Dossier de presse Formule-e by Zone Rouge

DOSSIER DE PRESSE

Monaco, 9 Mai 2015

CHAMPIONNAT FIA DE FORMULE E RENAULT AUX AVANT-POSTES D’UNE NOUVELLE ÈRE DU SPORT AUTOMOBILE

Le 13 septembre 2014, le sport automobile entrait dans une nouvelle ère avec la toute première course de FIA de Formule E, organisée en Chine dans les rues de Pékin. Disputé avec des monoplaces électriques de 200 kW (270 ch.), ce championnat s’imposait rapidement comme un support de recherche et de développement pour les véhicules « zéro émission »*. Fortement engagé dans le véhicule électrique avec sa gamme Z.E.**, Renault a apporté son expertise dans la conception de la Spark-Renault SRT_01E, utilisée par les dix écuries engagées dans la compétition. Renault est également le partenaire titre de l’écurie e.dams, créée par Alain Prost et Jean-Paul Driot. Sébastien Buemi et Nicolas Prost sont les pilotes chargés de défendre les couleurs de e.damsRenault sur les dix manches de la première saison du championnat FIA de Formule E. *

Ni CO2 ni autres émissions polluantes réglementées lors des phases de conduite.

** ZOE, Twizy, Kangoo Z.E., Fluence Z.E.

TROIS QUESTIONS À… PATRICE RATTI DIRECTEUR GÉNÉRAL DE RENAULT SPORT TECHNOLOGIES De la Formule 1 aux World Series by Renault, Renault est déjà fortement impliqué en sport automobile. Pour quelles raisons avez-vous choisi de vous investir dans le championnat FIA de Formule E ? « Notre présence dans de multiples compétitions justifie à elle seule notre intérêt pour la Formule E. Pour Renault, faire partie de cette aventure est une évidence. Il s’agit d’une expérience unique, très innovante, qui dessine un tout nouveau visage des sports mécaniques. Cette orientation est parfaitement cohérente avec le développement de la gamme 100% électrique Renault Z.E., déjà forte de quatre modèles. » Comment s’est opérée la collaboration entre les ingénieurs de Renault Sport et les autres entités impliquées dans la conception de la monoplace ? « On peut dire que la Spark-Renault SRT_01E est une œuvre commune. Renault, Dallara, McLaren, Williams, Michelin : il n’est pas anodin de voir autant de noms historiques du sport automobile réunis autour d’un projet résolument tourné vers le futur. Tous les ingénieurs et techniciens ont vécu la naissance de la voiture avec beaucoup d’exaltation et de passion. Chacun, dans son domaine, s’est efforcé d’optimiser le moindre détail pour offrir aux écuries des monoplaces fiables et performantes dès la première course. Notre travail n’était pas terminé pour autant : nous sommes présents sur toutes les courses pour offrir aux concurrents une assistance technique similaire à celle que nous proposons dans les championnats que nous organisons. » Renault est partenaire fondateur et technique du championnat de Formule E, mais aussi partenaire titre de l’équipe e.dams-Renault… « Effectivement, nous voulions afficher notre engagement dans ce nouveau championnat et bénéficier d’une visibilité médiatique complémentaire. Là encore, une association avec l’écurie d’Alain Prost et Jean-Paul Driot semblait évidente. Alain Prost partage une longue histoire avec Renault et est aussi ambassadeur de la Marque. Le palmarès de ces deux grands noms parle pour eux, et nous savons qu’ils font tout pour faire briller e.dams-Renault. Les performances de Sébastien Buemi et Nicolas Prost depuis le début de saison sont d’ailleurs prometteuses. »

01 CHAMPIONNAT FIA DE FORMULE E : À LA CONQUÊTE D’UN NOUVEAU MONDE

02 SPARK-RENAULT SRT_01E : UNE MONOPLACE CONÇUE AVEC L’EXPERTISE RENAULT SPORT

03 E.DAMS-RENAULT ÉCURIE DE FORMULE E : RENAULT S’ENGAGE DANS LA COMPÉTITION !

04 CHRONOLOGIE ET CLASSEMENTS

01 CHAMPIONNAT FIA DE FORMULE E À LA CONQUÊTE D’UN NOUVEAU MONDE Dans tous les domaines, le championnat FIA de Formule E sort des sentiers battus. Monoplaces, équipes, circuits, format sportif : tout est nouveau dans cette compétition basée sur trois valeurs fondamentales : l’énergie, l’environnement et le divertissement.

UN PROJET NOVATEUR ET RÉVOLUTIONNAIRE Dès 2011, la Fédération Internationale de l’Automobile émet le souhait de voir naître une compétition 100 % électrique. À l’unisson des défis posés à l’industrie automobile, ce championnat doit s’imposer comme un support de recherche, tout en accentuant l’intérêt du public pour une mobilité soucieuse du développement durable. Combinant l’ingénierie, la technologie, le sport, la science et la musique, le projet d’Alejandro Agag – homme d’affaires espagnol déjà impliqué dans le sport automobile – reçoit l’aval de la FIA le 27 août 2012. Le promoteur du championnat confie ensuite à Spark Racing Technology la mission de concevoir et de fabriquer les quarante premières monoplaces

de Formule E. Parmi les partenaires techniques associés dans cette aventure, Renault joue un rôle central en devenant l’architecte de la chaîne de traction électrique (voir partie 2).

UN CALENDRIER MONDIAL ET URBAIN À l’heure actuelle, l’immense majorité des véhicules électriques évolue en ville. Il en va de même pour la Formule E, qui se produit sur dix circuits urbains, tracés dans les plus grandes métropoles de la planète. Débutant en septembre dernier pour s’achever en juin prochain, le calendrier est complémentaire de celui de la F1 et des World Series by Renault. 13/09/2014

Pékin

Chine

22/11/2014

Putrajaya

Malaisie

13/12/2014

Punta del Este

Uruguay

10/01/2015

Buenos Aires

Argentine

14/03/2015

Miami

USA

04/04/2015

Los Angeles

USA

09/05/2015

Monaco

Principauté de Monaco

23/05/2015

Berlin

Allemagne

06/06/2015

Moscou

Russie

27/06/2015

Londres

Grande-Bretagne

28/06/2015

Londres

Grande-Bretagne

10 ÉQUIPES, 20 PILOTES ET 40 MONOPLACES Le championnat FIA de Formule E est ouvert à dix équipes de deux voitures. Le plateau de la saison inaugurale est très relevé, puisque dix des pilotes déjà titularisés ont évolué en Formule 1 au cours de leur carrière. Lors d’une manche, chaque concurrent dispose de deux monoplaces qu’il peut utiliser en fonction des besoins. La course comporte d’ailleurs un changement obligatoire.

UN FORMAT DE COURSE NOVATEUR Les courses se déroulent suivant un schéma identique. La concentration sur une seule journée permet de limiter les nuisances pour la ville et les riverains, tout en préservant les coûts d’exploitation des équipes. La part belle est donnée aux animations, et le faible bruit des voitures est même compatible avec l’organisation de concerts pendant les courses !

Au cours de la matinée, deux séances d’essais libres laissent aux concurrents le temps de découvrir le tracé du circuit et d’optimiser les réglages. En début d’après-midi, les qualifications s’étalent sur quatre sessions de dix minutes, avec cinq prétendants à la pole position par série. La course – ou ePrix – se dispute sur environ une heure, avec un changement obligatoire de monoplace pour chaque pilote. Contrairement aux essais libres et aux qualifications qui se déroulent à pleine performance (200 kW – 270 ch.), la puissance est alors limitée à 150 kW (202 ch.). Les trois pilotes les plus populaires aux yeux des internautes bénéficient en outre du FanBoost (180 kW pendant 5 secondes). Les points sont décernés aux dix premiers selon le barème FIA habituel (25, 18, 15, 12, 10, 8, 6, 4, 2 et 1 points). Le poleman est récompensé par trois unités supplémentaires, tandis que l’auteur du meilleur tour en course obtient deux points. En fin de saison, le titre de champion Pilotes est calculé en décomptant le moins bon classement de chacun. Le championnat par équipes retient tous les résultats des deux voitures.

02 SPARK-RENAULT SRT_01E : UNE MONOPLACE CONÇUE AVEC L’EXPERTISE RENAULT SPORT Spécifiquement développée pour le championnat FIA de Formule E, la Spark-Renault SRT01_E concentre l’expertise technique des plus grands noms du sport automobile. L’architecture de la chaîne de traction électrique, son intégration, sa sécurisation et l’optimisation de ses performances sont l’œuvre des ingénieurs de Renault Sport.

UNE FORME D’ÉVIDENCE POUR RENAULT Officialisé 15 mai 2013, le partenariat entre Renault, Formula E Holdings et Spark Racing Technologies revêt une forme d’évidence pour le constructeur leader dans le domaine des voitures zéro-émission. Avec une gamme de quatre véhicules Z.E. d’ores et déjà commercialisés, Renault saisit l’opportunité de démontrer l’excellence et la fiabilité de ses solutions. Le championnat FIA de Formule E constitue également un laboratoire technologique unique.

UN RÔLE D’ARCHITECTE Avec un champ d’action recouvrant la conception, le développement et la commercialisation de véhicules sportifs et de compétition, Renault Sport était le partenaire le plus à même d’assurer la gestion du projet. L’équipe constituée pour la phase d’études englobait donc les experts de Renault Sport. Depuis l’apparition du KERS* au championnat du monde de F1 en 2009, puis dans le cadre du passage au Power Unit 2014, Renault a acquis un savoir-faire unique en matière de récupération et de restitution d’énergie. Les équipes de Viry-Châtillon disposent également des moyens de mesure, d’analyse et de simulation adaptés. Comme tous les véhicules destinés à des compétitions monotypes, la Spark-Renault SRT_01E est constituée de composants choisis pour leur niveau de performance, leur coût et leur cohérence. Tout au long du développement, l’architecte doit donc s’assurer du respect du cahier des charges initial. * Kinetic Energy Recovery System (système de récupération d’énergie cinétique)

« Le développement de la Spark-Renault SRT_01E a été un véritable travail d’exploration technologique. Dans le domaine de la motorisation électrique haute performance, les experts sont encore peu nombreux. De plus, nous devions répondre à d’autres problématiques essentielles, comme la sécurité, le poids ou le coût. La batterie illustre bien cette complexité : ce produit d’apparence banale est en réalité constitué de plus de 4000 pièces. La densité de l’ensemble est exceptionnelle, puisque le volume de 300 litres ne contient que 2 % d’air. Il fallait pourtant que ce composant très sensible soit parfaitement protégé en cas d’accident. Ce défi, comme tous les autres, a été relevé. En faisant partie des partenaires fondateurs de Formula-e, Renault a apporté son savoir-faire et en tire d’ores et déjà des bénéfices technologiques, que l’on retrouvera un jour sur les véhicules de la gamme Z.E. » Jean-Pascal Dauce, Directeur compétition de Renault Sport Technologies LES PLUS GRANDS NOMS DU SPORT AUTOMOBILE RÉUNIS Le développement d’une monoplace d’un genre totalement nouveau constitue un défi technologique majeur. Formula E Holdings et Spark Racing Technologies ont donc associé les plus grands noms du sport automobile : -

Spark Racing Technology – La société créée par Frédéric Vasseur a pris en charge la conception mécanique (trains roulants, aérodynamique) et l’assemblage des 40 voitures.

Dallara – La firme italienne a fourni un châssis en carbone et nid d’abeille répondant aux normes de sécurité FIA F1 2014.

Renault Sport – Architecte de la chaîne de traction électrique, le constructeur a également géré l’intégration des systèmes, leur sécurisation et l’optimisation de la performance.

McLaren Electronic Systems – Associé à une boîte de vitesses séquentielle Hewland, le motopropulseur inverteur est dérivé de la supercar P1.

Williams Advanced Engineering – La filiale d’ingénierie du Groupe Williams conçoit et fabrique les batteries, ainsi que leur système électronique de gestion.

Michelin – Le manufacturier a développé des enveloppes de 18’’ sculptées pour être utilisées aussi bien sur piste sèche qu’humide.

LA SÉCURITÉ POUR PRIORITÉ Évoluant dans un milieu urbain, la Formule E se doit de repousser les limites en matière de sécurité. Par exemple, le design de la carrosserie a été pensé pour éviter que les voitures ne décollent après un chevauchement des roues. Les experts en sécurité routière de Renault ont également apporté leurs connaissances en cas de situations extrêmes, comme l’immersion ou l’incendie d’une batterie. Ces informations très pointues permettront d’adapter la formation des officiels et des commissaires à cette nouvelle forme de sport mécanique. UN SUPPORT TECHNIQUE AUX ÉQUIPES ENGAGÉES Au-delà de son rôle dans la conception et le développement de la voiture, Renault Sport Technologies accompagne les équipes dans l’exploitation de leurs Spark-Renault SRT_01E. Présent sur toutes les séances d’essais et les meetings de FIA Formula E, un ingénieur de Renault Sport Technologies synthétise les informations techniques des concurrents, dans une optique d’amélioration continue.

03 E.DAMS-RENAULT FORMULE-E TEAM : RENAULT S’ENGAGE DANS LA COMPÉTITION ! Passionnées de sport auto depuis toujours, les équipes de Renault Sport ne pouvaient se contenter de compter les points ! Renault a donc choisi d’associer son nom à une des dix équipes engagées et de prendre part à la compétition. Avec Sébastien Buemi et Nicolas Prost pour pilotes, l’écurie e.dams-Renault est l’une des têtes d’affiche de la saison 2014-2015 !

LA SEULE ÉCURIE FRANÇAISE ENGAGÉE EN CHAMPIONNAT FIA DE FORMULE E Le 24 octobre 2013, Jean-Paul Driot et Alain Prost annonçaient leur association et la naissance de e.dams. Créée spécifiquement pour le championnat FIA de Formule-e, cette nouvelle équipe s’appuie sur la base logistique et technique de Dams, structure fondée par Jean-Paul Driot et René Arnoux en 1988 et détentrice de onze titres internationaux en monoplace. En juin dernier, Renault franchissait une étape supplémentaire dans son implication en devenant partenaire titre de la seule écurie française engagée dans la compétition. Cet investissement permet à la Marque d’être au cœur de la compétition et d’engranger une précieuse expérience en tandem avec un des teams phares du championnat.

« Le partenariat avec l’écurie e.dams-Renault permet à Renault Sport d’être encore plus présent au cœur du championnat de Formule E. Celui-ci est une expérience unique et dessine un tout nouveau visage du sport automobile. Renault est fier d’être pionnier dans cette aventure et de se lancer un nouveau challenge. L’expérience et le palmarès d’Alain et de Jean-Paul en font des partenaires de grande qualité que nous connaissons très bien. Le partenariat avec e.dams-Renault est central dans notre engagement et dans notre développement en Formule E. La sélection de Renault parmi les huit constructeurs de la deuxième saison couronne nos efforts et nous permettra de travailler à des solutions innovantes sur le moteur, la boîte de vitesses, l’onduleur et le système de refroidissement. Nous avons hâte d’ouvrir ce nouveau chapitre de Renault en Formule E. Nous sommes également très satisfaits du travail réalisé avec Spark sur la monoplace Spark-Renault qui équipe toutes les écuries en cette première saison et nous continuons d’assister Spark pour assurer le meilleur soutien technique à l’ensemble des écuries. » Patrice Ratti, Directeur Général de Renaut Sport Technologies « Nous sommes très heureux de nous associer à Renault dans cette aventure. Le choix de Renault en tant que partenaire majeur était tout à fait naturel pour e.dams du fait du palmarès exceptionnel de la Marque en sport automobile ainsi que de son expertise unique sur le véhicule électrique. À titre personnel, je suis particulièrement enthousiaste de collaborer avec Renault sur ce grand projet sportif ambitieux et d’écrire ainsi une nouvelle page de notre histoire commune. Le challenge est considérable, car le championnat est complètement inédit, aussi bien dans la technologie des monoplaces que dans le format même des courses. C’est très excitant ! » Alain Prost, Ambassadeur de Renault et cofondateur de e.dams « Renault était tout naturellement le partenaire idéal pour nous engager dans ce championnat inédit et marier ainsi nos expertises. L’écurie Dams, forte d’un palmarès exceptionnel depuis sa création il y a 27 ans, peut s’appuyer sur un partenaire qui a largement fait ses preuves tant dans le domaine du sport automobile

que dans celui du véhicule électrique. Je tiens à rappeler que Dams est engagée dans les World Series By Renault ; notre histoire continue avec la création de l’écurie e.dams-Renault. » Jean-Paul Driot, cofondateur de e.dams

UNE ÉCURIE PRÊTE DÈS LE COUP D’ENVOI DE LA SAISON ! Organisées depuis le début du mois de juillet, cinq journées de tests ont permis aux pilotes, aux ingénieurs et aux mécaniciens de prendre la mesure de leur matériel. Ces essais ont été effectués sur le circuit de Donington, dans les installations dédiées à Formula E Holdings et aux dix écuries engagées. L’équipe e.dams-Renault créait déjà la sensation, puisque Sébastien Buemi se montrait le plus rapide lors de quatre des cinq journées. Le 19 août, pour l’ultime session avant l’envoi des monoplaces en Chine, Buemi et Nicolas Prost signaient même le doublé ! Nicolas Prost s’offrait la première pole position de l’histoire du championnat à Pékin avant de jouer la victoire jusqu’au dernier virage. Il récidivait à Putrajaya, où Sébastien Buemi obtenait le premier podium de l’équipe e.dams-Renault, avant de s’imposer à Punta del Este. Nicolas Prost l’imitait à Miami. Actuellement troisième et quatrième du championnat pilotes, les performances des deux hommes permettent à e.dams-Renault d’occuper la tête du classement par équipes. NICOLAS PROST Bien qu’il soit le fils du quadruple Champion du Monde de F1, Nicolas Prost n’a été autorisé à débuter en sport automobile qu’une fois ses études achevées ! Sans passer par la case karting, il délaisse le golf pour la Formule Renault Campus en 2003. Sa carrière en monoplace se poursuit par la Formule Renault 2.0, la Formula Renault 3.5 Series, la F3 Espagne, l’Euroseries 3000 – qu’il remporte en 2008 – et l’A1GP. En 2009, il se lance en endurance et devient un des piliers de l’équipe Rebellion Racing. En 2012 et 2014, il termine quatrième des 24 Heures du Mans. Il est également pilote de développement du Lotus F1 Team. Nicolas Prost restera en outre comme le premier vainqueur d’un championnat zéro émission, puisqu’il a gagné les deux premières éditions du Trophée Andros électrique ! -

Né le 18/08/1981 à Saint-Chamond (France)

Réside à Fechy (Suisse)

2014 : 10 du Championnat du Monde d’Endurance

2013 : 6 du Championnat du Monde d’Endurance

2012 : 4 du Championnat du Monde d’Endurance

2011 : 1 des Le Mans Series et 1 du Trophée Andros électrique

2010 : 5 du championnat FIA GT1 et 1 du Trophée Andros électrique

2009 : 5 de l’A1GP et 5 des Le Mans Series

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2008 : 1 de l’Euroseries 3000

2007 : 3 du Championnat d’Espagne de F3

2006 : 4 du Championnat d’Espagne de F3

2005 : 10 du Championnat de France de Formule Renault

2004 : 18 du Championnat de France de Formule Renault

2003 : 10 du Championnat de France de Formule Renault Campus

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SÉBASTIEN BUEMI Sébastien Buemi rejoint la monoplace après une brillante carrière en karting. Parmi ses adversaires, on trouve alors un certain Sebastian Vettel. Après un premier essai en F1 à l’âge de 15 ans, il parfait son apprentissage au sein des pelotons des Formula Renault 2.0 et F3 Euro Series ainsi que de GP2. Couvé par le Red Bull Junior Team, il fait ses débuts en F1 en 2009. Au volant de sa Toro Rosso, il marque ses premiers points dès son premier Grand Prix ! Après trois saisons au plus haut niveau, il reste dans le giron de Red Bull en devenant pilote de réserve. Sa pointe de vitesse s’affute en Endurance depuis 2013. Deuxième des 24 Heures du Mans dès sa première participation, Sébastien Buemi obtient le titre en FIA WEC en 2014. -

Né le 31/10/1988 à Aigle (Suisse)

Réside à Monaco

2014 : Champion du Monde d’Endurance

2013 : 3 du Championnat du Monde d’Endurance

2012 : Pilote de réserve Red Bull Racing

2011 : 15 du Championnat du Monde de Formule 1

2010 : 16 du Championnat du Monde de Formule 1

2009 : 16 du Championnat du Monde de Formule 1

2008 : 6 des GP2 Series et 2 du GP2 Asia

2007 : 2 de la F3 Euro Series

2006 : 12 de la F3 Euro Series

2005 : 2 de la Formule BMW ADAC

2004 : 3 de la Formule BMW ADAC

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04 CHRONOLOGIE ET CLASSEMENTS CHRONOLOGIE Juillet 2011

La FIA lance un appel à candidatures pour l’organisation d’un championnat électrique

7 décembre 2011

Officialisation du championnat de Formule E

27 août 2012

Signature de l’accord entre la FIA et Formula E Holdings

Novembre 2012

Signature de l’accord entre Formula E Holdings et Spark Racing Technology

15 mai 2013

Signature du partenariat entre Formula E Holdings, Spark et Renault

10 septembre 2013

Révélation de la Spark-Renault SRT_01E au Salon de Francfort (Allemagne)

24 octobre 2013

Création de l’équipe e.dams

20 novembre 2013

Premiers essais de la Spark-Renault SRT_01E à la Ferté Gaucher (France)

6 janvier 2014

Démonstration publique de la Spark-Renault SRT01_E à Las Vegas (USA)

16 mai 2014

Livraison des 10 premières monoplaces aux équipes

30 juin 2014

Présentation de l’écurie e.dams-Renault

3-4 juillet 2014

Essais collectifs à Donington (Grande-Bretagne)

9-10 juillet 2014

Essais collectifs à Donington

22 juillet 2014

Livraison des 10 dernières monoplaces aux équipes

19 août 2014

Essais collectifs à Donington

13 septembre 2014

Coup d’envoi du championnat FIA Formula E à Pékin (Chine)

CLASSEMENTS 13 septembre 2014

Pékin (Chine)

Disputée sur 25 tours, le ePrix débutait sous un soleil radieux et face à des tribunes combles. Placé en pole position, Nicolas Prost (e.Dams Renault) réussissait parfaitement son envol pour contrôler et dominer la course. Mais au dernier freinage, Nick Heidfeld (Venturi) attaquait Nicolas Prost, et les deux voitures se touchaient ! Lucas di Grassi (Audi Sport Abt) franchissait alors la ligne d’arrivée en vainqueur !

CLASSEMENT 1. Lucas di Grassi (Audi Sport ABT) 25 tours 2. Franck Montagny (Andretti) +2’’867 3. Sam Bird (Virgin Racing) +6’’559 4. Charles Pic (Andretti) +19’’301 5. Karun Chandhok (Mahindra Racing) +23’’952 6. Jérôme d’Ambrosio (Dragon Racing) +31’’664 7. Oriol Servia (Dragon Racing) +41’’968 8. Nelson Piquet (China Racing) +43’’896 9. Stéphane Sarrazin (Venturi) +43’’975 10. Daniel Abt (Audi Sport ABT) +1’02’’507 Meilleur tour : Takuma Sato (Amlin Aguri) 1’45’’101

22 novembre 2014

Putrajaya (Malaisie)

Suite à sa pénalité écopée à Pékin, Nicolas Prost (e.dams Renault) cédait sa pole position à Oriol Servia (Dragon Racing). Au cinquième tour, Sam Bird (Virgin Racing) détrônait le Catalan avant de mener jusqu’à son changement de monoplace. Le Britannique récupérait les commandes à quatre boucles du but en dépassant Daniel Abt (Audi Sport ABT), sur une stratégie décalée. Il s’imposait finalement devant Lucas di Grassi (Audi Sport ABT) et Sébastien Buemi (e.dams-Renault), tous deux revenus du fond de grille. CLASSEMENT 1. Sam Bird (Virgin Racing) 31 tours 2. Lucas di Grassi (Audi Sport ABT) +4’’175 3. Sébastien Buemi (e.dams-Renault) +5’’739 4. Nicolas Prost (e.dams-Renault) +9’’552 5. Jérôme d’Ambrosio (Dragon Racing) +13’’722 6. Karun Chandhok (Mahindra Racing) +17’’158 7. Oriol Servia (Dragon Racing) +18’’621 8. Antonio Félix de Costa (Amlin Aguri) +19’’926 9. Jaime Alguersuari (Virgin Racing) +20’’053 10. Daniel Abt (Audi Sport ABT) +45’’663 Meilleur tour : Jaime Alguersuari (Virgin Racing) 1’24’’429

13 décembre 2014

Punta del Este (Uruguay)

En pole position, Jean-Éric Vergne (Andretti Autosport) voyait Nelson Piquet (China Racing) le surprendre avant sa réplique au treizième passage. Nick Heidfeld (Venturi) et Sébastien Buemi (e.dams-Renault) prenaient ensuite l’avantage, mais l’Allemand était pénalisé pour non-respect du temps minimal lors du changement de voiture. Dans l’avant-dernier tour, Sébastien Buemi défendait sa position de leader avec succès face à Jean-Eric Vergne, qui cédait sa place sur le podium à Nelson Piquet et Lucas di Grassi (Audi Sport ABT). CLASSEMENT 1. Sébastien Buemi (e.dams-Renault) 31 tours 2. Nelson Piquet (China Racing) +0’’732 3. Lucas di Grassi (Audi Sport ABT) +2’’635 4. Jarno Trulli (Trulli) +4’’163 5. Jaime Alguersuari (Virgin Racing) +4’’698 6. Bruno Senna (Mahindra Racing) +5’’197 7. Nicolas Prost (e.dams-Renault) +6’’514 8. Jérôme d’Ambrosio (Dragon Racing) +7’’567 9. Oriol Servia (Dragon Racing) +8’’646 10. Nick Heidfeld (Venturi) +10’’563 Meilleur tour : Daniel Abt (Audi Sport ABT) 1’18’’451

10 janvier 2015

Buenos Aires (Argentine)

Homme le plus rapide des essais, Sébastien Buemi (e.dams-Renault) signait un envol parfait depuis la pole position. Leader après les changements de voitures, le Suisse abandonnait sous la pression de Lucas di Grassi, qui heurtait le mur quatre tours plus tard. Nick Heidfeld (Venturi) en profitait mais une pénalité pour excès de vitesse dans la voie des stands permettait à Antonio Felix da Costa (Amlin Aguri) de s’imposer devant Nicolas Prost (e.dams-Renault) et Nelson Piquet (China Racing). CLASSEMENT 1. Antonio Felix da Costa (Amlin Aguri) 35 tours 2. Nicolas Prost (e.dams-Renault) +5’’354 3. Nelson Piquet (China Racing) +8’’552 4. Jaime Alguersuari (Virgin Racing) +11’’148 5. Bruno Senna (Mahindra Racing) +11’’535 6. Jean-Eric Vergne (Andretti) +13’’319 7. Sam Bird (Virgin Racing) +13’’617 8. Nick Heidfeld (Venturi) +15’’464 9. Oriol Servia (Dragon Racing) +19’’334 10. Stéphane Sarrazin (Venturi) +28’’973 Meilleur tour : Sam Bird (Virgin Racing) 1’11’’540

14 mars 2015

Miami (Etats-Unis)

Après l’unique séance d’essais dominée par Sam Bird (Virgin Racing), Jean-Éric Vergne (Andretti) signait sa deuxième pole position dans la catégorie. Auteur d’un envol parfait, l’ancien pilote de F1 était surpris par Sam Bird, à court d’énergie peu après. Daniel Abt émergeait aux commandes de la course après les passages aux stands. Sous la pression de Nicolas Prost, l’Allemand craquait face au Français et Scott Speed dans l’avant-dernier tour. CLASSEMENT 1. Nicolas Prost (e.dams-Renault) 39 tours 2. Scott Speed (Andretti) +0’’433 3. Daniel Abt (Audi Sport Abt) +5’’518 4. Jérôme d’Ambrosio (Dragon Racing) +5’’941 5. Nelson Piquet (China Racing) +6’’426 6. Antonio Felix da Costa (Amlin Aguri) +8’’754 7. Loïc Duval (Dragon Racing) +9’’498 8. Sam Bird (Virgin Racing) +19’’817 9. Lucas di Grassi (Audi Sport Abt) +20’’631 10. Salvador Duran (Amlin Aguri) +24’’587 Meilleur tour : Nelson Piquet (China Racing) 1’07’’969

4 avril 2015

Long Beach (Etats-Unis)

En qualifications, Daniel Abt (Audi Sport Abt) s’adjugeait la pole la plus rapide de l’histoire de la discipline. Troisième sur la grille, Nelson Piquet surgissait au premier rang dès le premier virage. Malgré deux neutralisations, le Brésilien conservait les rênes et ne cédait les commandes qu’éphémèrement à Bruno Senna (Mahindra Racing) lors des changements de voiture. Sixième homme à s’imposer en autant d’ePrix, Nelson Piquet était accompagné de Jean-Eric Vergne (Andretti) et Lucas di Grassi (Audi Sport Abt) sur le podium. CLASSEMENT 1. Nelson Piquet (China Racing) 39 tours 2. Jean-Eric Vergne (Andretti) +1’’705 3. Lucas di Grassi (Audi Sport Abt) +2’’994 4. Sébastien Buemi (e.dams-Renault) +3’’518 5. Bruno Senna (Mahindra Racing) +8’’844 6. Jérôme d’Ambrosio (Dragon Racing) +13’’460 7. Antonio Felix da Costa (Amlin Aguri) +16’’171 8. Jaime Alguersuari (Virgin Racing) +17’’975 9. Loïc Duval (Dragon Racing) +18’’436 10. Stéphane Sarrazin (Venturi) +20’’418 Meilleur tour : Nicolas Prost (e.dams-Renault) 58’’973

CHAMPIONNATS PILOTES 1. Lucas di Grassi (Audi Sport Abt), 75 points 2. Nelson Piquet (China Racing), 74 3. Nicolas Prost (e.dams-Renault), 69 4. Sébastien Buemi (e.dams-Renault), 55 5. Sam Bird (Virgin Racing), 52 6. Antonio Felix da Costa (Amlin Aguri), 43 7. Jérôme d’Ambrosio (Dragon Racing), 42 8. Jean-Eric Vergne (Andretti), 32 9. Jaime Alguersuari (Virgin Racing), 30 10. Bruno Senna (Mahindra Racing) 28

TEAMS 1. e.dams-Renault, 124 points 2. Audi Sport Abt, 97 3. Virgin Racing, 82 4. Andretti, 80 5. China Racing, 74 6. Dragon Racing, 66 7. Amlin Aguri, 46 8. Mahindra Racing, 46 9. Trulli, 12 10. Venturi, 9

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