Musée Albert Kahn, conception scénographique et production des dispositifs audiovisuels

Conception et suivi de réalisation de la scénographie et prestations associées et conception-production des dispositifs audiovisuels et multimedia du parcours de visite permanent et de la librairie-boutique d’Albert-Kahn – musée et jardin départementaux

Groupement Zen+dCo Opixido 8’18“ Pentagon Adequat

Conception et suivi de réalisation de la scénographie et prestations associées et conception-production des dispositifs audiovisuels et multimedia du parcours de visite permanent et de la librairie-boutique d’Albert Kahn – musée et jardin départementaux

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Point № 1 Les partis-pris scénographiques reposent sur un principe de filtres, un jeu sur les différents plans : profondeur, décomposition. ① L’architecture constitue un premier filtre : les lames situées sur le plafond induisent un sens de la circulation. ② Transition douce, sans coupure entre l’aménagement scénographique et l’architecture : continuité dans le traitement des matériaux. ③ Pas de rupture entre le bâtiment principal et les bâtiments « satellites » : continuité des matériaux, un travail sur le rapport intérieur / extérieur et intérieur / intérieur en conservant un maximum de fluidité avec des propositions marquantes, fortes.

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Un traitement graphique et visuel commun aux différents espaces en fonction des typologies des dispositifs. ④ Tous les espaces n’ont pas été détaillés à ce stade.

Cependant nous avons procédé à une répartition spatiale des dispositifs et modules tels que définis dans le programme muséographique sur la totalité des espaces disponibles.

Ainsi les espaces scénographiques montrés prennent en compte l’intégralité du projet. Leur implantation dans le parcours est par conséquent maîtrisé.

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④ Conception et suivi de réalisation de la scénographie et prestations associées et conception-production des dispositifs audiovisuels et multimedia du parcours de visite permanent et de la librairie-boutique d’Albert Kahn – musée et jardin départementaux

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Points № 2, 3 & 5 Donner des repères et des clés de lecture aux visiteurs, guider le visiteur Des repères et clés de lecture sont donnés tout au long du parcours de visite, notamment au sein des dispositifs multimédia et audiovisuels qui créent des passerelles entre les contenus, offrent des mises en contexte et des approfondissements, installent des codes narratifs et graphiques signifiants.

Proposer plusieurs niveaux de lecture Les contenus seront consultables suivant plusieurs niveaux de lecture, allant de la perspective d’ensemble à des approches dédiées plus approfondies. Par exemple, les murs d’images des Archives de la Planète offrent plusieurs niveaux de lecture qui sont à la fois reliés entre eux et consultables séparément.

Croiser les approches, rendre compte de la pluralité des points de vue Plusieurs dispositifs proposent des points de vue croisés, des lectures croisées sur les contenus, en proposant parfois aux visiteurs plusieurs filtres de consultation thématique. On trouve par exemple ces principes dans les dispositifs suivants : « Regards croisés » (approches et usages de la collection des Archives de la Planète), « La réalité du terrain » (personnalités et expériences de 4 opérateurs), « Les jardins au cœur du projet » (double voyage dans les jardins de Cap Martin et de Boulogne), « interviews de jardiniers » (témoignages et techniques horticoles), « Cabinet botanique » (espèces végétales et animales),

Une approche immersive L’aménagement muséographique s’inscrit dans les traces des idées fondatrices du musée-jardin et construit une projection sensible dans l’environnement intérieur et extérieur du jardin. Il s’épanouit suivant les lignes de force spatiales en présence et les déclinaisons de ce qui préexiste.

Le lien ainsi établi avec le visiteur est comme un chuchotement constant, quasi immersif, d’aide à la visite pour installer une rencontre particulière avec les images, les objets, les événements et la vie des opérateurs présentés.

Chaque espace thématique a son identité propre. La Fabrique des images par exemple offre un parcours scénarisé qui emmène les visiteurs dans les coulisses de la production des images : après une accroche visuelle qui offre un aperçu de quelques productions, une mise en perspective géo­ graphique et technique présente le contexte général de production, puis les portraits de 4 opérateurs montrent la diversité de leurs expériences sur le terrain. Au bout du parcours, la présence de deux silhouettes interpellent le visiteur par leur grand format et la minutie de leurs gestuelles : c’est un jeu de silhouettes qui passent, s’arrêtent parfois, manipulent des outils de développement photographique, tendent le bras en l’air pour observer le résultat... La magie de la fabrique.

Les personnages rencontrés au fil du parcours activent l’intérêt du visiteur et favorisent l’identification (biographie d’Albert Kahn, conversation d’Albert Kahn avec son secrétaire, interviews des utilisateurs et amateurs de la collection, focus personnalités des Archives de la Planète, opérateurs en mission dans la Fabrique des images, interviews des jardiniers...).

L’exploration et l’interactivité Plusieurs étapes du parcours proposent une démarche exploratoire, interactive, participative : le visiteur est aussi acteur de son parcours. L’espace Découverte est un point d’orgue de cette ligne directrice. Le jeu comme outil de découverte et de compréhension est le ressort principal des dispositifs de cet espace. Il s’agit tour à tour d’explorer, de manipuler, d’observer, de se mettre en scène, de créer.

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Traitement des images Une variabilité dans les jeux d’échelle qui permet par exemple de rendre compte de la dimension intime de la rencontre de l’autre, telle qu’elle a été vécue par les opérateurs des Archives de la Planète mais aussi de l’échelle planétaire du projet d’Albert Kahn.

Lorsque les images sont parfois présentées dans des ensembles : il s’agit alors de rappeler la profusion des productions mais aussi de montrer la diversité des formats, techniques et procédés utilisés (couleur, noir et blanc, autochromes, films, stéréoscopie, etc.).

Dans les dispositifs audiovisuels et multimédia du parcours, les images fixes seront mises en mouvement pour valoriser les choix des sujets et des points de vue. La maquette animée du dispositif «Roger Dumas au Japon» livrée en annexe de notre offre montre plusieurs exemples d’animation : le mouvement de l’eau devant le Mont Fuji souligne la poésie de la nature captée par Roger Dumas et reconstitue le moment de la prise de vue ; le mouvement créé dans la scène d’escrime japonaise emmène le spectateur dans la dynamique de la gestuelle et de la chorégraphie de la scène, accroche le regard jusque dans la tension du face à face entre les deux tireurs. La granularité des images est assumée, respectée, valorisée, elle souligne la dimension picturale des clichés.

De manière générale, le traitement visuel des animations sera abordé de façon corrélative, selon cinq axes fondamentaux : recherche de l’équilibre, installation d’un rythme, cohérence et harmonie des proportions, gestion des prédominances, unité de style, qualité typographique.

Dans le dispositif «Voyager autour du monde» qui donne à voir ce qu’étaient les séances de projection proposées aux invités d’Albert Kahn, le traitement des images constitutives des diaporamas restitue le rendu des projections de l’époque par rétro-éclairage : rendu «pointilliste», agrandissement de la trame trichrome.

Partis-pris concernant l’utilisation du multimédia sur l’ensemble du parcours Au fil du parcours, le visiteur traverse plusieurs types d’expériences : l’expérience du sens, de l’émotion ressentie, l’expérience de la connaissance, et l’expérience de la conscience, issue de la réflexion personnelle. Les modules proposés sont tour à tour sensoriels, cognitifs, interprétatifs.

L’expérience de visite se nourrit de l’interaction entre ces trois expériences.

Les dispositifs audiovisuels et multimédia répondent à plusieurs objectifs : • Offrir un projet centré sur le visiteur / utilisateur pour un accès facilité à une information scientifique exigeante.

• Proposer une expérience audiovisuelle et multimédia de grande exigence graphique et esthétique.

• Proposer une intégration élégante et harmonieuse des dispositifs dans l’espace muséographique.

• Créer des dispositifs dont la fiabilité technique est avérée.

Les dispositifs audiovisuels et multimédia participent à une expérience de visite signifiante, en lien et en harmonie avec les autres dispositifs des espaces. Ils placent le visiteur au centre, à la fois spectateur et acteur de l’exploration. Ils sont un support de découverte et d’émerveillement, un vecteur de connaissance et d’exploration, offrent des espaces de partage et d’échange.

→ voir annexe 2 : Récapitulatif des dispositifs audiovisuels et multimédia du parcours permanent.

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Points № 4 & 8 Partis-pris graphiques et typographiques Le parti-pris développé pour l’identité graphique consiste à articuler les éléments graphiques (contenus, textes, images, films…) en se servant de la ligne comme d’un « lien visuel ».

Ces lignes, directement inspirées de l’architecture extérieure et intérieure du bâtiment, seront utilisées tant pour créer des espaces de consultation du contenu, des « blocs », que pour créer un parcours visuel, une chronologie, des temps de lecture différents. ①

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conflits et événements internationaux

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INTERNATIONAL CONFLICTS AND EVENTS Caractère de titrage : Fansy (A, B et C)

VOYAGES

sport, people, faits divers

SPORTS, CELEBRITIES AND EVENTS Caractère de texte : FF Mark (Bold et Regular)

UN CARACTÈRE CHOISI POUR SA LISIBILITÉ Lisibilité optimale en texte courant. Sociis natoque penatibus et magnis dis parturient montes, nascetur ridiculus mus. Donec ullamcorper nulla non metus auctor fringilla. Fusce dapibus, tellus ac cursus commodo, tortor mauris condimentum nibh, ut fermentum massa justo sit amet risus.

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ROGER ROGER DUMAS

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Les lignes mettront en relation les contenus, permettront de créer des ponts et des liens entre les iconographies et films du fonds. Elles peuvent également induire une transversalité entre les contenus en « accompagnant » le visionnage et la lecture d’un point à un autre.

En lien graphique direct avec celles-ci, nous avons choisi un caractère de titrage évolutif, le Fansy dessiné par Jörg Schmitt, qui se décline en 3 versions : lettre pleine, semi-filaire et filaire.

Ces variations formelles seront utilisées pour différents niveaux de texte, en fonction des échelles et des types de contenus. En version pleine, l’aspect calligraphique du tracé donne à ce caractère un côté humain, japonisant. En filaire, il prend un aspect plus architectural, plus contemporain, tout en gardant la trace du geste initial. ② Pour l’accompagner sur tous les supports, nous avons choisi un caractère de texte, le FF Mark, dessiné par Hannes von Döhren et Christoph Koeberlin, qui possède une excellente lisibilité aussi bien en grand qu’en petit corps (cartels, textes introductifs…). À l’inverse du caractère de titrage, sa silhouette géométrique véhicule un univers plus rationnel, analytique, proche de l’esthétique «archives». ③ Bien évidemment, à ce stade du projet, le choix des caractères typographiques pourra évoluer si nécessaire.

Place du texte dans les dispositifs Une attention toute particulière sera accordée à la hiérarchisation des textes, afin de séquencer, temporaliser, et structurer la lecture des contenus pour permettre aussi bien une lecture sélective qu’approfondie (textes de présentation, contenus annexes, cartels, légendage,…). ④ Afin d’assurer la cohérence visuelle des contenus présentés, les principes graphiques et typographiques décrits se prêtent aussi bien aux supports physiques que multimédia.

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Point № 9 Partis-pris d’éclairage Le système d’éclairage nuance la transparence des parois : variation / gradation de la lumière.

Proposition de remonter l’éclairage par des accroches plus hautes par rapport à ce qui est proposé dans le grill technique d’origine.

Principes d’éclairage salle Archives de la planète.

La gradation « active » proposée pour cette scénographie permet de mettre en scène les objets exposés, lorsque différents plans de lecture utilisant la transparence sont installés. Un premier plan éclairé va attirer le regard du spectateur et faire disparaître un second plan peu éclairé, à contrario si le premier plan s’estompe et que nous valorisons par la lumière le second plan, le regard du spectateur va se porter sur celui-ci. Ce jeu simple lié aux transparences apporte une dynamique et permet de mettre en dialogue les objets et photos exposées. Le jeu des transparences est renforcé par ce principe et permet d’appréhender l’espace par une compréhension globale de l’environnement, le regard n’étant plus « bloqué » par des cimaises opaques. L’immersion du visiteur est renforcée par cette mise en dialogue des œuvres.

Ce système doit être réservé à quelques éléments du parcours, mais en aucun cas s’appliquer à l’ensemble des œuvres présentées.

La position des projecteurs actuellement proposés n’apporte pas la dimension « magique » de la lumière. Le fait de voir le matériel, de sentir l’origine de la lumière, ne permet pas au regard de s’affranchir de l’aspect technique. Nous proposons de conserver le système d’alimentation prévu (rail Halfen) pour la connectique des appareils, mais de déporter les appareils d’éclairage dans l’espace généré par les lames de plafond. Le principe architectural développé par l’agence Kuma offre la possibilité de masquer les appareils, sans impacter sur la structure du plafond. Il s’agira donc de repositionner quelques rails supports qui recevront l’ensemble des projecteurs actuellement provisionnés dans le cadre du projet architectural.

Un test sera réalisé avant toute décision, il s’agit ici d’un objectif de confort visuel à atteindre, qui devra être privilégié pour certains espaces majeurs.

Principes d’éclairage salle Fabrique des images.

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Point № 10 Plan de répartition entre « Archives de la Planète » et section introductive Albert Kahn Lors de notre entretien nous avons confirmé l’emprise spatiale de la scénographie consacrée aux Archives de la planète.

L’importance est donnée à la fluidité : il s’agit de dédier cet espace aux 4 thématiques en privilégiant le regard croisé {vision contemporaine) et les espaces différenciés (supports d’interprétation permettant au public de s’identifier).

La section introductive consacrée à Albert Kahn est traitée avec une mise à profit du linéaire offert par les gradins, le long de la galerie qui mènent à la salle Archives de la Planète.

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BIOGRAPHIE

MUR D’IMAGES REGARDS CROISÉS (SONORES)

ALBERT KAHN + «FLEUVE D’IMAGES» PORTRAIT CHINOIS AUTRES FONDATIONS PÔLE SONORE

T2

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FOCUS PERSONNALITÉS + PHOTOS & FILMS

Conception et suivi de réalisation de la scénographie et prestations associées et conception-production des dispositifs audiovisuels et multimedia du parcours de visite permanent et de la librairie-boutique d’Albert Kahn – musée et jardin départementaux

Cette section comprend les portraits chinois sur les thématiques chères à Albert Kahn, sur support numérique non sonore au nombre de 10 unités, réparties le long de la Galerie de part et d’autre de la porte d’accès aux espaces permanents.

Nous proposons de fusionner ce thème avec celui intitulé « Fleuve d’images », évocateur des voyages effectués par les opérateurs et ainsi de faire évoluer le concept initial de « portrait chinois ». La répartition sur 10 écrans disséminés sur les gradins assure la continuité et la profusion visuelles tout en gardant une fluidité à cette zone d’entrée dans le parcours permanent.

Deux pôles sonores, biographie d’Albert Kahn (programme durée environ 5‘.) et les autres Fondations (programme durée environ 1’30“) permettront d’utiliser également les gradins comme zone d’assises.

L’espace est utilisé dans une amplitude d’ergonomie de visite diversifiée et la posture du visiteur subit des variations propices à retenir son attention.

Le thème « réseau social » sera traité de manière graphique et en volume (sculpture) dans la continuité de cette zone.

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Points № 11 & 12 Logiques d’articulation et traitement singularisé de chaque thématique Nous confirmons proposer un traitement spécifique de chaque espace : volumes traités en lames de bois évoquant un objet lié à la thématique (relief pour la géographie, appareil photo pour l’actualité, nuage pour le voyage ...). ①

①

Le visiteur peut tourner autour de certains modules ou traverser les espaces sur d’autres. ②

Place de la figure de transition Nous confirmons l’importance conférée à la figure de transition : importance donnée à ces passeurs, qui permettent de réactiver l’intérêt et le processus d’identification de la part des visiteurs.

Ce dispositif est traité sous forme de diorama. La distinction entre les différentes thématiques est frappante dans le traitement des Espaces différenciés (EP sur les schémas) qui qualifie la thématique dont chacun dépend.

②

Sur le mur d’images, la distinction est accentuée dans la production des films introductifs et dans les supports graphiques nominaux qui assurent la stabilité des murs de verres écrans / supports.

Dans cette salle, nous jouons sur l’effet de lointain et celui de proximité : une déclinaison de visite dans son intensité plus ou moins intimiste qui se distingue et se singularise dans le détail des accrochages et mises en places des pièces de collection.

Nous voulons activer chez le visiteur le ressort « je découvre par moi-même ».

Ainsi les Espaces Différenciés sont propices à la déambulation du regard ; les murs d’images proposeront une exploration des Fonds, qui est un autre moyen d’appropriation des contenus.

Stimulation et émerveillement sont à la source de l’expérience de visite.

→ voir annexe 3 : Document présenté lors de l’audition du 29 juin 2016

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AUDIOVISUELS NON SONORES

Point № 13 MUR IMAGES Audiovisuel non sonore « Angle d’accroche » + Fonds autochromes + Fonds Films + Titrage structurel

Plan de circulation dans la partie « Les Archives de la Planète » La proposition permet une circulation libre qui repose sur un travail d’organisation autour d’une segmentation des 4 axes thématiques et des 4 figures de transition.

La notion de murs d’images repose sur une superposition de plans permettant de créer une continuité avec l’architecture.

VERRE TEINTÉ PARTIELLEMENT DÉPOLI pour servir d’écran de projection équipé de cadres métalliques (dimensions variables homothétiques à celles d’un format auto­ chrome) pour rotation du Fonds autochrome et d’écrans LCD (3 unités par mur) pour Fonds Films.

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Point № 15 Dans la « Fabrique des images » Chaque opérateur est signifié par une silhouette imprimée et un dispositif multimédia. Approche visuelle commune entre les différents portraits avec une ligne éditoriale spécifique.

Les programmes multimédias mettent en évidence la personnalité des opérateurs dans leur mission et soulignent les compétences techniques mises en œuvre par chacun d’eux.

Perspective Salle La Fabrique des images, doublage façade jardinPerspective par cloisons Salle en verre La Fabrique teinté / des vitrines images, doublage façade jardin par cloisons en verre teinté / vitrines

• la cartographie (grand écran 40’’) • le bagage technique • Alfred Dutertre et le voyage autour du monde • Auguste Léon en Italie • Stéphane Passet en Mongolie • Roger Dumas au Japon A

B

• un multimédia immersif dans le laboratoire photographique • un multimédia immersif dans le laboratoire cinématographique

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tellectuel des opérateurs s

5.25.3 LaLe réalité matériel du terrain scientifique et la cartographie des missions

5.2 La réalité du terrain

ation: Direction scientifique niques de -prise de vue.

Brunhes 12 opérateurs

Alfred Objets: Dutertre et le Voyage autour duAmonde 2 programmes : Auguste d’animation: Léon en Italie : Présentationundes techniques de prise de vue.le contrôle un voyageur CaméraetGaumont photographe amateur technicien photographe sous Chambre Gilles Farmer Film et photo. de Jean Brunhes Boîtes autochromes 1 programme 1 programme d’animation: d’animation: B 1 programme Magasinsd’animation: Présentation opérateur et mission Présentation opérateur et mission Cartogrpahie des missions Boîtes de films négatifs

AlfredStéphane Dutertre et Passet le Voyage en Mongolie autour du: monde : un voyageur un baroudeur et photographe en terre hostile amateur

ion: ions

Huit programmes dans cette salle :

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Pososgrpahe Kaufman kit dvpmt. autochrome Malle opérateur (Vuitton) Registres des comptes Cartes d’état major Guides touristiques

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1 programme 1 programme d’animation: d’animation: Présentation Présentation opérateur opérateur et mission et mission

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Auguste Roger Léon Dumas en Italie au Japon : : un technicien un mondain photographe amoureux sous du pays le contrôle de Jean Brunhes

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1 programme 1 programme d’animation: d’animation: Présentation Présentation opérateur opérateur et mission et mission encadreur portraitiste.

25 juin 1920 rentre à ADLP Photographe des membres de la Société Autour du Monde (petit studio devant un rideau vert) 1926: Le Japon 1927: L’inde 1929: Bretagne avec Camille Sauvageot Cinématogrpahie en couleur avec le procédé Keller-Dorian

Programme Audiovisuel Roger Dumas au Japon

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Les objets sont présentés sous vitrines.

Nous profitons du décalage des cloisons de verre, utilisées comme marquage de l’espace scénographique en supports graphiques, multimédia et filtres de la lumière du jour et la vision sur le Verger et la Roseraie, pour créer des volumes de vitrines.

Au droit de ces volumes le verre est transparent (extra-clair).

Nous profitons des trumeaux entre les baies pour y adosser les de la lumière 5.4 Le traitement des images vitrines de manière à mettre à l’abri 5.4 Le traitement des images du jour les (le laboratoire) (le laboratoire) Stéphane Passet en Mongolie : Roger Dumas au Japon : pièces de collection. un baroudeur en terre hostile

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un mondain amoureux du pays

Les1 programme pans des vitrines autres que frontaux sont légèrement 1 programme2d’animation: programmes d’animation: d’animation: 2 programmes d’animation: Présentation opérateur Traitementetdes mission images: Photo, Film.

Présentation opérateur et mission images:dorée Photo, Film.du nouveau teintés pour faire écho à la maille Traitement d’une des aura bâtiment signé par l’architecte Kengo Kuma.

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encadreur portraitiste.

25 juin 1920 rentre à ADLP Photographe des membres de la Société Autour du Monde (petit studio devant un rideau vert) 1926: Le Japon 1927: L’inde 1929: Bretagne avec Camille Sauvageot Cinématogrpahie en couleur avec le procédé Keller-Dorian

Les mesures de protections préventives prises concernent le soclage des œuvres (primaire et morphologique) ainsi que la régulation hygrométrique à l’intérieur des vitrines par des stations Miniclima.

Programme Programme Audiovisuel Audiovisuel Le traitement Roger Dumas des images au Japon

Programme Audiovisuel Le traitement des images

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Points № 16 & 17 Principes d’utilisation du dispositif « Créateur de paysage » et modalités de mise en œuvre Dispositif central, monumental et non cloisonné. Point de cristallisation visuelle depuis les espaces d’accueil. Élément fort, sculptural qui utilise la trémie sur toute hauteur.

Les principes d’utilisation du dispositif : grill mobile, « manège », manipulable (principe de store à définir).

Fonctionne en lien avec «des viseurs». Mettre le visiteur en situation de prise de vue avec les contraintes du contexte.

Nous confirmons avoir pris en compte les autres dispositifs qui doivent être présents dans ce même espace.

Mobilier espace famille Il est proposé des assises en demi-lune en cuir avec différentes hauteurs qui permet un dialogue entre les visiteurs. Ce mobilier est modulable avec un système de rangement.

→ voir annexe 1 : planning détaillé

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