La gamme Kia électrifiée.
Vous pensez déjà à l’avenir. Et nous y pensons avec vous.
Aujourd’hui, chaque organisation se prépare pour l’avenir, y compris au niveau de sa flotte automobile. C’est pourquoi nous vous proposons dès aujourd’hui un choix de pas moins de 4 types d’électrification pour 13 modèles, dont la Kia EV6 100% électrique, la Kia Niro EV 100% électrique et la Kia Sportage hybride rechargeable. Grâce à leurs technologies de pointe, ces motorisations vous offrent un équilibre parfait entre émissions minimales - voire nulles et confort maximal. Cela les rend fiscalement attrayants, tout en garantissant l’enthousiasme de vos collègues à leur égard.
Toujours 7 ans de garantie.
C’est précisément parce que Kia se fixe les normes de qualité les plus strictes que nous pouvons proposer, sur nos voitures, une garantie complète de 7 ans ou 150 000 kilomètres. De plus, au cours de cette période, la garantie est également transférable aux propriétaires ultérieurs, ce qui contribue à améliorer la valeur de reprise et la valeur résiduelle.
Découvrez votre Kia idéale chez votre concessionnaire ou sur b2b.kia-showroom.be
Kia Sportage hybride rechargeable.
La cinquième génération du Sportage est développée sur une toute nouvelle architecture qui lui permet d’offrir une expérience de conduite améliorée et un design beaucoup plus audacieux. Grâce à l’intégration d’un tableau de bord avec écran numérique incurvé, son habitacle se la joue high tech. Sa version hybride rechargeable, offrant jusqu’à 70 km en full électrique, bénéficie d’une déductibilité fiscale de 100 %*.
Aussi disponible
Ses points forts
• 100% déductible fiscalement*
• Un design extérieur et intérieur progressif
• Niveau technologique et aides à la conduite très avancés
• Coffre spacieux d’une capacité de 540 litres
• Ouverture et fermeture du coffre mains libres
• Tableau de bord incurvé de 12,3’’ & écran navigation incurvé de 12,3’’
• Barre de commande média/airco Multi-mode
Démarrez chaque journée de travail avec une nouvelle charge d’inspiration.
Kia EV6 GT.
Hautes performances et design musclé.
Vainqueur du Best Car Awards 2022 du Moniteur Automobile dans la catégorie électrique compacte.
La Kia EV6 GT marque le début d’une nouvelle ère, celle de l’innovation et du design, à l’intérieur comme à l’extérieur, avec sa technologie intuitive qui rend chaque trajet plus inspirant. Il se démarque par ses performances électriques hors du commun et par son avant accrocheur. Avec son temps de charge rapide de 10% à 80% en 18 minutes, ce crossover moderne entièrement électrique établit de nouvelles normes à chaque tournant.
ÉLECTRIQUE
Ses points forts
• 100% déductible fiscalement*
• Recharge ultra rapide de 10 à 80% en 18 minutes
• Jusqu’à 528 km d’autonomie
• Tableau de bord incurvé de 12,3’’ & écran navigation incurvé de 12,3’’
• Phares LED avec faisceau dynamique
• Jantes 21’’ en alliage
• Régulateur de vitesse adaptatif & Assistant Autoroute
Déductibilité fiscale 100%
• Utilisez votre véhicule comme source d’énergie pour recharger vos appareils (comme par exemple votre vélo électrique), partout et à tout moment (V2D).
• Sièges avant chauffants
• Caméra 360°
Kia Niro EV.
100 % élégant, 100 % électrique.
Vous cherchez une voiture qui contribue à une entreprise durable et dynamique ?
Alors, vous pouvez compter sur la Kia Niro EV 100 % électrique. En plus d’une autonomie qui peut atteindre 460 km, elle vous offre un intérieur spacieux et de nombreuses technologies qui rendent chaque trajet plus agréable. De plus, ce crossover est équipé d’une technologie de charge avancée, ce qui lui permet de passer de 10 % à 80 % de charge en 43 minutes à peine.
Ses points forts
• 100% déductible fiscalement*
• Jusqu’à 460 km d’autonomie
• Phares Dual LED
• Jantes en alliage 17”
• Régulateur de vitesse intelligent
• Caméra de recul
• Tableau de bord 10,25” et écran multimédia 10,25” avec Apple CarPlay & Android Auto
• Système de navigation
• Sièges avant et volant chauffants
• Utilisez votre véhicule comme source d’énergie pour recharger vos appareils (comme par exemple votre vélo électrique), partout et à tout moment (V2D).
Aussi disponible
100%
Kia XCeed hybride rechargeable.
Une technologie qui vous fait avancer.
Un look irrésistible qui impressionne, un niveau de confort élevé et une généreuse gamme d’équipements technologiques : la Kia XCeed hybride rechargeable suscitera à coup sûr l’enthousiasme de vos collaborateurs. Et vous aussi vous tomberez sous le charme en découvrant ses chiffres de consommation et ses avantages fiscaux.
Aussi disponible
Déductibilité fiscale 100%
Ses points forts
• 100% déductible fiscalement*
• Jusqu’à 48 km d’autonomie en mode électrique
• Phares LED avant
• Capteurs de parking arrière
• Caméra de recul
• Jantes 16’’ en alliage
• Ecran multimédia 10.25” avec Apple CarPlay & Android Auto
• Système de navigation
• Régulateur de vitesse intelligent
Esprit torturé
En tant que journaliste, les esprits torturés de nos politiciens demeurent une bénédiction. De jolis coups face auxquels on ne peut qu’acquiescer. Mon héros du mois, c’est le ministre de la Mobilité, c’est Georges Gilkinet (Ecolo). Dans une interview à un quotidien, il a de nouveau tiré à boulet rouge sur la voiture de société. J’utilise volontairement le terme ‘à nouveau’, puisqu’il semble bien que la haine des voitures de société soit inscrite dans le patrimoine génétique des Verts. C’est comme pour la fermeture des centrales nucléaires. Et nous savons depuis où cela nous a mené. Son Excellence a lors de cette interview fait l’amalgame entre les notions de voiture-salaire et de voiture de société. C’est si facile d’un point de vue populiste. Il est également parvenu à faire le lien avec cette alternative sans espoir, à savoir le train. Le lendemain du jour où la SNCB a paralysé le pays après une grève de trois jours. Raconter autant de bêtises, faut le faire.
Sinon, il a poursuivi sur son élan en affirmant que l’on "ferait mieux de payer les gens en argent plutôt qu’en voitures". Voilà ce que je lui réponds: "Qu’estce qui vous en empêche?" Ecolo et Groen sont au gouvernement fédéral, qui doit composer avec un déficit budgétaire de 34 milliards d’euros. Monsieur Gilkinet se fait fort d’insister auprès du ministre des Finances Vincent Van Peteghem (CD&V) qu’il faut davantage travailler sur une réforme de la fiscalité de la voiture de société – je suppose qu’il parle de la voiture-salaire. Bonne chance pour compenser cela en net. Nous restons le pays exerçant la pression fiscale la plus élevée sur le travail. Et allons-nous aussi supprimer les avantages fiscaux sur les vélos de société et ces dizaines d’autres avantages extralégaux? Ou va-t-on s’en tenir à cette diabolisation de la voiture de société? Ce genre de discours ne se vend-il pas plus facilement à un certain électorat qui confond jalousie et faits établis? Je suis curieux de découvrir la prochaine interview de M. Gilkinet. En espérant ne pas devoir la lire à la lueur d’une bougie.
Philip De Paepe
Rédacteur
JANVIER 2023
14
SPOTLIGHT
17
COLUMN
32
FLEET PEOPLE
Koen Claesen – Van Mossel
Automotive Groep België & Luxemburg:
« Vous ne pouvez pas gérer une entreprise automobile depuis une tour d’ivoire »
45 FLEET EVENTS
Let’s Talk FLEET: Le marché de l’occasion se tasse, ses prix augmentent de 40%
46
FLEET RESEARCH
Global Fleet Survey: C'est en Europe que l'électrification progresse le plus vite
48
FLEET FISCALITY La fiscalité 2023 en détails
52
AUTO
52 Peugeot 408: Juste à temps ! 54 Rendez-vous au Salon de Bruxelles pour trouvez votre nouvelle voiture de société !
58
FLEET 2WHEELMOBILITY
FLEET E-Bike of the Year: Trek Allant
Vicky
GMS
Award: DriveBlue.be
DANS LE PROCHAIN NUMÉRO
• Dossier private lease: focus sur le rôle des loueurs sur les EV d'occasion
• Dossier : vers la fin des voitures compactes ?
• Auto : l'électrification complèete est-elle une erreur ?
• Recharge bidirectionnelle : où en est concrètement la technologie ?
15,9 - 22,6 kWh/100 KM • 0 G/KM CO₂ (WLTP).
Contactez votre concessionnaire pour toute information relative à la fiscalité de votre véhicule.
Informations environnementales AR 19/3/2004 : www.mercedes-benz.be – Donnons priorité à la sécurité. La disponibilité de cette fonction dépend du modèle et de la configuration individuelle.
En parfaite symbiose : DOLBY ATMOS® et le système de sonorisation à 360° Burmester® vous offrent un plaisir d’écoute époustouflant à bord de votre Mercedes. Découvrez nos conditions Salon et vivez l’avenir dès aujourd’hui chez votre Concessionnaire Agréé Mercedes-Benz.
INNOVATIONS PAR
Désormais vraiment réservés aux professionnels
Il a longtemps été une épine dans le pied des politiciens, notamment des Verts : le régime fiscal favorable aux pick-up. En Flandre, cela touche à sa fi n. Désormais, les particuliers propriétaires d’un tel véhicule seront taxés au même titre que les voitures particulières. La bonne nouvelle : ceux qui utilisent un tel véhicule à des fi ns professionnelles continueront de bénéficier d’un avantage fiscal important...
Philip De Paepe – philip.depaepe@effectivmedia.be
Elle se faisait attendre depuis un moment : à l’heure du verdissement fiscal du parc automobile, l’anomalie de la fiscalité très favorable aux pick-up devenait progressivement insoutenable. Et l’expression ‘très favorable’ n’est en aucun cas exagérée : pas de TMC et une taxe de circulation annuelle moyenne de 160 euros. Le particulier pourrait envisager d’acheter un pick-up robuste pour moins que ça. Mais ce régime touche donc à sa fin. Le gouvernement flamand a désormais placé le pick-up sur un pied d’égalité fiscal avec les voitures particulières, et cela a des conséquences majeures pour les propriétaires…
De zéro à…
Le calcul démarre dès l'immatriculation du véhicule. Et c’est salé.
Auparavant donc zéro euro de TMC, alors que le gouvernement flamand estime que sous le nouveau régime, ce montant se situera entre 7.000 et 8.000 euros, en fonction du véhicule. L’importance de ce montant dépendra des paramètres qui s’appliquent également aux voitures particulières. Il s’agit principalement de caractéristiques environnementales telles que les émissions de CO2, de particules fines, le type de carburant, la norme Euro et la présence d’un filtre à particules. L’âge du véhicule basé sur la date de la première immatriculation est également inclus dans le calcul. Comme l’électrification des pick-up n’est pas encore vraiment populaire et que le diesel y joue encore souvent un rôle prépondérant, les particuliers voient déjà les nuages noirs s’amonceler.
Mauvaise nouvelle aussi pour la taxe de circulation : le gouvernement flamand prévoit une augmentation moyenne d’environ 160 à 850 euros. Mais cela peut aussi être beaucoup plus, selon le véhicule. Avec de tels montants, il se pourrait que le marché des particuliers s’effondre en Flandre.
Et en Wallonie ?
Par ailleurs, les nouvelles ne sont pas meilleures pour les amateurs de pick-up de l’autre côté de la frontière linguistique. La Wallonie a même devancé la Flandre en uniformisant, début 2022, la fiscalité des pick-up et des voitures particulières. Auparavant, les véhicules utilitaires légers (y compris les pick-up) n’étaient pas soumis à l’équivalent de la TMC en Flandre. Le montant de
Pick-up ‘fiscaux’
la taxe de circulation annuelle a été fixé forfaitairement en fonction de la masse du véhicule. Les propriétaires de ces véhicules étaient également exonérés de l’éco-malus (pour les véhicules émettant plus de 145 gr CO2/km). Ce système s’appliquait naturellement aux indépendants et aux entreprises, mais aussi aux particuliers.
Pour les véhicules utilitaires et les pick-up immatriculés à partir du 1er février 2022, seuls les indépendants et les personnes morales inscrits à la Banque Carrefour des Entreprises (BCE) et pouvant justifier d’une utilisation professionnelle minimale de ce type de véhicule continueront à pouvoir bénéficier du régime fiscal avantageux qui s’applique aux camionnettes et aux pick-up.
Des échappatoires ?
Quiconque pense pouvoir contourner les nouvelles règles en optant pour un exemplaire d’occasion sera également déçu. Dans ce cas, les nouvelles règles s’appliquent pour les immatriculations à partir du 1er janvier 2023, comme pour les véhicules neufs. Les particuliers qui conduisent déjà un pick-up peuvent dormir sur leurs deux oreilles. Pour eux, rien ne change. En cas de revente, le nouveau propriétaire tombera sous le nouveau régime. Ce qui n’est pas non plus favorable à la valeur du véhicule d’occasion si celui-ci change de propriétaire en Belgique.
Bon de commande
La rapidité est le dernier espoir de l’acheteur privé. Ceux qui commandent un pick-up avant la fin de
l’année peuvent toujours profiter du régime fiscal avantageux. Le bon de commande fait office de justificatif. Le contribuable devra alors le remettre à l’administration fiscale avant le 15 février 2023.
Professionnels : rien ne change
Seule bonne nouvelle : pour les entreprises, les indépendants et les voitures de leasing, rien ne change. Ils restent exonérés de la TMC et paient une faible taxe routière pour les utilitaires légers.
Seule bonne nouvelle : pour les entreprises, les indépendants et les voitures de leasing, rien ne change.
Volkswagen ID. 100% électriques : maintenant aussi en finitions Business
• 100% déductibles fiscalement*
• Avantage Toute Nature réduit
• Valeur résiduelle élevée
• Total Cost of Use optimisé
Volkswagen ne cesse d’élargir sa gamme de véhicules 100% électriques. L’ID.3 (une berline compacte), l’ID. 4 (un SUV dynamique), l’ID. 5 (un SUV coupé sportif) et l’ID. Buzz (le premier monovolume 100% électrique) seront bientôt rejoints par une élégante nouvelle berline spacieuse 100% électrique dans le segment D/E, avec l’espace généreux d’un SUV et un superbe design extérieur fluide, précis et aérodynamique, contribuant aussi à augmenter son autonomie.
Tous nos modèles ID. sont désormais aussi disponibles en finitions Business : des configurations exclusives, avec les équipements les plus demandés en Belgique, aux meilleures conditions.
Découvrez la gamme ID. 100% électrique chez tous les concessionnaires Volkswagen et sur volkswagen.be
ID. RANGE 15,3 - 21,7 kWh /100 KM • 0 G /KM CO2 (WLTP)
volkswagen.be
Le plus grand showroom de Belgique ouvre à nouveau ses portes!
L’attente a été longue, mais nous y sommes: après une absence de deux ans, le Salon de l’Auto de Bruxelles ouvrira à nouveau ses portes en janvier. Aujourd’hui, Bruxelles est quasiment devenu une exception en Europe. Le salon de Genève n’a pas survécu au Covid et le salon de Paris fut une déception, de nombreuses marques européennes brillant surtout par leur absence.
Félicitations donc à l’organisateur, FEBIAC, de relancer le plus grand événement automobile de l’année en Belgique après deux années compliquées. Il s’agit d’ailleurs de la 100e édition. Redémarrer par un jubilé, il est difficile de rêver mieux. Le Salon de l’Auto accueille 55 exposants, essentiellement des constructeurs automobiles. Les utilitaires légers et les deuxroues (avec ou sans moteur) seront aussi présents.
Au niveau timing, ce Salon de l’Auto arrive au bon moment. Même si les livraisons ont pris du retard, cela n’a pas empêché les constructeurs de lancer de nombreux nouveaux modèles. Nombre d’entre eux sont entièrement électriques ou au minimum électrifiés (hybrides rechargeables). Au niveau des flottes, l’électrification progresse à un rythme effréné. Le client particulier reste par contre avec de nombreuses questions sans réponse. Le Salon de l’Auto est dès lors le lieu idéal pour donner un maximum de réponses.
Personnellement, je me réjouis énormément de visiter ce Salon. Ces deux dernières années, nous avons vu de nombreuses ‘tentatives de solutions transitoires’ avec un salon chez les distributeurs ou des alternatives numériques. Et c’est compréhensible car le mois de janvier reste le plus important pour la vente des voitures dans notre pays. Et cette opportunité, même dans des circonstances difficiles, il ne faut pas la laisser passer. Mais selon moi, un Salon de l’Auto présente encore une autre grande plus-value. Rien ne remplace l’expérience du réel. Une voiture, vous voulez la voir, la sentir, la vivre. Ce n’est pas non plus un smartphone que l’on commande en ligne. Et nulle part ailleurs, vous ne pouvez comparer autant de marques en un seul lieu.
En profitant des bonnes vibrations de ce Salon, nous pourrons découvrir de nombreuses nouvelles solutions de mobilité. Aujourd’hui, cela va bien au-delà l’automobile: il s’agit de trouver une mobilité adaptée aux besoins de chacun. Si nous pouvons assurer cette mobilité sur la voie publique dans le respect mutuel, le monde ne s’en portera que mieux dans un futur proche.
#13mots : Aujourd’hui, il s’agit de trouver une mobilité adaptée aux besoins de chacun.Retrouvez l'humeur souvent caustique de Philippe Quatennens sur l'actualité du secteur automobile dans chacune de nos éditions.
Un nouveau Fleet Manager pour Tesla
Les voitures électriques ont le vent en poupe en fleet, une vague sur laquelle Tesla surfe naturellement. Un nouveau Business Sales Leader
BeLux (en d’autres termes, un Fleet Manager), est venu renforcer les rangs de la marque américaine : Julian Swalus. Ce n’est pas le premier emploi dans le secteur automobile pour Julian Swalus. Il a été Fleet Account Manager au sein du Groupe Ollivier pendant six ans. Avec ce transfert chez Tesla, Julian Swalus dirigera une équipe de sept personnes :
• Joëlle Crab, Enterprise Operations Coordinator
• Willem Van Cleemput, Key Account Manager Belgium
• Benoit Van Bellingen, Account Manager Brussels
• Fabian Bailleul, Account Manager Lease
• Michael Debatty, Account Manager Limburg
• Olivier Chojnowski, Account Manager Wallonia
• Jeroen Vanneste, Account Manager East & West Flanders
Deux autres personnes viendront s’y ajouter, en tant qu’Account Managers pour les régions d’Anvers et du Grand-Duché de Luxembourg.
Inchcape lance bravoauto, une nouvelle activité de vente de voitures d’occasion en Belgique
Le marché des voitures d’occasion en Belgique est en plein essor. Un autre acteur rejoint les rangs : Inchcape lance bravoauto, une nouvelle entreprise de voitures d’occasion. bravoauto comprend une plateforme en ligne et le centre de livraison à Machelen. Tous les modèles proviennent de la centrale d’achat de bravoauto Belgique et du groupe Inchcape, avec un focus sur les modèles les plus populaires en Belgique. En plus des voitures d’occasion, bravoauto propose également divers services complémentaires, tels que la vente d’accessoires, des possibilités de financement, des garanties et des assurances.
Hedin Automotive étend son réseau Toyota à Geel
Van Mossel Carrosserie Aartselaar ouvre ses portes
Van Mossel investit dans l'avenir avec une toute nouvelle Carrosserie à la Boomsesteenweg 39 à Aartselaar. Le nouvel établissement est doté d'une infrastructure ultramoderne et de haute technologie, dans lequel les processus de réparation durables et l'utilisation de produits écologiques occupent une place centrale. La succursale est équipée de terminaux Smart Repair qui permettent de réparer rapidement et efficacement les plus petits dommages et garantissent aux clients des délais d'exécution plus courts. "Nous déchargeons complètement le client, pendant qu'il continue tranquillement à travailler ou qu'il savoure une bonne tasse de café dans notre espace client", explique Bart Van Koetsem, directeur général de Van Mossel Carrosserie Holding Belgium. L'ergonomie et le confort des employés ont également été pris en compte. Par exemple, chaque atelier est équipé d'un pont élévateur qui améliore le confort et l'efficacité des employés.
Hedin Automotive acquiert le concessionnaire Toyota Marc Janssens à Geel. L'acquisition élargit le réseau Toyota de l'entreprise et augmente sa pénétration sur le marché belge. Après les trois acquisitions précédentes des concessions Toyota de Laat à Sint-Pieters-Leeuw, Trullemans à Dilbeek et Klaasen à Turnhout plus tôt dans l'année 2022, cela signifie que Hedin Automotive disposera désormais de trois concessions Toyota et une concession combinée Toyota/Lexus en Belgique. Cela s'ajoute à l'activité Mercedes-Benz de Hedin Automotive en Belgique, qui comprend actuellement 19 points de vente consacrés à l'étoile. Au total, cela porte à 24 le nombre d'agences en Flandre, renforçant ainsi sa position comme l'un des plus grands groupes de concessionnaires de la région.
Jean-Michel Martin déploie de nouvelles collaborations pour Alpina
Distributeur BMW et MINI en région bruxelloise, le groupe Jean-Michel Martin est également importateur de la marque Alpina. C’est à ce titre que Jean-Michel Martin vient d’annoncer deux nouveaux partenariats.
BMW Delbecq à Serainget BMW Sneyers distribueront désormais Alpina, dans la partie occidentale du pays pour le premier, pour la région nord-est pour le second.
Avec ces deux nouveaux partenaires, Alpina double son nombre d’enseignes en Belgique, les deux autres distributeurs de la marque étant Jean-Michel Martin (Drogenbos et Woluwe) pour le centre du pays et BMW Monserez.
AG et BNP Paribas Fortis deviennent actionnaires de Touring
Après avoir conclu un partenariat en 2019, AG, BNP Paribas Fortis et Touring franchissent une nouvelle étape dans leurs solides relations. L’assureur et la banque sont en effet parvenus à un accord de principe avec l’asbl Touring Club Royal de Belgique sur le transfert de toutes les activités opérationnelles et commerciales du groupe Touring au sein de Touring SA et sur l’acquisition de respectivement 75 % (AG) et 25 % (BNP Paribas Fortis) des actions de Touring SA. Après avoir conclu ensemble un partenariat en 2019, orienté vers la mobilité, l’assistance et le développement de solutions de mobilité innovantes de type MaaS (Mobility as a service) et CaaS (Charging as a service), ces 3 acteurs essentiels de la mobilité en Belgique franchissent un pas supplémentaire avec cet accord de principe. En devenant ses actionnaires, AG et BNP Paribas Fortis soutiennent et renforcent Touring SA dans la définition de solides ambitions pour jouer un rôle prépondérant dans les évolutions de la mobilité et de l’assistance en Belgique.
Votre mobilité c’est notre spécialité, nous sommes prêts !
HALL OF FAME
• Kaat Van Severen - 2023
Astara Western Europe
• Claire D’Haese - 2022
Mercedes-Benz Belgium
Luxembourg
• Stef Holemans - 2021
Toyota - Lexus
• Tom Van Assche - 2020
BMW Group Belux
• Marc Fumagalli - 2019
Renault / Dacia
Belgique-Luxembourg
• Alain Peers - 2018
Volvo Cars Belgium
• Gauthier Helleputte - 2017
Mercedes-Benz Belgium
Luxembourg
• Roeland Vriens - 2016
Opel Belgium
• Joris Spigt – 2015
Audi Import Belgium
• Harald Pluym – 2014
Peugeot Belgique-Luxembourg
• Alain Peers – 2013
Volvo Cars Belgium
• Kris Verleye - 2012
BMW Group Belux
• Wim Rommel - 2011
Mercedes-Benz
Belgium-Luxemburg
• Mathias Goos – 2010
Volvo Cars Belgium
• Stijn Blanckaert – 2009
Citroën
• Alain Frenay – 2008
VW-Audi
• René Aerts Jr. – 2007
Volvo Cars Belgium
• Kris Verleye – 2006
BMW Group Belux
• Paul Gestels – 2005
General Motors Belgium
• Ronny Veireman – 2004
Ford Motor Company Belgium
• Dimitri Gose – 2003
VW-Audi
• Hadelin d’Hoop – 2002
Volvo Cars Belgium
• Paul Gestels - 2001
Opel Belgium
• Hadelin d’Hoop – 2000
Volvo Cars Belgium
• Philippe Greindl – 1999
Renault Belgique-Luxembourg
• Francis Harnie – 1998
Peugeot Belgique-Luxembourg
• Guido Huenaerts – 1997
Volvo Cars Belgium
• Maurice Van Den Dries – 1996
Renault Belgique-Luxembourg
Kaat Van Severen (Astara Western Europe)
podium, derrière Claire D'Haese. Elle possède l'un des plus grands portefeuilles de marques sur le marché belge. « Elle », c'est Kaat Van Severen (Astara). Et elle est le FLEET Manager of the Year 2023 ! Une victoire bien méritée pour une Fleet Manager fl amboyante qui sait placer ses marques avec verve auprès d'un nombre toujours croissant de fl ottes.
2023 sera-t-elle l’année du plug-in hybride (PHEV) ou de l’EV ?
Les deux, je pense. Cela dépend principalement du profil du conducteur. Un EV n'est pas toujours plus avantageux en termes de TCO aujourd'hui. Beaucoup opteront tout de même pour un PHEV pour des raisons fiscales. Mais j'ai peur qu'ils ne rechargent pas suffisamment. Je m'attends donc à une autre ruée sur ces plug-in. Mais quand on voit ce qui arrive - certainement dans nos gammes - en termes d'EV, il est évident que la voiture électrique va continuer sa forte croissance au sein des flottes dans la seconde moitié de l'année et les années suivantes."
Les délais de livraison particulièrement longs ne seront-ils plus qu’un mauvais souvenir en 2023 ?
Non. D'abord la Covid, puis l'Ukraine avec les conséquences que l'on sait. Aujourd'hui, la production commence à reprendre, mais il y a un problème de transport pour acheminer les véhicules vers les concessionnaires et les clients. D'ailleurs, ce problème se pose dans de nombreux secteurs : le commerce de détail, la construction, etc. Je pense - j'espère - que la plupart des problèmes seront réglés d'ici la fin de l'année 2023. Je dois ajouter que cela dépend beaucoup de la marque et du modèle. Avec MG, nous sommes revenus à des délais de livraison quasi-normaux de 3 à 6 mois à partir du deuxième trimestre.
Il est difficile d'évoquer toutes nos marques car les choses peuvent parfois changer rapidement. Les clients viennent-ils vers vous avec des questions concernant l’infrastructure de recharge ?
La demande est très importante. Depuis le 1er décembre dernier, nous avons un nouveau partenariat avec Eneco. Astara mise beaucoup sur l'écosystème entourant les EV. Et, avec un partenaire solide comme Eneco, nous allons également décharger nos clients dans ce domaine. Nous considérons que cela fait partie d'une offre plus large, qui comprend également le financement et, par exemple, des formules d'abonnement pour des services supplémentaires. Dégager le client de tout souci et lui proposer une formule de one-stop-shopping, c'est crucial aujourd'hui.
Quand pouvons-nous attendre une fonction de recharge bidirectionnelle dans votre gamme d’EV ?
Plus très longtemps. L’IONIQ 5 est déjà prêt techniquement. Sur ce point, nous sommes plus avancés que bien d’autres marques.
D’après vous, le TCO a-t-il pris le pas sur l’optimalisation fiscale ?
Cela dépend vraiment des clients. Les responsables de grandes flottes ne regardent même plus le prix du leasing. Le TCO y est vraiment bien établi. Avec d'autres - notamment les petites flottes - vous devez toujours tout
expliquer. Mais la déductibilité fiscale ne constitue (de plus en plus souvent) plus qu'une partie d'une histoire plus vaste de TCO. Surtout avec l'électrification.
Que signifie le titre de FLEET Manager of the Year pour vous ?
C'est le couronnement du dur labeur de ces dernières années. Nous avons d'abord mis Hyundai sur la carte, puis les autres marques ont été ajoutées il y a deux ans. Avec sept marques, nous sommes désormais un acteur majeur et je peux dire sans me tromper que la manière dont nous apportons notre portefeuille aux clients sous l'égide d'Astara est une réussite. Le titre est la cerise sur le gâteau. Nous serons fiers de le partager avec nos collègues et nos clients !
Quelles sont vos attentes pour 2023 ?
Le Salon de l'Auto ! D'abord parce que cela fait déjà deux ans, mais surtout parce que nous y serons pour la première fois avec 7 marques. Avec l'équipe fleet, nous sommes impatients d'y rencontrer nos clients et d'y présenter notre magnifique gamme.
Kaat Van Severen Astara
« Pratiquer le one-stop-shopping, c'est crucial aujourd’hui »Alain Peers BMW
Wordt 2023 een PHEV of EV-jaar? 2023 sera-t-elle l’année du PHEV ou de l’EV ?
Au début de l'année 2023, je pense qu'il y aura un mix des deux. A partir du 1er juillet 2023, je suppose - étant donné les profonds changements fiscaux - que nous ne vendrons que des véhicules BEV à nos clients B2B.
Les délais de livraison particulièrement longs ne seront-ils plus qu’un mauvais souvenir en 2023 ?
Nous faisons tout notre possible pour les raccourcir considérablement et, à l'heure actuelle, cela réussit déjà très bien. Mais certains modèles continuent de se démarquer en raison de leur énorme succès ou de la pénurie persistante de puces ou d'autres composants.
Les clients viennent-ils vers vous avec des questions concernant l’infrastructure de recharge ?
Nous constatons que l'on nous
demande de plus en plus souvent de partager nos connaissances sur les infrastructures de recharge avec nos clients, ce que nous sommes bien sûr heureux de faire. Nous disposons de notre propre infrastructure de recharge à notre siège de Bornem, avec environ 80 points de recharge. Nous partageons donc cette connaissance accumulée avec nos clients fleet.
Quel est l’EV de votre gamme affichant la plus grande autonomie ?
Notre nouvelle BMW i7 xDrive60 ainsi que la BMW iX xDrive50 affichent toutes deux une autonomie d’environ 630km en WLTP.
D’après vous, le TCO a-t-il pris le pas sur l’optimalisation fi scale ?
Au vu des nouveaux changements à venir en matière de fiscalité à partir du milieu de 2023, il n'y a absolument aucune autre option que d'inclure tous les paramètres et de travailler avec des TCO.
Quel fut votre meilleur moment en 2022 ?
Bien sûr, avant tout, les excellents résultats obtenus en 2022. Mais à côté de cela, j'éprouve aussi beaucoup de satisfaction à avoir construit une équipe agréable et très professionnelle avec un certain nombre de nouveaux collaborateurs. Nous pouvons également être fiers d'avoir mis en place un tout nouvel outil de CRM/commande qui assure l'avenir, avec l'aide et le soutien précieux de nos concessionnaires et vendeurs BMW/MINI.
Quelles sont vos attentes pour 2023 ?
Une année, espérons-le, paisible, avec une solution à la guerre entre l'Ukraine et la Russie et pas trop de problèmes de production. Ah oui, et aussi la fin des virus...
« Nous partageons nos connaissances en termes d’infrastructure de recharge »
Philip Copmans Audi
2023 sera-t-elle l’année du PHEV ou de l’EV ?
Les deux. Je constate de grandes différences selon que les clients sont ou non bien préparés à la transition électrique. Ce sont principalement les grandes entreprises qui ont déjà amorcé le passage au 100% électrique, alors que beaucoup d'autres ne l'ont pas fait. Pour ces derniers, la période actuelle de "droits acquis" offre encore la possibilité d'opter une dernière fois pour des véhicules non polluants. On peut s'attendre à un pic des ventes de PHEV jusqu'en juin 2023, avant qu'ils ne soient impactés par un changement de fiscalité.
Les délais de livraison particulièrement longs ne seront-ils plus qu’un mauvais souvenir en 2023 ?
Nous recevons les premiers signes timides de la production indiquant que la pénurie de semi-conducteurs commence à être mieux maîtrisée. Toutefois, les problèmes n'ont pas encore complètement disparu et, compte tenu de la forte augmentation du carnet de commandes, une normalisation des délais de livraison au cours des 12 prochains mois semble plutôt irréaliste. En outre, nous constatons
également que l'augmentation massive de la demande de véhicules électrifiés entraîne des pénuries de batteries. C'est donc principalement sur ces modèles BEV/PHEV que les longs délais de livraison persisteront le plus.
Les clients viennent-ils vers vous avec des questions concernant l’infrastructure de recharge ?
Plus que jamais. Afin de pouvoir rouler à l'électricité sans problème, il convient également d'envisager la mise à disposition de possibilités de recharge suffisantes et/ou diversifiées pour les personnes en éveil. Cet écosystème autour de la voiture doit
être soigneusement étudié. En outre, la solution recommandée peut être différente d'un employé à l'autre, en fonction de son profil de conduite et de son lieu de vie.
D’après vous, le TCO a-t-il pris le pas sur l’optimalisation fi scale ?
Le TCO est devenu un outil crucial pour les entreprises qui souhaitent avoir une vision précise des coûts réels de leur flotte en période de changements fréquents, qu'ils soient fiscaux, économiques ou technologiques. Compte tenu du climat financier difficile dans lequel se trouvent de nombreuses entreprises aujourd'hui, il semblerait presque irresponsable de ne pas considérer les coûts de la flotte de cette manière.
Quel fut votre meilleur moment en 2022 ?
Je suis très fier du succès que nous avons rencontré avec l’Audi Q4 e-tron. Ce modèle a clairement contribué à positionner Audi en leader de l’électrification. Le Q4 e-tron a en effet emmené le classement des ventes des voitures électriques en Belgique au cours de toute l’année 2022.
« Je constate de grandes différences selon que les clients sont ou non bien préparés à la transition électrique. »
« Très fier du succès de l’Audi Q4 e-tron »Bart
2023 sera-t-elle l’année du PHEV ou de l’EV ?
L'année de l'EV en tout cas, mais avec un puissant coup de rein des PHEV. D'ailleurs, je ne m'attends pas à ce que les ventes d'hybrides rechargeables dégringolent brutalement au second semestre. La déductibilité fiscale ne passe pas immédiatement de 100 à zéro. Au cours des cinq prochaines années, elle se situera entre 60 et 80 %, ce qui reste intéressant.
Les délais de livraison particulièrement longs ne seront-ils plus qu’un mauvais souvenir en 2023 ?
Il y a encore beaucoup de défis qui nous attendent. Mais je m'attends à ce que 2023 apporte un peu plus de stabilité. Pour les voitures particulières, nous sommes maintenant entre 3 et 6 mois, ce qui est acceptable. Nos véhicules utilitaires légers connaissent un tel succès que nous devons faire face à des délais de livraison d'un an et plus.
Les clients viennent-ils vers vous avec des questions concernant l’infrastructure de recharge ?
Avec un tel changement vers l'électrification, il est impensable aujourd'hui de se contenter de fournir le véhicule. C'est pourquoi nous avons créé Ford Pro, notre écosystème qui offre toutes les formes possibles d'encadrement. Par exemple, nous comptons dans notre équipe des experts en infrastructures de recharge et en télématique. Les clients veulent des solutions et nous les leur offrons.
Quel est l’EV de votre gamme affichant la plus grande autonomie ?
Le Ford Mustang Mach-E en version propulsion et avec la grande batterie : 600 km. D’après vous, le TCO a-t-il pris le pas sur l’optimalisation fiscale ?
C'est clair. L'électrification nécessite une gestion du changement. Aujourd'hui, il est inutile d'examiner uniquement le prix de leasing et la déductibilité fiscale, car d'autres facteurs entrent en ligne de compte. Les grandes flottes y travaillent depuis des années, mais cette prise de conscience commence également à se faire sentir chez les PME. Je pense qu'il s'agit d'une évolution positive, car avec une bonne gestion du TCO, vous pouvez réaliser de belles économies sur votre flotte.
Quel fut votre meilleur moment en 2022 ?
La chance de conduire le Ford Bronco tout-terrain pour la première fois. La facilité avec laquelle il franchit certains obstacles est phénoménale. Une expérience incroyable !
Quelles sont vos attentes pour 2023 ?
Nous allons sortir beaucoup d'EV en 2023. Le premier arrive au cours du premier semestre : un véhicule du segment Ford Focus/ Cougar sera dévoilé en mars. Je ne suis pas encore autorisé à donner plus de détails. En outre, le Custom E-Transit a déjà été annoncé. Et à la fin du premier semestre, le Ford Tourneo électrique figurera au catalogue. Celui-ci sera aussi kdisponible en version PHEV. Il y a donc beaucoup de choses à attendre !
Van Rossen Ford
« Pas certain que les ventes de PHEV vont dégringoler après juillet 2023 »
« Aujourd'hui, il est inutile d'examiner uniquement le prix de leasing et la déductibilité fiscale, car d'autres facteurs entrent en ligne de compte. »
2023 sera-t-elle l’année du PHEV ou de l’EV ?
Je pense que ce sera avant tout l’année de la voiture électrique, qui continuera à progresser, même si les plug-in hybrides risquent de cartonner également durant les six premiers mois. N’oublions pas toutefois les hybrides auto-rechargeables qui ont aussi une belle carte à jouer et qui conviendront à des gens qui ne sont pas encore prêts à passer à la prise.
Les délais de livraison particulièrement longs ne seront-ils plus qu’un mauvais souvenir en 2023 ?
Comme tout le monde, nous avons été impactés par ces délais, mais nous avons toujours réussi à les limiter aux environs de six mois pour la majorité des modèles. Je ne vois pas ces délais diminuer à très court terme, si ce n’est sur certains modèles spécifiques, comme la Mégane électrique, par exemple.
Les clients viennent-ils vers vous avec des questions concernant l’infrastructure de recharge ?
Chez Renault, nous avons Mobilize Power Solutions qui propose aux clients intéressés par les EV sans être équipés d’infrastructures de recharge, de réaliser une étude chez eux en termes d’infrastructures, mais aussi d’analyser les besoins.
D’après vous, le TCO a-t-il pris le pas sur l’optimalisation fi scale ?
Oui, clairement ! Un gestionnaire de flotte est quasiment obligé de calculer les TCO, vu la multitude d’énergies disponibles sur le marché
et potentiellement dans leur parc. Le TCO intègre aussi la fiscalité future. C’est donc incontournable, même si je constate que nous ne parlons pas toujours tous de la même chose quand nous évoquons le TCO…
Quel fut votre meilleur moment en 2022 ?
Il est toujours valorisant de remporter quelques gros deals. Parfois on en perd, parfois on en gagne. Et en 2022, on en a remporté quelques-uns.
Quelles sont vos attentes pour 2023 ?
A titre personnel, je suis impatient de retrouver le Salon de l’Auto. Je suis curieux de voir comment ça va se passer et si l’enthousiasme du public sera toujours là. Le Salon reste la grande fête de l’automobile qui me laisse plein de souvenirs d’enfants, avec mon père. Je suis optimiste : je suis certain que le client va revenir !
« A titre personnel, je suis impatient de retrouver le Salon de l’Auto. Je suis optimiste : je suis certain que le client va revenir ! »
Marc Fumagalli -Renault-Dacia
« Un gestionnaire de flotte est quasiment obligé de calculer les TCO »
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« Notre crédo : mobility as a service »
Nos collaborateurs sont désormais habitués à utiliser de multiples formes de mobilité sur un déplacement.
Vicky De Bollen, SwecoEntreprise d’ingénierie de premier plan, Sweco conçoit des projets durables pour les villes et les communautés de demain. Compte tenu des nombreux projets d’étude ambitieux liés aux transports, la mobilité est également envisagée en interne de manière durable. Cela s’appelle montrer l’exemple. Vicky De Bollen, notre FLEET & Mobility Manager de l’année 2023, explique dans quels domaines l’entreprise consent des efforts…
Philip De Paepe philip.depaepe@effectivemedia.beVicky De Bollen est Director Finance, Facility & Legal chez Sweco. Une combinaison de fonctions qui lui permettent de veiller à l’évolution interne durable dans presque tous les aspects de l’entreprise. La mobilité en fait évidemment partie. L’une des premières étapes importantes a été le passage en 2018 d’une car policy à une mobility policy.
Vicky De Bollen explique cette démarche : « Il ne s’agissait pas d’un budget mobilité au sens strict du terme. Notre intention était de donner à notre personnel le plus de flexibilité possible dans leur façon de se déplacer. Le meilleur moyen de transport pour le déplacement à un moment donné. Mais naturellement, la voiture de société reste un élément important du package salarial et restera donc certainement dans l’offre. En même temps, nous voulons aussi proposer autant d’alternatives que possible. Par exemple, il n’est pas toujours facile de se rendre à nos bureaux de Gand et de Bruxelles en voiture. Le train constitue alors une alternative logique. Si nous organisons des événements, ce sera toujours avec des transports organisés en commun, comme des bus par bureau, l’encouragement au covoiturage, etc…. Depuis plusieurs années, nous avons également un partenariat avec Olympus Mobility, ce qui facilite le passage d’un mode de transport à l’autre. Aujourd’hui, nos collaborateurs ont pris l’habitude d’utiliser plusieurs formes de mobilité sur un déplacement. Un exemple : prendre le vélo jusqu’à la gare, puis rejoindre le bureau avec un vélo partagé. »
Pas de budget mobilité
Reste à savoir pourquoi le budget mobilité tel que proposé par le gouvernement n’a pas été retenu. Vicky De Bollen a une réponse pertinente à cela : « Nous n’en avons pas immédiatement perçu la valeur ajoutée. Surtout que la première version du budget mobilité ne concernaient que les salariés disposant déjà d’une voiture de société, qu’ils pouvaient alors restituer. Ceci excluait de nombreux collaborateurs, alors que nous souhaitions justement proposer une mobilité flexible à un maximum d’entre eux. Avant l’existence du budget mobilité officiel, nous avions donc déjà notre propre version du budget mobilité via notre ‘flex income plan’ qui permet notamment de renoncer à la voiture et opter pour autre chose. Un grand nombre de collaborateurs l’ont adopté et ont choisi, par exemple, de louer un speed pedelec. Il y a cependant des exceptions. Par exemple, certains de nos collaborateurs bruxellois sont intéressés par le budget mobilité car il offre des opportunités au niveau de leur prêt privé pour un logement. En Flandre, nous n’avons perçu que très peu d’avantages à ce niveau. Mais comme nous nous concentrons sur une large mobilité, les RH suivent naturellement toutes les évolutions de près et nous proposerons donc le budget mobilité dès le 1er janvier 2023. Et si de nouveaux éléments apparaissent ultérieurement offrant également une valeur ajoutée, nous serons certainement ouverts à leur mise en œuvre. Mais tant que cela entraîne davantage d’administration et peu de valeur ajoutée, nous ne l’adapterons pas. »
Mobility as a service
La volonté de Sweco est d’appliquer autant que possible la philosophie ‘Mobility as a service’. « Cela signifie : ne pas s’habituer à la voiture de société comme un réflexe automatique. Utilisez nos voitures de pool, les transports en commun ou le vélo si c’est une solution plus efficace pour votre déplacement. Le confort de nos collaborateurs est notre principale préoccupation. Par exemple, nous appliquons aussi le concept de la voiture de week-end. Nous constatons souvent que les gens n’ont pas besoin de voiture pendant la semaine, mais effectuent des déplacements privés le week-end. Ils peuvent alors louer nos voitures de pool ou un VAN de luxe plus grand à un prix très raisonnable. En outre, nous utilisons des navettes là où cela est possible, car après la crise sanitaire, certains itinéraires ont été (temporairement) arrêtés. Cette offre est utilisée par un groupe limité de collaborateurs. Par exemple, pour aller dans les entreprises chimiques de la zone portuaire. Nous avons une division qui travaille pour le secteur industriel et elle est souvent sur place avec le client. »
SWECO: FACTS & FIGURES
• Fondée en 1898 en Suède, depuis 1958 en Belgique
• Activités : bureau d’études spécialisé dans les projets de construction durable, énergétiques et d’infrastructures. Siège social : Stockholm, Suède
• Implantations en Suède, Norvège, Finlande, Danemark, Allemagne, Pays-Bas, Grande-Bretagne, République tchèque, Belgique, Pologne, Estonie et Lituanie.
• Nombre d’employés dans le monde : 18.500 (1.900 en Belgique)
• Chiffre d’affaires annuel : environ 2,2 milliards d’euros
• Flotte automobile en Belgique : environ 900 véhicules
« Le budget mobilité du gouvernement ? Nous avions déjà quelque chose de mieux nousmêmes et jusqu’à récemment, nous n’en voyions pas la valeur ajoutée. »
Électrification de la flotte : une approche linéaire Sweco s’engage en faveur d’une mobilité flexible et durable, mais la flotte de véhicules de société - environ 900 véhicules - reste une partie importante du mix de mobilité. L’entreprise essaie de faire la différence grâce à l’électrification et a été l’une des pionnières en Belgique dans ce domaine.
Vicky De Bollen : « En 2018, nous sommes progressivement passés du diesel à l’électrique et à l’essence. A l’époque déjà, le haut management ne pouvait choisir que l’électrique. Montrer l'exemple ! En octobre 2019, nous avons opéré un changement radical : des véhicules électriques pour tous, quel que soit le poste occupé au sein de l’entreprise. Cela ne s’est pas fait sans résistance. Chaque changement implique un processus nécessitant l’adhésion des collaborateurs. Mais ce qui nous a vraiment mobilisés, c’est la durabilité. Aujourd’hui, la gamme de véhicules électriques est également beaucoup plus large et l’autonomie croissante des véhicules n’est plus un problème. »
Vous ne trouverez pas de PHEV dans la flotte Sweco. « Cela aussi est un choix délibéré », déclare Vicky De Bollen. « Vous pouvez opter pour un ‘quick win’ sur le plan fiscal, mais cela n’a jamais été notre motivation. L’éthique est très importante pour une entreprise suédoise. Payer des impôts en fait partie. Pas trop de préférence. Mais nous ne cherchons jamais de constructions pour les abaisser ou les éviter. Je sais que de nombreuses entreprises ont une stratégie différente, mais nous considérons cela comme faisant partie
intégrante de la responsabilité sociale des entreprises. »
Comme les contrats de location durent en moyenne quatre ans, la flotte de Sweco n’est pas encore entièrement électrique aujourd’hui. Elle compte toutefois déjà 290 exemplaires électriques à ce jour et il aurait pu y en avoir plus. Actuellement, quelque 250 véhicules sont en commande, mais ils n’ont pas encore été livrés en raison des problèmes de livraison connus. Prolonger les contrats de leasing - le réflexe de nombreuses entreprises ces deux dernières années – n’a pas été une option retenue par Sweco. « Même si c’est financièrement intéressant, nous ne le faisons pas par principe », déclare Vicky De Bollen. « Si les livraisons peuvent suivre, notre flotte sera entièrement électrique d’ici la fin de 2025. »
Package global
Vicky De Bollen conclut : « La voiture de société reste donc un élément important de notre mix mobilité, mais je ne saurais trop insister sur le fait qu’elle ne constitue aujourd’hui qu’une partie d’un package global. En plus de toutes les autres alternatives déjà mentionnées, nous misons également sur le travail à domicile, par exemple. Nous apprécions beaucoup que les gens viennent au bureau, mais surtout si c’est utile. Avant, vous veniez au bureau pour travailler, maintenant le bureau est davantage un lieu de rencontre pour collaborer avec des collègues sur un projet. Utiliser son temps le plus utilement possible, se déplacer quand il le faut et perdre le moins de temps possible, telle est notre philosophie ! »
SIX CATÉGORIES ET DES VOITURES DE RÉFÉRENCE
La politique automobile de Sweco est délibérément simple. Elle fixe 6 catégories et 1 à 3 voitures de référence maximum. Les véhicules sont également tous noirs. Cette approche homogène facilite les échanges entre collaborateurs.
Vicky De Bollen : « Nous faisons appel à maximum quatre ou cinq marques et concessionnaires, pour favoriser les échanges et l’optimisation des prix. Actuellement, ce ne sont que des marques européennes, mais nous gardons également un œil sur les alternatives telles que les marques asiatiques. Tant pour une question de délais de livraison que de prix. »
Nous constatons souvent que les gens n’ont pas besoin de voiture pendant la semaine, mais effectuent des déplacements privés le week-end. Ils peuvent alors louer nos voitures de pool ou un VAN de luxe à un prix très raisonnable s’ils ont besoin de plus d’espace.
« Ce qu’on dit en réalité, c’est de ne pas s’habituer à la voiture de société comme un réflexe automatique. Utilisez nos voitures de pool, les transports en commun ou le vélo si c’est une solution plus efficace pour votre déplacement. »
VEHICLE-TO-GRID : UN PROJET UNIQUE
Le fait que Sweco soit imprégné de durabilité est encore souligné par un projet assez récent au sein de l’entreprise. A Zelzate, Sweco a entièrement rénové le bureau afin qu’il soit auto-suffisant d’un point de vue énergétique. C’est aujourd’hui possible grâce à une combinaison de pompes à chaleur, champ BEO et panneaux solaires. Avec des plafonds rafraîchissants dans le bureau. Pas exceptionnel en soi, mais il y aura aussi une grande batterie et les EV de l’entreprise seront utilisés comme capacité de stockage externe et pourront également restituer cette énergie. Cette approche vehicle-to-grid n’est pas seulement un tour de force technique, mais nécessite également une longue réflexion sur la manière dont les batteries des véhicules peuvent être utilisées le plus judicieusement possible. Cela signifie, entre autres : consulter les profils des collaborateurs pour voir quand ils sont au bureau et pour combien de temps.
Vicky De Bollen : « Il n’est bien sûr pas prévu que les batteries des EV soient complètement déchargées au bureau et que les gens doivent ensuite les recharger à la maison. La recharge bidirectionnelle à plus grande échelle n’est pas seulement un défi technique mais demande aussi beaucoup d’organisation. Mais nous avons suffisamment d’expertise en interne pour mener tout cela à bien. »
« Vous pouvez opter pour un ‘quick win’ fiscal, mais cela n’a jamais été notre motivation. L’éthique est très importante pour une entreprise suédoise. Payer des impôts en fait partie. De préférence pas trop, mais nous ne mettons pas en place des constructions pour les éviter. »Koen Claesen, CEO Van Mossel Automotive Groep Belgique & Luxembourg
Il y a pas mal de discussions qui précèdent les reprises. Il doit y avoir une certaine structure et une sorte de leadership qui s'inscrivent dans cette philosophie.
« Vous ne pouvez pas gérer une entreprise automobile depuis une tour d’ivoire »
Van Mossel Automotive Groep a connu une ascension irrésistible ces dernières années en Belgique et au Luxembourg, principalement avec des rachats de concessionnaires en Flandre. Mais le CEO Koen Claesen ne considère pas l’entreprise qu’il dirige comme une ‘machine à reprises’. Cela va au-delà : un concept total de services de mobilité autour de la voiture avec une vision claire de l’avenir…
Philip De Paepe philip.depaepe@effectivemedia.beVan Mossel se développe tellement en Belgique et au Luxembourg qu’il est parfois difficile de suivre. Combien d’implantations possédez-vous aujourd'hui ?
Koen Claesen : « Je dois vérifier moi-même chaque semaine pour rester à jour ! (rires). Aujourd'hui (ndlr : l’interview a eu lieu le 12 décembre) il y en a 129 en Belgique et 18 au Luxembourg. On les appelle ‘portes d’accès’ car elles abritent parfois plusieurs marques au même endroit. Mais les show-rooms sont bien distincts et les implantations sont aussi gérées séparément. »
Quels sont les principaux critères pour réaliser des acquisitions ?
KC : « Tout commence par notre stratégie qui consiste à avoir une concession dans chaque grand centre-ville (quelle que soit la marque), une carrosserie active dans un rayon un peu plus large et une société de leasing dans une zone encore plus étendue afin de créer une synergie maximale et de soulager complètement chaque client. En fait, nous appliquons ici la démarche de Van Mossel Automotive Groep aux Pays-Bas. A ceci près que nos voisins du Nord avaient des années d’avance sur nous à ce niveau, tandis que nous ne mettons en œuvre cette stratégie que maintenant. Nous déterminons d’abord les endroits où nous n’avons pas encore d’implantations et où nous en avons besoin dans le cadre de notre stratégie. Ensuite, nous explorons le marché pour trouver des candidats éligibles à la reprise. Il est important que ces entreprises aient
un ADN qui corresponde au nôtre. En raison de notre énorme croissance actuelle, nous fonctionnons comme une entreprise d’envergure, mais nous essayons toujours de travailler comme une PME. Pas mal de discussions précèdent les différentes acquisitions. Il doit y avoir une certaine structure et une sorte de leadership qui correspondent à notre philosophie. »
Avez-vous un timing en tête pour la réalisation de vos objectifs ?
KC : « Nous visons à finaliser la stratégie prévue à la fin du premier trimestre, début du deuxième trimestre 2023. Les acquisitions les plus importantes devraient être réalisées d’ici là, suivies bien sûr de l’optimisation du réseau. »
Vous annoncez 129 agences en Belgique, mais en fait c’est surtout en Flandre. Quelle est l’ambition en Wallonie ?
KC : « Pour l’instant, nous n’avons qu’un bureau de leasing à Namur. Nous cherchons actuellement à élargir notre réseau avec des carrossiers et un ou deux centres d’occasion. Si nous avons une marque, nous privilégions des zones contiguës. Prenons par exemple Peugeot et Citroën, cela va de Louvain jusqu'à Tongres. Tous les revendeurs que vous rencontrez dans cette zone appartiennent au réseau Van Mossel. Je ne vois actuellement aucune marque disponible en Wallonie pour y construire un réseau similaire. »
Et les autres pays ?
KC : « Nous menons actuellement des entretiens avec un certain nombre de tiers dans les pays voisins du Benelux à qui nous expliquons notre formule ‘one-stopshop’ et pour voir s’il y a des opportunités là-bas. Il s’agit plus précisément du Royaume-Uni, de l’Allemagne et de la France. L’approche sera différente de celle appliquée au Benelux. Ces pays sont trop grands pour une couverture géographique complète. Nous allons donc plutôt nous concentrer sur certaines régions. »
Est-il important pour vous que la direction des concessionnaires repris reste en place ?
KC : « Crucial. Nos ‘shared service centers’ sont en fait assez limités. Le siège ne compte qu’une quinzaine de personnes. On ne peut pas gérer une entreprise automobile depuis une tour d’ivoire, cela doit se faire localement. L’objectif est de diviser notre grande entreprise en 120 à 130 petites sociétés avec un responsable local qui s’efforce d’être le meilleur au sein du groupe. »
Quelles sont les principales raisons pour lesquelles ces entreprises sont ouvertes à l’acquisition ?
KC : « Souvent, il n’y a pas de relève dans les entreprises familiales. Ou peut-être la génération actuelle veut-elle épargner à ses enfants un travail exigeant 6 jours sur 7 ou parfois même 7 jours sur 7. D’autre part, l’ensemble du monde automobile est en phase de transition. Les concessionnaires ont été confrontés à de nombreux faits ces dernières années, comme les problèmes de livraison, entraînant peu de factures de vente de voitures neuves. Ensuite, il y a l’électrification. Cela signifie moins d’entretien, mais il faudra un certain temps avant que nous ressentions cet effet. En pourcentage, la part des véhicules électriques est encore négligeable aujourd’hui. Mais ce sont surtout les investissements qui provoquent une pression supplémentaire. Les marques imposent au concessionnaire d’installer un certain nombre de bornes de recharge, dont au moins un chargeur rapide. Le coût
En raison de l’énorme croissance que nous connaissons actuellement, nous fonctionnons comme une entreprise d’envergure, mais nous essayons toujours de travailler comme une PME.
des bornes de recharge ellesmêmes est encore acceptable, mais généralement il faut aussi installer une cabine haute tension… et là ça devient très cher. Le coût moyen atteint facilement 130.000 à 150.000 euros par implantation. Sans parler de l’atelier. Le mécanicien doit être quasiment un ingénieur pour travailler sur des véhicules électriques. Il faut acheter des ordinateurs, assurer la formation. C’est une transition difficile qui nous attend. »
Le poids d’un grand groupe comme Van Mossel doit sans doute faire une grande différence ?
KC : « En effet. Dans le contexte actuel, les économies d’échelle deviennent essentielles. Par exemple, si vous avez huit agences Ford, vous pouvez centraliser la comptabilité, l’administration des ventes et l’achat de voitures d’occasion. Il y a aussi des avantages importants en termes d’achat. Vu le volume d’huile pour moteur que nous achetons chaque année par exemple, la différence est importante par rapport à une seule concession. Nous pouvons dès lors négocier de meilleurs prix, ce qui, en fin de compte, profite également à nos clients. »
Les reprises peuvent aussi provoquer des remous au sein des entreprises. Pas forcément au niveau du management, mais bien auprès du personnel. Rencontrez-vous parfois des difficultés ?
KC : « Évidemment, tout ne se passe pas toujours sans heurts et cela s’accompagne parfois de résistances ou de difficultés. Nous faisons régulièrement notre introspection. Il est important de savoir comment communiquer au moment d’une acquisition. Il y a souvent un préjugé par rapport au Van Mossel Groep qui absorbe tout. Nous accordons donc une grande attention à l’image de marque de l’employeur afin de transmettre les valeurs que nous défendons aux employés, et ainsi nous assurer qu’ils les propagent à leur tour. Lorsque Van Mossel a débuté son histoire en Belgique il y a quatre ans, j’étais responsable de 65 personnes.
Aujourd’hui, il y en a près de 1.800. Je n’ai pas la prétention de dire que tous les regards se tournent d’emblée dans la même direction. Mais nous œuvrons sans cesse pour que cela se passe le mieux possible. »
La consolidation du marché des concessionnaires se poursuit à un rythme soutenu. Etes-vous aussi attentif aux concurrents ? Comme Hedin, par exemple ?
KC : « Non, nous suivons notre propre chemin. Avec des acquisitions récentes telles que Vereenooghe et Autogroep Servayge, nous sommes désormais le plus grand en Belgique en termes de ventes de voitures neuves. Plus grand que D’Ieteren, soit dit en passant. Hedin est fort chez MercedesBenz et possède désormais aussi trois implantations Toyota, mais cela s'arrête là. Nous avons 26 marques en Belgique, notre propre portefeuille de leasing et notre propre réseau de carrosseries. L’envergure est tout autre, comme la stratégie. Etre le plus grand n’est pas notre ambition, mais bien être le meilleur. Soulager complètement le client, tel est notre objectif. Notre stratégie est également unique. Nous avons maintenant près de 104.000 voitures de leasing dans le Benelux, 34 marques et 42 carrossiers, ainsi que plusieurs méga centres de voitures d’occasion. Certaines sociétés de leasing sont plus grosses que nous, mais elles n’ont pas toutes ces autres branches. La combinaison de nos quatre piliers fait notre force. »
Le leasing privé est plus ancré aux PaysBas qu’en Belgique. Voyez-vous un marché en forte croissance chez nous ?
KC : « Avec Directlease, nous avons mis en évidence le leasing privé en Belgique et je pense que nous sommes quasi leader du marché. Je crois fortement à la formule. Les voitures sont de plus en plus chères et pendant ce temps il y a une nouvelle génération qui vit mois après mois. Spotify, Netflix, etc. Je pense que cette jeune génération souhaite cela aussi pour sa mobilité. Le leasing privé est alors la solution idéale : un forfait mensuel avec pour seul surcoût le ravitaillement ou la recharge. Les gens ne doivent plus penser aux factures d’entretien, aux assurances ni aux taxes. Je pense que le confort de cette formule incitera de plus en plus de personnes à passer de la propriété à l’utilisation. Nous proposons aussi les voitures partagées, comme à Courtrai. Cela fonctionne dans les grandes villes, mais je vois peu de potentiel en dehors d’elles. »
Quelle est votre opinion sur le modèle de l’agence versus la concession classique ?
KC : « Je suis en fait assez neutre à ce sujet. Peu importe la manière, tant que nous pouvons offrir aux clients le même service avec les deux formules. Nous sommes le plus grand concessionnaire Stellantis de Belgique et le modèle d’agence sera adopté dès le 1er juillet de l’an prochain. Je remarque que certaines attentes préalables ont déjà été adaptées par différentes marques. La vente en ligne en fait partie.
Tout commence par notre stratégie. Nous voulons avoir un concessionnaire dans chaque ville, un atelier de carrosserie avec une couverture régionale un peu plus large et une société de leasing locale pour une zone encore plus étendue.
Je remarque que certaines attentes préalables ont déjà été adaptées par différentes marques. La vente en ligne en fait partie.
Elle ne va pas disparaître, mais il y a la prise de conscience que ce canal numérique ne va pas forcément de soi pour vendre un produit comme la voiture. Si nous vendons 7 à 8 % des voitures en ligne d’ici 2030, ce sera déjà beaucoup. Qu’il s'agisse d’une voiture de société ou particulière, cela reste un achat émotionnel. Peu de gens aiment acheter quelque chose qui coûte 60.000 € en quelques clics. Ils veulent voir la voiture, la sentir, la conduire, la tester avant de l’acheter. J’appelle cela la joie d’acheter une voiture, car c’est bien cela dont il s’agit pour beaucoup. Nous ne pouvons cependant pas nier que la présence en ligne est très importante car le parcours client commence là. Le client s’oriente en ligne. On le voit aussi dans les visites de show-room qui précèdent un achat. Il y a dix ans, c’était 3 ou 4 fois. Aujourd'hui, c’est 1,2 fois. Alors quand ils viennent, il est crucial de leur faire vivre une expérience qui les convainque. »
Le modèle d’agence suppose aussi que l’on ne négocie plus le prix. Alors que c’est le sport préféré des Belges lorsqu’ils achètent une voiture. N’est-ce pas un handicap ?
KC : « C’est vrai : le même prix fixe pour tout le monde. Il faudra un certain temps pour que les clients s’y habituent. En revanche, ils
peuvent négocier le prix de leur voiture de reprise. Et pour cela, ils sont chez nous au bon endroit. Nous avons tant de marques et tant de sites que nous gardons ces voitures en interne autant que possible. De ce fait, nous pouvons probablement donner un prix plus élevé pour la voiture de reprise. »
La relation avec les importateurs change-t-elle quand on est aussi imposant que Van Mossel Automotive Groep ?
KC : « Non, je n’y vois pas une relation client/fournisseur mais plutôt un partenariat. En fin de compte, nous avons les mêmes objectifs. Je veux aussi vendre le plus de voitures possible, occuper les plus beaux bâtiments possibles et viser la plus grande satisfaction client possible. Ce sont aussi les KPI des importateurs. C’est pourquoi je dis toujours : unissons nos forces pour en tirer le maximum. »
Quelle est la relation entre vous et Eric Berkhof (ndlr : CEO Van Mossel Automotive Groep) ? Et comment est-il en tant que personne et entrepreneur ?
KC : « On est constamment en contact. Je crois que je l’ai déjà eu en ligne 6 ou 7 fois aujourd'hui (rires). Son dynamisme est incroyable. L’entrepreneuriat est dans son sang et dans notre branche, il
est un visionnaire avec le modèle à quatre piliers. La croissance le rend heureux, mais il est aussi fier de son rôle social. Van Mossel Groep assure les revenus de 5.100 familles. Il faut aussi le dire. Il est également très accessible, son numéro de téléphone portable se trouve sur le site Web de Van Mossel. Et si un client l’appelle pour lui raconter son histoire, il l’écoutera car cela l’intéresse vraiment. Nous sommes d’ailleurs sur la même longueur d’onde : nous voulons savoir ce que vivent les agences et les clients. »
Nous avons à nouveau un salon de l’automobile cette année. Avez-vous hâte d’y être ?
KC : « Oui, et j’espère surtout que la voiture bénéficiera désormais d’une couverture médiatique plus positive. Généralement, les mauvaises nouvelles priment : délais de livraison, émissions de CO 2 , etc. En raison du coronavirus, de nombreux achats ont été reportés et les gens se posent des questions sur le type de propulsion à choisir. Les gens veulent être informés. Je pense que le salon de l’automobile tombe à pic. De plus, c’est une édition anniversaire. De quoi se réjouir ! »
Eric Berkhof est satisfait de la croissance, mais est également fier de son rôle social. Van Mossel Groep assure le revenu de 5.100 familles. Il faut aussi le dire.Je pense que le salon de l’automobile tombe à pic. De plus, c’est une édition anniversaire. De quoi se réjouir !
OLEON ET LUMINUS PARTENAIRES DANS UNE TRANSITION DURABLE
Avec 125 voitures (et 20 de plus via un plan cafétéria récemment institué) : électrifier le parc automobile de l’entreprise chimique Oleon est un véritable défi. Heureusement, l’entreprise d’Ertvelde a immédiatement trouvé des affinités avec Luminus, qui l’a aidée à superviser la transition.
Oleon, dont les sites de production sont situés en Belgique, en France, en Allemagne et en Malaisie, a cet esprit d’entreprise écologique inscrite en elle. L’entreprise excelle dans la transformation de graisses et d’huiles naturelles en une large gamme de produits oléochimiques, notamment des acides gras, de la glycérine, des esters, des dimères, des huiles techniques et des produits oléochimiques spéciaux. Vous trouverez leurs éléments constitutifs et leurs ingrédients dans une large gamme de produits, de la protection des cultures aux cosmétiques et aux ingrédients industriels, en passant par les lubrifiants, l’alimentation et l’exploration pétrolière, les revêtements, les détergents, etc. Ces produits oléochimiques asso-
cient des matières premières renouvelables à des performances élevées et à la biodégradabilité. Il était donc évident que le parc automobile ne pouvait pas rester à la traîne chez Oleon : une transition écologique était nécessaire ici aussi. Nous nous sommes entretenus avec Ann Demaegdt, responsable des achats, et Cindy Desmet, responsable du parc automobile, pour discuter de la transition électrique.
FLEET : Pourquoi avez-vous choisi d’aller vers un parc automobile 100% électrique ?
Ann Demaegdt : « Cela s’intègre dans notre objectif de réduire notre empreinte carbone de 30% d’ici 2030 par rapport à l’année de référence 2019. Un plan très ambitieux, où chaque effort contribue à la solution. »
Cindy Desmet : « Bien sûr, les incitations fiscales gouvernementales jouent aussi leur rôle. La déductibilité fiscale des voitures à essence est progressivement supprimée et celle des voitures hybrides sera également limitée cette année. C’est pourquoi Oleon a choisi de passer
immédiatement au 100% électrique. Une décision qui a directement recueilli l’adhésion de notre équipe. Nos collaborateurs sont désireux de donner aux EV une place dans leur vie et ont très vite demandé quand les premières stations de recharge seraient installées sur notre parking. »
Où en êtes-vous dans cette transition ?
CD : « 2021 était encore une année de transition. Mais en 2022, seuls des EV ont été commandés. Les cinq premières voitures électriques ont pris la route en 2022. Mais les longs délais de livraison entraînent un léger retard dans le processus. L’objectif est de remplacer la dernière voiture diesel par une voiture électrique en 2027. »
Communication ouverte
Quels écueils avez-vous rencontrés au cours du processus ?
AD : « La car policy était évidemment un défi de taille. Cela a suscité quelques inquiétudes au sein du personnel, car certaines marques
de voitures précédemment proposées n’étaient potentiellement plus éligibles et d’autres marques nous étaient encore totalement inconnues. »
« Le choix des bons partenaires a également été difficile pour nous, puisque la mobilité électrique était encore quelque chose de nouveau. Heureusement, Luminus nous a énormément aidés. Ils nous ont donné un aperçu d’un monde qui nous était inconnu grâce à une communication ouverte. Toutes les questions, qu’elles soient opérationnelles, techniques ou commerciales, pouvaient être discutées avec eux. »
« Pour ne donner qu’un exemple, notre infrastructure n’était pas immédiatement adaptée à l’installation de bornes de recharge. Il fallait penser au transformateur, à l’organisation des places de parking et à bien d’autres choses encore. Luminus a vraiment joué un rôle de consultant et nous a guidés dans toutes ces démarches. »
Proposez-vous également des solutions de recharge au domicile des collaborateurs ?
CD : « Oui. A notre siège, il y a déjà 24 bornes de recharge pour les
employés et les visiteurs - cette infrastructure sera d’ailleurs bientôt étendue -, mais les collaborateurs qui le souhaitent peuvent également faire installer une borne de recharge à leur domicile. Actuellement, deux personnes disposent d’une station de recharge, sept autres ont été commandées et douze demandes sont en cours de traitement. Les employés paient leur consommation par l’intermédiaire de leur fournisseur d’électricité, qui est remboursé par le fournisseur d’Oleon en fonction du tarif CREG applicable. »
La stratégie concernant les voitures issues du plan cafétéria diffère-t-elle de celle des voitures de société ?
CD : « Pour les voitures du plan cafétéria, nous appliquons le même schéma que pour nos voitures de société ordinaires, à savoir uniquement des voitures entièrement électrifiées dans le cadre d’un contrat de leasing opérationnel tout compris. La seule exception est que les employés participant au plan cafétéria doivent assumer eux-mêmes les frais de recharge. »
Comment le suivi se déroule-t-il ?
CD : « Nous en sommes également très satisfaits. Grâce au portail Luminus, Oleon dispose quotidiennement d’un aperçu détaillé de toutes les facettes liées à la conduite électrique. De la facturation de l’électricité sur les différents sites à la capacité de charge sur notre site, en passant par un aperçu de l’utilisation des cartes de recharge, ... un bon suivi de cette matière complexe est ainsi possible ! »
Vous voulez également électrifier votre flotte ?
Alors n’hésitez pas à demander conseil aux experts de Luminus . Scannez le code QR pour en savoir plus sur leurs services.
« Luminus nous a guidé dans un monde qui nous était inconnu. »Ann Demaegdt, Purchase Manager Cindy Desmet, Fleet Manager
Qui est le FLEET Dealer of the Year 2023 ?
Le 10 janvier, la plateforme digitale FLEET Dealers, en coopération avec les principales sociétés de leasing indépendantes et Traxio, a décerné pour la quatrième fois le FLEET Dealer Award. Cette cérémonie a eu lieu en marge de la cérémonie du FLEET Manager of the Year. Il y a des gagnants par marque, par région et bien sûr... le gagnant des gagnants. Découvrez ici qui sont les meilleurs concessionnaires du pays !
Philip De Paepe - philip.depaepe@effectivemedia.be
ALD Automotive, Alphabet, Arval, Athlon Car Lease, Belfius Auto Lease, CIACfleet, DirectLease, J&T Autolease, KBC Autolease, LeasePlan, mobilease, Vancia Car Lease, Terberg Business Mobility, Van Mossel Autolease, Westlease ainsi que Traxio, la Confédération du commerce et de la réparation automobiles et des secteurs connexes se sont réunis récemment pour élire le FLEET Dealer of the Year 2022.
Une « short list » pour commencer
Pour ce faire, la rédaction de FLEET avait sélectionné tous les concessionnaires présents sur la plateforme FLEET Dealers (à consulter sur FLEET.be), partant du principe que ces établissements développent une réelle stratégie fleet, y compris en termes de communication médiatique. Chacune des sociétés de leasing avait également l’opportunité d’y adjoindre ses propres listes de « preferred partners ».
Les critères pour le vote
Toutes ces listes consolidées, il ne restait plus qu’à voter sur la base d’une série de critères pré-établis :
• existence d’une structure fleet en place, approche et ventes fleet spécifiques (comme, par ex., des horaires flexibles, business corner, pick-up & delivery, véhicules de test et de remplacement, conseils en termes de car policy, de fiscalité, etc.)
• collaboration/relation sociétés de leasing – dealer
• feedback communiqué par le fleetowner aux sociétés de leasing
• offre de la gamme fleet de la marque
• activité dans les médias, budget fleet spécifique, propre communication fleet
And the winner is...
Sur le plan national, cinq lauréats ont émergé. Ce sont ceux qui ont obtenu le plus de points toutes catégories confondues, c’est-à-dire :
• GMS Group Mercedes-Benz
• Pashuysen Renault
• Toyota Hedin Automotive
• Volkswagen Jennes
AB Automotive Ford (ex aequo à la 4e place)
C’est finalement
GMS Group
Mercedes-Benz
qui est élu FLEET Dealer of the Year 2023 par le jury!
GMS Group
Mercedes-Benz
LE RESTE DU TOP 5 BELGE :
LES MEILLEURS DEALERS PAR MARQUE EN BELGIQUE
Marque Concessionnaire Province
Abarth Altis Group Wallonie
Alfa-Romeo De Linde Flandres
Audi Jennes Brabant
BMW Jorssen Flandres
Citroën Imacar Flandres
Cupra Michaël Mazuin Wallonie
DS Stellantis & You Sales & Services Brabant
Fiat De Linde Flandres
Ford AB Automotive Brabant
Honda Leo Peeters Brabant
Hyundai Van Mossel Mechelen Flandres
Isuzu De Witte Flandres
Jaguar JLR Wavre Brabant
Jeep Motor Village - Stellantis & You Sales & Services Brabant
Kia Vermant Flandres
Land Rover Spirlet Wallonie
LEVC LEVC Brussels Brabant
Lexus CIAC Gent Flandres
Mazda Waasland Automotive Flandres
Marque Concessionnaire Province
Mercedes GMS Group Brabant
Mini Louyet Charleroi Wallonie
MG Group Pashuysen Brabant
Nissan Leo Peeters Brabant
Opel Beerens Flandres
Peugeot Ollivier Brabant
Polestar Polestar Gent Flandres
Renault Group Pashuysen Brabant
Seat Jennes Brabant
Skoda Jennes Brabant
smart Hedin Flandres
SsangYong Defrancq Brabant
Suzuki Suzuki Vilvoorde by Carrect Brabant
Suzuki Defrancq Brabant
Subaru V.J.B. Motors Flandres
Toyota Hedin Brabant
VW Jennes Brabant
Volvo Sterckx - De Smet Brabant
Volvo ACB Brabant
LES MEILLEURS DEALERS PAR MARQUE EN BRABANT
Marque Concessionnaire
Alfa Autostad Haasrode
Audi Jennes
BMW Van den Broeck Automotive Group
Citroën Ollivier
DS DS Store Waterloo
FIAT Autostad Haasrode
Ford AB Automotive
Honda Leo Peeters
Hyundai Group Pashuysen
Jaguar JLR Wavre
Jeep Motor Village - Stellantis & You
Sales & Services
Kia Sterckx Motors
Land Rover JLR Wavre
LEVC LEVC Brussels
LEXUS Lexus Waterloo
Mazda Mazda Strombeek by Carrect
Mercedes-Benz GMS Group
MINI Juma Leuven
MG Group Pashuysen
Nissan Leo Peeters
Opel Beerens
Peugeot Ollivier
Polestar Polestar Brussels
Renault Group Pashuysen
Seat Jennes
Skoda Jennes
Smart Mannès
SsangYong Defrancq
Suzuki Suzuki Vilvoorde by Carrect Defrancq
Toyota Hedin Automotive
Volkswagen Jennes
Volvo Sterckx - De Smet ACB
VOUS VOULEZ RENCONTRER
LES MEILLEURS CONCESSIONNAIRES DE VOTRE RÉGION ?
Surfez sur www.fleet.be/fleetdealers
LES MEILLEURS DEALERS PAR MARQUE EN WALLONIE
Marque Concessionnaire
Abarth Altis Group
Alfa Altis Group
Audi Michaël Mazuin
BMW Louyet Charleroi
Citroën Groupe Schyns
Cupra Michaël Mazuin
DS Groupe Schyns
FIAT Altis Group
Ford Spirlet
Hyundai Zune Étoile
Jaguar Spirlet
Jeep Altis Group
Kia La Louvière Motors
Land Rover Spirlet
LEXUS Lexus Namur
Mazda Quevrain
Mercedes-Benz CentrEtoile Hannut
MINI Louyet Charleroi
Nissan Car Avenue MS Motor
Opel Groupe Schyns
Peugeot Groupe Schyns
Polestar Polestar Automotive Luik
Renault Renault Néri
Seat Michaël Mazuin
Skoda Michaël Mazuin
Toyota Groupe GCA
Volkswagen Michaël Mazuin
Volvo Nordicar
LES MEILLEURS DEALERS PAR MARQUE EN FLANDRE
Marque Concessionnaire
Alfa De Linde
Audi Thoen
BMW Jorssen
Citroën Imacar DS DS Store Antwerpen
FIAT De Linde
Ford Waasland Automotive
Hyundai Van Mossel Mechelen
Isuzu De Witte
Jaguar Vernaeve Jeep De Linde
Kia Vermant
Land Rover Vernaeve
LEXUS CIAC Gent
Mazda Waasland Automotive
Mercedes-Benz Hedin Automotive Gent
MINI Antwerp Store South
Nissan Leo Peeters Opel Imacar
Peugeot Stellantis & You Sales & Services
Polestar Polestar Automotive Gent
Renault Devos-Capoen (Van Mossel)
Seat Top Motors
Skoda Top Motors
Smart Hedin Automotive
SsangYong Houman
Suzuki Houman
Subaru V.J.B Motors
Toyota Garage Willy CIAC Gent
Volkswagen Thoen Volvo Scancar
Digital Dealer of the Year Award by CarFlow : DriveBlue.be
Dans un monde de plus en plus numérique, les concessionnaires doivent également se réinventer. Le projet qui a le mieux réussi à le faire a reçu le prix du Digital Dealer of the Year by CarFlow.
Le tout premier Digital Dealer Award est décerné au projet DriveBlue.be. Le bleu fait évidemment référence à l'ovale bleu, le logo de Ford, puisque le site web est une collaboration entre les concessionnaires Ford Waasland Automotive, AB Automotive et FordStore Vanspringel Automobiles. Sur le site, vous trouverez une offre de toutes les voitures neuves, d'occasion et de luxe des concessionnaires, à acheter de différentes manières : de l'achat traditionnel au financement ballon, en passant par le financement classique ou encore le leasing privé. Grâce à divers moteurs de recherche, vous accéderez à la Ford de vos rêves et si cela vous semble trop compliqué, le « car agent » effectuera une recherche pour vous sur la base d'un certain nombre de paramètres. L'achat d'une voiture n'a jamais été aussi simple !
FLEET Employer of the Year by Educam : MIG Motors
Ce prix vise à récompenser les employeurs qui investissent dans l’amélioration durable de leurs politiques de ressources humaines et renforcent ainsi leur image d’employeurs attrayants.
L’objectif de cette initiative est de contribuer à promouvoir positivement le secteur de la mobilité en tant qu’employeur attrayant et de présenter les différents postes disponibles dans ce secteur comme des choix de carrière intéressants et stimulants.
MIG Motors a clairement réussi l'exercice ! Le distributeur de différentes
marques du groupe Volkswagen, investit clairement dans son capital humain. L'un des moyens d'y parvenir est l'évaluation des performances (les managers se concentrent sur les employés et leur prêtent attention afin de faire progresser l'organisation). En outre, le concessionnaire met l'accent sur un environnement de travail attrayant et divers
systèmes de rémunération afin de créer un équilibre idéal entre vie professionnelle et vie privée. Autant de composantes d'une politique RH proactive qui ont été appréciées par notre jury. Félicitations à MIG Motors ! Un article plus complet sera consacré à la stratégie de MIG Motors dans notre prochaine édition.
Dream Car of the Year
Le train de rêve
Mobilité, essais avec les modèles fleet les plus récents ou aperçu des groupes motopropulseurs les plus importants : FLEET.TV regorge chaque mois de reportages intéressants. Mais il y a une rubrique qui fait invariablement rêver : "Dream Car", où Jeffrey Van Hooydonk a l'occasion de piloter les bolides les plus rapides et les plus exclusifs sur le circuit de Zolder. C'est également dans cette rubrique que sont présentées des supercars lors de la Spéciale Dreamcars annuelle, tournée à Reims ou ailleurs.
Mika Tuyaerts mika.tuyaerts@effectivemedia.be
Parmi la liste des « jouets » exclusifs sur lesquels nous avons mis la main l'année dernière, les rédacteurs de l'émission ont choisi non pas un, mais cinq gagnants ! Parce que vous ne pouvez pas comparer une hypercar exclusive valant plusieurs millions à une voiture de sport dont le prix est plus « accessible ». Ou parce que les normes applicables à une voiture de circuit sont différentes de celles applicables à une ravissante GT. Parmi ces cinq lauréats, une grande gagnante a finalement été choisi. Elle remporte le prix de FLEET.TV Dream Car of the Year by Zenith Graphics.
Catégorie Pure LOTUS EMIRA
Ne pas rendre les choses trop difficiles, telle est la philosophie de Lotus depuis de nombreuses années. En effet, la marque basée à Norwich suit la voie tracée par Colin Chapman dans les années 1960 et 1970 au sein de l'équipe britannique de Formule 1 : celle des voitures légères et agiles. Lotus, cependant, abandonnera doucement cette voie en électrifiant la marque. L'hypercar Evija de 2.000 chevaux qui sortira bientôt sera toujours capable de maîtriser son poids, mais le SUV Lotus Eletre qui sera présente au Salon de Bruxelles peut difficilement être qualifié de "bas et léger", même s'il s'agit d'une bonne voiture pour pilote.
Comme un dernier adieu à la voiture à essence, Lotus construit cette Emira : son look agressif séduit, son quatre-cylindres d'AMG ou six-cylindres de Toyota charme, et ses performances sur circuit sont à la hauteur d'une Lotus : la voiture se laisse guider en douceur dans les virages. Cela va nous manquer ! La fin d'une époque qui mérite un prix !
Catégorie Sensation
BMW i4 M
Sensationnelles, les accélérations de cette BMW i4 M50 le sont certainement ! 544 ch, 0 à 100 km/h en seulement 3,9 secondes, cette BMW donne le vertige. De plus, cette BM électrique n'aime pas seulement aller droit et fort, elle excelle également dans les virages. « C'est la voiture avec laquelle il était le plus facile de drifter », nous a confié Jeffrey Van Hooydonk après son passage sur le circuit de Zolder avec cette voiture. « L'accélérateur et le train arrière communiquent si bien entre eux. Vous pouvez vraiment contrôler la voiture avec votre pied droit et glisser dans le virage. Vraiment impressionnant ! » Les sensations de conduite sont au rendez-vous avec ce bolide électrique, c'est pourquoi nous lui attribuons la victoire dans la catégorie "Sensation", preuve supplémentaire que le « M » est la lettre la plus puissante de l'alphabet. De plus, c'est la première BMW électrique à recevoir le dérivé M, bien qu'il ne s'agisse pas encore d'un pur-sang. Cela nous fait espérer le meilleur pour la i4 M, sur laquelle de nombreuses rumeurs circulent sur internet !
Catégorie Affordable
KIA EV6 GT
Au milieu de toute cette puissance avec un prix affichant cinq ou parfois même six zéros, nous prenons un moment pour mettre en lumière une voiture qui pourrait être à vous pour un montant nettement plus accessible : la Kia EV6 GT, électrique. Les Sud-Coréens en demandent environ 65.000 euros. Mais cela ne signifie pas pour autant que vous n'obtenez que la moitié d'une supercar : 585 ch, 0 à 100 km/h en seulement 3,5 secondes et elle tient également bon dans les virages. Pourtant, ce sont surtout ses accélérations qui font la différence : une vidéo circule sur internet d'une course dans laquelle la Kia l'emporte sur des voitures de renom comme la Porsche 911 Targa 4, la Lamborghini Urus et la MercedesAMG GT. Même à la station de recharge, d'ailleurs, l'EV6 est rapide grâce à son architecture 800v.
Tout cela dans une voiture tout à fait abordable, avec laquelle vous pouvez aller à la mer avec les enfants le week-end, vous rendre au travail tous les jours ou la bourrer d'équipements sportifs pour une journée dans la nature. Autant de possibilités qui permettent à cette Kia EV6 GT de remporter la catégorie "Affordable".
Cette Rimac Nevera nous a laissé une impression indescriptible. Par conséquent, elle remporte non seulement la catégorie Hypercar, mais aussi le concours global. Elle devient donc la FLEET.TV
Dream Car of the Year by Zenith Graphics.
Félicitations à Rimac !
Catégorie Convertible MERCEDES-AMG SL 63 ROADSTER
Aucun type de carrosserie ne fait autant rêver que celle du cabriolet, la seule voiture qui donne accès à des millions de km² de ciel bleu et fait entrer l'atmosphère et le charme de la campagne jusque dans l'habitacle. La rédaction de FLEET.TV a choisi le Mercedes-AMG SL 63 Roadster comme meilleur cabriolet de l'année.
La célèbre voiture de MercedesBenz fait son retour sous les ailes de la division sportive AMG. Et ça se sent ! Une position extrêmement bonne dans les virages, tandis que le moteur V8 procure une sensation auditive et physique (0-100 km/h en 3,6 secondes !).
Catégorie Hyper Car RIMAC NEVERA
Rimac met le "Hype" dans hypercar : le monde entier a suivi avec circonspection le développement de cette Nevera. De 0 à 100, il ne faut que 1,97 seconde à ce monstre croate grâce à sa puissance d'environ 2 000 ch ! La Nevera joue avec les lois de la physique, redéfinissant le terrain de jeu des hypercars. Exclusif (2 millions d'euros !) mais sympathique, car c'est une marque outsider. Le nouvel acteur qui a atteint le niveau qui lui permettrait de racheter partiellement Bugatti et de conclure un partenariat stratégique avec Porsche.
Cinq voitures de rêves qui confèrent du plaisir, chacune à leur façon !
Let’s Talk FLEET!
Véhicules d’occasion : les prix grimpent de 40%, mais le marché se tasse
Effective Media a organisé un Let’s Talk FLEET! en collaboration avec Auto1 le 6 décembre. Le thème central : le marché de l’occasion. Les dernières tendances du marché ont été expliquées par Michel Peelman, PDG de Car-Pass. Mais le coup d’envoi de l’événement a été donné par Gabriel Goffoy, directeur de la communication et du salon de l’automobile de FEBIAC, qui a offert à l’assistance venue à Technopolis (Malines) une vision plus large du marché automobile actuel en guise d’introduction.
Gabriël Goffoy a ouvert le bal en admettant que la voiture n’est pas le problème aujourd’hui, mais une partie importante de la solution vers une mobilité durable. Il a étayé sa position par un certain nombre de chiffres qui indiquent clairement que l’électrification du parc automobile – principalement sous l’impulsion du marché fleet – a permis de réduire considérablement les émissions de CO2 ces dernières années.
Michel Peelman : les prix grimpent de 40%
Michel Peelman a donné un aperçu du marché actuel de l’occasion en Belgique. Il a atteint un pic en 2021, principalement en raison du fait que la production des voitures neuves a été fortement perturbée. Par rapport à 2021, le marché a chuté de 10% cette année (de près de 570.000 à 507.000). Cependant, il ne s’agissait pas encore des chiffres de l’année complète. Il se peut donc que la baisse ait été moindre pour l’ensemble de l’année. Autre constatation frappante : au cours des deux dernières années, les prix des voitures d’occasion ont augmenté de 40% ! Apparemment, nous conduisons aussi nos véhicules plus longtemps, l’âge moyen étant passé de 9,08 à 9,5 ans.
Paul-Henri Lenaerts : Tassement du VO en Europe
Le dernier intervenant de la journée était Paul-Henri Lenaerts, directeur B2B d’Auto1 Group. Il a donné à l’auditoire un aperçu du marché européen des voitures d’occasion. Auto1 a connu une année record en 2021 avec 555.531 voitures échangées sur sa plateforme. En 2022, la croissance du T3 a été plus faible (+0,8%) que celle du T3 2021 (+24%). Il fallait s’y attendre compte tenu des résultats exceptionnellement bons de 2021. Ce n’est qu’à la fin de cette année que la tendance sera claire. Mais il semble déjà que 2022 sera une année stable. M. Lenaerts s’attend également à un ralentissement des hausses de prix, en partie dû à l’inflation.
Organisé sur le temps de midi, Let’s Talk FLEET! Demeure une formule intéressante pour permettre aux professionnels du secteur fleet d’enrichir leurs relations.
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Nos collègues de Fleet Europe ont récemment publié leur Global Fleet Survey. Cette enquête mondiale auprès des gestionnaires de flottes multinationales donne un aperçu des dernières tendances. Pas de grandes surprises dans l’enquête, mais des chiffres encourageants pour les flottes européennes…
Philip De Paepe – philip.depaepe@effectivemedia.beL’enquête Global Fleet Survey a interrogé 127 gestionnaires de flotte internationaux responsables d’un total combiné de plus d’un million de voitures de société et de 300.000 utilitaires légers. Cela fait de l’enquête le plus grand baromètre du secteur fleet au monde.
Réduction du CO2 : mêmes objectifs, rythme différent L’étude a montré que la réduction des émissions de CO2 est la priorité numéro un des flottes multinationales car les entreprises cherchent à atteindre leurs propres objectifs de développement durable. Mais le rythme de l’électrification diffère grandement d’un continent à l’autre.
C’est en Europe que les flottes ont le plus progressé en matière de voitures zéro émission, puisque 90 % des parcs ont, cette année, mis en service des véhicules électriques.
C’est beaucoup plus que les 61 % de l’Amérique du Nord. D’autres régions sont encore plus à la traîne : 45 % en Asie-Pacifique, 25 % en Amérique latine et 27 % en Afrique-MoyenOrient. Les 127 flottes prévoient que 36 % de leurs véhicules seront électriques d’ici 2025.
Les flottes européennes affichent également les objectifs les plus ambitieux en matière de CO2 : 33 %
d’entre elles prévoient un seuil maximal de CO2 de 60 gr/km d’ici 2025, contre 29 % en Amérique du Nord, 20 % en Asie-Pacifique, 18 % en Amérique latine et 15 % en Afrique et au Moyen-Orient.
Ces objectifs en matière de CO2 sont nettement inférieurs aux émissions moyennes actuelles de 119 gr/km en Europe, 159 gr/km en Amérique du Nord, 136 gr/km en Amérique latine, 135 gr/km en Asie-Pacifique et 141 gr/ km en Afrique-Moyen-Orient.
Réduction des coûts : 5,5 % en moyenne Comme 58 % des flottes mondiales relèvent du service des achats, il n’est
pas surprenant que la réduction des coûts constitue une priorité pour les entreprises. En moyenne, les flottes multinationales souhaitent économiser cette année 5,5 % sur leurs coûts. Malgré l’inflation qui frappe l’économie mondiale, le choix des véhicules, les remises des OEM et les sociétés de leasing devraient encore permettre de réaliser des économies.
L’enquête montre que la décision d’organiser une flotte au niveau mondial est principalement motivée par le désir d’harmoniser les processus, de minimiser le TCO et d’échanger les meilleures pratiques.
Financement des flottes : l’Europe opte pour le leasing opérationnel
Le leasing opérationnel représente la part du lion du financement : 95 % des véhicules en Europe, 74 % en Afrique et au Moyen-Orient, 74 % en Asie-Pacifique et 71 % en Amérique latine. Cette situation contraste fortement avec l’Amérique du Nord, où la plupart des flottes optent encore pour le leasing financier. Dans toutes les régions, à l’exception de l’Amérique du Nord, les flottes multinationales ont réduit le nombre de leurs fournisseurs de financement au cours des 12 derniers mois.
Ces grands clients fleet, qui gèrent chacun une flotte moyenne de 9.400 voitures et 3.600 utilitaires, se tournent vers leurs sociétés de leasing plutôt que vers des fournisseurs spécialisés pour trouver des solutions de mobilité, étant donné qu’ils recherchent des alternatives décarbonées aux véhicules de société.
Pas moins de 44 % des entreprises disposant d’un parc automobile important estiment que l’augmentation du télétravail entraînera une diminution des voitures salariales, qui seront remplacées par des solutions de mobilité alternatives, bien que ce chiffre tombe à 31 % pour les véhicules de travail essentiels. Rien qu’en Europe, un nombre important (22 %) de décideurs fleet s’attendent à ce que leur flotte rétrécisse cette année.
SIX POINTS DE VUE
Voici les six grandes tendances du Global Fleet Survey
1. Les flottes multinationales relèvent toujours majoritairement du domaine des achats (58 %), mais les RH jouent également un rôle de plus en plus important (20 %).
2. ‘L’harmonisation des processus’ a dépassé la ‘réduction des coûts’ comme principale raison d’adopter une approche fleet globale. En moyenne, les flottes devraient réaliser des économies d’environ 5,5 % d’une année sur l’autre.
3. La transparence et la tarification sont les deux critères les plus importants dans le choix d’un partenaire de leasing. Pour engager un partenariat avec un OEM, les gestionnaires de flotte examinent d’abord la gamme EV et d’autres formes de propulsion alternatives.
4. Les opérateurs de flottes internationaux s’attendent à ce que la taille de leur flotte augmente plus rapidement qu’en 2021.
5. Les prix et les capacités de reporting sont essentiels pour choisir le bon partenaire de leasing. Le prix et la sécurité sont les critères de sélection des OEM.
6. Les exploitants de flottes multinationales prévoient que 36 % de leurs flottes seront électriques d’ici 2025. Ils pensent également que l’infrastructure de recharge reste le plus grand défi pour l’électrification des flottes.
Les flottes européennes affichent les objectifs les plus ambitieux en matière de CO2, 33 % d’entre elles introduisant un seuil maximal de 60 gr/km de CO2 d’ici 2025.
La fiscalité 2023 en détails
La déductibilité des voitures de société, la cotisation CO2 (aussi appelée cotisation de solidarité), l'ATN, les valeurs CO2 dont il faut tenir compte : voici, de manière claire, tout ce qu'il faut savoir sur la fiscalité en 2023 !
Grégory Livis - gregory.livis@effectivemedia.be
1. VALEUR CO2
Voici les valeurs CO2 à prendre en compte pour calculer les déductibilité, ATN et cotisation CO2 en 2022 :
• CO2 NEDC 1.0 si le véhicule ne dispose que d’une valeur NEDC ;
• CO2 WLTP si le véhicule ne dispose que d’une valeur WLTP ;
• CO2 NEDC 2.0 OU CO2 WLTP (au choix) si le certificat de conformité (COC) du véhicule mentionne les deux valeurs.
Il faut donc se référer au certificat de conformité (COC) du véhicule pour vérifier si un véhicule dispose de deux taux d’émissions de CO2 (WLTP et NEDC 2.0). En effet, le COC d’un véhicule avec deux taux d’émissions de CO2 mentionne à la fois un tableau (rubrique 49.1) reprenant les valeurs NEDC de consommation et CO2 ET un tableau (rubrique 49.4) reprenant les valeurs WLTP de consommation et CO2
Il faut prendre la valeur CO2 « pondérée, combinée » pour les véhicules électriques rechargeables et valeur CO2 « combinée » pour les autres motorisations.
2. LA DÉDUCTIBILITÉ
Quelle formule ?
120 % – (0,5 % X coefficiënt X CO2)
Quel coefficiënt ?
Le coefficient varie selon le type de motorisation du véhicule.
Quels frais ?
• Les frais de financement et les frais de téléphonie mobile (kit mains libres avec gsm, smartphone…) sont déductibles à 100 %.
• Tous les autres frais relatifs à l'usage professionnel du véhicule sont déductibles à la même hauteur que la voiture, pour autant que celle-ci ait été commandée au plus tard le 31 décembre 2022 : les frais de carburant, le prix d’achat ou le loyer mensuel de leasing, la TVA, l’amortissement du véhicule et des accessoires, les taxes, les frais de pneus et d’assurance, les frais de parking, les frais d’entretien et de réparation, les frais de lavage, les frais de remorquage, etc.
• Il y a du changement pour les véhicules (partiellement) thermiques commandés en 2023.
EXEMPLES
DIESEL : EMISSIONS CO2 : 100 G
• Déductibilité 2022 :
120 % – (0,5 % × 1 × 100) = 70 %
DIESEL : EMISSIONS CO2 : 101 G
• Déductibilité 2022 :
120 % – (0,5 % × 1 × 102) = 69,5 %
ESSENCE :EMISSIONS CO2 : 105 G
• Déductibilité 2022 :
120 % – (0,5 % × 0,95 × 105) = 70,1 %
ESSENCE :EMISSIONS CO2 : 156 G
• Déductibilité 2022 :
120 % – (0,5 % × 0,95 × 156) = 45,9 % 50 %, car moins de 200 grammes.
Quelles échelles de déductibilité ?
• Voiture électrique ou hydrogène (0 g CO 2 / km) : 100 %
• De 100 à 50 %
• 40 % pour les voitures émettant 200 g de CO 2 / km et plus, peu importe le carburant
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CNG : EMISSIONS CO2 : 95 G
PUISSANCE FISCALE : 11 CH
• Déductibilité 2022 :
120 % – (0,5 % × 0,90 × 105) = 72,75 %
CNG : EMISSIONS CO2 : 95 G
PUISSANCE FISCALE : 12 CH
• Déductibilité 2022 :
120 % – (0,5 % × 0,95 × 105) = 70,1 %
FULL HYBRID : EMISSIONS CO2 : 76 G
• Déductibilité 2022 :
120 % – (0,5 % × 0,95 × 76) = 83,9 %
ESSENCE :EMISSIONS CO2 : 200 G
• Déductibilité 2022 : 40 %
3. LA COTISATION CO2
Indexée chaque année, la cotisation CO2, aussi appelée cotisation de solidarité, est due mensuellement par les employeurs qui octroient une voiture à des collaborateurs pour leur usage privé.
Cotisation CO2 minimale en 2022
• 31,34 euros / mois
• C’est ce montant minimal qui est requis pour les véhicules « zéro émissions » (électriques ou hydrogène)
4. L’ATN
Pour 2022, les valeurs CO2 de référence pour le calcul de l’ATN sont : 82 grammes pour les voitures essence 67 grammes pour les voitures diesel.
Au moment de boucler cette édition, l'ATN minimum n'était pas encore connu. Il devrait en tout cas être supérieur à 1.400 euros.
Quelles formules de calcul ?
Diesel
prix catalogue x [5,5 + ((CO2 – 67) x 0,1)] % x 6/7 x coefficient d’âge de la voiture
Essence, full hybride, "faux" hybride, LPG et CNG :
prix catalogue x [5,5 + ((CO2-82) x 0,1)] % x 6/7 x coefficient d’âge de la voiture
Electrique/hydrogène et plug-in hybride (essence ou diesel) : prix catalogue x 4 % x 6/7 x coefficient d’âge de la voiture
Quel prix catalogue ?
Le prix catalogue est celui du véhicule vendu à l’état neuf, à un particulier, y compris les options et la TVA réellement payée. Il n’est pas tenu compte de remises, réductions, abattements ou ristournes.
Les formules
Diesel (y compris plug-in hybride diesel) CO2 connu : [(CO2 × 9 EUR) – 600] / 12 × 1,5046
CO2 inconnu : 110,96 euros / mois
Essence (y compris hybride et plug-in hybride essence)
CO2 connu :
[(CO 2 × 9 EUR) – 768] / 12 × 1,5046
CO2 inconnu : 109,08 euros / mois
CNG / LPG
[(CO2 × 9 EUR) – 990] / 12 × 1,5046
EXEMPLES
Voiture diesel
Emissions CO2 : 100 g
Cotisation CO2 :
[(100 × 9 EUR) – 600] / 12 × 1,5046 = 37,62 euros / mois
Essence – Emissions CO2 : 110 g
Cotisation CO2 :
[(110 × 9 EUR) – 768] / 12 × 1,5046 = 27,84 euro
31,34 euros / mois, car cotisation minimum
Essence – Emissions CO2 : 125 g
Cotisation CO2 :
[(135 × 9 EUR) – 768] / 12 × 1,5046 = 56,05 euros/mois
Quel coefficcient d'âge ?
Période écoulée la première immatriculation* Coefficient d'âge de la voiture De 0 à 12 mois
* Tout mois commencé compte pour un mois complet
EXEMPLES
1. Voiture diesel
Prix catalogue : 30.000 euros (TVA et options comprises, hors remises).
Immatriculation en 2023 (donc coefficient 1). CO2 : 99 grammes.
30.000 x [5,5 + ((99 – 67) x 0,1)] % x 6/7 x 1 = 2.237,14 €/an
2. Voiture essence
Prix catalogue : 30.000 euros (TVA et options comprises, hors remises). Immatriculation : mars 2021 (donc, coefficient = 0,88). CO2 : 120 grammes. 30.000 x [5,5 + ((120-82) x 0,1)] % x 6/7 x 0,88 = 2.247,94 €/an
3. Voiture électrique
Prix catalogue : 45.000 euros. Immatriculation : 2023. 45.000 x 4 % x 6/7 x 1 = 1.582,86 €/an
LE TRAITEMENT DES VOITURES (PARTIELLEMENT) THERMIQUES* EN 2023
La voiture (partiellement) thermique était déjà en circulation ou a été commandée au 31/12/2022
• La déductibilité de la voiture et des frais qui y sont liés reste à la même hauteur qu’en 2022 et ce, jusqu’au changement de propriétaire.
• La cotisation CO2 (ou de solidarité) ne subit que l’inflation annuelle.
La voiture est commandée entre le 1/1/2023 et le 30/06/2023
• La déductibilité du carburant fossile (pas l’électricité dans le cas des plug-in, donc) est plafonnée à 50%.
• La déductibilité de la voiture et des autres frais reste intacte jusqu’au changement de propriétaire.
• La cotisation CO2 (ou de solidarité) ne subit que l’inflation annuelle.
La voiture est commandée à partir du 1/7/2023
• La déductibilité du carburant fossile (pas l’électricité dans le cas des plug-in, donc) est plafonnée à 50%.
• La déductibilité de la voiture et des autres frais reste intacte en 2023 et 2024.
• La déduction maximale dégringolera ensuite à
• 75% en 2025,
• 50% en 2026,
• 25% en 2027,
• 0% dès 2028.
Outre son indexation annuelle, la cotisation CO2 (ou de solidarité) sera multipliée par un facteur de :
• 2,25 du 1er juillet au 31 décembre 2024
• 2,75 du 1er janvier 2025 au 31 décembre 2025
• 4 du 1er janvier 2026 au 31 décembre 2026
• 5,5 à partir du 1er janvier 2027 (jusqu’en 2031)
ATTENTION AU BON DE COMMANDE !
Pour le SPF Finances, « commandé » signifie :
• Bon de commande établi et signé avant une date d’entrée en vigueur des nouvelles règles par le vendeur et l’acheteur-contribuable du véhicule s’ils n’optent pas pour une formule de leasing ;
• Contrat de leasing signé avant la date d’entrée en vigueur des nouvelles règles par le bailleur et le locataire-contribuable s’ils décident de conclure un contrat de leasing.
Concrètement, cela signifie qu’une commande initialement conclue directement entre le vendeur et l’acheteur de la voiture et convertie en commande de leasing après la date du 1/7/2023 fera basculer le véhicule dans le traitement fiscal le moins avantageux. Un conseil : passez commande à temps, pour que votre société de leasing puisse, elle aussi, commander votre/vos voiture(s) auprès du distributeur ou du constructeur avant le 1er juillet 2023 ! POUR
TOUT SAVOIR SUR LA FISCALITÉ LIÉE À L’INSTALLATION DES BORNES DE RECHARGE, SCANNEZ CE CODE QR.
Essai Peugeot 408 Hybride 225
Juste à temps !
Une cinq portes surélevée avec un hayon. D’aucuns appellent ça un crossover. A Sochaux, on préfère parler de berline. Après tout, les apparences résistent-elles à l’implacable réalité des chiffres ? Dans le matricule « 408 », on en compte trois. Comme toutes les berlines, du moins chez Peugeot…
Alain Vandersande – alain.vandersande@effectivemedia.be
Evacuons donc l’encombrant débat du genre... Cette 408 n’est pas un SUV. Pas plus qu’un coupé. Jusquelà, on est d’accord. Une berline alors ? Eh bien non ! Mais, mais… vous aviez dit qu’avec trois chiffres… Eh oui, c’est bien ça le problème : les chiffres, on peut leur faire dire n’importe quoi. Prenez le fameux i-Cockpit, ce poste de conduite articulé autour d’un petit volant si cher à Peugeot. A en croire l’un de nos interlocuteurs, il serait plébiscité par près de 90% de ses utilisateurs. Imaginez… 90% ! Un score soviétique. Largement de quoi faire taire ses détracteurs. Pourtant, ce petit volant si génial fera bientôt l’objet d’une grosse, grosse évolution. Trop tard pour cette 408, qui essuiera les habituels critiques des grands gabarits confrontés à un choix cornélien : régler le volant à la bonne position ou pouvoir consulter l’instrumentation. Comprenez qu’en position haute, la jante supérieure du cerceau rend illisible les informations relatives à la vitesse, à l’autonomie ou que sais-je encore… A quand un vrai affichage tête-haute ? Peut-être pour bientôt. Mais revenons à notre 408.
Une vraie Peugeot
Classée parmi les automobiles non genrées, la 408 s’apparente plus
encore à la famille Peugeot. Par ses feux avant et arrière, par sa calandre, par son i-Cockpit, on l’a dit, mais aussi et surtout par son agrément. (Petit) volant en main, on a l’impression de conduire une voiture plus compacte qu’elle ne l’est vraiment. C’est un joli compliment pour un engin long de 4.70 m, haut 1.48 m et lourd de 1.7 tonne en version plug-in hybride. Des versions plugin hybrides d’ailleurs puisque le modèle est disponible en « hybrid 180 » et « hybrid 225 ». C’est cette dernière que nous avons prise en main. Avec un premier constat : les routes sinueuses lui vont très bien ! Sans être particulièrement communicative, cette 408 est gratifiante à emmener, efficace, avec roulis maîtrisé et des vitesses de passage en courbe de toute façon trop élevées. Elle est aussi confortable, très confortable, grâce à un habitacle feutré et un amortissement remarquable, même lorsque la qualité du revêtement se dégrade. Du grand art, même chaussée de roues de 20 pouces, c’est dire… Agrément aussi pour le groupe hybride. Sans être démonstratif, il fait le boulot. Ses 225 ch sont relativement discrets, mais c’est aussi une qualité. Un mot encore sur l’espace intérieur. Cette 408 est la plus
spacieuse des Peugeot aux places arrière, malgré la présence d’une chute de toit prononcée. Avec 470 litres de contenance, le coffre de la version hybride est juste suffisant. Parce qu’on ne fait pas toujours dire ce que l’on veut aux chiffres…
Conclusion
Lorsque vous lirez ces lignes, il sera trop tard pour profiter d’une déductibilité à 75% de l’essence consommée par votre future 408. Pour ça, il aurait fallu lire ce même article sur notre site fleet.be et signer un bon de commande avant le 31 décembre 2022. Sachez néanmoins que ce carburant reste déductible à 50% et qu’il vous reste 6 mois (pour un bon de commande signé avant le 1e juillet 2023) pour déduire cette Peugeot à 100%... jusqu’à sa revente. Ce n’est pas son seul argument.
FLEET FACTS
Peugeot 408 Hybride 225
Prix de base : 41 829 €
Consommation normalisée : 1,2 l/100km (WLTP)
CO2 : 26 gr/km
Cotisation CO2 /mois : 31,34€
ATN/mois : 119,51 €
TESTEZ L’ÉLECTRIQUE SANS CONTRAINTES
Vous cherchez une nouvelle voiture de société ?
Rendez-vous au Salon de Bruxelles pour la dénicher !
Après deux ans de disette, le Salon de l'Auto ouvre à nouveau ses portes à Brussels Expo, à Bruxelles. Et c'est tant mieux, car beaucoup de choses ont changé en deux ans, notamment grâce à la multitude de voitures électriques lancées par les différentes marques. Voici une visite guidée du Salon, palais par palais.
Mika
PALAIS 5
Le Palais 5 est celui de Stellantis, mais il accueille aussi Renault-Dacia et Lotus. Eh oui, Lotus! Une marque qui va renforcer sa présence sur le marché fleet avec le nouvel Eletre, un SUV électrique qui fera ses débuts dans notre capitale. Le premier VE de la marque de Norwich sera en mesure de parcourir quelque 600 km avec une batterie pleine. Cette autonomie n’est pas encore proposée par Jeep, mais l’Avenger, la première voiture 100% électrique de la marque, peut effectuer quelque 450 km avec une batterie pleine. Le modèle possède aussi des lettres de noblesse puisqu’il a notamment été nominé pour le titre de Voiture Européenne de l’Année. Il ne sera pas le seul d’ailleurs dans le Palais 5. Avec la Peugeot 408, une hybride rechargeable située à mi-chemin entre coupé, fastback et SUV (environ 50 km en mode 100%
électrique) et la Renault Austral, une hybride autorechargeable, ce sont en effet pas moins de 3 des 7 candidates que l’on retrouve dans ce palais.
Autre modèle à découvrir absolument dans le Palais 5: l’Alfa Romeo Tonale, la première hybride rechargeable de la marque. Un modèle qui marque une étape importante pour les Italiens, qui veulent scorer dans le secteur fleet avec ce SUV compact, surtout dans les prochains mois, tant que l’avantage fiscal restera pleinement d’application pour les hybrides rechargeables.
D’autres marques ont déjà effectué cette transition vers l’électrique.
C’est le cas d’Abarth avec la 500e. Cette citadine sportive se branche sur une prise, et elle le fait avec style, franchissant la barre des 100 km/h plus rapidement que sa devancière à essence!
PALAIS 6
Dans le palais suivant, nous retrouverons le groupe Astara, mais aussi les stands de Honda, Mazda, Polestar et Tesla. Du côté d’Astara, les regards seront tournés vers l’Ioniq 6. Cette séduisante berline électrique, l’un des modèles les plus aérodynamiques du moment, est capable de parcourir quelque 610 km avec une batterie pleine et elle dispose de nombreux atouts sur le plan technologique, comme le Vehicle to Load. Et au niveau de la borne de recharge, ses performances sont aussi excellentes: sur une borne rapide, il est possible de récupérer 351 km en un petit quart d’heure. Sur le stand Astara, vous pourrez aussi découvrir une toute nouvelle marque: Silence. Ces petites citadines électriques sont idéales comme véhicules de pool. La batterie peut simplement être emmenée avec soi à la maison pour être rechargée. Les champions des prix, c’est cependant du côté de MG qu’on les trouvera. La MG4 sera une sérieuse concurrente pour la Volkswagen ID.3 et consorts: cette berline à hayon dispose d’un design expressif et offre quelque 450 km d’autonomie pour un peu plus de 30.000 euros! Chez Ford, ce salon est placé sous le signe des utilitaires, avec notamment le nouveau Ranger. Ce travailleur hors-pair s’y exposera en variante Wildtrack. Nous accueillerons aussi
PALAIS 7+9
Ces Palais 7 et 9, nous avons choisi de les associer, vu qu’ils partagent également des espaces communs. Le point d’orgue sera le stand BMWMINI, qui côtoiera des marques rivales japonaises (Nissan, Subaru, Toyota-Lexus), sud-coréenne (KIA) et chinoises (BYD, DFSK, Aiways, Seres, BAIC). Chez BMW, le modèle phare est le iX1. L’un des modèles fleet les plus prisés du moment se décline désormais en électrique, ce qui renforcera encore sa popularité. Cette BMW électrique parcourt environ 450 km avec une batterie pleine.
L’électrique est aussi de mise chez les Japonais, avec la Nissan Ariya, la quatrième des sept candidates à la Voiture de l’Année, avec une
autonomie maximale de 533 km et un intérieur séduisant avec des accents boisés. Les cinquième et sixième candidates, nous les retrouvons aussi dans ce palais: la paire Subaru Solterra / Toyota bZ4X est l’une de ces candidates, les deux modèles reposant sur la même base. Esthétiquement, les deux modèles se distinguent par quelques différences. Et la Subaru n’est proposée qu’avec une transmission intégrale. Mais pour le reste, ils sont identiques. L’autre candidate est la Kia Niro, un SUV compact disponible en hybride rechargeable, en hybride et en 100% électrique.
Terminons le tour de ce palais par quelques représentants chinois. BYD présente ses Tang et Han, deux
dans nos contrées la nouvelle Tesla Model S, en version Plaid dans un premier temps. Avec un 0 à 100 en 2,1 secondes et une puissance de 1.020 ch, elle se distingue surtout par ses performances, mais elle étonne aussi dans son habitacle avec son volant ‘aviation’, ou 'yoke’ dans le jargon. Polestar et Mazda présentent chacun un SUV. Mazda espère scorer sur le marché fleet avec son CX-60: un grand SUV doté d’une très bonne finition et d’un groupe propulseur hybride rechargeable qui lui permet de parcourir 63 km en mode zéro émission. Un produit qui répond aux attentes du secteur, sur le plan fiscal ou de la personnalité. Notez au passage que Bruxelles est le seul salon européen auquel Mazda participe. Chez Polestar, la 2 est rejointe par le 3: un grand SUV disposant d’une grosse batterie (111 kWh) et d’une technologie de pointe avec la recharge bidirectionnelle.
modèles du segment E, ainsi que l’économique ATTO 3, qui pourrait faire fureur avec son design différent, son excellente finition et son autonomie de 420 km. C’est aussi ce qu’espère Aiways pour son U6, un SUV-coupé qui possède donc le type de carrosserie à même de séduire l’Europe.
PALAIS 11
Le porte-drapeau dans le palais 11, c’est le Volkswagen ID. Buzz. La réincarnation moderne et électrique de l’emblématique minibus hippie off re jusqu’à 425 km d’autonomie. Il sera présenté en variante utilitaire et transport de personnes dans un palais entièrement occupé par D’Ieteren.
Dans ce palais, on voit aussi une voiture avec un petit côté belge même, comme dans le cas de l’Audi Q8 e-tron (qui a succédé à l’e-tron), construite à Forest.
Ce SUV électrique peut parcourir jusqu’à 600 km avec une batterie pleine, du moins si vous optez pour la version Coupé. La Skoda Enyaq Coupé ne passera pas non plus inaperçue avec sa ligne séduisante et quelque 550 km d’autonomie dans sa version la plus performante, la RS de 299 ch. Bref, l’électricité se décline sous toujours davantage de formes, des modèles sportifs aux familiales en passant par les SUV et les berlines. À vous de les découvrir du 14 au 22 janvier dans les Palais du Heysel, à Bruxelles.
REMPORTEZ DES TICKETS POUR VOUS RENDRE AU SALON !
FLEET.be vous donne la chance de remporter 15 duo tickets pour le Salon de Bruxelles qui se déroule du 14 au 22 janvier 2023.
Si vous ne voulez pas rater la grandmesse de l'automobile, surfez vite sur FLEET.be pour participer à notre concours !
Et le Best Selling Fleet E-Bike of the Year est…
Plus d'un Belge sur dix se rend régulièrement au travail à vélo. Pour l'environnement, pour la santé, parce qu'il y a trop d'embouteillages : il y a beaucoup de raisons de chevaucher votre monture d'acier. Tout comme pour les voitures, il existe de nombreuses différences en ce qui concerne les vélos. Mais les clients prennent rapidement en maturité et savent ce qu'ils veulent. En d'autres termes, le succès des ventes est un signe de qualité et la marque de vélos la plus populaire auprès des sociétés de leasing reçoit de notre part le trophée du Best Selling Fleet E-Bike of the Year by KBC Vélolease.
Mika Tuyaerts mika.tuyaerts@effectivemedia.bePour obtenir les résultats les plus précis possible, nous avons écrit aux sociétés de leasing qui ont gagné leurs galons dans le domaine du leasing de vélos : Lease a Bike, B2Bike, KBC Autolease, o2o, Cyclis, International Car Lease, ALD Automotive, LeasePlan, Arval, Alphabet et Vancia Car Lease. Nous leur avons demandé leur top 10 des vélos les plus loués. Toutes les sociétés de leasing n'ont pas fourni de résultats, mais les résultats des ventes de celles qui ont répondu ont déterminé le classement de ce prix.
And the winner is…
La marque de vélos la plus populaire en B2B dans notre pays est sans aucun doute Trek ! Une victoire américaine avec une touche belge, l'ancien coureur de cyclo-cross
Sven Nys (double champion du monde) est un ambassadeur de la marque depuis des années et Jasper Stuyven a remporté la classique cycliste Milan - San Remo 2021 sur un vélo de cette marque.
Les cyclistes récréatifs de notre pays apprécient également la marque américaine de vélos, principalement en raison de sa gamme polyvalente : VTT, vélos de route, vélos de ville et bien sûr modèles électrifiés. La gamme Trek est des plus larges. Pourtant, c'est surtout le Trek Allant qui anime les ventes sur le marché B2B. Ce speed pedelec offre une assistance électrique jusqu'à 45 km/h et, dans la version avec Range Boost, atteint la distance stupéfiante de 190 km avec une batterie pleine. Bien plus que le trajet quotidien d'un
Belge moyen. Ajoutez un moteur puissant et une conduite souple et vous obtenez une combinaison gagnante !
La marque de vélos la plus populaire en B2B dans notre pays est sans aucun doute Trek !
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Informations environnementales (A.R. 19/03/2004) : www.fr.ford.be/environnement. Les véhicules Ford sont homologués selon la norme WLTP ("World Harmonised Light Vehicle Test Procedure"), qui permet de mesurer la consommation de carburant, les émissions de CO2 et l'autonomie électrique/le rayon d'action du véhicule de manière standardisée dans un laboratoire d'essai. Les valeurs WLTP ne sont pas une représentation exacte à 100 % de l'autonomie, de la consommation de carburant et des émissions de CO2 des véhicules. Les équipements en option, le style de conduite, les conditions de circulation ou certains facteurs environnementaux tels que la température extérieure peuvent affecter les émissions totales de CO2 du véhicule, sa consommation de carburant ou son autonomie. Par conséquent, la consommation de carburant et les émissions de CO2 réelles ainsi que l'autonomie réelle du véhicule (en particulier la distance que vous pouvez parcourir entre deux recharges) peuvent différer (parfois de manière significative) des valeurs WLTP. Le distributeur vendeur et Ford déclinent toute responsabilité à cet égard. En outre, l'introduction du test WLTP a des conséquences sur la taxation de l'achat et de l'utilisation du véhicule. Annonceur : Ford Motor Company (Belgium) SA, Avenue du Hunderenveld 10, 1082 Bruxelles, TVA BE0404.955.204, RPM Bruxelles - Banque : Fortis 220-0040000-72 - Tel. 02/482 20 00 - custfobe@ford.com. Contactez votre distributeur Ford ou visitez notre site web https://www.fr.ford.be/ pour en savoir plus sur la fiscalité du véhicule, sa consommation, ses émissions de CO2 ou son autonomie.
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DONNONS PRIORITÉ À LA SÉCURITÉ.