais le résultat, parce qu’à vrai dire j’ai eu à chaque conception. On a eu le plaisir de se faire une mésaventure pas très sympathique à cette remarquer par Yatta Fanzine lors de la dernière JE. Comme certains le savent déjà, ce jour-là j’ai Japan Expo, et je suis heureuse de me prêter à cet développé une infection de l’œil droit suite à une interview aujourd’hui pour parler un peu de mon bactérie dans ma lentille... donc un joli ulcère de la parcours. cornée, plutôt douloureux qui m’empêchait tout contact avec la lumière… pour un shooting photo en extérieur c’est pas l’idéal ! Heureusement elle a compris mes difficultés à ouvrir les yeux et me les a fait fermer le temps du cadrage pour les ouvrir juste au bon moment, Mais je n’aurais raté ce shooting pour rien au monde ! J’ai malheureusement dû me passer de cosplay le dimanche pour rester dans le noir complet, mais je garde quand même un très bon souvenir de cette convention.

Revenons-en à ta vie de cosplayeuse, de quelle Comment vis-tu cette passion ? Est-ce juste pour manière cette envie de te lancer dans ce milieu est t’amuser, participer aux concours, voire les deux ? Et venue ? bien sûr pourquoi ? Avec ma sœur Azuka T’chi, on est bercées par les mangas et les jeux depuis toujours, et depuis le collège environ on a pu regarder des vidéos de cosplayeurs. Ça paraissait génial mais inaccessible, je ne pensais vraiment pas qu’on en ferait vraiment un jour. Le déclic est venu après notre première convention, Japan Expo Sud. C’était une grande claque ! Impossible après ça de retourner à une convention en touriste, il fallait qu’on goûte au cosplay ! L’année suivante, on s’est jetées à l’eau. Même si l’idée de faire un cosplay me paraissait à moi trop difficile, Azuka s’est lancée dans son premier costume et m’a motivée à la suivre. On s’y est pris un peu tard (1 semaine avant) mais on a pu finir dans les temps (après une bonne nuit blanche) nos deux premières créations Yuna et Lulu de Final Fantasy X. PM ForeverArts

Je vis cette passion entremêlée à mon quotidien, mon travail, ma famille et tout le reste. Donc je n’ai que peu de temps à réserver au cosplay. À dire vrai c’est la détente qui me plaît le plus, qui me permet de m’évader un peu, qui permet de défouler sa créativité. C’est une activité qui oblige à faire marcher son imagination, à être patient et très minutieux. Tout ce qu’il faut pour se vider la tête après une dure journée ! (bien sûr c’est le cas en temps de confection « normale », les périodes de rush sont beaucoup plus apocalyptiques et moins reposantes). Alors non ce n’est pas du tout pour les concours, je n’en ai même jamais fait. Je l’ai envisagé une fois pour le Mangame mais rien ne s’est concrétisé. Ce n’est vraiment pas cette vision du cosplayeur qui m’attire. J’adore le fait d’incarner un personnage que les gens reconnaissent peut-être et de les voir sourire en me félicitant, quel plaisir ! Quand je repense à notre premier cosplay en convention, Yuna et Lulu, on était tellement enthousiastes qu’on ne faisait que sourire ! Autant dire que ça ne collait pas du tout à mon personnage, mais on était tellement éblouies de cet univers, cette communauté de passionnés qu’on ne pouvait pas faire autrement ! Dès le deuxième costume, toujours Final Fantasy mais cette fois Serah et Lightning, on a découvert une autre facette, celle de « devenir » le personnage. Chercher à se rapprocher de ses expressions, ses mimiques, sa démarche... d’un coup le cosplay prend une tout autre forme ! C’est encore plus fascinant, même si c’est parfois dur de pas sourire, le résultat n’en est que meilleur. Et que dire de cette joie de retrouver des cosplayeurs qu’on connaît à chaque nouvelle convention ! Les conventions deviennent un petit monde dans un autre, une bulle dès qu’on en passe la porte (et les contrôles de sécurité).

Sirius Shashin Photography

Choisis-tu tes cosplays en fonction des costumes en eux-mêmes ou bien n’es-tu intéressée que par des personnages que tu adores et cela s’avère t-il essentiel pour toi ?

devenu difficile de poursuivre ma passion pour cet art parce qu’il ne collait plus trop avec ma vie privée, et après quelques larmes j’ai décidé d’arrêter, allant jusqu’à jeter mon costume de Lightning... oui oui, à la poubelle, en mille morceaux. Mais quelques mois plus Je choisis des personnages que j’adore, que j’aime tard on a bien compris que de toute façon j’en referai jouer ! Pas de critères bien précis, seulement des forcément un jour, j’aime trop ça ! Donc c’était reparti, coups de cœur. J’aime des personnalités, mais aussi et cette fois à trois avec ma chère Shana Chan. des apparences, des styles. Comme le charisme de Lightning, le style de Morgiana ou la tête de pingouin Mais Japan Expo 2016 arrivant, il fallait que je répare du Roi Dadidou. J’essaye de m’imaginer des couleurs, mon erreur pour accompagner ma Serah et ma Yeul. des textures, des matières et des astuces, que je pourrai J’ai entrepris de recommencer à zéro ma Lightning ! utiliser pour m’en rapprocher, et une fois que cette Que j’ai porté pour ce fameux shooting avec Forever. image est bien ancrée dans ma tête, elle devient un Ce dernier costume n’est pas passé inaperçu au yeux projet vraiment irrésistible. de mon chéri qui a vraiment adoré. Impressionné de ce qu’on pouvait faire avec de la mousse et de la colle. J’y Le cosplay reste une activité divisant souvent ai vu une petite opportunité de le « convertir ». l’entourage de ses pratiquants et justement, je sais que tu planches actuellement sur quelque chose J’ai sauté sur l’occasion, pour lui chercher un pouvant amener une personne qui t’est proche vers personnage de FF XIII-2 qui lui irait bien, et contre toute cet art. Peux-tu nous détailler ce projet ? attente, il a bel et bien flashé ! C’est ainsi que son « hors de question » est devenu un « peut-être », validé à Alors oui c’est une passion qui n’est pas partagée une condition : que je lui fabrique l’épée de ses rêves, par tout mon entourage, notamment pas par mon celle de Caius. fiancé. Même s’il aime les jeux et débute dans l’univers du manga, pour lui les cosplayeurs sont vraiment Le défi est lancé, si l’épée lui plaît il m’accompagnera perdus dans un autre monde et le costume représente à la convention suivante en cosplay !! une dépense «inutile». Il n’aime pas non plus les Patience patience, je la finirai en temps voulu. photos donc forcément le cosplay ne forme pas sa paire. J’ai un petit regret suite à cette discorde, après ma première Japan Expo à Paris l’an dernier, il m’est

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Vous comptez d’ailleurs proposer quelques projets Pour ce qui est de costumes plus « compliqués » j’aimerai en commun plus ou moins prochainement ? qu’on fasse un groupe représentant les invocations de Final Fantasy version humanisée. Un projet qui Notre prochain projet est Zelda, mais pour l’instant c’est nécessite pas mal d’imagination et beaucoup de travail encore en discussion parce que cette année beaucoup je pense... à voir quand cela sera possible. de nouveau dans ma vie privée qui m’oblige à mettre de nouveau un frein au cosplay pour quelques temps, Pourra-t-on bientôt te retrouver lors de conventions en espérant m’y remettre dès janvier. ou d’autres types d’évènements ? Penchons nous concrètement sur tes costumes, Je l’espère oui ! Je n’assiste qu’à 2 ou 3 conventions par que préfères-tu comme matières et quelles sont les an. La prochaine devrait être le Mangame de Fréjus, techniques que tu privilégies et/ou préfères pour puis JE Sud et JE de Paris ! leur fabrication ? Je te remercie Hestia pour cet entretien, désires-tu J’aime le travail de la mousse, la couture ce n’est pas ajouter quelque chose concernant le cosplay et/ou mon fort. Je n’ai jamais testé le worbla à cause du prix, je un message pour nos lectrices et lecteurs ? me débrouille donc toujours avec du tapis de sol et de la créamousse, mes matières favorites ! Beaucoup de Ceux qui veulent se lancer dans le cosplay ne devraient cosplayeurs m’ont d’ailleurs aidée à mieux les utiliser, pas se baser sur des idées reçues qui bloquent. Le les couper pour avoir un résultat plus lisse, les peindre, cosplay est accessible, ce n’est pas trop cher, trop dur, les modeler. Je suis toujours impressionnée par ce que trop beau, on peut toujours trouver des personnages certains arrivent à faire ! Tellement de talents et de qui restent dans notre budget et qu’on peut réaliser techniques que je dois apprendre ! en prenant son temps. Il ne faut pas viser trop haut non plus, très peu atteignent le niveau des « dieux du Des envies, des rêves de costumes ? Que tu cosplay » comme on dit, mais on peut « facilement » considères réalisables ou quasiment pas d’ailleurs. se ranger comme nous trois au niveau « pas mal ». Pas besoin de ressembler au personnage non plus, on peut Beaucoup de personnages me donnent envie... devenir qui on veut. j’envisage de réaliser l’armure de Ganondorf. Et je ne peux m’empêcher de chercher des cosplays de couple Interview par Inod maintenant ! Assez simple pour qu’il accepte, comme RETROUVEZ HESTIA SUR : Yuno et Yuki de Mirrai Nikki, ou Asuna et Kirito de SAO, Misa et Kira de Death Note. Rien d’extraordinaire dans les costumes en eux-mêmes mais ce serait le rêve de partager cette passion à deux. 61

DÃ&#x2030;COUVERTE- PHOTOGRAPHE COSPLAY

LESCARGOTGRAPHE 62

Bonjour aux lecteurs, Xavier Ferrandez, 27 ans, barbu et chauve !

Comment as-tu découvert le monde du cosplay, et qu’est ce qui t’a convaincu de t’investir dans cet univers ?» J’ai découvert le Cosplay lors d’une convention, à la Japan Expo Sud de 2015. Curieux de nature, j’ai vu dans cet univers quelque chose de nouveau qui m’a vraiment intéressé… J’ai senti tout de suite que je pourrai m’exprimer dans ce domaine en apportant quelque chose de différent ! Ce que j’ai fait au fil des conventions... avec des résultats qui me plaisent ! On te voit de plus en plus dans les conventions du sud de la France, quelles sont les principales difficultés que tu y rencontres ? Tout d’abord, Il est toujours difficile d’obtenir les accréditions ! Il n’y a pas de recette pour ça, c’est à la tête du client... puis le simple fait d’avoir du matériel et des accessoires, parfois volumineux, pose des problèmes aux vigilants vigiles qui ne sont pas toujours bien informés et te font perdre un temps précieux ! Trouver un emplacement acceptable pour faire les photos, face à des cosplayers qui n’osent pas aller vers les photographes, ne facilite pas le travail... Cependant, j’ai noté qu’ il y a généralement une bonne entente entre les photographes pros et amateurs, ce qui aide en cas de prise de tête !

Comment s’organise et se déroule un shooting avec A partir de là, je sélectionne le matériel dont j’aurai toi hors convention ? (avant, pendant et après) besoin, je me mets en quête des lieux appropriés, et je fais le devis, le travail hors convention a un coût. Pour cela, il faut avoir eu un attrait pour un sujet et «que Si le devis est accepté, on peut fixer la date des prises la rencontre se fasse» ! de vues. Lorsque c’est le cas, je suis à l’écoute et ensemble nous élaborons le projet, une sorte de mise en scène, qui nous amènera au plus près de la réalisation du rêve numérique attendu !

Je propose les poses imprimées ou sur tablette afin de sélectionner ce qui nous amènera au plus près du rendu espéré. Alors peut commencer le post traitement... en voyage vers l’onirique !

Quelle place laisses tu à la retouche ? et jusqu’où peux tu aller ?

En parlant retouche, quels logiciels utilises tu ? as tu une technique qui prime sur les autres ?

La retouche correspond à 20% de mon travail, je considère que l’essentiel d’une photographie se fait à la prise de vue. Pour de gros montages, je peux passer deux à trois heures, je pense en terme de ratio rendu/ rentabilité.

Puisqu’il faut les citer : Lightroom, Photoshop, DXO, Nik Software... même Workflow que j’utilise tous les jours dans mon travail. Je n’ai pas de technique particulière, tous les moyens sont bons pour parvenir à mes fins.

Etant photographe professionnel, tu travailles dans de nombreux milieux, quelle est la principale différence entre des shootings avec modèle cosplay et hors cosplay ? Une photographie est une vision personnelle de son auteur et elle se traduira différemment selon les divers interlocuteurs et leurs attentes . Dans l’univers cosplay, la plupart du temps, on me donne une image de référence et je dois m’en approcher au plus près tout en laissant place à une part de rêve grâce aux retouches qui donnent vie à l’irréel. Par contre, lors d’une séance hors cosplay, ce qui m’intéresse, c’est de mettre en avant une émotion ou une réalité. L’approche est complètement différente. Lors d’une séance, préfères tu avoir un modèle expérimenté qui sait poser de lui même, préfères tu définir les poses ? Les deux me conviennent ; une séance photo se passe bien quand les deux parties se sentent en confiance. Si le modèle est plus à l’aise en n’étant pas guidé, je le laisse faire, j’ajuste au besoin pour un meilleur rendu d’image. En revanche, s’il désire être guidé, je peux être plus directif en m’inspirant de poses en rapport avec l’équipement ou l’allure du personnage.

Quel conseil pourrais tu donner à un cosplayer lors des shootings ? Avoir des idées de poses pour son personnage afin de l’habiter. Bien avoir en tête le rendu final de ce que l’on veut obtenir, ce vers quoi on veut aller, l’impression que l’on veut donner ! Et une chose capitale ; rester soi même... imprimer sa propre personnalité en incarnant le personnage que l’on veut faire vivre. Vous êtes de plus en plus de photographes pros comme amateurs dans le milieu du cosplay, comment se passe la cohabitation et l’échange entre vous ? Amicale avec certains, cordiale avec d’autres. Le fait d’être photographe ne change pas le fait que nous sommes tous humains, et j aime à croire que même si certains, comme moi, sont là dans un but commercial/ prospect mais aussi passionné, cela n’empêche en rien une entraide, une amitié. Cela permet également d’élargir sa vision autant au niveau professionnel qu’au niveau de l’ouverture d’esprit.

Avec qui aimerais- tu travailler? Bien sûr, j’ai déjà eu la chance de travailler avec certains cosplayers que j’admirais... ce n’est qu’un commencement. J’ai du pain sur ma planche ! Les personnes avec lesquelles j’aimerais travailler sont nombreuses autant en France qu’à l’étranger ! Voici quelques noms qui, je crois, vous parlerons : KayBear Cosplay, Shinrajunkie, Okageo, Miyuki Cosplay, Orriix Cosplay, Keiko’s Cosplay, Aenor cosplay, Aokiji Cosplay Aikata cosplay, Miloki Cosplay, Shoko and Jérôme Cosplay, Luka Costume Artist.... et pour finir Pugoffka ! Interview par Forever Merci à Xavier pour son temps RETROUVEZ XAVIER SUR :

MODE - NAIL ART

NAIL ART - PASTÈQUE Le nail art kawaii qui nous rappelle un peu les vacances d’été, original et idéal pour la rentrée ! Facile à réaliser, vous n’avez pas besoin de beaucoup de matériel !

VOUS AUREZ BESOIN DE : - Base - Vernis rouge - Vernis vert foncé & vert clair - Vernis noir (simple, mat, métallisé ou à paillettes, comme vous préférez) - Vernis blanc - Vernis transparent - Dotting tool

ETAPE 1 : APPLIQUEZ LA BASE

ETAPE 2 : LE BLANC

Commencez par appliquer la base puis appliquez le rouge sur tous vos ongles.

Appliquez ensuite du blanc sur l’entièreté des bords de chaque ongle.

ETAPE 4 : RAYURES

ETAPE 3 : LE VERT CLAIR Puis appliquez du vert clair par-dessus le blanc pour ne laisser qu’une fine ligne blanche.

Avec votre dotting tool faites de petits traits avec le vernis vert foncé.

ETAPE 5 : LES PEPINS Finissez en appliquant de petits points noirs avec votre dotting tool, pour les pépins. Puis appliquez votre vernis transparent pour terminer. Si vous reproduisez ce tutoriel, n’hésitez pas à me le montrer, soit sur notre page Facebook soit sur Instagram en utilisant le tag #PastequeYatta ou en nous taguant sur votre photo (@yattafanzine). Rému Horaires : du Mardi au Samedi 10h30 -19h30 14 000 mangas en stock, 9000 références. -5% sur le prix editeur en neuf Goodies & Gunpla (maquette) 24 machines à Gashapons

RACHAT ET VENTE DE MANGAS D’OCCASIONS 7 rue de la clef à lille à 2 min a pied de la grand place, à 5min de la gare lille flandres 67

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