2007 - N° 1
3€50
FRANÇAIS/ITALIEN
LA RIVISTA DEGLI IMPRENDITORI ITALIANI DEL PRINCIPATO LA REVUE DES ENTREPRENEURS ITALIENS DE LA PRINCIPAUTÉ
DE DE
MONACO MONACO
Le nouveau défi des entreprises du Bâtiment
La voix des entreprises italiennes
l’Economie italienne, un atout majeur
Monaco Imprese n째 1
Bureau Fernanda Casiraghi - Présidente Niccolò Caissotti di Chiusano - Vice Président Fabrizio Carbone - Secrétaire Général Carlo Brignone - Trésorier Conseil d’Administration Riccardo Arvati Lorena Baricalla Paolo Braschi Carlo Brignone Niccolò Caissotti di Chiusano Fabrizio Carbone Fernanda Casiraghi Michele Florentino José Giannotti Mario Pellegrini Edoardo Loewenthal Giuseppe Valenzano Menada Président Honoraire S.E. Mario Polverini, Ambassadeur d’Italie à Monaco Membres Honoraires Lia Riva Ferrarese S.E. René Novella, Secrétaire d’Etat de la Principauté de Monaco Directeur Administratif Diego Munafò Assistante de Direction Elena Biagini
Monaco Imprese n° 1
Sommaire
Filippo Maria Pandolfi.........................................................................................p. 48 Le dispositif de l’automne ne profite pas aux professions libérales de Monaco..........p. 50 Entretien avec M. Edoardo Loewenthal.................................................................p. 52 Un centre de conciliation international à Monaco...................................................p. 55 Le Traité de Rome a un demi siècle......................................................................p. 57 Timbres Monégasques - Philathélie thématique italienne........................................p. 60 Formulaire d’adhésion à l’AIIM.............................................................................p. 63
© Roy Hulsbergen-Fotolia
Qualité de la vie et travail de “Qualité”..................................................................p. 24 La Chambre de Développement Economique de Monaco.........................................p. 26 SEM Renè Novella, entretien avec l’histoire et le futur de Monaco...........................p. 29 Capitalia Luxembourg est une réalité historique et une certitude pour le futur..........p. 30 Green Energies..................................................................................................p. 32 Le nouveau défi des entreprises du bâtiment........................................................p. 34 A Monaco, l’économie italienne est un atout majeur...............................................p. 40 Giulio Andreotti, Sénateur et ex Président du Conseil.............................................p. 46
© Engeco
La voix des entreprises italiennes......................................................................... p. 5 Mario Polverini, Ambassadeur d’Italie.................................................................... p. 6 Association des Entrepreneurs Italiens de Monaco................................................. p. 9 Bati 2000.........................................................................................................p. 14 Associations italiennes à Monte-Carlo..................................................................p. 16 Comité des Italiens résidents à l’Etranger.............................................................p. 20 “L’Editoriale”......................................................................................................p. 23
Photos couverture : © Engeco / © Roy Hulsbergen-Fotolia / © Corsicarobase-Fotolia
Rédaction
Publicité
Comité de rédaction Fernanda CASIRAGHI (Présidente) Niccolo CAISSOTTI DI CHIUSANO (Vice-Président) Carlo BRIGNONE (Trésorier) Chef de la rédaction Fabrizio CARBONE (Secrétaire Général de l’AIIM)
Chargée de Clientèle Virginia AZRIA - Pauline CORNOU Service administratif & financier Leila SADNI
Studio Graphique
Cédric DUPONT - Francis NOIRHOMME
Direction
Imprimerie
Directeur Général & Directeur de la Publication Patrick ZIRAH
Graphic Service - Monaco
Journalistes
Maria BOLOGNA - Nelly NUSSBAUM
Diffusion en Kiosques
Administration
Sté. Presse Diffusion - Monaco
Dépôt légal à parution - Avril 2007 Monaco Imprese n° 1
Monaco Imprese n째 1
“Monaco Imprese”, la voix des entreprises italiennes Fernanda Casiraghi Présidente de l’AIIM
La Principauté de Monaco est assurément une réalité en plein développement et un carrefour géographique de diverses cultures avec 125 nationalités représentées sur un territoire de 2,5 km de longueur. Parmi celles-ci, l’italienne qui regroupe plus de 6000 résidents : ils représentent 20% de la population totale, sans compter les travailleurs frontaliers, au nombre d’environ 5000, qui rejoignent tous les jours les entreprises de Monaco. La communauté des italiens exerce en outre une grande influence sur l’économie monégasque : on estime qu’elle en contrôle environ 25% par les sociétés et entreprises à capitaux majoritairement italiens. C’est pour apporter un service à cette communauté aussi importante que naît en Septembre 2003 l’AIIM, “L’association des Entrepreneurs Italiens a Montecarlo” : une association dynamique et en constante évolution, composée d’entrepreneurs et de consultants qui ont démontré leur sérieux et qui sont en mesure de faire bénéficier ses adhérents de nombreux avantages et d’outils de qualité pour faciliter leurs rapports avec les organismes institutionnels monégasques. L’objectif de l’AIIM est de devenir le point de référence des très nombreuses petites et moyennes entreprises qui opèrent à Monaco, mais aussi de proposer un support opérationnel qualifié aux diverses activités commerciales gérées par nos compatriotes. L’AIIM a également l’ambition de devenir un véritable trait d’union pour ces entrepreneurs étrangers qui recherchent des partenaires ou des opportunités pour s’installer avec succès en Principauté. Cette année, grâce au partenariat mis en place avec Monaco Communication, nous avons décidé d’offrir un service supplémentaire à nos adhérents, mais également à tous les opérateurs économiques, en créant la nouvelle revue trimestrielle “Monaco Imprese” qui, dans le respect de la dimension cosmopolite de Monaco, offrira aux lecteurs des articles rédigés en italien et en français. A travers ses communications et approfondissements, “Monaco Imprese” affrontera des secteurs spécifiques aux activités de l’Entrepreneur.
Fernanda Casiraghi - Présidente
Des thèmes intéressants sont actuellement à l’étude, tels que le shipping et les dynamiques diverses liées à la présence d’importantes sociétés d’armateurs à Monaco, mais seront également approfondis les services que les italiens offrent dans le secteur financier, dans les secteurs des assurances et du commerce. En somme, ce sera une revue qui, de manière critique et formative, sera capable de susciter des réflexions et des approfondissements, en fournissant à tous un outil valable de confrontation. En conclusion, je souhaite que tant l’AIIM que “Monaco Imprese” puissent fournir ensemble ces informations qui sont apparues nécessaires au plus grand nombre et donner le juste soutien pour mieux s’intégrer et comprendre la réalité monégasque qui nous accueille de longue date.
L’AIIM e la sua Presidente, Donna Fernanda Casiraghi, presenta il trimestrale Monaco Imprese. Il Principato di Monaco : sicuramente una realtà in pieno sviluppo e un crocevia geografico di diverse culture con ben 125 nazionalità rappresentate su una lunghezza di 2,5 km lineari. Tra queste piu’ di 6000 residenti sono italiani : rappresentano il 20% della popolazione totale, senza contare i cosiddetti frontalieri che, in un numero che si aggira intorno ai 5000 lavoratori, tutti i giorni raggiungono Montecarlo e le sue aziende. La comunità italiana ha inoltre un gran peso nell’economia monegasca: si stima infatti che sia controllata per il 25% da aziende ed imprese a capitale prevalentemente italiano.
Ed è proprio per dare un servizio a questa comunità così importante che nasce nel settembre 2003 l’AIIM, “L’Associazione degli Imprenditori Italiani del Principato di Monaco” : una associazione dinamica in evoluzione, costituita da imprenditori e consulenti di comprovata serietà, che sono in grado di offrire i propri associati numerosi vantaggi e validi strumenti di confronto con gli organi istituzionali monegaschi. L’obiettivo dell’AIIM è di diventare il punto di riferimento delle numerosissime piccole e medie imprese italiane che operano a Monaco oltre che proporre un qualificato supporto operativo anche alle varie attività commerciali gestite dai connazionali. L’AIIM ha anche l’ambizione di voler diventare un vero trait-d’union per quegli imprenditori esteri che cerchino partners od occasioni per installarsi con successo a Monaco. Quest’anno, grazie al partenariato con la Monaco Communication, abbiamo deciso di dare un ulteriore servizio ai nostri associati ma anche a tutti gli operatori economici ideando un nuova rivista trimestrale dalla pagina viva, “Monaco Imprese” che, nel rispetto della dimensione cosmopolita di Monaco, offrirà al lettore articoli redatti in italiano ed in francese. Attraverso i suoi servizi ed approfondimenti “Monaco Imprese” affrontarà settori specifici alle attività imprenditoriali e già sono in preparazioni temi interessanti come lo shipping e le varie dinamiche legate alla presenza di grossi gruppi amatoriali a Monaco, così come verranno approfonditi i servizi che da Monaco gli italiani offrono nel settore finanziario, nelle assicurazioni e nel commercio. Insomma arà una rivista che, in maniera critica e formativa, sarà capace di stimolare riflessioni e approfondimenti fornendo a tutti un valido strumento di confronto. Per concludere mi auguro che sia l’AIIM che “Monaco Imprese” possano fornire insieme quelle informazioni che a molti è parsa una necessità e che diano il giusto supporto per meglio integrarsi e comprendere la realtà monegasca che da tempo ci ha accolto. Monaco Imprese n° 1
Mario Polverini, Ambassadeur d’Italie en Principauté de Monaco. Intervista di Maria Bologna
Excellence, les entreprises gérées ou créées par des entrepreneurs italiens sont nombreuses et diversifiées dans de nombreux secteurs : est-il possible d’évaluer l’incidence et le poids que les italiens représentent dans l’économie de la Principauté de Monaco ?
Nous ne disposons pas d'informations précises sur l’apport que la présence italienne fournit à la Principauté ; tous s’accordent sur l’importance certaine et significative qu’elle représente pour le développement économique, mais il n’existe pas de données statistiques. A ce propos nous élaborons un projet avec l’AIIM et avec le COM.IT.ES, actuellement en phase d’étude, qui pourrait être réalisé par le biais d’une collaboration avec des étudiants de certaines universités italiennes, dans les filières économiques et sociales, sous la forme de stages ou de thèses de licence “sponsorisées”. Une étude socioéconomique permettant de trouver les paramètres pour évaluer le poids économique de la présence italienne est susceptible de fournir des indications utiles pour mieux orienter l’activité institutionnelle de l’Ambassade, mais aussi les initiatives des associations italiennes qui opèrent en Principauté.
comporterait une perte importante de postes de travail qui affecterait lourdement les frontaliers italiens. L’expansion de ces entreprises ou dans certains cas, la délocalisation en Italie de leurs activités, à soutenir au moyen d’éventuelles incitations et autres facilités, outre à contribuer à la réalisation d’infrastructures logistiques, de production ou technologiques sur notre territoire, fournirait un soutien à l’occupation dans la zone du Ponant Ligure.
Monaco enregistre une densité de population élevée (16000 habitants au Km2). Cette situation empêche Mario Polverini, Ambassadeur d’Italie en Principauté de Monaco. l’installation de nouvelles Mario Polverini, Ambasciatore d’Italia nel Principato di Monaco. industries et obligera à Quels sont les outils que l’Etat brève échéance les entreprises Italien a prévu pour favoriser sur existantes à réaliser leur expansion le plan économique une synergie surtout à l’extérieur du territoire avec la Principauté de Monaco ? monégasque.Comment imaginezvous un tel développement ? Un instrument déjà retenu, qui devra La future expansion, ou éventuelle délocalisation, à l’extérieur du territoire de la Principauté est une prospective nécessaire, non pas seulement en raison de la disponibilité limitée d’espaces ou pour des motifs d’incompatibilité environnementale, mais aussi en vue de la substitution des implantations industrielles par des entreprises technologiques, avec l’objectif de créer à Monaco, selon les souhaits du Prince Albert, un pôle scientifique international. L’expansion et/ou le transfert de telles entreprises vers d’autres pays
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représenter dans l’avenir un moyen permanent de dialogue et de consultation bilatérale, est l’institution d’une Commission Mixte. Sa constitution pourra être précédée de missions techniques des diverses administrations italiennes compétentes dans les différents secteurs qui auront été retenus dans le cadre de cette coopération bilatérale. Ceci permettra de procéder à l’organisation de tables rondes pour chacune des thématiques, avec le devoir de définir ainsi chacun des projets à soumettre à la Commision Mixte.
Quels sont les secteurs plus particulièrement concernés par ces collaborations bilatérales ?
Dans le cours des colloques que le Prince Albert II a eu avec le Président de la République et avec le Président du Conseil à l’occasion de sa visite en Italie au lendemain de son couronnement, ont été évoqués quelques-uns des secteurs prioritaires sur lesquels la coopération bilatérale doit être développée. En particulier, pour ce qui se rapporte au développement des infrastructures et à la modernisation des liens entre l’Italie et la Principauté, il a été fait référence aux transports routiers, à la modernisation des lignes ferroviaires et également aux liaisons aériennes (hélicoptères); un autre secteur évoqué au cours de ces colloques est celui de la recherche et de la coopération scientifique et, sur un plan plus large, de la coopération culturelle en général. Le sujet de l’implantation possible de structures industrielles monégasques en Italie a été évoqué, toujours au plan politique, mais en une autre occasion. La tâche de l’Ambassade et de l’Administration est à présent de traduire en projets opérationnels une telle impulsion des politiques.
Il y a donc, me semble-t-il, des actions qui sont engagées par l’Ambassade d’Italie à Monaco.
En vue de développer de telles perspectives, et considérant la nécessité d’une participation directe des responsables de la gestion du territoire, l’Ambassade a proposé des rencontres entre les autorités de la Principauté et les administrateurs locaux des zones de proximité, en premier lieu la Ligurie et le Piémont, dans le cadre d’un projet de régionalisation de la coopération italo-monégasque, une dimension qui apparaît par ailleurs cohérente avec l’extension de la Principauté et avec les intérêts prioritaires des régions limitrophes.
Est-ce dans ce cadre que s’inscrit la récente visite du Président de la Région de Ligurie Burlando ?
C'est bien dans cette perspective que les rencontres entre les décideurs politiques -accompagnés des responsables techniques des divers secteurs examinés
- constituent un outil opérationnel important pour le démarrage de programmes concrets à réaliser au niveau local. En particulier, la décision de réunir des groupes de travail informels autour de thèmes spécifiques est une démarche susceptible de produire des propositions concrètes à soumettre à la Commission Mixte en cours de constitution. Celle-ci représentera pour l’avenir l’organisme institutionnel au sein duquel le développement de la coopération bilatérale entre les deux Pays sera examinée et décidée.
Vous remerciant de votre disponibilité, permettez-moi de vous poser une dernière question: quelle importance revêt en Principauté de Monaco une association d’entrepreneurs italiens telle que l’AIIM ?
L'Association des Entrepreneurs Italiens à Monaco représente la synthèse d’une réalité particulièrement visible et appréciée en Principauté, elle constitue un signe important d’affirmation de la présence italienne et de son étroite intégration à la réalité productive, économique, financière et des entreprises du pays.
Mario Polverini, Ambasciatore d’Italia nel Principato di Monaco. Eccellenza, le aziende gestite o create da imprenditori italiani sono davvero molte e diversificate in tante settori: è possibile quantificare l’incidenza ed il peso economico che gli italiani hanno nell’economia del Principato di Monaco ?
Non abbiamo informazioni precise circa l’apporto che la presenza italiana fornisce al Principato ; tutti sono d’accordo che è di una certa importanza e di rilievo per lo sviluppo economico ma non esistono dati. Su questo stiamo avviando un progetto con l’AIIM e con il COM.IT.ES, attualmente in fase di studio, attuabile eventualmente anche attraverso la collaborazione di studenti di alcune università italiane, soprattutto ad indirizzo economico e sociale, sotto forma di stages o di tesi di laurea “sponsorizzate”. Uno studio socio-economico che permetta di trovare dei parametri che ci aiutino a valutare il peso economico della presenza italiana è suscettibile di fornire utili indicazioni per meglio indirizzare sia l’attività istituzionale dell’Ambasciata, sia le iniziative delle associazioni italiane che operano nel Principato.
Il Principato di Monaco ha una elevata densità abitativa (16000 abitanti Kmq) che, oltre ad impedire l’insediamento di nuove industrie, richiede in tempi ormai brevi che l’eventuale espansione di imprese esistenti avvenga soprattutto al di fuori del territorio di Monaco. Come può configurarsi un tale sviluppo ?
La futura espansione, o eventuale delocalizzazione, al di fuori del territorio del Principato è in prospettiva necessaria, non solo per la limitata disponibilità di spazi o per motivi d’incompatibilità ambientale, ma anche in vista della sostituzione di impianti industriali con imprese tecnologiche, con l’obiettivo di creare a Monaco, secondo gli auspici del Principe Alberto, un polo scientifico internazionale. L’espansione e/o il trasferimento di tali imprese in altri paesi comporterebbe una consistente perdita di posti di lavoro che si rifletterebbe pesantemente sui frontalieri italiani. L’espansione di tali imprese o in alcuni casi, la loro delocalizzazione in Italia di tali attivita’, da sostenere eventualmente con incentivi ed agevolazioni, oltre a contribuire alla realizzazione di infrastrutture logistiche, produttive o tecnologiche sul nostro territorio, fornirebbe una possibile soluzione a tutela dei livelli occupazionali nell’area del Ponente Ligure.
Quali sono gli strumenti che lo Stato Italiano ha previsto per attivare sul piano economico una sinergia con il Principato di Monaco ?
Uno strumento già individuato e che dovrà in prospettiva rappresentare un foro permanente di dialogo e di consultazione bilaterale è l’istituzione di una Commissione Mista. La sua costituzione potrà essere preceduta da alcune missioni tecniche delle diverse amministrazioni italiane competenti per i diversi settori identificati per la cooperazione bilaterale. Ciò consentirà di procedere alla creazione di tavoli di lavoro per le singole tematiche, con il compito di definire quindi i singoli progetti da proporre alla Commissione Mista nei diversi settori di competenza.
Quali sono i settori maggiormente interessati da queste collaborazioni bilaterali ?
Nel corso dei colloqui del Principe Alberto con il Presidente della Repubblica e con il Presidente del Consiglio in occasione della sua visita in Italia all’indomani dell’incoronazione, sono stati evocati alcuni settori prioritari su cui sviluppare la cooperazione bilaterale. In particolare per quanto si riferisce allo sviluppo di infrastrutture e ammodernamento dei collegamenti tra l’Italia ed
il Principato è stato fatto riferimento ai trasporti stradali, all’ammodernamento delle linee ferroviarie ed anche ai collegamenti aerei (elicotteri) ; un altro settore richiamato nei colloqui è quello della ricerca e della cooperazione scientifica e, su un piano più ampio, della cooperazione culturale in generale. Il discorso della possibile localizzazione di strutture industriali monegasche in Italia è stato invece esaminato, sempre a livello politico, ma in diversa occasione. Compito dell’Ambasciata è dell’Amministrazione è ora tradurre in progetti operativi tale impulso politico.
Ci sono quindi azioni che sono state avviate dall’Ambasciata d’Italia a Monaco immagino.
Allo scopo di sviluppare tali prospettive, ed in considerazione della necessità di una partecipazione diretta dei responsabili della gestione del territorio, l’Ambasciata ha proposto incontri tra le autorità del Principato ed amministratori locali delle aree di prossimità, in primo luogo della Liguria e del Piemonte, proprio in un disegno di regionalizzazione della cooperazione italo-monegasca, dimensione che appare peraltro coerente con la estensione del Principato e con gli interessi prevalenti delle regioni limitrofe.
E’ in questo quadro che la recente visita del Presidente della Regione Liguria Burlando si inserisce?
E’ proprio in questa prospettiva che gli incontri tra decisori politici - affiancati da i responsabili tecnici dei singoli settori esaminati - costituiscono un importante strumento operativo per l’avvio dei programmi concreti da realizzare a livello locale. In particolare, la decisione di procedere alla costituzione di gruppi informali di lavoro su temi specifici, è una modalità di procedere che potrà utilmente produrre delle proposte concrete da portare nella costituenda Commissione Mista che sarà in prospettiva la sede istituzionale in cui esaminare e decidere lo sviluppo della cooperazione bilaterale tra i due Paesi.
Nel ringraziarla della sua disponibilità le pongo ancora una ultima domanda: che importanza riveste nel Principato di Monaco una associazione d’imprenditori italiani a Monaco come l’AIIM ?
L’Associazione degli Imprenditori Italiani nel Principato di Monaco rappresenta la sintesi di una realtà particolarmente visibile ed apprezzata nel Principato e costituisce un importante momento di raccordo della presenza italiana e della sua stretta integrazione con la realtà produttiva, imprenditoriale, economica e finanziaria del Paese.
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Monaco Imprese n째 1
Association des Entrepreneurs Italiens de Monaco Bureau
• Fernanda Casiraghi - Présidente • Niccolò Caissotti di Chiusano
Vice Président • Fabrizio Carbone - Secrétaire Général • Carlo Brignone - Trésorier
Conseil d’Administration
• Riccardo Arvati - Architecte (Arc) • Lorena Baricalla - Chef d’Entreprise
Buts de l’Association • valoriser
la présence économique et culturelle italienne à Monaco auprès des autorités monégasques et italiennes ; • favoriser les échanges d’informations entre les entrepreneurs italiens et entre ces derniers et les pouvoirs publics des deux pays pour la promotion de leurs activités ; • développer les contacts et les relations d’affaires avec les entrepreneurs monégasques ; • organiser des manifestations et promouvoir des initiatives qui puissent garantir le développement des investissements italiens à Monaco. L’Association, de droit monégasque, a été créée conformément à la loi n.1072 du 27 Juin 1984 et à l’ordonnance n. 582 du 25 Septembre 1984.
Les Conventions Fédération Patronale : l’AIIM est membre correspondant. Des services de conseils et d’assistance en droit du travail et législation sociale, organisation de l’entreprise et formation professionnelle pour collaborateurs et manager sont mis gratuitement à la disposition de tous les adhérents. Chambre de Développement Economique : Par le biais de l’AIIM (adhérente à la CDE) les adhérents peuvent bénéficier d’informations commerciales et économiques ciblées ou génériques et avoir également la possibilité de participer à des évènements et des missions économiques programmées conjointement. Charges approuvées par l’assemblée du 14 mars 2007 pour la période triennale 2007-2010.
(Promo Art) • Paolo Braschi - Chef d’Entreprise (Moores Rowland) • Carlo Brignone - Président Délégué (Banque Monégasque de Gestion) • Niccolò Caissotti di Chiusano Chef d’Entreprise (Gémont) • Fabrizio Carbone - Conseiller Commercial (Profession Libérale) • Fernanda Casiraghi - Chef d’Entreprise (Engeco) • Michele Florentino - Chef d’Entreprise (Monte-Carlo Wine Festival) • José Giannotti - Assureur (Generali) • Mario Pellegrini - Chef d’Entreprise (Riviera Marine) • Edoardo Loewenthal - Administrateur Délégué (CMB) • Giuseppe Valenzano Menada Chef d’Entreprise (MV Shipping)
Président Honoraire
• S.E. Mario Polverini, Ambassadeur d’Italie à Monaco
Il semble parfois que l’histoire se répète. A l’origine de la création d’une association, il y a toujours une personne, animée de sentiments nobles, qui entraîne les autres autour de projets qui ont souvent marqué l’histoire. Dans le cas de la création de l’AIIM il ne nous est pas paru hasardeux d’établir la comparaison avec le “Club du Crocodile” où l’on rapporte que l’Europe a pris naissance sous la houlette du père du fédéralisme Altiero Spinelli, dont on commémore cette année le centenaire de la naissance. Spinelli avait coutume, en compagnie de quelques parlementaires, de se réunir dans un restaurant de Strasbourg à l’enseigne du “Crocodile”. Ces diverses rencontres furent à la base de la réforme institutionnelle de la CEE. De même, pour les idéaux qui ont motivé la création de l’AIIM il nous a
Membres Honoraires • Lia Riva Ferrarese • S.E. René Novella,
Secrétaire d’Etat de la Principauté de Monaco
Directeur Administratif : • Diego
Munafò
Assistant de Direction : • Elena
Biagini
Comment s’inscrire
Ceux qui souhaiteraient s’inscrire à l’association n’auront qu’à compléter le formulaire ci-annexé ou le télécharger sur le site www.aiim.asso.mc : la candidature sera soumise à l’approbation du Comité Directeur lors de sa prochaine réunion.
Les cotisations associatives pour l’année 2007 sont les suivantes :
• professions libérales 200,00 euros • entreprises individuelles et/ou sociétés de personnes - 350,00 euros • sociétés anonymes monégasques et sociétés à responsabilité limitée - 750,00 euros • membres correspondants 350,00 euros • membres bienfaiteurs (sans distinction de catégorie) à partir d’un minimum de 1500,00 euros
semblé que Mario Piersigilli alors Consul Général d’Italie avait joué un rôle similaire, en étant le propulseur qui, au terme de longues réunions qui se tenaient dans un célèbre restaurant de Monte-Carlo, était parvenu à motiver un groupe d’entrepreneurs italiens à créer une association au service de ceux qui avaient investi, comme eux, leur futur à Monaco. C’est donc en Septembre 2003 que les signataires des statuts (Dott. Fabrizio Carbone, Dott. Carlo Brignone, Donna Fernanda Casiraghi, Cav. Ferruccio Fiorucci), auxquels étaient réunis les membres fondateurs, parmi lesquels le très actif Niccolò Chiusano, furent à l’origine de “l’Association Des Entrepreneurs Italiens De La Principauté de Monaco”. L’AIIM était née. Monaco Imprese n° 1
Il est également demandé un droit d’entrée de 250,00 euros pour les membres ordinaires et de 750,00 euros pour les membres bienfaiteurs. Aucun droit d’entrée n’est demandé aux membres correspondants.
Principaux rendez-vous 2006 :
Conférence “Certification de qualité : gérer le changement” (Hôtel Mirabeau). Conférencier : M. Migliorero - BICQ Monaco. •
• Séminaire
Capitalia “Nouveaux produits financiers pour le développement” 15 mars (Hôtel Métropole) organisé en collaboration avec l’AIIM. Conférencier : M. Gianfranco Imperatori. Rencontre avec l’IWBank “Le modèle IWBannk, une autre façon d’être une banque” 16 mai (Hôtel Hermitage). Conférenciers : M. Pasquale Casale, Administrateur Délégué de la IWBank et M. Luca Stellato, responsable de l’enseignement et de la formation à IWBank •
• Rencontre avec la “CONFCOMMERCIO”
22 septembre (Hôtel Meridien). Conférencier : M. Carlo Sangalli, Président de la Confcommercio, Roma, Président de la CCIAA (Chambre de commerce, d’industrie, de l’artisanat et de l’agriculture) de Milan, Président de l’Union du Commerce, du Tourisme, des Services et des Professions de la Province de Milan. • Mission Economique de la CDE à Turin
9-10 octobre. Dans le cadre des échanges entre la Principauté et la CCIAA
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de Turin, la CDE en collaboration avec l’AIIM a organisé une mission économique à Turin. A cette occasion, grâce au soutien de la “Soremartec Monaco”, il fût organisé à Alba la visite des établissements de la FERRERO. Pour la partie institutionnelle l’Ambassadeur Mario Polverini et le Maire de Monaco Georges Marsan ont accompagné la délégation des entrepreneurs italiens à Turin. • “Do
It In Monaco” 27-28 octobre 2007 (Auditorium Rainier III) Participation en collaboration avec l’AMI et le COM. IT.ES à la 1° édition de “Do it in Monaco”, Salon des investisseurs organisé par la JCEM de Monaco.
L’actualité et les prochains rendez-vous
• 14 mars 2007, à l’hôtel “Meridien Beach Plaza”, Assemblée Générale de l’Association des Entrepreneurs Italiens de la Principauté de Monaco, suivie d’un Diner-débat sur le thème “Entreprises familiales, histoire et futur”. Le débat sera animé par le Professeur Corbetta - Pro Rettore Area Graduate Università Bocconi et membre du Comité de Direction de l’université Bocconi - et par le Professeur Paolo Morosetti, enseignant Area Strategia SDA Bocconi et Président de la AIdAF • 14
avril 2007 La province de Prato rencontre la Principauté de Monaco. Journée consacrée à la culture et aux domaines d’excellence de la zone de Prato. Pour toutes informations contacter notre secrétariat.
En cours de programmation : • Conférence
CDE/AIIM “Les normes du Développement Durable”, prévue en Octobre, avec la collaboration de BICQ Monaco, APAVE Monaco, SOCOTEC Monaco, Bureau Véritas • Collaboration
avec la CDE/Chambre de Commerce de Turin : organisation de la mission économique des entrepreneurs piémontais en Principauté.
Associazione Imprenditori Italiani a Montecarlo Scopo dell’Associazione :
• valorizzare la presenza economica e culturale italiana a Monaco presso le autorità monegasche ed italiane ; • favorire gli scambi di informazioni tra imprenditori italiani e tra quest’ultimi e le autorità pubbliche dei due paesi per la promozione delle loro attività ; • sviluppare i contatti e le relazioni di affari con gli imprenditori monegaschi; • promuovere ed organizzare manifesta zioni ed iniziative che possano garanti re lo sviluppo degli investimenti italiani a Monaco.
L’Associazione, di diritto monegasco, è stata creata in base alla legge n.1072 del 27 Giugno 1984 e dall’ordinanza n. 582 del 25 Settembre 1984.
Da sinistra a destra : De Gauche à droite : Niccolò Caissotti di Chiusano, Alfonso Sisti, Prof. Corbetta, Diego Munafò
• Fabrizio Carbone - Libero professionista (Commercialista) • Fernanda Casiraghi - Imprenditore (Engeco) Michele Florentino- Imprenditore (Monte-Carlo Wine Festival) • José Giannotti - Assicuratore (Generali) • Mario Pellegrini- Imprenditore (Riviera Marine) • Edoardo Loewenthal - Manager (Compagnie Monégasque de Banque) • Giuseppe Valenzano Menada Imprenditore (MV Shipping)
Presidente Onorario • S.E.
Mario Polverini, Ambasciatore d’Italia in Monaco
Soci Onorari
• Lia Riva Ferrarese • S.E. Réné Novella,
Segretario di Stato del Principato di Monaco
Direttore Amministrativo : • Diego
Munafò
Assistente di direzione : • Elena Prof. Morosetti
Le Convenzioni Fédération Patronale : l’AIIM è socio corrispondente. Per tutti gli associati sono disponibili servizi gratuiti di consulenza e assistenza in diritto del lavoro e legislazione sociale, organizzazione aziendale e formazione professionale per dipendenti e manager. Chambre de Développement Economique : attraverso l’AIIM (associata CDE) possono essere offerte agli associati informazioni commerciali ed economiche mirate o generali nonché la possibilità di partecipare ad eventi e missioni economiche programmate congiuntamente. Cariche approvate dall’assemblea del 14 marzo 2007 per il triennio 2007-2010.
Consiglio Direttivo
• Fernanda Casiraghi - Presidente • Niccolò Caissotti di Chiusano
Vice Presidente • Fabrizio Carbone - Segretario Generale • Carlo Brignone - Tesoriere
Consiglio di Amministrazione
• Riccardo Arvati - Architetto (Arc) • Lorena Baricalla - Imprenditrice
(Promo Art) • Paolo Braschi - Imprenditore (Moores Rowland) • Carlo Brignone - Manager (Banque Monégasque de Gestion) • Niccolò Caissotti di Chiusano Imprenditore (Gémont)
Biagini
Come iscriversi
Coloro che siano intenzionati ad iscriversi all’associazione non dovranno far altro che compilare il modulo qui riportato o scaricarlo dal sito www.aiim.asso.mc : la candidatura sarà sottoposta all’approvazione del Direttivo nella prima seduta utile.
Le quote associative per l’anno 2007 sono le seguenti :
• liberi professionisti Euro 200,00. • ditte individuali e/o società di persone Euro 350,00.
A volte sembra che la storia si ripeta. Quando nascono le associazioni c’è sempre una persona che, mossa da nobili sentimenti, coinvolge gli altri in progetti che spesso hanno segnato la storia. Nel caso della nascita dell’AIIM ci è sembrato non azzardato il paragone al ‘Club del Coccodrillo’ fondato dal padre del federalismo Altiero Spinelli, di cui ricorre quest’anno il centenario della nascita. Spinelli soleva ritrovarsi, inizialmente con pochi parlamentari, all’interno di un ristorante a Strasburgo dal simpatico nome ‘Coccodrillo’, e il frutto dei vari incontri furono le basi della riforma istituzionale della CEE. Così dicevamo, per gli alti ideali da cui è stato spinta la creazione dell’AIIM ci è sembrato di vedere nella figura dell’al-
• società anonime monegasche e società a responsabilità limitata Euro 750,00 • soci corrispondenti - Euro 350,00 • soci benemeriti (senza distinzioni di categoria) da un minimo di Euro 1500,00
E’ inoltre prevista una quota d’ingresso di Euro 250,00 per i soci ordinari e di Euro 750,00 per i soci benemeriti. Non è invece prevista la quota d’ingresso per i soci corrispondenti.
Principali eventi 2006 • Conferenza
“Qualità organizzazione : gestire il cambiamento 31 Gennaio (Hotel Mirabeau) Relatore : Ing. Migliorero titolare della BICQ Monaco Convegno Capitalia “Nuovi prodotti finanziari per lo sviluppo” 15 marzo (Hotel Métropole) realizzato in collaborazione con l’AIIM. Relatore : Dott. Gianfranco Imperatori •
• Incontro
con l’IWBank “Il modello IWBannk, un altro modo di essere banca” 16 maggio (Hotel Hermitage). Relatori : Dott. Pasquale Casale, Amministratore Delegato della IBank ed il Dott. Luca Stellato, responsabile dell’Education & Training dell’IWBank • Incontro
con CONFCOMMERCIO 22 settembre (hotel Meridien). Relatore : Dott. Carlo Sangalli, Presidente della Confcommercio, Roma, Presidente della CCIAA (Camera di commercio industria artigianato e agricoltura) Milano, Presidente dell’Unione del Commercio del Turismo dei Servizi e delle Professioni della Provincia di Milano. • Missione economica della CDE a Torino 9-10 ottobre. lora Console Generale d’Italia Mario Piersigilli il motore propulsore che, attraverso lunghe riunioni che avvenivano al tavolo di un noto ristorante di MonteCarlo, ha motivato un gruppo attivo di imprenditori italiani a creare una associazione dedicata a chi, come loro, avevano investito a Monaco il loro futuro. E’ dunque nel settembre 2003 che i firmatari dello statuto (Dott. Carlo Brignone, Dott. Fabrizio Carbone, Donna Fernanda Casiraghi, Cav. Ferruccio Fiorucci), insieme ai cosiddetti soci fondatori, tra cui l’attivissimo Niccolò Chiusano, diedero origine alla “Associazione Degli Imprenditori Italiani Del Principato Di Monaco”, L’AIIM appunto. Monaco Imprese n° 1
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Nell’ambito dell’interscambio tra il Principato e la CCIAA di Torino la CDE in collaborazione con AIIM ha organizzato una missione economica a Torino. Inoltre in quell’occasione, grazie al sostegno di SOREMARTEC MONACO, è stata organizzata ad Alba la visita degli stabilimenti della FERRERO. Per la parte Istituzionale l’Ambasciatore Mario Polverini ed il Sindaco di Monaco Georges Marsan hanno accompagnato la delegazione degli imprenditori italiani a Torino. • “Do
It In Monaco” 27-28 ottobre (Auditorium Rainier III) Partecipazione congiunta con AMI e Com.it.es alla I edizione del “Do it in Monaco”, Salone degli investitori, organizzato dalla JCEM Monaco.
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Le news e prossimi appuntamenti
• 14 marzo 2007,presso l’hotel “Meridien
Beach Plaza”, riunione dell’Assemblea dell’Associazione degli Imprenditori Italiani del Principato di Monaco, seguita da una Cena Dibattito sul tema ‘Aziende Familiari storia e futuro’. Ad animare l’esposizione il Professor Corbetta - Pro Rettore Area Graduate Università Bocconi e membro del Comitato Rettorale dell’università della Bocconi ed il prof. Paolo Morosetti, docente Area Strategia SDA Bocconi e Presidente della AIdAF
territorio pratese. Per tutte le informazioni contattare la nostra segreteria.
In programmazione
Conferenza CDE/AIIM “Les normes du Développement Durable”, prevista in ottobre, con la collaborazione di BICQ Monaco, APAVE Monaco, SOCOTEC Monaco, Bureau Véritas. •
Collaborazione con la CDE/Camera di Commercio di Torino : l’organizzazione della missione economica degli imprenditori piemontesi nel Principato. •
• 14
aprile 2007 La Provincia di Prato incontra il Principato di Monaco, giornata dedicata alla cultura e alle eccellenze del
Da sinistra a destra : De Gauche à droite : Fernanda Casiraghi, Fabrizio Carbone, Niccolò Caissotti di Chiusano
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BATI 2000 Constructeurs à Monaco depuis 1948. Qu’ est BATI 2000 ?
intervient également sur la restructuration d’appartements de luxe comme ceux de la résidence Silvacante à Cap d’Ail, actuellement en cours de rénovation. Bati 2000 œuvre également à la construction de neuf villas de luxe à Saint Jean Cap Ferrat et démarre les travaux d’extension de l’Ecole des Mines de Paris à Sophia Antipolis.
Bati 2000 est la filiale monégasque du Groupe Eiffage, le sixième plus important groupe européen de construction et de promotion immobilière. C’est en 2006 que Bati 2000 a rejoint la direction régionale d’Eiffage Construction Côte d’Azur.
Sa Structure et son activité.
Bati 2000 et l’environnement.
Bati 2000 est également soucieuse de ses implications environnementales et fait évoluer ses procédures pour acquérir d’ici la fin de l’année 2007 la triple certification ISO 9001, ISO 14000 et OSHAS.
Les projets.
A ce jour, Bati 2000 vient de livrer la restructuration du “Baretto” et de “l’Orange Verte”, deux des restaurants du Monte Carlo Bay, le dernier né de la SBM, et
© Photo : D.R. BATI 2000s
Forte de 90 salariés, ayant réalisé un chiffre d’affaires de 13 millions d’euros en 2006, la SAM Bati 2000 est un acteur majeur de la construction en Principauté et dans sa zone d’influence. Cette entreprise au savoir-faire et à la compétence reconnus par la profession, intervient désormais sur des projets de grande ampleur sans que l’esprit de l’entreprise et le fort attachement à la Principauté n’en soient pour autant modifiés. Eiffage Construction Côte d’Azur disposait déjà de références prestigieuses en Principauté: Le Florestan, Le Gildo Pastor Center et le Monte Carlo Bay.
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BATI 2000 Costruttori a Monaco dal 1948 Cos’è BATI 2000 ?
Bati 2000 è la filiale monegasca del gruppo Eiffage, il sesto maggior gruppo europeo di costrizione e di promozione immobiliare. Nel 2006 Bati 2000 ha raggruppato anche la direzione regionale Eiffage Construction Côte d’Azur.
La sua struttura e attività
© Photo : D.R. BATI 2000s
Con 90 dipendenti e un fatturato di 13 milioni di Euro nel 2006, la Bati 2000 Sam rappresenta uno degli attori maggiori nella costruzione in Principato di Monaco e nelle zone vicine. Questa impresa ha le
capacità e le competenze riconosciute, interviene su grandi progetti nello spirito dell’azienda e con tutto il sua dedizione al Principato. Eiffage Construction Côte d’Azur dispone già di referenza prestigiose in Principato come gli immobili Le Florestan, il ‘Gildo Pastor Center’ e il ‘Monte Carlo Bay’.
Bati 2000 e l’ambiente
Attenta al rispetto dell’ambiente la Bati 2000 entro l’anno 2007 si doterà di procedure conformi alle triple certificazioni ISO 9001, ISO 14000 et OSHAS.
I progetti
Attualmente Bati 2000 sta ristrutturando due locali il “Baretto” e “l’Orange Verte”, ristoranti di ultima generazioni commissionato dalla SBM nel Monte Carlo Bay così come sta partecipando ai lavori di ristrutturazione di alcuni appartamenti alla residenza Silvacante à Cap d’Ail. Bati 2000 è impegnata nella costruzione di alcune ville di categoria lusso a Saint Jean Cap Ferrat e partecipa ai lavori d’ampliamento de l’Ecole des Mines de Paris à Sophia Antipolis.
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Il existe à Monte-Carlo plusieurs Associations italiennes. Voyons lesquelles et quels sont leurs domaines d’intérêt.
Monaco-Italie
L’Association Monaco-Italie a été créée en septembre 2002 sous le Haut Patronage de S.A.S. le Prince Rainier et de Carlo Azeglio Ciampi, alors Président de la République Italienne, dans le but principal de contribuer au développement des relations entre les deux pays.
Nous présentons dans ce numéro
Actuellement, elle poursuit son activité sous l’égide de S.A.S. le Prince Albert II et continue de proposer avec succès ses initiatives dans différents domaines. Après avoir signé en décembre 2003 un accord avec la Direction de l’Education Nationale, l’association offre à des lycéens monégasques sélectionnés, l’opportunité de perfectionner leur connaissance de la langue italienne, en fréquentant des cours de langue et de littérature auprès de “l’Università per Stranieri di Perugia” ou bien en préparant un Master à “l’Université Bocconi” de Milan. L’association Monaco-Italie, connue aussi sous son sigle AMI, a promu l’organisation de nombreux évènements culturels et sportifs, bien souvent à but caritatif. Parmi ceux-là, nous rappellons notamment la Soirée de Gala du 14 Octobre 2006 à la Salle des Etoiles du Sporting MonteCarlo, qui a permis de récolter 45.000€ de dons au profit de la “Fondazione Veronesi”, du “Fondo per l’Ambiente Italiano (FAI)” et de l’association monégasque “Jeune J’écoute”, et la conférence que M.Giulio Andreotti a tenu le 26 Février dernier à l’Hôtel Hermitage, au cours de laquelle il a présenté un de ses derniers livres: “1953 - fu legge truffa?”
Italie, la Società Dante Alighieri e
L’Association Monaco-Italie a par ailleurs signé, en Janvier 2007, une convention de partenariat avec l’Ambassade d’Italie à Monaco afin de réaliser pleinement ses activités. Celles-ci consistent notamment en l’organisation de conférences et présentations culturelles, de projections de films et documentaires, de présentations de spécialités gastronomiques italiennes et monégasques, ainsi que de dîners-débats en présence de personnalités internationales. MONACO-ITALIE “Le Victoria”, 13, Bd. Princesse Charlotte MC 98000 MONACO Tél. : +337.97.77.85.85 / Fax : +377.97.77.58.99 www.monacoitalie.it 16
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trois parmi les associations actives en Principauté qui visent à p r o m o u v o i r, g r â c e à d e s conférences et à différentes autres initiatives, la culture et l’image de l’Italie : l’Association Monacol’Accademia Italiana della Cucina.
La Società Dante Alighieri
La Società Dante Alighieri naît en 1899 dans le but de s a u v e g a r d e r, d é fendre la langue, la culture italienne dans le monde, de perpétuer les solides liens culturels, spirituels entre les Italiens à l’étranger, leur mère patrie. Ses fondateurs, dédièrent l’Association à Dante Alighieri afin de souligner que c’est grâce au grand poète que l’unité linguistique de la Nation italienne, intervenue sur le plan politique seulement six siècles après, s’était accomplie. Sous la houlette de son deuxième Président, M. Pasquale Villari, (1896-1901), le Comité pour l’étranger de la “Dante” fit son entrée à Monaco en 1899. Depuis ce moment, la “Dante Alighieri” a assuré la promotion de livres et de publications, a organisé des cycles de conférences, des voyages culturels et des manifestations artistiques.
L’ Accademia Italiana della Cucina.
Entretien avec M. Federico Wiemer, résident à Monaco depuis 1980, chef d’entreprise à la retraite et, depuis juin 2006, chef de délégation du siège à Monaco de l’Académie Italienne de la Cuisine. Qu’est-ce l’Accademia Italiana della Cucina ? • C'est une Institution Culturelle de la République Italienne qui est présente à Monaco depuis une dizaine d’années avec plus de 40 associés; on en dénombre environ 6500 dans le monde entier. Le but principal de l’Association est de sauvegarder la culture et la civilisation italiennes des arts de la table, de faciliter et promouvoir leur connaissance en Italie et à l’étranger, en soulignant le rôle de la tradition en tant que facteur dynamisant. Que proposez-vous à vos associés? • Outre la publication de livres et d'une revue mensuelle, nous organisons des “Dîners Oecuméniques à Thème” (selon notre appellation), dont les dates sont les mêmes pour tous les Pays du monde. Ces dîners sont ouverts au public et de nombreuses personnalités y participent souvent avec enthousiasme. Le prochain rendez-vous est fixé pour le 17 octobre. Il sera consacré aux ‘Produits du potager’ avec une attention particulière pour les produits bio.
Elle a notamment reçu il y a quelques semaines le Ministre Pandolfi, qui a présenté un exposé sur les “B.R.I.C”. Le Prof. Antonio Marzano, Président du CNEL, ancien Président de la Commission Bicamérale pour la réforme du bilan de l’Etat, Président de la VI Commission des Finances à la Chambre des Députés et Ministre des Activités Productives de 2001 à 2005, est aussi intervenu le 15 mars dernier, proposant le thème : “Europe: rêveurs ? Non, somnambules.”
D’autres initiatives? • Pour la deuxième année consécutives, en considération du succès obtenu par la première édition, nous avons décidé d’attribuer, en collaboration avec le COM. IT.ES, une bourse consistant en un voyage oeno-gastronomique dans la région d’Alba, en province de Cuneo, destinée au meilleur groupe d’étudiants du Lycée Hôtelier de Monaco qui se seront illustrés dans la préparation de plats typiquement italiens. Ce prix, dont la remise est prévue au cours du mois d’avril, constitue sans doute un moyen efficace pour inciter les étudiants à mieux connaître notre tradition culinaire et la culture italienne à laquelle elle se rattache.
SOCIETA’ DANTE ALIGHIERI Bd. de Suisse, 20 MC 98000 Monaco, Tél. +377 97 70 89 4
ACCADEMIA ITALIANA DELLA CUCINA, M. Wiemer, Chateau Perigord 2, MC 98000 Monaco. Tél.: +377 93 25 54 36
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La Monaco-Italie L’ a s s o c i a z i o n e Monaco-Italie è un centro di aggregazione che contribuisce allo sviluppo delle relazioni fra i due Paesi, venne creata nel settembre 2002 sotto l’Alto Patrocinio del Principe Rainier III e dell’allora Presidente della Repubblica Italiana Carlo Azeglio Ciampi. Attualmente l’AMI prosegue la sua attività sotto l’egida del Principe Albert II continuando a proporre con successo varie iniziative. Dal 2003 la Monaco Italie, siglando un accordo con la Direzione dell’Educazione Nazionale di Monaco, eroga delle borse di studio a favore di selezionati studenti monegaschi del liceo per perfezionare la conoscenza della lingua italiana attraverso la frequentazione di corsi di lingua e letteratura italiana tenuti in particolare presso l’Università per Stranieri di Perugina o attraverso dei Master tenuti all’ Università Bocconi di Milano. La Monaco Italia, nota anche come AMI, ha organizzato numerosi eventi culturali e sportivi, alcuni dei quali con finalità benefiche. Tra questi da ricordare quello svoltosi lo scorso 14 ottobre presso la Salle des Etoiles dello Sporting d’été di Monte-Carlo ove, nel corso della Soirée di Gala, sono stati raccolti ben 45.000€ versati a favore della “Fondazione Veronesi”, del “Fondo per l’Ambiente Italiano (FAI)” e dell’Associazione Monegasca “Jeune J’écoute” e la conferenza di Giulio Andreotti che si è tenuta lo scorso 26 febbraio all’Hotel Hermitage ove ha presentato una delle sue ultime pubblicazioni “1953 - fu legge truffa ?” Inoltre l’AMI ha recentemente siglato un partenariato con l’Ambasciata Italiana a Monaco alfine di poter pienamente svolgere le sue attività che sono soprattutto presentazioni di particolarità gastronomiche italiane e monegasche, conferenze e presentazioni culturali, proiezione di film e documentari e cene dibattiti con personalità internazionali. MONACO-ITALIE “Le Victoria”, 13, Bd. Princesse Charlotte MC 98000 MONACO Tél : +337.97.77.85.85 / Fax : +377.97.77.58.99 www.monacoitalie.it 18
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Diverse sono le Associazioni Italiane a Montecarlo. Vediamo quali sono e di cosa trattano.
In questo numero presentiamo tre tra le associazioni attive in Principato di Monaco che promuovono attraverso conferenze e varie iniziative la cultura e l’immagine dell’Italia : l’Associazione MonacoItalie, la Società Dante Alighieri e l’Accademia Italiana della Cucina.
La Società Dante Alighieri La Società Dante Alighieri nasce nel 1899 con il compito di tutelare e diffondere la lingua e la cultura italiane nel mondo e di mantenere vivi e saldi i legami culturali e spirituali tra i connazionali all’estero e la madre patria. I fondatori intitolarono l’Associazione a Dante Alighieri per confermare che in quel nome si era compiuta l’unità linguistica della Nazione, riconosciuta poi politicamente sei secoli dopo. Sotto la guida del secondo Presidente, Pasquale Villari, (1896-1901), il Comitato estero della “Dante” giunse a Montecarlo nel 1899. Da allora la “Dante Alighieri” ha promosso libri e pubblicazioni, organizzato cicli di conferenze, escursioni culturali e manifestazioni artistiche e musicali. In particolare recentemente è stato invitato il ministro Pandolfi che ha parlato dei B.R.I.C. mentre il Prof. Antonio Marzano Presidente CNEL, ex Presidente della Commissione Bicamerale per la riforma del bilancio dello Stato e Presidente della VI Commissione Finanze della Camera dei Deputati. Ministro delle Attività produttive dal 2001-2005 è intervenuto lo scorso 15 marzo affrontando il tema : Europa: sognatori, no sonnambuli. SOCIETA’ DANTE ALIGHIERI Bd. de Suisse, 20 MC 98000 Principato di Monaco, Tél. : +377 97 70 89 4
L’ Accademia Italiana della Cucina. Parliamo con Federico Wiemer, residente a Monaco dal 1980, Imprenditore ora in pensione e, dal giugno 2006, capo delegazione della sede di Montecarlo dell’Accademia Italiana della Cucina. Che cos’è l’Accademia Italiana della Cucina ? • E’ una Istituzione Culturale della Repubblica Italiana che da circa 10 anni è presente a Montecarlo con piu’ di 40 associati e circa 6500 in tutto il Mondo Lo scopo principale dell’Accademia è quello di salvaguardare la cultura e la civiltà della tavola italiana, promuoverne e favorirne la conoscenza sia in Italia e che all’estero, sottolineando la forza della tradizione intesa come elemento dinamico. Che cosa proponete ai vostri associati ? • Oltre ad un certo numero di libri ed una rivista mensile, organizziamo le cosidette “Cene Ecumeniche a Tema”, le cui date che coincidono per tutte le sedi del mondo,sono aperte al pubblico e generalmente vi partecipano con entusiasmo diverse personalità. La prossima cena è prevista il 17 ottobre e sarà dedicata ai ‘Prodotti dell’orto’ con particolare attenzione al biologico. E altre iniziative ? • Per il secondo anno consecutivo, visto il riscontro avuto con la prima edizione, abbiamo deciso di erogare, in collaborazione con il COM.IT.ES, una borsa di studio consistente in un viaggio enogastronomico nell’albese (detto per la zona geografica di Alba(CN) ndr) e destinata al miglior gruppo di studenti del Lycée Hôtelier dì Monaco che si distingueranno nella preparazione di piatti tipicamente italiani. La premiazione, prevista nel mese di aprile, rappresenta senza dubbio un buon sistema per spingere gli studenti a conoscere le tradizioni dei nostri piatti e la cultura italiana a cui fanno riferimento. ACCADEMIA ITALIANA DELLA CUCINA, Signor Wiemer, Chateau Perigord 2, MC 98000 Principato di Monaco, Tél. : +377 93 25 54 36
Wall Street Institute Une obligation de résultats :
Wall Street Institute
Wall Street Institute l’a bien compris : Avec son taux de réussite de 97%. Wall Street Institute garantit par contrat les résultats de ses stagiaires : soit ils réussissent, soit ils sont remboursés. La seule condition est que le stagiaire suive le rythme minimum convenu en début de formation. Sa méthode originale a été conçue pour des personnes qui travaillent, disposant de peu de temps libre et très exigeants sur les résultats. Alliant rigueur, flexibilité et un suivi pédagogique hors pair, elle vise à vous faire apprendre l’anglais comme vous avez appris votre langue maternelle, c’est à dire de manière naturelle et définitive… Deux tests préalables permettent de valider le niveau. Il en existe 17, chacun variant entre 36 et 40 heures. Pour les entreprises : Après une évaluation des besoins, nous proposons la prise en charges de l’intégralité de la gestion des espaces langues de 5 à 2000 personnes dans l’entreprise. Langues Du Monde, Langues du Monde propose des formations linguistiques, prodiguées par des professeurs de langue maternelle, qui s’adressent à tous : aux enfants (dans le cadre d’un club enfants), aux adolescents et étudiants (dans des groupes de soutien scolaires). De l’initiation à la langue Business, Langues du Monde offre des formules individuelles ou en mini groupe dans toutes les langues Européennes et/ou Langues dites “Rares”, telles que le Russe, le Chinois ou le Japonais… Langue du Monde propose également des formations bureautiques prodiguées par des ingénieurs rendant désormais l’informatique et l’internet accésible à tous.
Obbligo di risultato : Per Wall Street Institute il concetto é ben chiaro : il tasso di riuscita é del 97%. Wall Street Institute garantisce tramite contratto il risultato dei suoi studenti. In caso contrario saranno rimborsati. Unica condizione é che lo studente rispetti il ritmo di frequenza negoziato all’inizio della formazione. Il suo metodo originale é stato concepito per persone attive che dispongono di poco tempo libero e con importanti esigenze di risultato. Con rigore , flessibilità ed eccellente seguito pedagogico vi porterà ad apprendere l’inglese nello stesso modo con il quale avete appreso la vosta lingua madre. In modo naturale e definitivo…. Due test sono previsti per valutare il livello di partenza. In tutto vi sono 17 livelli che variano dalle 36 alle 40 ore. Per le imprese : dopo aver valutato le esigenze ci faremo carico della totale gestione della formazione linguistica da 5 a 2000 persone in azienda. Langues Du Monde, Langues du Monde propone delle formazioni linguistiche, svolte da professori madrelingua, che si rivolgono : ai bambini (nel club bimbi), ad adolescenti e studenti ( individualmente o in gruppo) e agli adulti e le imprese (in gruppi di lavoro sulle tecniche di comunicazione con linguaggio tecnico professionale). Dai primi passi al business, Langues du Monde propone soluzioni individuali o in mini gruppi per tutte le lingue europee et le piu’ “rare” come il russo, il cinese o il giapponese… langues du monde vi propone anche delle formazioni office realizzate da ingenieri in grado di rendere accessibile a tutti l’informatica e internet.
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Le COM.IT.ES Comité des Italiens résidents à l’Etranger.
Organismes de droit public, les Com.It.Es, “Comitati degli Italiani residenti all’estero”, ont été institués en 1985. Ce sont les organismes représentatifs de la collectivité italienne qui réside en dehors du territoire national. Les membres du COMITES sont élus directement par les Italiens résidant à l’étranger. Ils opèrent auprès de chaque circonscription consulaire où résident au moins 3.000 ressortissants italiens, ou bien auprès de l’Ambassade dans les Pays où il n’existe pas de consulats.
• Organes et membres
Les organes du COMITES sont l’Assemblée Plénière, qui doit se réunir au moins une fois tous les quatre mois, et l’Exécutif (composé d’un nombre de membres non supérieur au quart des membres du Comité). A Monaco, l’Exécutif du Com.It.Es, élu en 2004, en poste jusqu’à 2009 se compose de : Président : Niccolò Caissotti di Chiusano Vice-Président : Fabrizio Carbone Sécretaire : Federico Limiti Trésorier : Giuseppe Spinetta Le Comites de Monaco joue un rôle important au sein de la vie sociale et culturelle de la communauté, en collaboration avec l’autorité consulaire, les organismes, les associations et les comités qui opèrent dans la circonscription. Quatre Commissions de Travail ont été nommées et affectées chacune à un secteur de compétence: affaires sociales, culture et sport, activités économiques, événementiel. Les membres élus, obligatoirement de nationalité italienne, sont au nombre de 12 pour les Communautés jusqu’à 100.000 ressortissants et tous les membres du COMITES restent en poste pour 5 ans et sont rééligibles.
• Tâches et Fonctions
Avant tout le COMITES, en collaboration avec l’autorité consulaire et les organismes, associations et comités agissant dans la circonscription, se fait promoteur 20
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d’initiatives adaptées dans les domaines liées à la vie sociale et culturelle, à l’assistance sociale et scolaire, à la formation professionnelle, aux activités récréatives, sport et loisirs de la communauté italienne résidente dans la circonscription. Il exprime aussi ses avis, propositions et suggestions à propos des activités entreprises par l’autorité consulaire en faveur de la communauté. Le COMITES a une fonction consultative qui se concrétise dans la formulation d’avis motivés et obligatoires sur les demandes d’allocation formulées par les associations italiennes d’assistance qui opèrent dans la circonscription consulaire. Le COMITES doit constamment coopérer avec l’autorité consulaire pour la sauvegarde des droits et des intérêts des citoyens émigrés, dans le respect des normes prévues par la législation locale et des normes du droit international et communautaire. Le comité est tenu aussi de signaler à l’autorité consulaire les éventuelles violations des Conventions et des normes internationales concernant les travailleurs italiens. Pour l’accomplissement de ses tâches, le COMITES, qui peut se doter d’un règlement interne autonome, pourvoit directement aux dépenses nécessaires pour ses activités, grâce aussi aux contributions annuelles allouées à ces fins par
le Ministère des Affaires Etrangères. Le travail accompli par les membres dans le cadre du COMITES ne donne droit à aucune rémunération. Le remboursement des frais de voyage est cependant accordé dans les cas prévus par la circulaire ministérielle n. 4 - lettre D-8 du 14.3.1988. Un projet de loi est actuellement en cours d’examen au Parlement pour mieux définir les tâches et les fonctions des Comites, qualifiés comme “organismes de représentation démocratique des Italiens dans leurs rapports avec les Représentations diplomatiques et consulaires qui, en accord avec ces dernières, peuvent établir des relations avec les Autorités et les Institutions locales, pour toutes les questions qui n’ont pas trait aux relations entre les Etats”.
Il COM.IT.ES Comitato degli Italiani residenti all’estero. • Organi e membri
Organi del COMITES sono l’Assemblea Plenaria, che deve riunirsi almeno una volta ogni quattro mesi, e l’Esecutivo (formato da un numero di membri non superiore ad un quarto dei suoi componenti).
Enti di diritto pubblico i Com. It.Es, Comitato degli Italiani residenti all’estero, sono stati istituiti nel 1985 e sono gli Organi rappresentativi della collettività italiana che risiede al di fuori del Paese. I membri del COMITES sono eletti direttamente dagli italiani residenti all’estero ed operano presso ciascuna circoscrizione consolare ove risiedono almeno 3.000 cittadini italiani, ovvero presso la Rappresentanza diplomatica se nel Paese non vi sono Uffici consolari. A Monaco l’Esecutivo del Com.It.Es eletto nel 2004 ed in carica fino al 2009 è così composto: Presidente : Niccolò Caissotti di Chiusano Vice Presidente : Fabrizio Carbone Segretario : Federico Limiti Tesoriere : Giuseppe Spinetta Il Comites di Monaco svolge un ruolo importante nell’ambito della vita sociale e culturale della comunità, in collaborazione con l’Autorità consolare, enti, associazioni e comitati operanti nell’ambito della circoscrizione. Sono state
inoltre, nominate apposite Commissioni di Lavoro, che, nel caso specifico, sono suddivise in quattro ambiti e cioè: affari sociali, cultura e sport, attività economiche, eventi. I membri eletti, che devono avere cittadinananza italiana, sono 12 per le Comunità fino a 100.000 connazionali e tutti i membri del COMITES restano in carica per 5 anni e sono rieleggibili.
• Compiti e Funzioni
In primo luogo il COMITES, in collaborazione con l’autorità consolare ed Enti, Associazioni e comitati operanti nella circoscrizione, promuove idonee iniziative nelle materie attinenti alla vita sociale e culturale, all’assistenza sociale e scolastica, alla formazione professionale, alla ricreazione, allo sport e al tempo libero della comunità italiana residente nella circoscrizione. Esso, inoltre, esprime pareri, proposte e suggerimenti sulle iniziative che l’autorità consolare intraprende in favore della comunità. Il COMITES svolge funzioni consultive che si concretizzano nel formulare pareri motivati ed obbligatori sulle richieste di contributo avanzate da associazioni assistenziali italiane operanti nella circoscrizione consolare. Il COMITES deve costantemente cooperare con l’autorità consolare nella tutela dei diritti e degli interessi dei
cittadini emigrati, nel rispetto delle norme previste dall’ordinamento locale e delle norme del diritto internazionale e comunitario. Il Comitato è tenuto inoltre a segnalare all’autorità consolare le eventuali violazioni delle Convenzioni e delle norme internazionali inerenti ai lavoratori italiani. Per l’attuazione dei compiti previsti, il COMITES, che può dotarsi di autonomo regolamento interno, provvede direttamente alle spese necessarie per le proprie attività, anche grazie ai contributi annuali appositamente stanziati dal Ministero degli Affari Esteri. L’attività svolta da tutti i membri nell’ambito del COMITES non dà diritto a compensi remunerativi. Sono però previsti i rimborsi delle spese di viaggio nei casi stabiliti dalla circolare ministeriale n. 4 - lettera D-8 del 14.3.1988. E’ in corso di esame presso il Parlamento un disegno di legge che definisce meglio compiti e funzioni dei Comites, qualificati come “organo di rappresentanza democratica degli italiani nei rapporti con le Rappresentanze diplomatico-consolari che, d’intesa con esse, può istituire relazioni con le Autorità e le Istituzioni locali, per tutte le questioni che non attengono ai rapporti fra gli Stati”.
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L’EDITORIALE, trimestriel d’actualité En compagnie de Monsieur Mauro et Madame Liana Marabini, antiquaires et éditeurs de la revue, nous en découvrons les caractéristiques et quelques détails
Monsieur Marabini, quand et comment est né l’Editoriale ?
L’idée est née il y a quatre ans. Mon épouse et moi, depuis toujours fascinés par l’élégance, les services et le climat accueillant que nous offrent ces lieux, nous avions la volonté de donner la parole aux activités et initiatives qui contribuent à valoriser la communauté italienne, si nombreuse à Monte Carlo. Ainsi, au moyen de notre groupe éditorial, Liamar Media World, nous avons imaginé de créer un périodique de qualité, qui traite principalement de culture, d’art et de société.
A qui s’adresse votre périodique ?
En premier lieu, il est destiné aux italiens qui vivent et travaillent en Principauté de Monaco. En outre, nous croyons que les professionnels de la communication se doivent de témoigner d’une image de Monte Carlo qui s’éloigne de la vieille et stéréotypée “capitale” mondaine, tout luxe, tourisme et Casino. Aujourd’hui, les italiens qui ont choisi Monaco, travaillent et produisent activement. Les avantages sont très nombreux, à commencer par le niveau des services offerts par l’Administration publique et les avantages fiscaux. Mais, aussi, la sécurité et la qualité de la vie sont des caractéristiques motivantes pour y venir en vacances ou simplement y vivre. Entrepreneurs, constructeurs, commerçants, activités d’import-export et banques: la vie de mes compatriotes à Monte Carlo est concentrée sur quelques kilomètres carrés mais elle est riche d’opportunités. Notre périodique veut diffuser également leur voix.
Madame Marabini, outre à vous occuper de votre précieuse librairie (“Scripta Manent” ndr) vous êtes aussi co-créateur et Rédacteur en Chef de “L’Editoriale” : est-il possible que les deux activités s’influencent réciproquement ?
Certainement, mais dans un sens positif. En particulier pour ce qui concerne le périodique vous pourrez noter comment l’aspect culturel au sens le plus large du terme en est le thème conducteur: compte rendus et reportages sur ce qui se déroule à Monaco, approfondissements, histoire 22
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Commence à répondre à nos questions le Directeur du périodique “l’Editoriale”, M. Mauro Marabini, de Bologne, diplômé en Sciences Politiques. En plus de s’enorgueillir d’une tradition de gestionnaire d’Hôtels de Luxe, Mauro Marabini a été pendant huit années Directeur Editorial du prestigieux bimestriel “Fédéralisme et Liberté” et auteur en 1998 de “Le guide de la Principauté de Monaco pour les italiens” dont nous retrouverons prochainement la seconde édition rénovée.
et réflexions s’intègrent bien dans un discours d’information. De plus, le périodique est également un outil pour donner de la visibilité à des écrivains ou des artistes qui présentent leurs oeuvres à Monte Carlo. L’intérêt est grand et les lecteurs sont très nombreux : pour cette raison nous imprimons directement à Monaco 3000 copies: pour des évènements particuliers, GP ou Ste Dévote par exemple, les demandes augmentent à hauteur de 5000 copies, distribuées aussi en Italie et sur la Côte d’Azur.
aux artistes qui proposeront des oeuvres d’intérêt. L’Editoriale apportera son concours en accordant à ces mêmes évènements la juste attention. D’autre part, en notre qualité même de collectionneurs et d’antiquaires nous ne pouvions pas nous dispenser d’offrir une contribution réelle à cette belle Principauté qui nous accueille et qui, en même temps, nous rend fiers d’être italiens.
L’EDITORIALE, trimestrale di attualità Con i signori Mauro e Liana Marabini, antiquari ed editori della rivista ne scopriamo i dettagli e qualche curiosità
Pour terminer, voulez-vous nous parler de votre prochain projet ?
Volontiers. D’ici la fin Mai la librairie ‘Scripta Manent’ se transfèrera Rue du Portier: actuellement les travaux sont encore en cours. La philosophie qui guide ce nouveau siège est celle de l’open space: ce seront bien 300 m2 qui seront aménagés en librairie mais qui permettront aussi d’accueillir jusqu’à 120 personnes pour des conférences ou séminaires d’un intérêt particulier.
Non pas seulement une librairie de livres antiques mais aussi un lieu d’agrégation…
Exact. Ce sera un centre de référence à la disposition de l’art et de la culture mais qui permettra aussi d’organiser des évènements en soutien de l’activité de nos compatriotes. Une espèce de centre culturel mais aussi un lieu de dialogue et d’échanges, ouvert à ces associations et
M. Mauro Marabini
Dott. Marabini, quando e come nasce l’Editoriale ?
L’idea è nata 4 anni fa. In realtà mia moglie ed io, da sempre affascinati dall’eleganza e dall’accogliente clima e servizi che questi luoghi offrono, avevamo la volontà di dare voce a quelle attività e iniziative che contribuivano a valorizzare la numerosa comunità italiana presente a Monte-Carlo. Così, attraverso il nostro gruppo editoriale, Liamar Media World, abbiamo pensato di creare un periodico di qualità, che parlasse soprattutto di cultura, arte e società. Inizia a rispondere alle domande il Direttore del periodico ‘l’Editoriale’, il dott. Mauro Marabini, bolognese, laureato in Scienze Politiche. Oltre a vantare una tradizione nella gestione di Hotel di Lusso, Mauro Marabini è stato per 8 anni Direttore Editoriale del prestigioso bimestrale ‘Federalismo e Libertà’ ed autore nel 1998 de ‘La guida del Principato di Monaco per gli italiani’ che prossimamente ritroveremo rinnovata nella sua seconda edizione.
A chi è indirizzato il vostro periodico ?
In primo luogo è dedicato agli italiani che nel Principato di Monaco ci vivono e ci lavorano. Inoltre crediamo sia compito di chi fa comunicazione testimoniare una immagine di MonteCarlo che si discosti da quella vecchia e stereotipata “capitale” mondana, tutto lusso, turismo e Casinò. Oggi gli italiani che hanno scelto Monaco lavorano e producono attivamente. Tanti sono i vantaggi a cominciare dal livello dei servizi offerti dall’organizzazione pubblica dell’amministrazione ed i vantaggi fiscali. Ma anche la sicurezza e la qualità della vita sono caratteristiche attraenti anche per venirci in vacanza o semplicemente viverci. Imprenditori, costruttori, commercianti, attività di trading e banche: la vita dei connazionali a Monte-Carlo è davvero condensata in pochi chilometri quadrati ma ricca di opportunità. Ed il nostro periodico vuole diffondere anche la loro voce.
Signora Marabini, oltre ad occuparsi della sua preziosa libreria (“Scripta Manent” ndr) è anche coideatore e Capo Redattore de “L’Editoriale” : è possibile che le due attività si influenzino reciprocamente ?
Sicuramente ma in senso positivo. Specificamente per ciò che concerne il periodico si può notare come l’aspetto culturale inteso a piu’ ampio raggio sia il tema conduttore : resoconti e reportage su quanto accade a Monaco, approfondimenti, storia e riflessioni si integrano bene in un discorso di informazione. Inoltre il periodico è anche un mezzo per dare visibilità a scrittori od artisti che presentano a MonteCarlo le loro opere. L’interesse ed i lettori sono tanti comunque: per questo stampiamo, direttamente a Monaco, 3000 copie : per eventi particolari, GP o St. Devote per esempio, aumentano le richieste a 5000 copie distribuite anche in Italia e sulla Costa Azzurra.
Per terminare ci vuole parlare del suo prossimo progetto ?
Volentieri. Entro fine maggio la libreria “Scripta Manent” si trasferirà in Rue du Portier: attualmente ci sono ancora i lavori in quanto la filosofia che sottende alla nuova sede è quella dell’open space. Saranno ben 300 mq di spazi allestiti a libreria ma che permetteranno anche di accogliere fino a 120 persone in caso di conferenze o convegni di particolare interesse.
Non solo libreria di testi antichi quindi ma luogo di aggregazione…
Esatto. Sarà un centro di riferimento a disposizione dell’arte e della cultura ma che permetterà di organizzare eventi a sostegno dell’attività dei connazionali. Una specie di centro culturale ma anche luogo di dialogo e di scambio, aperto a quelle associazioni e agli artisti che proporranno opere interessanti. L’Editoriale darà poi il suo contributo dando agli stessi eventi la giusta attenzione. Del resto come collezionisti ed antiquari non potevamo esimerci nel dare un reale contributo a questo bel Principato che ci ospita e che, nello stesso tempo, ci rende orgogliosi di essere italiani. Monaco Imprese n° 1
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Qualité de la vie et travail de “Qualité” Représentant à Monaco du BICQ, M. Mauro Migliorero, ingénieur turinois né en 1959, lauréat de l’Ecole Polytechnique de Turin, marié et père de trois filles, a choisi depuis 1996 de vivre et de travailler à Monte Carlo.
Pourquoi précisément Monte Carlo ? Parce que pour moi, dans la vie courante comme dans le travail, la “Qualité” est depuis toujours un point de référence et une philosophie de vie. Il n’est pas facile de conjuguer les deux choses, mais depuis que je suis établi à Monaco je jouis de la qualité de la vie en travaillant avec efficacité. Je fournis à toutes les sociétés et entreprises qui en font la demande un service lié à la qualité, à l’environnement et à l’éthique, par la délivrance des Certifications ISO 9001- ISO 1400 1- SA 8000 ou par des études clés en mains pour l’organisation et la standardisation aux normes spécifiques. En outre, considérant la position géographique stratégique de la Principauté et la proximité de l’aéroport
de Nice, je peux aisément opérer aussi sur le marché international en me déplaçant sans aucune difficulté.
Vous avez parlé de “Qualité dans le travail” : à quoi vous référezvous ? C’est un concept intuitif mais pas toujours évident. Je m’explique : depuis 1985 je m’occupe de Systèmes de Qualité dans les entreprises et de Certifications ISO. Toutes ces années d’expérience, m’ont convaincu qu’une quelconque structure, si elle est organisée selon des standards normatifs spécifiques, peut obtenir des résultats évidents en termes de valeur ajoutée, en raison de la qualité des services ou des produits offerts qui seront meilleurs que d’autres.
Vous avez rencontré de nombreux concurrents dans vos activités, a Monte Carlo ? Bien, à vrai dire je crois avoir été le premier à proposer a Monaco la “Qualité comme un service” ayant déjà travaillé beaucoup en Italie sur ce sujet. Ceci m’a permis, par exemple, de participer activement avec l’AQM, Association Qualité Monaco, à l’étude de la Charte d’Excellence pour les établissements hôteliers et de la restauration de Monaco. Mais pas seulement.
La nouvelle politique environnementale du Prince Albert II a-t-elle eu des répercussions positives sur votre travail ? Oui, assurément. Le Prince Albert a justement fait croître l’attention sur des sujets tels que le “Développement Durable”. De nombreuses entreprises accueillent favorablement l’invitation à faire de Monaco un Etat modèle, en commençant à se structurer de manière systématique au moyen de l’application pratique des Normes dénommées ISO. Cependant, il manque encore aujourd’hui, au niveau mondial, une culture et une formation précise sur ce que comportent ces opérations. Notre travail doit également servir à créer et développer une nouvelle culture pour une qualité de vie plus élevée, soit dans une perspective d’amélioration des produits/services offerts aux personnes des diverses structures, qu’elles soient des entreprises privées et/ou publiques, soit pour une amélioration de type environnemental. Notre engagement et notre travail d’aujourd’hui doivent servir à nous tous, mais surtout aux générations futures.
Quels sont vos projets pour les mois à venir ?
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M. Mauro Migliorero
Je signalerais, parmi les divers projets en cours, un projet très intéressant finalisé tous ces derniers jours en partenariat avec le Bureau Veritas, que j’ai développé à travers l’AIIM et en collaboration avec la Chambre de Développement Economique. Il s’agit d’une journée d’information sur les outils et la méthodologie pour une gestion globale du “développement durable” au niveau de l’entreprise. J’invite tous les chefs d’entreprises à y participer.
Quelle est votre devise ? Elle est de Louis Pasteur “Le changement favorise seulement les esprits prepares a l’accepter”. Il me semble que plus que jamais le changement est une nécessité pour affronter les nouveaux défis du marché international. La tendance de chercher à obtenir les certifications propres à son secteur d’appartenance existe déjà et deviendra de plus en plus une règle imposée, tant par le marché que par la nécessité de s’opposer aux effets dommageables des activités de l’homme sur l’environnement de notre planète. Le BICQ, fort de l’expérience et des compétences acquises au cours des années par plus de 50 de ses consultants aux niveaux national et international, est en mesure de développer et/ou de coordonner des services nouveaux et stratégiques, destinés à offrir des solutions pour une indiscutable amélioration de la compétitivité. La satisfaction a toujours été notre philosphie de base. Les secteurs d’intervention du BICQ sont : l’industrie, le commerce, les services, la construction, le tourisme, les administrations publiques.
Qualità della vita e lavoro di ‘Qualità’ Titolare dello Studio BICQ l’Ing. Mauro Migliorero, torinese del ‘59 ,laureato al Politecnico di Torino, è felicemente sposato con tre figlie e dal 1996 ha scelto Montecarlo per vivere e lavorare. Perché proprio Monaco ?
Perché per me, nella vita come nel lavoro, la ‘Qualità’ è da sempre un punto di riferimento ed una filosofia di vita. Non è facile coniugare le due cose ma da quando sono a Monaco mi godo la qualità della vita lavorando con profitto. Fornisco a tutte le società ed aziende che ne facciano richiesta un servizio legato alla qualità, all’ambiente ed all’etica attraverso Certificazioni ISO 9001 - ISO 1400 1- SA 8000 o studi chiavi in mano di organizzazione e standardizzazione a lle normative specifiche. Inoltre vista la posizione geografica strategica del Principato e la vicinanza dell’aeroporto di Nizza posso agevolmente operare anche sul mercato internazionale muovendovi senza alcuna difficoltà.
Ha parlato di “Qualità nel lavoro”: a cosa si riferisce ?
E’ un concetto intuitivo ma non sempre evidente. Mi spiego meglio. Dal 1985 mi occupo di Sistemi Qualità di aziende e Certificazioni I SO. Ed i tanti anni di esperienza mi hanno sempre più convinto che una qualunque struttura, se organizzata secondo degli standard normativi specifici, possa ottenere dei risultati evidenti in termini di valore aggiunto rispetto alla qualità dei servizi o dei prodotti offerti migliori rispetto ad altri.
esse aziende private e/o pubbliche che un miglioramento di tipo ambientale. Il nostro impegno, il ns lavoro di oggi deve servire per tutti noi ma soprattutto per le generazioni future.
Quali progetti per i prossimi mesi ?
Segnalerei, tra i vari progetti in corso, un progetto finalizzato proprio in questi giorni molto interessante che ho promosso in partenariato con Bureau Veritas attraverso l’AIIM ed in collaborazione con la Chambre de Developpement Economique di Monaco. Si tratta di una giornata di informazione sugli strumenti e le metodologie per gestire globalmente lo ‘sviluppo sostenibile’ a livello aziendale. Invito tutti gli imprenditori a parteciparvi, sarà sicuramente un momento anche di valido confronto.
Qual è il vostro motto ?
Ha trovato molti concorrenti con la sua attività a Monaco ?
Beh, a dire il vero credo di essere stato il primo a portare a Monaco la ‘Qualità come servizio’ avendo già lavorato molto in Italia su tale argomento. Questo mi ha permesso, per esempio, di partecipare attivamente con AQM Associazione Qualità Monaco allo studio della Carta del’Eccellenza per le strutture alberghiere e di ristorazione di Monaco. Ma non solo.
Rispetto alla nuova politica eticoambientale del Principe Albert II ci sono state ripercussioni positive nel suo lavoro ?
Direi proprio di si. In realtà, il Principe Alberto ha giustamente fatto crescere l’attenzione su argomenti come lo ‘Sviluppo Sostenibile’ altrimenti detto ‘Developpement Durable’, molte aziende stanno accogliendo favorevolmente l’invito a creare in Montecarlo uno Stato Modello iniziando a strutturarsi in modo sistematico anche attraverso l’applicazione pratica delle cosiddette Normative ISO. Manca oggi tuttavia a livello mondiale, ancora una cultura ed una formazione precisa di cosa queste operazioni comportino. Il nostro lavoro deve anche servire, in effetti , a creare e sviluppare una nuova cultura per una qualità di vita più elevata sia da un punto di vista di miglioramento dei prodotti / servizi offerti alle persone dalle varie strutture siano
E’ di Louis Pasteur “Il Cambiamento Favorisce Solo Le Menti Preparate Ad Accettarlo”. E mi sembra che mai come oggi il cambiamento sia una necessità per affrontare le nuove sfide del mercato internazionale. Infatti la tendenza è nel cercare di ottenere certificazioni relative al proprio settore di appartenenza e questo sarà sempre di più una regola imposta dal mercato e dalla necessita’ di contrastare gli effetti dannosi delle attivita’ umane sull’ambiente del nostro pianeta. La BICQ, forte dell’esperienza maturata e delle competenze acquisite negli anni dagli oltre 50 nostri consulenti a livello nazionale e internazionale, è in grado di sviluppare e/o coordinare nuovi e strategici servizi, volti a offrire indubbi vantaggi competitivi all’azienda la cui piena soddisfazione e’ sempre stata la nostra filosofia di base. I settori di intervento BICQ sono : industria, commercio, servizi, costruzioni, turismo, pubblica amministrazione.
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La Chambre de Développement Economique de Monaco C’est un organisme de droit privé qui fonctionne sur un modèle plutôt anglosaxon, avec un mode d’adhésion volontaire de la part de l’entreprise. Organisme fédérateur de l’économie de la Principauté, créateur de synergies et de réseaux, son Comité Directeur est constitué d’entrepreneurs, de représentants du Gouvernement et d’organisations professionnelles : les décisions prises sont donc le fruit d’un consensus entre tous les acteurs économiques de la place.
Franck Biancheri, Président de la CDE. Franck Biancheri, Presidente della CDE.
Aujourd’hui présidée par M. Franck Biancheri, la CDE a pour missions principales la promotion de l’image et de l’économie de Monaco, le soutien logistique aux entreprises de la Principauté dans leurs actions de développement, la recherche d’investisseurs étrangers et leur accompagnement dans la cadre d’une installation en Principauté, et enfin, la représentation de la communauté économique monégasque auprès des pouvoirs publics locaux. En poursuivant sa mission, la CDE a élargi, année après année, l’éventail de ses actions : missions économiques, rencontres de délégations étrangères, conférences, soutiens de manifestations en Principauté, représentations officielles de Monaco au sein d’organismes internationaux - notamment à la Chambre de Commerce Internationale (ICC)-, participations à des salons professionnels, constitution d’un solide réseau à travers le monde, création de publications mettant en avant l’économie monégasque, formalités internationales,… autant de services proposés par la CDE à ses membres et futurs membres. A ce jour, et loin des 50 adhérents de la première année, plus de 350 entreprises sont déjà membres de la Chambre, des 26
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La CDE a été créée il y a un peu plus de 7 ans dans le but de promouvoir l’économie de Monaco. Elle est née d’un besoin réel des entrepreneurs et des organismes professionnels de la place, avec le soutien du Gouvernement Princier. sociétés de toutes tailles et de tous secteurs d’activités présents en Principauté. Ces membres constituent une des forces importantes de la Chambre de Développement Economique et donnent parfois lieu à des projets communs : ceux menés par la CDE avec l’Association des Entrepreneurs Italiens de la Principauté de Monaco (AIIM) qui a adhéré dès sa création, à la CDE, en sont une illustration. Leur dernier exemple de collaboration date des 9 et 10 octobre derniers, avec l’organisation d’une Mission Economique d’entreprises à Turin, le “Poumon économique du Piémont”. Record pour la CDE en mission, ce sont 84 personnes qui ont fait le déplacement depuis Monaco et 34 entreprises de la Principauté qui ont participé aux rendez-vous d’affaires à Turin avec les entreprises piémontaises.
Après cette collaboration réussie, un autre projet est déjà à l’ordre du jour, il est prévu pour le mois d’octobre prochain. Il s’agit d’une Conférence sur la Gestion de la Durabilité (en langue française), sujet d’actualité à Monaco et dans le monde entier, qui intéressera à coup sûr nombre d’entrepreneurs de la Principauté.
Le Calendrier 2007 de la CDE :
Organisation&Soutien de Manifestations Locales : • Conférence CDE & I.O.D : Intervention de Me Monty Raphael (29 mars, Grill de l’hôtel de Paris) sur : “Monaco Business and professional sector, the threat from OECD/ GAFI/ FATF”, • Soutien des Monaco Celebrity Lunches d’Azur Productions (Version anglaise : 22 juin, 5 oct. et 30 nov. / Version française : 30 mars, 29 juin, 9 nov., Salon Bellevue, Café de Paris), • Ambassador’s Lunches République Tchèque (13 avril), Thaïlande et Algérie (premier semestre). • Séminaire UCP 600 (4 Mai) • Déjeuner-Conférence sur les risques
pays en 2007 (François David, Président de la COFACE, juin) • Conférence sur le Management de la Durabilité (18 octobre) Missions économiques : • Mission Retour Turin et mission Retour Turquie (printemps), et mission retour Slovénie (automne), • Mission Grèce (octobre) Salons Professionnels : • Foire Internationale de la bijouterie joaillerie de Vicenza (Italie, 12/17 mai
Accueil de la Délégation monégasque par le Maire de la ville de Alba.Accoglienza della delegazione moegasca da parte del Sindaco della città di Alba. (Da sinistra a destra : De g. à droite : S.E. M. Franck Biancheri, M. Briano Olivares, Administrateur délégué de Soremartec Fontvieille - Groupe Ferrero, le maire de Alba M. Rossetto, S.E. M. Mario Polverini, M. Michel Pastor, et M. Georges Marsan).
Une délégation conduite par S.E.M. Mario Polverini, Ambassadeur d’Italie en Principauté de Monaco, M. Georges Marsan, Maire de Monaco et M. Jean Castellini, Conseiller au Cabinet de S.A.S. le Prince Albert II. Dans le cadre de cette mission, l’AIIM avait prévu avec son membre la SOREMARTEC, une visite de l’usine Ferrero à Alba pour toute la délégation, une exclusivité intéressante de visite. Une action à suivre avec l’organisation de la mission économique retour d’entrepreneurs piémontais en Principauté, courant 2007.
et 15-19 sept.).
Commissions de travail sectorielles 2007 : “Cosmétiques”, “Prod’ et Post-Prod’” ICC : • Congrès Mondial des Chambres de Commerce à Istanbul (Turquie - 4-6 juillet), • Conseil Mondial de l’ICC (Paris, 29-30 nov.) Opérations Investissement & Promotion : • Japon (Tokyo, dans le cadre d’une visite
officielle de S.A.S. le Prince Souverain au Japon, 22-24 avril) • Allemagne (Stuttgart et Munich, en collaboration avec l’Ambassade de Monaco à Berlin, 18-20 juin), • Angleterre (Participation à l’inauguration de la Maison de Monaco à Londres, septembre) • Suisse (septembre), • Inde (dernier trimestre) • Soutien du 2è “Do it in Monaco -
Investment Forum” de la JCE (22 novembre, Monaco)
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La Chambre de Développement Economique de Monaco (CDE) Nata come organismo di diritto privato ispirato al modello anglosassone, attraverso i vari associati, svolge un ruolo di promotore e creatore d’energia e di risorse attraverso il suo comitato Direttivo, costituito da imprenditori, rappresentanti del Governi e di organismi professionali. Decisioni collettive dunque alla base di un consenso condiviso tra i vari attori economici locali.
Attività del CDE nel 2007 :
La CDE ha già compiuto poco piu’ di 7 anni ed ancora oggi persegue l’obiettivo di promuovere l’economia di del Principato di Monaco. Come l’AIIM è nata da un progetto squisitamente italiano concepito dagli imprenditori italiani, così piu’ in generale la CDE, con il sostegno del governo monegasco, cerca di rispondere ai bisogni reali delle imprese e degli organismi professionali.
Organizzazione e sostegno di manifestazioni Locali : • Conferenza CDE & I.O.D : Intervento di Me Monty Raphael (29 Marzo, Grill de l’hôtel de Paris) su : “Monaco Business and professional sector, the threat from OECD/ GAFI/ FATF”, • Sostegno ai Monaco Celebrity Lunches d’Azur Productions (Versione inglese : 22 giugno, 5 ottobre et 30 novembre/ Versione francese : 30 marzo, 29 giugno, 9 novembre, Salon Bellevue, Café de Paris), • Ambassador’s Lunches Repubblica Ceca (13 aprile), Tailandia e Algeria (primo semestre). • Seminario UCP 600 (4 Maggio) • Colazione-Conferenza su i rischi paese nel 2007 (François David, Presidente della COFACE, giugno) • Conferenza sulla Gestione Sviluppo Sostenibile (18 ottobre)
Missione economica : • Missione di ritorno Torino e ritorno Turchia (primavera), e missione ritorno Slovenia (autunno), • Missione Grecia (ottobre) Salone Professionnale : • Fiera Internazionale della gioielleria di Vicenza (Italia, 12/17 maggio et 15-19 settembre).
Attualmente, con il suo presidente Franck Biancheri, la CDE continua ad organizzare missioni che hanno con obiettivo la promozione dell’immagine e dell’economia di Monaco. Sostiene logisticamente le imprese del Principato nelle loro azioni legate allo sviluppo, la ricerca di investitori esteri e l’assistenza all’istallazione a Monaco fino alla rappresentanza della comunità economica monegasca presso le autorità pubbliche locali. Anno dopo anno la CDE ha ampliato le sue azioni: missioni economiche, incontri di delegazioni estere, conferenze, sostegno a manifestazioni in Principato di Monaco, rappresentazioni ufficiale di Monaco presso gli organi internazionali come la Camera di Commercio Internazionale (ICC) e molti altri servizi. Dai 50 aderenti agli attuali piu di 350, con società di vario tipo e con diversi settori d’attività. I membri costituiscono una delle forze importanti della CDE e porta, a volte, alla creazione di progetti comuni come quello realizzato in collaborazione con l’Associazione degli Imprenditori Italiani AIIM). Un esempio di questo partenariato è la Missione Economica realizzata lo scorso 9 e 10 ottobre a Torino ‘Polmone economico del Piemonte’. Con un numero record di aderenti la CDE e dell’AIIM ben 84 imprenditori e ben 34 28
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L’assemblée générale 2006 de l’AEIM, dans les locaux de la CDE. La tribune était composée, de gauche à droite, autour de Mme Fernanda Casiraghi, Présidente, de M. Carlo Brignone, Trésorier, M. Fabrizio Carbone, Secrétaire Général et M. Niccolò Caissotti di Chiusano, Vice-Président de l’AEIM. Alcune immagini dei locali della CDE ove nel 2006 si è svolta l’assemblea generale dell’AIIM. Nella foto in basso alcuni membri del direttivo composto da destra a sinistra il Vice Presidente Niccolò Caissoti di Chiusano, la Presidente Fernanda Casiraghi, il Segretario Generale Fabrizio Carbone ed il Tesoriere Carlo Brignone.
imprese monegasche hanno partecipato a questi incontri d’affari con altrettante aziende piemontese. La folta delegazione di personalità vedeva tra i partecipanti l’Ambasciatore d’Italia a Montecarlo il Ministro Mario Polverini, il Sindaco di Monaco George Marsan e il Consigliere del Gabinetto del Principe Albert II. Nel corso di questa missione è stata organizzato una interessante visita all’azienda Ferrero ad Alba (CN), presente sul mercato monegasco con la Soremartec . Nel 2007 seguirà infatti per reciprocità la visita di imprenditori piemontesi a Montecarlo. Inoltre una ulteriore progetto in comune con la AIIM è in previsione per il prossimo ottobre: si tratta infatti di una “conferenza sulla gestione dello sviluppo sostenibile”, argomento di grande attualità a Monaco e nel mondo intero che sicuramente interesserà un gran numero di imprenditori del Principato.
Commissioni di lavoro di settore 2007 : “Cosmétiques”, “Prod’ et Post-Prod’”ICC : • Congresso Mondiale delle Camere di Commercio a Istanbul (Turchia - 4-6 luglio), • Conseil Mondial de l’ICC (Parigi, 29-30 novembre) Operazioni ed operazioni d’investimento e promozione • Giappone (Tokyo, nell’ambito dela visita
ufficiale del Principe Albert II in Giappone, 22-24 aprile) • Germania (Stuttgart et Munich, in collaborazione con l’Ambasciata di Monaco a Berlino, 18-20 giugno), • Inghilterra (Participazione all’inauguratione de la Maison de Monaco e Londra, settembre) • Svizzera (settembre), • India (ultimo trimestre) • Sostegno alla Seconda Edizione del
Do it in Monaco - Investment Forum organizzato dalla JCE (22 novembre, Monaco)
SEM René Novella,
entretien avec l’histoire et le futur de Monaco. Et les professions libérales ?
Depuis toujours SEM René Novella, ex Ambassadeur de Monaco à Rome, est la mémoire historique de la Principauté. J’ai tenu à le rencontrer pour qu’il me raconte quelques anecdotes liées aux Italiens qui ont vécu dans la Principauté…
Dites-moi, Excellence: quelle est la part d’ “italianité” de Monaco ?
• Historiquement une grande part de Monaco appartient aux Italiens. Outre qu’une tradition c’est un fait: le lien qui unit les deux pays a évolué au cours du temps, laissant par exemple une trace importante sur les noms, aujourd’hui monégasques, qui sont en réalité d’origine italienne.
Voulez-vous m’en donner quelques exemples ?
• Certainement ! Si nous évoquons la famille je vous citerais l’un de mes ancêtres au nom connu... Il s’appelait Cantone et a été, avec son frère, le constructeur et le concepteur de la Chapelle du Palais et de la Miséricorde. Il était d’origine italienne, de Gênes plus précisément. Vers la fin du 18ème et avec la révolution française, la dernière voyelle tomba et le nom devint alors Canton : le même sort fut réservé à d’autres familles d’origine italienne telles que Medecino ou Pastore.
Dans l’un de vos livres vous avez raconté l’histoire du Rocher et son évolution: dans le commerce et dans l’artisanat, les Italiens étaient en nombre significatif… ?
• C'est vrai. Pensez que dans les années 20 le Rocher avait une vie à lui : celui qui y habitait, bénéficiait de tous les services. Chaque vendredi il y avait le marché de poissons avec ses morues et stockfish vendus par des pêcheurs dont la plupart étaient italiens. Il y avait également 14 magasins d’alimentation et, mis à part deux d’entre eux, ils étaient tous tenus par des Italiens, tout comme les 7 cordonniers.
C’était l’époque de la grande émigration italienne…
• On estime qu'en cette période et avant les guerres on dénombrait environ 12.000 Italiens et à peine plus de 8000 Français. Le plus grand nombre d’entre eux, étaient des petits commerçants, des artisans et des ouvriers, mais surtout des maçons qui au fil du temps ont donné vie à une tradition de constructeurs et d’architectes civils.
• Il y a eu des changements après 1970 quand la loi sur les retraites des médecins fut introduite. Jusqu’alors, les cabinets médicaux se transmettaient par tradition, et, bien quatre d’entre eux appartenaient depuis leur origine à des médecins italiens tels que Lamuraglia, Riva, Giribaldi. Avec la nouvelle législation la succession, de droit ne fut plus acceptée.
Dans le livre d’or des Italiens à l’étranger on cite un Italien que nous pouvons qualifier de génial et qui m’a beaucoup intrigué : il s’agit de : Pietro Ceresa, inventeur ? • C'était le grand père de mon épouse, une personne incroyable, l’Italien classique avec le sens des affaires qui breveta de nombreuses inventions dont certaines sont encore actuelles aujourd’hui à travers le monde… Effectivement c’est un personnage génial et nous en reparlerons dans notre prochain numéro.
SEM René Novella,
a colloquio con la storia ed il futuro di Monaco. Da sempre memoria storica del Principato di Monaco, SEM René Novella , ex Ambasciatore di Monaco a Roma, ho voluto incontrarlo per farmi raccontare qualche aneddoto legato agli italiani che hanno vissuto in Principato…
Mi dica Eccellenza: quanta italianità appartiene a Monaco ?
• Storicamente molto di Monaco appartiene agli italiani. E’ un fatto oltre che una tradizione : il legame tra i due paesi è evoluto nel tempo. Una traccia importante lasciata ad esempio nei cognomi che, oggi monegaschi, siano in realtà di origine italiana.
Mi vuol fare qualche esempio ?
• Certamente ! Se restiamo in famiglia le cito un mio antenato dal cognome noto... Si chiamava Cantone ed è stato, insieme a suo fratello, il costruttore ed ideatore della Cappella della Misericordia e del Palazzo. Di chiare origini italiane, di Genova per la precisione. Poi verso la fine del 1700 e con la rivoluzione francese cadde l’ultima vocale ed il cognome rimase tronco Canton: stessa sorte per altre famiglie d’origine italiana come Medecino o Pastore.
In un suo libro ha raccontato la storia della Rocca e come si è evoluta : nel commercio e nell’artigianato gli italiani erano in numero significativo…
• Verissimo. Pensi che negli anni ’20 la Rocca aveva una vita a sè : chi ci abitava aveva ogni genere di servizio. Ogni venerdí c’era il mercato del pesce con i suoi merluzzi e stoccafissi venduti da pescatori, per la maggioranza italiani. C’erano poi 14 negozi di alimentari e, a parte un paio, erano tutti gestiti da italiani, compresi i 7 calzolai.
Erano quelli i tempi della grande emigrazione italiana…
• E si stima infatti che in quel periodo e prima delle guerre ci fossero residenti circa 12000 italiani e poco piu’ di 8000 francesi. Erano in gran numero dei piccoli commercianti, artigiani e tantissimi operai. Ma soprattutto muratori che, con il tempo hanno dato vita ad una tradizione di costruttori ed architetti civili.
E per le libere professioni ?
• Ci sono stati dei cambiamenti dopo il 1970 quando fu introdotta la legge sulla pensione dei medici. Fino ad allora gli ambulatori medici si trasmettevano per tradizione e ben 4 appartenevano in origine a medici italiani come Lamuraglia, Riva, Giribaldi. Con la nuova legislazione non fu piu’ accettata la successione per diritto.
Nel libro d’oro degli italiani all’estero, è citato un italiano che possiamo dire geniale e che mi incuriosisce molto : trattasi di Pietro Ceresa, inventore. • Era nonno di mia moglie, una persona incredibile, il classico italiano con il fiuto degli affari che brevettò molte cose alcune ancora in uso adesso in tutto il mondo… Effettivamente è un personaggio geniale e di lui ne parleremo nel prossimo numero.
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Capitalia Luxembourg est une réalité historique et une certitude pour le futur. Nous en parlons avec Federico Limiti, Directeur de la filiale de Monaco.
Federico Limiti vit à Monte Carlo depuis 2000; il est d’origine romaine, marié et père de trois enfants. Directeur depuis 2003 de CAPITALIA Luxembourg S.A. Filiale de MonteCarlo, il est aussi le Secrétaire du COM.IT.ES et membre de l’AIIM. A Monaco, vous êtes arrivé pour le travail et non par choix personnel : comment vous êtes-vous intégré dans la réalité monégasque ?
Je dirais très bien. Il est inutile de dire que la qualité de la vie et la sécurité sont à la base de ma satisfaction et de celle de ma famille. Je me considère également satisfait du point de vue professionnel.
Qui sont les clients de la filiale de Monte-Carlo de Capitalia Luxembourg ?
Quels services offrez-vous ?
Capitalia Luxembourg est spécialisée dans des activités internationales de Corporate Finance, Wealth Management et Private Banking du Groupe. Au 31 décembre 2006, simplement pour donner quelques chiffres, le Groupe Bancaire Capitalia a dégagé un résultat net égal à 1,162 milliards d’euros.
Quels sont vos projets pour le futur ?
Ils sont nombreux, mais plus particulièrement, je peux vous annoncer par anticipation que Capitalia Luxembourg réalise un plan de croissance ambitieux qui se reflètera dans de nouveaux produits et conduira également à un développement important dans les services offerts à la clientèle. Nous nous savons compétitifs sur la place internationale, mais nous voulons surtout assurer aux clients de notre filiale des services toujours plus élevés dans toutes les activités.
Comment conduisez-vous la promotion de votre image à Monte-Carlo ?
L’année dernière, nous avons tenu avec notre Président, M. Gianfranco Imperatori, un séminaire en collaboration avec l’AIIM sur le thème. “Nouveaux produits financiers pour le développement”. Nous avons accordé récemment un important soutien au Com.it.es pour l’organisation de sa Fête de Noël.
Et dans le monde…
Ce n’est pas un mystère que Capitalia Luxembourg est le principal sponsor de Mascalzone Latino-Capitalia Team. C’est un des onze challengers qui, dés avril 2007, disputera les phases finales des sélections pour la 32ème édition de l’America’s Cup, la Louis Vuitton Cup qui se déroulera à Valence.
Nous avons une clientèle très sélectionnée et représentative des résidents de Monaco et des italiens. Il y a toujours une sorte de fidélité à la banque et dans notre cas, c’est désormais une tradition.
Dans quel sens, une tradition ?
Je suis très fier de diriger une banque qui bénéficie d’une enseigne historique “Banco di Roma” apparue sur la place monégasque avec l’ouverture d’une succursale en 1943. Ce fut un choix stratégique, considérant, qu’à cette époque l’économie et la finance de la Principauté étaient en train d’acquérir un important développement. Au fil du temps l’activité de la Banca di Roma a évolué jusqu’à ce qu’elle acquiert une dimension importante qui a justifié sa restructuration en 2000 dans sa forme actuelle de Filiale de notre Siège du Luxembourg, avec de nouveaux bureaux ouverts sous l’enseigne ‘Banca di Roma International’.
Puis encore un changement d’enseigne mais non de stratégie…
Oui, actuellement Capitalia Luxembourg est la nouvelle dénomination de la Banque, contrôlée entièrement par le groupe bancaire Capitalia. 30
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M. Federico Limiti
Capitalia Luxemburg è una realtà storica ed una certezza nel futuro. Ne parliamo con Federico Limiti, Direttore della filiale di Monaco. Federico Limiti, vive a Montecarlo dal 2000. E’ di origine romana, sposato e padre di tre figli dal 2003 è Direttore della CAPITALIA Luxembourg S.A. Filiale di Monte-Carlo, oltre che essere Segretario del COM.IT.ES e socio nella AIIM. A Monaco ci è arrivato per lavoro e non per scelta : come si è integrato nella realtà monegasca ?
Molto bene direi. Inutile dire che la qualità della vita e la sicurezza sono alla base della mia soddisfazione e della mia famiglia. E mi ritengo soddisfatto anche dal punto di vista professionale.
Chi sono i clienti della Capitalia Luxemburg della filiale di Monte-Carlo ?
Abbiamo una clientela molto selezionata e rappresentativa di residenti a Monaco ed italiani. Del resto c’è sempre una sorta di fidelizzazione alla banca e nel nostro caso è oramai una tradizione.
In che senso tradizione ?
Sono molto orgoglioso nel dirigere una banca che con una storica insegna ‘Banco di Roma’ comparve sulla piazza monegasca con l’apertura di una succursale già nel 1943. E fu strategico visto che in quel momento l’economia e finanza del Principato stavano assumendo una importanza sempre maggiore. Con il tempo l’attività del Banco di Roma si è evoluta fino ad assumere dimensioni maggiori tanto che si è passati alla forma attuale
di Filiale della nostra Sede di Lussemburgo nel 2000, con i nuovi uffici aperti come “Banca di Roma International”.
Poi ancora un cambio di insegna ma non di strategia…
Si, attualmente è Capitalia Luxembourg il nuovo nome della Banca che è controllata interamente dal gruppo bancario Capitalia.
Che servizi offrite ?
Capitalia Luxembourg è specializzata nelle attività internazionali di Corporate Finance, Wealth Management e Private Banking del Gruppo. Al 31 dicembre 2006, solo per dare qualche dato, il Gruppo Bancario Capitalia ha registrato un utile netto pari a 1,162 miliardi di euro.
Quali sono i progetti per il futuro ?
Molti ma in particolare posso anticiparvi che la Capitalia Luxemburg sta realizzando un piano di crescita ambizioso che si rifletterà in nuovi prodotti ed in uno sviluppo importante dei servizi offerti alla clientela: sappiamo essere competitivi sulla piazza internazionale ma soprattutto vogliamo assicurare ai clienti della nostra filiale standard sempre piu’ elevati in tutte le attività.
Come promuovete la vostra immagine a Monte-Carlo ?
Innanzi tutto l’anno scorso abbiamo promosso con il nostro Presidente, Cav. Lav. Gianfranco Imperatori, un convegno in collaborazione con l’AIIM dal tema “Nuovi prodotti finanziari per lo sviluppo”. E recentemente un grosso sostegno l’abbiamo riservato per realizzare la Festa di Natale del Com.it.es. E nel mondo… Non è un mistero che la Capitalia Luxemburg è main sponsor di Mascalzone LatinoCapitalia Team, uno degli undici challenger che, a partire dall’aprile 2007, disputeranno le fasi finali delle selezioni per la 32ma edizione dell’America’s Cup, la Louis Vuitton Cup che si svolgerà a Valencia nel 2007. Monaco Imprese n° 1
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Green Energies, une société de consultation stratégique d’entreprise appliquée aux secteurs de l’énergie, l’environnement et des changements climatiques.
Les problèmes causés par les gaz à effet de serre introduis dans l’atmosphère ont conduit à l’approbation du Protocole de Kyoto. L’accroissement du prix du pétrole dû à la demande croissante d’énergie et les obligations résultantes du Protocole ont déterminé le développement des énergies renouvelables en créant des nouvelles opportunités d’investissement. Green Energies est une société de consultation stratégique d’entreprise appliquée aux secteurs de l’énergie, l’environnement et des changements climatiques. Il offre des services intégrés aux propres clients avec un network international de collaborations avec des experts et consultants en vigueur dans des domaines spécifiques.
ficacité énergétique par l’emploi de moyens tels que l’achat d’energie verte, l’installation de panneaux solaires, mais également par la réalisation de projets de compensation des emissions nocives, associée à une campagne de cummunication. (par exemple projets de conservation ou accroissement du patrimoine forestier ou projets d’installations à énergie renouvelable de petites dimensions dans les pays en voie de développement).
La missione è realizzata attraverso la ricerca, l’analisi e lo sviluppo di progetti per la produzione di Energia Verde. Operiamo fornendo consulenza per la realizzazione di nuovi progetti da fonti rinnovabili (Eolico, Fotovoltaico, Idroelettrico, Biomassa, Biogas), o per l’acquisizione di impianti già esistenti, ad investitori interessati ad entrare in un settore divenuto molto redditizio con bassi rischi operativi.
La mission est réalisée à travers la recherche, l’analyse et le développement de projets pour la production d’Énergie Verte. Nous opérons en fournissant une consultation pour la réalisation de nouveaux projets de sources renouvelables (éolienne, photovoltaïque, hydroélectrique, biomasse, biogaz) ou pour l’acquisition d’installations déjà existantes, pour investisseurs intéressés à entrer dans un secteur devenu rentable avec des risques opérationnels moindres. Le “Protocole de Kyoto” : “Green Energies” développe des projets “CDM/JI” susceptibles d’être retenus pour le “Carbon Finance”. Cela signifie que leur réalisation permet d’obtenir l’octroi de “crédit d’emission” que l’on peut revendre sur le marché. Green Marketing : nous proposons aux entreprises clients de réduire l’impact environnemental provoqué par leur l’activité. Ceci en ayant recours à l’ef32
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delle energie rinnovabili, creando nuove opportunità di investimento Green Energies è una società di consulenza aziendale strategica applicata ai settori dell’energia, dell’ambiente e dei cambiamenti climatici, ed offre servizi integrati ai propri investitori grazie ad un network internazionale di collaborazioni con esperti e consulenti operanti in specifici ambiti.
Protocollo di Kyoto : Green Energies sviluppa progetti “CDM/JI”, eleggibili per la Carbon Finance, cioè la cui realizzazione permetta di ottenere la concessione di“crediti di emissione” da vendere sul mercato.
I problemi causati dai gas ad effetto serra immessi nell’atmosfera hanno condotto all’approvazione del Protocollo di Kyoto. L’incremento del prezzo del petrolio dovuto alla crescente domanda di energia, la crisi energetica europea causata dalla dipendenza dall’estero negli approvvigionamenti, e gli obblighi risultanti dal Protocollo hanno determinato lo sviluppo
Green Marketing : proponiamo alle imprese clienti di ridurre l’impatto ambientale provocato dall’attività attraverso l’efficienza energetica, l’acquisto di energia verde e l’installazione di pannelli solari ma anche la realizzazione di progetti di compensazione delle emissioni nocive, associata ad una campagna di comunicazione. Ad esempio realizzando progetti di conservazione o incremento del patrimonio forestale nazionale/estero oppure sponsorizzando progetti di piccoli impianti ad energia rinnovabile nei paesi in via di sviluppo
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Le nouveau défi des entreprises du bâtiment, entre innovation et modernisation, le poids de la présence italienne. Entretien avec Charles-André Benedetti, président de la Chambre Patronale du Bâtiment
Charles-André Benedetti, président de la Chambre Patronale du Bâtiment, répond à nos questions :
Quand les adhérents s’adressentils à vous ? Pouvez-vous me citer un exemple ?
Il peut arriver qu’une entrepriseo u une société de construction, qui s’est toujours consacrée à des investissements et projets privés, veuille participer à des appels d’offres publics: du moment que pour être retenu ou même consulté il faut appartenir La Chambre Patronale du Batiment, à une certaine catégorie en abrégé CPB, a été fondée il ya 63 nous assistons l’adhérent ans et est adhérente de la Fédaradans la constitution de tion Patronale Monégasque, à laquelson dossier, en veillant le est associée l’AIIM en qualité de membre correspondant. à l'application correcte des coefficients. Celui-ci L’action de la CPB suit un peu les est ensuite transmis à la traces de son homonyme italien Commission technique le Syndicat des Constructeurs : la qui l’examine. défense des intérêts de la corpora-
En quoi consiste la procédure et comment est-on classé ?
tion avec une action particulière sur le développement des secteurs économique, social et commercial de la catégorie.
En quatrième position dans les sta-
auxquelles tous les constructeurs et les entreprises sont soumis, considérant l’aspect géologique et géographique de la zone, de même que du point de vue paysager, sont complexes et continuellement actualisées. On peut dire que l’influence de la clientèle italienne se manifeste davantage sur des détails d’aménagement intérieur que sur des règles générales. Par exemple, les murs étaient auparavant revêtus de tissu tendu et la moquette au sol était de règle : à présent le tissu a bilier, la construction et les travaux disparu et les sols sont en publics à concurrence de 8,78% sur marbre ou en céramique. un total de € 10.983,78 (- 0,04% Un autre aspect est la par rapport à 2004) et emploie envihauteur sous plafond, ron 8,12% de l’effectif salarié (données du 1er Octobre 2006) sur un qui à Monaco est de total de 41825. 270 cm, soit 20 cm de plus que dans les intérieurs A la Chambre Patronale du Bâtiment équivalents en France. sont adhérentes 226 entreprises du secteur, sociétés de constructions et artisans qui ont leur siège social à Monaco : organisme consulté par le Gouvernement et par l’Administration publique, la CPB défend depuis toujours les intérêts des entreprises du bâtiment et s’impose comme interlocuteur privilégié des pouvoirs publics.
La procédure est éta-blie tistiques de l’année 2005 relatives selon un schéma bien au chiffre d’affaires des entreprises défini. Aux entreprises privées, ce secteur regroupe l’immoqui en font la demande, il est adressé par l’admi nistration un formulaire partir d’un minimum de 50.000 € jusqu’à qui sert essentiellement à connaître la un budget illimité (le "classement" est tipologie de la société et son importance subdivisé en 10 tranches). en terme économique. Les renseignements demandés sont : Combien existe-t-il d' entreprises 1. chiffre d’affaires réalisé au cours des dont la propriété ou l’actionnariat 3 derniers exercices est majoritairement italien ? 2. nationalité des propriétaires et/ou des actionnaires A titre indicatifs sur l’ensemble de nos 3. effectif salarié adhérents, 34 peuvent être considérées 4. surface des bureaux à majorité italienne, les SAM étant bien 5. renseignements administratifs entendu exclues. Le Dossier est ensuite soumis à une Commission technique à laquelle participe la CPB qui veille à la correcte application des coefficients. Puis, sur la base des données fournies, il est statué sur la conformité aux critères de sélection et, si le dossier répond aux exigences, il est classé parmi les 10 catégories existantes. De la sorte, l’adhérent pourra participer selon son classement, à des projets d’importance croissante, à 34
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Les entreprises de construction italiennes ont-elles eu une influence sur le style des constructions ou ont-elles simplement du s’adapter aux standards imposés ?
Monaco est classé en zone sismique de risque moyen et les constructions respectent depuis plus de 50 ans les normes antisismiques. Ainsi les règles
Pour les constructeurs, les clients italiens se distinguent-ils des autres acheteurs?
Certainement : la clientèle italienne est très exigeante en comparaison avec celle d’autres nationalités. Il est possible cependant de la distinguer en deux catégories principales. I. La première est composée d’un certain nombre d’italiens qui viennent à MonteCarlo essentiellement en touristes et plusieurs fois par an : dans ce cas ils recherchent de petits appartements qu’ils prennent souvent en location. II. A la deuxième on peut intégrer les italiens qui vivent de manière constante à Monaco: ils travaillent pour la majeure partie d’entre eux et généralement recherchent des appartements plus spacieux, mais sans suivre les standards réclamés par les américains. Les secteurs habités majoritairement par les italiens sont le secteur du Larvotto/St. Roman et celui de la Condamine, où les coûts, notamment des loyers, sont moyennement modérés.
Jamais comme aujourd’hui les entreprises de construction ont été engagées dans les opérations de réorganisation et de restructuration sur l'ensemble du territoire de la Principauté de Monaco : à quoi peut être attribuée cette nouvelle impulsion ?
Effectivement cela fait partie d’une série d’opérations qui concernent tant une nouvelle classification des quartiers de Monaco que la récupération et le développement concomitant de zones utilisées diversement jusqu’alors. Dans le cas spécifique, prenons les surfaces autrefois utilisées par la SNCF : les terrains libérés des voies ferroviaires (qui désormais sont souterraines ndr) sont désormais occupés par de gros chantiers. Cette zone sera destinée à de nouveaux immeubles à usage d’habitation (il s’agit principalement de bâtiments domaniaux à l’intention des monégasques) mais aussi à la réalisation, (livraison prévue en 2010), d’un nouveau lycée technique qui pourra accueillir jusqu’à 600 élèves.
Mais il y a aussi la requalification du Quartier de Saint-Roman.
En réalité c’est une opération assez complexe : on parle de préservation dans
la mesure où ont été individualisées un certain nombre de villas qui seront protégées par la loi au titre du patrimoine culturel. Il y a également de gros travaux d’urbanisation comme ceux en cours entre l’Annonciade et le Château Périgord où sera édifié un immeuble de 6 étages et un espace pour 130 places de parking. Enfin la reconversion du Vallon de St. Roman qui intéressera un ensemble de villas et groupes de maisons mal intégrées dans le secteur et qui devront être reprises dans un plan d’urbanisme plus cohérent avec le paysage urbain environnant.
Sans oublier également les travaux au Quartier du Jardin Exotique avec le nouvel hôpital de MonacoCentre Hospitalier Princesse Grace.
Le quartier du Jardin Exotique demeure, avec le Rocher, parmi les lieux les plus emblématiques et significatifs du paysage de la Principauté de Monaco. L’ambition est d’une part la préservation des divers espaces verts et panoramiques que ces sites offrent et d’autre part, la revalorisation du territoire par la réalisation d’infrastructures routières et de nouvelles unités d’habitation. Pour le nouvel hôpital, dans un délai maximum de 10 ans, il sera partiellement
détruit et reconstruit en trois phases : en 2008 commenceront les travaux de façade de l’hôpital actuel et ensuite à partir de 2011 deux nouveaux ensembles remp laceront progressivement ceux existant. Il offrira sur 65000m2 environ le même nombre de lits, soit 482 exactement mais avec des espaces gérés selon les exigences et les typologies requises par les services. Le coût global de l’opération se situera entre 250 et 300 millions d’euros.
Un cas à part : Fontvieille
On parle ici de la ZAC Saint-Antoine, importante zone ouest de Monaco limitrophe de Cap d’Ail. De cette zone qui s’étale sur 23000m 2 une bonne moitié sera occupée par d’autres édifices domaniaux et zones commerciales. Le reste sera destiné à des écoles, espaces publics et zones vertes de même qu’à une importante surface de parkings, la date d’achèvement est prévue pour 2011. L’ é l é m e n t l e p l u s i m p o r t a n t e s t l’aménagement d’une voie d’accès pour entrer et sortir de Monaco directement sur la Basse Corniche. Ceci permettra enfin, à compter de l’été prochain, une circulation des véhicules plus facile et surtout plus fluide aux heures de pointe.
Da sinistra a destra : De Gauche à droite : Mme Fissore, M. Benedetti - Président de la Chambre Patronale, M. Proust - Ministre d’État, M. Lorenzi, M. Valerie - Président du Conseil National.
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A propos de viabilité : quel est l’état d’avancement de la voie dénommée Dorsale ? On évoque de grands changements d'ici l’été 2008.
En effet l’échéance est commune à la plupart des travaux en cours: la quasi totalité des logements domaniaux seront disponibles (on parle au total de plus de 800 logements dont 500 seront livrés en fin d’année) et la voie dénommée Dorsale sera finalement ouverte. Il s’agit d’un gros projet qui permettra aux automobilistes d’entrer à Monaco à la hauteur du MonteCarlo Country Club pour traverser ensuite toute la Principauté en empruntant le tunnel Rainier III et rejoindre la Moyenne Corniche. L’ensemble réalisé sous forme de tunnel et de voie souterraine.
publiques et privées avec de nombreux jardins et zones commerciales : en tout ce seront 275000 m2 qui intègreront également la réalisation d’un nouveau Musée National installé à l’intérieur d’un édifice d’une surface d’environ 2 0 0 0 0 m 2, t o t a l e m e n t innovant dans sa structure et son architecture, qui servira selon les souhaits du Prince Albert II à renforcer l’image d’une Principauté tournée vers le progrès.
vigiliamo sull’applicazione corretta dei coefficienti che successivamente vengono attribuiti all’interno della Commissione tecnica che esamina le richieste.
In cosa consiste la procedura e come si viene classificati?
Di fatto, secondo un iter ben stabilito ed alle aziende che ne fanno richiesta, viene inviato dall’amministrazione un formulario che essenzialmente serve a comprendere la tipologia della società e la sua importanza in termini economici. I dati richiesti sono : 1. fatturato realizzato negli ultimi 3 anni 2. nazionalità dei proprietari e/o azionisti 3. numero dipendenti 4. superficie uffici 5. dati amministrativi
Parlons à présent de la réalisation du nouveau Yacht Club de Monaco. Un projet futuriste confié à l’architecte Sir Norman Foster qui a imaginé un édifice de 5 étages à faible impact énergétique et doté d’aménagements d’avant-garde biocompatibles. Il accueillera le siège du Yacht Club, le nouveau Musée Naval, le centre nautique mais aussi une piscine, des terrasses panoramiques, des clubs, bars et restaurants, le tout conçu pour impressionner le touriste qui arrive par mer. L’ensemble devra être achevé en 2012... Ajoutons aussi la modernisation du port, déjà en cours, pour aboutir enfin à l’extension en mer avec le projet du Portier. Un projet pharaonique, style Dubai, mais qui veut être un exemple de construction intégrée, non destructrice, qui respecte le milieu marin et qui s’harmonise avec le paysage environnant. Douze hectares seront conquis sur la mer dans cette zone du Portier, comprise entre l’entrée du tunnel et le Grimaldi Forum. La plateforme flottante ou îlot accueillera des habitations, écoles, infrastructures 36
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La nuova sfida delle “imprese del cemento”, tra innovazione e rinnovamento, le peso della presenza italiana Incontro con Charles-André Benedetti, presidente della Chambre Patronale du Batiment Risponde alle domande Charles-André Benedetti, presidente della Chambre Patronale du Batiment
Quand’è che gli associati si rivolgono a voi ? Può farmi un esempio concreto ? Bene, può capitare che una imprese o azienda edile, da sempre dedicata ad investimenti e progetti privati, voglia partecipare agli appalti pubblici : siccome per essere accettati o consultati bisogna appartenere ad una certa categoria affianchiamo l’associato nella corretta compilazione delle pratiche e parimenti
Il Dossier viene poi sottomesso ad una Commissione tecnica congiunta a cui la CPB partecipa e vigila sulla corretta applicazione di coefficienti. Poi, in base ai dati forniti, si determina se conforme ai criteri di selezione e, se risponde ai requisiti, viene classificata tra 10 le categorie esistenti. In questo modo l’associato potrà partecipare, a seconda del suo posizionamento, a progetti che partono da un minimo di 50.000 € a budget illimitati (il ‘classement’ è appunto suddiviso in 10 trances).
Quante sono le aziende la cui proprietà o azionariato è prevalentemente italiana ?
Indicativamente sul totale dei nostri associati ben 34 possono considerarsi a maggioranza italiana, ovviamente escluse le SAM.
Le aziende di costruttori italiani hanno influito sullo stile delle costruzioni o semplicemente hanno dovuto adeguarsi agli standard imposti ?
Monaco è zona classificata mediamente sismica e le costruzioni che hanno piu’ di 50 hanno già allora rispettavano le norme antisismiche. Quindi le regole a cui tutti i costruttori e le imprese fanno riferimento sottoposte sono, visto l’aspetto geologico e geografico dell’area, molto complesse ed in continuo aggiornamento anche dal punto di vista paesaggistico.
Se vogliamo l’influenza della clientela italiana si vede per alcuni dettagli relativi agli interni piu’ che sulle regole generali. Ad esempio una volta ai muri veniva applicata la stoffa e la moquette era la regola sul pavimento: ora le stoffe non ci sono piu’ e i pavimenti sono in marmo o ceramica. Altra cosa è l’altezza delle stanze, che a Monaco è di 270 cm, 20 cm in piu’delle equivalenti ambienti francesi
E questo per i costruttori : i clienti italiani hanno qualche particolare che li distingue dagli altri acquirenti ?
Sicuramente : la clientela italiana è molto esigente rispetto a quella di altre nazionalità. E’ possibile però distinguerla principalmente in due categorie. I. La prima consiste in un certo numero di italiani che vengono a Monte-Carlo principalmente per turismo e piu’ volte l’anno : in questo caso ricercano piccoli appartamenti e spesso affittano. II. Alla seconda si possono assimilare gli italiani che vivono stabilmente a Monaco : lavorano per la maggioranza di loro e generalmente tendono ad avere appartamenti piu’ ampi, non certo secondo gli standard richiesti gli americani. Le zone abitate maggiormente dagli italiani sono la zona del Larvotto/St. Romain e quella della Condamine, dove i costi, soprattutto degli affitti, sono mediamente moderati.
La Chambre Patronale du Bâtiment, per brevità CPB, è stata creata 63 anni fa ed può elencarsi tra i membri attivi della Federazione Patronale Monegasque, a cui è associata l’AIIM in qualità di membro corrispondente.
del 8,78 % sul totale di € 10.983.78 (0,04% in meno rispetto al 2004) ed impiega circa 8,12% come lavoratori (dati al 1° ottobre 2006) sul totale complessivo di 41825 unità.
L’azione della CPB segue un pò l’equivalente italiano del Sindacato dei Costruttori : difende gli interessi della corporazione con particolare riferimento allo sviluppo nel settore economico, sociale e commerciale della categoria.
Alla Chambre Patronale de Batiment sono associate ben 226 le imprese edili, società di costruzioni ed artigiani che hanno la sede sociale a Monte-Carlo : organo consultato dal Governo e dall’amministrazione pubblica la CPB difende da sempre gli interessi delle imprese edili e si pone come interlocutore privilegiato nei confronti dell’amministrazione pubblica.
Al 4° posto nelle statistiche del 2005 relative al fatturato delle imprese private il settore di riferimento raggruppa immobiliare, costruzione e lavori pubblici per un valore
Mai come ora le imprese di costruzioni sono coinvolte nell’operazione di riorganizzazione e ristrutturazione dell’intera area del Principato di Monaco : a cosa è dovuto questo nuovo impulso ?
Effettivamente fa parte di una serie di operazioni che riguardano sia una nuova classificazione dei quartieri di Monaco sia il recupero e relativo sviluppo di zone prima diversamente impiegate. Nel caso specifico prendiamo le aree una volta destinate alla SNCF: i terreni liberati dalla linea ferroviaria (che ora prosegue sotterranea ndr) hanno liberato terreni ora occupati da grossi cantieri.
L’area sarà destinata a nuovi immobili a destinazione civile (sono soprattutto opere demaniali destinate a monegaschi) oltre che alla creazione, con consegna prevista 2010, di un nuovo liceo tecnico che potrà accogliere fino a 600 allievi.
E poi c’è la riclassificazione del Quartiere di di St.Romain In realtà è una operazione abbastanza complessa : si parla di preservazione in quanto sono state individuate un certo numero di villette che saranno protette per legge come patrimonio culturale.
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La cosa piu’ importante è che sarà finalmente accessibile una via di accesso di entrata ed uscita da Monaco direttamente sulla Basse Corniche. Questo permetterà, a partire dalla prossima estate, una circolazione delle autovetture migliore e piu’ scorrevole soprattutto nelle ore di punta.
A proposito di viabilità: a che punto siamo con la cosiddetta dorsale ? Si parla di grandi cambiamenti nell’estate del 2008.
© Engeco
In effetti la scadenza coincide un pò per tutti i lavori in corso: quasi tutti gli alloggi demaniali saranno resi disponibili (si parla in tutto di piu’ di 800 alloggi di cui 500 saranno già disponibili a fine anno) e la via cosiddetta Dorsale sarà finalmente accessibile. Si tratta di un grosso progetto che permetterà agli automobilisti di entrare a Monaco all’altezza del MonteCarlo Country Club per poi attraversare tutto il Principato fino ad attraversare il tunnel Rainier III e raggiungere la Moyenne Corniche. Il tutto sarà possibile attraverso tunnel e vie sotterranee.
Per non dimenticare anche i lavori del Quartiere del Jardin Exotique con il nuovo ospedale di Monaco, le Centre Hospitalier Princesse Grace.
Il quartiere del Jardin Exotique rimane, insieme alla Roche, tra le figure piu’ emblematiche e significative del paesaggio del Principato di Monaco. L’ambizione è da una parte preservare i vari spazi verdi e panoramici che i vari siti offrono, dall’altro una rivalorizzazione dell’area anche attraverso infrastrutture stradali e nuove unità abitative. Per il nuovo ospedale in linea di massima nel giro di 10 anni sarà parzialmente distrutto e ricostruito in tre fasi: nel 2008 inizieranno i lavori di fronte all’ospedale attuale e successivamente a partire dal 2011 gli altri due complessi lentamente sostituiranno quello precedente. 38
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Offrirà su 65000 mq all’incirca gli stessi numeri di letti, 482 per l’esattezza ma con spazi gestiti secondo esigenze e tipologie diverse di reparto. Il costo dell’intera operazione si aggira tra i 250 e 300 milioni di euro.
Caso a parte Fontvielle.
Infatti. Qui si parla della ZAC Saint Antoine, importante zona ovest di Monaco che confina con Cap d’Ail. Ebbene in quella zona su 23000 mq una buona metà sarà occupata da altri edifici demaniali e zone commerciali. Il resto sarà dedicata a scuole, spazi pubblici ed aree verdi, oltre ad un grossa area di parcheggio con data fine cantiere prevista per 2011.
© Engeco
Ci sono poi grossi lavori di urbanizzazione come quelli in corso tra l’Annonciade e Chateau Perigord ove sorgerà un immobile di 6 piani e spazio parcheggio per 130 posti. Infine la riconversione del Vallone di St. Romain che interesserà un’insieme di ville e gruppi di case mal posizionate rispetto l’insieme e che dovranno essere riprese in un quadro urbanistico piu’ coerente con il paesaggio urbano circostante.
Per non parlare poi della realizzazione del nuovo Yacht Club di Monaco. Un progetto futuristico affidato all’architetto Sir Norman Foster che ha immaginato un edificio di 5 piani a basso impatto energetico e con impianti d’avanguardia che siano biocompatibili. Oltre ad essere sede dello Yacht Club, ospiterà il nuovo Museo Navale, il centro nautico ma anche una piscina, terrazze panoramiche, circoli, bar e ristoranti, tutto per impressionare il turista che arriva da mare. Il progetto dovrà concludersi nel 2012…
E aggiungiamo anche la modernizzazione del porto, già in corso, per arrivare infine all’estensione in mare con il progetto del Portier. Un progetto faraonico, stile Dubai, ma che vuole essere esempio di costruzione integrata, non distruttiva, che rispetti l’ambiente marino e che si armonizzi con il paesaggio circostante. Dodici etta ri saranno strappati al mare nella zona detta appunto del Portier, compresa tra l’imbocco del tunnel e il Grimaldi Forum, il Centro Culturale e dei Congressi. La piattaforma galleggiante o isolotto ospiterà abitazioni, scuole, infrastrutture pubbliche e private con tanto di giardini e zone commerciali : in tutto saranno 275000 mq che ospiteranno anche la costruzione di un nuovo Museo Nazionale allestito all’interno di un edificio di superficie equivalente a circa 20 mila mq, totalmente innovativo nella struttura nell’architettuta’, che servirà, secondo gli auspici del Principe Albert II a rafforzare l’immagine di un Principato votato al progresso.
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A Monaco, l’économie italienne est un atout majeur !
Monaco possède une densité de population unique du monde (34 000 habitants dont seulement un septième a le privilège d’être citoyen monégasque), et la plus cosmopolite du monde avec 125 nationalités représentées dont les plus importantes : Française, Italienne, Britannique, Nord Américaines, Belge, Suisse, Allemande... Le français est la seule langue officielle et reste dominante, mais l’italien et l’anglais sont aussi communément compris et parlés. Selon l’origine des locuteurs, le français, l’italien et l’anglais servent de langues véhiculaires. Il faut dire qu’une partie de l’économie monégasque repose sur de la main-d’œuvre migrante, provenant surtout de France et d’Italie : quelque 10 000 “frontaliers”, dont une moitié d’Italiens, viennent travailler chaque jour à Monaco. Bref, la principauté de Monaco est internationale, tant au plan linguistique qu’ethnique. L’expression de “cosmopolitisme urbain” renvoie à un système urbain complexe, ouvert sur le monde et associant différents groupes communautaires. Une cité cosmopolite offre un paysage social et culturel varié, introduisant une façon différente de vivre et d’appréhender la ville. Mais, nous allons, ici, nous intéresser principalement à la communauté italienne et l’économie qu’elle génère.
Depuis plusieurs décennies, l’installation des Italiens à Monaco connaît un essor considérable.
Depuis l’établissement des statistiques monégasques en 1982, on constate une nette progression des ressortissants italiens installés en Principauté. En 1982, on recensait un total de 4 757 Italiens soit 16,47 % de la population. Dès 2000 le nombre était déjà passé à 6 410 soit 20,02 %. A part la population française qui était de 31,95 %, les Italiens représentaient la plus forte densité d’étrangers. Et depuis cette date, elle n’a cessé d’augmenter. Si la population monégasque est composée de beaucoup d’italiens, généralement très riches, c’est en raison d’un système fiscal avantageux ; de nombreuses entreprises italiennes se sont également installées dans la principauté pour les mêmes raisons. 40
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L’histoire de la Principauté de Monaco est étroitement liée avec celle de l’Italie. Voilà déjà plus de 700 ans que la Famille Grimaldi, originaire de Gênes, a pris les rênes de la Principauté. Surmontant les vicissitudes de l’Histoire et les périodes sombres, notamment celles de dominations étrangères, la Principauté, sous la conduite avisée de ses Princes, a su, au cours des siècles, affirmer son identité et préserver son indépendance. Avec une superficie de 200 hectares dont près de 40 ont été gagnés sur la mer au cours des 20 dernières années, la Principauté est le second état indépendant le plus petit au monde après le Vatican. Enclavée dans le territoire français et proche de l’Italie, la Principauté est un pays où l’on dénombre 17 établissements bancaires de droits monégasques et 28 de droit étranger dont 4 à capital 100% ou majoritairement italien, 70 guichets, 3 bureaux de représentation et 20 sociétés de gestion. Le secteur bancaire constitue une partie prépondérante de l’activité économique de la Principauté et attire de nombreux étrangers. On répertorie d’ailleurs quelques 340 000 comptes en banque, soit dix pour un habitant. La Principauté possède une économie diversifiée. De par sa superficie et ses spécificités fiscales, les secteurs des services et des industries à forte valeur ajoutée y sont majoritairement représentés.
Mais où logent-ils ?
Les statistiques ne démontrent pas le nombre de logements occupés par les Italiens, pourtant ils sont d’excellents clients pour les agences immobilières. Les logements disponibles se font rares et onéreux, aussi depuis ces dernières années, 2/5 des acheteurs sont italiens, soit déjà en location ou en instance d’installation. Une clientèle qui semblent avoir plus de moyens !
Pourtant un très petit pourcentage seulement bénéficie d’aides au logement. On compte actuellement près de 25 000 étrangers résidant dans la principauté et parlant des langues très diverses.
Un trafic téléphonique intense
Les communications téléphoniques partant de Monaco vers le monde entier induisent un trafic téléphonique important. Mais sur 34 millions de minutes (grâce aux 33 888 lignes analogiques et numériques), échangées avec l’étranger (hors France), on note 29 % consacrées aux échanges avec l’Italie. Pour ce faire, il a été nécessaire au gouvernement monégasque de repenser l’ensemble des réseaux. Et c’est sans compter les 17 153 minutes générées par la téléphonie mobile, dont la destination est difficilement identifiable.
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Une population cosmopolite
L’enseignement culturel très prisé par les jeunes italiens
Signalons d’abord que les programmes monégasques sont identiques à ceux dispensés dans l’enseignement français. Cependant, ils s’en écartent un peu, car ils comprennent l’étude de l’histoire, des institutions de la principauté de Monaco, ainsi que de la langue monégasque. En effet, afin d’éviter l’extinction du monégasque, les écoles primaires et secondaires sont maintenant tenues d’enseigner cette langue ; elle peut être choisie comme option facultative au baccalauréat. Si les enfants italiens sont répartis dans les différents établissements scolaires, tant publics (1139 étrangers pour 1002 monégasques et
Un service de santé haut de gamme.
Séjour à l’hôpital rime souvent avec nourriture peu alléchante, horaires de repas inadaptés, intrusions intempestives dans les chambres à toutes heures… donc mauvais souvenirs !… Mais le passage dans un service hospitalier monégasque aide facilement a changer d’avis sur l’hôpital. En effet, l’hospitalisation monégasque offre aux patients un service et un confort dignes des établissements hôteliers. Que ce soit pour les cancers, les maladies cardio-thoracique, le service d’hémodialyse ou autres thérapies, les hôpitaux monégasques sont à la pointe de la technologie et possèdent des spécialistes reconnus dans le monde entier. Les italiens n’échappent pas à la règle et fréquentent les services de santé sans modération. En 2005, on note 1 523 entrées d’italiens dans les hôpitaux du service public, et 159 dans le privé.
Les structures d’accueil pour les tous petits
31 enfants italiens de 2 mois à 3 ans bénéficient d’un accueil dans l’ensemble des sept crèches monégasques. Des structures tout à fait confortables et parfaitement sécurisées. La fréquentation dans les garderies est difficilement identifiable. Les enfants ne font que passer et les nationalités ne sont pas répertoriées. Mais il est certain que les parents italiens usent de ces structures plusieurs heures par semaine lorsqu’ils n’emploient pas une baby-sitter.
Les transports et le trafic automobile
Sans véritables statistiques, il est difficile de connaître exactement l’impact des italiens sur les transports et le trafic automobile. Mais au vu de la pénétration italienne dans la Principauté, il est aisé de comprendre que leur incidence sur le réseau ferroviaire, sur les trafics aériens ou automobiles et l’occupation des parkings est importante, contribuant ainsi au chiffre d’affaires des entreprises liées à la circulation en tout genre.
Commerces et économie en tout genre
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Les Italiens expatriés à Monaco sont relativement aisés et dépensiers. Aussi, il est facile d’imaginer leur apport à l’économie de la Principauté. Outre leur contribution au développement industriel en tant qu’investisseurs ou chefs d’entreprise, les achats dans les commerces et restaurants sont des points importants qui mériteraient d’être plus profondément examinés. Les emplois salariés sont également un apport de main-d’œuvre non négligeable, 3 465 hommes et 2 152 femmes sont employés à Monaco dans le secteur privé soit 13.94 % de la masse salariale. Un chiffre relativement stable depuis plusieurs années.
Quand aux maisons de retraite, qui sont également très réputées, on compte 18 italiens contre 33 monégasques et 62 français soit 15.13 %. En ce qui concerne la Fondation Hector Otto, haut de gamme, la fréquentation italienne est de 16 pensionnaires sur un total de 153. Par contre peu de ressortissants reçoivent des aides sociales. Ils peuvent bénéficier des assurances de leur pays si des accords ont été conclu. Et l’allocation chômage n’est versée qu’à 3 d’entre eux.
Quant à la fréquentation hôtelière, elle est de 145 022 nuitées de ressortissants italiens sur un total de 802 714 chambres louées dans l’année. En ce qui concerne les produits d’importation, l’Italie est la mieux placée. Avec 159 686 152 euros, elle se place au premier rang des expor-
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2359 français) que privés (419 étrangers pour 200 monégasques et 706 français), c’est dans l’Académie de Danse que l’on dénombre le plus important pourcentage d’italiens. Sur quarante six élèves de 13 à 24 ans, on compte 19 jeunes italiens contre 1 monégasque et 4 français. On répertorie également une excellente fréquentation des italiens dans l’Académie de Musique Rainier III et, même s’ils sont un peu moins à fréquenter l’Ecole municipale d’arts plastiques, les italiens ne font pas mentir leur réputation d’artiste complet.
tateurs étrangers pour un pourcentage de 21,87, bien avant l’Espagne pour 2,56 % ou le Portugal avec seulement 0.33%. La France n’étant pas répertoriée, l’Italie est également au premier rang des exportations venant de la Principauté et ce, pour 116 115 829 euros soit 20,34%. En conclusion et au vu des chiffres générés par l’activité de la population italienne en Principauté, on ne peut que constater l’amplitude de son impact sur l’économie en général. C’est bien évidemment le groupe communautaire le plus actif de part son importance et sa participation à la vie monégasque. Parfaitement intégrée, cette population fait maintenant partie du paysage et bénéficient de plus en plus des avantages accordés aux monégasques. Est-ce par la proximité du pays ou par les années d’histoire commune qui ont lié les deux patries ? Toujours est-il que rien ne semble endiguer l’installation des italiens en Principauté.
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Una popolazione cosmopolita Monaco ha una densità di popolazione unica al mondo (34 000 abitanti, di cui soltanto un settimo hanno il privilegio di essere cittadini monegaschi), e la popolazione più cosmopolita del globo con 125 nazionalità rappresentate, le più importanti delle quali sono : francese, italiana, britannica, nordamericana, belga, svizzera, tedesca... Il francese è la sola lingua ufficiale e resta predominante, ma anche l’italiano e l’inglese sono comunemente capiti e parlati. Secondo l’origine di chi parla, il francese, l’italiano e l’inglese servono da lingue di comunicazione. C’è da notare che una parte del’economia monegasca si basa su manodopera pendolare, in provenienza soprattutto dalla Francia e dall’Italia : circa 10 000 “frontalieri”, metà dei quali italiani, vengono al lavoro ogni giorno a Monaco. Insomma, il principato di Monaco è internazionale, sia sul piano linguistico che etnico. L’espressione “cosmopolitismo urbano” rimanda ad un sistema urbano complesso, aperto sul mondo e composto di diversi gruppi comunitari. Una città cosmopolita offre un paesaggio sociale e culturale diversificato, che introduce un modo diverso di vivere e concepire il tessuto urbano. Ma ci interesseremo, in questa sede, principalmente alla comunità italiana ed all’economia da essa generata.
Da diversi decenni, l’insediamento degli italiani a Monaco registra un considerevole sviluppo.
Dalla creazione delle statistiche monegasche nel 1982, si constata una netta progressione dei cittadini italiani stabiliti nel principato. Nel 1982, si recensiva un totale de 4 757 italiani, cioè il 16,47 % della popolazione. Già nel 2000 questo numero era passato a 6 410, pari al 20,02 %. A parte la popolazione francese, che era del 31,95 %, gli italiani rappresentavano la più forte densità di stranieri. E da allora, non hanno smesso di aumentare. Monaco accoglie tanti italiani, generalmente molto ricchi, a causa di un sistema fiscale vantaggioso ; numerose aziende italiane si sono stabilite nel principato per le stesse ragioni.
Ma dove abitano ?
Le statistiche non precisano il numero di alloggi occupati da italiani, anche se essi rappresentano un’ottima clientela per le agenzie immobiliari. Gli alloggi disponibili sono diventati rari ed onerosi, dunque in questi ultimi anni, due acquirenti su cinque sono italiani, che già occupano 42
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La storia del Principato di Monaco è strettamente legata con quella italiana. Sono passati più di 700 anni da quando la Famiglia Grimaldi, originaria di Genova, ha preso in mano le redini del Principato. Superando le vicissitudini della Storia ed i periodi oscuri, in particolare quello delle dominazioni straniere, il Principato, sotto l’accorta guida dei suoi Principi, ha saputo, nel corso dei secoli, affermare la propria identità e salvaguardare la propria indipendenza. Con una superficie di 200 ettari, quasi 40 dei quali sono stati conquistati sul mare nel corso degli ultimi 20 anni, il Principato è il secondo nella lista dei più piccoli stati indipendenti del mondo, dopo il Vaticano. Incastonato nel territorio francese e vicino all’Italia, Monaco resta iun pueseche annovera 17 istituti bancari di diritto monegasco e 28 stranieri tra cui 4 con capitale al 100% o maggioritariamente italiano, 70 sportelli, 3 uffici di rappresentanza e 20 società di gestione. Il settore bancario rappresenta una parte preponderante dell’attività economica del principato e attira numerosi stranieri. Si contano d’altronde circa 340 000 conti bancari, cioè dieci per abitante. Il principato vanta però un’economia diversificata. In ragione della sua superficie e delle sue specificità fiscali, i settori dei servizi e delle industrie a forte valore aggiunto sono maggioritariamente rappresentati. un alloggio in affitto o che sono in corso di insediamento. Una clientela che sembra avere più mezzi ! Eppure soltanto una piccola percentuale è beneficiaria di aiuti statali per l’alloggio. Si contano attualmente circa 25 000 stranieri residenti nel Principato, che parlano lingue molto diverse tra loro.
Un traffico telefonico intenso
Le comunicazioni telefoniche in partenza da Monaco verso il mondo intero danno luogo ad un traffico telefonico considerevole. Ma su 34 milioni di minuti di comunicazione (grazie a 33 888 linee analogiche e digitali), scambiati con l’estero (Francia escusa), si nota un 29 % da ascrivere agli scambi con l’Italia. Per consentire questi scambi, il governo monegasco ha dovuto riconcepire l’insieme dei suoi impianti. Senza considerare i 17 153 minuti generati dalla telefonia mobile, la cui destinazione è difficilmente identificabile.
Un insegnamento molto apprezzato dai giovani italiani
Segnaliamo innanzitutto che i programmi monegaschi sono identici a quelli applicati nelle scuole francesi. Tuttavia, se ne distaccano un pò, perchè comportano lo
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A Monaco, l’economia italiana è un fattore essenziale !
studio della storia e delle istituzoni del principato di Monaco, nonchè della lingua monegasca. Infatti, per evitare l’estinzione del monegasco, le scuole elementari e secondarie sono tenute ora ad insegnare la lingua nazionale, che può anche essere scelta come materia facoltativa all’esame di maturità. I ragazzi italiani sono suddivisi nei diversi istituti scolastici, sia pubblici (1139 stranieri a fronte di 1002 monegaschi e 2359 francesi) che privati (419 stranieri contro 200 monegaschi e 706 francesi), ma la più forte percentuale di italiani si ritrova all’Accademia di Danza. Su 46 allievi da 13 a 24 anni, si contano 19 giovani italiani contro 1 monegasco e 4 francesi. Si riscontra anche un’eccellente affluenza di italiani all’Accademia di musica Rainier III e, anche se sono un pò meno numerosi a frequentare la Scuola municipale di arti plastiche, gli italiani non smentiscono così la loro fama di artisti completi.
Un servizio sanitario di alto livello
Soggiorno all’ospedale significa spesso cibo poco appetitoso, orari dei pasti inadeguati, intrusioni intempestive nelle camere a qualsiasi ora… dunque brutti ricordi !… Ma il passaggio in una struttura ospedaliera monegasca aiuta a cambiare opinione sull’ospedale. In effetti, il ricovero a Monaco offre ai pazienti un servizio ed un confort degni di un albergo. Che sia nei servizi oncologici, per le affezioni cardio-toraciche, il servizio di emodialisi o altre terapie, gli ospedali monegaschi sono tecnologicamente avanzati e annoverano degli specialisti riconosciuti nel mondo intero. Gli italiani non sfuggono alla regola e sono in molti a frequentare questi servizi.
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Quanto alle case di riposo, che godono anch’esse ottima reputazione, vi si contano 18 italiani contro 33 monegaschi e 62 francesi, pari al 15.13 %. Per quanto riguarda la Fondation Hector Otto, di alto livello, la presenza italiana rappresenta 16 pensionanti su un totale di 153. Tuttavia pochi cittadini italiani ricevono degli aiuti dai servizi sociali. Possono beneficiare di assicurazioni del loro paese se esistono degli accordi in merito. E il contributo di disoccupazione è versato soltanto a tre di loro.
Le strutture d’accoglienza per i più piccoli
31 bambini italiani fra i 2 mesi ed i 3 anni sono accolti in totale nei sette nidi monegaschi. Si tratta di strutture assolutamente confortevoli e perfettamente sicure. La frequenza nei dopo-scuola è difficilmente quantificabile. I bambini vi passano solo qualche ora e le nazionalità non sono repertoriate. Ma è certo che i genitori italiani utilizzano queste strutture diverse ore per settmana, quando non fanno ricorso ad una baby-sitter.
E’ facile dunque immaginare il loro apporto all’economia del principato. Oltre al loro contributo allo sviluppo industriale come investitori o capi d’azienda, gli acquisti negli esercizi commerciali e ristoranti sono elementi importanti che meriterebbero di essere esaminati più in profondità. Gli impieghi come dipendenti rappresentano ugualmente un apporto di manodopera non trascurabile : 3 465 uomini e 2 152 donne sono impiegati a Monaco nel settore privato, cioè il 13.94 % della massa salariale. Una cifra relativamente stabile da diversi anni.
In conclusione e considerando le cifre generate dall’attività della popolazione italiana nel principato, è impossibile non constatare la valenza del suo impatto in tutti i settori dell’economia. E’ con tutta evidenza il gruppo comunitario più attivo, per importanza e partecipazione alla vita monegasca. Perfettamente integrata, questa popolazione fa ormai parte del panorama economico, ed usufruisce sempre di più dei vantaggi concessi ai monegaschi. Il motivo va ricercato nella prossimità geografica o negli anni di storia comune tra le due nazioni ?
Quanto all’occupazione degi alberghi, è di 145 022 pernottamenti di cittadini italiani su un totale di 802 714 camere occupate durante l’anno. Per quanto riguarda i prodotti d’importazione, l’Italia è al primo posto. Con 159 686 152 euro, si colloca in prima fila tra gli esportatori stranieri, con una percentuale del 21,87, distanziando la Spagna col 2,56 %, o il Portgallo con soltanto lo 0.33%. La Francia non è repertoriata. L’Italia è anche al primo posto per le esportazioni provenienti dal principato, con 116 115 829 euro, pari al 20,34%.
Sta di fatto che niente sembra arrestare il flusso degli italiani nel principato.
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Per il 2005, si registrano 1 523 ricoveri di italiani negli ospedali del servizio pubblico e 159 nel privato.
Nelly Nussbaum
In mancanza di vere e proprie statistiche, è difficile quantificare esattamente l’impatto degli italiani sui trasporti ed il traffico automobilistico. Ma considerando la penetrazione italiana nel principato, è facile dedurre che la loro incidenza sulla rete ferroviaria, sul traffico aereo o automobilistico e l’occupazione dei parcheggi è considerevole, contribuendo così al fatturato delle aziende legate a tutti i generi di circolazione.
Commercio ed economia in generale
Gli italiani espatriati a Monaco sono relativamente agiati e disposti a spendere. 44
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I trasporti ed il traffico automobilistico
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Giulio Andreottti, Sénateur et ex Président du Conseil Doté d’une grande intelligence et orateur de qualité, Giulio Andreotti, avec un style qui n’appartient qu’à lui, a présenté son dernier livre, recueil de ses mémoires, intitulé “ 1953 : fu legge truffa?”. A l’ouverture de la Conférence, le Sénateur a tenu à souligner comment, alors qu’il était sous-secrétaire à la Présidence du Conseil, et avait à peine plus de quarante ans, il consignait et annotait chaque évènement sur ses agendas “Ainsi que m’avait suggéré de le faire mon ami Leo Longanesi’. Et grâce à ce témoin, il nous offre un excellent croquis des vicissitudes et des tournants historiques qui ont marqué l’Italie en 1953. Ce fut certainement une année charnière dans l’Italie de l’aprèsguerre. Le Pays, éprouvé et profondément affecté par les conséquences de la Seconde Guerre Mondiale, se lançait avec ferveur dans la reconstruction de l’économie alors que la politique vivait de grands changements. La réforme électorale de 1953, voulue avec insistance par le Parti Social Démocrate, fut dénommée par les adversaires politiques de gauche “Legge truffa” puisqu’elle ne fut soutenue que par les seuls votes de la majorité. En réalité, selon le sénateur Andreotti il est un fait que la Dc, en cette période, ne paraissait plus en situation de renouveler l’extraordinaire succès qu’elle avait enregistré en obtenant la majorité absolue le 18 Avril 1948. C’est alors qu’apparurent les prémices d’un débat parlementaire
Le Sénateur et ex Président du Conseil Giulio Andreotti a présenté dans la salle “Belle Epoque” de l’Hôtel Hermitage son dernier livre intitulé: “1953 : fu legge truffa ?”. Giulio Andreotti, homme politique italien parmi les plus célèbres, naquit à Rome le 14 janvier 1919. Actuellement Sénateur à vie, il a été à sept reprises Président du Conseil (la première fois en 1972), huit fois Ministre de la Défense, cinq fois Ministre des Affaires Etrangères, deux fois Ministre des Finances, du Budget et de l’Industrie, une fois Ministre du Trésor et une fois Ministre de l’Intérieur. Il siège au Parlement depuis 1946.. très difficile : la loi ne fut finalement approuvée par la Chambre que le 21 janvier 1953 et par le Sénat le 29 mars. Une situation pas très différente des évènements politiques actuels. De la même manière s’ensuivirent des mois d’affrontements violents, de rixes physiques et verbales, de votes de confiance battus en brèche par l’obstructionnisme communiste qui y faisait opposition, de défections significatives même au sein du bloc centriste. Puis, finalement, on procéda au vote. Le 7 juin les monarchistes confirmèrent les pronostics en obtenant 6,9% (en 1948 ils n’avaient enregistré que 2,8%). La Dc et ses alliés obtinrent 49,8%, frôlant ainsi la victoire, mais s’écroulant par rapport à 1948 quand elle avait obtenu 60%. Ce fut alors que le Président du Conseil De Gasperi donna sa démission: l’ère du centrisme prenait fin tandis que l’Italie s’abandonnait à l’ivresse, fruit d’un miracle économique tant attendu. Aujourd’hui et plus que jamais elle aurait été l’une des très nombreuses réformes électorales mais “cette” loi en parti-
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culier fut approuvée au cours des années convulsives qui ont marqué la longue transition vers la Seconde République, si tourmentée par ses querelles internes. Alors on pouvait parler, selon Andreotti, de “Faiblesse Stable”, avec un système politique tout à reconsidérer. Nous étions dans les années 50 et depuis plus d’un demi siècle s’est écoulé : “Aujourd’hui soutient le Sénateur - le système n’est en réalité plus mis en discussion: on poursuit plutôt des politiques personnelles”. Au cours de ces années, conclut Andreotti négligeant de commenter la situation politique actuelle en Italie, la stratégie fut de mettre la politique étrangère au centre des convergences et du débat politique. C’est en ces temps que se placent l’élection de Tito - qui ouvrit la voie à la “question de Trieste” - la Guerre Froide et la période de “dégel” que la mort de Staline semblait avoir favorisé. La stratégie d’aujourd’hui, par contre, consiste à bâtir et à renforcer l’Europe et ses valeurs, retenus comme modèle politique de référence. A la conférence, organisée par l’Association Monaco Italie, assistaient, parmi un public nombreux et attentif, d’éminentes personnalités telles que SEM Henry Fissore, le Secrétaire d’Etat René Novella, l’Ambassadeur Mario Polverini, le Président du Comites Niccolò Chiusano et pour l’Association Monaco-Italie Enrico Braggiotti.
Giulio Andreottti, Senatore et ex Presidente del Consiglio Di grande intelligenza e raffinato parlatore, Giulio Andreotti, con il suo stile inconfondibile, ha presentato l’ultimo libro, tratto dalle sue memorie, dal titolo “1953 : fu legge truffa ?” Il Senatore, in apertura della Conferenza ci ha tenuto a sottolineare come allora , poco piu’ che quarantenne sottosegretario alla Presidenza del Consiglio, ogni evento fosse annotato sui suoi diari “Così come mi aveva suggerito di fare l’amico Leo Longanesi”. E grazie a questa testimonianza il suo è un eccellente spaccato sulle vicende e Le Sénateur Andreotti
le svolte storiche avvenute in Italia nel 1953, anno certamente chiave nell’Italia del Dopoguerra. Il Paese, provato e segnato profondamente dalle conseguenze della Seconda Guerra Mondiale, si buttava infatti con fervore nella ricostruzione economica mentre la politica attraversava profondi cambiamenti. E quella riforma elettorale del 1953, voluta con insistenza dal Partito Socialdemocratico, fu bollata dagli avversari politici di sinistra come “Legge Truffa” giacchè sostenuta con i soli voti della maggioranza. In realtà, secondo il senatore Andreotti è un fatto che la Dc, in quella fase, non sembrava più in grado di ripetere lo straordinario successo di maggioranza assoluta conquistata nel 18 aprile 1948. Erano infatti queste le premesse del durissimo dibattito parlamentare : la legge infatti fu approvata soltanto il 21 gennaio 1953 dalla Camera e il 29 marzo dal Senato. Non tanto diversamente dalle vicende politiche attuali anche allora seguirono mesi di scontri accesi, di risse fisiche e verbali, di voti di fiducia contrapposti all’ostruzionismo comunista, di significative defezioni anche all’interno del blocco centrista. Poi, finalmente, si andò al voto. Il 7 giugno i monarchici confermarono i pronostici arrivando al 6,9% (nel 1948 si erano fermati al 2,8%). La Dc e i suoi alleati raggiunsero il 49,8%, sfiorando per un soffio la vittoria, ma crollando rispetto
Il Senatore ed ex Presidente del Consiglio Giulio Andreotti ha presentato presso la Sala “Belle Epoque” dell’Hotel Hermitage il suo ultimo libro dal titolo: “ 1953: fu legge truffa?”. Giulio Andreotti, uomo politico italiano fra i più conosciuti, nasce a Roma il 14 gennaio 1919. Attualmente Senatore a vita, è’ stato per ben sette volte Presidente del Consiglio (la prima nel 1972), otto volte Ministro della Difesa, cinque volte Ministro degli Esteri, due volte delle Finanze, del Bilancio e dell’Industria, una volta Ministro del Tesoro e una Ministro dell’Interno, sempre in Parlamento dal 1946 ad oggi. al 1948 quando avevano ottenuto il 60%. Fu allora che il Presidente del Consiglio De Gasperi si dimise, la stagione del centrismo finì mentre l’Italia si abbandonava all’ebbrezza di un miracolo economico così tanto atteso. Oggi piu’ che mai sarebbe stata una delle tante leggi elettorali ma in particolare ‘quella’ legge fu varata nei convulsi
anni della lunga transizione alla Seconda Repubblica, così travagliata per le sue intrinseche divisioni interne. Allora si poteva parlare, secondo Andreotti, di ‘Stabile Debolezza’ o meglio di faiblesse stable, con un sistema politico ancora tutto da discutere. Correvano gli anni’50 ed è passato più di mezzo secolo : “Oggi - sostiene ancora il Senatore - in realtà il sistema non è piu’ messo in discussione, semmai ci sono politiche piu’ personali”. In quegli anni, conclude Andreotti tralasciando di commentare l’attuale situazione politica in Italia, la strategia fu di mettere la politica estera al centro delle convergenze e delle forze politiche. Erano quelli i tempi legati alle elezioni di Tito - che diede il via alla “questione triestina” - e la fase di “disgelo” che la morte di Stalin sembrava aver favorito, nella cosiddetta Guerra Fredda, i primi segni di distensione. Ad oggi, è costruire e rafforzare come modello politico di riferimento l’Europa ed i suoi valori. Alla conferenza, organizzata dall’Associazione Monaco Italie, hanno assistito, oltre ad un attento e folto pubblico, eminenti personalità come SEM Henry Fissore, il Segretario di Stato Renè Novella, l’Ambasciatore Mario Polverini, il Presidente del Comites Niccolò Chiusano e per l’Associazione MonacoItalie Enrico Braggiotti.
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Filippo Maria Pandolfi Ministre italien et ancien membre de la Commission Delors de l’Union Européenne de 1985 à 1995 en qualité de commissaire.
En présentant un tableau d’ensemble détaillé, le Ministre Filippo Maria Pandolfi a commenté devant un public attentif la mise à jour du rapport diffusé en 2003 par la Goldman Sachs. Les B.R.I.C., c’est à dire le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine, sont les pays émergents qui, selon le rapport Goldman susmentionné dépasseront rapidement le Japon et l’Occident en termes de développement économique et commercial. D’ici 2050, seuls les EtatsUnis et le Japon pourront enregistrer un niveau de leurs économies supérieur à celui des B.R.I.C. Parmi ces quatre pays, l’Inde, pays démocratique de langue anglaise, à laquelle de nombreuses sociétés se sont adressées pour décentraliser leurs personnels spécialisés, en particulier dans le secteur technologique, est certainement en pole position. En revanche, le marché russe, trop bureaucratique selon Pandolfi, offre de faibles possibilités aux entreprises du secteur des ressources naturelles et énergétiques, tandis que le grand marché boursier intérieur de la Chine est fermé à la majorité des investisseurs étrangers en raison aussi, selon les Anglais, toujours pragmatiques, d’une stabilité politique jugée peu fiable. De plus il faut noter, en Chine et en Inde, la prédominance des industries anufacturières. Filippo Maria Pandolfi - Ministre italien et ancien membre de la Commission Delors de l’Union Européenne de 1985 à 1995 en qualité de commissaire - invité le 24 Janvier dernier de la Società Dante Alighieri, a tenu une conférence à la Salle des Variétés sur le thème “Les nouveaux protagonistes de l’économie mondiale: les B.R.I.C., vers une ascension irrésistible ?”. Qui sont les plus performants, en terme de marché, parmi les pays émergents ? La réponse : les pays regroupés sous le sigleBRIC, c’est à dire le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine. Le Ministre italien Filippo Maria Pandolfi nous illustre leurs caractéristiques.
La lanterne rouge est le Brésil. Au cours de ces dernières années, ce pays a enregistré un faible produit intérieur brut et une hausse de l’inflation, mais récemment son économie se stabilise et la plupart des obstacles historiques qui s’opposaient à sa réussite disparaissent progressivement. 48
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Ce qui, selon la revue Business Week, pourra permettre au Brésil de devenir un incubateur intéressant pour les start-up. Pour le Ministre Pandolfi, la prochaine étape est l’adhésion de la Russie à la WTO (World Trade Organization) et, pour tous ces pays, la possibilité d’adhérer au FMI (Fonds Monétaire International) et à la Banque Mondiale est une garantie de leur faculté d’adaptation aux marchés. Enfin, conclut Pandolfi, il est souhaitable qu’entre la Chine, l’Inde et le Japon s’établisse une sorte d’entente régionale, une zone économique qui serait la base fondamentale pour réaliser l’équilibre géopolitique et économique du bloc asiatique.
Filippo Maria Pandolfi, Ministro italiano e, in seno alla Commissione Delors dell’Unione Europea, dal 1985 al 1995 Che cosa c’è di più performante dei mercati d’emergenti? La risposta è i paesi BRIC e cioè il Brasile, la Russia, l’India e la Cina. Ad illustrare le loro caratteristiche il Ministro italiano Filippo Maria Pandolfi. Attraverso una panoramica approfondita il Ministro Filippo Maria Pandolfi ha presentato ad un attento pubblico l’aggiornamento del rapporto che la Goldman Sachs ha diffuso nel 2003. I B.R.I.C., cioè il Brasile, la Russia, l’India e la Cina sono i paesi emergenti che secondo il suddetto rapporto Goldman presto sorpasseranno il Giappone e l’ovest nello sviluppo economico e commerciale e che, entro il 2050, soltanto gli Stati Uniti ed il Giappone potrebbero avere economie più grandi del B.R.I.C.
In pole position tra i quattro paesi sicuramente l’India, paese democratico di lingua inglese, a cui molte aziende si sono indirizzate per decentrare il persona le specializzato, cosiddetto outsourcing, soprattutto in ambito tecnologico. Il mercato russo invece, troppo burocratico secondo Pandolfi, offre poche possibilità nelle aziende del settore risorse naturali ed energia, mentre il grande mercato azionario domestico della Cina è chiuso alla maggior parte dei investitori stranieri anche per il limite che i pragmatici inglesi indicano nella debole affidabilità della stabilità politica. Inoltre da notare inoltre che sia la Cina che l’India dominano le industrie manifatturiere. Filippo Maria Pandolfi, Ministro italiano e, in seno alla Commissione Delors dell’Unione Europea, dal 1985 al 1995, ex Commissario in carica. Invitato lo scorso 24 gennaio dalla Società Dante Alighieri ha tenuto, presso la Salle de Varieté, una conferenza dal titolo ‘I nuovi protagonisti dell’economia mondiale : i B.R.I.C., una irresistibile ascesa ?”. Che cosa c’è di più performante dei mercati d’emergenti ? La risposta è i paesi BRIC e cioè il Brasile, la Russia, l’India e la Cina. Ad illustrare le loro caratteristiche il Ministro italiano Filippo Maria Pandolfi.
Fanalino di coda il Brasile: negli ultimi anni ha avuto un minor prodotto interno lordo e un’inflazione più alta ma recentemente l’economia del Brasile si sta stabilizzando e molti degli impedimenti storici per il successo economico stanno sparendo e questo, anche secondo la rivista Business Week, potrà permettere al Brasile di diventare un’incubatrice interessante per le start-up. Per il Ministro Pandolfi prossimo step è l’adesione della Russia al WTO (World Trade Organization) e per tutti il fatto che possano aderire al FMI (Fondo Monetario Internazionale) e alla Banca Mondiale è garanzia che questi sistemi si adeguino ai mercati. Infine, conclude Pandolfi, auspicabile che tra Cina India e Giappone si strutturi una sorta di intesa regionale, un’Area Economica Regionale, base fondamentale per costituire l’equilibrio geopolitica e geoeconomico dell’aria asiatica.
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Fisc italien : le dispositif de l’automne ne profite pas aux professions libérales de Monaco Nous connaissions déjà les problématiques liées à l’émission de factures libellées à l’ordre d’entreprises italiennes, en d’autres termes à la difficulté, rencontrée par ces dernières, de déduire en comptabilité les “frais et autres charges découlant d’opérations réalisées entre entreprises résidentes en Italie et entreprises domiciliées fiscalement dans des états ou des territoires n’appartenant pas à l’Union Européenne et bénéficiant de régimes fiscaux privilégiés” (Texte Unique consacré à l’Impôt sur le Revenu). Nous savions également qu’il existait et qu’il existe encore aujourd’hui la possibilité d’échapper à l’application de cette disposition anti-élusive, sous réserve que le contribuable italien fasse la preuve que “les entreprises étrangères développent avant tout une activité commerciale effective, ou bien que les opérations déclarées répondent à un intérêt économique effectif et qu’elles aient été réellement exécutées”. Au moyen du rectificatif à la Loi de Finances 2007, l’actuelle majorité de centre gauche, à quelques mois de son installation, a donné un nouveau tour de vis aux dispositions déjà drastiques dans ce domaine. Cherchons donc à comprendre quels sont les changements intervenus à partir du mois d’Octobre 2006, date d’entrée en vigueur de ces mesures (décret loi du 2/10/06 n 262). Ces nouvelles mesures concernent également les charges relatives aux prestations des professions libérales, domiciliées dans des pays ou territoires répertoriés dans la “Liste Noire” (décret ministériel du 23 Janvier 2002) - dont la Principauté de Monaco fait hélas partie. Pour ce qui concerne les entités économiques qui réalisent moins de 25% de leur chiffre d’affaires à l’extérieur de ses frontières - qui ne peuvent plus être déduites par le contribuable italien, à moins qu’il ne soit en mesure de fournir à l’administration fiscale la preuve susmentionnée, en ayant également recours, à titre conservatoire, au rescrit (“ruling”). Dans la formulation originale, ne considérant que les entreprises commerciales, la disposition ne faisait pas expressément référence aux professions libérales, générant donc diverses interprétations, et ainsi des incertitudes sur son applicabilité. 50
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A compter du 2 Octobre 2006, il n’y a plus aucun doute à cet égard, mais il convient toutefois d’apporter quelques précisions importantes sur le champ d’application de cette règle. Pour le fisc italien, la définition de “professions libérales” recouvre non seulement les personnes appartenant aux professions dites “règlementées”, mais également celles qui agissent à titre professionnel dans la pratique d’arts et dans toutes professions, en d’autres termes, les “travailleurs indépendants”. Par contre, pour ce qui concerne les personnes qui bénéficient des prestations professionnelles, les dispositions se réfèrent aux “entreprises résidentes”. Il est important de savoir que cette dénomination doit être retenue dans son sens le plus large. Elle vise celui ou celle qui exerce à titre professionnel une activité économique conduite dans le but de produire ou d’échanger des biens et des services, et inclut donc les établissements stables en Italie d’entreprises non résidentes. En effet, bien que l’établissement stable ne soit pas un sujet résident, il génère un chiffre d’affaires (taxé en Italie) tout comme l’entreprise résidente: il est donc assujetti à la disposition anti-élusive que l’on vient d’évoquer. Dans le cas contraire, il s’établirait une discrimination entre entreprises résidentes et établissements stables d’entreprises non résidentes qui pourraient déduire les charges dérivant d’opérations réalisées avec les Pays de la “Liste Noire”, voir avec les “entreprises mères”, sans activer les procédures prévues. Comme nous l’avons déjà mis en évidence, la disposition anti-élusive ne s’applique pas lorsque le contribuable italien fournit la preuve que “les entreprises étrangères développent une activité commerciale effective, ou bien que les opérations déclarées répondent à un intérêt économique réel et que celles-ci ont été concrètement accomplies”. Eu égard à la première condition, la référence à la réalité de l’activité commerciale signifie que la prestation doit être liée à une activité, non occasionnelle, ancrée dans le pays au moyen, par exemple, d’une structure fixe (bureaux, personnels, etc…). Par contre, en ce qui concerne la deuxième condition, la “preuve” porte sur la justification
des motifs qui ont entraîné la décision d’avoir recours aux prestations fournies précisément par ces professionnels résidant à l’étranger. L’évaluation de l’intérêt effectif de l’entreprise cliente doit être en rapport tant avec la qualité de l’opération qu’avec l’importance de la rémunération versée, par exemple, la spécificité, l’unicité et/ou l’intérêt économique de la prestation en relation avec des exigences particulières liées au marché ou à la situation patrimoniale de l’entreprise. Enfin, la troisième condition est facilement démontrable par la production de la documentation afférente au travail demandé et au paiement du prix correspondant.
Fisco italiano : la manovra di autunno non porta buoni frutti ai professionisti monegaschi Eravamo già al corrente delle problematiche legate all’emissione di fatture ad aziende italiane vale a dire dell’indeducibilità - o meglio delle difficoltà a dedurre in contabilità - delle “spese e degli altri componenti negativi di reddito derivanti da operazioni intercorse tra imprese residenti ed imprese domiciliate fiscalmente in Stati o territori non appartenenti all’Unione Europea e aventi regimi fiscali privilegiati” (Testo Unico delle Imposte sui Redditi). Sapevamo anche che esisteva, e che esiste tuttora, la possibilità di disapplicare la citata disposizione antielusiva, qualora il contribuente italiano dimostri che “le imprese estere svolgono prevalentemente un’attività commerciale effettiva, ovvero che le operazioni poste in essere rispondono a un effettivo interesse economico e che le stesse hanno avuto concreta esecuzione”. Con il cosiddetto “collegato” alla finanziaria 2007, l’attuale maggioranza di centrosinistra, a pochi mesi dal suo insediamento, ha dato un ulteriore giro di vite alle già drastiche disposizioni in materia. Cerchiamo quindi di capire cosa cambia a partire dal mese di ottobre 2006, data di entrata in vigore del provvedimento (decreto legge del 2/10/06 n. 262).
E’ presto detto. Anche le spese relative alle prestazioni dei liberi professionisti domiciliati in Paesi o territori indicati nella “Black list” (decreto ministeriale 23 gennaio 2002) - di cui il Principato di Monaco fa purtroppo parte, limitatamente alle realtà economiche che realizzano meno del 25% del fatturato fuori dai suoi confini - non possono più essere dedotte dal contribuente italiano, a meno che questi fornisca all’agenzia delle Entrate la prova di cui sopra, anche ricorrendo, in via preventiva, alla procedura d’interpello (“ruling”). Nell’originaria formulazione, parlando solo d’imprese commerciali, la norma non faceva espresso riferimento ai professionisti, generando interpretazioni diverse e quindi incertezze sull’applicabilità. Dal 2 ottobre 2006, non c’è più alcun dubbio al riguardo, ma occorre tuttavia fare alcune importanti precisazioni sul campo di applicazione del provvedimento. Per il Fisco italiano, nella definizione di professionisti, rientrano non solo i soggetti appartenenti alle proffesioni cosiddette “regolamentate”, ma tutti coloro che agiscono professionalmente nell’esercizio di arti e professioni, in altre parole, i cosidetti “lavoratori autonomi”.
Per quanto attiene invece i soggetti che ricevono le prestazioni professionali, le disposizioni si riferiscono alle “imprese residenti”. E’ importante sapere che la predetta espressione va intesa nel significato più generale. Essa comprende chiunque eserciti professionalmente un’attività economica organizzata al fine della produzione o dello scambio di beni e servizi, ed include pertanto le stabili organizzazioni italiane di imprese non residenti. Infatti, sebbene la stabile organizzazione non sia un soggetto residente, essa produce reddito (tassato in Italia) come l’impresa residente, e resta pertano assoggettata alla disposizione antielusiva in esame. Diversamente, si determinerebbe una discriminazione tra società residenti e stabili organizzazioni italiane di imprese non residenti, che potrebbero dedurre le spese derivanti da operazioni intercorse con i Paesi della Black list, vedi con le “imprese madri”, senza attivare le previste procedure. Come già evidenziato, la disposizione antielusiva non si applica quando il contribuente italiano fornisce la prova che “le imprese estere svolgono un’attività commerciale effettiva, ovvero che le operazioni poste in essere rispondono ad un effettivo interesse economico e che le stesse hanno avuto concreta esecuzione”.
In relazione alla prima condizione, il riferimento alla effettività dell’attività commerciale significa che la prestazione deve essere connessa a un’attività, non estemporanea, ma radicata nel paese mediante, per esempio, una struttura fissa (uffici, personale, ecc.). Per quanto attiene invece alla seconda condizione, la “prova” porta a valorizzare i motivi a fronte della decisione di avvalersi delle prestazioni rese da quei determinati soggetti esteroresidenti. La valutazione dell’effettivo interesse dell’impresa acquirente deve avere riguardo sia alla bontà dell’operazione che alla entità del compenso corrisposto, per esempio, la specificità, unicità e/o convenienza economica della prestazione in riferimento a particolari esigenze di mercato o situazioni patrimoniali della azienda. Infine, la terza condizione è facilmente dimostrabile con la produzione della documentazione relativa al lavoro richiesto e al pagamento del prezzo. Fabrizio Carbone
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Entretien avec M. Edoardo Loewenthal, 43 ans, Administrateur Délégué de la Compagnie Monégasque de Banque (CMB) depuis Janvier 2006
Que pourriez-vous suggérer aux entrepreneurs qui envisagent de s’installer à Monaco pour entreprendre une nouvelle activité ?
La Compagnie Monégasque de Banque (CMB) est née en 1976, principalement sur l’initiative de la “Banca Commerciale Italiana”. Actuellement c’est Mediobanca qui détient 100% de ses actions : quelle est l’influence italienne sur les stratégies et sur le développement de la CMB à Monaco ?
• Il n'existe aucun lien entre les stratégies du Groupe Mediobanca en Italie et le développement de la CMB à Monaco. En fait, Mediobanca, en tant qu’actionnaire, par définition n’a aucune responsabilité opérationnelle dans la gestion et dans les stratégies de la CMB, d’autant plus que nous avons des statuts de droit monégasque.
La CMB a conclu un accord visant l’achat des activités de “private banking” du groupe ABN AMRO à Monaco. Pouvez-vous nous confirmer que cette transaction a déjà eu lieu ? Dans ce cas, quelles seront ses conséquences en termes de gestion ?
• L'opération s’est bien déroulée comme prévu et l’accord a été finalisé les premiers jours de décembre. Au point de vue de la gestion, CMB a donc acquis plus d’une centaine de millions d’euros de portefeuille actif, ce qui lui a permis de consolider sa position parmi les banques leaders du marché monégasque, en augmentant sa clientèle d’environ 1000 clients. Cette transaction entre dans son plan de développement et dans sa stratégie de croissance, tant au plan local qu’à l’étranger, surtout en Europe du Nord.
Quelle est actuellement votre stratégie commerciale en direction des entreprises ?
• La CMB est surtout spécialisé dans le “Private Banking”. Ceci n’exclut pas toutefois que l’activité de “Corporate” soit partie intégrante des nos activités principales. Grâce à notre expérience, un cer52
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tain nombre d’entrepreneurs ont requis nos services et nous leur offrons une assistance complète, juridique et administrative, pour accompagner l’installation de leurs activités à Monaco.
La Compagnie Monégasque de Banque et le Grimaldi Forum Monaco viennent de renouveler pour 2007 leur accord de partenariat …
• Pour la troisième année consécutive, la Compagnie Monégasque de Banque a renouvelé l’accord de partenariat et de soutien aux actions et aux manifestations, tant professionnelles que culturelles, du Grimaldi Forum Monaco. La CMB est notamment le partenaire officiel de l’évènement phare de cet été, l’Exposition “Les années Grace Kelly”, qui se déroulera du 12 juillet au 9 septembre 2007. Encore une fois, le Grimaldi Forum va contribuer au rayonnement international de l’image de la Principauté de Monaco, soit comme foyer de culture soit en tant que destination d’accueil privilégié pour les évènements professionnels.
• Il ne faudra pas manquer de suivre attentivement l'évolution du nouveau système de taxation prévu à Monaco pour attirer le “Private Equity”. Il serait du reste en harmonie avec les ambitions du Prince Albert II, qui veut faire de la Principauté une des places financières les plus importantes au monde. Le “Capital Venture” pourrait représenter un autre support précieux pour les entreprises, qui ont l’intention d’opérer à Monaco dans les domaines de la recherche et des nouvelles technologies. Il ne faut pas oublier non plus le secteur immobilier, un marché sérieux et dynamique à Monaco, même s’il propose souvent des produits inaccessibles pour des clients ordinaires. Ce n’est pas par hasard que la CMB a créé un concept innovateur de fonds immobilier, permettant même à ceux qui ne disposent que de petits capitaux d’accéder à une gamme diversifiée de produits.
Edoardo Loewenthal, 43 anni, ci accoglie nella sede centrale della Compagnie Monégasque de Banque (CMB) dove, da Gennaio 2006, ricopre il ruolo d’Administrateur Delegato La Compagnie Monégasque de Banque (CMB) venne creata nel 1976 soprattutto su iniziativa della “Banca Commerciale Italiana” ed attualmente Mediobanca detiene il 100% dell’azionariato : c’è una diretta influenza italiana nelle strategie e sullo sviluppo della stessa CMB a Monaco ?
• Non esiste alcun legame tra le strategie del Gruppo Mediobanca in Italia e lo sviluppo della CMB a Monaco.
La CMB ha concluso un accordo circa l’acquisizione delle attività di Private Banking del gruppo ABN AMRO Bank di Monaco. Ci può confermare che l’accordo è già stato perfezionato ? In caso affermativo, quali sono le conseguenze che la suddetta operazione comporterà in termini di gestione ?
• Si, l’operazione come previsto è andata a buon fine con la chiusura della transazione ad inizio dicembre. Dal punto di vista gestionale la CMB ha così acquisito piu’ di un centinaio di milioni euro di portafoglio attivo e ciò ha permesso di consolidare la posizione tra le banche leader del mercato monegasco, aumentando la clientela di circa 1000 clienti. Questo comunque rientra in un piano di sviluppo e strategia di crescita in atto sia sul piano locale sia all’estero, soprattutto in Nord Europa.
Qual’è attualmente la vostra strategia commerciale nei confronti delle imprese ?
• In realtà la CMB è specializzata soprattutto nel Private Banking. Questo però non significa che l’attività di Corporate non sia parte integrante dalle notre attività principali. Forti della nostra esperienza abbiamo un certo numero di imprenditori che si sono rivolti a noi ed a loro offriamo una completa assistenza giuridica e amministrativa per poter installare la loro attività a Monaco.
accordo di partnership e di sostegno ai eventi e manifestazioni, sia professionali che culturali, organizzati dal Grimaldi Forum. Questo anno la CMB è partner ufficiale dell’evento principale dell’estate, la Mostra “Gli Anni Grace Kelly” - Dal 12 Luglio al 9 settembre 2007 Gli eventi organizzati dal Grimaldi Forum contribuiscono a migliorare l’immagine del Principato di Monaco - terra di cultura e d’accoglienza per gli eventi professionali - nel mondo.
Quali suggerimenti potrebbe dare ad un imprenditore italiano che volesse intraprendere a Monaco una nuova attività ?
• Sicuramente sarà importante seguire con attenzione l’evoluzione che avrà il nuovo sistema di tassazione previsto a Monaco per attrarre il Private Equity. Del resto è coerente con la nuova linea politica del Principe Albert II che vuole fare di Monaco uno dei maggiori centri finanziari mondiali. Il Capital Venture potrebbe di fatto essere un ulteriore strumento di supporto alle imprese che a Monaco vogliono sviluppare in progetti di ricerca e e nuove tecnologia. Altro punto interessante da tener presente è il mercato immobiliare che a Monaco rappresenta un mercato serio e dinamico ma spesso inaccessibile. Non è un caso infatti che la CMB ha creato appunto un fondo immobiliare, innovativo nella sua formulazione, che permette di accedere ad un portafoglio diversificato anche con piccoli capitali.
Beefbar Né d’une maman anglosaxonne et d’un papa italien (prés de Turin), Ricardo Giraudi a d’abord suivi à Londres un cursus “Haute école de commerce”. Il a donc de façon naturelle participé au développement des activités de négoce de Giraudi International. Cette entreprise hautement performante dans le commerce de gros de viande sur le marché mondial, se diversifie aujourd’hui en s’attaquant avec succès au poisson frais.
© Jean-Michel Sordello - Jean-François Romero / Photographes Associés
Di fatto Mediobanca, in quanto azionista, per definizione non ha nessuna responsabilità operativa sulla gestione e sulle strategie della CMB, tanto piu’ che operiamo con uno statuto di diritto monegasco.
Les changements au sein de l’entreprise sont également dans le plaisir des sens avec la création de restaurants ou l’on peut déguster les excellents produits de la société. Mais, Ricardo Giraudi n’arrête pas là son désir de réalisation et nous pourrons prochainement assister à l’ouverture d’une boutique avenue Princesse Grâce. Ricardo s’accorde à dire qu’appartenir à la communauté italienne de Monaco est d’autant plus intéressant que celle-ci bien qu’ayant une grande solidarité et une philosophie clanique n’est pas avare d’ouverture internationale.
Ancora una volta la CMB è tra i partner ufficiali del Grimaldi Forum…
• Per il terzo anno consecutivo, la Compagnie Monégasque de Banque ed il Grimaldi Forum hanno concluso un Monaco Imprese n° 1
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Un centre de conciliation international à Monaco. Les raisons d’un choix. Un article, publié par le prestigieux hebdomadaire britannique The Economist le 3 février dernier, a fait le point sur l’essor de la médiation, grâce auquel aux Etats Unis entre 70 et 80 pour cent des controverses débouchent désormais sur un accord à l’amiable entre les parties, à l’aide d’un expert conciliateur, sans devoir être soumises à l’examen d’un Tribunal. Au moins 1500 grandes études légales, toutes de niveau international, disposent au sein de leur effectif d’une im portante équipe de “mediators”, ayant reçu une formation professionnelle auprès des différents Centres, parmi lesquels on signale notamment CPR de New York et Bridge Mediation de San Diego. Les grandes multinationales américaines ont presque toutes décidé de tenter systématiquement, au préalable, la voie de l’accord en conciliation avec les parties adverses, si celles-ci se déclarent disponibles. Parmi ces Big Companies l’article cite notamment Time Warner, UPS, General Electric, The Prudential et Coca-Cola. Oregon, Californie, Texas et Floride sont parmi les Etats qui imposent l’obligation légale d’une tentative préalable de conciliation. Le temps nécessaire pour résoudre une controverse grâce à l’intervention d’un “mediator” peut aller de quelques heures à une ou deux semaines, avec une économie évidente de temps et d’argent. Il est bien connu que pour les hommes d’affaires, non seulement américains, “time is money”. Même les avocats ont bien compris l’enjeu et se sont adaptés, pour ne pas risquer de perdre des clients qui pourraient délaisser les études légales n’assurant pas ce type de service. En réalité, l’avocat qui assure aussi la tâche de conseil en conciliation ne perd pas d’argent. Cette solution est, pour lui aussi, préférable à un long procès, d’autant plus lorsque l’issue en est incertaine. En effet, non seulement il encaissera ses honoraires pour le travail accompli, mais en plus le règlement interviendra en très peu de temps, plutôt qu’au terme d’une longue bataille. Pendant le temps qu’il lui faudrait pour traiter un unique procès, l’avocat pourra mener à bonne fin un nombre considérable de procédures de conciliation. De plus, le client sera bien content de payer son avocat, quand celui-ci l’aura
La conciliation extra judiciaire des controverses est un des principaux instruments des procédures dénommées ADR (Alternative Dispute Resolutions), au moyen desquelles on essaie depuis plusieurs années de trouver un remède à la lenteur et au coût, absolument exorbitant dans certains Pays, des procédure judiciaires ordinaires. Aux Etats Unis et dans les Pays anglo-saxons en général, c’est la mediation qui s’est désormais considérablement imposée. aidé à conclure un bon accord extra judiciaire, au lieu de lui faire subir un véritable parcours du combattant devant les tribunaux. Le recours au procès sera donc réservé uniquement aux cas pour lesquels la tentative de conciliation a échoué, ou bien à l’éventualité où la conciliation ne serait pas admise par la loi (dans presque tous les domaines du droit civil et commercial, cependant, si les parties en présence jouissent de leurs droits pleins et entiers, le risque d’une telle exclusion n’existe pas). On pourra opposer que, surtout dans le domaine du droit commercial international, l’arbitrage est une forme déjà bien présente de “ADR”. Mais i l faut observer que dans le monde entier l’arbitrage subit depuis quelque temps un trend négatif, comme le souligne aussi l’article de l’ Economist. L’arbitrage en effet n’est pas seulement très coûteux, mais il est devenu trop lent, puisqu’il demande en moyenne un an et demi, soit une durée excessive pour les hommes d’affaires. De plus, le rédacteur de l’article fait remarquer, en des termes très directs, qu’un des défauts majeurs de l’arbitrage est le risque non négligeable de corruption, en considération des enjeux financiers souvent très élevés. Ce risque est par contre tout à fait inexistant dans le cas de la conciliation, vu que la tâche du “mediator” est simplement de créer les meilleures conditions pour que les parties puissent entamer un dialogue et chercher ensemble une solution acceptable pour tous.
Il pourra tout au plus suggérer aux parties une hypothèse de solution, sans les engager à l’adopter. La procédure de conciliation ne peut en aucun cas réserver de mauvaises surprises, parce que l’accord ne dépend que des parties en présence, comme pour un quelconque contrat. Il apparaît donc qu’il serait intéressant pour la Principauté, en sa qualité de place d’affaires internationale, où se trouvent réunis sur un petit espace, entre autres, les représentants de l’élite bancaire, financière, des assurances et du commerce, en provenance de Pays qui appartiennent aux secteurs géographiques et culturels les plus divers, et donc à des systèmes juridiques très différents entre eux, de se doter d’un propre Centre de conciliation. La conciliation des controverses peut représenter une excellente méthode pour garantir la rapidité, l’efficacité et la discrétion dans la solution de problèmes de nature légale. Monaco, en tant que carrefour privilégié de civilisations et de cultures, dans un cadre particulièrement propice à la discrétion, pourrait se proposer à juste titre, soit comme Centre pour la solution de controverses entre entreprises et sujets résidant en Principauté, soit comme Centre international de conciliation, où les particuliers et les entreprises non résidents pourraient trouver profitable, mais aussi agréable, de solutionner un litige concernant leurs affaires, faisant recours aux services de professionnels spécifiquement autorisés et capables de travailler au plus haut niveau de qualité dans un milieu multilingue.
UN CENTRO DI CONCILIAZIONE INTERNAZIONALE A MONACO. I MOTIVI DI UNA SCELTA Un recente articolo del prestigioso settimanale britannico The Economist del 3 febbraio scorso ha fatto il punto sullo sviluppo della “mediation”, in base al quale ormai negli Stati Uniti tra il 70 e l’80 per cento delle cause vengono risolte amichevolmente tra le parti, con l’ausilio di un conciliatore esperto, e quindi non giungono più all’esame di una Corte. Monaco Imprese n° 1
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Almeno 1500 grandi studi legali, ovvi amente tutti di caratura internazionale, hanno al loro interno una nutrita schiera di mediators, formati professionalmente nei vari Centri, tra cui si segnalano il CPR di New York e Bridge Mediation di San Diego. Quasi tutte le multinazionali americane hanno deciso di tentare preventivamente un accordo conciliativo con la controparte, se questa si dichiara d’accordo. Tra queste Big Companies l’articolo cita espressamente Time Warner, UPS, General Electric, the Prudential e la Coca-Cola. Tra gli Stati che hanno inserito nel loro sistema legale l’obbligo del tentativo preventivo di conciliazione si annoverano Oregon, California, Texas e Florida. La rapidità di soluzione della controversia grazie ai buoni uffici di un mediator va da poche ore a una-due settimane, con un risparmio di tempo e denaro che è facile immaginare. Per gli uomini d’affari, non solo americani, è noto che time is money. Gli stessi avvocati hanno capito l’antifona e si sono adeguati, anche al fine di non perdere clienti, i quali potrebbero decidere di non rivolgersi più a strutture legali che non pratichino questo tipo di servizio. In realtà, l’avvocato che svolge il compito di consulente in conciliazione non perde denaro, rispetto ad una lunga causa, oltretutto dall’esisto incerto. Infatti, non solo gli verrà corrisposta la sua parcella per il lavoro svolto, ma questa arriverà anche in tempi brevissimi e non dopo anni di battaglie. Pertanto, nello stesso arco di tempo di una singola causa, l’avvocato potrà condurre in porto un numero ingente di conciliazioni.
La conciliazione stragiudiziale delle controversie è uno dei principali strumenti delle cosiddette ADR (Alternative Dispute Resolutions), con cui da anni si sta cercando di porre un rimedio alla lentezza ed ai costi, in certi Paesi assolutamente esorbitanti, dei processi giudiziari ordinari. In America ed in genere nei Paesi anglosassoni la mediation ha raggiunto ormai un grande sviluppo. Inoltre, e qui l’articolista inglese non si perita di cercare giri di parole, tra i mancati appeals dell’arbitrato si annida pure il rischio, non indifferente, di corruzione, date le poste in gioco, spesso elevatissime. Questo rischio è invece del tutto inesistente nel caso della conciliazione, in quanto compito del mediator è unicamente quello di mettere le parti nelle condizioni migliori per poter dialogare e cercare insieme una soluzione condivisibile. Al massimo, egli potrà suggerire alle parti una soluzione, comunque non vincolante, per cui la procedura conciliativa non può assolutamente riservare cattive sorprese, dato che l’accordo è un atto di competenza esclusiva delle parti, alla stregua di un qualsivoglia contratto.
Appare dunque interessante per il Principato dotarsi di un proprio Centro di conciliazione, nella sua veste di piazza d’affari internazionale, ove tra l’altro sono presenti in uno spazio ristretto, rappresentanti dell’élite bancaria, finanziaria, assicurativa e commerciale, provenienti da una variegata serie di Paesi appartenenti alle aree geografiche e culturali più diversificate, e quindi a sistemi giuridici molto diversi tra loro. La conciliazione delle controversie può dunque rappresentare un metodo eccellente per garantire rapidità, efficienza e segretezza alla soluzione dei problemi di natura legale. Monaco può dunque a giusto titolo proporsi, nella sua veste privilegiata di incrocio di civiltà e di culture, in un quadro particolarmente adatto alla riservatezza, sia come Centro per la soluzione di controversie tra imprese e soggetti residenti nel Principato, sia come Centro di conciliazione internazionale, dove cittadini ed imprese non residenti, possano trovare conveniente, oltre che piacevole, dirimere una lite riguardante i propri affari, godendo dei servizi di professionisti all’uopo abilitati, e capaci di destreggiarsi a livelli di eccellenza in un ambiente multilingue. Fabrizio Carbone
Inoltre, il cliente sarà ben lieto di pagare il proprio legale, che lo ha aiutato a raggiungere un buon accordo stragiudiziale, invece di farlo sottoporre ad una vera e propria via crucis processuale. Quest’ultima strada verrà dunque riservata unicamente ai casi in cui il tentativo si riveli improduttivo, o addirittura la conciliazione non sia ammessa per legge (in realtà in quasi tutti i campi del diritto civile e commerciale, in presenza di diritti pienamente disponibili dalle parti, il rischio di tale esclusione non esiste). Si potrà obiettare che, specialmente nel diritto commerciale internazionale, l’arbitrato è una forma ben consolidata di ADR. Il fatto è che nel mondo intero l’arbitrato sta da tempo soffrendo di un trend negativo, che lo stesso articolo del The Economist non manca di mettere in luce. Non solo l’arbitrato è estremamente costoso, ma anche è diventato notevolmente lungo, in media almeno un anno e mezzo di tempo, il che per i businessmen è una durata eccessiva. 56
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Le Traité de Rome a un demi siècle : retraçons son histoire. De l’intégration européenne au 50ème anniversaire du Traité de Rome : l’occasion d’une nouvelle relance?
Nous étions à la fin des années 40 et l’Europe, profondément marquée par les deux conflits mondiaux, se trouvait géographiquement mais surtout politiquement face à deux réalités opposées entre elles, l’envahissante domination soviétique à contenir à l’est et l’Occident proaméricain à l’ouest. Pour affronter cette situation, la Belgique, le Danemark, la France, l’Irlande, l’Italie, le Luxembourg, les Pays Bas, la Norvège, la Grande Bretagne et la Suède signèrent le 5 Mai 1949 et ratifièrent le 3 Août 1949 le Traité de Londres, connu sous le nom de “Statuts du Conseil de l’Europe”, qui a ensuite donné naissance au Tribunal européen des droits de l’homme de Strasbourg.
L’intuition de Robert Schuman et de Jean Monnet. Une année après le Traité de Londres, le ministre français d’alors, Robert Schuman, avec l’aide de Jean Monnet, expert en économie et homme politique français, fut l’auteur de la célèbre déclaration faite à Paris le 9 Mai 1950. Il y affirmait la nécessité de “placer l’ensemble de la production française et allemande de charbon et d’acier sous la tutelle d’une Haute Autorité commune, dans le cadre d’une organisation à laquelle les autres Pays Européens puissent adhérer”.
européen et s’ensuivirent de nombreuses réunions auxquelles participèrent ministres et experts.
Robert Schuman
Pour la première fois, les six états membres de cette institution renonçaient, bien que dans un domaine limité, à une partie de leur souveraineté en faveur de la Communauté. La volonté d’intégration se poursuivait même, si peu de temps après, elle fut marquée par l’échec de la Communauté Européenne de Défense (CED), en 1954. Avec la Conférence de Messine, en Juin 1955, on chercha à relancer le processus
Puis au début de l’année 1956 fut institué le comité chargé de préparer un rapport sur la création d’un marché commun européen : la rencontre se tint à Bruxelles sous la présidence de P.H. Spaak, alors ministre belge des Affaires étrangères. En avril de la même année le comité présenta un ensemble de deux projets qui correspondaient aux deux options choisies par les Etats : la création d’un marché commun généralisé et l’institution d’une communauté de l’énergie atomique. Ce fut finalement l’aboutissement : le premier projet institua la Communauté Economique Européenne C.E.E. et le second la Communauté Européenne de l’Energie Atomique, plus communément appelée EURATOM. Et nous arrivons à présent à Rome avec la signature en mars 1957 de ces projets qui furent officiellement identifiés dans le célèbre “Traité de Rome”.
Peu de temps après furent jetées les bases de l’intégration économique de l’Europe, à partir d’un noyau de six états. L’idée était de confier à une Autorité Internationale la production industrielle du charbon et de l’acier considérant que l’exercice d’un contrôle commun aurait mis un terme aux guerres. Le “plan de Schuman” conduisit à la création de la Communauté Européenne du charbon et de l’acier (CECA) à travers le Traité de Paris qui fut signé le 18 avril 1951 par les six membres fondateurs : la Belgique, la République Fédérale d’Allemagne, le Luxembourg, la France, l’Italie et les Pays Bas. Avec la constitution de la Communauté Européenne du Charbon et de l’Acier (CECA) entrée en fonction en Juillet 1952, l’Europe supranationale marqua sa première grande réalisation.
© Theo Heinze
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I Trattati di Roma hanno mezzo secolo: ripercorriamo la storia DALL’INTEGRAZIONE EUROPEA ALL’ANNIVERSARIO DEI 50 ANNI DEI TRATTATI DI ROMA : SARA’ L’OCCASIONE DI UN NUOVO RILANCIO ? Eravamo alla fine degli anni ‘40 e l’Europa, segnata profondamente dai due conflitti mondiali, si trovava geograficamente ma soprattutto politicamente in mezzo a due realtà opposte tra loro, l’invadente dominio sovietico da contenere ad est ed l’Occidente filoamericano da subire ad ovest. Per far fronte a questa situazione, Belgio, Danimarca, Francia, Irlanda, Italia, Lussemburgo, Paesi Bassi, Norvegia, Gran Bretagna e Svezia firmarono il 5 maggio del 1949 e ratificarono il 3 agosto 1949 il Trattato di Londra conosciuto come lo Statuto del Consiglio d’Europa, trasformatosi in seguito nel Tribunale europeo dei diritti dell’uomo di Strasburgo.
L’intuizione Robert Schuman e Jean Monnet . Dopo un anno dal Trattato di Londra l’allora ministro francese, Robert Schuman,
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con l’aiuto di Jean Monnet consulente economico e uomo politico francese, fu autore della famosa dichiarazione resa a Parigi il 9 maggio 1950 in cui affermò che era necessario “mettere l’intera produzione francese e tedesca del carbone e dell’acciaio sotto una comune Alta Autorità, nel quadro di un’organizzazione alla quale possono aderire gli altri Paesi Europei”. Di li a poco si crearono le basi dell’integrazione economica dell’Europa a partire da un nucleo di sei stati. L’idea era di porre sotto un’Autorità Internazionale la produzione industriale del carbone e dell’acciaio col principio che un controllo comune avrebbe messo fine alle guerre. Il “piano di Schuman” portò quindi alla creazione della Comunità europea del carbone e dell’acciaio (CECA) attraverso il Trattato di Parigi del 18 aprile 1951 firmato dai sei membri fondatori Belgio, Repubblica Federale Tedesca, Lussemburgo, Francia, Italia e Paesi Bassi. Con la costituzione della Comunità europea del carbone e dell’acciaio (CECA) entrata in funzione nel luglio 1952, l’Europa sopranazionale segnò la sua prima grande realizzazione. Per la prima volta, i sei Stati membri di tale istituzione rinunciavano, anche se in un settore limitato, ad una parte della loro sovranità a favore della Comunità.
La volontà di integrazione proseguiva anche se poco dopo fu segnata dal fallimento della Comunità europea di difesa (CED) nel 1954 : si cercò ,con la Conferenza di Messina del giugno del 1955, di rilanciare il processo europeo e da qui seguirono numerose riunioni cui partecipavano ministri o esperti. Poi all’inizio del 1956 fu istituito un comitato preparatorio incaricato di predisporre una relazione sulla creazione di un mercato comune europeo : l’incontro si tenne a Bruxelles sotto la presidenza di P.H. Spaak, ministro degli Affari esteri belga dell’epoca. Nell’aprile dello stesso anno il comitato presentò un insieme di due progetti che corrispondevano alle due opzioni scelte dagli Stati: la creazione di un mercato comune generalizzato e la istituzione di una comunità dell’energia atomica. E finalmente ci siamo: il primo istituì la Comunità economica europea C.E.E e il secondo la Comunità europea dell’energia atomica, più comunemente denominata Euratom. E siamo arrivati a Roma con la firma nel marzo 1957 dei suddetti progetti che furono comunemente identificati nei famosi “Trattati di Roma”. dall’integrazione europea all’anniversario dei 50 anni dei Trattati di Roma : sara’ l’occasione di un nuovo rilancio ?
© Pedro Ferreira
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Timbres monégasques Philathélie thématique italienne
PARMIGIANINO - 3,60 € (Code 03476) 500ème anniversaire du Parmigianino, peintre de Parme, reconnu par ses pairs pour ses innovations picturales. Inclassable, il apporte une poésie et une lumière spécifique dans la Renaissance italienne.
BULLE PAPALE DE 1247 - 7,50 F Portrait du Pape commémorant les 750 ans de la Bulle Papale, signée par le Pape Innocent IV qui crée le 6 décembre la première paroisse dédiée à Saint Nicolas. Illustration : équipe Teamote Gravure : Martin Morck Format du timbre : 40 x 52 mm vertical Impression : Taille-douce 3 couleurs
(Emission le 8 août 2003) Dessin : Irio-Ottavio Fantini Gravure : Claude Jumelet Impression : Taille-douce 6 couleurs Format du timbre : 40 x 52 mm vertical Feuille de 6 timbres-poste avec enluminures
CENTENAIRE DE LA NAISSANCE DE DINO BUZZATI 0,55 € (Code 06234) “Le désert des Tartares” n’est qu’un des romans de cet auteur italien qui, déjà de son vivant, appartenait à la littérature enseignée dans les écoles. L’écriture simple recouvre des idées et une réflexion élevée qui mêle le passé et le présent pour construire l’avenir. (Emission le 17 Juillet 2006 - FDC petit format) Dessin : Irio-Ottavio Fantini Impression : Héliogravure Format du timbre : 40 x 30 mm horizontal Feuille de 10 timbres-poste avec enluminures
VISITE DE S.A.S. LE PRINCE ALBERT II A S.S. LE PAPE BENOIT XVI - 1,70 € (Code 07154) La Principauté, Etat concordataire où la religion catholique est religion d’Etat, a une relation forte avec le Vatican. S.A.S. le Prince Albert II a effectué une visite officielle auprès de S.S. le Pape Benoît XVI, avant même la fin de l’année 2005, pour maintenir et accroître une relation particulière importante, réaffirmée par l’accréditation d’un Nonce en Principauté au cours de l’année 2006. 550ème ANNIVERSAIRE DE LA NAISSANCE DE LEONARD DE VINCI (1452-1519) - 0,76 € (Code 02218) Léonard de Vinci a marqué son époque par sa peinture, ses études, et ses découvertes technologiques. Son imagination créatrice est, encore aujourd’hui, d’avant-garde. (Emission le 21 mars 2002) Dessin : Irio-Ottavio Fantini Gravure : Claude Jumelet Impression : Héliogravure Format du timbre : 40 x 30 mm horizontal Feuille de 10 timbres-poste avec enluminures
(Emission le 1er décembre 2006 - FDC petit format) Dessin : Teamote Impression : Héliogravure Format du timbre : 52 x 40 mm horizontal Feuille de 6 timbres-poste avec enluminures
ENZO FERRARI - 7,00 F Timbre-poste commémorant le 100ème anniversaire de la naissance de Enzo Ferrari. Un an après le 50ème anniversaire de la Société Ferrari, ce timbre de Monaco est le premier comportant la signature fétiche du “Commendatore” dont les relations avec la Principauté ont toujours été chaleureuses.
Dessin : Michel Verrando Impression : Offset Format du timbre : 40 x 40 mm Feuille de 8 timbres-poste avec enluminures.
BLOC BOTTICELLI Reprise avec mention spéciale “ITVF 1998” du timbre “BOTTICELLI” ayant remporté le 3ème Challenge du “plus beau timbre du monde”. L’émission de ce bloc a permis d’annoncer que Monaco a également remporté la 4ème Coupe du Monde des timbres-poste, et pour la première fois le doublé. Gravure : Pierre Albuisson Impression : Taille-douce monochrome Format du timbre : 48 x 76 vertical Format du bloc : 115 x 110 mm horizontal comportant une vignette avec le portrait du peintre. 60
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