# E N O Z P R A W # A I G R U # M M E A C J I R E B AM G # FA L A B O L G # # C L E E R R R U A B M IE R L E A K H I T R A N N E # D #H N A R U D E T T O L R A # CH
la rédaction de l’Hypocrite, on aime à jouer avec des mots, des crayons et des pinceaux. Pour ce nouveau numéro, nous avons joué à plusieurs : au jeu des formes avec l’artiste Charlotte Durand, aux jeux des lois avec l’écrivaine Nathalie Burel, à cache-cache avec Zilda et au jeu des vérités avec le metteur en scène Fabrice Murgia. Nous avons pris l’apéro aux bars Warpzone et l’heure du jeu, rencontré un jeune barbu qui s’y connaît et quatre garçons dans le vent, des gamers créateurs ou peut être était ce l’inverse, peut importe ! Nous avons découvert de mystérieuses coulisses et des mondes parallèles, alors, prêt pour l’aventure ? Bonne lecture.
Louis
HENRI KERMARREC, CRÉATEUR DE JEUX À l’heure de l’apéro, nous sommes au bar ‘’l’heure du jeu’’. On y joue pas pour boire mais on y bois un peu pour jouer.. L’affaire est ouverte depuis août 2012. Ici, on organise des soirées jeux, à la demande, pour des associations, des entreprises. On compte plus de 800 références. Le lieu, qui propose des animations et des initiations, est partenaire de plusieurs festivals. Autour d’un excellent saucisson, retour sur un parcours professionnel et sur une passion de toujours avec le créateur de jeu Henri Kermarrec. Hypocrite : Qu’est-ce qui vous as mené à devenir créateur de jeux ? Henri Kermarrec : Je jouais aux jeux de société, puis, j’ai commencé à jouer aux jeux de rôle, c’était le grand ‘’boom’’ dans les années 80-90. Le jeu de rôle est un «plaisir improductif’’, d’ailleurs les gens me disaient que ça ne me mènerai nulle part. Ca n’avait pas bonne presse à l’époque, mais toutes ces expériences m’ont permis d’avoir un esprit créatif. J’ai arrêté un temps, j’ai fais des études qui ne m’ont mené qu’à des petits boulots comme pizzaiolo, dans le télé marketing, dans une usine pharmaceutique.. Puis à 27 ans j’ai repris une formation de graphiste. J’ai été maquettiste puis chef de studio dans un petit groupe de presse parisien. J’ai eu un enfant, et là j’ai décidé de poser ma démission car ce n’était pas facile de combiner ce travail avec la vie de famille (horaires tardifs...). Je me suis donc mis à mon compte et j’ai pris le temps d’inventer des jeux. H : En vivez-vous ? HK : L’éditeur gagne 20% sur le prix de vente
public et il n’en donne que 6% au créateur, le reste est pour lui. Les créateurs de jeux qui peuvent en vivre ne sont pas nombreux. C’est pour cela que c’est essentiellement un milieu de passionnés, d’autant plus qu’il n’y a aucune formation de créateur de jeu. H : Pour vous, qu’est-ce qu’un bon jeu ? HK : Il y a 2 composantes dans un jeu : il y a
le jeu élégant mécaniquement, les parties ne
se ressemblent pas, pas d’histoire, comme par exemple les échecs ; et le jeu thématique, avec une histoire importante et beaucoup de règles. Un bon jeu pour moi est simple, élégant et possède une histoire.
// PROCESSUS DE CRÉATION Noter un max d’idées !
Créer des prototypes pour mettre le jeu à l’épreuve !
Jeu fonctionnel ou fun ?
Quelle est la durabilité du jeu ? HK : Le secteur est en pleine mutation. Le
marché est en surproduction. Il y a quelques monopoles pauvres, d’un point de vue ludique, par exemple le ‘’Monopoly’’. La durée de vie est courte. Elle dépend de l’importance de la publicité, la communication de l’éditeur et aussi du distributeur. La vente du jeu se fait de manière exclusive, il faut donc avoir un distributeur qui persiste si le succès n’est pas immédiat car avec cette surproduction actuelle le distributeur à un choix à faire sur les jeux vendus. Christophe
Faire jouer d’autres personnes !
Cibler et trouver un éditeur ! Signer un contrat !
Fabriquer et vendre le jeu !
H : Quel est le point de départ pour créer un jeu ? HK : On ne crée jamais à partir de rien, c’est pour cela que la première étape, c’est sortir de chez soi, avoir une bonne idée. Il est important de se connaître pour mieux créer. Il faut aussi être curieux, aimer les gens. Dans un jeu de société , il y a le mot société, c’est important de s’y intéresser...
Jouer et rejouer !
«On peut en savoir plus sur quelqu’un en une heure de jeu qu’en une année de conversation.» Platon
Cache-Cache Dans le cadre du festival ‘’Urbaines’’, un curieux personnage à élu domicile sur un mur de l’antipode MJC de Cleunay. Nul ne sait qui il est, ni ce qu’il fait. Il est musclé et à des ailes, semble être un homme mais n’a pas de sexe. Certains voient qu’il est en train de chuter, d’autres qu’il vole. Il est entouré d’un halo de mystère. Mais l’œuvre en question n’est pas la seule à être énigmatique, il l’est aussi. e dis il mais s’agit t-il vraiment d’un homme ou bien est-ce une femme. Derrière l’œuvre, il y a le secret de son auteur. Même en cherchant un peu, les questions demeurent... L’étrange créature... Est-ce Icare , ce héros grec qui vole vers le soleil ou qui chute après que l’astre céleste ait fait fondre la cire de ses ailes ? C’est un personnage qui semble fasciner cet artiste silencieux qui comme le héros grec désirerait pouvoir voler. En témoigne une de ses œuvres installée à Naples dans une église abandonnée, une reproduction de la méditation de Francesco Hayez. Laquelle église fut d’ailleurs ouverte au public, sans qu’il ne le sache, le lendemain de sa performance. La gazette de Naples écrivait ce même jour que deux français seraient venus piller l’église et qu’ils pourraient être satanistes. Selon il, qui sévit dans les rues de plusieurs villes européennes, cette expérience compterait parmi ses œuvres les plus inoubliables .
dire ? Son identité est aussi énigmatique que le sont ses œuvres. Parfois, elles sont signées, parfois rien ne permet d’identifier son auteur. D’autres comme lui savent entretenir le mystère, se fondre dans la masse et récolter les impressions des passants en toute discrétion. Une tête sur un groupe électrogène, d’étranges slogans ou un héron sur un mur... C’est WAR, le seul indice qu’il laisse derrière lui, ce sont ces trois lettres muettes. Comme pour nombre de graffeurs, on ne peut s’empêcher de se questionner. Qui sont-ils ? Pourquoi avoir choisi ces pseudonymes ? WAR condamne t-il la guerre ou l’appelle t-il de ses vœux ? Toute personne est définie en tant qu’être par le fait qu’elle pense. Pour certaines, les pensées se peignent et se dessinent comme en témoignent leurs œuvres sur les murs de la ville... n Louis
www.antipode-mjc.com/urbaines/ zildastreetart.blogspot.fr/
Il dissimule son visage sous la capuche d’un sweat-shirt noir sur lequel sont inscrit cinq lettres : ZILDA, toutes aussi mystérieuses que la personne portant ce vêtement. Qui se cache derrières ces lettres et que cherche t-il à nous
«Je ne peux pas dire si le jeu était l’explication de cet enfermement, mais néanmoins il y a participé»
#in
ter
vi e w
// LHYPOCRITE 5 //SAISON #03 Trimestriel // mars 2015
Rencontre avec le metteur en scène Fabrice Murgia Peu avant la représentation du spectacle ‘’La peur de n’être’’, nous sommes confortablement installés dans les fauteuils du hall d’entrée du théâtre de l’Aire Libre. C’est là, sous l’escalier qui mène à la salle aux pendrillons que nous discutons avec son auteur, Fabrice Murgia : du jeu qui tourne mal, de la solitude et de l’isolement. Puis de son métier, de ses inspirations et de ses doutes. Détendu et souriant, nous le quitterons au terme d’une demi-heure d’échanges passionnants.
artara.be
Hypocrite : La compagnie se nomme ‘’Artara’’, c’est italien ? Farice Murgia : Non, c’est une contraction de Artaud, (NDLR :Antonin Artaud, le dramaturge français qui prônait un théâtre qui parle d’abord aux sens plutôt qu’à la tête) et de Sankara (NDLR : Thomas Sankara est un révolutionnaire Burkinabé qui a fait des discours contre la dette du tiers monde. H : Dans tes spectacles, pourquoi abordes tu régulièrement des sujets telles que la solitude et le chagrin ? FM : Au départ, j’ai commencé comme acteur mais je ne me sentais pas à ma place. Je voulais raconter des histoires, ce que je perçois du monde dans lequel je vis et que je ne vois pas dans les pièces de Théâtre. Aller chercher chez les individus la faille de leur époque. Et très vite je suis tombé sur la solitude, sur la nouvelle façon de communiquer les uns avec les autres. Il me semble qu’il n’y a pas de loi autour de ça, les politiques sont un peu déstabilisés, ils ne proposent pas des choses qui correspondent à notre époque. Nos parents se sont battus pour que l’individu existe en tant que tel : défense des droits des homosexuels, des droits des femmes… Mais je trouve que maintenant l’individu est bien seul parce que l’on a aussi détruit le collectif, on a détruit des façons d’être ensemble. Ce sont des sujets qui m’attirent et j’ai donc commencé à parler de l’identité : qu’est ce qui nous différencie ? J’ai aussi une histoire personnelle liée à l’immigration, je suis Italo espagnol né en Belgique. C’est pourquoi je me suis intéressé aux histoires d’exils, de solitude, de perte d’identité dans l’exil. H : Ces sujets sont parfois tabous, comment fais-tu pour les aborder, les mettre en scène ? FM : Je pense que la première mission du théâtre et cela depuis 2000 ans, c’est de réveiller les pulsions. Si j’osais en parler, j’en parlerais, mais je fais du théâtre car je n’ose pas le dire… Donc je mets en place des situations. L’art peut servir à ça, à montrer parfois des choses qui sont taboues pour l’humain. Quand on voit une personne qui peut tuer ses enfants, ça nous fait peur car on sait que ça pourrait nous
arriver aussi. La question du théâtre que je fabrique comme dans ‘’Le destin des ogres’’ c’est de montrer que l’on ne peut rien pardonner mais que l’on peut chercher à ne pas prendre l’autre pour un démon et se dire : il est juste humain. Il est facile de pointer du doigt sans chercher plus loin. H : Dans la présentation du spectacle, on évoque le phénomène des ‘’Geekikomori’’. C’était le point de départ pour l’écriture de la pièce ? FM : C’est ca. C’est l’histoire d’un proche qui s’enfermait dans sa chambre. Je ne peux pas dire si le jeu était l’explication de cet enfermement, mais néanmoins il y a participé. Il s’est enfermé chez lui, a décidé de couper des ponts avec le monde, de ne pas chercher de travail, de ne rien chercher. Il était dans sa chambre depuis 10 ans, Il ne faisait rien. La question n’est pas de le condamner mais de se demander ce qui se passe dans la société pour que des gens ne veuillent plus faire partie du collectif. La société est très exigeante avec les individus. Tu sors de l’école on te dit : cherche un travail, fais ceci, fais cela…Si tu ne gagnes pas tant par mois, tu es nul, ca ne laisse pas beaucoup de place aux chemins et à l’humain. L’isolement est une chose terrible ! C’est compréhensible à un moment de l’histoire de l’humanité de s’inventer un monde entre quatres murs qui seraient plus beau que le monde extérieur. Comme le monde des jeux vidéo ? FM : Par exemple. H : Pour ton ami, comment se traduisait sa communication avec le mode extérieur ? FM : Essentiellement par une interface qui était un écran. Cela pose une question sur la solitude et la communication aujourd’hui. L’idée de parler au monde sans que le monde ne me voie. Et ça, c’est très lié à notre époque, tous les individus sont des antennes qui peuvent envoyer beaucoup d’informations. Ce n’est pas un problème en soi, je témoigne de notre époque, je ne la juge pas, mais elle pose des questions importantes et les politiciens devraient s’en emparer. Ils répondent surtout à des questions sur le plan de
l’économie, pas toujours sur le plan humain. H : Pour parler de ces sujets, est ce que tu penses que c’est mieux d’aller à un spectacle qu’à une conférence ? FM : Les deux sont nécessaires. Une histoire peut aider les gens qui ne vont pas aux conférences à se poser des questions. D’ailleurs dans les bonnes conférences les gens ne font que raconter des histoires pour illustrer leurs pensées. H : Assumes-tu la portée politique que peuvent avoir les pièces que tu écris ? FM : Il y a toujours une portée politique quand on pose les bonnes questions. J’essaie qu’il n’y en ait pas dans ma narration parce que je ne suis pas plus malin que le public. Souvent il est plus vieux que moi et je n’ai pas à lui dire ce qu’il doit penser. Par contre, pour faire un spectacle il faut de l’indignation, de la révolte et donc ça oriente la manière dont tu poses la question. Mais j’essaie que ca reste vraiment une question et je ne m’embarque pas dans le fait de défendre des mouvements politiques existants car je ne me reconnais dans aucun de ces mouvements. H : Pourquoi fais-tu du théâtre muet, des spectacles sans paroles ? FM : Je n’ai fait qu’un spectacle sans texte, sinon je fais plutôt des spectacles visuels. D’ailleurs dans ‘’la peur de n’être’’ le comédien parle souvent pour qu’on ne l’entende pas penser. Tout ce que les personnages disent n’est jamais vraiment sincère. Peut être deux ou trois fois, quand l’émotion monte et que l’on doit cracher quelque chose au visage d’un autre. Il y a une scène d’entretien d’embauche et les personnages se disent des conneries, ils sont en train de penser à autre chose. C’est pour parler de la légèreté de la communication. Mais les dialogues ne sont pas la chose la plus importante au théâtre pour moi. L’image, l’enchainement des images, le fait de les mettre dans un sens ou dans l’autre, ça change beaucoup de choses. La rythmique, le dynamique, le rôle de la musique… H : Comment travailles-tu la scénographie ?
FM : C’est du minimalisme compliqué. Il n’y a presque rien. Il y a un acteur debout. Mais il y a beaucoup de gens dans le noir qui se mettent en place, un peu comme dans la magie. Il y a des vidéos, des caméras en direct. La vidéo est un langage que j’utilise beaucoup parce qu’il m’aide à voir des gens sur scène. L’idée de la vidéo c’est qu’il y a le réel et la représentation du réel. Il n’y a pas besoin d’acteur pour faire un spectacle. A partir du moment où tu as décidé que tu es spectateur, il y a spectacle. H : Comment guides-tu le jeu des comédiens ? FM : Les pièces se construisent souvent sur le plateau. J’écris des squelettes narratifs et puis j’essaie de les faire vivre avec le comédien, avec son histoire. Le personnage a souvent le même nom que lui, il réagit comme lui. Je cherche à ce que les comédiens aillent plus loin que leurs idées sur la chose, qu’ils habitent la chose avec leur histoire. Ils sont d’abord dirigés par des principes techniques, c’est très précis, puis je leur laisse une liberté d’improvisation que je resserre au fur et à mesure des répétitions. H : Combien de temps de préparation pour ‘’la peur de n’être’’ ? FM : Il y a eu un mois et demi de répétition, parce que j’aime bien que ces temps soient courts. Par contre, c’est presque un an de calcul, d’axes de caméra, de projections… Souvent le spectacle à la première est beaucoup moins bon que celui à la trentième. Ce soir, ce sera la quarantième. Il faut jouer la pièce plusieurs fois pour la gérer. Je n’aime pas les temps de répétition trop long. Un spectacle qui est prêt trop tôt, il n’y a rien de pire. Les acteurs ont toujours besoin d’arriver à un pic et si le pic est trop loin… II y a un moment ou ils ont besoin du public, il faut qu’ils l’affrontent pour continuer à améliorer la pièce et comprendre la relation avec la salle. Plus il y a du temps, plus les acteurs cherchent de faux problèmes. L’acteur est le roi du faux problème. n Sara
#performance
Conception et pose d’un papier peint. Dans chaque numéro de L’Hypocrite la page centrale est confiée à un artiste. Charlotte Durand a été invitée à travailler avec les rédacteurs de L’Hypocrite autour de la thématique du jeu. Ils ont expérimentés différentes techniques pour créer cette affiche qui a ensuite été éditée à 120 exemplaires afin de recouvrir un des murs du bâtiment L de l’Université Rennes 2. Cette installation s’intitule « Le jeu infini des formes » et renoue avec la fonction originelle et décorative de la tapisserie. Charlotte Durand est issue d'un cursus Master Arts plastiques à l'Université Rennes II. Ses recherches portent sur la répétition du motif et de la série, mises en pratique par des techniques telles que le découpage, le moulage, la sérigraphie ou l'estampage charlotte-durand.tumblr.com Voir la vidéo de l’installation : vimeo.com/121226240
avais déjà A vingt ans j’ t. en ém rc fo s’en est ulier, ble. Le patron ien en partic ta m en le m la rs t lo a en l, aim éra nnoncer « tenant c’est vr vait plus d’a rnoms en gén in ou su a p s m n , le ’e T n te e Il es ik e. ét dir n pouvait Je d eler M plus avoir à le t-être qu’il n’e antait me faire app e à eu n P r n co ou !» p n e lé ’u m il d u ti ch l’air t débro pour son T. c l’autre qui , alors il s’es issez Mike T émousser ave d tr u aires. Et e la rendu compte ff p m a p a s er , le rd r es a me reg bon pou Mesdam e t is u n a q a m n et ja te r in u st a o ’e v m n Et e personne qui Azna le monde, ce it tous. Comm e qu’un de Charles t u s va to lu sa p à le on on n on rd , s te plu le bou à autre chos . Dans la boi oi, ça foutait l aux affaires ché un sourire pour autre chose ta ro éc en Emmenez-m d m i ti n n a se p m ur pport très ement sy s son petit cœ André a un ra entendu dire un truc vagu de place dan s a p it is va a ’a m n l ne l’avait ja e penser qu’i ’il avait eu vite fait d it va a on t, avec fierté qu le er bil ét p ré u ea our me vait b gros chèque p vraiment. Il a on s b que son fric. a p n u it c a ve im a a i n, il ne l’ r qui rentre ic Kat and So nt « le premie jardin. » ve u on ait soit so m i Même le Déli s n ss a u d a dire qu’elle ét e de lui il disait , lu tu u it a ro vo st d e it n en ra u t u i a a ce ça fondé e je foutr e, parce que te promets qu iner une femm g a im i le prendre, je . re et faire n lu io à g é de la ré es, se plaind ait risqu re d ét os s’ in ch e la x n p e eu à n d s n plu iot, mais Perso aimer it la femme la ur-là, c’est id re de type à so jo en e g ce ll , fo le on t et tr es a le c’ p g aveu sse du lement rs, la délicate er que norma Il faut imagin ère de ce qui lui arrive. Alo omme enti re mon sac. C d n re p payer la terre et le e. vour gueu uelque chos r quand Azna ’à fermer ma le u q ia ch eu ça m’a fait q e is d ra e u vi idée, je n’a nt en boulevard et rrant comme vieilles avaie a n s u m le it e ça u va q a vé e il ir , ou d lles it tr Avec moi roit de me vait eu des fi début, il ava . Il était en d s soirs, il y a numéro. Au le ça s on u is m a to t M is . avec Ambre en » ça en soleil n mom que je comm Et pendant u er au pays du . en se a m te e. em p g t’ ri raboulait et fu st is oi » pour un ien dans un re pour ne on grand je va « Emmenez-m « mais oui m es, je faisais l’effet d’un ch r, le rouillé eu u g r ou eill sp Et il s’est déb . it d s a voir me p un peu saoule mps que même aux plus vi a l’ ndré ne qu’un de me A el u te is q a e u M er q . ss el es u re ir q is un inté s affa faisait ice si tu laissa ça continue à s bon pour le rv e a u se p q é r st cr ou ’e p n sa x n ce u is Et ça, is trop vieu tu me rendra dire que j’éta an m’a lâché, rm , c’est a b pas avoir me on m Mike, and il a dit ça de u « q it d sé a en Il p . i a er r dessap bar. » e à laquelle j’ it bien pense pour tenir le première chos ce qu’il pouva la é d is n a a m peu la scène em t, d io is re sembler id m’étais jama Ca va peut-êt ant ça, je ne Av . er im ’a m . ien aiment. lisant j’avais Ambre qu’il devait b ’en foutais vr m je e u q fé croissant et s foutre parce oi n ca cr ’e n m je so e t t d n ou s ta rt u on ro moi. S des rais sans fin en si maine j’avais elle se coiffe , re u el Avant cette se ev ch e ix électrise sa it la deuxièm Ambre, sa vo comme c’éta is a . M ts . n a ré g d n es ’A d e. prenne atesses d l ic ’i u él q d la revue Roug es ce d n ta tu or me n serais fou voir de l’imp as souciée de maine, je m’e s’est mis à a le ne s’était p ça el e, et g é g sa n Avant cette se ’u co d s e signifier mon e trouvait hor c’est fois qu’on m dresse pour m n te e d s eut-être que n p oi e m u q is m et t it n Ambre ava . endant que je st pas suffisa utre fonction n café, en att parfois ce n’e so e es u té q ro is si a a m trouver une a l ti j’aille faire m s, elle e je suis gen refuge, et que trement. Aprè u n a u s s a n p a d Elle a dit qu st n ’e ie n comme un ch mais que ce dégueulasse fixer en silence la e d e êt rr a ue j’ comprenne, q . bagages
‘’T.TIME’’
A partir de jeux d’écritures, de mots imposés (surlignés en jaunes dans le texte), d’une photo de femme, d’un mensonge vécu ou inventé, les participants d’Entrée Libre et Nathalie Burel ont écrit à plusieurs mains une nouvelle originale aux frontières du polar.. Nathalie Burel est un écrivain rennais faisant partie du Collectif d’auteur de roman noir Calibre 35. Son dernier ouvrage, ‘’Bigger than life’’, à été édité aux éditions Les Perseides en 2013.
www.calibre35.fr/pages/ Nathalie_Burel-8746981.html
Ambre, je l’appelais les doigts du hasard, pour tou s ces gestes qu’elle m’ad penser à moi, comme ces ressait sans réfléchir, sa refrains qu’elle invente ns même au fil d’une mélodie plu des temps, tout le temps s qu’aléatoire, « depuis , je perds mon temps. » la nuit Pe utêtre que c’est vraiment pouvais pas m’empêcher égocentrique, mais moi de me dire que la plupa je ne rt de son temps, elle le passa froid dans le dos d’être it avec moi et que ça fic une perte de temps. Et hait fin ale me que vraiment personne nt, c’était comme la bla ne peut blairer. gue du grand paranoïaqu e Ce soir quand André a pa rlé de me mettre au bar, il a dit : « Tu sais Mike, t’es un mec gentil. » - Je ne veux plus entendre le mot gentil, je veux en tendre le mot con. Il a eu un petit mouvem ent de recul, il a levé sa main comme pour calm que j’étais déjà calme et er le jeu, mais il s’est ren que je n’avais pas l’inten du compte tion de dire autre chose d’arrêter de me prendre que ça. Je ne lui demand pour un con, je lui disais ais pas juste que ce n’était plus que je le savais moi aussi la peine d’essayer de me . le cacher, Parce que j’avais vraim ent cru qu’Ambre et mo i, nous aurions tout le du chien. La semaine de truc de la maison et de rnière j’ai demandé sa ma s gosses et in. Elle a ri et elle a ajouté pourrait mourir ou se cou que si elle devait se marie cher ivre sur la table du r, elle repas de noces. Parfois il suffit d’une brè che, juste ça et les loups se mettent à tourner au les interstices. tour de nous, à fureter à travers La nuit j’avais refait ce cauchemar de l’enfanc e. Dans ce rêve, je rev d’années et je reste sa ois mon père après de ns voix à l'idée de le rev s dizaines oir tel que je l'ai connu revois également ma mè et qu'il ne me reconnaitra re en mariée hallucinée it pas. Je grignotant des billets de cuisses un pistolet sur (ou banque, posant ses mains à) la main gauche et un sur ses bouquet de fleurs. Des fle menaçant, un voile flotta urs à l'abandon et mon nt au dessus de sa tête, père la le regard médusé par l'a folie. Dans ce rêve j’ava ir de ma mère abandonn is pris mon père en photo ée à sa . Le lendemain, personne n’a reparlé de mariage, ni de grand chose d’autr Une rupture comme les e. réveils de l’enfance quan d les parents cruels vou dans le froid. s sortent de la voiture, du sommeil, Après je me suis demand é combien de temps ell e serait encore restée si demande. Combien de tem je n’avais pas fait cette ps ça lui aurait pris de se stupide rendre compte que ma ge J’ai fait croire que j’alla ntillesse n’était pas suffis is bien au premier qui me ante. l’a demandé. Après j’ai là aussi. Je ne sais pas carrément laissé tombe mentir. Je ne sais pas pa r cet effort rler de travers sans touch pas à pousser. Il ne sert er mon nez, vérifier qu’il à rien de trouver des tec ne se met hniques d’embellissemen pour disparaître. t. Cette ville me semble parfaite
// WARPZONE Une ‘’Warpzone’’ est une zone de portail qui permet d’arriver plus rapidement à la fin d’un jeu vidéo. Pour rentrer directement dans ces univers virtuels, rendez-vous avec quatre barmans dans le premier bar e-sport rennais fraichement installé au bout du mail Francois Mitterand. Ils ont entre 25 et 27 ans et une vision différente du jeu. Leur idée est que le ‘’Warpzone’’ devienne un endroit accessible à tout public pour découvrir, essayer, apprendre, s’entraîner, s’amuser autour du jeu vidéo. En quelques mots, créer un esprit de partage, de découverte et de bonne entente. L’Hypocrite : Est-il difficile de créer un bar ? Warpzone : Oui, l’arrêté préfectoral qui oblige la fermeture à 1h du matin ne permet pas beaucoup de temps pour des évènements, comme des vernissages de jeu ou des tournois organisés. On a dû reprendre un bar déjà existant de 140m² pour ensuite faire des travaux, le réduire a 60m², en deux parties avec un sous-sol accessible au public. H : Aujourd’hui, le jeu vidéo est la première consommation culturelle, y a-t-il d’autre bar E-sport en France ? W : Le Warpzone est le premier bar E-sport à Rennes. Le ‘’Meltdown’’ a été le premier bar E-sport en France, à Paris, donc un précurseur. Cette idée à la base vient des Barcraft. Ce sont des bars éphémères créés pour l’occasion des compétitions d’un jeu nommée ‘’Starcraft 2’’. Ce qui a donné envie à certaines personnes de créer des bars E-sport qui regroupent toutes sorte de jeux vidéos. H : Que faire dans ce bar Esport ? W : Bien qu’il possède 6 ordinateurs et beaucoup de consoles pour jouer ensemble ou les uns contre les autres, le Warpzone est avant tout un bar. En l’échange d’une pièce d’identité, qui sert de caution, les personnes ont accès aux consoles, jeux, manettes de leur choix. Les barmans peuvent conseiller les joueurs pour des achats futurs et aussi
vendent des clés d’accès aux jeux sur ordinateur. H : Quelle clientèle vient dans ce bar ? W : Ce sont souvent des initiés qui savent à quoi s’attendre en venant, mais il y a également des personnes curieuses ou tout simplement venues pour boire un coup qui disent de ne pas se sentir exclues. Un bus dépose la journée et la nuit devant le bar (le C4) qui déssert les deux universités de Rennes. Le Warpzone a décidé de s’excentrer pour ne pas avoir trop de clientèle dite de « squatteur ». H : Quand peut-on aller au ‘’Warpzone’’ ? W : Le bar est ouvert tous les jours de la semaine de 17h à 1h et le weekend l’ouverture est à 14h. L’ambiance y est plus décontractée, les gens sont moins présents, les barmans ont plus de temps pour jouer, conseiller ou juste discuter avec les clients. H : Comment connaître les évènements à venir ? W : La communication du bar se fait pour l’instant avec Facebook, mais une application est en développement, avec des personnalisations pas rapport aux goûts, envies et évènements. n Nino
www.facebook.com/WarpZonebar 92 Mail François Mitterrand - Rennes - 06.60.66.33.10
HY PO CR IT E
PORTRAIT GLOBAL La Global Game Jam est un événement pour les geeks fait par des geeks... Et bien non pas que... Car ici, c’est ouvert à partir du moment où on a de l’imagination. Pendant tout un week-end, on se réunit pour créer des jeux. Dans la salle de concert du Jardin Moderne, une ambiance studieuse règne, ce qui n’est pas commun dans ce lieu où en général s’égosillent des groupes de rock. Cyril
www.3hitcombo.fr
Luc
Je m’appelle Luc, j’ai 24 ans et je su is dépanneur info participation cons rmatique. C’’est m écutive à la Global a deuxième Game Jam. J’ai co 8 ans avec ‘’le liv mmencé à jouer ve re de la jungle’’ m rs l’âge de ais je ne suis pas jeux, c’est surtout un ‘’’gros’’ joueur. les jeux de stratégi Mon style de e telle que ‘’Age of sont ‘’League of le empire’’. Mes dern gend’’ et ‘Starcraft’ iers jeux ’. J’aime bien suiv re le sportgaming impressionné par car je suis le niveau de réalis ation atteint. J’ai connu la Glob al Game Jam par le biais d’une copi principe j’ai été em ne et dès qu’elle m ballé et curieux d’ ’a expliqué le y participer. Le cô créer un jeu est un té défi aussi m’a attir jeu a part entière, é. Pour moi, nous avons tous le des défis supplém s mêmes règles. Bi entaires rajoutés en sûr, il y a par les organisate les roues mais ça urs pour mettre de me fait bien rire. s bâtons dans Je pense que je re je continuerai a tra jouerai à mon jeu vailler dessus car mais surtout on a trouvé un bo pouvoir m’en serv n thème et j’aimer ir pour m’amuser ais vraiment avec des amis en soirée.
globalgamejam.org
Je m'ap
Jules
pelle Ju les, j'ai 11 ans Je n Mon sty e joue pas be et je suis en a 6 le de je ux, c'es ucoup, mes p ème, j'ai com a men t r p e lu nts sur t L ô e jeux q t la scie J'ai con veillent cé à jouer à l' u n n i u c m e âge de la Glob par le b al Gam 'a le plus ma fiction et l'ac mon temps d 6 ans. iais jeu vide de son cousin e Jam par le b rqué est ''sta tion :Destiny,R e jeux. rw o. C'éta iais d'u a it aussi qui est un de n copain ars battle fro chet et clan. s organ n l'occas t d '' e . c lasse q isateu ion d d’ê Ça rest e un jeu tre en groupe e rencontrer d rs. Je voulais ui lui même l' es gens a connu jongler et de re voir com à créer ave don nco et m énergie c les envie de le fait d'être d ntrer de nouv t c'est le mét ent l'on crée u ier ou la elles pe ans un n un peu chacun rsonn grou , c'es folle passion , connais . J'ai découver t assez drôle pe qui ne se c es. on e t sais pa s, cela les faces cac t puis les idée nait pas, de d hées de me don s fusen evoir ne des t idée de la création d'u , cela crée un e metier pour plu n jeux que je n e s tard.
Maxime seur d’électronique à l’INSA, Je m’appelle Maxime Pelcat. J’ai 33 ans et je suis profes Jam et la première année, on avait créé Game l à la Globa une école d’ingénieur. C’est ma troisième participation ami plateaux. J’ai connu la Global Game Jam par le biais d’un un jeu video. Depuis deux ans, on crée plutôt des jeu de t’’, enfan ent ça ce déroulait et vu que l’ambiance est plutôt ‘’bon et je suis venu pour la première fois par curiosité, voir comm dernier au thème d’avoir le jeu. Nous devons en créer un, on est la pour ça. Le fait l’on je suis revenu. Nous prenons cet événement comme un que jeux s ancien peut rencontrer pendant la création. On rejoue même aux moment est drôle malgré les petites difficultés que l’on mais milieu ce à pond les nouveaux joueurs que l’on rencontre. Mon métier corres a déjà créé et on les améliore au fur et a mesure, selon sommes axés sur nous ans, deux s Depui tout ! c’est mais r Un peu pour le plaisi je n’avais jamais fait de programmation, ni de codage. partie technique, on a sur la jouabilité, sur les règles. Quand on enlève toute la les jeux de plateaux car nous ne voulons plus travailler ans. Je ne joue pas ‘’gros’’ joueur. J’ai commencé le jeu video a l’âge de quinze plus de temps pour peaufiner ça. Je ne suis pas un très j’étais plus jeune : style ‘’Tower defense’’. Les jeux qui m’ont marqué quand beaucoup. Mon style de jeux, c’est plutôt les petit jeux flash l’époque. Les jeux ‘’Foxhotel’’, ‘’Savantmax’’... la série des ‘’Lucas art’’ que je trouvais magnifique pour
Christophe
formation mais je suis comptable de et s an 26 i j'a , du Le he commencé avec des Je m'appelle Christop l'âge de 15 ans. J'ai is pu de e jou Je t. en onne par envie sans emploi actuellem ''gros'' joueur. Je foncti un s pa is su ne Je . 1'' éfère, ce sont les jeux comme ''hallflife style de jeux que je pr Le t. en em cil fa s trè ntraintes comme mais je m'en passe il n'y a pas trop de co où ) '' ble sa a ac ''b x ''Hallife'' m'a jeux ''sandbox'' ( jeux ligne. La série de jeu en G RP de rio pé e un craft''. J'ai connu ''Minecraft''. J'ai eu je suis plus sur ''Mine t an en int ma et e qu j'ai été amené à beaucoup plu à l’épo ociation Tout Atout et ss l'a de is bia le r pa iques, par curiosité la GlobalGame Jam nnaissances informat co s me u pe un ter ur moi un jeu. J'ai y participer pour tes e l'on doit avoir est po qu if at cré té cô Le er. faire ce que je veux. aussi et pour m'amus voir la possibilité de d'a et ' ft' cra ine ''M ns l'impression d’être da
Par Hélène Capricorne // Du 22 décembre au 20 janvier Le plaisir vous empêche de trouver votre équilibre. Jouer ne doit pas devenir un caprice. Faites la part des choses pour devenir un gagnant. Verseau // Du 21 janvier au 18 février Signe d’eau et de parapluie. Profitez en pour remplir vos bas de laine. La période est propice aux gains. Jouez aux jeux d’argent. Poisson // Du 19 février au 20 mars Faire mouche en jouant au 4-21 au bar du quartier pourrait vous faire perdre la ligne. Arrêtez de servir d’appât aux requins du jeu ! Bélier // Du 21 mars au 20 avril Un peu de tendresse dans ce monde de brute est une bonne carte à jouer pour vous. Ne foncez plus dans le mur, faites-vous plaisir. Taureau // Du 21 avril au 21 mai Quelle corrida pour vous en cette saison. Vous jouez à tout et n’importe quoi. Attention à ne pas servir de cible pour les flèches des parieurs assoiffés par votre zèle. Gémeaux // Du 21 mai au 21 juin Ne jouez pas votre vie à la roulette, soyez plus prévoyant. Votre entourage a besoin d’avoir confiance en vous, apprenez à moins compter sur le hasard. Cancer // Du 22 juin au 22 juillet Signe souvent en bagarre avec les valeurs morales. Apaisez vos humeurs en jouant au Monopoly. Lion // Du 23 juillet au 22 août Force est de constater ses limites, être une bête féroce ne permet pas de gagner à tous les coups. Apprenez à jouer au chat et à la souris, faites patte douce. Vierge // Du 23 aout au 22 septembre Gardez l’innocence de votre signe. Evitez les aventures hasardeuses comme le poker. Soyez raisonnable, cela devrait vous permettre de miser sur le bon cheval. Rencontres possibles dans le mois de mai. Balance // Du 23 septembre au 22 octobre Vous jouez à pile ou face avec vos partenaires au travail. Economisez leurs nerfs, acceptez de passer votre tour. Vous avez tout à gagner à être bon joueur. Scorpion // Du 23 octobre au 22 novembre Briller au jeu ne donne pas tous les piquants de l’existence. Réservez des surprises à votre partenaire en partageant votre goût pour une partie de cache cache dans le désert. Sagittaire // Du 23 novembre au 21 décembre Ne rime pas avec sagesse. Vous avez tendance à jeter l’argent par-dessus bord. Reprenez les rênes en main. Changez vos cercles de jeu. Le poker est un jeu pour vous.
RÉDACTEURS & ILLUSTRATEURS : Pamela, Marjolaine, Louis, Fanny, Elodie, Sabrina, Nino, Antoine, Hélène, Véronique, Florence, Clémentin, Christophe, Aurélie, Sara, Oumar, Zillian. COORDINATION ARTISTIQUE : Etablissements Bollec INTERVENANTS : Alain Faure Nathalie Burrel Laurent Guizard Charlotte Durand REMERCIEMENTS : Gilles Gicquel, Flavien Sorette et le service immobilier de l’Université de Rennes 2 3 Hit Combo Théâtre de l’Aire Libre Antipode MJC Théâtre du Grand Logis CDAS Cleunay Bar l’Heure du Jeu
MISE EN PAGE : Delphine Marie Louis IMPRESSION : Imprimerie Chat Noir Rennes
SOUTIENS : Ville de rennes Conseil Régional Conseil Général 35 Fond de dotation BNP Paribas Fondation SNCF DRAC Bretagne DDCSPP 35 Contrat Urbain de Cohésion Sociale
Le projet Entrée Libre est une action de l’association Tout Atout, centrée sur la découverte du monde artistique et culturel. Nous proposons à des jeunes rennais de former un collectif et de les accompagner sur un parcours liant des spectacles (concerts, pièces de théâtre…), des rencontres (artistes et professionnels) et du bénévolat. Pour favoriser leur engagement sur la durée et valoriser leurs expériences de découverte
Tout Atout et les établissements Bollec ont choisi de leur proposer la réalisation d’un journal trimestriel qu’ils ont intitulé L’Hypocrite. Tous les mercredis les jeunes se retrouvent pour échanger sur leurs envies, découvrir des événements et/ou des structures culturelles. Ils créent ensuite leur journal en utilisant à chaque fois des techniques d’impression et d’illustration différentes dans le plus pur esprit Do it yourself. //
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