Magazine Arts Martiaux Budo International 295 – 1 Septembre 2015

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«Le premier symptôme que nous tuons nos rêves est le manque de temps ». Paulo Coelho

ous vivons dans la culture de la consommation, de remplir, de faire, de posséder. Tout pour nous !!! Que le résultat de tout ça soit une attitude de moi, moi et après moi …. Ou c’est cette attitude qui nous emmène a ça de la vient ma réflexion d’aujourd’hui. Le fait, c’est qu’avec cette terrible force motrice interne, tôt ou tard, invariablement, nous imploserons comme des soleils qui acquièrent un niveau critique de masse et qui s’enflamment. Avec autant d’explosions, le feu est partout. De dehors, la pression est énorme et le milieu on le sait, est tout. Cependant, de dedans on pourra contribuer a cette nuée, en mettant plus d’essence au feu, ou on régule cultivant consciemment l’opposé. Cette nage « a contre courant » demande un effort conscient et une détermination immense. L’entassement est tant qu’il y a de plus en plus de gros aux USA, un habitant sur trois souffre d’obésité ; pratiquement un tiers de la population est grosse. La culture du cumul est là-bas paradigmatique. Depuis l’optique du spirituel ce n’est pas différent. La culture de la quiétude, de ne rien faire, de vider, est l’anti chambre de la nécessaire réflexion (réflexioner sur nous même). C’est un pas non seulement indispensable mais en plus pertinent, pour resituer nos valeurs, nos préférences, coutumes, objectifs. Avec tant de choses, ou tu t’arrêtes … ou on t’arrête. La fatalité, le stress, la hâte consument plus et plus énergie. Intuitivement, on sait que l’on doit s’arrêter, mais en le faisant on s’aperçoit avec mécontentement de notre vide et de l’incommodité du changement ; le pouvoir des routines est énorme (même les négatives savent se faire savoureuses) et on trouve mille et une raisons pour nous lancer de nouveau dans notre tourbillon. Le mental est traitre. Nous créons nos propres pièges, nous les justifions et on leur met le label de bon. Oui. S’arrêter est le premier pas, parce que le processus accumulatif est multiplicateur et ce qui hier ne résultait pas blessant parce que c’était quelque chose qui s’assumait, aujourd’hui peut signifier le désastre. Cette vérité, que chacun apprend avec les années, plus par défaut d’énergie que par vertu, nous la pouvons intégrer avant, si nous apprenons a écouter notre moi intérieur. Mais avec l’immense bruit de l’extérieur généralement on ne peut pas écouter sa voix, toujours subtile, toujours susurrante.

N

« La sagesse est l’art d’accepter ce qui ne peut être changé, de changer ce qui peut être changé, et surtout, de connaitre la différence ». Empereur Marc Aurelio

Tout est pour maintenant !! Tout est urgent !! S’immoler dans notre stupidesse et accélération intérieur, ne réglera rien et nous conduira dans le fléau de tout ce qui nous entoure. Aveugles dans notre propre bulle de misère, nous culpabiliserons les autres de notre siyuation et chaque fois nous nous éloignons encore plus, et en restant seuls. S’arrêter c est bon et nécessaire pour apercevoir la peine qui nous consume. Même Dieux s’est reposé le septième jour ! On oublie rapidement que la respiration du TAO est par dedans….par dehors Entrer dans un état contemplatif n’implique pas être un fainéant ; au contraire, comme acte conscient, positif et dirigé, c’est une discipline de l’esprit. Les entourages naturels favorisent ces procédés régulateurs, parce que a nous mettre dans ces bulles, ils transforment notre énergie a une plus grande vitesse. Non seulement c’est ce qu’ils ajoutent, sinon ce que nous laissons derrière a sortir des autres. « primum non nocere…… deinde purgare ! » Voyager est une autre stratégie bien connue, si bien non nécessairement aussi efficace. Changer l’entourage cependant, donne de grands résultats, parce qu’on entre en contact avec d’autres formes d’énergie et parce que le voyage est le meilleur moyen de casser les routines. La formule classique : jeuner et prier ! Quelque chose que ne signifie pas arrêter de manger…., quelques fois c’est juste s’alimenter d’ autres choses. Et non seulement par la bouche ! le milieu ambiant nous alimente par tous les cotés et de plusieurs formes. Des tactiques qui ne pourront jamais remplacer l’essentiel dans cette équation, qui est, la conscience de la nécessité du changement, la détermination de le faire. Passer a l’action implique les systèmes automatiques de conduite, pour nous mettre de nouveaux aux commandes et en mode conduite manuelle. Et c’est que, mes chers amis, on ne peut confier nos destins a la chance, parce qu’elle est une déesse qui esquive, capricieuse, et mutante ; rien ne remplace l’individu conscient et être cet individu est un acte qui se réalise en créant un excès qui casse les routines, qui nous réveil de la léthargie, qui éclaire nos sentiments et redirige nos engagements. Ou on le fait en manuel…., ou ce sera la vie qui nous le fera automatiquement, c’est son obligation. Ici nous sommes tous entrain d’apprendre.


Alfredo Tucci est General Manager de BUDO INTERNATIONAL PUBLISHING CO. E-mail : budo@budointernational.com

https://www.facebook.com/alfredo.tucci.5







WENG CHUN KAM NA (CHI NA), attraper et immobiliser un adversaire et le forcer a se rendre, avec des prises et étranglements. Durant les derniers siècles, le Shaolin du sud, en particulier, a été connu pour ses efficaces et ingénieuses prises et ses étranglements. Fung Siu Ching fut un membre spécialement courageux de la famille de Weng Chun, et fut entrainé a bord du fameux bateau rouge, et plus tard, il reprit le flambeau de Wai Yan, de Hong Kong, un vrai virtuose des attaques de prises set d’étranglements. Le terme Kung Fu pour ce concept est Kam Na en cantonais et Chin Na en mandarin. Kam peut être traduit par prise, harnais, obligation. Na signifie contr ol, r uptur e. D’accor d avec ce concept, un attaquant est en premier lieu attrapé et retenu au moyen d’une prise de ses bras, jambes, cheveux, etc.…., après il est immobilisé et a la fin, merci a la force du levier, il est étranglé. A le faire, ses muscles, tendons, os et articulations son attaqués, et aussi le flux du sang, le QI et la respiration, peuvent être inhibés ou manipulés d’un autre mode.

Texte : Andreas Hoffmann, Christoph Fuß, Photos : Gabriela Hoffmann www.budointernational.com



Points d’attaques du Weng Chung Kam Na : 1- muscles et tendons 2- articulations (bras, jambes, colonne vertébrale) 3- flux sanguin 4- QI (points sensibles en accord avec la médecine chinoise) 5- respiration Le Kam Na joue un rôle particulièrement important dans la famille du Weng Chun et pour chaque artiste martial qui s’apprécie, c’est essentiel acquérir au moins le basic. Les avantages pour les arts martiaux comme pour la défense personnelle, sont évidents : · Idéal pour la self défense : un attaquant peut être contrôle de manière adéquate et spécifique, que se soit pour le détenir ou pour l’immobiliser. · Dans le passé, les pratiquants de Kung FU, en général, devaient faire face a des adversaires armés, la connaissance du Kam Na est particulièrement importante pour désarmer l’agresseur. · Effectivité : La lutte libre contemporaine, démontre clairement l’efficacité des étranglements et des prises. Même les artistes martiaux expérimentés se rendent rapidement, après avoir commit une erreur, a se voir attrapés dans un étranglement ou dans une bonne prise. Les techniques de Kam Na fréquemment apportent un rôle décisif, spécialement dans la lutte au sol. · Dans beaucoup de situations de défense personnelle, les coups ne sont plus efficaces a courte distance, c’est du a que la capacité de l’attaque est diminuée pour la proximité. Ici, encore une fois, la connaissance du Kam Na résulte utile : dans ces cas on utilise des coups courts et piquants, pour toucher des points sensibles « DIM MAK «, comme les prises et les étranglements. · Effectivité contre des attaques de « lutte libre » : Un rival qui prétend faire tomber, doit attraper avant et cette prise peut être attrapée et pour autant immédiatement contrôlé et immobilisé. · Le Kam Na, quant il est correctement appliqué, peut s’utilisé avec l’appui de coups de poings et de techniques de renversements, proposant un outil a l’artiste

martiale, pour user le pouvoir de l’adversaire avec une grande efficacité et facilité pour son propre intérêt. D’autre part, la formation Kam Na offre beaucoup plus d’aspects positifs pour l’artiste martial. · Il a pourvut d’un accès pratique a sa propre anatomie et a son mouvement naturel. Par exemple, il se rend compte que ses articulations ne doivent pas être pressionnées et que les genoux ne doivent pas se tordent. -Il apprend sur le flux sanguin, le QI et la respiration. -Il apprend à fortifier et étirer les muscles et les tendons -Le Kam Na lui enseigne aussi a maintenir l’équilibre et en même temps a rompre l’équilibre de son adversaire. Cela offre une transition sans problème a l’usage des renversements. ·Acquière de lui même et de son partenaire, spécialement durant les exercices de Kam Na, durant lesquels, une technique de prise d’articulation flue jusqu'à l’autre. · Apprendre à contrôler doucement l’attaquant, ce qui correspond avec l’idéal du Shaolin. Moi-même j’ai découverts le Weng Chun Kam Na en 1986, a Hong Kong. Mon maitre de Wing Tsun m’a emmené dans un énorme marché à Yau MaTei, a Hong Kong. En arrivant on est allé a une salle du marché appelée Dai Dak Lan. Ce que je ne savais pas alors, c’était que meme le Grand Maitre IP MAN s’était entrainé là-bas et avait inter changé connaissances avec des autres et que le dernier Grand Maitre du Weng Chun et le chef du Dai Dak Lan, continuait de s’entrainer là-bas. Dans ce marché, il y avait deux vieux messieurs qui participaient a un combat. Un des deux m’a appelé pour me demander si moi aussi je voulais essayer. Je me suis dis en moi-même que toutes les prises et renversements n’allaient pas fonctionner contre moi et que je ne voilais pas faire de mal a cet homme âgé. Mais le résultat fut différent. Quand j’ai commencé l’attaque, le Grand Maitre Way Yan me coupait la distance et commençait a me déséquilibrer. Si rapide que quand je me suis défendus, il a utilisé mon action pour



me contrôler encore plus. Il changeait ses actions dans un flux constant de coups, prises et renversements. J’avais trouvé mon chemin et me suis présenté a mon nouveau maitre. C’est comme que je me suis convertis en son unique étudiant occidental. L’autre vieux monsieur était le Grand Maitre de Weng Chun, Lau Chi Long, qui avait aussi répondu a mes questions et était toujours prêt pour un entrainement de Weng Chun. Durant mes expéditions d’investigations en chine, j’ai appris des techniques de prises très spécifiques de la famille du Weng Chun du Grand Maitre Cheung Pak, du Grand Maitre Leung Wai Choi. Avec le Grand Maitre Fu Seng Lung je me suis mis au Kam Na du Tai Chi, le Bagua et Hing I. Avec Gracie j’ai appris le Jiu-jitsu Brésilien, lequel au jour

d’aujourd’hui enseigne avec la ceinture noire. J’ai aussi rencontré des techniques dans le Jiu-jitsu des méthodes très similaires au Kam Na. Une fois, cela fait quelques années, le Kam Na m’a sauvé la vie quand je fus menacé et attaqué. Je me suis débrouiller pour désarmer et éloigner l’arme de l’attaquant avec une technique de Kam Na, sauvant ainsi ma vie et celles de ceux qui étaient avec m’accompagnaient. Je suis très fier de ce que j’ai fait. De cette manière j’ai expérimenté moi-même le niveau d’efficacité du Kam Na, qui réellement fonctionne. Si la méthode du Kam Na se transmet, cela permettrait de protéger a beaucoup de personnes des agresseurs, et de cette manière ils peuvent être contrôlés moyennant une proportionnalité modeste.


REMARQUE : « Dans le passé, les pratiquants de Kung Fu, en général, devaient affronter des adversaires armés. Dans les cas d’introduire des armes, la connaissance du Kam Na est particulièrement importante pour désarmer l’agresseur ».

« Durant mes expéditions d’investigations en chine, j’ai appris des techniques de prises spécifiques de la famille du Weng Chun du Grand Maitre Cheung Pak, du Grand Maitre Tam Pui Chuen et de son élève, le Grand Maitre Leung Wai Chai ».



“Durante mis expediciones de investigación a través de China aprendí técnicas de agarre muchos más específicas de la familia del Weng Chun del Gran Maestro Cheung Pak, del Gran Maestro Tam Pui Chuen y de su alumno, el Gran Maestro Leung Wai Choi”





Keysi

LA FAMILLE KEYSI Keysi et la famille.

émotionnel, quelque chose dont on ne peut faire abstraction pour le développement personnel.

Au Keysi on donne de l’importance au mot famille, car c’est la base irremplaçable de chaque société, et c’est la que s’engendre le développement de chaque société, et c’est la que s’engendre le développement des personnes et de leur santé. La santé n’est pas seulement physique, c’est beaucoup plus que l’absence de symptômes, c’est mental et

Les valeurs de la famille Chacune des personnes qui vivent avec passion Keysi, sont ma famille, la famille de Keysi. Lamentablement on vit dans une société avec une croissante incrédulité dans les valeurs et Keysi, c’est l’évolution, le défi révolutionnaire dans les arts martiaux classiques et



Keysi

systématiques, dans un monde en constante croissance ; une forme de comprendre la Défense Personnelle depuis l’intérieur de l’être humain. Le triomphe dans n’importe quel objectif de notre vie, irrémédiablement doit commencer par le triomphe de soi-même. Si nous apprenons a reconnaitre nos valeurs, nous pourrons voir et reconnaitre les valeurs des autres et cela commence dans le respect de notre propre moi, une chose qui peut se faire seulement un code d’étique.

La valeur et le code d’étique. Intention-Respect-PatiencePersistance-Perspective L’intention c’est a ce que nous aspirons. Ce n’est pas un but !! Le respect, c’est la satisfaction que produit notre propre réussite et celles et celles de nos compagnons. La patience quand nous avons une claire intention et que nous maintenons l’ego sous control, c’est la perspective. Même si la patience est nécessaire, elle ne serait pas suffisante si nous n’avions pas l’aide de la perspective :

Intention-Respect-Patience-PersistancePerspective, forment une roue dont l’axe est la perspective, le point central depuis lequel on peut voir les autres principes et nous donne la capacité d’établir ce que réellement est important dans une situation déterminée.

Le Keysi et le Salut Nous sommes tous unis en plus de l’affection, par un objectif commun, la recherche intérieure de nos valeurs, valeurs que tous nous possédons et que tous nous nous devons de découvrir, mais ou ? Ou est ce qui probablement est le trésor de la plus grande valeur pour l’humanité ? Ce précieux trésor qui vie dans le cœur de chaque personne et qui attend d’être trouvé et qui s’appelle Humilité ! Quant on salue en Keysi on emmène la main au cœur et on joint notre poing avec celui du compagnon en signe de dévouement on offre notre bien le plus précieux, notre « cœur » et pareil que dans un pacte, on unit nos forces, pour qu’ensemble on arrive a nos objectifs, avec courage, persévérance et humilité.



Keysi

KEYSI-Une équipe Le travail en équipe est le plus haut niveau. Nous n’avons pas tous les mêmes capacités et en conséquence, chacun cherche l’autre, ce qu’il nécessite pour sa croissance personnelle, pour développer ce pourquoi il est habile et avec l’aide des compagnons et avec effort, on arrive a que ces zones ou l’on est plus faible changent en habilitées, de telle forme que ceux qui ont plus de capacités ou d’expérience, ont une plus grande responsabilité au moment de partager avec un compagnon. Le travail en équipe est le plus haut niveau, efficace et satisfaisant de l’interaction entre deux personnes.

Il ya des règles au Keysi Dans le Keysi il y a des règles et des limites claires, mais ces règles doivent être flexibles. Les professeurs se comportent comme des professeurs et les élèves se comportent comme des élèves, c’est le respect et une norme des familles fortes. Le respect ne s’obtient pas avec une soumission de fer qu’appliquent les systèmes traditionnels, ou ils tirent avantage de la négation, la tromperie, l’autorité et l’échelle hiérarchique. L’autorité sans aucun doute, restreint la réalisation personnelle et la croissance individuelle. Dans le Keysi, comme dans une famille, il y a des règles que tous connaissent et acceptent.

Comment s’affrontent les situations au Keysi En dedans et en dehors de la famille, la communication est l’axe, une communion honnête et directe nous offre les outils nécessaires pour solutionner des conflits et le privilège de créer des liens entre nous. C’est important d’être motivé et d’exprimé ses sentiments, perceptions et nécessités. Le respect renforce les liens de l’équipe et l’individualité. Etre une équipe ne signifie pas oublier que nous sommes des êtres individuels et que nous avons des souhaits, des activités, et des liens qui sont en grande ou petite mesure hors de la famille. Chaque personne qui compose cette famille est différente de l’autre et elle l’a respecte comme individualité. Accepter les espaces personnels fait grandir le ciment autour du groupe. En résumé : « Peu importe quel soit ton problème. Tu peux compter sur nous. Parce que nous sommes ta famille. »

L’auto estime dans le Keysi L’auto estime non seulement consiste à se sentir précieux, d’être qui est dedans et qui est dehors de cet entourage. Cela consiste aussi a que la famille se voit fortifiée, orgueilleuse pour la bonne opinion que chacun de ses membres a de elle, comme groupe humain : C’est un de mes compromis personnel et de tous les membres de cette équipe, réussir une croissance personnelle de chacun des membres de cette famille, accepter a chacun comme il est, sans vouloir changer ses valeurs personnelles et avec la profonde satisfaction que cette personne travail pour arriver a être la meilleur version d’elle-même.



SELF PRO KRAV ENFANT La délinquance urbaine et la violence gratuite, qui n'épargnent pas les enfants dès leur plus jeune âge, se radicalisent tous les jours un peu plus aux quatre coins de la planète impliquant pour tout système de légitime défense civil ou professionnel, une adaptation et une évolution quasi permanente sous peine de devenir obsolète et de ce fait irréalisable. Force est de constater que l'insécurité, due aux multiples facettes des agressions physiques de la vie moderne, a creusé le lit de nombreux systèmes de self-défense avec plus ou moins de succès sur le plan du réalisme. La problématique en la matière réside dans le fait que les arts martiaux dans leur application de la self-défense ne collent pas à la réalité de la rue où règles et limites n'ont pas leur place. Devant ce constat, apprendre à se défendre est devenu une nécessité, un instinct de préservation inhérent à chacun de nous amoureux de la vie et de nos proches. Si l'origine de ce soudain engouement semble évidente, comment peut-on s'y prendre pour coller à la dure loi de la réalité dont l'actualité nous amène chaque jour son lot d'hor r eurs. Le pr oblème, Photos Edith Levinet


Self Defense c'est que nous voulons tout et tout de suite et que nous cherchons le système qui, sous l'impulsion d'une baguette magique, va nous permettre d'être à même de pouvoir nous sortir de tous les faux pas. Mis à part la fuite, quand cela est possible, le salut de nos enfants n'a de chance que grâce à un réflexe de survie qu'il va falloir conditionner par un entraînement régulier sur les bases d'une méthode réaliste, accessible à toutes et à tous, indépendamment de son gabarit et de sa force, avec des gestes simples et efficaces. Le Capitaine Jacques Levinet, fort de son expérience professionnelle et martiale a donc fondé une méthode adaptée aux enfants pour leur permettre de se sortir d'un mauvais pas. Une discipline, adaptable aussi bien dans le milieu scolaire que dans la rue, autrement dit aussi bien face à des agressions d''entant que d'adulte. Il s'agit d'une initiative novatrice en la matière dont la pédagogie et les résultats ont été saluées par de nombreux médias ainsi que par plusieurs psychologues et spécialistes des enfants. Nous avons voulu en savoir plus sur cette nouvelle discipline anti agression pour les enfants.


Budo International : Que veut dire le sigle SPKE ? Jacques Levinet : S (Self pour Self Défense) P (Pro pour Professionnel), K (krav pour esprit combatif en hébreu) et E (pour Enfants). Ce n'est pas du Kravmaga (dont la finalité est essentiellement militaire et ne correspond pas à notre légitime défense). La confusion nait du terme Krav qui signifie pour le SPKE « Fighting Spirit » car sans esprit combatif il est difficile pour un enfant de s'en sortir. De plus le SPKE respecte la législation pénale française et ne développe aucune agressivité mais de la confiance en soi. La méthode du SPKE vient du SELF PRO KRAV ou SPK, méthode redoutable d'efficacité pour se défendre de façon réaliste dans la rue. Le SPK a été mis au point par l'expert international Jacques Levinet, qui a été reconnu Soke ou fondateur 10e Dan de SPK par les plus grands Maîtres et experts du monde entier. B.I. : En quoi consiste la méthode du SPKE ?

Jacques Levinet : Le SPKE est adapté aux jeunes dans un but d'anti agression et de confiance en soi. On leur donne les moyens de s'enfuir grâce à des techniques à leur niveau et basées sur l'instinct de survie et le réflexe conditionné, le tout ponctué par la prise en charge de la parole et des gestes appropriés en cas d'agression sans oublier l'aspect légal. (Ce que l'on peut faire et ce que l'on ne doit pas faire). Le mimétisme et la répétition facilitent l'apprentissage du SPKE grâce à l'expérience professionnelle du capitaine de Police Jacques Levinet qui donne à la méthode une crédibilité optimale dans le respect de la loi. Le SPKE a été reconnu au plan international par les plus hauts gradés d'arts martiaux et les plus grands experts police. La pédagogie est spécifique pour éveiller la vigilance des enfants et confiance tout en respectant un code déontologique. Un programme ludique de progression technique ponctue le travail des élèves tout au long de l'année car il s'agit également d'une nouvelle discipline sportive. Les clés sont exclues dans la méthode car on apprend aux enfants à se défendre dans la limite de leurs moyens physiques et non à la manière de « Karaté Kid ». De même priorité est donnée à la défense contre les agressions à mains nues,

accessoirement contre bâton et couteau mais jamais contre armes à feu pour rester dans la réalité des possibilités de défense d'un enfant. Le SPKE est efficace et réaliste grâce à des points clés qui sont la prise en compte de l'instinct de survie, le développement du réflexe conditionné de défense, la simplicité d'apprentissage pour ne pas réfléchir lors d'une restitution et une pédagogie opérationnelle grâce au mimétisme d'apprentissage. On n'oublie pas d'enseigner aux enfants la façon de rendre compte de leur geste de défense pour justifier l'obligation qu'ils avaient de se défendre face à une agression injuste. B.I. : Quels sont les principes fondamentaux du SPKE ? Jacques Levinet : Le mot frappe est banni au SPKE au profit du mot riposte pour justifier ce qu'il est interdit de faire. Par exemple sur un étranglement (atteinte à la vie) la riposte génitale est tolérée mais sur une saisie au col ou au poignet la riposte au tibia est suffisante. Ceci pour faire comprendre aux enfants les critères de la loi, notamment en matière de légitime défense.


Self Defense


Le SPKE est ludique - Le SPK s'est ouvert dernièrement, pour la première fois en France, aux enfants avec la création de la méthode du SPKE (Self Pro Krav Enfants) dotée d'une pédagogie spécifique d'apprentissage, aux femmes avec des mises en situation tenant compte de leur particularisme et aux seniors pour leur apprendre les gestes basiques à leur

portée en cas d'agression. Pour atteindre ces objectifs de plaisir, un programme ludique multifacettes a été mis en place, selon la personnalité de ses pratiquants, avec un cursus pédagogique d'évaluations techniques. Ces acquis nivellent le travail et la progression des élèves tout au long de leur pratique afin de renforcer leur motivation et leur intérêt. Ainsi, le caractère de bien-être est développé pour toutes les franges de la population qui trouvent dans la pratique du SPK un facteur d'épanouissement physique et moral indéniable tout en resserrant, pour certains, les liens familiaux puisque la discipline est souvent pratiquée en famille. Le SPKE est sociologique - Sport pour tous et utilité d'une self-défense réglementée, codifiée et reconnue, le SPK s'adresse donc à tous. Une méthode qui s'intègre dans un phénomène de société dont les maîtres mots sont l'efficacité, l'adaptabilité, la spécificité de la

méthodologie, l'interactivité de la méthode civile et professionnelle du SPK, le respect des valeurs de la vie et des valeurs citoyennes, le respect de la loi, l'intégration sociale par la pratique d'un sport relatif aux problèmes de la cité. Pour les jeunes en difficulté ou en proie à des problèmes conjoncturels de confiance en soi et d'affirmation de personnalité, le SPK, par son code déontologique et le respect des valeurs qu'il véhicule, tout en collant aux réalités de l'agression, propose une solution aux problèmes actuels de notre siècle. Sans exclusion aucune, sans parti pris ni de race, ni de religion, ni d'âge, ni de sexe, ni de déficience physique, le SPKE permet à chacun de retrouver le chemin du sport dans sa pleine et honorable acception du terme. B.I. : Quelle est l'éthique du SPKE pour apprendre aux enfants à se défendre ? Jacques Levinet : À l'instar du code moral du bushido qui régissait la


Self Defense conduite des samouraïs, la doctrine du SPKE a comme souci la préservation de la vie et de la dignité humaine face à l'agression injuste et injustifiée. Cette affirmation est le véritable postulat de base du SPKE, véhiculé à travers les formations, partout en France et à l'étranger. Une théorie selon laquelle l'instinct de conservation des hommes du XXIe siècle doit se donner les moyens de sa défense. La règle en la matière n'est pas celle du talion mais celle d'une self-défense adaptée, réaliste pour faire face, dans les limites de la loi et du respect de son prochain, à l'agression. Le SPKE remédie aux déviances violentes de la nature humaine dans ses excès agressifs avec des traitements de choc dans lesquels droits et devoirs de chacun sont respectés Ainsi, grâce à son évolution technique en constante communion avec la conjoncture des faits et gestes de l'homme moderne, grâce à ses références éthiques respectables, le SPKE est devenu une méthode novatrice de confiance en soi et par voie de conséquence de plénitude de vie pour les jeunes de tout âge. B.I. : Quel est la priorité dans la méthode du SPKE ? Jacques Levinet : Au-delà de l'efficacité et


du réalisme de cette méthode redoutable de self défense, ce qui prime c'est la déontologie et le respect. Ce sont des éléments incontournables à mettre en pratique dans tout geste défensif afin de ne pas outrepasser les limites de la loi, notamment en matière de légitime défense. Un exemple pratique du SPKE dans ce domaine est de ne jamais utiliser le terme « frapper son agresseur » mais « riposter à une attaque ». L'hypothèse est toujours de rendre compte à posteriori de ses actes face à l'autorité ou la justice, d'où l'intérêt de posséder le maximum d'arguments en sa faveur. Parler de ripostes lors d'une agression est une présomption de légitime défense, ce qui n'est pas le cas lorsqu'on parle de frappes. Inculquer cette différence de phraséologie dans nos cours et nos formations de SPKE, dès le plus jeune âge, ne peut que tirer la discipline vers une éthique. B.I. : Comment devient-on instructeur de SPKE ? Jacques Levinet : En suivant d'abord un cursus d'instructeur de SELF PRO KRAV puis un stage spécifique SPKE la méthodologie d'agression envers les enfants n'est pas la même qu'envers les adultes. La pédagogie du SPKE est un point fort qu'il convient de bien apprendre car l'instructeur, au-delà de sa moralité irréprochable, a un rôle éducatif indéniable. On n'apprend pas aux enfants de la même façon qu'aux adultes. Apprendre à être citoyen et ceci dès le plus jeune âge est un objectif que le SPKE se fixe continuellement. Telle est la philosophie déclarée de cette discipline du 21e siècle, symbolisée par la recherche de la vérité, la moralité et le respect. Une méthode n'existe que par la voie, au sens philosophique du terme, qu'elle dégage.


Self Defense En conclusion, même si la méthode du SPKE est efficace en cas d'agression, nous ne faisons de nos enfants des « Rambo » ou des « kamikaze ». Nous leur apprenons que la peur est naturelle et que la fuite constitue souvent le meilleur moyen de se défendre. Raison pour laquelle la vérité du discours est importante mais lorsque la négociation ou la fuite sont impossibles, il faut alors compter que

sur soi-même pour se défendre. Nous insistons également auprès des enfants pour les mettre en garde contre tout geste d'agressions à caractère sexuel et leur donnons les moyens radicaux d'y mettre fin afin de ne pas subir à vie des traumatismes. Nous sommes aidés en cela par des psychologues qui assurent un « Feed Back » constant suite au traumatisme de l'agression envers les enfants.

Le SPKE est représenté dans plusieurs régions en France et à l'étranger avec des instructeurs certifiés de l'Académie Jacques LEVINET. Le Fondateur du SPKE - Jacques Levinet www.selfdefenseenfant.com Tél. +33.467.075.044




Curiosités

TOURNÉE MONDIALE POUR LA PROMOTION DU KARATÉ " Depuis KEIO ..... avec amour "

Tout le monde sait que la Université de KEIO et son club de karaté me passione, pour plusieurs motifs, depuis la première fois que j'ai mis les pieds sur son campus en 2008. Aujourd'hui je veux partager un autre fait relatione avec le club de karaté de cette université et qui est curieux et intéressant.

Texte et photos : Salvador Herráiz Embid, 7eme Dan de Karaté


Karaté

ous devons remonter dans les années 1967 et 1968, pour parler d'une tour née que deux karatekas de ce club de Tokyo ont fait dans le monde entier pour promotionner le karaté et qui les a emmené pendant 2 ans de voyage en passant par 85 villes de 5 continents. En effet, Koji Kuwabara, 2eme Dan de karaté de 24 ans, et son compagnon Toshikazu Noguchi, 1ere Dan de 26 ans, se sont embarques dans un projet comme ambassadeurs de bonne volonté et ils ont montres et promotionnes le karaté dans tout le monde entier pendant 2 ans. En Janvier les deux gradues de la Université de KEIO embarquaient sur un chalutier leur fourgonnette et voyageaient dans un autre bateau

N

jusqu'à Bangkok, et de la ils continueraient, par la route, jusqu'à Calcuta, et de la a d'autres endroits d' Inde, de Pakistan, d ' Europe (d'est a ouest ).... Ils arrivèrent en Europe en Avril et ils continuaient a parcourir la Yougoslavia,Italie, Hollande....pendant 9 mois. De Naples ils ont traverse la mer méditerranée jusqu'à Alexandrie et de la ils ont continue en voiture en passant par le nord de l'Afrique et le Maroc. Ils ont traverse toute l'Espagne et ont continue en France jusqu'à la ville de le havre pour embarquer en direction des États-Unis. Là-bas , ils ont contactes avec différentes associations ( comme ils l' avaient fait dans les autres pays ) pour promotioner le karaté dans des villes comme Los Angeles, San

Francisco, seattle,Salt Lake City, El paso,Kansas City, saint Louis, Chicago,New Orleans, Miami, Washington DC,Philadelphie,New York et Boston.Ils ont aussi continue jusqu'à Canada en faisant des démonstrations de karaté a Otawa, Halifax, Sudbury. Ils sont aussi descendus jusqu'au Mexique, avec des arrêts dans la capitale et a Acapulco. Aujourd'hui presque un demi siècle après Toshikazu Noguchi ne pratique plus le karaté , mais Koji Kuwabara en échange continue de pratiquer a 70 ans et un jour par mois il assiste encore a l'entraînement collectif dans le dojo de Shinanomachi, un endroit qui me rappel de merveilleux souvenirs de ses " vieux maîtres vivants " depuis le moment ou je les ai connus.

“Ils ont promotionne le karaté dans des villes comme Los Angeles, San Francisco, Seattle, Salt Lake City, El Paso, Kansas City, Saint Louis, New Orleans, Miami, Washington DC, Philadelphie, New York, Boston”.

Toshikazu Noguchi pratiquant dans le dojo de KEIO en Shinanomachi, en 1967, avec un autre compagnon, Shuntaro Ito.


Points Vitaux Le Kusho est un Art Interne, il sert autan pour nous améliorer nous même, que pour apprendre a attaquer les structures internes et les points vitaux de l’adversaire. Ceci est une habilité puissante et dévastatrice, qui augmente le potentiel offensif et les effets nuisibles sur l’adversaire. Il ne s’exécute pas avec la pleine puissance (même si cela pourrait avoir des ef fets encor e plus dévastateurs), il s’exécute avec des armes pénétrantes p o u r atteindre les objectifs et les points de la zone interne du corps.


Evan Pantazi

Introduction le Kyusho


Points Vitaux

C

es objectifs sont les nerfs, les vases sanguins, les organes, le cerveau et les autres systèmes et structures. Le plus facile et le moins dangereux pour la tactique, c’est le système nerveux, les résultats son instantanés et plus efficaces. Les attaques aux vases sanguins (appelées DIM MAK), sont aussi de grands objectifs, mais ne sont pas autant efficaces, car cela demande plus de temps pour arriver a l’incapacité des opposant, mais ils causent de plus grandes blessures physique d’une forme permanente. Si on n’a pas d’expérience, c’est dangereux et certainement stupide de le pratiquer avec des compagnons d’entrainement ….. Mais c’est viable si on travail avec beaucoup de tact. Chacune de ces habilites a la capacité pour entrer dans les systemes et fonctions anatomiques de l’opposant. Pour ça nous devons comprendre les possibles et ses fonctions dans le corps et forger des armes pénétrantes pour pouvoir accéder a ces systemes. Alors que le Sanchin est un exercice formel pour développer les outils et les tactiques pour accéder à ces objectifs, l’habilité aussi peut être utilisee sans á. Cependant, il faut mentionner que un exercice qui fait développer une méthode de changement du corps, c’est celui de la Chemise de Fer. Cet exercice nous conditionne pour supporter l’attaque interne et les dommages que celle-ci pourrait affliger. A travailler la forme, on obtient le YIN et Yang d’attaque été de défense …..Le choix


Evan Pantazi est votre !! la forme fortifie les os, les tendons et les muscles, non seulement pour supporter l’attaque du rival, sinon pour en même temps aider a forger les armes pénétrantes, en utilisant les « Six mains Ji » pour pénétrer encore plus profondément dans le corps de l’adversaire. Cette pénétration aide a atteindre plus loin que les muscles et tendons, comme les structures osseuses, pour accéder aux nerfs les plus vitaux et sensibles, aux vases sanguins, aux organes, etc.…. Un des fondamentaux pour pénétrer dans l’adversaire est détenir son implosion ou ses actions offensives. Ceci n’est pas se défendre de son attaque avec une garde, sinon moyennant l’attaque a son mental, pour que son corps et son esprit se reinitient au lieu de continuer sans obstacles. L’objectif est de changé l’action de la fonction motrice du corps (mouvement, équilibre, force), a la fonction sensoriel (rééquilibré, recevoir, sentiment) en allant plus loin que n’importe quel chemise de fer ou barrières physiques et d’actions

chargées d’adrénaline. Alors, en frappant dans les nerfs, nous envoyons un message neurologique aigu au cerveau. Plus tard, le cerveau analyse cet assaut interne et pour autant envoie moins de messages aux muscles, ce qui diminue la force, l’équilibre et l’appui du corps. La forme fortifie les os, les tendons et les muscles non seulement pour apprendre les structures vitales du corps totalement, ce qui est un aspect crucial, car nous ne pouvons pas obtenir accès immédiat a un objectif de la tête ou du cou, sinon aussi pour connaitre les faiblesses de tout le corps, ce qui fera augmenter notre puissance d’une manière substantielle. Une autre clé pour pénétrer dans l’opposant avec le Kyucho et le Sanchin, c’est le fait que nous savons comment il va réactionné. Cela nous permet de continuer avec des actions additionnelles car il essaye d’avoir le contrôle de l’entrée initiale. Ceci est plus rapide et en plus, il n’aura aucune forme de se protéger de notre attaque suivante. Nous pouvons aussi déterminer a quel niveau nous attaquons, selon les réactions. Quant on touche correctement les nerfs (KYUSHO), le résultat est un scintillement blanc, avant d’altérer la conscience. Si nous avons un accès plus profond jusqu’aux vases sanguins, il y a une réaction physique plus lente, comme faire perdre la vision a ses opposants. Un autre bénéfice d’user le Kyusho dans le Sanchin, c’est que cela nécessite très peu de force. Cela conserve notre énergie, en plus de guider les actions de l’opposant, pour que nous puissions les employer comme arme contre lui. Cela démontre effectivement la veille maxime martiale sur « l’utilisation de la force des opposants contre eux même ». Notre entrée se base en actions, c’est dût a que la position et l’impulsion ne combattent pas les actions que l’adversaire a commencé. Les différences entre


« Un autre bénéfice d’user le Kyusho dans le Sanchin, c’est qu’on nécessite peu de force. On conserve notre énergie, en plus de guider les actions de notre adversaire pour que nous puissions les employer contre lui ».


attaquer seulement le nerf, sont un résultat complexe et dynamique. Non seulement on réussi une pénétration physiquement plus profonde dans l’attaque, sinon qu’aussi cela affecte aux systèmes vitaux. Cela peut se manifester en plusieurs effets néfastes, comme sueurs froides, vomissements, perte de conscience et autres conséquences plus graves, tout en dépendant de la gravité du coup. On doit mentionner ici et maintenant, que beaucoup ont assimilés cette information et ont travaillés pour la réaliser et c’est le propos de la présentation de cet article et de cette vidéo. Cependant, il ne faut pas prendre ça à la légère car cela peut affecter les systèmes, au fonctionnement interne et aux mécanismes vitaux qui causeraient de graves effets dans le temps aux destinataires. Beaucoup d’objectifs partagent les zones d’accès du Kyusho et le Dim Mak ; ce sont les appelés Points pour ceux qui sont habitués à les user, lesquels, avec une pénétration plus profonde et l’habileté adéquate, on peut accéder aux deux en même temps. Cependant invariablement il est nécessaire d’utiliser une arme plus petite (non seulement le poing ou la paume), comme la trajectoire correcte. Ceci est un autre aspect du Kyusho que beaucoup de débutants n’utilisent pas et pour ça ils ont des difficultés pour parvenir à la création appropriée du corps. Une devise typique du Kyusho est : »Angle et Direction » et sur la superficie, (jamais mieux dit), c’est une mise au point valide, mais très limitée. ANGLE : Se traduit sous la forme q u e l ’ a r m e s ’ a p p ro c h e d ’ u n objectif spécifique (quelques uns l’appellent toujours point de pression. C’est un descripteur de l’action physique. C’est un pas depuis une position initial a une position finale, d’avant en arrière, de grand a petit, de moins a plus, de droite a gauche et de gauche a droite, etc. DIRECTION : Se traduit en un court long, dans lequel quelqu’un ou quelque chose bouge. Il peut induire en erreur au nouveau pratiquant du Kyusho. C’est aussi pour ça que beaucoup traitent


infructueusement de provoquer de grands effets, mais ils restent courts… Malheureusement, c’est aussi pour ça que beaucoup se rendent, en affirmant que le Kyusho ne fonctionne pas. La meilleure définition qui aide les gens a no seulement comprendre a un niveau plus élevé, sinon aussi elle leur permet d’actionner le Kyusho pour qu’il affecte de manière plus efficace, c’est la « trajectoire ». TRAJECTOIRE : C’est le chemin suivit par le vol d’un projectile ou d’un objet qui bouge sous l’action de forces données a travers l’espace o l’objet. Dans le Kyusho, ceci est fondamental, car nous essayons d’envoyer notre énergie cinétique jusqu’q un chemin spécifique dans le corps humain et no dans la zone spécifique du noyau. En Kyusho, celui-ci est au travers des nerfs, le système nerveux central (colonne vertébrale ou cerveau). C’est pour ça qou’il n’y a pas de lésions au Kyusho, car nous n’utilisons pas, ni nous ne nécessitons utiliser, les coups forts qui provoquent des traumatismes. Oui, le Kyusho continuera de fonctionner comme nous le montre cette image : les dommages peuvent être infligés et la trajectoire réalisée. Mais a l’entrainement, l’importance est dans la trajectoire et d’arriver au noyau avec la force minime. Une fois qu’on s’entraine et qu0on l’assimile, on ajoute la force (si quelque fois c’est nécessaire) bien sur que les effets se multiplient (et les possibles conséquences légales)….. Pour une protection encore plus fiable. En MMA, maintenant nous voyons les dures réalités. Nous voyons la force et la brutalité, qui souvent s’absorbent et se contrecarrent. Mais des fois on voit que la trajectoire est la correcte jusqu'à un endroit qui rend l’adversaire incapable, et même si elle est utilisée avec moins d’énergie. Mais celui-ci et la majorité des arts martiaux sont de cette nature Yang et ils n’ont rien à voir autant dans le


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fonctionnement inter ne que dans la destruction des aspects extérieurs. Comme un Yin comparatif, nous nous fixons sur l’habileté du Kenjutsu (AIEP) ou dans les styles japonais de l’épée. Ils n’utilisent pas la force pour faires leurs coupures, sinon qu’ils utilisent la trajectoire qui passe par l’extérieur….. Le Kyusho traite de ça ou cela devrait être ainsi…. Ce n’est ni la force, ni l’angle, ni la direction…. Tout est dans la trajectoire. Les organes et les structures internes sont plus faibles et pour autant ils sont nos objectifs, comme par exemple, le foie, le bras, les reins, le diaphragme, etc.… Avec l’entrée additionnel plus loin des nerfs et inclus encore plus loin des vases sanguins, on peut accéder a ces structures vitales et causer dysfonction pou dommage, selon que se soit nécessaire. La pénétration s’effectue avec un petit transfert

d’énergie cinétique à un petit objet, centré avec un objet dur également petit, comme les nœuds de la main. A pénétrer dans le corps a un niveau plus profond de celui du diaphragme, on touche les organes plus importants. La Chemise de Fer de tension musculaire du Sanchin a été dessinée pour se protéger de ça. Cependant a faire une réorientation des actions mentales et

physiques, comme celle de l’équilibre, le corps s’affaiblie. Cela permet que l’attaque recherche directement la destination la plus faible et puisse pénétrer dans les objectifs vitaux. C’est ça l’essence même du Yin et du Yang qui se manifeste dans le Kyusho et non simplement la force Yang que recherchent la majorité des styles martiaux. Les


objectifs internes du corps sont bilatéral et uniformément situes, mais aussi dans les extrémités. L’attaque superficiel de nouveau réussit l’accès aux nerfs ; les positions du Kata Sanchin proportionnent les positions de direction pour arriver a eux, non tant avec la force simple, sinon avec une profonde trajectoire jusqu’aux structures vitales. A confier en l’intègre position du Sanchin, au lieu de la force, nous évitons les actions qui impliquent les groupes musculaires antagoniques, qui soustraient

précision. Par exemple : si vous essayer de conduire le coude vers le bas dans une attaque du genoux a votre propre corps, il y a beaucoup de muscles qui sont appelés a intervenir, pour augmenter le niveau de puissance. Cependant si vous mettez l’articulation ou l’os du coude correctement (juste comme la forme fait automatiquement dans le subconscient, si cela s’entraine pour cette fin), il n’y a pas de force ni de puissance impliquées. Le bras se bouge sans qu’il aille dans toutes les


directions pour les muscles qui se contractent d’une forme sépare et plus en ligne droite (et avec plus de précision), ce qui donne une meilleure profondeur d’entrée. Celle la c’est aussi la forme de retenir votre résistance et puissance, même en étant plus âge et en étant plus faible. La pénétration dans les structures vitales, ne nécessite pas être de nature balistique, sinon qu’elle peut être une pression ou une agitation profonde de ces structures physiques. Une fois encore, la force ce n’est pas la clef, la clef est dans la position enracinée et dans les trajectoires implicites, qui réussissent a pénétrer ou s’ajuster aux structures les plus faibles adjacents et oublier les muscles, les tendons et les os. Ces positions pénètrent même dans les articulations du rival dans la forme de Tuite main manipulatrice), ou des méthodes de manipulation des articulations. Q u e l q u e s objectifs ne


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sont simplement pas a coté de l’os, muscle ou tendon, sinon derrière eux. Ce type d’objectif exige de pénétrer encore plus loin que les structures de la superficie, pour obtenir accès a la colocation postérieure ou interne. Dans ce cas nous ne pouvons utiliser une action linéaire, sinon qu’ils nécessitent une action de torsion ou d’étirements. Toutes ces actions sont petites et subtiles et non plus grandes et plus télégraphiques pour l’opposant et/ou les spectateurs. Encore une fois, ces actions posturales améliorent la précision, (les actions plus petites sont plus directes et plus efficaces), elles ont besoin de moins de vitesse et puissance et sont inconsciemment enracinées par la pratique rituelle des actions de Kata. Sans les actions

plus petites qui participent dans les positions du Sanchin, il y a un grand pouvoir. Le pouvoir ne se base pas autant sur le muscle comme sur le tendon. Cela produit une trajectoire très forte et centrée sur le corps. Ces actions combinées avec des structures osseuses plus petites, font

une entré ou pénétration très puissante dans le corps. Ces petites actions de torsion, font une vibration qui se transfère aux structures encore plus profondes comme le troc cérébral, l’ouïe interne, les nerfs optiques, etc. ….. Cela provoquera des dysfonctions dans la vue, l’ouïe,


l’équilibre et les autres fonctions vitales et s’obtient facilement, en pénétrant encore plus profondément dans le corps et dans sa fonctionnalité physiologique, au lieu d’être entrai d’utiliser les habilités motrices des muscles, ce qui exige une attaque basée sur la force. Cette facilité est connue des pratiquants les plus âgés ou d’un haut niveau, car ils nécessitent maintenir un facteur d’égalisation, a mesure qu’ils se font vieux et leur aptitude

physique diminue. A mesure que nous travaillons avec les méthodes de pénétrations, on peut voir qu’ils ne se basent pas autant sur la technique, sinon sur l’usage d’outils spécifiques et dans la connaissance des objectifs vitaux (Kyusho). Comme nous usons les outils et les objectifs au lieu d’établir des techniques, nous pouvons obtenir une meilleure adaptabilité pour combattre dans d’autres styles de coups, de prises et les deux


combinés. C’est plus facile contrôler un adversaire, en lui causant une dysfonction ou un dommage encore plus important dans son corps. A maintenir la position (avec le bénéfice de la protection de la chemise de fer), on génère un meilleur soulèvement avec moins de force. Ceci est essentiel quand nous affrontons des rivaux plus grands, dont leur force est plus grande. Les petites actions plus efficaces, permettent aussi un meilleur déploiement stratégique, en comparaison avec le temps involucré dans la tentative de la technique…, ou le temps nécessaire pour analyser le mouvement des muscles et le corps de l’adversaire qui est entrain de faire de même contre vous. En pénétrant dans le corps des adversaires, nous attaquons plus que son corps, nous attaquons son mental et son esprit, tout en causant une confusion pour la non

fonctionnement physique, dans un niveau plus profond dans lequel ils ne sont pas habitués. Un autre des bénéfices de pénétrer dans le corps, en plus d’utiliser les armes et les actions plus petites pour une meilleure influence et pénétration, c’est que nous pouvons utiliser des méthodes tactiles pour localiser les objectifs vitaux. Quand dans un combat

on rentre en courte distance, nous ne pouvons confier en notre vision pour trouver un objectif, et nous ne pouvons pas non plus développer beaucoup de puissance balistique en utilisant les attaques conventionnelles. Quant on provoque la compression des nerfs, on recommande une base contre laquelle amplifier la pression pour que la


pénétration soit plus profonde. Ajouté a ça, on peut nous baser sur un autre chemin, pour qu’il est une double entré, pour une meilleure dysfonction neuronal du corps de l’adversaire. Mais mais à ce niveau vous devriez avoir développé une relation intime avec les outils et les objectifs, pour vous orienter correctement vers deux objectifs simultanés. Cependant, l’actuation peut être assistée par un outil (un outil de la main par exemple), comme dans la position porte fermée du Sanchin, ou même un cambrement de la paume de la main et le poing. Ils peuvent se

trouver, l’un après l’autre, même sans espace. La difficulté est seulement dans le travail exercer pour trouver la trajectoire correcte dans chaque objectif du Kyusho. Une de ces idées dans lesquelles on utilise le corps comme une base pour enter dans le système physiologique des opposants, pourrait être une action de blocage de la tête. Cette position est plus efficace et puissante pour utiliser les objectifs du Kyusho et d’affaiblir a l’instant l’adversaire, a mesure qu’il fixe la position de base. En pénétrant dans le corps par un objectif et une trajectoire,


l’adversaire peut être capable de compenser la pression, sinon il s’assoit. Si vous utiliser deux ou même trois objectifs et trajectoires, le corps de l’adversaire ne sera pas capable de compenser et vous réussirez a causer un meilleur effet. Dans beaucoup d’objectifs, ceci sera dévastateur pour celui qui le recevra. Moyennant l’usage de ces objectifs, on peut aussi diminuer la base des opposants et avec ça débilité son corps, perturber son équilibre et sa force. Dans ce type de tactiques, on peut utiliser la pénétration dans l’anatomie aussi en directions opposées. L’idée principale qui doit se transmettre est que dans quelques positions de combats, comme une prise, on ne peut pas faire de mal a l’adversaire par un traumatisme ou un coup de force, a cause de la courte distance (il n’y a pas la distance pour développer la vitesse de frappe). Cependant, pour atteindre les objectifs du Kyusho, on n’a pas besoin de la vitesse ni même de la force balistique. C’est une habileté qui doit être développée dans un combat à courte distance. Si vous êtes entrain de travailler pour

pouvoir développer une méthodologie comme la de l’étranglement du flux sanguin (qui peut durer une minute ou plus), a travailler les nerfs depuis le début, vous pouvez affaiblir, contrôler ou rendre incapable l’adversaire immédiatement. Avec cette faiblesse ou control, vous pourrez alors réussir a exécuter l’étranglement de type sanguin pendant plus de temps et avec moins de résistance de la part de l’opposant, jusqu'à qu0il se rende. Plus la base est forte (ce qui se passe avec le sol), plus grand sera l’effet obtenu sur l’entré a

pression sur les structures inter nes. Cependant, vous avez encore besoin d’outils pour une pénétration plus profonde, pour réussir cette pénétration et c’est ici ou les « Six Mains Ji », qui se trouvent dans les anciens styles et manuscrits, ils apparaissent dans le Sanchin, en travaillant des outils spécifiques dans différents angles de déploiement. Une fois sur l’objectif, les actions constructives de la force créeront un pouls d’énergie cinétique qui peut s’envoyer profondément contre le récepteur. La base peut être aussi le sol,


avec lequel on peut obtenir une grande force de levier. Avec la manipulation articulaire, on affaiblie les tendons en les étirant ou en les tordants et on arrive a pénétrer dans le système réflexif. C’est comme ça qu’on pénètre dans le control du mental et le corps subconscient, qui est beaucoup plus profond, car il affecte aussi le système automatique du corps. Le corps est composé principalement des attributs des nerfs somatiques et autonomiques, qui peuvent être attaqués a n’importe quel niveau. Le système somatique travaillera les habiletés

motrices de la formation du corps, tout comme le mouvement conscient des extrémités, la tête ou le corps. Si on affecte les nerfs anatomiques du corps (les reflexes, la digestion et autres procédés automatiques). Une fois que vous avez entendus complètement tout ça et que vous pouvez atteindre ces objectifs Kyusho, vous pourrez utiliser les deux systèmes et contrôler a l’agresseur dans un grade supérieur. Mais nous ne devons pas nous limiter à atteindre comme ça a l’opposant ; nous devons enracinés ces outils et objectifs sur une application

tactique, pour qu’ils rentrent dans nos reflexes subconscients. Cela peut s’introduire moyennant l’usage de l’ancien Kata Sanchin, qui peut se pratiquer tous les jours et après, aussi utiliser les outils et tactiques a l’entrainement. Dans une der nière réflexion, j’aimerais que la méthode d’entré Kyusho, non seulement atteindrait les fonctions anatomiques du corps, mais aussi sur les aspects mentales et spirituels de l’opposant. Pour pénétrer dans le fonctionnement du cerveau a travers des nerfs, nous allons profiter des procédés de la pensée, car la


Points Vitaux fonction du cerveau des individus sera occupée avec la surcharge et les attaques a la fonction physique et a ne pas avoir la fonction cognitive, on sera rentré dans son mental et une fois qu’on est dans son mental, sa volonté ou esprit diminue aussi, car ils sont dans un processus de confusion et d’altération de la conscience. Pénétrer ne consiste pas seulement a atteindre l’adversaire, mais aussi au développement de l’ « intuition »ou compréhension de la conscience de l’intérieur. Avec le temps, on réussit l’effet d’entrer dans le subconscient de votre compagnon et on peut le sentir chaque fois qu’on réalise le Kata. Pour autant, ses actions ont aussi entrés dans votre Sanchin et les votre dans le sien.









Connais-tu vraiment ton ennemi?


Self-Défense Si tu pratiques les Arts Martiaux dans le but de te défendre ou de défendre les autres, tu dois d'abord te poser une question très simple: "Qui est l'ennemi?". Cela ressemble beaucoup à la question que se poserait un pilote: "Où vais-je voler?". La réponse déterminera l'avion à utiliser et la quantité d'essence nécessaire. Si vous allez dans n'impor te quelle école d'Ar ts Martiaux en tant qu'observateurs, vous pourriez croire que l' "ennemi" est un ancien guerrier qui venait vers nous avec une épée, une lance ou les mains vides. Dans certaines écoles vous croiriez que votre ennemi est un lutteur qui veut seulement vous renverser et placer une clé de fin de combat au sol. Dans d'autres on vous dira que leur système vient d'une armée étrangère, mais vous oberverez que dans les cours qu'elles donnent, manque l'entraînement avec des armes de feu, différent de quelques techniques lucides de désarmement de revolver. Je ne sais pas les vôtres, mais mes ennemis sont les criminels, les terroristes et toute personne qui s'emporte (pour une colère lors d'une bagarre dans un bar ou à la suite d'une maladie mentale) et bien sûr mes ennemis peuvent aussi être des pratiquants d'Arts Martiaux. Ces ennemis ne sont pas confinés à une méthode ou un système concret de lutte. Leur entraînement et leur expérience peuvent aller d'un campement terroriste en Somalie, à une prision de haute sécurité en Californie ou une école de Karaté à Lyon, France. Comme mes ennemis potentiels sont nombreux et variés, je dois appr endr e à les connaîtr e tous. Je ne peux pas me centrer sur un seul style de self-défense et développer la mentalité de "penser en groupe".


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Adversaire La première chose à faire pour vaincre un ennemi est de savoir qui est l'ennemi. Naturellement, savoir qui est l'ennemi dépend de l'endroit où vous vous trouvez. Si vous vivez à Los Angeles, les ennemis seront les méchants membres des bandes qui tirent depuis leur voiture en marche et qui se moquent de savoir si tu te trouves au beau milieu des feux croisés. Si tu vis à Madrid, vos ennemis seront les extrémistes islamiques qui placent des bombes dans les trains de banlieue. Si tu habites à New York, vous devrez faire attention non seulement aux terroristes mais aussi aux voleurs et aux déprédateurs qui pullulent dans la ville. A Londres, un de vos ennemis, en plus des terroristes, seront les jeunes qui te sautent dessus et te piétinnent et frappent


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rien que pour te voler le téléphone portable. Si tu vis dans un petit village d'Allemagne, votre ennemi peut être ivre, répugnant ou quelqu'un qui cherche la bagarre seulement parce que tu l'as regardé de travers. Mes ennemis, comme je disais, peuvent être des pratiquants d'Arts Martiaux qui soient passés de l'autre "côté obscure". Dans ce cas, je dois savoir ce qu'ils étudient et comme vous le savez déjà, il existe de nombreux sytèmes à connaître. Personnellement, chaque fois que je donne un séminaire à New York, je parle de quelque chose appelé "Art Martial Russe de SYSTEME", de mon grand ami Denis Dmitriyev, qui enseigne à la maison de la lutte dans la 27º rue. Pourquoi je le fais? Je l'étudie parce que beaucoup de gens l'apprennent dans le monde entier et je veux être capable de me défendre. Quand je suis à Tel Aviv je me réunis avec le lieutenant-colonel Chaim Peer et le major Avi Nardia, pour me rafraîchir les idées au sujet du système des forces spéciales israéliennes, le KAPAP (Krav Panim Le Panim, ou combat corps à corps).

Entraînement Une fois que vous savez qui sont vos ennemis, la démarche suivante est de découvrir quel type d'entraînement ils reçoivent. Les criminels et les terroristes apprennent leur travail destructif quelque part. Si votre futur ennemi est un pratiquant de Kali philippin, vous feriez bien de vous inscrire à un cours de Kali, escrime ou Arnis, pour savoir à qui vous avez affaire. Si vous ne pouvez pas assister à un cours


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comme celui-ci, assistez à au moins un ou deux cours ou achetez un des nombreux DVD qui existent sur la matière (ces DVDs sont disponibles à Budo International). Les pratiquants d'Arts Martiaux non seulement ignorent les systèmes qu'ils ne pratiquent pas, mais souvent je suis surpris par le nombre réduit de policiers ayant des connaissances d'Arts Martiaux philippines, alors que le Kali philippin est de plus en plus populaire dans les prisions des Etats Unis et d'autres pays. Nous espérons que l'un de ces agents n'ait pas e0 se trouver face à un criminel qui domine cet art mortel, parce qu'il le poignarderait et le réduirait en miettes avant qu'il n'ait le temps de sortir son arme pour se défendre. Je sais de quoi je parle car je suis agent de police et instructeur de tactiques défensives et j'ai entraîné des agents de commissariats du monde entier. Si votre ennemi est le terroriste extrémiste islamique, la première chose à faire est de lire le Coran, son livre sacré. Cela vous aidera à "pénétrer dans son esprit". Et à partir de là, vous vous rendrez vite compte que la "guerre contre le terrorisme" ne disparaîtra jamais, et les pays occidentaux ont beau rechercher la "paix", le



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"Je ne sais pas les vôtres, mais mes ennemis sont les criminels, les terroristes et toute personne qui s'emporte (pour une colère dans une bagarre dans un bar ou à la suite d'une maladie mentale) et bien sûr, mes ennemis peuvent aussi être des pratiquants d'Arts Martiaux"


Self-Défense monde occidental se trouve hélàs sur l'orbite de collision avec le monde islamique . Le Conseil d' Intelligence National de la CIA publia un rapport de 119 pages, en juin 2005, où il prédisait que le terrorisme islamique serait actif pendant au moins quinze ans. Si j'étais musulman, mon héros serait Osama Bin Laden et Abu ou Musab al-Zarqawi et je le soutiendrais à cent pour cent dans la conquête du monde et l' élimination, ou l'esclavage, des "infidèles". Je le sais car je passe du temps à étudier ceux qui pourraient me faire du mal. N'oubliez pas que j'ai marché dans les rues de Egypte, Jordanie et les territoires palestiniens du West Bank, mais j'ai aussi lutté contre le terrorisme pour le gouvernement des Etats Unis et réalisé 146 missions antiterroristes après le 11 septembre. Selon le Coran, ce que font ces terroristes est justifié. Si vous voulez savoir comment vous défendre des terroristes, vous avez besoin d'un instructeur qui connaisse ce champ, non l'information d'un instructeur de Karaté ou Kung Fu qui l'ait appris dans un livre, mais de quelqu'un qui est allé sur le terrain. Les seuls instructeurs de self-défense qui enseignent aux civils à se protéger des terroristes sont: moi- même (Protection Personnelle Basée sur la réalité); Avi Nardia, système KAPAP (DVD disponible chez Budo International); Dennis Hanover, système Hisardut; Kelly McCann, système Le Crisol (The Crucible) et Mike Lee Kanarek, système F.I.G.H.T. (LUTTE).

Tactiques Les tactiques sont les méthodes et les techniques que l'ennemi emploie contre vous. La seule chose dont vous pouvez être sûrs c'est que les techniques que travaillent les criminels et terroristes seront les mêmes qu'ils emploieront contre vous. Par exemple, beaucoup de criminels qui ont accompli une dure peine, ont une méthode très simple d'attaquer leurs victimes avec une arme blanche. Imaginez- vous que l'un d'eux vous attaque. Ce serait de la façon suivante: Il s'approche de vous tranquillement, et, tout d'un coup il vous lance un coup de poing à la figure. Alors que vous bougez le bras pour parer le coup, avec son autre main il vous plante un couteau dans le ventre, plusieurs fois de suite. Il vous poignardera dans la partie basse au cas où vous portiez un gilet pareballes(dans les prisons ils fabriquent leurs propres armaduras corporelles, parce qu'il existe la peur d'être poignardé par les autres prisionniers). Naturellement, ils n'ont p as besoin de changer de tactique lorsqu'il poignarde un agent de police qui porte un gilet pareballes, une fois qu'ils sortent de prison. Combien d'écoles d'Arts Martiaux préparent les gens pour ces attaques? Pratiquement aucune, que je sache. Les prisionniers qui sont rendus à la société, se limitent rarement à couper avec une arme blanche. Ils vont directement tuer immédiatement


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et efficacement les organes vitaux, et non pas les grands groupes musculaires. Je le sais parce que j'ai travaillé dans une prison durant deux ans et j'ai entraîné des gardiens de prisons dans plusieurs pays. Un des problèmes que j'ai observé tout au long de ces années avec les pratiquants d'Arts Martiaux traditionnels, c'est qu'ils travaillent d'une manière mais après ils font quelque chose de totalement différent à l'heure des tactiques. Par exemple, quand j'étais jeune et que je pratiquais le Karaté japonais, mon professeur nous faisait réaliser les techniques depuis une posture de lutte très rigide et précise. néanmoins, lorsque nous commencions à faire du sparring, toutes les positions que nous avions apprises ne servaient plus à rien. C'était difficile de rester rigide et être mobile à la fois. Peut- être que si j'avais porté une armure samouraï au moment de faire les postures, cela aurait été plus pratique. Après tout, ces postures de lutte datent de la même époque, du XVIIIº siècle et même avant. La philosophie de la Protection Personnelle basée sur la réalité, est que l'entra eenement et le conflit doivent être identiques – à exception des lésions durant l'entraînement. Malgré tout, lorsque nous pratiquons, nous employons de l'encre rouge pour nous habituer à la vision et au sentiment du sang, comme je l'ai écrit dans mon dernier article pour Budo.

Comportement Savoir comment travaillent vos ennemis ou quelles tactiques ils peuvent apprendre ne suffit pas. Vous devez "vous mettre dans sa peau", comme dit le vieux proverbe. Dans le système de selfdéfense Reality-Based nous avons inclus une simulation du conflit (nous faisons semblant d'être dans de possibles situations modernes de self-défense). Par exemple, lorsque j'enseigne aux gens à se défendre des voleurs, je ne me contente pas de placer face à face deux élèves sans plus, l'un d'eux tenant une arme de caoutchouc facile à arracher. Au lieu de ça, moi je vais au-delà, je place un élève (la victime) comme s'il se trouvait devant un distributeur de billets et qui sort de l'argent, alors le "méchant" (un autre élève ou un des mes aide-instructeurs) s'approche de la victime avec un fusil à air (un qui tire de petits plombs de plastiques de 6 mm) pour l'ent raînement à longue distance, ou un fusil en caoutchouc pour les distances courtes. Pour que la situation soit le plus réelle possible, le voleur porte un passe montagne, une veste qui cache une arme ou bien je lui peins le visage avec de la poudre blanche et du maquillage noir sous les yeux pour le faire passer pour un voleur drogué, désespéré pour obtenir de l'argent pour acheter sa dose de drogue. Vous ou vos compagnons d'entraînement pouvez apprendre à "agir" comme vos ennemis, en lisant ou écoutant les infos. Si une agence de presse informe d'une attaque, vous pouvez simuler cette attaque dans votre propre entraînement. C'est comme ça que j'obtiens une grande partie de mon matériel d'entraînement. Naturellement, certaines choses ne changent jamais, comme la typique bagarre de bar; pas besoin de beaucoup d'imagination pour en créer une. Le jour arrivera où la salle d'entraînement stérile, avec les élèves et leurs uniformes blancs bien repassés, avec des miroirs et des diplômes sur les murs, fera partie du passé en ce qui concerne les écoles réalistes de self-défense.

"Savoir comment vos ennemis s'entraînent ou quelles pratiques ils peuvent apprendre ne suffit pas. Vous devez "vous mettre dans sa peau"


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"Si votre ennemi est le terroriste extrémiste islamique, la première chose que vous devez faire , c'est lire le Coran, son livre sacré. Cela vous aidera à entrer dans son "esprit". En partant de là, vous vous rendrez rapidement compte que la ‘Guerre contre le Terrorisme’ ne disparaîtra jamais et les pays occidentaux ont beau chercher la paix", le monde occidental se trouve hélàs sur l'orbite de colision avec le monde islamique”


Self-Défense Préparation Reality Based est avoir l'esprit et le corps en forme pour une recontre avec l'ennemi. Dans mon entraînement j'ai inclus l'endurance à distance courte, parce qu'un sprint est toujours une option pour la selfdéfense. Au lieu de l'appeler "fuir", je préfère l'appeler "retrait tactique". Dans d'autres cas je me mets en forme pour me jeter au sol le plus rapidement possible, parce que la majorité de mes ennemis peuvent me tirer dessus ou me lancer une grenade à main. Lors de telles attaques, il est préférable de se jetter à terre, c'est du moins ce que l'on apprend dans l'armée américaine, quand ils m'ont préparé pour le combat. Si une technique ne va pas être beaucoup employée ou risque de ne pas être efficace dans un combat

physique réel, je ne perds pas de temps à la préparer. Par exemple, cela ne me viendrait jamais à l'idée de piétiner mon ennemi au dessus de la zone pelvique. Le coup de pied je le lui lancerais aux genoux, à l'aine ou aux hanches, mais jamais à la poitrine ou à la tête si vous êtes debout. Les coups de pied hauts peuvent marcher dans le dojo ou sur le ring, mais pas sur le trottoir glissant à cause de la pluie à Rome, ou dans les rues pavetées de l'ancien Jérusalem, pas plus sur un sol couvert de sang de la cellule d'une prison en Belgique. Mon objectif est que ma préparation pour le conflit aille avec les situations réelles que je peux rencontrer, ou avec ma "réalité", et la préparation physique basée sur la fantaisie ou des méthodes anciennes ne m'intéresse pas.

Maintient La vie change tout comme le font les méthodes et tactiques

d'entraînement de mes ennemis. Un jour, si je trouve sur mon chemin des criminels et des terroristes qui utilisent des armes laser et des machines qui avec l'émission d'ondes de son te rendent malade, je changerai quelques-unes de mes techniques pour m'adapter à ces changements et aux nouvelles technologies. Je ne me conformerai jamais à une seule sorte de méthodes ou de techniques d'entraînement. Je dois changer aussi vite que changent mes ennemis, ou mieux encore, essayer de rester à la hauteur. Il faut toujours s'actualiser. On doit lire les journaux ou écouter les nouvelles de l'endroit oùi l'on vit, afin de comprendre le type d'attaques que réalisent nos ennemis. Il faut parler avec des agents de police, des juges, des avocats et toute personne qui puisse savoir ce que font les criminels d'aujourd'hui. Les films d'Hollywood peuvent aussi nous donner des informations , mais sachez que ce sera en grande partie pur sensationnalisme.

Le Système de Protection Personnelle de Reality-Based n'est pas qu'un autre système de self-défense". C'est une REVOLUTION et les gens du monde entier apprennent à se défendre d'une façon qui est en train de changer. Depuis l'an 2000, la revue Budo International nous informe sur le mouvement Reality-Based. Savoir qui sont tes ennemis, est seulement un des éléments de ce large système. Soit un objetif difficile. Jim Wagner est un instructeur de tactiques défensives pour des agents de police et personnel militaire. De plus, il donne des cours et des stages de Reality-Based aux civils. Pour de plus amples informations visitez notre page web www.jimwagnertraining.com







INTERVIEW A SIFUCHAM KIM MAN (WONG SHUN LEUNG) Dans le deuxième de nos interviews que nous publions pour la revue Budo International , je dois reconnaitre que je me sens très heureux de pouvoir leur présenter a un des plus grands maitre que j’ai connus pendant mon voyage a Hong Kong : SIFU CHAM KIM MAN.


P

ersonnellement je crois qu’un maitre d’arts martiaux doit être fondamentalement une personne dévouée al la pratique du système auquel il dédit sa vie mais surtout, un homme avec des principes. La bonne éducation, l’humilité et être toujours prêt a aider a ses étudiants sont les meilleurs cartes de présentations d’un MAITRE D’ARTS MARTIAUX. Sifu Cham Kam Man est tout ça. Pour cela, après l’avoir connut et partager avec lui et ses

élèves cette soirée, je me déclare grand admirateur et chaque fois que je viendrais en visite a Hong Kong, je me passerais et ainsi lui présenter tous mes respects. Nous visitons son a Hong Kong Island. Accompagné par un bon groupe d’élèves qui assistaient a la session d’entrainement de l’après midi. Gary Wong (a qui depuis ici je remercie pour sa courtoisie et son amabilité) nous reçoit et nous présente dans Hong Kong à ce GRAND du Ving Tsun. La première chose qui m’a attiré l’attention, c’est la grande tendresse et le respect que tous


ces élèves ont pour Sifu Cham Kan. On le perçoit dans les petits détails, cat personnellement, je me fixe toujours sur les élèves d’une école : les élèves de Sifu Cham Kim Man sont éduqués, respectueux, avec une éducation dans le cas martiaux et surtout des lutteurs. Sifu Chan est un grand maitre de Ving Tsun pour tous ces détailles, mais surtout parce qu’il connait le Ving Tsun de A a Z. On voit les années de qui a parcouru son chemin dans un ART Centenaire et duquel il sait la responsabilité de représenter une lignée dans un style comme celui-là. Apres l’interview, nous avons réalisé un échange technique, qui a terminé la ou termine les « frères du Kung Fu », partageant une table, conversation et expériences entre personnes qui ne s’étaient jamais vu avant. La visite à l’école du Grand Maitre Cham Kim Man fut l’exemple de que cet Art Centenaire unie à personnes du monde entier autour d’une seule passion : le Ving Tsun Kuen. Sifu Chan Kim Man fut l’élève direct et l’assistant du défunt Grand Maitre Wong Shun Leung. Dans l’actualité il enseigne a Hong Kong et en Chine. Si vous avez l’occasion de visiter Hong Kong et que vous aimez le Ving Tsun, vous ne pouvez pas perdre l’occasion de vous entrainez dans cette école. Vous pouvez contactez avec lui a l’adresse suivante : « Yuen Yuen Social Services Centre, 2/F, Western District Community Centre, 36A Western Street Mid Level Street » Si vous voulez contacter avec l’école, vous pouvez écrire a cet email : scientificvingtsun@gmail.com

INTERVIEW : Budo International : Sifu Cham Kim Man, en premier lieu, je voudrais vous remercier pour nous recevoir dans votre ecole. C’est un plaisir et un honneur pouvoir vous connaitre en personne et écouter ses réflexions sur le style Ving Tsun Kuen. Sifu Cham Kim Man : de rien. Merci a vous. B.I. : quand avez-vous commencé a pratiquer ? CKM : Et bien…, ce fut en 1974. J’avais alors 10 ans. B.I .: Pourquoi le Ving Tsun ? Qu’est ce qui l’a amené a choisir ce style ? CKM : En réalité ce fut simple. Pour moi c’est le système le plus direct et efficace qui existe en défense personnelle. En plus, pour ma complexion physique le Ving Tsun est un style parfait. Il s’adapte très


bien a mes caractéristiques. Ce fut un choix simple. Toutes ces choses m’ont poussées a pratiquer ce style. B.I. : Comment fut sa trajectoire ? Depuis quand vous êtes professeur ? CKM : J’ai commencé a pratiquer en 1974, après, j’ai été pendant beaucoup de temps l’assistant de mon maitre, le Grand Maitre Wong Shun Leung a Hong Kong. Après sa mort j’ai continué a donné des classes dans son académie, mais ce fut après 2010 que, j’ai fondé ma propre ecole de Ving Tsun et depuis j’enseigne a Hong Kong et en Chine.

B.I. : Vous dédiez vous a temps complet a l’enseignement du Ving Tsun ? CKM : Non. J’ai un autre travail. Le Ving Tsun est un travail a temps partiel, même si je reconnais que je lui dédis beaucoup de temps. C’est quelque chose qui est une partie importante de ma vie, c’est pour cela que je lui dévoue beaucoup d’heures dans l’enseignement et a l’entrainement. B.I. : Vous avez été un disciple très important de la lignée de Wong Shun Leung. Vous avez été réellement



quelqu’un de très prés. Pouvez vous nous raconter quelque chose de lui ? CKM : Et bien… Sifu Wong était une personne avec un caractère tres spécial. Une personne tres charismatique. En premier lieu je dois dire que Sifu Wong avait un esprit tres ouvert (par rapport au Kung Fu. Comme personne il était tres généreux. L’argent ne l’a jamais préoccupé en absolu. Ce qui en quelques occasions lui a génère quelques problèmes financiers, mais cela ne le préoccupait pas. Il était généreux et ouvert avec tous ses étudiants. Au niveau de

l’enseignement et de la pratique, il faut ressortir plusieurs aspects de sa personne. Sifu Wong Shun aimait beaucoup pratiquer d’une forme directe avec tous ses étudiants. Il dirigeait la classe mais pratiquait avec tout le monde. De ce mode l’entrainement et l’apprentissage étaient très directs. Il permettait toujours que les étudiants pouvaient lutter dans sa pratique de Chi Sao. Il ne les détenait jamais, sauf si l’affrontement devenait trop intense. Si on doit retenir quelque chose d’important on doit dire que la base de l’entrainement était fixée dans une idée : L’ATTAQUE !


B.I. : fantastique ! C’est quelque chose que je voulais lui demander : sur quoi centrait la pratique le Sifu Wong Shun Leung ? je lui demande cela, car comme nous savons, il y a des écoles qui se centrent sur les aspects techniques, des autres sur la santé, des autres sur la structures ou les formes et finalement quelques unes sur le combat. Sa réponse antérieure m’éclaire beaucoup sur l’optique de la pratique de son ecole, mais s’il vous plait, racontez nous quelque chose en plus au niveau technique. Sur quel aspect technique vous mettez plus d’attention ? CKM : Et bien…. En réalité, je tente de maintenir comme je l’ai appris de

mon maitre. Dans ce sens, je continue avec ses clefs. Pour moi, le point fondamental de la pratique doit être dans la POSITION. Si la position est bonne, nous pouvons rester relâchés et quand nous frappons, nous ne le faisons pas seulement avec un bras sinon avec tout le corps qui dans sa structure génère une grande qualité de puissance vers l’adversaire. Bien sur, le concept « Ligne Centrale » est relié avec la position et c’est aussi très important. Pour nous c’est quelque chose de fondamental et nous lui prêtons beaucoup d’attention. La raison est simple : la ligne centrale est la distance la plus courte entre deux points. On utilise cette ligne pour attaquer et pour défendre…. Après nous nous centrons sur des aspects différents, tout dépend des personnes qui assistent à cet entrainement. Mais le schéma est plutôt classique.


La Colonne Du Wing Chun Âť


Sifu Salvador Sรกnchez


La Colonne Du Wing Chun » Quand des débutants viennent, le Siu Nin Tao est le travail de base et celui qu’ils doivent faire. Siu Nin Tao nous permet précisément de maintenir cette position et les éléments que j’ai commentés dans la question antérieure. Bien sur, s’il y a des étudiants plus avancés, nous allons alterner des autres éléments, en suivant l’ordre des formes du style. B.I, : Avez-vous des écoles ou des instructeurs en Europe ou dans d’autre pays ? CKM : Non. Pour l’instant non. Je donne des classes ici a Hong Kong et quelques cours en Chine. J’ai des visites de quelques étudiants et professeurs d’Europe et d’autres endroits du monde. B.I. : Et il y a des relations avec d’autres écoles de Ving Tsun ? CKM : Oui, bien sur. Je maintiens des relations avec d’autres écoles de Wing Chun. Avec quelques autres professeurs d’autres pays comme Sifu Phillip Bayer et quelques autres. B.I. : Quelle est votre opinion sur le Wing Chun d’aujourd’hui ? CKM : Tout a beaucoup changé. De nos jours il y a beaucoup d’étudiants de Wing Chun. Beaucoup d’entre eux viennent a Hong Kong pour s’entrainer, grâce aux films de Yip Man. Il y a beaucoup de gens intéressés pour apprendre le Wing Chun et c’est

quelque chose de bon, mais…, le Ving Tsun est un style scientifique. Basé sur des principes et des lois physiques. On espère que dans le futur le Ving Tsun pourra mieux se montrer. B.I. : Pourquoi y a-t-il des différences entre les styles de Wing Chun ? Bien sur nous observons les différences entre les écoles de Ving Tsun à Hong Kong, mais on voit vraiment, entre Hong Kong et l’Europe ou les Etats-Unis, une grande différence. A quoi c’est dut ? CKM : tout dépend de qui ils apprennent. Par exemple… si on parle d’un concept comme la « ligne centrale », il peut y avoir des opinions différentes, mais on doit être d’accord sur le fait que c’est le chemin le plus court entre deux points. Dans le fond, c’est ça l’important. Beaucoup de ces différences se basent sur la compréhension différente de la même idée qu’un Sifu enseigne. Dans une même classe, le même concept peut être interprété d’une forme distincte par les différents élèves. En plus, entre les maitres il peut y avoir des différences, parce que chaque Sifu applique d’une forme différente son Ving Tsun. Réellement la principale différence est peut être celle-là… comment l’applique chaque pratiquant. Il y a beaucoup de différences… Les étudiants doivent prêter attention aux « mottoes » (devises) et aux petits détails de la technique.

B.I. : Pour finaliser… Nous savons que votre maitre Sifu Wong Shun Leung utilisait beaucoup de ces « mottoes » quant il la enseignait. Pouvez vous nous dire quelques uns des plus importants, comme conseils pour ceux qui nous suivent dans la Colonne du Wing Tsun de Budo International ? CKM : Comment non… Voici quelques uns : « Maintient toi derrière la ligne centrale et use-la pour ATTAQUER… » « POSITION ! » (Gee Kim Yeung Ma). Sifu Wong Shun Leung usait constamment cet ordre pour insister sur l’importance de la posture et de la position. « Ne te préoccupe pas pour être frappé. Quand tu vas lutter, même s’ils te frappent, maintient la posture et un regard sérieux et sur » »Fait des choses simples …. Maintient toi dans la stratégie de la simplicité… Ne laisse pas ton mental compliqué tout. » « Use tout le poids pour attaquer…. » B.I. : un grand merci Maitre. C’est un véritable honneur d’avoir partagé cet après-midi avec vous. Tout mi respect et admiration. Après avoir fait l’interview, Maitre Cham Kim Man nous a invité a pratiquer dans son école, et après l’échange technique, il nous a invité a tous les membres


Sifu Salvador Sánchez de la délégation, a un diner dans un restaurant. Nous avons partagé la table avec le Maitre, quelques uns de ses instructeurs et élèves. Ce fut une nuit mémorable : unis pour une passion !!

Je me rappellerais toujours de la phrase avec laquelle le Maitre Cham Kim Man m’a dit au revoir : « Nous devons être comme une famille »

Ceux qui aiment et respectent ce style le comprendrons. Sifu Salvador Sanchez, pour Budo International « La Colonne Du Wing Chun »












Kung Fu


Ecole de Kung Fu Martin SEWER « Succès Garanti » Cher lecteur, Félicitation !! Avec la lecture de cet article vous n’êtes qu’a un pas d’un succès personnel. Qui d’entre vous me connait bien, sait que je suis un fan du succès, a partir du mien, de celui d’un élève ou d’un étranger. Le succès est quelque chose de très grand, que celui-ci soit petit ou grand. Succès veut dire atteindre ses buts et expérimenter une grande félicité. Le succès nous arme avec des énergies nouvelles pour découvrir de nouvelles possibilités en nous-mêmes et en son prochain. On ne nécessite pas être un grand maitre de Kung Fu pour le savoir, mais tout le monde aimerait savoir comment arriver a avoir du succès.

U

ne chose après l’autre….. Commençons par le début. Il y a des dizaines d’années, quand le vrai Kung Fu fleurissait encore a Hong Kong, surtout pour les maitres naissants (qui veut dire, en réalité pour tous les techniciens d’un office artisan), il y avait surtout un chemin a suivre pour atteindre le succès : travail dur et noble. Le travail dur créé des capacités et des expériences et peut signifier une réputation et un futur sur. Il existe aussi la possibilité d’un chemin académique, qui dans ces années était la meilleure garantie pour une excellente formation et un futur succès. Les critères pour renter dans de telles institutions académiques ou écoles, exigeaient aux candidats de s’efforcer et de passer les examens. Quand moi je parles a mes élèves et a d’autres personnes sur le thème « succès », on dirait comme si aujourd’hui cela n’a plus d’importance. On a l’impression que le travail dur a été écarté, dehors, « out » et qu’un chemin


« Un grand arbre généalogique prouve que des médecins et des philosophes ont participé durant des centaines d’années au développement du Hung Gar Kung Fu, ils avaient raison. »

académique n’est pas sur. Pourquoi les gens pensent ainsi (les jeunes en général) ? C’est vraiment comme ça ? Et si c’est comme ça qu’est ce qui a changé ? Aujourd’hui nous vivons dans un temps dans lequel il y a plus que jamais des succès et tous les jours on entend parler de rendements extraordinaire que même à moi ils me font douter. Je pense par exemple a Jiao Wang un professionnel des jeux d’ordinateurs qui dans en un an a gagné plus d’un million de dollars dans les connus tournois E-sport, c’est dire avec des jeux vidéos. Larry page, le cofondateur de Google, qui a fondé la mondialement firme, dans un garage, sur une base d’un de ses travaux d’études qu’il a modifié et présenté en un clin d’œil, a atteint un capital de plus d’un million de dollars. Je pense aussi a Tom Berling, un fameux DJ suédois connu sous le nom de «avicii», qui pour mixer et composer musique électronique, a également accumulé une fortune et qui au jour d’aujourd’hui on ne peut imaginer a personne le laisser en dehors des charts. Si on observe d’une forme superficiel a ces personnes et leurs rendements, a travers de messages officiels, comme le fait la majorité d’entre nous, on a l’impression qu’il s’agit de personnes avec de la chance, que de rien du tout et avec un peu de chance et sans grands efforts ont réussi a avoir du succès. Pourquoi on confond de cette manière aux jeunes générations qui ont pour devant eux leurs premiers décisions importantes dans la vie? Très simple : On a l’impression que se qu’on apprenait anciennement ne sert plus a rien aujourd’hui. Par la on veut dire, qu’une solide formation académique n’est pas une garantie de succès et le curieux est que c’est vrai, exactement pareil que le chemin du « Self Made Man » n’est pas une sécurité. Cela vous surprend que beaucoup de jeunes au début de leur carrière ne savent pas ce qu’ils veulent ? Si on fouille en détails, dans l’attitude personnelle de ces personnes on peut le voir. Par exemple, avec le mentionné E-sport du professionnel Jiao Wang, qui a dut s’entrainer tous les jours pour être aussi bon, comme ils le font aujourd’hui les sportifs traditionnels qui ont du succès, même s’ils ont envie ou pas de jouer. Il continue de le faire aujourd’hui. Ce n’est pas rare que des personnages dans cette position soient aussi liés à des contrats publicitaires, ce qui ramène d’autres obligations. Un autre exemple c’est le fondateur de Google, qui durant de longs mois a du planifier et programmer, pour qu’il résulte un


Kung Fu produit digne d’être montré. Et tout ça sans mentionner toute l’histoire de la fondation de sa firme. Voudriez-vous être le chef d’un DJ, qui produirait des centaines de pièces musicales et tenter de le faire connaitre aux gens de la rue, avant que l’industrie musicale ne le sache ? Toutes ces choses sortent a la lumière quand on tente d’approfondir et de suivre la trajectoire de ces hommes a succès et comme le lecteur le suspecte, c’est relationné a une seule chose : le travail dur, que ce soit dans un chemin académique ou pas. Qu’est ce que cela a voir avec le Kung Fu ? Antérieurement, pour apprendre le Kung Fu, un homme d’occident, devait passer beaucoup d’obstacles. Obstacles qui appuyés sur un dur travail pouvait même faire de l’hombre a une carrière a succès. Dans les années 80, quand j’ai pris la détermination d’apprendre de mi Sifu, j’ai voyagé régulièrement a Hong Kong et postérieures a Amérique du nord pour apprendre ce que je voulais apprendre. Naturellement, pour cela, je devais entrainer entre 8 et 10 heures par jours. Quelques élèves se surprennent quand ils voient mes vieux passeports, plein de tampons, plus de 40 séjours en Asie, pour apprendre le Hung Gar Kung Fu original. Quand jour nalistes et élèves me demandent comment j’ai réussis a être le successeur du style du Dr. Chiu Ling et dans ma rame je suis arrivé si loin, je dois froncer les sourcils et je pense a tous ces hommes connus qui ont eu du succès et que autant eux que moi nous avons en commun sur notre sur notre chemin jusqu’au succès : Travail Dur !! Mais ça je l’ai déjà dit avant. Au jour d’aujourd’hui, les élèves, mes élèves, l’ont plus facile que jamais, apprendre

Kung Fu ici, dans le centre de l’Europe, avec la même « High Quality »et comme moi, suivre le chemin du succès assuré. Voyager est devenu mois cher et il ya beaucoup plus d’information et d’une manière gratuite. Oui, mais dans le Kung Fu c’est quelque chose de sur ? Entrainer très dur et tout seul ? Je l’entends de mes élèves. Et je comprends qu’ils le disent…. Mais peut être qu’ils connaissent a d’autres artistes, qui même s’ils font ce qu’ils aiment, ils n’ont pas réellement de succès. Quelle est alors la garantie de que l’apprentissage dans une institution comme la KUNG FU SCHULE MARTIN SEWER, nous conduise au succès. Tres simple. Avoir du succès était depuis le début le but, quand le Hung Gar Kung Fu se déroulait il y a des milliers d’années. Se défendre avec succès (combattre), avoir du succès dans sa santé. Avoir du succès en développant son propre caractère et esprit. Un grand arbre généalogique prouve que des médecins et philosophes ont participés pendant des centaines d’années au développement du Hung Gar Kung Fu, et ils avaient raison. Beaucoup d’anciens de notre école sont arrivés a plus de 100 ans, et avec une constitution d’aujourd’hui, en parlants en termes médicaux, probablement cela se considère « presque comme un miracle » ou un « cas exceptionnel ». ce n’est aucun miracle. Ce sont des hommes avec des « pouvoirs », que dans un système avec du « pouvoir », dans une école avec du « pouvoir », ils s’instruisent et apprennent a travailler dur. Comme cela a pu s’entendre, cela se traite non seulement de combat ou de bonne forme physique en général, ce qu’un laïque avec les


Kung Fu

« Qui a suivit mes articles et l’évolution de mon école dans le passé connait cette affirmation : chacun de mes élèves est un V.I.P pour moi. »


Hung Gar mots « école de Kung Fu » peut être pourrait entendre. Cela se traite d’un paquet complet pour le corps et l’esprit, pour celui qui a la volonté de s’efforcer. Des fois j’entends les gens dirent : « Ce sont les gènes » ou « je suis fait d’une autre manière » . Cela peut être vrai jusqu'à un certain point et chacun nécessite son propre temps pour apprendre et pouvoir l’appliquer. Mais la direction dans laquelle nous nous mouvons avec nos élèves est la même que Jiao Wang, Larry page ou Tim Berling : En avant vers le succès !! Qui a suivit mes articles et l’évolution de mon école est un V.I.P pour moi. Ceci dans la pratique est entre autres choses, palpable, parce que celui qui a la volonté d’appendre a atteindre ses buts avec nous, ne manquera pas notre aide pour les atteindre, indépendamment du temps qu’il nécessite. Pour quelques uns peut être que cela sonne à grand promesse. Nous vivons dans une époque ou l’on a plus intérêt à paraitre qu’être, mais 600 élèves peuvent témoigner que comme il y a des centaines d’années, cela fonctionne aujourd’hui. Je crois que c’est clair : Travailler dur et s’entrainer a la KUNG FU SCHULE MARTIN SEWER. Mais, un moment. Il y a quelque chose en plus. Les biceps durcissent de suite mais quand doit-on commencer avec les connaissances ? Chercher tout tout seul et « s’instruire tout seul »a 100% c’est aussi une énorme illusion. Cela correspond a quelque chose qu’on en commun les vrais hommes a succès dans tout le monde entier et la KUNF FU SCHULE MARTIN SEWER : l’inévitable relation élève – maitre. On entend souvent dire que les fameux hommes à succès sont appris beaucoup de quelqu’un de spécial. Quelques uns disent « mentor » d’autres disent « maitre ».C’est une partie importante de cet enseignement a succès et le chemin pour le vrai triomphe. Pour le formuler d’une manière simple et précise, d’une manière il faut savoir de quoi ça traite et si quelqu’un le peut expliquer, que se soit quelqu’un qui a réussi antérieurement. Cela veut dire que Maitre a succès + effort personnel = garantie de succès ? J’espère que oui. Non en vain l’enseignement est une pierre angulaire pour

l’élève et ses progrès. On doit être préparé a transmettre ce que l’on a apprit. On doit être préparé pour participer à la conception de la prochaine génération. Comme hobby sous forme d’instructeur, ou comme profession sous forme de directeur d’école. Peut être qu’après avoir lu ces lignes vous direz « bien, c’est l’heure de commencer. Je veux apprendre a avoir du succès !! » Mais que doit il faire un élève après s’être inscrit a la KUNG FU SCHULE MARTIN SEWER pour sa formation ? Qu’est ce qui l’attend ? Apres qu’un élève est démontré respect et dévotion, il doit être prêt a emmener son corps a ses limites, réfléchir sur ce qu’il a appris et avoir la volonté de continuer a apprendre et de s’amélioré. Tout le reste le solutionne l’enseignement du Hung Gar Kung Fu original de la lignée de Chiu Chi Ling. Des instructeurs formés professionnellement, sont passés par divers examens internationaux et continuent de se former. Ce sont des hommes a succès, ce qui ne doit pas surprendre. Ils aspirent, cher lecteur, a enseigner jour après jour a tous ceux qui sont morts de faim de succès, avec la même qualité que eux même ont appris de cet enseignement. Ils aspirent a enseigner ce qu’ils apprennent encore aujourd’hui de leur Sifu. Pour terminer, nous allons un peu plus loin de ce qui est nécessaire, autant pour les nouveaux élèves que pour les expérimentés. Je parle d’une Virtue qui des fois reste reléguée a un second plan, LA PATIENCE. Patience avec soi même. Mettons tout ça ensemble et acceptons que les succès extraordinaires comme ceux énumères avant, se basent aussi sur le travail dur, et seulement se peuvent atteindre avec deux choses. En premier : Travail dur et en deuxième : apprendre un système qui garantisse qu’avec le travail dur on arrive au succès. Je suppose que nous sachions tous ce que signifie le travail dur, j’espère que tous peuvent s’imaginer ce que c’est. Le nom de ce système efficace pour atteindre le succès et ou cela se peut apprendre, je l’ai déjà dit. Et n’oubliez pas de sourire, car au final cela vous paraitra divertissant d’avoir du succès !

« Après que l’élève ai démontré respect et dévotion, il doit être disposé a emmener son corps jusqu'à ses limites, a réfléchir sur ce qu’il a apprit et avoir la volonté de continuer a apprendre et a s’améliorer. »






Toujours avec comme toile de fond l’Ochikara, « la grande force » (appelée e-bunto dans la langue vernaculaire des Shizen), sagesse secrète des Miryoku, les anciens chamans japonais, l'auteur nous plonge dans un monde de véritables réflexions, capables de toucher et le cœur et la tête du lecteur, nous situant continuellement face à l'abîme de l'invisible, véritable dernière frontière de la conscience personnelle et collective. Le spirituel non pas comme religion, mais comme étude de l'invisible, fut la manière d’approcher le mystère des Miryoku, dans le contexte d'une culture à la fois riche et inconnue à l’étude de laquelle l’auteur s’est intensément consacré. Alfredo Tucci, rédacteur en chef de Budo International et auteur d'un grand nombre de titres sur le chemin du guerrier au cours de ces 30 dernières années, offre un ensemble de réflexions extraordinaires et profondes, qui peuvent être lues indistinctement, sans suivre aucun ordre particulier. Chacune d’entre elles ouvre une fenêtre par laquelle regarder les sujets les plus variés, sous un angle inattendu, parfois saupoudré d'humour, parfois de force et de grandeur. L’auteur nous confronte à des questions éternelles, avec l'air de quelqu'un qui vient d'arriver et ne partage pas les lieux communs sur lesquels tout le monde est d'accord. Nous pouvons affirmer avec certitude qu’aucun lecteur ne restera indifférent à ce livre, telle est la force et l'intensité de son contenu. Dire cela, c'est en beaucoup dire dans un monde plein de troupeaux de moutons, d’idéologies intéressées, de manipulateurs, d’intérêts parasites et de médiocrité. C’est donc un texte pour les grandes âmes et les personnes intelligentes, prêtes à regarder la vie et le mystère avec la liberté des esprits curieux et scrutateurs de l'occulte, sans dogmes, sans morales passagères, sans subterfuges.








Le DVD «Krav Maga Recherche et Développement» est né de la volonté de 4 spécialistes du Krav Maga et des sports de combats, Christian Wilmouth et Faustino Her nandez, Dan Zahdour et Jérôme Lidoyne. Ces derniers sont à ce jour à la tête de plusieurs clubs et d’un groupe d’une vingtaine d’instructeurs et moniteurs multi-disciplines allant du Krav Maga au MMA. Ce DVD n’a pas pour but de mettre en avant, ni une nouvelle méthode ni un courant spécifique de Krav Maga. Il s’agit juste là, de présenter un programme de Krav Maga axé sur l’importance du «contenu» et le partage de nos e

REF.:KMRED1

Tous les DVDs produits par Budo International sont scellés au moyen d’une étiquette holographique distinctive et sont réalisés sur support DVD-5, format MPEG-2 (jamais VCD, DICX ou similaires). De même, l’impression des jaquettes ainsi que les sérigraphies suivent les plus strictes exigences de qualité. Si ce DVD ne remplit pas ces critères et/ou si la jaquette ou la sérigraphie ne coïncide pas avec celle que nous vous montrons ici, il s’agit d’une copie pirate.

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Rester sois même Depuis de nombreuses années, une question m’est posée très fréquemment: pourquoi je ne veux pas être plus médiatisé? Beaucoup ne comprennent pas pour quelles raisons je reste discret et dans l'ombre. Je suis extrêmement timide et je ne cherche absolument pas à être sur le devant de la scène. J'ai toujours été comme cela.


Jeet Kune Do


Jeet Kune Do

“La peur n'est pas garante de protection mais de réaction défensive ou de rébellion de la part des autres. Celle-ci va provoquer un désir d'élimination à travers la violence. Or les arts de combat n'ont ils pas pour objectif d'ôter la violence et la colère ancrée en nous?”


e ne cherche pas à briller ou à être flatté. Tout ce que je souhaite c'est m'entraîner et transmettre aux gens qui me font confiance ce que l'on m'a enseigné. Je mets tout mon cœur dans tout ce que je fais, et la satisfaction de mes professeurs et de mes élèves est la seule chose qui m'importe. Je suis tellement heureux comme cela ! Mon professeur Sifu Rick Young m a demandé un jour pourquoi je ne faisais pas de DVD et très peu de pub ; je lui ai répondu que je ne me sens pas prêt pour faire des DVD car c'est une énorme responsabilité et je ne veux pas être irrespectueux envers mes professeurs si le DVD n'est pas intéressant.

J

Concer nant la pub je préfère le bouche à oreilles. J’accepte de faire des articles si on me le demande mais je n'irai jamais essayer de me vendre pour obtenir un article ou discréditer des gens pour prendre leur place. Il en est de même pour obtenir des stages ou des formations ; je veux être sélectionné, que si mes compétences sont suffisantes, non pas par piston ou gentillesse. Depuis mes débuts dans les arts martiaux j’ai toujours essayé de rester celui que je suis. Je n’ai jamais voulu prétendre être une autre personne : guerrier, bagarreur, expert ... Je suis un homme ordinaire avec des qualités et des défauts.


Jeet Kune Do


Je me bats chaque jour pour m'améliorer techniquement mais surtout humainement car les arts martiaux sont un excellent moyen pour devenir un être meilleur. Je veux à travers mon entraînement aider mon prochain et essayer de rapprocher les peuples et les cultures, au lieu de créer des clivages aboutissants au communautarisme. La richesse des arts permet de comprendre la richesse qui existe à travers les peuples du monde. Cela montre que nous devons tenter à travers eux de devenir vraiment celui qui nous sommes au plus profond de notre être. Plus nous évoluons plus nous apprenons l'humilité. Pourquoi ne devrais-je pas faire part de mes doutes, de mes faiblesses, de mes peurs, de mes échecs ? Afin de paraître invulnérable et faire peur aux autres. La peur n'est pas garante de protection mais de réaction défensive ou de rébellion de la part des autres. Celle-ci va provoquer un désir d'élimination à travers la violence. Or les arts de combat n'ont ils pas pour objectif d'ôter la violence et la colère ancrée en nous? Je reste donc tel que je suis et ne cherche pas à nuire aux autres afin de réussir ou de gagner plus d'argent. Dénigrer les autres n'a jamais fait partie de moi et je préfère rester discret plutôt que vouloir absolument être reconnu quitte à forcer cela. Si on force les gens à nous reconnaître alors on obtient juste une illusion pas une reconnaissance légitime. Chaque chose vient à point nommé dans le temps et on apprécie alors vraiment ce que l'on a obtenu grâce au travail fourni. Voilà, même si je n'aime pas parler de moi j’espère avoir répondu aux interrogations des gens concernant celui que je suis. Je veux rester moi même afin de ne jamais décevoir ceux que j'aime : ma famille, mes professeurs, mes élèves ... Bien sur je respecte les gens qui veulent être médiatisés, désignés comme des experts, comme les meilleurs. D’ailleurs, je leur laisse ma place volontiers. Alors acceptez-moi tel que je suis. Pour moi la rareté est précieuse. David Delannoy


Jeet Kune Do



Toujours avec comme toile de fond l’Ochikara, « la grande force » (appelée e-bunto dans la langue vernaculaire des Shizen), sagesse secrète des Miryoku, les anciens chamans japonais, l'auteur nous plonge dans un monde de véritables réflexions, capables de toucher et le cœur et la tête du lecteur, nous situant continuellement face à l'abîme de l'invisible, véritable dernière frontière de la conscience personnelle et collective. Le spirituel non pas comme religion, mais comme étude de l'invisible, fut la manière d’approcher le mystère des Miryoku, dans le contexte d'une culture à la fois riche et inconnue à l’étude de laquelle l’auteur s’est intensément consacré. Alfredo Tucci, rédacteur en chef de Budo International et auteur d'un grand nombre de titres sur le chemin du guerrier au cours de ces 30 dernières années, offre un ensemble de réflexions extraordinaires et profondes, qui peuvent être lues indistinctement, sans suivre aucun ordre particulier. Chacune d’entre elles ouvre une fenêtre par laquelle regarder les sujets les plus variés, sous un angle inattendu, parfois saupoudré d'humour, parfois de force et de grandeur. L’auteur nous confronte à des questions éternelles, avec l'air de quelqu'un qui vient d'arriver et ne partage pas les lieux communs sur lesquels tout le monde est d'accord. Nous pouvons affirmer avec certitude qu’aucun lecteur ne restera indifférent à ce livre, telle est la force et l'intensité de son contenu. Dire cela, c'est en beaucoup dire dans un monde plein de troupeaux de moutons, d’idéologies intéressées, de manipulateurs, d’intérêts parasites et de médiocrité. C’est donc un texte pour les grandes âmes et les personnes intelligentes, prêtes à regarder la vie et le mystère avec la liberté des esprits curieux et scrutateurs de l'occulte, sans dogmes, sans morales passagères, sans subterfuges.







Texte : Shidoushi Thiago Moraes. Master en Ingénierie Electrique pour l’université fédérale d’Uberlandia

« Réflexions sur les structures de forces » Kaze No Ryu Bugei s’enseigne et s’étudie a travers de l’organisation de plusieurs arts individuels, qui de forme routinière croisaient des références, que ce soit dans un but commun dans l’Art de la Guerre (BUJUTSU)- vaincre l’ennemi et ne pas être vaincu-, que ce soit pour les appels constant de ces époques historiques qui, a travers de l’amplitude de la sociologie, ont dictés la nécessité de l’évolution de ces même arts individuels. Ce type d’école de Bugei, qui centralise des matières distinctes ou Arts, est connu par beaucoup de studieux comme Sougou Bugei. Dans le cas de l’ancien Japon, qui durant des siècles fut une société martiale et non civile, ou le développement des Arts de la Guerre et ses spécialisations avaient des proportions intenses et particulières. De toutes formes, dans tous les pays, les systèmes belliqueux ont toujours fait partie de la structuration de la nation. Comme le dit J.R.R Tolkien, le grand écrivain britannique : « la guerre est la province des hommes », dans une de ses réflexions après ses propres expériences sur les champs de bataille de la première guerre mondiale. Beaucoup de fois il nous vient le questionnement sur les différences entre ces arts. D’un cote l’ensemble de tout le Bujutsu, vu de loin, il parait homogène (avec de multiples facettes) et de l’autre cote l’analyse depuis l’intimité de chaque art individuel montre que la distance entre chacun est de dimensions astronomiques. La réponse a deux parties : l’aspect historique et les structures de forces. L’aspect historique se réfère aux origines de chaque art dans la ligne chronologique. Ainsi, c’est naturel que la formalisation de l’Aikijujutsu, par exemple, soit arrivée après le déroulement du Kenjutsu, l’art de l’escrime Japonais, car les raisonnements présents dans la manipulation de l’épée et l’escrime, ont influés beaucoup dans le développement de l’Aikijujutsu. De ce fiat, il ya un consentement pour dire qu’une des origines de l’Aikijujutsu est dans le Kenjutsu. Quand nous nous référons a une pensée classique, que ce soit dans la musique, dans le ballet, arts martiaux, peinture, etc.…. c’est implicite le sens qui existe antérieurement a une forme et a une caractérisation proprement dites, et que cette même forme est pleine de particularités qui ne peuvent être confondus avec un mouvement ou une expression distincte. Je perçois que les arts classiques ont termines par se rendre à l’ origine pure : le pur son dans le cas de la musique classique, l’expression pure dans le cas du ballet, tradition et mouvement dans le cas des arts martiaux. L’instant chronologique le plus lié a chaque art, détermine aussi en scénario sociopolitique spécifique et si nous l’analysons a travers de l’anthropologie humaine, nous devons nous rappeler que la nécessité est la mère du progrès. Malgré l’intersection entre les disciplines, chacune d’elles possèdent son


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propre univers avec des lois déterminées, des limites définies et des caractéristiques propres. En même temps, les structures de force déterminent les principes a travers desquels la forme physique est manipulée et atteindre la fin désirée. Actuellement, la science physique nous explique que dans les premiers moments de la formation de cet univers dans lequel nous vivons, fluctuations quantiques ont déterminées le fin réglage qui existe entre les 4 forces physiques fondamentales que nous connaissons. Cette même fluctuation original et ce réglage, sont ce qui permettent que tout ce qu’il y a dans l’univers, de ce fait, existe- en commençant par les 3 dimensions spatiales étendues, dans lesquelles nous vivons (et faisons la guerre).jusqu’q ce que l’on connait, ces relations entre les forces sont extrêmement impactantes dans le déroulement d’un univers qui permet l’existence de la matière, une relative stabilité et le surgissement de la vie. En analogie grossière, comme ces constantes universelles (dans notre univers) déterminent les abordages possibles de transformation énergétiques, les principes de chaque art créent un espace particulier avec ses propres lois, avec des abordages qui permettent création, manipulation et destruction propre. Allons a un entendement basique des structures de force de quelques arts en Taijutsu- arts corporels- dans notre école. Le Jujutsu est considéré comme l’art corporel le plus ancien de tous, quand les premières formes d’agression et de défense personnelle ont apparues. Quelques uns de ces principes, qui se définissent structures de forces : l’utilisation de leviers, rusticité(en faveur de l’efficacité) justesse, objectivité sur les parcours, le hara (centre vital), promotionnent l’enracinement de la base et en agissant comme un ressort propulseur pour les démarrages ; utilisation du sol comme une arme et l’usage de son propre poids et du poids de son ennemi, de forme intelligente, entre quelques autres. En Jujutsu, beaucoup de Maitre enseignant a s’accrocher aux hanches de l’ennemi et ainsi le sortir de son axe normal d’équilibre, cherchant la décentralisation de l’axe de force de l’ennemi et en faisant que la actuation principale sera dirigée aux extrémités (bras et jambes). Avec ça, le Hara (centre vital) est isolé de sa condition primaire de convergence de la force et l’affaiblissement musculaire est inévitable. De cette forme, que ce soit sur le front de bataille, ou dans l’usage des parties du propre corps, un commando divisé est un commando mort. Toujours depuis le point de vue du Jujutsu, le sol est considéré un grand égaliseur de force, et dans le cas de que l’opposant soit lancé au sol, la distribution des forces s’altère et les plus expérimentés


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« Je comprends que les arts classiques seront un retranchement de l’origine pure : le son pur dans le cas de la musique classique ; l’expression pure dans le cas du ballet ; tradition et mouvement purs dans le cas des arts martiaux. »


chercherons a protéger le zones impaires du corps. Celles qui a être compromises, peuvent amener a la mort ou a une complète incapacité d’action. On différencie une expérience sportive (ou un système de combat) qui est sous l’autorité d’un juge, dans des règle qu’il cherche a maintenir l’intégrité des participants- quelque chose de sain et important- on différencie comme nous disions, d’une expérience de violence réelle, sans règles illimitées, ou a peine un seul survie. Quelques clefs internes tournent dans les tours, qui passent à agir moyennant paramètres instinctifs qui en général, n’ont rien a voir avec l’entrainement normal et civilisé d’un Dojo ou d’une salle d’entrainement. Spécialement les maitres les plus anciens- des périodes d’avant la seconde guerre mondiale- et expérimentés, savaient que dans le passé les luttes se connaissaient comme combat a mort. Ils affirmaient que dans le cas d’une lutte réelle décisive, savoir diriger et Ki (dans son langage) et économiser énergie, pouvait être le plus important dans un combat long et fatiguant. En plus, ils nous conseillaient de mettre le Ki juste ou il devait être mis. En d’autres mots, ils voulaient dire que dans l’application d’un atémi- par exemple un coup de poing- la force de tout le corps devra être mis dans la main et se devrait faire des exercices de focalisation, jusqu'au point de sentir la pression de tout le hara uniquement dans la main. D’un autre cote, l’opposant pourrait connaitre aussi ces facteurs qui différencient un combat et nous ne devrions jamais sous estimer a qui nous avons en face de nous. Quand un ennemi puissant- comme dans le cas d’un pratiquant expérimenté de Kempo, avec le corps fortifié- attaque en cherchant une définition, il a la volonté, la puissance et doit posséder la certitude. Cependant, celui qui se défend même avec pas ou peu de force se protégera. Avant de chercher aller au vide, entendre ce qui va au vide ! Au final, cela ne sert a rien d’avoir des yeux quand le mental est aveuglé. Ça c’est ce que nous enseignaient les anciens maitres. Ainsi, dans les principes de l’Aikijujutsu, le Ki doit être conduit et redirigé à son endroit d’origine contre l’opposant. Dans les structures de forces de l’Aikijujutsu, on rencontre la compréhension de la géométrie de l’application de chaque force, que ce soit statique, comme dans le cas de la force pesante d’un corps sans mouvement, que ce soit dynamique, comme dans le cas de la force d’un attaquant qui se lance contre l’autre. En profondeur, cela nous oblige à travailler des compositions des postures et mouvements qui explorent les polarités énergétiques (depuis le point de vue oriental) existants dans chaque état, qu’ils


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soient potentiels ou manifestes. Cela signifie ne pas nous permettre que notre mental soit capturé par l’attaque opposée et réussir travailler le plein et le vide de chaque instant. Ils sont arrivés encore plus loin et ont déterminés des qualités énergétiques basées sur des éléments (feu, air, eau, terre, bois et métal), et ils ont établis des formes d’utilisation de ces éléments a partir de contractassions et relâchements du Hara (centre vital), associés a la respiration. Dans les origines de l’Aikijujutsu, toute l’attaque opposée se faisait en utilisant la katana ou l’épée ou le couteau japonais traditionnel, présent dans le Daisho. Cela signifie que errer pendant un centimètre c’est pareil qu’errer pendant un kilomètre !ici, certain ou erroné sont simplement des résultats plus ou moins ordonnés et plus favorables a nous même qu’aux autres. Comme le disait José Saramago : « le certain et le erroné ne sont pas plus que différentes formes d’entendre notre relation avec les autres ». La profondeur d’Aiki en plus ne conduit pas a des observations d’impactes. En continuant a une profondeur encore plus grandes, la structure de forces de l’Aikijujutsu transite pour une dimension ou toutes les formes d’énergie s’expriment- que ce soit dans son sens oriental ou dans la définition physique occidental. Les forces qui ne sont pas dirigées et qu’a partir de nous même se font présentes, doivent exister dans les · dimensions, dans lesquelles tout ce que nous connaissons aujourd’hui existe et ou la nature des relations de ces 3 dimensions doivent être bien utilisées. En le simplifiant dans un exemple de la vie quotidienne, cela veut dire que, en regardant d’un coté d’une rue a double sens et en nous assurant que nous pouvons traverser, car aucune voiture ne vient de ce coté, même ainsi, nous n0aurions aucune information sur les possibles voitures qui viennent de l’autre coté- même si c’est la même route- c’est une question dimensionnel ! Pour aussi simple que cela parait, la non observation de la complète dimension, cela peut mettre la vie en jeu et amène des accidents. De la même forme, quand nous sommes attaqués, nous avons un grand numéro de formes d’utiliser la disposition des forces présentes dans les dimensions. Dans le cas de l’Aikijujutsu, deux de ses formes se considèrent comme primaires : la circonférence et la ligne droite. L’expansion jusqu’aux trois dimensions, la circonférence fait une sphère, si nous considérons que toutes les circonférences possibles a partir du même centre ; et la ligne droite parcoure un espace tridimensionnel. En deuxième analyse, nous combinons ces deux formes basiques, formants spirales et hélicoïdales. En spirale, nous avons une circonférence qui est croisée par une droite. Le radio croissant représente une expansion énergétique ou la polarité Yang, qui décroissant représente une contradiction ou la polarité Yin, direction au repos. En hélicoïdales, une droite croise une circonférence de radio constant et touche toujours deux points diamétralement opposés. Ces paramètres permettent que des forces plus grands que les nôtres, orbitent sous le contrôle du Hara du Tori et font à Uke anatomiquement fragile. Bien que dans la profondeur que nous pouvons sonder en comprenant la structure


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des forces de l’Aikijujutsu, seulement qui l’expérimente pour apprendre l’extrême violence et le danger que cet art possède. La vérité est que dans l’ambiance martiale, ils veulent tous avoir une technique parfaite, ce qui indirectement, pour l’amplitude de la psychologie, a quelque chose a voir avec vouloir être invincible. Mais pour être invincible c’est nécessaire devenir invincible dans nous même. Cela signifie comprendre les propres faiblesses. C’est le procédé du Renshuu. C’est un élément essentiel dans la formation du pratiquant de Bugei, développer une attitude et un mouvement de guerrier a partir de l’expérimentation et de la compréhension, et non cette petite chose chétive et occulte. Par exemple : La nature a essayé de comprendre les pensées ? D’où viennentils, ou vont-ils, comment réellement ils influent sur nous et comment ils sont influés ? Comment ils se connectent, comment sont ils sauvés ? Tel une goutte dans un verre se propage dans tout le liquide naturellement, nous assumons aussi des postures internes quand l’ambiance nous choque : c’est le principe d’un mouvement réactionnaire ! a la différence de ce que beaucoup pensent, la posture n’arrive pas quand nous initions un mouvement corporel, sinon quand des structures de perception internes sont remarqués et actionnés devant une énergie qui nous touche ! Nous tous nous avons un véhicule pour travailler notre réponse instinctive : la conscience ! Dans cet aspect, nous sommes tous dotés de la même capacité d’orientation. Certainement que le chemin pour arriver aux couches plus profondes de nous même, c’est mieux de le faire avec l’orientation de quelqu’un qui est passé par la, avec sa propre histoire personnelle et a travers de sa propre expérience. Et comment est-il possible apprendre et enseigner de tels mécanismes, s’ils forment une partie de la réalité interne de chaque individu ? Tous les arts, pour plus abstraits qu’ils soient, possèdent une origine et une époque, tout au long de l’histoire. Ici réside la différence : dans la racine ! Cela ne sert a rien qu’un musicien tente de jouer de la musique baroque sans se situer dans l’époque, que ce soit par reflets sociaux, pour l’essence des œuvres, pour la littérature ou pour n’importe quel autre héritage . Comment je peux vouloir suivre la ligne de la peinture de maitres comme Caravaggio ou Manet avant de procurer entendre ce qu’il y a plus loin des couleurs et des tracés ? Comme ça, les yeux, l’ouïe et les autres sens se retournent vers l’invisible, vers l’occulte, jusqu'à la peur de l’inconnu, au langage des symboles, au sacré et aux courants ataviques qui composent la transmission des lignages. Soit intuitivement, comme dans les arts, soit avec les yeux de la science moderne, avec l’astronomie, la mécanique cantique et/ou le déroulement des théories unificatrices, c’est important de rappeler que nous sommes toujours entrain d’expérimenté dans un univers que peu a peu se révèle. Tout ça nous emmène a retourner au début et a comprendre que nous comprenons le Bujutsu majeur en se vainquant a lui-même, travaillant pour la victoria de la volonté et de la conscience, sur l’ego et le vice. Par Shidoushi Thiago Moraes, master en ingénierie électrique pour l’Université Fédérale de Uberlândia.


Les Arts Samurai « Nous tous nous avons le véhicule pour travailler notre réponse instinctive : La conscience ! Dans cette matière, nous sommes tous dotés de la même capacité d’orientation. »





Le « Programme de contrôle tactique du Kyusho » (KTCP), a été conçu pour contrôler l'escalade des conflits à travers la recherche légale, médicale, du déploiement tactique, des essais sur le terrain et la coordination. Ce programme est spécialement destiné, bien que pas exclusivement, aux forces de l'ordre, au personnel de la sécurité et des urgences, aux gardes côtes, aux militaires, aux organismes gouvernementaux, aux escortes et aux gardes du corps. Ce module de base se compose d'un ensemble de 12 objectifs principaux intégrés dans quatre modules de contrôle de l'escalade de la force. Il existe de nombreuses structures faibles dans le corps humain qui peuvent être utilisées par un agent pour obtenir simplement le contrôle d'un individu, plus efficaces que l'utilisation conventionnelle de la force tel que l’indique le protocole. Au-delà du stade de l'ordre verbal, dans une situation d'escalade du conflit, par ces points (vitaux) de Kyusho, l'agent peut utiliser des systèmes internes de contrôle physique, tels que les nerfs, la structure des tendons et les réflexes nerveux naturels du corps. Il n’exige pas une grande force ni un contrôle moteur ou visuel complexe… soumis à l'échec dans les situations d'adrénaline élevée. Cette information est dédiée aux membres courageux et résistants des agences du monde entier… Merci pour ce que vous faites !

REF.: • KYUSHO 22 Tous les DVDs produits par Budo International sont scellés au moyen d’une étiquette holographique distinctive et sont réalisés sur support DVD-5, format MPEG-2 (jamais VCD, DICX ou similaires). De même, l’impression des jaquettes ainsi que les sérigraphies suivent les plus strictes exigences de qualité. Si ce DVD ne remplit pas ces critères et/ou si la jaquette ou la sérigraphie ne coïncide pas avec celle que nous vous montrons ici, il s’agit d’une copie pirate.

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Ce DVD se centre sur les armes blanches, sur le fait de connaître et de comprendre tous les dangers qui leur sont associés, et son thème principal est l’établissement de la priorité. Le plus important dans l’entraînement avec une arme tranchante c’est de connaître et de comprendre tous les dangers associés à ce type d’armes. Le danger de ces armes est très sérieux et bien réel et doit être traité comme tel. Cela signifie savoir où vous établissez votre priorité dans votre entraînement pour en faire un outil de survie, si une telle situation se présentait. C’est vous qui devez survivre, pas votre entraîneur qui vous aide à entraîner vos buts, mais pas votre objectif. Les priorités d’entraînement que j’utilise en Latosa Escrima sont les suivantes : réalité, techniques et exercices. Réalité : c’est la compréhension de ce qui pourrait se produire exactement et les dangers d’utiliser ou de faire face à une arme tranchante. Techniques : mouvements qui cherchent à vous donner une idée générale des possibilités et des probabilités de ce qui peut arriver. Exercices : la plupart d’entre eux sont utilisés pour développer et améliorer les habiletés motrices utilisées dans l’application technique. Cet entraînement met l’accent sur l’emplacement correct et la priorité à donner dans la façon de se perfectionner pour une telle situation.

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