Top Chrono - Vendredi 5 octobre

LE MAGAZINE DES SUPPORTERS DE CITROËN RACING - VENDREDI 5 OCTOBRE 2012

NE PAS JETER SUR LA VOIE PUBLIQUE

L’ALSACE DERRIÈRE

SON HÉROS !

SEB LOEB RÉPOND À VOS QUESTIONS

DES RECOS EN CITROËN C-ZÉRO !

EN VISITE AU MONDIAL DE L’AUTOMOBILE

SHAKEDOWN & ES1

THIERRY NEUVILLE PREMIER LEADER !

A

vant d’en découdre sur les ‘vraies’ spéciales des environs de Munster à partir de ce matin, les concurrents du Rallye de France ont composé avec deux parcours artificiels au cours de la journée de jeudi. Serpentant dans le quartier Hautepierre, à proximité immédiate du parc d’assistance, le shakedown n’avait pas d’autre intérêt que de permettre aux pilotes de vérifier le bon

fonctionnement de leurs machines.

Réalisant un tir groupé de la 4e à la 7e place, Sébastien Loeb, Thierry Neuville, Mikko Hirvonen et Nasser Al-Attiyah se contentaient d’effectuer les quatre passages réglementaires.

Après avoir pris quelques bains de foule et signé des centaines d’autographes, Sébastien Loeb et ses camarades franchissaient le podium de

départ, installé devant le Parlement européen de Strasbourg. Ils s’élançaient immédiatement dans la super spéciale, constituée de deux tours d’un petit circuit et longue de 3,63 km.

A l’arrivée, le Belge Thierry Neuville créait la sensation en se plaçant pour la première fois en tête d’une épreuve de Championnat du Monde : « Je me débrouille toujours

LEURS ESPOIRS POUR LE RALLYE DE FRANCE...

SÉBASTIEN LOEB

bien dans ce genre de spéciales. On peut perdre beaucoup de temps, mais aussi gagner trois ou quatre secondes, soit autant que dans un ‘vrai’ chrono ! Malgré les pneus et les freins froids, la voiture était efficace et j’ai pu attaquer. Je pourrai ainsi dire que j’ai été en tête du Rallye de France, mais ce sera une autre paire de manches demain. » Classé troisième ex æquo avec Dani Sordo et Petter Solberg, Mikko Hirvonen avouait ne pas aimer débuter un rallye avec ce type de spéciale. Septième derrière Sébastien Chardonnet, Sébastien Loeb ne se montrait guère plus enthousiaste : « J’ai eu un peu de mal à retrouver mes repères ! Je n’étais pas à l’aise dans le premier tour et c’est là que j’ai perdu pas mal de temps. Ce sera bien différent demain... et en plus il fera jour ! Je suis sur mes gardes, car je n’ai jamais vraiment dominé sur ce rallye. » Parti en tête-à-queue après une touchette à l’arrière-droit, Nasser AlAttiyah a perdu une vingtaine de secondes dans cette spéciale. Sa DS3 WRC n’étant pas endommagée, le Qatari pourra poursuivre sa course normalement aujourd’hui.

« C’est un rallye important puisque nous sommes en tête des championnats Pilotes et Constructeurs.

Comme il y a deux ans, je peux remporter le titre ici. C’était un des meilleurs souvenirs de ma carrière et j’aimerais revivre cela. En même temps, nous avons vu l’année dernière qu’il y a une part d’incertitude en sport auto. C’est une épreuve délicate, avec beaucoup de pièges. Tout peut arriver ! Il faut rouler comme on sait le faire, en faisant abstraction de tout ce qu’il y a autour de cet évènement. »

MIKKO HIRVONEN

« C’est un rallye important pour moi afin de préparer l’année prochaine, car il faudra que je franchisse un palier sur asphalte. Mon but est donc de hausser le rythme et de me rapprocher encore plus des meilleurs ici, donc de Séb. C’est évidemment une épreuve importante pour l’équipe, car nous pouvons remporter le titre Constructeurs. J’aime les spéciales qui sont très rapides, même si je suis plus à l’aise quand c’est très sinueux, comme en Corse. C’est justement sur ce type de route qu’il faut que je progresse. »

THIERRY NEUVILLE

« C’est un beau rallye s’il fait sec, mais s’il pleut c’est moins sympa. L’objectif pour nous est tout d’abord de rallier l’arrivée. Mais on a le droit de rouler ! Je vais essayer d’adopter le même rythme qu’en Allemagne. C’est un rallye où il y a beaucoup de changements d’adhérence et de rythme. Il y a des spéciales où tu commences sur une route large, puis ensuite tu bifurques sur une route forestière avec beaucoup de graviers. Il faut sans cesse s’adapter à ces changements, c’est la difficulté de cette épreuve. »

1 Neuville

Citroën 2’44’’7

2 Latvala

Ford

+0.8

3 Sordo

Mini

+1.3

NASSER AL-ATTIYAH

= Solberg

Ford

+1.3

= Hirvonen

Citroën

+1.3

6 Chardonnet

Citroën

+1.4

7 Loeb

Citroën

+1.6

8 Tänak

Ford

+2.5

9 Novikov

Ford

+3.6

10 Atkinson

Mini

+4.2

« Je suis prêt et motivé. Nous avons effectué de bons essais sur asphalte, le shakedown s’est bien déroulé et ce sont des spéciales intéressantes. Nous avons encore beaucoup à apprendre sur ce type de terrain. C’est un rallye compliqué car il faut être précis dans les trajectoires et garder le bon rythme.

Si on hésite trop, notamment dans les portions très rapides, on perd beaucoup de temps. Tout est une histoire de tempo. »

SÉBASTIEN CHARDONNET

« Il s’agit de mon premier rallye de Championnat du Monde avec la DS3 WRC. J’ai effectué 350 kilomètres à son volant, 200 en essais et 150 au Rallye Vosgien, que j’ai terminé en troisième position. Je suis là pour prendre de l’expérience, le seul objectif est d’aller au bout du rallye. Le plus difficile est d’appréhender la vitesse de passage en spéciale, tant la DS3 est efficace par rapport à tout ce que j’ai piloté jusque là. »

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CLASSEMENT APRÈS ES1

EN DIRECT DE STRASBOURG...

MIKKO DÉCOUVRE C-ZÉRO Peu avant de prendre le départ de la première spéciale, tracée dans les rues de Strasbourg, tous les pilotes du Championnat du Monde des Rallyes ont effectué leurs reconnaissances à bord de CZéro, le premier véhicule 100% électrique de Citroën.

C

itroën C-Zéro est une citadine compacte qui offre quatre places. Spacieuse, elle est propulsée par un moteur électrique de 67 ch et propose une autonomie d’environ 150 kilomètres pour une vitesse maximale de 130 km/h.

C’est donc en silence, sans émission de CO2 et dans une ambiance bon enfant que les meilleurs pilotes du monde ont parcouru pour la première fois les 3,63 kilomètres de l’ES1 du Rallye de France. « Nous avions déjà fait une opération similaire lors du rallye d’Allemagne », se souvient Mikko Hirvonen. « Cette fois tout le monde utilisait des Citroën C-Zéro. »

monter, c’est une des choses que les spectateurs adorent. C’est également indispensable pour la sécurité du public, qui doit savoir quand une voiture arrive. Cependant, je pense qu’il y a de nombreuses disciplines du sport automobile où les voitures 100% électriques seront totalement adaptées. »

« Ce qui est vraiment agréable, c’est qu’il n’y a aucun bruit dans l’habitacle », poursuit le Finlandais. « C’est vraiment pratique pour dicter les notes. Le moteur électrique est assez surprenant et offre un couple impressionnant. L’impression qui se dégage est une grande efficacité.

Nous n’avions pas besoin d’aller à la limite de la voiture pour faire nos reconnaissances. » De plus en plus performantes et de plus en plus endurantes, les voitures électriques font aujourd’hui partie de notre quotidien. « Citroën C-Zéro symbolise l’avenir des citadines. En ville, c’est l’outil idéal », poursuit Mikko. « En revanche, le bruit fait partie des éléments du spectacle offert par le rallye. Entendre une voiture de course arriver au cœur d’une forêt, écouter les rapports

TOP CHRONO est édité par Citroën Racing Communication. Directeur de la publication : Yves Matton - Rédacteur en chef : Marie-Pierre Rossi Rédaction : Jérôme Roussel, Frédéric Espinos - Photos : Citroën Communication (Jérôme Lejeune, Nicolas Dunglas, Antonin Guy, Xavier Degon, Yuan Chao), McKlein, Nicolas Zwickel - Conception : Zone Rouge Impression : Imprimerie Jung.

CITROËN RACING 19, allée des Marronniers 78035 Versailles - FRANCE

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ODYSSÉE ÉLECTRIQUE

ENSEMBLE ON PEUT ALLER PLUS LOIN !

Vous n’avez pas pu échapper à la dernière publicité TV de Google, relatant l’aventure de Xavier et Antonin sur la musique tubesque de C2C. Après 8 mois, 25 000 kilomètres, 17 pays traversés à bord d’une Citroën C-Zéro, ces deux ingénieurs ont bouclé le premier tour du monde en voiture électrique.

Partis de Strasbourg le 11 février 2012, ils sont revenus dans la ville d’accueil du Rallye de France le 24 septembre dernier Durant tout leur périple, baptisé l’Odyssée Electrique, Xavier Degon et Antonin Guy ont rechargé leur Citroën C-Zéro chez des « pluggers » rencontrés tout au long de leur parcours. Y compris dans les déserts du Nevada ou du Kazakhstan !

Pour seulement 250 euros d’électricité, ils sont allés au bout du défi en valorisant l’image de la voiture électrique auprès du grand public. « Si nous avons réussi à faire le tour du monde en voiture électrique de série, vous pouvez l’utiliser pour la majorité de vos trajets quotidiens » expliquent les deux pionniers.

Grâce à eux, la Citroën C-Zéro est entrée dans l’histoire comme la première voiture électrique de série à avoir réalisé une tour du monde.

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SÉBASTIEN LOEB RÉPOND À VOS QUESTIONS...

« FAIRE AUTRE CHOSE TANT QUE JE SUIS AU TOP » Première question : pourquoi ne pas viser un dixième titre ? « Je n’ai jamais résonné en terme de chiffres ou de records. La question n’était pas de savoir si je voulais me battre pour un titre de plus mais si je voulais encore rouler en rallye ou pas. Aujourd’hui nous avons décidé de continuer notre collaboration avec Citroën et d’envisager un nouveau challenge, avec le WTCC. C’est exactement ce qu’il me fallait. » Justement, pourquoi le WTCC et non un retour aux 24h du Mans ? « Je crois que le WTCC correspond bien à la marque Citroën. C’est une discipline sprint, avec des voitures qui ressemblent aux voitures de série et c’est un Championnat du Monde de haut niveau. Personnellement, les courses en peloton me conviennent bien. Il y avait également une volonté de trouver une discipline où je puisse être de nouveau associé à la marque, ce qui aurait été moins le cas dans une catégorie où l’on partage le volant.

Les 24 Heures du Mans, cela reste une possibilité me concernant, mais pas à court terme, ou alors en tant que team-manager de mon équipe. » Tu dis souvent vouloir plus de temps libre, mais visiblement 2013 va être une année chargée ? « Dès que nous avons convenu avec Citroën que je deviendrais ambassadeur de la marque, j’ai immédiatement demandé à avoir un rôle actif !

Je ne suis pas retraité, c’est pour ça que je voulais vraiment réorienter ma

Juste avant de prendre le départ du Rallye de France, Sébastien Loeb a répondu aux questions posées par les internautes via la page Facebook de Citroën Racing. carrière en étant encore au top de ma forme. Cela ne m’aurait pas intéressé de me lancer dans une discipline sans avoir les capacités de me battre aux avant-postes. C’est donc le bon moment pour ça, il ne fallait pas attendre plus longtemps. En montant mon équipe, je me suis également rendu compte à quel point j’ai besoin d’être au volant. Team manager ça me plait, mais je ne veux vraiment pas faire que ça. » Sais-tu ce que va faire Daniel ? « Daniel et moi avons toujours dit que nous ne ferions pas la saison 2013.

Cela fait cinq ou six ans que nous en

parlons ensemble. Daniel est superstitieux et ce chiffre 13 ne l’attire vraiment pas. Je ne sais pas trop ce qu’il va faire, mais on pourra toujours le prendre comme panneauteur dans l’équipe en WTCC ! Il a également son entreprise, All Sport Management et je sais qu’il va plus s’invertir. » Peux-tu nous dire quels seront les rallyes qui figureront à ton programme 2013 ? « La seule certitude est que nous serons au départ du Monte-Carlo.

Ensuite rien n’est décidé. Je crois cependant qu’il ne faut pas trop d’écart entre les rallyes, afin de rester affû-

tés. C’est certain que si on fait le Monte-Carlo puis plus rien jusqu’en Finlande, nous ne serons pas dans le coup. Mais rien n’est figé. Il faut aussi tenir compte des rallyes qui sont importants pour Citroën. » On dit que l’appétit vient en mangeant. Tu ne risques pas de te prendre au jeu et de vouloir jouer le titre après un bon début de saison ? « Non, car je n’aurai pas le temps et je ne veux pas faire toute la saison. Si le programme WTCC se concrétise, nous allons avoir beaucoup de travail car mon souhait est que nous soyons prêts pour 2014. »

GAGNEZ UN WEEK-END VIP AU RALLYE D’ESPAGNE !

Si vous êtes plutôt doué derrière l’objectif et que la perspective de gagner un week-end tout compris pour 2 personnes au Rallye d’Espagne (9-11 novembre) vous fait baver d’envie, ne manquez surtout pas le concours organisé sur la page Facebook de Citroën Racing ! Publiez votre plus belle photo et faites le buzz pour qu’elle obtienne le plus grand nombre de votes !

Rendez-vous sur www.facebook.com/citroenracing pour participer !

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Est-ce que tu t’intéresses aux jeunes espoirs du rallye ? « Je ne connais pas tout le monde, mais forcément je regarde les résultats des jeunes qui roulent en Citroën Racing Trophy. C’est clair que si un jour j’ai la possibilité d’aider un jeune prometteur, comme on m’a aidé à mes débuts, je le ferai avec plaisir. » Est-ce que le rallycross ou le rallye-raid – et plus particulièrement le Dakar – sont des disciplines qui t’attirent ? « J’ai participé aux X-Games, en Californie, cet été. C’était vraiment sympa. J’ai notamment découvert les Etats-Unis à cette occasion. Faire du coup par coup sur des évènements comme celui-ci, c’est possible, mais il faut que cela reste exceptionnel.

Concernant le Dakar, j’aimerais le faire un jour, mais plutôt avec un pote car Daniel me paumerait tout le temps ! D’un autre côté, même si je le fais avec un pote et en totale décontraction, je vais quand même être attendu au tournant. Ce sera donc pour plus tard… quand je ne roulerai plus que pour le plaisir et sans prétention sportive. » Quelle a été ta meilleure année avec Citroën ? « C’est très difficile à dire. L’année du premier titre est forcément un grand souvenir car c’était un aboutissement. Lorsque j’ai débuté en rallye, c’était avec l’objectif d’être Champion du Monde. Ensuite je garde un grand souvenir de mon titre gagné ici-même, en Alsace, il y a deux ans. »

Xsara, C4, DS3 : quelle est ta WRC préférée ? « Encore une question compliquée !

A chaque époque, j’ai adoré ma voiture. La Xsara était super et c’est à son volant que j’ai remporté mes premières grandes victoires. La C4 était différente de par son gabarit.

Enfin la DS3 est super efficace. Ce n’est pas simple de les comparer, mais la DS3 est un peu particulière car nous l’avons développée de A à Z, avec plus d’expérience que pour la C4 par exemple. Elle me convient à 100%, par sa taille, par son style.

Elle est vive et demande un style de pilotage qui me convient très bien. » Quel a été ton adversaire le plus coriace ? « On dit souvent que Marcus Gronholm était mon meilleur ennemi.

J’aime son état d’esprit. C’est un grand sportif, extrêmement fair-play.

Lorsque j’ai perdu contre lui en Nouvelle-Zélande pour trois dixièmes, j’étais déçu, mais c’était une bagarre d’enfer et inoubliable. Je suis heureux d’avoir vécu cela. Ceci-dit, j’ai toujours respecté tous mes adversaires.

C’est une des valeurs du rallye. » Revenons au WTCC pour cette dernière question : aimerais-tu faire équipe avec un autre Alsacien, également champion du monde ? « Un pilote comme Yvan Muller est forcément quelqu’un avec qui nous allons discuter. Il a l’expérience de la discipline. Le fait que nous nous entendions très bien est aussi un facteur qui nous rapproche. Cela pourrait être sympa, mais tout ce projet reste à construire. »

SES PETITS SECRETS...

MON PREMIER COUP DE VOLANT...

J’avais quatre ans et ce n’était pas vraiment volontaire. Je jouais dans la 2CV de mon père et j’ai desserré involontairement le frein à main alors qu’elle était garée dans une descente. La voiture est partie, j’ai réussi à prendre le virage mais j’ai fini dans l’escalier de la maison de ma grand-mère !

MON PILOTE PRÉFÉRÉ...

Je n’ai jamais eu de pilote référence car je ne connaissais pas grand-chose au sport automobile avant de le pratiquer.

LES PERSONNES DÉCISIVES DANS MON PARCOURS...

Il y en a trois. Dominique Heintz, qui m’a aidé à débuter. Jean-Pierre Champeau, qui a été un partenaire très important et Guy Fréquelin, l’ancien directeur de Citroën Sport.

LA PREMIÈRE CHOSE QUE JE FAIS EN RENTRANT D’UN RALLYE...

Je passe du temps avec ma fille.

CE QUE JE PRÉFÈRE SUR LA CITROËN DS3 WRC...

Son look.

MON FILM PRÉFÉRÉ...

J’aime surtout les films policiers, avec des intrigues et du suspense.

MON CHANTEUR PRÉFÉRÉ... Ça change selon les années. Je ne suis pas enfermé dans un style de musique, mais j’aime bien un groupe comme Téléphone qui est justement intemporel.

MON PLAT PRÉFÉRÉ...

La viande rouge en général et la côte de bœuf en particulier, la meilleure étant celle que je me fais chez moi, autour d’un barbecue avec mes amis.

CE QUE JE PENSE DE MA CÉLÉBRITÉ...

Il y a des avantages, parfois ça sert.

Globalement ce n’est pas envahissant, je ne suis harcelé par personne ni suivi en permanence par des paparazzis. En principe ce sont des gens qui m’arrêtent dans la rue pour me saluer et me féliciter, c’est toujours amical. Les gens sont toujours respectueux et c’est tout à fait gérable.

MON LIEU DE VACANCES FAVORI...

Sur mon bateau… Cela permet d’avoir plein de lieux de vacances favoris et d’être chez soi partout.

L’ACCESSOIRE SANS LEQUEL JE NE SORS JAMAIS...

Mon téléphone. A une époque j’en avais deux, mais ça m’énervait et je n’ai désormais plus qu’un iPhone.

CE QUE JE N’AI JAMAIS OSÉ FAIRE...

J’ai eu la chance de vivre de nombreuses expériences, y compris voler dans un avion de chasse ou piloter une F1. Il n’y a rien que je n’ai jamais osé faire.

Le dernier truc impressionnant, c’était du saut à ski avec réception sur un tapis gonflable. C’est assez marrant car on peut tenter des sauts improbables.

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07h45 Assistance B (Zénith Strasbourg - 15’) 09h23 ES2 : Hohlandsbourg / Firstplan 1 (28,67 km) 10h06 ES3 : Vallée de Munster 1 (22,16 km) 11h22 ES4 : Soultzeren / Pays Welche 1 (19,93 km) 13h15 Assistance C (Colmar - 15’) 13h56 ES5 : Hohlandsbourg / Firstplan 2 (28,67 km) 14h39 ES6 : Vallée de Munster 2 (22,16 km) 15h55 ES7 : Soultzeren / Pays Welche 2 (19,93 km) 18h35 ES8 : Mulhouse (4,65 km) 20h15 Assistance D (Zénith Strasbourg - flexi 45’)

MÉTÉO

FRÉQUENCES FRANCE BLEU

10-24°

Strasbourg Munster Colmar Mulhouse

COLMAR

DIRECTS TV SPORT+

STRASBOURG

12-24° MULHOUSE

11-23°

ES2 et 3 9h15 ES4 11h15 ES5 et 6 13h45 ES7 15h50 ES8 18h30

LE PARCOURS DU JOUR PAR JARMO LEHTINEN

« UN CONDENSÉ DE TOUTES LES DIFFICULTÉS » Si le Rallye de France Alsace a débuté hier soir par la Super Spéciale de Strasbourg, les choses sérieuses commencent aujourd’hui avec une boucle de trois épreuves tracées autour de la ville de Munster, puis la Super Spéciale de Mulhouse. Au total, les concurrents devront s’affranchir d’un peu plus de 146 kilomètres chronométrés. Jarmo Lehtinen nous livre les clés de cette journée.

C

’est une première journée intéressante, puisqu’elle regroupe toutes les difficultés que nous allons rencontrer durant ce rallye, à savoir des spéciales où il faut du rythme, avec de nombreux changements de surface, des portions très rapides et une super spéciale pour finir.

Il faudra être bien réveillé et faire le bon choix de pneumatiques pour Hohlandsbourg – Firstplan. Il s’agit de deux spéciales disputées les années précédentes qui ont été regroupées, avec une partie que nous découvrons au milieu. Le départ est très intéressant et idéal pour prendre le bon rythme pour ce rallye. Il y a du grip avec un enchainement de virages assez différents les uns des autres.

On arrive ensuite sur une nouvelle portion, assez rapide. Il faut faire attention à ne pas crever car on a tendance à couper les cordes. C’est une bonne spéciale pour débuter car on retrouve en quelque sorte un condensé du rallye en 28 kilomètres. Le chrono de la Vallée de Munster emprunte le même type de routes, mais encore plus typées. Si c’est sec, il y a un super grip et cela en fait une de nos spéciales préférées sur asphalte.

La troisième spéciale, Soultzeren – Pays Welche, est totalement diffé-

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rente. C’est une succession de portions larges et rapides. L’idéal serait d’avoir une voiture de circuit ici ! La première partie est en montée, sans réelle difficulté. Ensuite on attaque la descente, et là ça devient vraiment ultra-rapide. Il y a plusieurs virages où il ne va pas falloir lever le pied.

C’était déjà impressionnant lors des reconnaissances…

La journée se termine par la Super Spéciale de Mulhouse. Ce n’est pas la plus intéressante, mais on ne peut pas se permettre de gérer dans ces portions. Les rallyes se jouent à la seconde près, il faut donc attaquer dans tous les secteurs chronométrés. Il faut faire très attention aux trottoirs et aux blocs de béton, car la moindre touchette peut être fatale.

LE GUIDE DU SPECTATEUR La liste des engagés, les cartes des étapes et surtout les meilleurs ‘spots’ du Rallye de France sont dans notre Guide du Spectateur. Vous pouvez vous le procurer au parc d’assistance auprès des hôtesses Citroën Racing ou le consulter sur internet : http://bit.ly/guide-france-2012

101.4 104.9 102.6 102.6

MONDIAL DE L’AUTOMOBILE

LE PLUS BEAU SHOWROOM...

Le Mondial de l’Automobile de Paris est un rendez-vous majeur pour Citroën. Outre les annonces de l’avenir sportif effectuées lors de la journée de lancement, la Marque y déploie toute sa créativité et son savoir-faire pour vous présenter son plus beau show-room.

Quarante-et-une voitures sont exposées, dont quatre concept cars.

S

i vous vous rendez au Parc des expositions de la porte de Versailles avant le 14 octobre, le passage par le Hall 1 est incontournable. Citroën au Mondial de l’Automobile de Paris, c’est un stand de 4000 m2 où créativité et technologie sont mises à l’honneur. Présentée en première mondiale, Citroën DS3 Cabrio est une des stars du salon. Elle trône au milieu de l’ensemble de la ligne DS, symbole de la réussite du Made in France, avec ses trois modèles qui totalisent 250 000 exemplaires commercialisés en 20 mois.

Côté développement durable, Citroën présente différentes technologies qui vont du système micro-hybride e-HDI au véhicule full électrique en passant par la technologie hybride-diesel. Le Mondial de l’Automobile est l’occasion de découvrir la Créative Technologie au service de l’environnement.

Symboles de la passion automobile et préfigurant le futur stylistique et technologique de la Marque, quatre concept-cars sont autant d’invitations au rêve : DS3 Electrum, DS4 Racing Concept, Numéro 9 et Tubik, un shuttle technologique qui redonne goût au voyage, ne manqueront pas de fasciner les petits et les grands.

Outre le stand principal du Hall 1, Citroën est présent à de multiples points du salon. La Citroën DS5 Présidentielle est présentée sur le stand du Pays de Montbéliard et les nostalgiques ont rendez-vous dans le hall dédié aux voitures anciennes pour (re)découvrir l’histoire publicitaire de la Marque.

Citroën propose justement de nombreuses animations à destination de toute la famille. Les équipages du Citroën Total World Rally Team se sont rendus sur place pour rencontrer le public, tout comme les designers de la Marque ou les héros de l’Odyssée électrique (lire page 3). Le mercredi, c’est évidemment le jour des enfants avec des concours de dessin, des tours de magie, un goûter gastronomique, un cinéma 4D, un circuit miniature Hybrid control et bien d’autre surprises...

Le sport est à l’honneur avec la DS3 Racing ‘Sébastien Loeb Edition’, la DS3 WRC et la collection complète des produits Citroën Racing.

Pour tout comprendre et tout savoir, les visiteurs peuvent aller à la rencontre des 180 hôtes et hôtesses équipés de tablettes multimédia. Ils pourront vous diriger vers le centre d’essais « DS Tour » situé à quelques kilomètres de là, quai de Javel.

Première mondiale pour DS3 Cabrio, que vous pourrez découvrir en détails dimanche dans ce magazine...

Expression du luxe à la française, le concept car Numéro 9 est présenté pour la première fois en Europe.

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