LE MAGAZINE DES SUPPORTERS DE CITROテ起 RACING - SAMEDI 5 OCTOBRE 2013
NE PAS JETER SUR LA VOIE PUBLIQUE
LOEB ET SORDO DANS LA BAGARRE
À SUIVRE AUJOURD’HUI...
MATCH À QUATRE SUR LES ROUTES ALSACIENNES
LE REGARD DE CARLOS DEL BARRIO
Conditions météos incertaines et choix de pneumatiques épineux ont rythmé la deuxième journée du Rallye de France Alsace. Tour à tour leaders de l’épreuve, Dani Sordo et Sébastien Loeb sont dans le match pour la victoire. Mais Thierry Neuville, en tête vendredi soir, et Jari-Matti Latvala sont tout aussi décidés à s’imposer ! Premier leader du rallye après avoir signé le meilleur temps dans la super spéciale de jeudi soir, Dani Sordo a confirmé qu’il faudrait compter avec lui ce week-end. À l’issue de cette seconde journée, l’Espagnol occupe la deuxième place du classement général, à moins de dix secondes de Thierry Neuville. Le Belge a pris la tête à la faveur d’un meilleur choix de pneus pour la boucle de l’après-midi. Chaussé de pneus tendres alors que la route restait desespérement sèche, Sébastien Loeb lâchait 17 secondes au cours de l’après-midi. Le nonuple Champion du Monde passait ainsi de la première à la quatrième place position en fin de journée. Mais l’essentiel est ailleurs : en alignant trois scratches hier matin, Seb a démontré qu’il n’a rien perdu de son légendaire coup de volant, et ce malgré plus de quatre mois d’inactivité rallystique...
frait du mauvais choix de pneus au second passage dans les spéciales. Engagé en WRC2, Robert Kubica a raflé toutes les spéciales. Le Polonais s’est ainsi construit une solide avance de plus de trois minutes au classement général ! Une bonne opération au championnat se profile pour l’ancien pilote de F1. En pleine bagarre au volant de leurs DS3 R3, les pilotes du Citroën Top Driver ont également animé la course.
Le Vosgien Quentin Gilbert occupe la tête avec 40 secondes d’avance sur Sébastien Chardonnet. Keith Cronin complète le podium provisoire. Cette troisième étape s’articule autour de sept spéciales totalisant 130 km. La plus grosse journée du rallye emmènera les concurrents du côté de Colmar, où s’effectuera l’assistance de mi-journée. Ce samedi s’achèvera par une super spéciale dans les rues de Mulhouse. Encore une fois, les conditions météo devraient être la clé de la course !
Le vendredi de Mikko Hirvonen était moins réjouissant. Après avoir perdu du temps dans la matinée à cause de petites erreurs, le Finlandais souf-
« Nous avons connu une belle journée sur des spéciales très variées, qui peuvent parfois ressembler aux vignes allemandes, mais aussi aux routes du nord de l’Espagne ! En revanche, les conditions étaient très changeantes, avec des alternances de portions sèches et humides. Après les reconnaissances, nous craignions que la route ne se recouvre de terre, mais ça n’a pas été le cas et c’est tant mieux ! Les plots déposés dans les cordes semblent efficaces. Le rallye est encore long mais nous avons nos chances ! Dani est très motivé et très en confiance, comme en Allemagne. Nous sommes ici pour jouer la victoire. »
VU SUR INSTAGRAM...
Par MikkoWRC : Le choix cornélien des pneumatiques : durs, tendres, un mélange des deux ?
Par sergy21 : Leader du rallye pendant la majeure partie de la matinée d’hier, Dani Sordo avait le sourire !
Par albvn_23 : Vous semblez apprécier la livrée noir et or de la DS3 WRC de Seb et Daniel !
Par pau_meyer : Robert Kubica en route vers le meilleur temps en WRC2 du côté de Blienschwiller.
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TOP CHRONO est édité par Citroën Racing Communication. Directeur de la publication : Yves Matton - Rédacteur en chef : Marie-Pierre Rossi Rédaction : Jérôme Roussel, Guillaume Renard - Photos : André Lavadinho, McKlein, Nicolas Zwickel - Conception : Zone Rouge - Impression : Imprimerie Jung. CITROËN RACING - 19, allée des Marronniers - 78035 Versailles - FRANCE
UNE JOURNÉE AVEC LES ÉQUIPAGES CITROËN RACING
ILS ONT DIT... SEB
07:30
A peine arrivé au parc d’assistance, Sébastien Loeb jette un oeil aux prévisions de Météo France. Peu après, le nonuple champion du monde fait le choix des Michelin Pilot Sport durs pour les trois spéciales de la matinée… Avec succès, puisqu’il réalise les trois scratches.
13:00
La première boucle vient de s’achever, les équipages reviennent au parc d’assistance après le long secteur de liaison qui suivait la spéciale du Pays d’Ormont. Les héros du matin se restaurent, non sans quelques sollicitations de la part des ingénieurs…
15:00
La seconde boucle du vendredi vient à peine de commencer et le public s’amasse déjà pour offrir au nonuple Champion du Monde son bain de foule quotidien. Les courageux devront encore patienter près de quatre heures avant d’assister au retour leur héros. Chapeau !
16:30
Retransmise en direct sur Sport+, la dernière spéciale est scrutée par les mécaniciens. Au cours de la saison, les occasions de voir évoluer ‘leur’ voiture sont finalement rares. Peu après, ils commenceront à préparer l’assistance de fin d’étape. Au programme, 45 minutes de travail intensif à huit mécaniciens sur chaque DS3 WRC...
« Nous nous sommes bien battus. Mon pilotage est bien au point, tout comme la voiture. C’était piégeux et ça le sera encore aujourd’hui. Nous allons devoir attaquer pour aborder la dernière étape dans les meilleures dispositions. »
DANI
« Cette journée s’est très bien déroulée. Nous sommes dans la bagarre malgré un mauvais choix de pneus. Aujourd’hui, la pluie devrait rendre les routes très glissantes. Ce n’est jamais amusant mais nous avons une bonne position de départ. »
MIKKO
« Dans l’ES2, le casque que nous utilisons en liaison s’est détaché pour se loger entre les pédales. J’ai ensuite voulu régler les suspensions mais j’ai tourné la molette dans le mauvais sens avant de partir en tête-à-queue dans la spéciale suivante ! »
MÉTÉO DU JOUR
STRASBOURG
14 - 20°C
COLMAR
15 - 19°C 3
LA GRANDE INTERVIEW
ROBERT KUBICA : « F1 ET RALLYE SONT DEUX SPORTS DIFFÉRENTS » Écarté bien malgré lui des circuits de Formule 1, Robert Kubica découvre la vie d’un pilote de rallye à temps complet. Engagé en WRC2 sur une Citroën DS3 RRC, le Polonais fait preuve d’une capacité d’adaptation étonnante. Déjà vainqueur à l’Acropole, en Sardaigne et en Allemagne, et sur le podium en Finlande, il est bien parti pour remporter le titre dès sa première saison complète. Comment as-tu abordé ce Rallye de France Alsace ? « Comme tous les rallyes auxquels je participe cette saison, je découvre l’ensemble du parcours. À chaque départ, mon objectif est de prendre le maximum d’expérience. Le Rallye de France se déroulant sur asphalte, cela devrait théoriquement être plus facile car c’est sur cette surface que j’ai le plus d’expérience. Cependant, les spéciales sont vraiment spécifiques, tant par leur profil que par leur revêtement. » Quelles ont été tes premières impressions lors des reconnaissances ? « C’est très différent des rallyes sur asphalte que j’ai pu faire jusqu’ici ! J’ai disputé plusieurs fois le Rallye du
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Var, mais ça n’a rien à voir. J’avais pu me faire une première idée de ces types de spéciales en participant la semaine dernière au Rallye Vosgien. Les routes sont truffées de pièges, particulièrement pour les débutants. Il y a également beaucoup de virages où il est possible de couper dans les cordes. S’il pleut encore plus que vendredi, cela deviendra difficile en raison de la boue qui sera ramenée sur l’asphalte. » Après avoir remporté les sept premières spéciales, tu comptes déjà plus de trois minutes d’avance après la première journée. Comment vastu gérer la suite du rallye ? « C’est encore difficile à dire, il reste encore près de 200 km à parcourir
et tout peut arriver. Cela se joue à des détails et mon rival, Elfyn Evans, l’a vu à ses dépens hier. Pour le moment, j’essaie de trouver le juste équilibre entre l’attaque et la gestion. Nous verrons au fil des spéciales comment l’écart évoluera. » Quand on a connu le frisson de la F1, quelles sont les sensations procurées par une voiture comme la DS3 RRC ? « Le rallye est un sport radicalement différent de ce que j’ai pu connaître auparavant. Le pilotage est sans comparaison. Il faut réunir plusieurs caractéristiques pour réussir. Sur les circuits, il est nécessaire de se concentrer sur des détails très précis. Un ou deux dixièmes de seconde au
tour représentent un écart énorme. En rallye, l’improvisation prend beaucoup plus de place. Il y a moins de questions à se poser. Comme il est difficile de prévoir le niveau exact d’adhérence d’un virage à l’autre, il faut pouvoir réagir dans l’instant. Les inconnues de l’équation sont plus nombreuses. » Les voitures ont également leurs spécificités… « Il y a plusieurs philosophies lorsqu’il s’agit de concevoir une voiture, mais les ingénieurs cherchent tous à obtenir un véhicule facile à piloter dans des conditions variées, de la Suède à la Grèce en passant par l’Alsace ! On ne retrouve pas ces aspects en circuit, car on ne dispose que d’une petite
fenêtre au sein de laquelle il faut tirer la quintessence de la performance. Encore une fois, les deux approches sont totalement différentes. » Ces différences impliquent-elles une préparation spécifique ? « Pour être honnête, piloter une WRC s’avère dix fois plus facile qu’une F1. Dix fois… ou plutôt cent ! Une F1 est très exigeante pour le pilote, spécialement dans les virages où la force centrifuge est très importante. Mentalement, il faut se concentrer à chaque instant durant quatre-vingt dix minutes d’une course où tout arrive extrêmement vite. En rallye, on fait face à de courtes fenêtres de concentration, mais sur trois ou quatre jours. Nous sommes à fond dans les spéciales, puis nous essayons de faire redescendre l’adrénaline sur les liaisons. Ma préparation est adaptée pour aborder au mieux ces cycles. » Tu dois parfois affronter des spéciales de 50 km. Est-ce tout de même difficile ? « La première fois que j’ai été confronté à un chrono de cette longueur, c’était au Portugal. Tout le monde me disait que ces trente-cinq minutes d’efforts continus seraient énormes. Pour ma part, je trouvais cela normal. Je ne dis pas que c’est facile, il faut se concentrer et écouter le copilote, mais tout se passe plus lentement que sur un circuit comme Monza. » Le rallye pardonne-t-il moins les erreurs ? « Tout dépend du type d’erreur ! L’environnement d’un rallye est moins sûr que sur un circuit. Mais les petites fautes coûtent moins cher. Une vitesse ratée, par exemple, n’a pas de grande conséquence sur le chrono de la spéciale. » Considérant tout cela, quelle est la discipline la plus difficile ? « Je ne suis pas d’accord avec ceux qui affirment que le rallye est plus difficile que la F1. Ce sont tout simplement des sports différents. La meilleure comparaison serait de demander à Usain Bolt de courir un marathon. Il n’a aucune chance, mais cela ne veut pas dire pour autant que les sprinters sont mauvais. Passer du circuit au rallye est difficile, mais je pense que l’inverse est encore plus vrai ! » Ton approche du rallye semble totalement différente de celle qu’a eu Kimi Räikkönen…
« C’est vrai. On peut utiliser son expérience des circuits pour trouver sa limite en rallye, mais cela ne suffit pas pour aller plus haut. Le talent sur un domaine aussi spécifique que celui dont nous venons ne représente qu’une infime part de ce qu’il est requis pour gagner. Même si on me donne un moteur plus puissant, il ne servira à rien si mes notes sont mauvaises. C’est pour cela que je suis heureux de progresser dans tous les domaines. »
PORTUGAL : 6e
Comment juges-tu ta saison jusqu’ici ? « Je pense avoir fait du bon travail en WRC2. Tout était nouveau, mais je suis parvenu à avoir un bon rythme d’entrée, notamment en Finlande où j’avais pourtant des adversaires très rapides. Je suis également satisfait de la manière dont ça s’est passé en Allemagne, alors que je n’avais jamais disputé de spéciales dans les vignes. Tout ceci va dans le bon sens. »
ACROPOLE : 1er
Dans quel domaine penses-tu avoir le plus progressé cette année ? « L’expérience joue un rôle primordial en rallye. On ne peut l’accumuler qu’au fil des épreuves. Au début, cela va assez vite, mais cela se complique par la suite. Ce sont toujours les derniers dixièmes qui sont les plus difficiles à gagner ! Il me reste encore beaucoup de choses à apprendre, mais mon programme diversifié en WRC2 m’aide à devenir un pilote complet. Un des points-clés concerne les notes. Nous travaillons beaucoup avec mon copilote, Maciek Baran, pour développer et améliorer continuellement notre système. » Citroën Racing arrive sur les circuits avec un programme en WTCC à partir de 2014. Pensestu que ce projet sera couronné de succès ? « Bien sûr ! Le WTCC ne ressemble pas trop à ce que j’ai connu en F1, où les budgets sont sans commune mesure avec les autres disciplines du sport automobile. Toutefois, une équipe comme Citroën Racing, de par son professionnalisme et son niveau d’exigence, peut y arriver. L’équipe semble faire beaucoup d’efforts pour réussir ce défi. Leur duo de pilotes est excellent. Avec Yvan Muller et Sébastien Loeb, il y aura treize titres de Champions du Monde dans le stand ! Je ne vais pas dire que ce sera facile, car je sais suffisamment combien il est difficile de passer d’un monde à l’autre ! »
SARDAIGNE : 1er
FINLANDE : 2e
ALLEMAGNE : 1er 5
L’ALBUM DES SOUVENIRS DE SÉBASTIEN LOEB
TOUR DE CORSE 2004 « J’ai toujours pratiqué ce sport pour être le meilleur et devenir Champion du Monde. Mais avant d’y arriver, je me demandais parfois si j’en étais capable. Ce jour-là, nous touchions au but, dès notre deuxième saison complète ! Ce premier titre a été un moment très fort, car nous l’avons décroché en France. Tout le monde était là, ma famille, mes amis… J’étais content de pouvoir offrir cette joie à mon père. Il était très pudique quand nous étions ensemble, mais des journalistes m’ont dit qu’il leur avait parlé de ce que cela représentait pour lui. Il était très fier de ce que je venais d’accomplir. »
RALLY ACROPOLIS 2008 « Sans doute notre plus grosse sortie de route ! Comme la plupart du temps, c’est arrivé à cause d’un infime moment de déconcentration. Nous avons fait une belle série de tonneaux. Après l’accident, je cherchais mon téléphone. En fait, il était resté dans la pochette accrochée à la portière, où je le range habituellement. Le plus difficile a été de retrouver ladite portière dans le champ ! Les conséquences ont été fâcheuses, car nous avons enchaîné les déconvenues par la suite. Le titre ne s’est joué que pour un point au Pays de Galles ! »
RALLYE DE FRANCE ALSACE 2012 « Comment ne pas terminer par ce moment si particulier. Il s’agissait de mon dernier titre de Champion du Monde… des Rallyes ! J’étais assez ému, mais surtout fier d’avoir parcouru tout ce chemin avec Daniel et Citroën Racing. Nos fans, nos familles, notre équipe, tous les gens qui comptaient étaient là et il fallait que nous leur offrions cette joie. En tous cas je n’ai jamais ressenti de tristesse ou de regrets, car je savais que la fin de cette histoire marquait le début d’une nouvelle… » 6
DÉCOUVERTE
WTCC : PRÊTS À BONDIR ! En 2014, Citroën Racing s’engagera pour la première fois dans un championnat international sur circuit. Le WTCC, ou Championnat du Monde des Voitures de Tourisme, représente un véritable défi pour l’équipe détentrice de huit titres en WRC. Troisième championnat mondial automobile créé par la FIA après la F1 et le WRC, le WTCC oppose des berlines issues de la grande série, qui s’affrontent sur des courses sprints, réputées pour leur côté spectaculaire. Pare-chocs contre pare-chocs et portière contre portière, les bagarres au cœur du peloton ravissent les spectateurs à travers la planète. Le calendrier est véritablement mondial, avec des étapes en Europe, en Asie (Chine, Russie, Japon…), en Afrique (Maroc) et en Amérique (USA, Argentine, Brésil…) La saison 2014 sera marquée par l’apparition de véhicules encore plus séduisants. Carrosserie élargie, adjonction d’éléments aérodynamiques et mécaniques plus puissantes permettront de développer l’attrait de la discipline. Ce changement réglementaire a justement décidé Citroën à s’engager dès la saison prochaine. Sur la base de la C-Elysée, une berline conçue en priorité pour les
marchés internationaux à forte croissance, les hommes de Versailles se sont donc lancés dans le développement d’une nouvelle machine de course, qui sera propulsée par un moteur de 380 ch dérivé de celui de la DS3 WRC. Après avoir tout gagné en rallye-raid et en rallye, Citroën Racing se lance donc un nouveau défi, avec l’objectif de succéder aux constructeurs qui ont dominé la discipline ces dernières années : BMW, Seat, Chevrolet et Honda. Cet engagement s’effectue main dans la main avec Sébastien Loeb, tout aussi ravi de se lancer dans une discipline où il aura tout à apprendre et à prouver. L’Alsacien ne cache d’ailleurs pas son ambition d’inscrire un jour son nom au palmarès. Pour progresser plus vite et viser la victoire dès les premières courses, Citroën s’est adjoint les services du « Sébastien Loeb du WTCC » : Yvan Muller, déjà titré à quatre reprises dans la discipline !
3 QUESTIONS À... YVAN MULLER Quels sont les secrets de la réussite en WTCC ? « C’est simple : il faut être performant et terminer toutes les courses en prenant un maximum de points ! Mais la discipline est beaucoup plus compliquée qu’il n’y paraît en raison de son format à deux courses par meeting. Avec le système de grille inversée, il faut savoir éviter les pièges pour remonter. Comme ce sont des tractions, les pneus avant se dégradent rapidement. Le pilotage doit s’adapter. » Quelles ont été vos premières impressions lors de vos premiers contacts avec Citroën Racing ? « Il y a beaucoup de professionnalisme. Je me sens déjà très bien avec l’équipe. Quant à la C-Elysée WTCC, par rapport à ce que j’ai connu, elle est plus légère, plus puissante et plus efficace. Tout est mieux. J’ai hâte de passer à la suite. » Que pensez-vous de votre futur équipier ? « Aujourd’hui je ne peux être qu’admiratif du parcours de Seb. Même si mes statistiques sont bonnes, ça n’a rien à voir. Nous sommes de grands garçons, qui n’avons plus grand-chose à prouver et qui savent ce que cela signifie de travailler pour un constructeur. Le but premier est de faire gagner l’équipe et notre solidarité sera une des composantes essentielles du succès. »
COMMENT ÇA MARCHE ? Le programme débute par deux séances d’essais libres avant une qualification en deux parties. La première rassemble tous les pilotes avant que les douze meilleurs ne s’affrontent dans la seconde session. Cette dernière permet d’établir la grille de départ de la course 1 et attribue des points aux cinq pilotes les plus rapides. Deux courses sont programmées le dimanche. La première manche débute par un départ lancé, la seconde par un départ arrêté avec une grille inversée pour les dix premiers de la Q2. Les dix premiers de chaque course marquent des points.
La C-Elysée WTCC multiplie les séances d’essais dans une décoration « camouflage » pour préserver la confidentialité de ses formes...
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PARTENAIRES
DEPUIS 1968