J.J.J. RIGAL - CATALOGUE RAISONNÉ, GRAVURES, MONOTYPES (extrait)

Poète de l’image, il est aussi l’illustrateur de nombreux livres de bibliophilie, romans classiques, inÊdits, poèmes, notamment ceux de ses amis AndrÊ Dhôtel et Jean Grosjean.

Produit des recherches minutieuses effectuÊes par Denise et Nicole Rigal, son Êpouse et sa fille, cet ouvrage, ÊclairÊ par un texte de Lydia Harambourg, prÊsente pour la première fois la totalitÊ des gravures et monotypes de J.J.J. Rigal.

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Reconnu graveur dès l’âge de 8 ans par AndrÊ Malraux, Jean Cassou et Claude Roger-Marx, Jacques-Joachim-Jean Rigal (1926-1997) – J.J.J. Rigal de sa signature – est un artiste Êclectique mais surtout le promoteur ÊmÊrite de la gravure en couleurs. Ses gravures rÊvèlent son monde intÊrieur à partir de la contemplation mÊditative des sujets les plus communs : arbres, fruits, fleurs, insectes, mais aussi villes dans leur reprÊsentation silencieuse, souvent insolite.

J J J RIGAL CATALOGUE RAISONNÉ GRAVURES MONOTYPES Texte de Lydia Harambourg

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Illustration de couverture : Place des Vosges, 1966 (voir cat. 269)

© Somogy éditions d’art, Paris, 2016 © Ayants-droit J.J.J. Rigal, Paris, 2016 © Texte de Lydia Harambourg, Paris, 2016 Ouvrage réalisé sous la direction de Somogy éditions d’art Directeur éditorial : Nicolas Neumann Responsable éditoriale : Stéphanie Méséguer Coordination et suivi éditorial : Benjamin Baulé Conception graphique : Nelly Riedel Fabrication : Béatrice Bourgerie et Mélanie Le Gros Photographe : Franck Sicre / Process-Graphic ISBN Somogy éditions d’art : 978-2-7572-1040-6 Dépôt légal : décembre 2016 Imprimé en Union européenne

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L’Association des Amis d’Edmond et J.J.J. Rigal, ainsi que Denise et Nicole Rigal remercient vivement Lydia Harambourg dont l’écriture révèle l’exigence du caractère et de l’œuvre de J.J.J. avec clairvoyance et perspicacité, les éditions Somogy pour leur patience et leur compétence, ainsi que, pour les reproductions, Franck Sicre, qui trouve toujours l’exactitude des tons et des valeurs.

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Une vie pour la gravure Le catalogue raisonnÊ de l’œuvre gravÊ de J.J.J. Rigal paraÎt vingt ans après son dÊcès en 1997 à Fontenay-aux-Roses. Ce rÊpertoire exhaustif Êtabli par sa veuve Denise Rigal et sa fille Nicole Rigal s’est nourri d’un travail de mÊmoire qui aujourd’hui offre toute la matière nÊcessaire à l’analyse de son œuvre. Nous sommes devant l’expression d’un art magnifiÊ dans son essence même. Éclairer sa force crÊatrice, souligner la maÎtrise d’un mÊtier portÊ à sa plus haute exigence participent au dÊcryptage d’un univers poÊtique enfoui dans les profondeurs invisibles d’un travail menÊ avec une patience infinie. Les lignes de force Êlèvent notre regard sur les splendeurs de la vie auxquelles il est confrontÊ. Un face-à -face rÊactivÊ et rÊgÊnÊrÊ à l’aune de ses expÊriences.

L’œuvre de J.J.J. Rigal et l’homme sont indissociables, comme le sont l’artiste et l’artisan. Ils constituent une matrice, fil conducteur dans un territoire qui s’offre à nous pour un dÊcryptage dont l’ampleur imprÊvisible est rÊvÊlatrice de sa dimension humaniste et universelle.

Toute vie a un commencement, celle de J.J.J. Rigal dÊbute sous les auspices ambiguÍs d’une enfance prodige. Le don artistique du jeune garçon est d’ordre providentiel et prÊdispose à une vocation dont il lui reviendra d’assumer toutes les contraintes d’Êthique et de discipline dans l’exercice d’un art aussi peu enclin au divertissement.

Nul doute que le milieu familial ait fait naÎtre ceŽe inclination naturelle pour l’art, appelÊe à la mÊtamorphose d’un univers fascinant. Son père, Edmond Rigal, nÊ en 1902 à Paris, dÊcèdera un an avant son fils en 1996. Enseignant à son tour à l’Êcole Estienne qui l’a formÊ aux mÊtiers de la gravure et du livre, il crÊe son propre atelier d’impression de gravure en taille-douce en 1927 à Fontenay-aux-Roses oÚ il vient de s’installer, tout près de la maison de Bonnard, rue GuÊrard. C’est ce monde mythique des presses, de la plaque de mÊtal gravÊ et du papier, de l’odeur de l’encre si particulière qui imprègne le lieu, que dÊcouvre et que vit au quotidien le tout jeune Jacques Jean Joachim. Il est nÊ en 1926 à Paris. La magie porte et appelle l’impÊtrant dans l’innocence de l’enfance.

Il comprend qu’il lui faudra de la dÊtermination, de l’acharnement à remeŽre sur le mÊtier, autrement dit à accepter la force tyrannique d’une pratique qui ne cède à aucun compromis. Les premiers sujets qu’il grave à la pointe-sèche sont inspirÊs par la vie familiale et ne spÊculent pas sur le hasard. Ils tÊmoignent dÊjà d’un esprit lucide qui prend en compte l’apprentissage et la perfection requise par le mÊtier de graveur. Nous sommes en 1933, J.J.J. Rigal expose sa première gravure qu’il a rÊalisÊe à l’âge de 4 ans : Le Repas, et il a 8 ans. Ses mains s’essayent à la terre glaise pour donner forme à des personnages, des scènes anecdotiques tandis qu’il esquisse à la pointe, sur la plaque de mÊtal, une dizaine d’illustrations pour un conte d’Andersen :

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PAGE DE GAUCHE

Place VendĂ´me, 1976 (voir cat. 424)

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J.J.J. Rigal en 1970, met dans le perchlorure de fer le cuivre de Grenades © Photo Pierre Maget

J.J.J. Rigal fait une réserve au vernis autour de Grenades pour ensuite saupoudrer de colophane la partie de cuivre restée à nu sur la deuxième planche © Photo Pierre Maget

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nationale est réunie la fine fleur de la gravure vivante. André Dunoyer de Segonzac, Raoul Dufy, Henry de Waroquier, Lucien Coutaud, André Beaudin, Marcel Gromaire, André Jacquemin, Pierre-Eugène Clairin, Kiyoshi Hasegawa, Antoni Clavé, Marie Laurencin parmi les meilleurs artistes, chacun dans sa spécificité, de l’eau-forte à la lithographie, du burin à la manière noire. C’est dans ce cadre qu’a lieu sa rencontre avec Jacques Villon, le maître avec lequel il se lie d’amitié et qui lui offrira sa dernière gravure originale pour un frontispice des « Impénitents ».

L’œuvre se construit d’un travail quotidien et pugnace qui l’installe définitivement sur la scène de la gravure en lui donnant une visibilité dans de nombreuses expositions de groupe, tant à Paris qu’en province, et en le faisant figurer régulièrement dans les Salons. Ainsi son confrère en gravure Roger Vieillard l’invite en 1953 au prestigieux Salon de mai. Membre fondateur du Salon créé par le critique Gaston Diehl pendant la guerre et dont la première édition se tient en 1945, ce buriniste a mis son art au service d’une vision poétique. Servie par les ressources du métier, il la décèle chez son cadet qui confirme les espérances mises en lui avec le Prix national de gravure qui lui est décerné en 1954.

Un an auparavant, la Chalcographie du Louvre a acquis une planche : La Grille de Léautaud. À Fontenay-aux-Roses, J.J.J. Rigal est le voisin de l’écrivain libertaire qui vit retranché dans sa maison au 24, rue Guérard (Rigal est au no 17). Sur la rue, la grille dissimule la maison (sans électricité) où vit ce solitaire au milieu de ses chiens et chats, d’une oie et d’un singe, entretenant une distance cynique avec ses contemporains. Rigal grave une autre épreuve, Le Banc de Léautaud. Rien n’est dévoilé de sa vie recluse dévolue à une langue caustique et réactionnaire qu’il manie en ciselant ses mots comme le graveur manie la pointe qui creuse la plaque de métal. Le Repaire de Léautaud, eau-forte et aquatinte, conserve l’image de la maison représentée au milieu d’un terrain délaissé aux masses végétales mouvantes. Un texte de Léautaud devait accompagner ces gravures. Il ne put l’écrire ; l’écrivain décède en 1956.

En 1954, il entreprend un voyage en Espagne, dans les deux Castille. Au Prado, le choc est immense. Il se renouvelle à la Chalcographie de Madrid devant les gravures de Goya. Il est le premier à donner à l’aquatinte ses le®res de noblesse et sa véritable dimension artistique. Ce qui ne manque de l’impressionner, c’est l’audace technique du grand peintre madrilène. Sa quête d’invention n’a d’égale que son audace technique. L’eau-forte ne lui suffit pas. Il ajoute et recourt à l’aquatinte et à la résine dont il fait un emploi tout nouveau pour obtenir des fonds sombres d’un noir, d’un gris uniformes sur lesquels se découpent des silhoue®es blanches. Autre observation qu’il fait : Goya n’imite pas, il transpose. Cela le renvoie à son propre processus créatif.

La liberté des sujets choisis alliée à la force linéaire de ses recherches graphiques autant qu’à sa maîtrise des techniques ouvrent à J.J.J. Rigal les voies multiples de la gravure. Ses monotypes réalisés dans la décennie 1950 répondent alors à une recherche sensorielle et une tactilité des surfaces aux effets immédiats. Le monotype favorise la spontanéité et révèle des beautés de couleurs comme aucun autre procédé. À mi-chemin entre la peinture et la gravure, ce procédé d’impression est limité à un seul exemplaire, ou peut s’en faut (il reste toujours un peu de pigment pour tenter un autre tirage que l’on désigne sous le terme de « fantôme »), ce qui interdit par

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J.J.J. Rigal en 1974, gravant Terre de feu dans son atelier de Fontenay-aux-Roses © Photo Nicole Rigal

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Catalogue raisonné GRAVURES

Avertissement

Liste des abréviations

Signatures

Le comptage des tirages est indiqué soit en chiffres romains, soit en chiffres arabes : ce système correspond aux différents tirages d’un même sujet.

A : Arches AAEJJJRIGAL : Association des Amis d’Edmond et de J.J.J. Rigal AMI : Art Moderne International C : Canson EA : épreuve d’artiste H : Hollande HC : hors commerce J : Japon JA : Japon ancien JI : Japon impérial JN : Japon nacré L : Lana M : Marais MD : Moulin de la Dore MdG : Moulin du Gué P : Moulin de Puymoyen PGF : Peintres-graveurs français R : Rives RdB : Richard de Bas s. e. : sans éditeur XM : Christmas (carte de vœux)

Les gravures sont généralement datées jusqu’en 1982.

Les dimensions sont exprimées en centimètres.

Les illustrations pour François le Champi et Sylvie n’ont été tirées qu’à quelques exemplaires, sans avoir jamais été éditées en albums ou en livres.

Malgré toute l’a®ention donnée à la réalisation de ce catalogue, il est possible que certaines œuvres aient pu échapper, notamment des monotypes qui auraient été vendus sans prises de vue préalables.

D’autre part, J.J.J. Rigal a noté dans ses mémoires (1940) que « plus de la moitié de [s]es cuivres gravés ont été volés pendant l’exode à Fontainebleau ».

Les sujets repris pour l’estampe annuelle de l’Association des Amis d’Edmond et de J.J.J. Rigal ont été tirés dans une couleur différente de l’édition originale.

Quand la nature du papier n’est pas indiquée, cela signifie qu’il peut exister différents papiers pour un même tirage.

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1 Le Repas 1933 Pointe-sèche 1 cuivre : 14,7 x 13,5 ; papier : 33 x 25 Tirage : 150 2 La Tombe de pépère 1933 Pointe-sèche 1 cuivre : 9 x 13,9 ; papier : 25 x 32 Tirage : 150 3 Le Livreur 1933 Pointe-sèche 1 cuivre : 11,5 x 14 ; papier : 33 x 25 Tirage : 150. 1 épreuve 29 x 24

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4 La Vache 1934 Pointe-sèche 1 cuivre : 12,3 x 15 ; papier : 33 x 25 Tirage : 150 5 Mémère et Tonton 1934 Pointe-sèche 1 cuivre : 11 x 10 ; papier : 33 x 25 Tirage : 150 6 Le Fumeur 1934 Pointe-sèche 1 cuivre : 13,9 x 11 ; papier : 33 x 25 Tirage : 150 7 Papa à la presse 1934 Pointe-sèche 1 cuivre : 11 x 9 ; papier : 33 x 25 Tirage : 150

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8 Le Bateau 1934 Pointe-sèche 1 cuivre : 14 x 11 ; papier : 25 x 32,5 Tirage : 150 9 Les Amoureux 1934 Pointe-sèche 1 cuivre : 9,4 x 14 ; papier : 25,5 x 33 Tirage : 150 10 La Famille au chien 1934 Pointe-sèche 1 cuivre : 12 x 14 ; papier : 25 x 33 Tirage : 150 11 Acrobatie 1934 Pointe-sèche 1 cuivre : 11 x 14 ; papier : 35,5 x 25 Tirage : 150 12 La Promenade à la campagne 1934 Pointe-sèche 1 cuivre : 14 x 21,5 ; papier : 23 x 28 Tirage : 90. 2 R + 2 C 25 x 32,5 13 Les Bretons, programme 1934 Eau-forte 1 cuivre : 28 x 38,3 ; papier : 28 x 38,3 Tirage : 75. 2 programmes pliés 28 x 38

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14 Sept soldats de plomb Andersen — L’Intrépide Soldat de plomb 1934 Pointe-sèche 1 cuivre : 10 x 10,5 ; papier : format à définir Tirage : inédit 15 Petite Demoiselle danseuse Andersen — L’intrépide Soldat de plomb 1934 Pointe-sèche 1 cuivre : 10 x 10,5 ; papier : format à définir Tirage : inédit

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16 La Boîte à ressort Andersen — L’intrépide Soldat de plomb 1934 Pointe-sèche 1 cuivre : 10 x 10,5 ; papier : format à définir Tirage : inédit 17 Mort d’un soldat Andersen — L’intrépide Soldat de plomb 1934 Pointe-sèche 1 cuivre : 10 x 10,5 ; papier : format à définir Tirage : inédit. 9 essais JN 32 x 21

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107 Les Yeux 1950 Eau-forte 1 cuivre : 10 x 15,5 ; papier : 25,5 x 32,5 Tirage : 50 R 108 Saint-Tropez 1950 Eau-forte 1 cuivre : 23 x 28,5 ; papier : 32,5 x 42,5 Tirage : 50 R 109 Terrasse du Luxembourg 1950 Eau-forte 1 cuivre : 19,8 x 24 ; papier : 25 x 32 Tirage : 50 R Essais – états : 3 états 110 Faire-part de naissance de Nicole 1950 Eau-forte 1 cuivre : 11 x 8,3 ; papier : 14,5 x 22,5 Tirage : inconnu 111 Le Serpent 1950 Eau-forte 1 cuivre : 18,3 x 17,3 ; papier : 32 x 25 Tirage : 25 R 112 Trois piquets bleus 1950 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte Première gravure en couleurs 1 cuivre : 21 x 15,5 ; papier : 32 x 25 Tirage : 30 R. Tirage posthume : nos 15 à 30/30 R Essais – états : no 14 parchemin

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113 Le Square 1951 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 18,5 x 17,5 ; papier : 32 x 25 Tirage : 50 R. Tirage posthume : nos 21 à 50/50 R 114 Le Jardin de Fontenay 1951 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 30 x 24 ; papier : 38 x 28 Tirage : 50 R. Tirage posthume : nos 17 à 50/50 R Essais – états : nos 3, 4, 8 et 16 noir

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115 La Barre d’appui 1951 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 18,5 x 17,5 ; papier : 38 x 28 Tirage : 50 R. Tirage posthume : nos 15 à 50/50 R Essais – états : 1 second état. Titre d’origine : L’Usine

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116 Rue Guérard 1951 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 30 x 24 ; papier : 38 x 28 Tirage : 50 R Essais – états : 1 état noir + 2 essais couleurs + 10 format 52,5 x 37,5

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117 Les Profils 1952 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 24 x 20 ; papier : 32 x 23 Tirage : 30 R. Tirage posthume : nos 14 à 30 R Essais – états : 1 troisième état + no 4 abimée 118 Ciel et terre 1952 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 30 x 24 ; papier : 39 x 29 Tirage : 50 R. Tirage posthume : nos 29 à 50/50 R Essais – états : 1 essai couleurs

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119 Carreaux 1952 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 33 x 24 ; papier : 48 x 33 Tirage : 30 R + EA V R Essais – états : 1 épreuve non signée.

Différents formats

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120 Le Couloir 1952 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 2 cuivres : 33 x 24 ; papier : 38 x 28 Tirage : 50 R. Tirage posthume : nos 31 à 50/50 R

122 Fil de fer 1952 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 24 x 33 ; papier : 37,5 x 52,5 Tirage : 90 R Essais – états : différents formats

121 Automne 1952 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 32 x 24 ; papier : 46,5 x 32,5 Tirage : 50 R. Tirage posthume : nos 34 à 50/50 R Essais – états : nos 12 à 14, 25, 27 à 33/50 noir 52,5 x 37,5

123 L’Atelier 1952 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 26 x 33 ; papier : 42 x 33 Tirage : 50 R. Tirage posthume : nos 17, 18 et à 50/50 R Essais – états : 1 essai. Nos 10 et 19 à 26/50 noir

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124 Barques 1952 Aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 33 x 24 ; papier : 52,5 x 32,5 Tirage : 50 R + EA X R Essais – états : nos 11/50 noir, 10/50 JN et I/X JN 125 L’Avenue 1952 Aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 24 x 33 ; papier : 32,5 x 42 Tirage : 50 R. Tirage posthume : nos 20 à 50/50 R Essais – états : certaines sur 38 x 52,5. No 11/50 noir + essais 126 Le Passage à niveau 1952 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 2 cuivres : 24 x 33 ; papier : 33 x 42 Tirage : 50 R. Tirage posthume : nos 21 à 50/50 R

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128 127 Le Froid 1952 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 12 x 9 ; papier : 16 x 25 Tirage : 100 XM + EA XX R 128 La Cuisine 1953 Eau-forte et aquatinte 2 cuivres : 33 x 24 ; papier : 52,5 x 37,5 Tirage : 50 R + EA 3 Essais – états : nos 10/50 noir, 19/50 JN. EA 1 et 2/3 JN et 3/3 R 129 Le Paravent 1953 Aquatinte et eau-forte 2 cuivres : 24 x 33 ; papier : 52,5 x 37,5 Tirage : 50 R + EA X R + HC de A à D noir Essais – états : nos 9/50 et 14/50 noir

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130 Hôtel 1953 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 33 x 24 ; papier : 52,5 x 37 Tirage : 50 R. Tirage posthume : nos 15 à 20/50 et 22 à 50/50 R 131 A ente 1953 Aquatinte et eau-forte 2 cuivres : 33 x 24 ; papier : 52 5 x 38 Tirage : 50 R + EA X R + 5 de A à E R Essais – états : différents formats

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132 La Collere e 1953 Gravure profonde et aquatinte 1 cuivre : 12 x 9 ; papier : 15 x 24,5 Tirage : 100 XM + 50 R. Tirage posthume : nos 1 à 50 R 133 Le Bistrot 1953 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 12 x 9 ; papier : 32 x 24 Tirage : 150 XM R + EA XX R. Tirage posthume : EA nos VI à XX/XX R 134 Faire-part de naissance de Daniel Grosjean 1953 Aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 11 x 9 Tirage : 50 R 135 Maternité 1953 Eau-forte et aquatinte 2 cuivres : 12 x 9 ; papier : 33 x 25 Tirage : 50 R Essais – états : premier et deuxième états noir

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140 136 Petit passage à niveau 1954 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 12 x 9 ; papier : 33 x 25 Tirage : 100 R + EA XX R. Tirage posthume : EA nos I à XX/XX R 137 Le Métro 1954 Gravure profonde, eau-forte et aquatinte 1 cuivre : 33 x 24 ; papier : 45 x 31 Tirage : 50 R + XII EA. Tirage posthume : nos 21 à 50/50 + I à XII/XII R 138 Le Petit Métro 1954 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 2 cuivres : 12 x 9 ; papier : 33 x 25 Tirage : 99 R + EA XX R Essais – états : pour album Le Métro Éditions : Jeune Estampe, France, pour album Le Métro

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139 Sur le canal 1954 Aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 33 x 24 ; papier : 50 x 38 Tirage : 50 R dont no 2/50 noir + XXX R + EA 2 noir 52,5 x 37 140 Péniches 1954 Aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 24 x 33 ; papier : 37,5 x 52,5 Tirage : 50 R + EA X. Tirage posthume : nos 1 et 29 à 50/50 R + VI à X/X R Essais – états : nos 21 et 26 noir R et 22 noir JN + no V noir 141 Portrait de Léautaud 1954 Aquatinte, eau-forte et pointe-sèche 1 cuivre : 24 x 18 ; papier : 38 x 28 Tirage : 5 R

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142 La Grille de Léautaud 1954 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 3 cuivres : 24 x 18 ; papier : 38 x 28 Tirage : 50 R + EA X R + 10 de A à J R + 1 EA Éditions : Chalcographie du Louvre, France 143 Le Repaire de Léautaud 1954 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 24 x 18 ; papier : 38 x 28 Tirage : 50 R + EA X R Essais – états : quatrième état 2 à 5/5 + 1 état + 1 essai 144 Coup d’œil chez Léautaud 1954 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 24 x 18 ; papier : 38 x 28 Tirage : 50 R + EA X R + 200 A + 20 HC I à XX/XX A pour AAEJJJRIGAL (estampe annuelle avec cachet sec de l’association). Tirage posthume : nos 32 à 35 et 37 à 50/50 et I + IV à X/X R 145 Le Banc de Léautaud 1954 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 24 x 18 ; papier : 28 x 28 Tirage : 50 R + EA X R. Tirage posthume : nos 32 à 50/50 + nos I + IV à X/X R 146 L’Abat-jour 1954 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 33 x 24 ; papier : 52,5 x 37,5 Tirage : 50 R + EA X R et JN Essais – états : no 20/50 JN 147 La Magie 1954 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 12 x 9 ; papier : 18,5 x 14,5 Tirage : 99 R Essais – états : pour album La Magie Éditions : Jeune Estampe, France

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148 Petite Île Saint-Louis 1954 Gravure profonde, aquatinte et eau-forte 1 cuivre : 12 x 9 ; papier : 28 x 19 Tirage : 150 R XM + 20 EA R Éditions : Papèteries Sainte-Maxence, France 149 Le Broc 1955 Gravure profonde et aquatinte 1 cuivre : 10 x 8 ; papier : 25 x 33 Tirage : 50 R. Tirage posthume : nos 1 à 4 + 11 à 90/90 R

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Expositions personnelles 1934 En mai, son père Edmond Rigal présente, dans son atelier de Fontenay-aux-Roses, ses premiers dessins, gravures, sculptures, monotypes et aquarelles dont André Malraux, récent prix Goncourt, préface le catalogue.

Du 1er au 20 octobre, Jacques Schiffrin, éditeur et fondateur de la « Bibliothèque de la Pléiade », organise dans sa galerie, 73, boulevard Saint-Michel, sa première exposition personnelle à Paris, où sont présentés ses dessins, gravures, monotypes, aquarelles et illustrations.

1944 Exposition particulière à Fontainebleau.

1946 En juillet, il expose à Fontainebleau des peintures à l’huile et des gravures à l’eauforte en noir exécutées d’après nature. Il présente des projets d’illustration pour Sylvie, de Gérard de Nerval. Le catalogue est préfacé par Roger Allard.

1966 Librairie des arts (Nancy).

1967 Galerie Darhin (Benidorm, Espagne).

Galerie Dominique (Batavia, Illinois, USA).

J.J.J. Rigal interviewé par Jacques Chavannes et Roger Féral en 1959, sur le plateau de Télé-Paris, à l’occasion de son exposition à la galerie Wils © Photo « O’de¢e-Beaumont »

1956, 1959, 1963, 1971, 1975, 1979, 1980, 1986 Galerie Mignon-Massart (Nantes).

1958 En avril, galerie Marcel-Sautier, rue des Saints-Pères (Paris), il présente les Premières Le res à L. C., de Gustave Flaubert, publiées par la société de bibliophiles « Les Impénitents ».

1959 Galerie de l’Odéon (Paris), chez François Wils.

1968 Présentation du l’ouvrage Herbier au musée Gutenberg et à la Gutenberg Buchhandlung, à Mayence (Allemagne), dans le cadre du cinquième centenaire de la mort de l’inventeur de l’imprimerie.

Le Club des arts graphiques de Mortemart (Limousin) présente l’Herbier à « L’Échaugue¢e », propriété de l’éditeur de poésie René Rougerie.

Librairie-galerie Rizzoli (New York, USA).

1970 Galerie Keller (Goslar, Allemagne).

Galerie La Gravure (Pully-Lausanne, Suisse), chez Nane Cailler.

Galerie La Vetrina (Rome, Italie).

Galerie des peintres-graveurs (Paris), sur les thèmes « Londres et le marché commun » et « Fruits ».

Mairie de Bry-sur-Marne.

1960 Galerie Fernando Vallerini (Pise et Florence, Italie).

1961 Mairie de Dammarie-les-Lys, exposition organisée par Marcel Pouvreau.

1964 Galerie Schöninger (Munich, Allemagne).

Augusta Rigal (mère de J.J.J.), Marie (sœur d’Edmond), Denise et Jacques, au fond Pépère Émile (grandpère de J.J.J.) vers 1931-1932, dans le jardin de Fontenay-aux-Roses © Photo Edmond Rigal

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1965 Tross (Denver, Colorado).

Pierre Dubreuil, Elvire Dubreuil (modèle de Modigliani), J.J.J. Rigal et Nicole Rigal au pied de la maison de Pierre Dubreuil, dans le golfe du Morbihan © Photo Denise Rigal

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Jean Cassou et Jean Adhémar en 1970, lors de l’inauguration de l’exposition à la Galerie des peintres-graveurs © Photo Pierre Maget

Pierre-Yves Tremois et J.J.J. Rigal devant les « conjonctions » de celui-ci, lors de l’inauguration de l’exposition de 1973 à la Galerie des peintresgraveurs © Photo Gérard Vandystadt

André Jacquemin et J.J.J. Rigal lors du vernissage d’une exposition © Photo archives personnelles

J.J.J. Rigal en 1970, avec Jacques Frapier, directeur de la galerie, et Renée Moutard-Uldry, critique d’art, lors de l’exposition à la Galerie des peintresgraveurs © Photo Pierre Maget

Jean Cassou et J.J.J. Rigal en 1973, lors de l’exposition à la Galerie des peintresgraveurs © Photo Pierre Maget, studio Gillet

J.J.J. Rigal et Jacques Houplain en 1977, lors de l’inauguration de l’exposition « Edmond Rigal » à la galerie arenella © Photo Gérard Vandystadt

1976 Galerie Paul Maurel (Antibes).

Galerie arenella (Paris), sur le thème « Autour d’une tapisserie ».

1971 La maison de Lyon (Lyon).

1972, 1974, 1977, 1982 Galerie de l’Ours (Bourges).

1972, 1987 Galerie Fischer (Minden, Allemagne).

Jacques Frapier et J.J.J. Rigal le 15 mars 1975, lors de l’inauguration de la galerie arenella © Photo Gérard Vandystadt

J.J.J. Rigal, Jacques Lassaigne, Albert Skira et Charles Orengo en 1972, au musée d’Art moderne de la Ville de Paris, lors de l’exposition « Malraux-Dalí. Roi, je t’a ends à Babylone » © Photo Gérard Vandystadt

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1973 Galerie La Gravure (Pully-Lausanne, Suisse), chez Nane Cailler, sur le thème « Hommage à Pierre Cailler ».

Mairie de Deuil-la-Barre.

Galerie Es Portal (Cadaqués, Espagne).

Galerie des peintres-graveurs (Paris).

1975 Galerie Synthèse (Anvers, Belgique).

1977 Galerie arenella (Paris), présentation de La Longue Histoire d’André Dhôtel, publiée par la société de bibliophiles « Les Bibliophiles de France et de Normandie ».

1978 Galerie arenella (Paris).

1979 Galerie Aktuaryus (Strasbourg).

Galerie Mitkal (Abidjan, Côte d’Ivoire).

1979-1983 Galerie Lelaizant (Niort).

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CATALOGUE RAISONNÉ GRAVURES MONOTYPES

J.J.J. Rigal en 1979, serrant la main du professeur Lanciné Sylla lors du vernissage de son exposition à la galerie Mitkal, à Abidjan (Côte d’Ivoire) © Photo archives personnelles

J.J.J. Rigal et Alain Malraux en 1984, lors de l’inauguration de l’exposition de la galerie Guiot © Photo archives personnelles

J.J.J. Rigal en 1993 avec Lars Bo et son épouse Doreen, dans la cour de la galerie Aux peintresgraveurs, à Marly-le-Roi © Photo Nicole Rigal

1981-1984 Galerie Guiot (Paris).

1987 Centre culturel de Buc.

1997 Couvent des Carmes de Mortemart.

1984 Librairie L’Arbre à le¢res (Paris).

Galerie Aux peintres-graveurs (Marly-leRoi).

1988 Centre culturel Artitude (Bergerac).

Galerie La Gravure (Pully-Lausanne, Suisse).

Galerie du Parc-Royal (Paris).

1998 Médiathèque de Fontenay-aux-Roses.

1985 Galerie Busse (Bielefeld, Allemagne).

Galerie Niers-Kendel (Goch, Allemagne).

1989 Galerie Feille (Clairac).

1986 Galerie Claude Hémery (Paris).

1990 Galerie Moyon-Avenard (Nantes).

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2000-2001 « Méridienne verte. Mission 2000 en France. » Petite-Synthe (Nord), Doullens (Somme), Groslay (Val-d’Oise), SaintBenoît-sur-Loire (Loiret), Uzès (Corrèze), Loupiac (Cantal), Colombiès (Aveyron), Prats-de-Mollo-la-Preste (Pyrénées orientales).

1991 Galerie CCF (Dijon).

Centre culturel du Mée-sur-Seine.

Galerie Academia (Cadaqués, Espagne).

1993 Galerie Aux peintres-graveurs (Marly-leRoi).

AGF (Toulouse). Éditions universelles (Toulouse).

1994 Atelier de Marie (Saint-Médard-enJalles).

1996 Galerie 23 (Barbizon).

J.J.J. Rigal dans son atelier, vers 1985 © Photo Denise Rigal

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1996 Musée Richard-Anacréon (Granville).

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Expositions collectives

1933 Première participation au Salon d’automne (Paris).

1942 Salon national des Indépendants.

1946 Salon des moins de trente ans.

1951 Galerie La Boétie : première exposition des « Graveurs d’aujourd’hui », organisée par Jean Bouret.

1952 Quinzième exposition de la société de peintres-graveurs « Le Trait ».

1952-1953 Expositions à la galerie Beaux-Arts (Rennes), avec Jean Couy.

1952, 1953, 1955, 1959 Peintres-graveurs français.

1953 Salon des arts, sciences et le¢res du Limousin (Limoges).

Biennale d’art de Turin, sur invitation de Raymond Cogniat.

1953-1954 Salon de mai.

1954 Exposition du groupe « Jeune estampe », sur les thèmes « Le métro » et « La magie ».

Arts et livres de Provence.

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Salon du dessin et de la peinture à l’eau.

Collège de Bergerac, exposition de graveurs parisiens.

Atelier Rigal (Fontainebleau).

1955 Galerie Gian Ferrari (Milan, Italie), première Exposition internationale de gravure contemporaine.

1956 Musée et archives d’Arts graphiques (Jérusalem, Israël).

1958 Ire Triennale internationale de la gravure en couleurs (Grenchen, Suisse).

1958 Centres culturels de Narvik, Oslo et Bergen (Norvège).

Galerie La Gravure (Paris), chez Pierre Cailler.

1963 Exposition à Budapest avec les « Peintres graveurs-français ».

1964 Bibliothèque royale Albert-Ier (Bruxelles), avec le Comité national de la gravure.

1968 Pavillon d’Anne de Bretagne (Blois), événement « Prestige du livre français ».

Mini Galerie (Barcelone, Espagne).

Bibliothèque nationale de Cologne (Allemagne), exposition « La gravure française de 1930 à nos jours ».

Lunn Gallery Inc. (Washington, USA).

1959, 1962 Exposition internationale de Cincinnati (Ohio, USA).

1969 Galerie Bijutsu (Tokyo, Japon).

Galerie Robert Arthur (Los Angeles, USA).

Galerie des peintres-graveurs (Paris), exposition « 1 000 gravures ».

Galerie Alain Durvil (Barbizon).

XXIIIe Salon annuel de Dammarie-les-Lys.

1960 Galerie Landwerlin (Strasbourg).

1971 Foyer d’action culturelle de Saint-Brieuc.

1961 Musée Cantini (Marseille), exposition « L’estampe française contemporaine ».

1972 Lycée de Dammarie-les-Lys, avec son père Edmond Rigal.

XXIIIe Salon du dessin et de la peinture à l’eau.

Biennale de l’estampe d’Angoulême.

IIIe Salon interrégional de la gravure originale au musée de Bayeux.

1959, 1961, 1963 Biennale de Paris.

1962 Galerie des peintres-graveurs (Paris), exposition « La chasse ».

IIIe Biennale d’art de Tokyo (Japon).

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CATALOGUE RAISONNÉ GRAVURES MONOTYPES

Galerie Saint-Placide (Paris), Prix de la critique.

Invité d’honneur au Salon de SaintRémy-lès-Chevreuse.

Galerie des peintres-graveurs (Paris), exposition « Estampes pour elle et lui ».

1973 IIe Biennale internationale de l’estampe (Épinal).

Fort-Saint-Charles (Basse-Terre) et musée Schoelcher (Pointe-à-Pitre), exposition « Estampe originale figurative de 1880 à 1972 ».

1974 Neuilly-Plaisance, exposition « Estampes actuelles ».

Château de Saint-Ouen, dans le cadre du Festival de poésie murale, sur un poème d’Andrée Chedid.

IIIe Salon international du livre d’art et de bibliophilie (musée d’Art moderne de la Ville de Paris).

1975 Galerie Gisela Piro (Frankfort, Allemagne).

Salon du dessin et de la peinture à l’eau (palais de la Méditerranée, Nice).

Salon de l’Estampe, Tel-Aviv (Israël) 1976 Galerie arenella (Paris), exposition « Deux bas-reliefs pour une porte ».

Foire internationale de l’art (Taipei, Taïwan) 1977 VIIe Salon d’automne (Montmorency).

1978 Château des Stuart (Aubigny-sur-Nèse), festival « Poètes en Sologne », dans le cadre de l’événement « Poésie murale ».

XXIe Salon de Beaumont-sur-Oise.

Musée Idemitsu (Tokyo), exposition « André Malraux et le Japon éternel ».

IIe Triennale de gravure (Givet).

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1979 Souvenir de Corot (Ville-d’Avray).

Galerie du casino (Cherbourg), exposition sur le thème « La mer ».

1980 Souvenir de Corot (Ville-d’Avray).

Librairie Les Deux Mondes (Paris).

1982-1983 Souvenir de Corot (Ville-d’Avray).

1984 Centre culturel de BoulogneBillancourt, exposition « 92 artistes du 92 ».

1985 Galerie La Gravure (Paris), exposition sur le thème « Nature morte ».

Château Sainte-Barbe (Fontenay-auxRoses), avec son père Edmond Rigal.

Galerie Fischer (Minden, Allemagne).

Salon international de la gravure, palais de la Beaujoire (Nantes).

1986 Salon « Créations contemporaines » (Saint-Junien).

1987 Galerie Lelaizant (Niort).

Salon de Lives (Le Mée-sur-Seine).

1988 Château Sainte-Barbe (Fontenayaux-Roses), exposition sur le thème « Le Massif central ».

Librairie Blaizot, exposition sur la production des éditions Rougerie.

1992 Château de Bourdeilles, exposition « Vingt graveurs contemporains autour de Rembrandt ».

1993-1994-1995-1996 Salon de Bourg-la-Reine.

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1994 Château des Izards (CoulounieixChamiers).

1996 VIe Carrefour des arts (Linas), invité d’honneur.

1999 Galerie Le¢res et Images (Paris), exposition « Paris vu par Edmond et J.J.J. Rigal ».

2000 Théâtre de Coulommiers, exposition « Centenaire de la naissance d’André Dhôtel ».

2002 Orangerie des musées de Sens, exposition « Techniques et trésors de la gravure ».

2004 Moulin Fidel (Le Plessis-Robinson), prix Rigal de la gravure originale, sur le thème « Le jardin ».

2006 Médiathèque de Fontenay-aux-Roses, exposition « J.J.J. Rigal. 80 ans de gravure ».

2007 Observatoire des monts de Guéret (Sainte-Feyre), prix Rigal de la gravure originale, sur le thème « Les astres ».

2008 Moulin Fidel (Le Plessis-Robinson), prix Rigal de la gravure originale, sur le thème « Les arbres ».

2009 Wiesloch (Allemagne), exposition de gravures tirées depuis 1927 aux ateliers Rigal.

Château de Draveil, « Paris-Jardin ».

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2010 Museu Amadeo Cardoso de Souza (Amarante, Portugal), exposition de gravures tirées depuis 1927 aux ateliers Rigal.

2011 Pavillon Davioud, Sénat (Paris), exposition « Autour de Paris ».

2012 Saint-Léon (Allier), La Folie Desmares (Châtillon, Hauts-de-Seine) et médiathèque de Fontenay-aux-Roses, exposition « Un arbre, une œuvre, des fruits ».

Musée d’Art et d’Histoire de Meudon, prix Rigal de la gravure originale, sur le thème « Le paysage ».

2013 Paunat (Dordogne), exposition « Un arbre, une œuvre, des fruits ».

2016 Médiathèque de Fontenay-aux-Roses.

Museu Amadeo Cardoso de Souza (Amarante, Portugal).

Museu Municipal Santos Rochas, Figueira da Foz, exposition « PortugalFrance 20 graveurs ».

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Bibliographie

ANDRÉ MALRAUX

« Un graveur de 8 ans, J.J.J. Rigal », Arts et métiers graphiques, 1934

JEAN-EUGÈNE BERSIER

La Gravure, Paris, Berger-Levrault, 1974 EMMANUEL BÉNÉZIT

CLAUDE ROGER-MARX

« Jean Rigal, ou le moins de dix ans », Le Jour, 1934 JEAN CASSOU

« Un enfant de Paris. J.J.J. Rigal, graveur de 8 ans », Synthèse, juin 1935 ARMAND NAKACHE

« Exposition du trait », Flammes vives, 1952

Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays, Paris, Gründ, 1976 JEAN CASSOU

« L’enfant qui tint ses promesses », préface à l’exposition arenella, carton d’invitation, 1978 DIDIER ROMAND

EDMOND POGNON

« Exposition à la Bibliothèque nationale », Les Cahiers du bibliophile, 1954

L’Argus de la gravure et de la lithographie, Paris, Balland, 1978

ÉMISSIONS DE RADIO

1950 Entretien sur l’art sacré avec le peintre Xavier Longobardi et le critique Robert Vrinat 1959 « Le magazine des arts », entretien avec Jacques Borel 1959 et 1966 Radio Nantes 1967 Entretien avec André Parinaud (RTL) 1969 Entretien avec Roger Bouillot (France culture)

ROGER BOUILLOT

Floralies de Nantes, 1963

article dans Tout prévoir, Groupe Pasteur Mutualité, 1981

GEORGES AMIAND

FRANÇOISE BERGEAUD

GÉRARD FINEL

article dans Contact. Revue du Maïs, 1964

« Rigal, l’invitation au voyage », Le Pharmacien, 1981

JEAN ADHÉMAR

La Gravure originale au e siècle, Paris, Somogy, 1967

JOAN JOSEP THARRATS

Cent anys de pintura a Cadaqués, Barcelone, Edicions del Cotal, 1981

LUCIEN GALIMAND

« Bibliophilie », La Quinzaine li éraire, 1967

JANINE BAILLY-HERZBERG

RAYMOND COGNIAT

Dictionnaire de l’estampe en France : 1830-1950, Paris, Arts et métiers graphiques, 1985

L’Herbier, 1967 MICHELINE SANDREL

« En avant-première du printemps. L’Herbier », Le res et Médecins, 1968

JEAN LESCURE (dir.)

Album Malraux, Paris, Gallimard, 1986

The Artist and the Book in France, Londres, Peter Owen Ltd., 1969 RAYMOND COGNIAT

Les Cahiers d’art – Document, Lausanne, Éditions Pierre Cailler, 1970 EUGÈNE ROUIR

L’Estampe, valeur de placement : conseils aux amateurs et collectionneurs, Paris, G. Le Prat, 1970

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ÉMISSIONS DE TÉLÉVISION

1959 Télé-Paris, avec Jacques Chavannes 1968 « La tribune des libraires », émission de Jean Prasteau, prises de vues de Jean Royer 1968 « Le magazine féminin », entretien avec Micheline Sandrel

« Ouverture », Cours à l’encre et au lavis, Paris, De Vecchi, 1996

1969 Visuels ayant servi à la réalisation du générique pour « La revue des arts » « Salon international de bibliophilie, Bruxelles.

J.J.J. Rigal grave en direct » (Télévision belge)

NICOLE RIGAL

CINÉMA

NICOLE RIGAL WALTER JOHN STRACHAN

1969 Deux émissions consacrées à sa discothèque par Roger Bouillot

« L’aquatinte », Cours de gravure, Paris, De Vecchi, 1997

1968 Actualités « Éclair » 1997 3 minutes de journal télévisé France3 Limousin à propos de l’exposition à Mortemart

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Poète de l’image, il est aussi l’illustrateur de nombreux livres de bibliophilie, romans classiques, inÊdits, poèmes, notamment ceux de ses amis AndrÊ Dhôtel et Jean Grosjean.

Produit des recherches minutieuses effectuÊes par Denise et Nicole Rigal, son Êpouse et sa fille, cet ouvrage, ÊclairÊ par un texte de Lydia Harambourg, prÊsente pour la première fois la totalitÊ des gravures et monotypes de J.J.J. Rigal.

J J J RIGAL

Reconnu graveur dès l’âge de 8 ans par AndrÊ Malraux, Jean Cassou et Claude Roger-Marx, Jacques-Joachim-Jean Rigal (1926-1997) – J.J.J. Rigal de sa signature – est un artiste Êclectique mais surtout le promoteur ÊmÊrite de la gravure en couleurs. Ses gravures rÊvèlent son monde intÊrieur à partir de la contemplation mÊditative des sujets les plus communs : arbres, fruits, fleurs, insectes, mais aussi villes dans leur reprÊsentation silencieuse, souvent insolite.

J J J RIGAL CATALOGUE RAISONNÉ GRAVURES MONOTYPES Texte de Lydia Harambourg

CATALOGUE RAISONNÉ GRAVURES MONOTYPES

978-2-7572-1040-6 49 â‚Ź

Couv Rigal Format DEF.indd 1

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