José Manuel Reyes Pérez, 7e Dan de Hapkido par la World Hapkido Fédération (WHF), membre du (Board) Conseil d'Administration de la FHH, Directeur International pour l'Europe de l'Ouest et Président de la Fédération Espagnole de Hapkido (FEH), présente dans son premier DVD un traité complet sur les techniques qui permettent de rendre grand ce véritable art martial traditionnel coréen, grâce á l'héritage que lui a transmis directement le Grand Maître Kwang Sik Myung 10ème Dan de Hapkido. L'Hapkido est l'Art de la Défense Personnelle Dynamique par excellence, alliant vitesse et fluidité, ainsi que la préparation physique, la technique, la respiration, la méditation et la culture de l'énergie inter ne. Un art qui comprend une grande variété de techniques avec et sans armes, elle combine les défenses et les attaques, entre lesquelles sont inclues des techniques de la jambe, du genou, du poing, du coude, des projections, des étranglements et surtout des techniques de luxation.
REF.: • DVD/FEH-1 Tous les DVDs produits par Budo International sont scellés au moyen d’une étiquette holographique distinctive et sont réalisés sur support DVD-5, format MPEG-2 (jamais VCD, DICX ou similaires). De même, l’impression des jaquettes ainsi que les sérigraphies suivent les plus strictes exigences de qualité. Si ce DVD ne remplit pas ces critères et/ou si la jaquette ou la sérigraphie ne coïncide pas avec celle que nous vous montrons ici, il s’agit d’une copie pirate.
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« Il y a des douleurs qui tuent : mais il y en a de plus cruelles, celles qui nous laissent la vie sans jamais nous permettre d'en profiter. » Antonie L. Apollinarie Fée
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omme dit un de mes amis, il y a des douleurs avec qui on ne peut pas négocier. Le mal de dents est sans doute l'une d'elles …récemment, j’ai vécu á nouveau cette transe et comme a quelque chose malheur est bon, la douleur est quelque chose d’essentiel dans la notion d’existence (et bien sûr dans notre thème Martial), j’ai pensé, que ce serait approprié de philosopher à ce sujet dans ce forum. Il y a peu de sujets si inspirants comme celui qui nous touche, parce qu'elle sait se faire présente sans nous laisser aucune option de l'ignorer ; étant donne que je n’avais aucune manière de sortir de cette transe. Pourquoi ne pas essayer d’en tirer quelque chose de positif de tout cela ? Mais… c’est l'enfer ! Que peut il y avoir de positif dans la douleur ? Loin de moi l’idée de faire passer l'expérience de la douleur comme quelque chose de positif. Il n'y a aucun doute que c'est une sale affaire et que personne ne l'aime. Même les masochistes qui utilisent la douleur comme un outil d'excitation, le font dans des paramètres mesurables. Je pense que le mal de dents ne peut satisfaire à personne, mais il est vrai que la douleur est la façon la plus rapide de savoir que nous sommes vivants. Devant ce doute, nous nous pinçons, parce que la douleur nous amène à l'ici et au maintenant et se fout de toute spéculation ou réclamation concernant nos points de vue sur la vie. La douleur nous rend humble, parce que par la force on pend et parce qu'elle nous rappelle que nous sommes tellement fragiles. La douleur physique est un seuil de pression ; sans aucune pression, il peut y avoir de douleur. C'est cette pression continue qui accélère les molécules qui se frottent de plus en plus rapidement et qui produisent de la chaleur. C’est pourquoi le scenario de la douleur est accompagné d'une inflammation : In fiama (en flammes), du Latin « inflammatio », l'inflammation, est à son tour une voix qui vient du grec empyresis (de en, á l’intérieur et Pyros, feu). La douleur provient de la pression ou de l'accélération qui sont finalement similaires à la chaleur dans le corps. Après avoir croisé un certain seuil, les nerfs sont ceux qui transportent l'information dans tout le corps, ils envoient un message au cerveau, une mise en garde : quelque chose « se mijote » ! Le corps envoie à son équipe de pompiers avec de l'eau pour éteindre le « feu » et c’est comme cela que se produit l’œdème qui souvent accompagne les inflammations. La répétition ou l'intensité sont ses deux principales armes. L'intensité pour des raisons évidentes (le traumatisme), mais la répétition n'est pas moins importante. La réitération d'une posture ou d’un mouvement chargent de pression une superficie de telle sorte que la douleur finit par apparaître. Une caresse est-elle agréable, si répétée des milliers de fois elle provoque l'inflammation et la douleur. La première chose qui fait la douleur c’est de nous stopper net. Son obligation, comme bonne messagère qu’elle est, c’est de tout reporter pour régler le problème. La douleur est essentiellement un mécanisme d'alerte rapide, une première ligne de défense, par conséquent l’ignorer n'est pas bonne idée. Impitoyable et effective, elle nous montrera le problème, donc tuer la messagère, n’est pas une solution intelligente. Nous devons comprendre ce qui l’a causé et y remédier une fois accomplie cette mission, la traiter en conséquence. Cependant, la souffrir sans plus une fois qu’elle a rempli sa fonction, est une chose d’imbéciles. L'humanité a sélectionné et élaboré avec succès certaines substances de nature plus fortes et puissantes pour la supprimer.
"La douleur, quand elle ne devient pas bourreau, est une grande maîtresse." Concepción Arenal
Les opioïdes sont parmi les rois de ces substances, ce qui m'amène à me souvenir d'un commentaire d'un ami (ex drogué), qui m’a avoué une fois : -L'essentiel du « cheval » Alfredo, c’est qu'il simplifie ta vie. Tout se résume á se shooter ou ne pas se shooter …le reste ne compte pas - (sic). Curieusement la douleur, son contraire complémentaire, Agit-elle de la même façon ! Simplifie-t-elle la vie ! Cela se résume à une seule question... Être capable d'arrêter de l'avoir. La douleur, quand elle est suffisamment intense, reporte tout et perturbe toute liste de priorités. Un ami des services d'intelligence (je ne dirai pas de quel pays, nombreux sont ceux qui visitent ces pages) m'a avoué que sous la torture il n’y a pas héros ... cela n'arrive qu’au cinéma ; le problème est que l’informations que l’on obtient de là n'est pas toujours fiable, parce qu'on est capable d'avouer si nécessaire qu’on a tué á Jimmy Hoffa et même á Jésus-Christ pendant une même session. Il y a autres douleurs, émotionnelles, spirituelles, morales... mais bien qu’elles soient induites par l'absence ou la présence, par l’excès ou le manque, toutes sans exception trouvent, de même la douleur physique, leur cause première et dernière dans la pression. Pression exercée ou induite, présente ou impromptue, la pression nous conduit au jardin de la douleur. Fruit d’auto-exigences, de frustrations, d'urgences ou de toute autre raison, passé un certain seuil, la douleur est présente. Parvenir á la paix est un travail difficile, parce que les douleurs de l'âme sont difficiles à traiter, mais pas impossibles. Si le « corps » de l'humanité sont les pays du tiers-monde, là-bas les dominants seront les Douleurs physiques. C'est normal... une fois résolu l'essentiel, l'estomac plein et pourvues les fonctions de base, on s'inquiète d'autres choses. Par conséquent, pour les pays qui composent la « tête » de l'humanité, les douleurs psychologiques ou morales sont son plus grand fléau. En général en Occident, les problèmes de santé mentale sont une épidémie qui croît. Les chiffres sont étonnants, jetez un coup d’œil sur les statistiques de suicide dans votre pays et je peux vous garantir que vous en resterez muet. En partant de l'Alzheimer, de la dépression ou de la schizophrénie, jusqu’aux mélancolies multiples, dans leurs différentes nuances et intensités, les douleurs de l'âme et de l'esprit, sont la peste du XXIe siècle. Il n'y a pas de solutions ou de remèdes faciles pour ce problème. La douleur ici, comme la douleur physique, est un symptôme qui doit être abordé, un mécanisme d'alerte rapide, en tuant la messagère rien ne se résoudra. Les substances psychotropes dans ce cas jouent le rôle des opioïdes dans le corps, mais elles ne peuvent pas être un remède, sinon des inhibiteurs d’un message. L'homme a changé c’est sûr, mais sur le plan biologique, nous ne sommes pas si différents des premiers homos sapiens. Ce qui a vraiment changé c’est son environnement. Vivre dehors et de dos à la nature, niché dans les scénarios artificiels de la société moderne, ont changé les cartes et les règles du jeu. L'augmentation de la pression d'un environnement exigeant ; créés ou induits, les besoins, réels ou imaginaires, se multiplient, et nous devons faire face à l’énorme pression de tonnes d'informations tous les jours ; sans avoir le temps de
réfléchir, nous avons même des faiseurs d'opinion, des bergeries á fréquenter, des crèches où manger et surtout, des « offres » partout... face á peu d’options réelles... «sans temps » et sans direction, dans ce labyrinthe ,la pression vit á sa guise et lentement elle détruit des milliers d'âmes. La douleur n'est pas l'ennemi, elle est la messagère. Je ne dis pas de l’embrasser avec amour, parce que tout est une question de degrés et croyez-moi, moi je ne peux pas gérer la douleur de dents, mais il est vrai que vous obtenez assez de lucidité, pour apprendre à le considérer comme tel. Résoudre plus tard les causes de son apparition, c’est le travail des médecins dans l'art de vivre ; aujourd'hui plus que jamais, les vrais prêtres doivent être érudits dans de nombreux domaines, médecins des âmes et des corps, pour donner abri à l'infinie diversité des situations, pareille à celle des personnes. Un ancien proverbe dit, qu'il n'y a pas de maladies... mais des malades. Soignons-nous… nous-mêmes et si nous n'arrivons pas, demandons de l'aide, parce qu'il n'y a aucun préjudice á le faire.
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Alfredo Tucci est Directeur Général de BUDO INTERNATIONAL PUBLISHING CO. Courier: budo@budointernational.com
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Pencak Silat Pukulan Pencak(Pentjak) Silat Serak Mon nom est Maha Gourou Horacio Rodrigues, je suis l'héritier ou le responsable de la lignée de Pendekar Pak Victor De Thouars en Pukulan Pencak(Pentjak) Silat Serak. La lignée, me fut décernée par Pendekar (Grand Maître) Pak Vic il y a environ sept ans quand il prit sa retraite. Pendekar Victor de Thouars et son frèr e amenèr ent cet ar t de l'Indonésie vers les États-Unis en 1960. J'ai commencé à apprendre le Pukulan Pencak Silat Serak avec Pendekar Victor De Thouars à l'époque où l'ar t était enseigné à la manièr e traditionnelle, c'est-à-dire d'une manière très dure, exigeante, brutale pour les canons actuels. La structure de chaque individu était réellement percée jusqu'à ce qu'elle soit entièr ement entendue et qu’elle fasse par tie de lui- même. Notre formation à des niveaux supérieurs se fait avec de vraies armes blanches et pas avec des armes d'aluminium utilisées dans les entrainements pour créer le sentiment d'une vraie bagarre au couteau.
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n ce temps-là, Pendekar Victor De Thouars, était un maître très strict et discipliné et il exigeait un dévouement exclusif à plein temps. La formation était difficile et épuisante. Je me souviens de la différence dans l'intensité des classes, dans les changements de niveau avec les jurus et lankas au fur et á mesure que je progressais dans le programme d'apprentissage. Une de mes histoires préférées avec Pak Victor est qu’une fois pendant le festival du dragon nous étions sur un sol en marbre et nous avions commencé à entrainer avec de vraies armes pour montrer l'efficacité de l’art pratiqué avec de véritables couteaux. Les attaques étaient réelles, nous nous défendions avec des vraies armes dans un événement en chair et en os, sans essais, sans aucune séquence de mouvements, ni d’exercices préétablis, tout était réel et dynamique. Aussi je me souviens qu'une fois, dans une exposition de l'Eurasie, Pak Victor a décidé que 10 étudiants m’attaquent, l'un après l'autre, et je me suis défendu en ripostant sans leur causer de lésions, mais en le faisant bien. Pak Victor t’enseignait toujours, en t’entrainant, en te testant, en mettant á preuve tes limites et en te redressant. Et le défi était chaque fois plus grand et pouvait
« J'enseigne actuellement notre ligne d'art Pukulan Pencak Silat Serak á travers les États-Unis’ Europe, et maintenant en Asie. » « Mon objectif en tant que Maha Gourou et titulaire de la lignée Pukulan Pencak Silat Serak de même que Pendekar Victor De Thouars est d'être en mesure de diffuser l'art dans le monde entier. »
«. L’art pour moi est comme un grand puzzle avec une infinité de pièces. Les plates-formes, lankas, jurus, armes, exercices latihan et le programme d’études s’unifient dans une seule machine incroyable de combat. »
Arts d'IndonĂŠsie
Pencak Silat devenir écrasant. Peu importait les vêtements que nous portions, ni où nous étions, ou si nous avions terminé de manger et nous avions l'estomac plein. Il essayait toujours de vous faire aller au-delà de nos limites et que nous nous développions. Occasionnellement il sortait une arme et il tombait sur nous pour prouver nos compétences. Il était un professeur très sérieux et il était déterminé à faire que ses étudiants furent aussi bons comme possible, que nous ne soyons jamais satisfaits au point où nous étions et que nous essayons toujours d'améliorer. Le Pukulan, Pencak Silat Serak est un système complet, avec un programme d'apprentissage de 10 phases d'entrainement pour nous avons étudié pour nous former, et sur lequel nous nous basons pour ensuite continuer á enseigner l'art. Nous divisons l'art et nous l'enseignons en dans trois parties différentes. Les phases 1 à 5 sont dédiées à Mas Djoet, qui a été le premier étudiant de Pak Serak. Mas Djoet a été spécialement connu pour être aimable et défensif. Il était un peu plus âgé et il essayait de ne blesser personne sauf s’il devait le faire. Donc cette première partie se concentre davantage sur la défensive de la technique, l’apprentissage des jurus de main, armes, jurus lanka tiga, pantjar, sekurums et tendjekan. Nous avons aussi commencé à enseigner les sambuts basics défensifs, les techniques de finalisations et les buangs ou abattements et les clés de saisies, les principes et les applications de chaque section. Après avoir terminé les étapes 1 à 5 des structures défensives, le praticien passe aux phases 6 et 7, dédiées à Mas Roen, deuxième élève de Pak Serak. Mas Roen étais plus jeune, plus agressif et il développa son idée pour finir les choses rapidement. Ce niveau de formation est donc strictement d’attaque, ou ce que nous appelons serengan. Les jurus sont exprimés différemment et sont utilisés et appliqués de manière offensive. Les lankas et panjars, á nouveau les structures de main, les techniques de finalisation, les sambuts, sont très destructifs notamment les armes, les lankas ou les kudas et le mouvement. Le Gerankan est complètement offensif et il est conçu pour intercepter les adversaires, en attaquant le centre de la colonne vertébrale et les points vitaux en se déplaçant ou en se défendant de l'adversaire contre l'attaque ; l'idée ici est l’élimination totale ou la destruction. Cela inclut également beaucoup d’armes : pissau, (couteau), pantjang, (bâton), pendang (épée), tonkat (bâton court), karambit et beaucoup d'autres armes blanches. Une fois que l'élève a bien compris les phases offensives, 6 et 7 de Mas Roens, nous commençons avec l'enseignement des phrases 8 à 10 phases, qui sont consacrées à l'auteur de l'art de Pak Serak. C'est la façon dont il jouerait avec ses jurus, lankas, perang, pantjar et pantjar de guerre. Ce sont les plus hauts niveaux et ils parlent ce qu'il voulait transmettre quand il a créé l'art. Comment a-t-il fait pour surmonter ses handicaps physiques, en ayant une difformité du pied et un bras plus court que l'autre. C’est là où s’est concentré tout son art pour créer quelque chose capable de vaincre les autres arts qui étaient très populaires à ce moment-là dans son environnement. Il a créé un art dévastateur qui utilise et applique les leviers de la physique du corps, la base, les angles, les lignes de la force, la projection, l’anatomie du corps, les chakras, les points vitaux et les armes. Maintenant, à propos de moi, je dois dire que depuis 17 ans j’étudie profondément le Pukulan, Pencak Silat Serak. Les 7 premières années j'étais un élève interne. J’arrivais à l'école vers 9h ou 10h du matin et je partais aux alentours de 21h ou 22h le soir, pendant 5 ou 6 jours par semaine, sous la tutelle de Pendekar Pak Victor De Thouars. Je suis très reconnaissant envers lui pour tout ce qu’il a ouvertement partagé avec moi. Mon Hormat pour lui pour ses enseignements et pour m'avoir aidé à comprendre l'art. Au Serak tout consiste en la compréhension et en l'ouverture de l'art à sa capacité maximale d'application.
Arts d'IndonĂŠsie
Pencak Silat C'est ce que j'ai fait au cours des dix dernières années dans mes études de Belajar Pukulan Pencak Silat Serak. L’art pour moi est comme un grand puzzle avec une infinité de pièces. Les plates-formes, lankas, jurus, armes, exercices latihan et le programme d’études s’unifient dans une seule machine incroyable de combat. Serak est tellement unique qu’il amplifie vraiment tous les styles d'Arts Martiaux ou le système qu’on pratique, il complète les autres arts, mais seul, il est incroyable. J’aime et je respecte tous les styles et les systèmes d'Arts Martiaux. Mon objectif en tant que Maha Gourou et titulaire de la lignée Pukulan Pencak Silat Serak de même que Pendekar Victor De Thouars est d'être en mesure de diffuser l'art dans le monde entier. Mon intention est de partager ouvertement ce que j'ai reçu et ma propre croissance personnelle de 17 ans d’études approfondies et d’établir les conclusions nécessaires. J'enseigne tout le programme et la façon de l’utiliser et de l’appliquer dans l'enseignement et au combat. C’est ce que je faire pour continuer à répandre l'art aux gens qui sont capables d'honorer et d’aimer l'art comme je le fais moi même et qui m’aident à continuer cette mission, en étudiant et en devenant eux-mêmes des enseignants. Il existe trois niveaux de gourous dans notre art : Maha Gourou est un grand maître. Gourou Muda est un gourou qui se prépare pour devenir un Maha Gourou et se situe autour de la phase 7. Le niveau Pembantu Gourou est atteint après l'achèvement de la phase 5 et on commence à travailler dans les phases Mas Roen. J'enseigne de façon complètement transparente et je ne caché rien á mes élèves. Hormat (l’honneur) et adab (le respect) sont la clé de ce que je cherche dans un étudiant pour qu’il suive le chemin des études et la continuité de la lignée. J'enseigne partout dans le monde dans l'espoir d’accomplir ma part, comme j'ai promis à mon professeur, de diffuser l'art et de continuer la ligne qui fut amenée jusqu’ici par sa famille de Thouars. Je n'ai aucun intérêt pour la politique et je respecte tout le monde pour me faire respecter. J'espère que ceci donne une vue claire de mon Pukulan Pencak Silat Serak, de mon enseignement et de mon amour pour l'art.
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Arts d'IndonĂŠsie
Arts d'Indonésie J'enseigne actuellement notre ligne d'art Pukulan Pencak Silat Serak à travers les Etats-Unis, l’Europe, et maintenant en Asie. J'ai l'intention de rendre cet art accessible aux personnes dans le monde entier. Nous offrons un programme d’études complet, avec des DVDs d'entraînement, et nous sommes en train de développer des futures classes via Skype. Pour ceux qui sont intéressés, j’invite toute les personnes qui ont la volonté d'apprendre, qui ont un bon fond et qui sont de bonnes personnes á faire partie de notre famille. La série de vidéos en deux parties que nous présentons parlent de plates-formes, coups, des entrées en frappant, des clés de finalisation ,des angles défensifs contre plusieurs adversaires, des sambuts, des projections, de défense contre les attaques en masse, des champs d'action, comment utiliser le kuda et le kuda, le changement de jeu de jambes sans perdre de l’espace, des points de connexion garissan, réorientation, baseangle - levier, façon d'occuper l'espace ,comment garder une pression constante sur la ligne pour arriver à dominer et contrôler le résultat. Projeter une pression vers l'avant pour soustraire ou éviter une attaque. Nous montrons aussi certaines positions du Lanka Tigan. Le second DVD couvre les mêmes principes avec des armes. Le Pukulan Pencak Silat Serak ® est un système d'étude de l'Art Martial originaire de l’Indonésie amené aux États-Unis d'Amérique par Pak Victor De Thouars en 1960 avec son frère Paul.
« Il y a de nombreuses années que Maha Gourou Pak Victor De Thouars a décidé d'ouvrir le système et a passé la lignée à son héritier, Maha Gourou Horacio Rodrigues. »
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Arts d'Indonésie
« Le Pukulan Pencak Silat Serak ® est un système d'étude de l'Art Martial originaire de l’Indonésie amené aux États-Unis d'Amérique par Pak Victor De Thouars en 1960 avec son frère Paul ».
Arts d'Indonésie Serak fut fondé par Pak Sera, un membre de l’ancienne et énigmatique tribu sharmanic du Baduy. Notre fondateur non seulement mesurait moins de 1,50 m, mais aussi il avait un pied déformé et un bras plus court que l'autre. Cependant, malgré ses multiples limitations physiques, Pak Sera est devenu l'un des artistes plus complets du début du XIXe siècle dans les arts martiaux. Cette puissante et sophistiquée science a été transmise en secret oralement pendant de nombreuses années, en l’enseignant uniquement á des élèves sélectionnés qui ont consacré beaucoup d’années d'études à un sous-système. Dans cette lignée nous trouvons de remarquables artistes martiaux comme Sijo Bruce Lee et Gourou Dan Inosanto. Il y a de nombreuses années que Maha Gourou Pak Victor De Thouars a décidé d'ouvrir le système et a passé la lignée à son héritier, Maha Gourou Horacio Rodrigues. Aujourd'hui, l’authentique système du Pukulan Pencak Silat Serak est enseigné á tous les étudiants sincères à l’Académie International Serak, 4634 Gage Ave Bell, Californie 90201 et dans les tjabangs (filiales) de l'Académie dans tout le pays. Vous pouvez me contacter à l'adresse e-mail : Rodserasatu@yahoo.com Pour plus d'informations, visitez notre site web www.serak.org
« Pour ceux qui sont intéressés, j’invite toute les personnes qui ont la volonté d'apprendre, qui ont un bon fond et qui sont de bonnes personnes á faire partie de notre famille. »
Le maître de Shaolin Shi Yanti est moine de la 34º génération du Temple de Shaolin de Songshan et disciple direct du vénérable abbé Shi Yong Xin. Dans ce premier travail pour Budo Inter national, il présente Luohan Shibashou, une des plus anciennes et représentatives formes fondamentales de main vide du Temple Shaolin. Selon le livre "Shaolin Quan Pu', de la dynastie Sui, les moines guerriers de Shaolin ont développé une série de mouvements simples élus conformément au "18 statues de Luohan", d'où le nom de Luohan Shi Ba Shou (les18 mains de Luohan). Ce style Taolu est distinctif et dans ses mouvements continus, nous apprécions clairement des combinaisons de mouvements réels et l'irréels, de défense et de contre-attaque et une grande variété de mouvements cachés. Les principales techniques de main dans le Taolu sont celles de la paume de la main, et son apprentissage nécessite une bonne agilité et coordination, ainsi que la maitrise des positions Xubu, Dingbu, Gongbu et Mabu ainsi que de ses caractéristiques.
REF.: • DVD/YANTI-1
Tous les DVDs produits par Budo International sont scellés au moyen d’une étiquette holographique distinctive et sont réalisés sur support DVD-5, format MPEG-2 (jamais VCD, DICX ou similaires). De même, l’impression des jaquettes ainsi que les sérigraphies suivent les plus strictes exigences de qualité. Si ce DVD ne remplit pas ces critères et/ou si la jaquette ou la sérigraphie ne coïncide pas avec celle que nous vous montrons ici, il s’agit d’une copie pirate.
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Evan Pantazi
Kyusho réel : « Coup au foie » Un coup dur au foie est un coup de poing, de coup de pied ou de genou sur le côté droit de la cage thoracique qui traumatise ou endommage le foie. La force brutale sur le foie peut être très douloureuse et un coup particulièrement pénétrant ou entrainé neutraliserait un adversaire facilement. Dans des situations de combat, les coups au foie finissent souvent par des KOs techniques (TKOs), non seulement en raison de la grande intensité de la douleur, mais aussi des ramifications plus profondes sur l'organe et d’autres structures et fonctions physiologiques. Un coup au foie peut être exécuté avec n’importe quelle main, avec une arme et la trajectoire correcte. Le traumatisme est grave et interfère avec la circulation normale du sang, ainsi qu’avec la fonctionnalité du poumon comme nous allons voir dans la vidéo.
Kyusho Real " Au cours de l'impact initial sur le foie, on expérimente des petites réactions chimiques avec chaque impulsions électrique nerveuse. Avec un traumatisme crânien important, les réactions chimiques se déséquilibrent, et le choc se déplace le long de la paroi du nerf vague."
Evan Pantazi
D
ans la célèbre série « Notes de Hôhan Soken », on indique : Conséquence : Fatale – Si le coup est reçu sur le côté droit, dû á la stimulation des poumons par le grave impact sur le foie et les nerfs, on peut perdre les deux organes. Si au contraire il est reçu sur le côté gauche, la stimulation du cœur et des poumons due au shock sévère reçu sur l'estomac et les organes entraîne une possible perte. Jetons un coup d'œil sur la façon de le faire et discutons des conséquences de cette attaque : Le « Coup » se donne généralement en bas, sur la partie de devant près de la neuvième et dixième côtes avec une trajectoire ascendante vers la base de l'omoplate. Le coup attaque et pénètre dans le foie, provoquant un choc dans le foie, la plus grande glande/organe et un important centre de la circulation sanguine. Ceci peut provoquer que le récepteur perde la conscience et la fonctionnalité motrice et provoquer une sensation d'étouffement de la victime, car ça contraint, ce qui répercute sur la membrane (cool hein ?). Ce coup s’exécute mieux lorsque l'organisme est exposé ; l'attaquant peut donner un coup, faire un crochet au foie, ce qui laissera normalement le récepteur hors combat d’un coup. Cela peut également se produire sur le côté ou l'arrière du corps, même si le meilleur impact est celui sur la zone frontale.
Nous écouterons ce que ressent le récepteur : "De tous les coups sur le corps, probablement le coup au foie soit le plus efficace et le plus nuisible. Le foie est l'organe/glandule plus grand du corps, et quand on le frappe avec précision c’est
extrêmement débilitant. La douleur est immédiate, on ne peut pas respirer, et on sent que notre corps nous abandonne, bien que mentalement nous veuillions toujours nous battre. L'effet d'un coup brutal sur le corps est rapide et sévère, mais différent d'un coup à la tête. Ce qui arrive avec les coups à la tête, c'est qu'ils ne font pas mal. Franchement, quand on nous frappe sur la tête, on voit les étoiles et on ne digère pas toujours la douleur. La tête n'est pas bien et ne pense pas clairement. La tête ne fait mal que plus tard, avec le sac de glace sur le front. Parler d'être frappé sur le corps et à la tête me rappelle quand je suis tombé malade à cause du tabac à mâcher lors de mon huitième niveau. Mon esprit était clair, mais mon corps était complètement et totalement déconnecté. Lorsque on est en état d'ébriété on ne ressent pas vraiment la douleur que notre corps souffre. Être frappé à la tête c’est comme ça. C'est pourquoi compter jusqu’à huit à la boxe en se maintenant debout est si controversé. Les boxeurs ne connaissent pas la douleur et ils ne savent pas s’ils doivent ou s’ils peuvent continuer. C'est pourquoi on peut donner un coup sur le corps pour que la douleur soit efficace et invalidante, mais rien de plus efficace que d'attaquer le foie. Le coup au foie consiste à frapper directement sur le foie, qui se trouve sur le côté droit du corps près de la neuvième et dixième côtes (flottante). Normalement, cela se fait avec un coup légèrement incliné vers le haut. Les effets sont rapides et brutaux, causant une fatigue immédiate, une douleur et une perte de souffle. »
Donc, que ce passe-t-il réellement ? : Les lésions au niveau du foie ou de la rate peuvent produire une déchirure, une
coupure ou une ecchymose à l'organe. Ces lésions peuvent provoquer une hémorragie inter ne due à la rupture d’organes (explosion) ou de problèmes au niveau des vaisseaux sanguins. En outre, si l'attaque est assez grave, le nerf vague pourrait être affecté ce qui paralyserait le corps. Les symptômes de ce type de choc sont ; pouls rapide (fréquence cardiaque), hypotension artérielle, sueurs froides, nausées et pâleur de la peau. C’est extrêmement douloureux, et cela peut causer aussi l’arrêt de la respiration, une fatigue immédiate, la sensation d’une paralysie ou même une perte complète de la conscience. Le nerf de vague (qui signifie "errant") en fait sont deux nerfs crâniens qui s'étendent depuis le tronc de cerveau, le long de la poitrine et de la région abdominale. Ils sont reliés aux organes et au système immunitaire de l'intestin. Les nerfs vagues envoient et reçoivent des signaux du corps vers le cerveau, sur l'état des organes du corps pour répondre par des réflexes à une stimulation ou à un traumatisme. Au cours de l'impact initial sur le foie, on expérimente des petites réactions chimiques avec chaque impulsions électrique nerveuse. Avec un traumatisme crânien important, les réactions chimiques se déséquilibrent, et le choc se déplace le long de la paroi du nerf vague. Dans un cas plus sévère, le nerf vague peut provoquer une réponse cardio-inhibitrice et vaso-depressive simultanément. C'est une chute rapide de la fréquence cardiaque et de la pression artérielle, habituellement avec une réaction mitigée des deux, causant finalement des malaises et la perte de conscience. Des dommages graves tels que l'écrasement des vaisseaux sanguins, les lacérations du foie ou les déchirures, peuvent provoquer une hémorragie
Kyusho Real
Evan Pantazi
interne. Le choc traumatique du nerf vague peut entraîner des dysfonctionnements à long terme, tels qu’une fréquence cardiaque irrégulière, des troubles de déglutition, une respiration et une digestion difficiles. Les fractures des côtes sont également un sujet de préoccupation car les nerfs peuvent provoquer une déchirure ou une perforation qui doit être immédiatement traitée. Les dommages internes peuvent conduire à de nombreux problèmes de santé même à la mort. En résumé, les notes de Hôhan Sokens étaient tout à fait correctes et parlaient d’une attaque Dim Mak, mais aussi d’Kyusho.
Localisation : « Coup au foie » peut se donner à la base des côtes ou au-dessous celles-ci. Pour de meilleurs résultats, enfoncer vers le haut la côte flottante dans foie avant le coup. Attention car cela peut provoquer des perforations, des déchirures ou la rupture du foie.
Activation : Coup : Il pointe directement vers les côtes sous un angle ascendant. Cela peut causer des coliques
s é v è re s , c a u s e r l e m a n q u e d e c o n t r ô l e d e s m u s c l e s dans la partie inférieure du corps, provoquer des nausées, de spasmes du diaphragme et causer aussi des malaises.
Réaction : Lorsque vous recevez un coup correctement, ce coup a de nombreux effets physiques sur le récepteur : • Tout le corps s’affaiblit • Dégagement rapide • Douleur intense (quand on utilise les articulations des doigts) • Perte de la fonction physique motricité. • Perte de la capacité de respirer • Perte de la pensée cohérente • Nausées • Vomissements • Troubles intestinaux et digestifs • Peut causer une perte de conscience (coup très fort) • Hémorragie interne • Mort Il provoque une perte temporaire de la pensée et de la motricité.
Kyusho Real " De tous les coups sur le corps, probablement le coup au foie soit le plus efficace et le plus nuisible. Le foie est l'organe/glandule plus grand du corps, et quand on le frappe avec précision c’est extrêmement débilitant. La douleur est immédiate, on ne peut pas respirer, et on sent que notre corps nous abandonne, bien que mentalement nous veuillions toujours nous battre. »
Le Hwa Rang Do ® et les enfants (MISSION DE L'ÉNONCÉ DE LA MISSION DE L'ASSOCIATION MONDIALE DU HWA RANG DO ®) : Un héritage de loyauté, de Recherche inlassable de la vérité, de Renforcement de la vie, au Service à l'Humanité.
Nous savons que les enfants sont notre avenir. Ils sont capables d'apprendre toutes sortes de thème rapidement et efficacement. Ils aiment tout explorer et ils adorent avoir et faire de belles choses. La plupart du temps ils pensent aux Arts Martiaux comme un exercice amusement et quand ils rencontrent un très bon Maître ils peuvent faire de leur pratique martiale, un élément essentiel pour leur croissance.
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l y a beaucoup d'étudiants très jeune Hwa Rang Do ® dans notre Association. L'Enseignement du Hwa Rang Do ® est basé sur une discipline sévère, mais malgré cela les classes de Hwa Rang Do ® sont toujours amusantes pour les enfants. A travers du Hwa Rang Do ®, ils peuvent apprendre à conquérir leurs objectifs par euxmêmes. Surtout, les rangs des ceintures. Personne ne peut réussir pour cela, ils doivent réussir les preuves de la ceinture eux-mêmes, sans aide. Les preuves de ceinture du Hwa Rang Do ® sont très difficiles pour tous les âges et pour tous les grades : il y a un examen écrit, un oral et un pratique. L’âge n'est pas important pour le Hwa Rang Do ®, nous commençons à étudier l'art à l'âge de 2 ans, comme l'ont fait Joo Nim (Dr Joo Bang Lee 10 ° Dan) et son fils Do Sa Nim (Taejoon Lee 8 ° Dan). Tout le monde est en mesure d'obtenir des résultats importants. La chose la plus importante c’est de faire de son mieux. Le point principal du Hwa Rang Do ® pour les enfants est l'idée de faire des sacrifices pour atteindre de beaux buts. C'est aussi la clé du succès du ® Hwa Rang Do avec de très jeunes élèves Martiaux. A propos de l'Auteur : Chef Instructeur de Hwa Rang Do ®, Lieutenant-Colonel de police militaire italienne (Carabinieri)et Ingénieur. Marco Mattiucci est le chef de la filiale italienne de l'Association Mondiale de Hwa Rang Do ® et l'un des principaux disciples du Grand Maître Taejoon Lee.
"La chose la plus importante, c'est de faire de son mieux. Le point principal du Hwa Rang Do ® pour les enfants est l'idée de faire des sacrifices pour atteindre de beaux buts. C'est aussi la clé du succès du ® Hwa Rang Do avec de très jeunes élèves Martiaux. »
Maha Guru Horacio Rodrigues est l'héritier de la lignée de Pendekar Pak Victor De Thouars de Pukulan Pencak Silat Serak, un système amené d’Indonésie vers les États-Unis par les frères De Thouars en 1960. Cette puissante et sophistiquée science fut transmise verbalement en secret pendant de nombreuses années, s’enseignant uniquement à des étudiants sélectionnés (des artistes martiaux remarquables comme par exemple Sijo Bruce Lee et Guru Dan Inosanto). Le Pukulan, Pencak Silat Serak est un système complet, avec un p r o g r a m m e d'apprentissage comprenant 10 phases d'entraînement. Ce premier DVD de la série enseigne des positions de Lanka Tiga, les Sambuts de base 1 à 15, des techniques de finalisation, les Buangs ou un amenè au sol et les clés de saisie, Tendjekan, défense contre les attaques en masse, champ d'action, changer le jeu de jambes sans perdre de l’espace, les points de connexion Garisan, esquiver, base-angle- levier, les façons d’occuper l'espace, projeter la pression vers l'avant pour éluder ou éviter une attaque et comment maintenir la pression constante pour dominer et à la fin réussir à avoir le control.
REF.: • DVD/SERAK-1 Tous les DVDs produits par Budo International sont scellés au moyen d’une étiquette holographique distinctive et sont réalisés sur support DVD-5, format MPEG-2 (jamais VCD, DICX ou similaires). De même, l’impression des jaquettes ainsi que les sérigraphies suivent les plus strictes exigences de qualité. Si ce DVD ne remplit pas ces critères et/ou si la jaquette ou la sérigraphie ne coïncide pas avec celle que nous vous montrons ici, il s’agit d’une copie pirate.
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En exclusive le DVD du Maître Marco Morabito sur l'autodéfense à mains nues, et la présentation du système Krav Maga Israeli Survial System. Les techniques et la méthode qui forment le système, sont illustrées secrets, d'une manière claire, transparente et facilement compréhensible. Une occasion unique de se rapprocher du cœur de la défense israélienne et d'améliorer vos connaissances sur le sujet. Morabito développe une recherche continue, sans arrêt, dans la poursuite à acquérir de nouvelles connaissances et de ne jamais arrêter de poser des questions. Krav Maga Israeli Survial System n est pas une discipline ou un ensemble de règles rigides, mais une méthode, un processus d'évolution continu et constant. Cela le rend adaptable à toute situation et circonstance, perméable aux changements, et lui offre la possibilité de faire le point sur les erreurs et de prendre son expérience comme une opportunité pour améliorer.
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Tous les DVDs produits par Budo International sont scellés au moyen d’une étiquette holographique distinctive et sont réalisés sur support DVD-5, format MPEG-2 (jamais VCD, DICX ou similaires). De même, l’impression des jaquettes ainsi que les sérigraphies suivent les plus strictes exigences de qualité. Si ce DVD ne remplit pas ces critères et/ou si la jaquette ou la sérigraphie ne coïncide pas avec celle que nous vous montrons ici, il s’agit d’une copie pirate.
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RAISONS
Pourquoi le Kyokushinkai
"Il n'est pas difficile de comprendre qu'un karatéka de 80 Kilos, est plus fort qu'un de 60 Kilos, de même un karatéka de 100 kilos est plus fort qu’un de 80 kilos et un lutteur de Sumo est plus fort qu'un karatéka. En outre, un taureau est plus fort qu'un homme, et un éléphant est plus fort qu'un taureau... « Mais l'homme peut tuer un éléphant parce qu'il est plus intelligent que lui. » "Si un homme faible domine un autre plus fort grâce à son pouvoir du mental et son intelligence, cela démontre la force et l'esprit du Kyokushin, et que le Kyokushin est pour tout le monde. Shihan Kenji Midori (72 Kilos) a gagné le V du Championnat du monde de Kyokushin en 1991.
Karate
RAISONS
CINQ RAISONS DE CHOISIR LE KYOKUSHINKAI 1er- LE KARATÉ KYOKUSHINKAI est considéré comme le plus « fort » karaté, donc, si nous cherchons la plus grande réalité dans l'exécution des techniques, le Kyokushinkai a une étude approfondie de combat de contact, avec des techniques de jambe dans l'ensemble du corps et de la tête, à l'exception des points vitaux comme les parties génitales ou de la colonne vertébrale et des techniques de poing dans tout le corps, sauf la tête. Quelqu'un dit : « mais on ne frappe pas le visage avec les poings, » le Maître Oyama a révolutionné les années 50 avec le full combat sur tout le corps, y compris le visage, mais il était totalement impossible qu'il n'y ait aucune lésion grave, donc comme Masutatsu Oyama voulait un full contact total, on a supprimé les coups sur le visage, mais pas le reste de techniques, toujours sans protections, ce qui marque la différence. Ainsi, une raison de choisir le Kyokushinkai, comme dit que sa traduction est LA RECHERCHE DE LA VERITÉ. 2e- SECURITÉ PHYSIQUE ET MENTALE, physique non seulement dans tous les composants que peuvent nous donner les Arts
Martiaux : Amélioration des qualités fondamentales telles que la Coordination, la Souplesse, la Psychomotricité, etc… tout pour l’amélioration de la Santé et de la Condition Physique, aussi comme la self défense, indéniable depuis que le Kyokushinkai est Arts Martiaux de full contact, on en déduit que la réponse est parfaite pour notre propre défense. L'aspect Physique est très important en Kyokushinkai, il est très fameux pour ses entraînements jusqu'à l'épuisement, tout ceci pour une mise à point de ce combat de full contact et ces entrainements sont ceux qui sont liés à la partie MENTALE, loué par tous les praticiens qui voient comme dans une classe on essaye de faire toujours « un peu plus », une flexion de plus, un peu plus de temps en frappant le sac avec des techniques de pied ou de poing .Quand vous voyez que vous ne pouvez plus suivre quand vous faites un combat et votre partenaire vous s'exclame : continue, tu peux, continue, bref SE DEPASSER Le maître Oyama nous a laissé un slogan « OSU NO SEISHIN » l’Esprit de la Persévérance, OSU, signifie « résister à la pression », cela implique la force de la volonté nécessaire pour résister à la limite, c’est comme un appel de l'intérieur de chacun pour tenir, pour combattre et pour vaincre de cette façon les faiblesses humaines.
Ainsi, l'une des raisons de choisir le Kyokushinkai et pour SE CONNAITRE SOI -MÊME ET SE SURPASSER. 3e- DE SI NOMBREUX PRATICIENS DANS LE MONDE NE PEUVENT PAS SE TROMPER, le Kyokushinkai, est pratiqué par plus de 20 millions de personnes dans 140 pays. Lorsque Maître Oyama vivait, elle fut l'Organisation plus grande dans les cinq continents, créée par une seule personne, Matsutatsu Oyama : lorsqu'il ouvrit son premier Dojo à l'air libre en Meijiro en 1956, au cours du premier mois il avait déjà 300 étudiants, deux ans plus tard, il ouvrit le Dojo Oyama dans un studio de ballet derrière l’Université Rikkyo á Ikebukuro - Tokyo près de l'actuel Honbu. Il est enseigné de la même façon aux différentes classes sociales, depuis la pureté de la couleur blanche d'un Karategi ,quelle que soit la race, sexe, religion, etc., jusqu’aux couches sociales plus inférieures et même á des Rois, en passant par une grande galerie de personnages importants : Sean Connery, Ronald Reagan, Nelsón Mandela, Jean Claude Vandamme, Dolph Lundgren, Vladimir Putin, mettant en évidence dans notre pays à notre Roi Juan Carlos I , qui dans sa jeunesse, se forma de façon « réelle » jusqu’au grade de deuxième Dan, lui ayant été reconnu le 6e Dan honoraire de l'International Karate Organisation Kyokushinkaikan, dont il fut membre , pendant de nombreuses années, du Comité de Conseillers Mondiaux, à côté d'autres grandes personnalités. Une des raisons de choisir le Kyokushinkai, c'est parce que c’est un PRODUIT (Art Martial) QUI EST PROUVÉ ET CONSACRÉ. 4e- LA CAMARADERIE, il est sûr que dans de nombreuses activités, cela surgit, comme dans des petits cercles sociaux que nous formons avec nos collègues de travail, de sports, de loisirs, avec la famille, etc., Ici c’est pareil, mais avec une grande charge martiale, avec des traits de discipline, abnégation, sacrifice, etc., comme un étudiant me dirait, « pur marketing expérientiel ».Il est basé sur ce qui nous amène à l’expérience merveilleuse et unique d’entrainer dur, ainsi que l’excellente relation avec nos collègues, « expérience de contact », avec lesquels nous expérimentons l'évolution de la dureté, ce sentiment avec le temps diminue peu à peu, de telle sorte que, malgré cette dureté, il peut être pratiqué par n'importe qui, mon cher étudiant Santiago l’appelé « marketing d'attraction ».
Karate
RAISONS
Heureusement les temps ou les Gymnases d’Arts Martiaux étaient seulement pour les jeunes gens sont finis, aujourd'hui on commence avec n'importe quel âge, en cherchant quelque chose d’introuvable dans d'autres activités. Ainsi, une raison de choisir le Kyokushinkai, est de TROUVER UN ENVIRONNEMENT SOCIAL ADÈQUAT. 5e- KUMITE, l'âme de Kyokushinkai. Le Maître Oyama a déclaré : "il ne peut y avoir aucune preuve, sans un combat réel, sans preuve, il n'y pas de confiance, sans confiance il n'y a aucun
respect". Le Kyokushinkai est l'un des derniers styles de karaté, bien que pratiqué au préalable, il est mis en place officiellement en 1964 Aujourd'hui, au XXIe siècle, il est plus vivant que jamais et c’est grâce à sa vision du combat car il peut être suivi par des millions de personnes à travers les réseaux sociaux, ce qui augmente encore plus sa popularité. Aujourd'hui il y a des grands professionnels dans notre style qui donnent des classes à plus de 20 000 pratiquants de Karaté Kyokushinkai dans toute l'Espagne, formant de grands concurrents pour les différentes Compétitions Locales, Régionales, Nationales, Inter nationales et Mondiales. Actuellement le Kyokushinkai est immergé dans un Mouvement Olympique, pour que le Karaté puisse poser sa candidature aux prochains Jeux olympiques de Tokyo en 2020. Une raison de choisir le Kyokushinkai est donc son DÉVELOPPEMENT COMPÉTITIF AU PLUS HAUT NIVEAU.
MMA
RAISONS
5 RAISONS DE CHOISIR ET DE PRATIQUER LES MMA À moins que vous ayez été embourbé dans un coma profond pendant 20 ans, il est impossible que vous n'ayez pas entendu parler du Vale Tudo (nom ancien et originel) ou des MMA (arts martiaux mixtes, nom actuel évolué), parmi d'autres raisons, car c'est le système á la mode et le sport qui a le plus évolue mondialement. Que moi-même, introducteur de ce sport dans mon pays, ex-combattant et actuellement instructeur de ce sport, désire informer des raisons pour lesquelles pratiquer ce sport, me semble, au mieux, un peu soupçonneux. Mais devant cette situation j’exposerai quelques raisons légitimes et objectives au-delà de tout soupçons, concernant l’initiation dans la pratique de ce système. Raison n ° 1 ; Lutteur complet Tous les arts Martiaux sont parfaits pour se former et chacun apporte ses avantages. Cependant, chacun d'eux séparément ne vous rend pas meilleur combattant et beaucoup moins un lutteur complet.
Les Arts de frappe vous apprennent à frapper et á vous protéger, mais ne vous enseignent pas à combattre au sol ou mettre au sol, de même les arts de saisies vous apprennent à vous battre avec des mises au sol et des techniques de saisie et de soumission, mais on ne vous montre pas comme frapper et comment vous protéger des coups. Evidement je fais référence aux arts sous leur forme pure et originale non dilués avec des techniques et des concepts extrapolés d’autres arts. Raison 2 ; Honneur, respect et discipline Les MMA requièrent une grande discipline ; et je ne parle pas de l'ornementation sur l'ordre d'entrée dans le dojo ou le salut si commun avant et après les cours des arts traditionnels.
Si vous voulez avoir un bon niveau en MMA, vous devez apprendre á unir la discipline du corps et de l’esprit. Vous devrez apprendre à bien manger, bien dormir et entrainer dur, ça parait facile, mais il faut effectivement une grande maîtrise de soi. Malgré les apparences la plupart d’athlètes des MMA ne sont pas intéressés par les conflits violents hors de leur sport, nous préférons une résolution pacifique, mais c’est d'un dénominateur commun dans n'importe quel art martial sérieux. Uniquement lorsque nous connaissons et nous souffrons á nos dépens des situations insupportables auxquelles un lutteur doit faire face à ses séances d'entraînement quotidiennes et qu’il est conscient du mal qu’il peut faire ou on peut lui faire, on choisit toujours la solution plus pacifique
MMA
RAISONS
Aussi, soyez surs, qu’après un entraînement si intense, votre stress ou votre colère accumulée s’envolera par la fenêtre. Raison 3 : Entrainement physique et mental. Apprendre les MMA est certainement un excellent exercice physique. La lutte, la boxe, le Jiu-Jitsu, sont sans doute des niveaux brutaux de cardio. Vous devez développer une condition physique maximale pour ne pas vous fatiguez pendant le combat, ce qui signifie beaucoup d’endurance, de souplesse et de force... Je pense que je peux dire qu'aujourd'hui le combattant des MMA est l'athlète le mieux préparé. A des niveaux supérieurs nous avons besoin d’une performance physique égale à n'importe quel athlète olympique. Aussi votre esprit se renforcera pour développer des capacités élevées de concentration, action et réaction. Cela poussera votre corps à la limite. Raison de 4 : Lutte sportive Les MMA vous offriront l’option idéale de les pratiquer comme une méthode de conditionnement physique ou
aussi de combattre légalement dans un environnement contrôlé et de vous charger de valeurs telles que la détermination et le courage. Raison 5 : Défense personnelle Pourquoi pas ? Certains ne partageront pas une telle a ff i r m a t i o n v e n a n t d ' u n s p o r t d e c o n t a c t , m a i s n'oublions pas ses origines, la lutte sans règles, qu’il soit devenu un sport est dû à la survie de cet art comme tel le faisant plus civilisé, ceci est arrivé auparavant avec le jiu jitsu japonais qui fut converti en judo pour devenir un sport. En bref le rendre plus commercial, comme c’est un sport, plus de gens peuvent le pratiquer donc plus de praticiens est par conséquent plus d'argent. Cherchez un instructeur qui connaisse ses origines et ses techniques plus anciennes, ceux que l'on appelle old school, ils vous apprendront sans doute à vous défendre dans les rues dangereuses du monde. Bonne chance avec l'élection, une pensée à tous à mon retour à la maison qui m’a découvert. OSS
RAISONS
Krav Maga est un Art Martial israélien d'autodéfense, créé par Mr. Imi Lichtenfeld á la fin des années 1960. De notre point de vue comme auteurs, le problème n’est pas de présenter cinq raisons de choisir le Krav-Maga comme Art Martial. La difficulté est de choisir cinq atouts seulement parmi les centaines, tous aussi importants, que le Krav-Maga offre á ses praticiens. Raison n ° 1 : Quand, en 1971, Imi présenta son Art Martial au monde pour la première fois, le Krav Maga était (et reste) la discipline martiale entièrement dédiée à la self-défense, sans compétitions, ni mouvements chorégraphiés, ni équipement de protection, etc... Seulement quand nous apprendrons et que nous connaîtrons le système d’Imi, nous serons en mesure de comprendre la différence entre un Art Martial et un Art Martial d'auto-défense. Raison n ° 2 : Le krav-maga est le seul Art Martial qui donne des solutions à toutes les situations possibles de la violence dans la rue. Peu importe si l'agresseur s’approche á nous avec les mains vides ou armé d'un bâton, avec un couteau, une arme à feu ou avec tout autre d'arme du même style. Il ne faut pas oublier qu’Imi fut l'Instructeur en Chef de la Défense Personnelle de l'armée israélienne pendant 20 ans et il utilisa toute cette expérience quand il créa le Krav-Maga. Raison n ° 3 : La méthode d'enseignement de la défense personnelle d’Imi est basée sur le principe que nous devons d'abord apprendre comment appliquer une attaque déterminée de la façon plus rapide, plus efficace et létale, et seulement après, nous apprendrons à nous défendre contre cette agression si létale. Ce n’est pas facile, cependant pour faire face à la violence réelle de la rue, où il n'y a pas de règles, nous devons l’apprendre de cette façon.
RAISONS
Raison n ° 4 : Le Krav-Maga est un Art Martial au sens strict et traditionnel du terme. Dans ce bref article, bien sûr, il est impossible d'expliquer en profondeur le chemin d’'Imi ; pour comprendre le Krav-Maga, il est nécessaire de le pratiquer avec un bon professeur. Mais étant un Art Martial complet et non pas seulement une collection aléatoire de mouvements de mains et de jambes, le Krav-Maga est adapté pour tous ceux qui veulent connaître, sentir et comprendre ce que signifie réellement l'Art Martial. Nous pouvons pratiquer le Krav-Maga pour améliorer nos capacités physiques et intellectuelles sans mettre l’accent sur la partie de la défense personnelle, ou nous pouvons apprendre en même temps un Art Martial et profiter de l'avantage additionnel d’avoir une connaissance complète de l’auto défense. Raison n ° 5 : En 1977, Imi et son élève Yaron Lichtenstein fondèrent une Ecole de Krav-Maga, à Bukan ("Hall Du Guerrier"). L’objectif de l'Ecole depuis le début était de maintenir, préserver et enseigner la façon originale d’Imi. L'école compte aujourd'hui avec des centaines d’instructeurs de toute l'Europe, avec des milliers d'étudiants dévoués et adeptes de cet Art Martial merveilleux. L'école est la garantie que les étudiants apprennent la forme originale du Krav-Maga, exactement comme on l’enseignait en Israël. Le très haut niveau de formation et le professionnalisme de l'école Bukan sont en eux-mêmes des raisons pour y aller et apprendre le Krav Maga.
Texte : Kostas Argyriadis Photos : Š Budo International & archives
Cine y Artes Marciales
Don W ilson « Le Dragon » a participé à ce jour à près de 33 films d’action, en commençant par le légendaire « Bloodfist » en 1989, jusqu'à son film le plus récent qui n’est pas encore sorti en Europe et qui s’intitule « La Dernière Sentinelle ». Les films de W ilson, comparés à ceux d’autres vedettes des arts martiaux comme Chuck Norris et Jean-Claude Va n Damme, se font essentiellement remarquer pour leur philosophie de petit budget, une raison pour laquelle à Hollywood, « Le Dragon » est connu comme « le roi des films d’action de série B ».
Films et Arts Martiaux
La majorité des films de W ilson ont été tournés en deux mois à peine, avec budget qui tourne autour de deux ou trois millions de dollars, ce qui, pour l’industrie du cinéma nord-américaine, n’est pratiquement rien. Malgré le fait qu’aucun des films de W ilson ne soit spectaculaire, l’industrie d’Hollywood l’adore et continue de financer « Le Dragon » pour la simple raison que tous ses films ont produit aux États-Unis un bénéfice d’entre quatre et six millions de dollars. Bien qu’en Occident, les films de W ilson ne parviennent que rarement à se fair e r emar quer sur le grand écran, ils ont beaucoup de succès dans le marché des clubs vidéos où les films du « Dragon » se situent généralement parmi les cinq premiers, ce qui explique ses presque 20 ans de succès.
Films et Arts Martiaux es films de Don Wilson peuvent, grosso modo, se diviser en trois catégories : ceux qui ont un fil conducteur centré sur le Kickboxing (les séries « Bloodfist », « Anneau de feu », etc.) ; les films de science-fiction futuriste (« Future Kick », « Cyber Tracker », « Sci-Fighter », etc.) ; et les films d’action en général, la majorité avec une histoire policière ou de l’armée (« Mission suicide », « Attaque suicide », « À la Limite de la loi », « Crooked », etc.). Il est vrai que Don Wilson n’est pas le meilleur acteur du monde et, de fait, ses rôles ne sont presque jamais convaincants ni réellement crédibles. De mon point de vie, Don Wilson a été, au cours de toute sa carrière, un professionnel de Kickboxing que j’admire énormément et un acteur amateur. Mais tout cela importe peu si les coups de pied du « Dragon » sur le grand écran continuent d’émouvoir ses admirateurs. La passion de Don fut et est toujours le Kickboxing. Au cours de toute sa carrière, il n’a
L
jamais laissé de côté la lutte, ce qui fut évident les deux fois où il est revenu sur le quadrilatère. La première fois, ce fut le 14 mai 1999, à Boston, au cours d’une soirée de combat appelée « Destruction massive » où il battit Dicky Kimber par KO dans le combat pour le titre mondial de l’ISKA. À cette même rencontre, assistait le champion du monde australien, le légendaire Stan Longinidis, « L’Homme », et le roi du Full Contact, Rick Roufus. La deuxième fois, ce fut au MGM Grand à Las Vegas, le 17 mars 2000, dans un grand spectacle où Don battit Dewey Cooper, obtenant de nouveau le titre de l’ISKA. Parmi les autres grands présents ce jour-là, il y avait Jerome Lebanner, Perry Ubeda, Sa Kmongkol et Mourad Sari. En 2004, le bruit courut que Don était en train de se préparer pour revenir sur le quadrilatère à Kiev, en Ukraine, pour un grand gala de l’ISKA, mais cela ne se produisit pas. Contrairement au reste des vedettes des films d’arts martiaux (excepté Chuck Norris), Don Wilson était déjà mondialement connu sur les rings du Kickboxing avant de devenir acteur. Pour ceux qui ne connaissent pas la carrière
météorique de Don dans le combat, je dirai simplement qu’¡l a gagné 11 titres mondiaux dans trois catégories de poids et dans six organismes différents. Jetons un œil sur les plus grands succès de Don sur le quadrilatère. « Le Dragon » monta pour la première fois sur un ring en décembre 1974 lorsque le Kickboxing (appelé ensuite Full Contact) en Occident faisait ses premiers pas. En 1979, il devint champion des États-Unis, à la première rencontre de Kickboxing télévisée par le canal des sports ESPN. En 1980, invaincu, Don devint champion du monde de la WKA, la fédération leader de Kickboxing de l’époque. Toujours à la recherche de nouveaux défis et dépassant constamment ses limites, Wilson (tout comme le fameux Benny Urquidez) fut le premier combattant de Kickboxing qui osa affronter les grandes figures d’Orient avec leur propre jeu sur leur propre territoire. En
1981, Don gagna par KO dans un grand combat à Tokyo et devint du jour au lendemain un phénomène au Japon (peut-être également en partie pour son aspect et ses origines, la mère de Don est en effet japonaise). Les années qui suivirent, Don affronta et battit toutes les personnalités qui se présentèrent en Orient. Il devint ainsi la vedette du ring au Japon et à Hong Kong où il battit, entre autres, le champion du Lumpini, Panja Sornoi. Il osa se jeter dans la gueule du loup et affronta et battit, à Bangkok, Samart, le champion de Thaï. Pour se mettre dans le contexte, nous ne devons pas oublier que nous parlons du début des années 80, une époque où le reste de la communauté du Kickboxing aux États-Unis, en Europe et en Australie pratiquait uniquement le Full Contact (avec des coups de pied seulement au-dessus de la ceinture). Par conséquent, à cette époque, certains des moments les plus spectaculaires de Don sur le quadrilatère eurent lieu dans des
combats suivant le règlement du Full Contact comme la bataille épique qu’il livra contre le champion du monde Dennos Alexio en mars 1984 où Don gagna aux points. Une autre bataille historique fut le combat de Wilson en décembre 1984 contre le légendaire « Homme de Glace », Jean-Yves Thériault. La rencontre qui se célébra dans la ville canadienne de Montréal termina en match nul après 12 rounds d’une intensité trépidante. Pourtant, beaucoup des spectateurs impartiaux présents affirment que Wilson aurait dû gagner ce combat. En 1987, au cours d’un combat suivant le règlement du Kickboxing, Don mit KO Branco Cikatic (le premier vainqueur du Grand Prix K-1 en 1993) et gagna la somme record de 60.000 dollars, le prix le plus élevé obtenu en Kickboxing jusqu’alors. Très peu de gens savent que Don est un pionnier du MMA. Il affronta Art Jimmerson, un boxeur professionnel à la 11e place en 1987 et au bout de quelques
« Très peu de gens savent que Don est un pionnier du MMA. Il affronta Art Jimmerson, un boxeur professionnel à la 11e place en 1987 et au bout de quelques rounds, avec certains coups de pied bas infaillibles, il le laissa KO. »
Films et Arts Martiaux rounds, avec certains coups de pied bas infaillibles, il le laissa KO. Poussé par ses engagements cinématographiques, Wilson déposa les gants pour la première fois en 1991, battant un record professionnel de 69 combats avec seulement cinq défaites et 46 victoires par KO. C’est son ami Chuck Norris qui lui suggéra en 1988 d’aller vivre à Hollywood et de tenter sa chance comme acteur. Suivant le conseil de Chuck, Don ne tarda pas à trouver un agent
et il fit rapidement de petits boulots cinématographiques, mais on ne lui offrait rien de plus et sa carrière cinématographique paraissait vouée à l’échec. Alors qu’il était sur le point de jeter l’éponge, la chance de Don changea quand le célèbre producteur de films de série B d’Hollywood, Roger Corman, lut quelque chose sur « Le Dragon » dans un magazine d’arts martiaux. Le film de Jean Claude Van Damme « Bloody Contact » venait de sortir, il avait beaucoup de succès et Corman cherchait la manière de faire un film similaire intitulé « Bloodfist ». Impressionné par la réputation de Wilson, le producteur lui demanda de faire un test d’image et lui fit immédiatement signer un contrat pour faire trois films. Le reste de l’histoire, c’est que « Bloodfist » fut tourné en 15 jours seulement, avec un budget total de 300.000 dollars, y compris le cachet de Wilson de 30.000 dollars. La première année, rien qu’aux ÉtatsUnis, le film obtint près de 2 millions de dollars et dans le monde entier, il réussit à faire des entrées pour plus de 10 millions de dollars. Bien que « Bloodfist » ne puisse être considéré comme un joyau du cinéma, une nouvelle vedette était née et les sponsors d’Hollywood donnèrent le feu vert à la carrière cinématographique de Don Wilson. Dans l’histoire réduite de « Bloodfist », Don joue le rôle du champion de Kickboxing retiré, Jake Rye, qui se rend aux Philippines où son frère participe à un tournoi international de
Kickboxing. Jack découvre très vite que les combats sont illégaux et, ce qui est pire, que son frère a été assassiné pendant le tournoi. Décidé à venger la mort de son frère et à faire justice pour les criminels, Rye participe au tournoi suivant. L’un des points forts du film est la participation du légendaire champion du monde hollandais, Bob Kaman, et du dernier « Mr Taeboo/Bootcamp », Billy Blanks, comme adversaires de Wilson. Étant donné le succès économique de Bloodfist, on fit rapidement une deuxième partie qui sortit en octobre 1990 sous le titre de « Bloodfist II ». Bloodfist II, nettement meilleur que le premier, reçut de bonnes critiques de « Variety », le magazine américain d’actualités cinématographiques. Le film raconte l’histoire du combattant de Kickboxing, Jake Rye, qui tue accidentellement son adversaire sur le quadrilatère au cours d’un combat. Pris de remords et tourmenté par la culpabilité, Rye décide de déposer les gants. Mais les
choses changent quand il découvre que ce n’est pas lui le responsable de la mort de son adversaire, mais son assistant qui l’avait drogué avec un puissant narcotique. Après une série de situations, Jake finit sur une île où le terrible « Su » organise un tournoi avec des combats à mort (voir « Opération Dragon »). « Su » est la pensée criminelle qui se cache derrière le puissant narcotique qu’il administre à ses combattants, mais comme on peut s’y attendre, Jake Rye profite de l’occasion et en finit avec tous les méchants. Le fameux champion du monde Maurice Smith (adversaire de Wilson sur le quadrilatère au Japon à une occasion) joua dans le film, ainsi que l’ex-boxeur professionnel et champion du monde James Waring. Au cours des années qui suivirent, Don tourna huit films de plus, bien qu’aucun n’ait obtenu le succès de « Bloodfist II » qui est, pour certains, l’un des meilleurs films de Wilson.
« La passion de Don fut et est toujours le Kickboxing. Au cours de toute sa carrière, il n’a jamais laissé de côté la lutte, ce qui fut évident les deux fois où il est revenu sur le quadrilatère. »
Films et Arts Martiaux En 1991, il tourne son premier film de science-fiction appelé « Future Kick », un genre que « le Dragon » utilisera ensuite souvent. L’histoire se passe à Los Angeles version futuriste et il est évident qu’elle copie l’atmosphère de « Blade Runner ». Wilson fait la chasse de criminels génétiquement altérés. Cette année-là, poussé par Corman à se consacrer à 100% au cinéma, Don accepte –bien que doutant– de déposer les gants. Pourtant, « Le Dragon » tourne en même temps un nouveau film sur le jeu du combat appelé « Anneau de Feu », consolidant ainsi des milliers de fans du Kickboxing qui furent très déçus par sa retraite. Le film se passe dans le quartier de Chinatown de Los Angeles, où les équipes rivales de Kickboxing chinois et américain s’affrontent. Don Wilson, comme d’habitude, est un champion de Kickboxing retiré qui, pour des circonstances familiales, est obligé de retourner sur le quadrilatère. L’un des combattants dans ce film est le champion du monde australien Stan Longinidis, « L’Homme », qui vivait à cette époque aux États-Unis et s’entraînait avec Benny Urquidez. Après voir obtenu trois films à succès à son palmarès, les producteurs d’Hollywood proposèrent d’augmenter le cachet de Wilson à 300.000 dollars par film. Mais « Le Dragon » avait d’autres projets et s’offrit à son tour comme coproducteur de ses films, assumant le risque économique que cela comportait, mais s’assurant la participation dans les décisions des films qu’il ferait à partir de ce moment. En 1992, Don commence une série de films d’arts martiaux purs, comme « Bloodfist 3 », « Black Belt » et « Bloodfist 4 », où est évident le lien étroit qui l’unit encore à la communauté du Kickboxing. Les rôles
secondaires de ces films sont joués par des combattants d’élite de cette époque comme le champion du monde des poids lourds de l’ISKA, Brad Hefton, le champion du monde des poids légers de la WKA, Gary Blanck, et le champion de Karaté Shotokan, Tim Baker. Au cours de sa carrière cinématographique, Wilson continuera d’avoir des camarades des arts martiaux dans ses films et à plusieurs reprises le champion du monde Pete Cunnigham, « Pied de Sucre ». L’année suivante, en 1993, le champion de Kickboxing retiré, Johnny Wu, revient avec « Anneau de Feu 2 » où une bande commet l’erreur de kidnapper sa fiancée et sort également en salles « Soif de Sang », le premier film d’action de Wilson qui n’est pas basé sur les arts martiaux où il joue le rôle d’un avocat pacifique qui devient violent pour venger l’assassinat de sa femme par des trafiquants de drogue. En 1994, Don tourne le film qui semble être son favori : « Anneau Feu 3 » (également appelée « Le Coup du Lion ») dont il participe au scénario et où travaille également son fils Jonathan. Les autres classiques célèbres de Wilson, à part les séries « Bloodfist » et « Anneau de Feu » sont : « Le Toucher de la mort (1993) ; « Cybertracker » (1994) avec Richard Norton; le film de terreur « Chasseur nocturne » (1995) ; « Mission suicide » (1997) avec Fred Williamson ; « Attaque suicide » (1998) ; « À La Limite de la loi » (2002), où Don partage le rôle principal avec Richard Norton et Cyntia Rothrock ; « Sci-Fighter » (2004) également avec Cynthia Rothrock ; « Crooked » (2005) avec Oliver Grunner et Fred Williamson ; et enfin « La Dernière Sentinelle » (2007).
Dans les ateliers de la WTU, nous travaillons avec les outils suivants : 13 + 1 Des mouvements en solitaire, qui sont divisés en groupes : WTU FIGHT : Siu Nim Tao (SNT) - Neuf façons CHUM Kiu (CK) - Quatre vagues Mannequin de bois - Doubles vagues BIU Tse (BT) - Twister Bâton long - Travaux des points Couteau double - Double Twister WTU GUILD (Corporation) : Blade- Forme d'une arme 2 Axes et 2 Marteaux - Marchant avec 2 armes Le Personnel et la lance - Vagues d’armes Epée - Armes Twister 4 techniques d'armes - Double vague et doubles Twister avec armes
WTU HEALTH (santé) : Serpent de feu - Vagues Eagle (ailes d’Aigle) -Spirale BARAKA - Travail CHI
WT Universe
WT Universe Nous enseignons aussi travailler avec un autre partenaire, il est divisé en séquences.
Dans cette section, nous enseignons : a) Qualités 7 + 2 Par l'harmonisation des qualités nous pouvons former directement à chaque personne en nous basant sur son anatomie et ses tendances naturelles. b.) 3 principes d'action + 4 interactions Voici les « coordonnées » qui explorent cette nouvelle structure naturelle. c.) 2, concepts du combat Grâce à eux, nous avons commencé à découvrir les fonctions inhérentes de notre nature. Nous encourageons les gens ! Salve !
Le Weng Chun Kung Fu depuis sa création À Hong Kong, le Weng Chun Kung Fu est devenu particulièrement connu grâce à l'Académie de la recherche de Duk Lan Dai, fondée par mon maître, le Grand Maître Wai Yan. Tous les Grands Maîtres de Weng Chun avaient l’habitude de se réunir la -bas ou ils s'entraînaient ensemble afin de préserver et de transmettre cet art. To u t e f o i s , i l s n e m a i n t e n a i e n t a u c u n e relation avec la Chine Continentale, d’où était originair e le Weng Chun et où il s’était répandu sur la ville de Fatshan en Chine Méridionale. Toutefois, l'interdiction du Kung Fu pendant la révolution culturelle en Chine après la seconde guerre mondiale faisait impossible le contact entre les familles de Weng Chun à Hong Kong et celles de la Chine. À Hong Kung, les maîtr es de Weng Chun craignaient également une possible poursuite par les autorités, et pour cette raison, l'aspect extérieur du Dai Duk Lan pendant de nombreuses années a été rien de plus qu'un bruyant marché bondé d’aliments.
Texte : Andreas Hoffmann, Christoph FuĂ&#x;, Photos : Andreas Hoffmann Studio photos : www.bodointernational.com
Weng Chun
P
ar conséquent, visiter les familles de Weng Chun de la Chine Continentale signifiait quelque chose de très spécial pour moi, de pouvoir apprendre plus sur cet art directement à sa source. Depuis les années 80, je voyage régulièrement de Hong Kong au voisin Canton et de là je poursuis mon voyage à Fatshan. En ce moment, le Grand Maître Pang Nam était le représentant plus connu de Weng Chun là-bas et lorsque je l'ai visité, lui et sa famille, j’ai été très impressionné par son énorme cordialité, car jusque-là, j'avais ressenti seulement quelque chose de similaire avec les yogis et les bouddhistes lamas Déjà à l’entrée de sa maison, je me suis trouvé avec un mannequin de bois pour s’entrainer au milieu du couloir. Le Grand Maître Nam de Pang reconnu instantanément qu’il était un maniaque du Kung Fu comme moi et instantanément m'a expliqué comment le construire. Contrastant avec les mannequins de murs utilisés par nos Maîtres à Hong Kong, les mannequins ici étaient cloués au sol, ce qui permet au praticien de se former et de rester derrière le dos
d'un adversaire, qui est un concept très important dans le Weng Chun. Instantanément, j'ai voulu pratiquer avec le mannequin et poser des questions, cependant, tout d'abord il m'a invité à son salon un étage au –dessous, où m’attendaient, ses enfants et ses élèves, ainsi qu’un d'autre mannequin de bois au le centre de la pièce. Tous ses enfants me montrèrent successivement leur forme de mannequin de bois, et il m’expliqua les applications individuelles de combat et comment développer les différents potentiels. Le Grand Maître Pang avait appris initialement Shaolin Hung Gar du Sud entre 1934 et 1947 et, par la suite, le Wing Chun du Grand Maître Chiu Chau, ainsi que Weng Chun du Grand Maître Lai Hip Chi, et ces influences étaient clairement reconnaissables sous la forme du mannequin de bois.
A ce moment-là, le Maître élève du Grand Maître Nam Pag m'invita à faire un peu de combat Chi Sao avec lui. Il fut surpris de rencontrer un praticien du Kung Fu de Hong Kong, qui fut capable de résister ses attaques de poussée, de claquage de Chi Sao. D’habitude c’était pour moi facile de vaincre les praticiens de Hong Kong, qui généralement se ne souciaient pas assez de leur équilibre et ne pensaient qu’á frapper. Comme j'étais bien préparé et nous avons bien profite d’un bon combat avec le Maître élève du Grand Maître Nam Pang. Plus tard, le Grand Maître lui-même parla de la structure de son programme de Chi Sao. Je trouvai son « At Yiu Chi Sau » particulièrement émouvant. « At Yiu » peut être traduit comme « en faisant pression sur la hanche » et "Chi Sau" comme "bras" collant. Dans cette forme particulière de Chi Sao, les deux praticiens s’accrochent des bras, pour apprendre à détecter et à développer les différents effets de la force, comme tirer, pousser et tourner dans des directions différentes, ainsi que lancer l'adversaire et lui faire perdre l’équilibre en même temps. Après il m'a expliqué ses stratégies de combat appelées Chi (se frapper), Mo (au toucher), Dong (se balancer) et Lip (écraser). En réponse à ma question : comment il combat dans une
longue distance, il m'a préparé un autre combat de sparring avec le tres habile Wong Ah Keung. Je l’ai attaqué avec plusieurs coups de pied et de poing, pendant que je réfléchissais de façon intelligente sur la distance de combat. Il réduisait la distance en utilisant le jeu de jambes rapide, le combat corps à corps et un poing inversé couvert puis il attaquait alors il a essayé de me déséquilibrer avec des coups rapides enchaines. Cela m'a beaucoup rappelé notre programme de Weng Chun et j’ai reçu de nombreux conseils du Maître élève, qui représentait aussi le Grand Maître Pang Nam et sa famille dans les compétitions. Soudain, le fils aîné du Grand Maître Nam Pang sortit les doubles couteaux de mur et à haute voix il rentra dans notre échange de Weng Chun. Il démontra la belle Wu Dip Do, la forme du double couteau de Weng Chun, qui vint faire partie aussi de ma propre formation depuis lors. Il me montra chaque mouvement de cette forme, ainsi que son application au combat. Cette forme est facile d’apprendre, en même temps elle fournit une base solide pour l'utilisation de couteaux et des épées. Puis nous avons parlé des principes et de l'histoire du Weng Chun, le Grand Maître Pang Nam avait appris du Grand Maître Lai Hip Chi. La lignée du Weng Chun se remonte au Grand Maître Lai Hip Chi, au neveu du Grand Maître Lok Lan Goon et à Lok Lan Goon lui-même et auparavant à notre ancêtre du Weng Chun San Gam, qui est également connu sous le nom de Dai Fa Min Kam. Aussi, en suivant la lignée, notre art finalement dérive du Temple Shaolin et selon la tradition il a été transmis par le moine Shaolin Yi Chum à Tan Sau Ng, qui à son tour l’a enseigné aux membres du Jonc Rouge. Pour finir, j'ai invité le Grand Maître Pang Nam avec sa famille et ses élèves à un restaurant voisin, où l’on a continué l'instruction. Puis ce fut un grand honneur pour moi que le Maître élève Wong Ah Keung m’invita chez lui, où nous avons entraîné jusqu'à tard dans la nuit. Partout en Chine, j'ai senti le sincère sentiment de chaleur humaine et d’enthousiasme des Maîtres et des pratiquants de Kung Fu, et je suis très heureux que l'Art du Kung Fu ait survécu à la révolution culturelle en Chine et il ait trouvé sa place aujourd’hui. De nos jours, le Kung Fu traditionnel est officiellement approuvé en Chine et reconnu comme un patrimoine culturel.
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KEYSI ET LA VALEUR DE NOS FAUX-PAS « L’expérience n'est pas ce qui nous arrive, l'expérience est ce que nous faisons avec ce qui nous arrive »
KEYSI EST UNE MÉTHODE EXTRAORDINAIRE La méthode Keysi provient d'un mot mal dit, pour répondre à ma mère quand j'étais gamin et lui dire « que si » je répondais « quisi » ma mère a essayé de m'aider et m'a dit que je devais répondre « que et si » alors ma réponse fut simple et bien sûr erronée, depuis ma réponse fut « queysi », et ainsi d’un mot mal dit et né le nom « keysi ». Keysi signifie donc une affirmation de la personnalité, la confiance en soi, l’auto estime, s'exprimer à la première personne, assumer ce que vous pensez, sentez, avez besoin et voulez. Une méthode structurée et réalisée pour des gens extraordinaires, la raison est très simple, je crois sincèrement que dans les mains de gens qui ne sont pas disposés à apprendre et à grandir tout au long de leur vie sans le moindre intérêt de prendre soin d’eux-mêmes et de se mettre en valeur, la méthode est inutile et inefficace.
QUE SIGNIFIE ÊTRE UNE PERSONNE EXTRAORDINARE Être une personne extraordinaire ne signifie pas avoir des qualités exceptionnelles, ni faire tout bien, les gens extraordinaires sont honnêtes avec eux-mêmes, car ils seront seulement alors honnêtes avec les autres, bien que souvent ils se perdent dans les formes, mais honnêtes sans des demi-vérités, ce sont des gens qui veulent bien faire bien que parfois ils n’y arrivent pas, des personnes humbles qui assument de manière naturelle qu'elles ont tort, qui reconnaissent leurs propres difficultés et qui n’endossent pas la responsabilité de leurs erreurs à d'autres, cela nait avec la nécessité de contribuer au bien commun á partir de l'amélioration et du développement personnel.
COMMENT ON EST EXTRAORDINARE Notre relation entre Instructeur et élèves repose sur ce principe, la nécessité de prendre soin de nous-mêmes et de nous protéger les uns aux autres avec la volonté de générer de la confiance et de la proximité, seulement ainsi nous obtiendrons la transmission et la ferme volonté de développement mutuel, cela ne signifie pas de l'égoïsme ou de l'égocentrisme, en fait ça ne se limite pas á parler des avantages de keysi comme une méthode de self-défense , mais au contraire cela implique écouter et connaitre les sentiments qu'un Instructeur déclenche chez les élèves avec ses paroles et ses actions, aussi les sentiments que les étudiants déclenchent chez l'instructeur.
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« La méthode Keysi provient d'un mot mal dit, pour répondre à ma mère quand j'étais gamin et lui dire « que si » je répondais « quisi » ma mère a essayé de m'aider et m'a dit que je devais répondre « que et si » alors ma réponse fut simple et bien sûr erronée, depuis ma réponse fut « queysi », et ainsi d’un mot mal dit et né le nom « keysi. »
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KEYSI EST UNE TECHNIQUE EXTRAORDINAIRE DE L’AUTO DÉFENSE La Self-défense n'est pas une formule qui nous pouvons appliquer mécaniquement, elle peut être utilisée comme une technique pour exprimer des situations simples, difficiles ou complexes et s’en tirer, mais la technique n'est pas la réponse, la réponse est dans l’attitude accompagnée d'un profond sentiment profond éthique des valeurs, avec ces ingrédients comme base nous pourront comprendre la technique comme un moyen et non comme une fin. Lorsque la méthode est bien formulée et qu’elle ne s'applique pas comme une simple technique , elle devient un chemin d'accès à ces valeurs et cela exige une formation et un dévouement de la part de l'Instructeur et de l'élève, seulement ainsi nous comprendrons que dans une situation de risque les émotions, le stress, la peur et la panique se déclenchent et cela se passe de manière consciente ou inconsciente, tout cela nous domine et nous enlève notre capacité de penser ou d'agir dans le calme et la sérénité, le plus difficile n’est pas d'apprendre des milliers de techniques ou ses pratiques, mais de nous connaitre nous-mêmes, pas seulement physiquement mais aussi émotionnellement, cela nous aidera, non á contrôler ces émotions, mais á les reconnaître, ne pas les voir comme un ennemi mais comme un ami qui est là pour nous aider.
QU’EXIGE CETTE MÉTHODE POUR QUE QUELQU'UN SOIT EXTRAORDINARE La méthode keysi requiert et en même temps présuppose, le respect de soi même et des autres, cela signifie la prise en compte de soi-même et des autres, symboliquement c'est une fleur que nous cultivons avec soin et de laquelle nous offrons aux autres ses graines pour améliorer leur vie. Comme tout art, il exige une connaissance de certains principes et un développement des techniques qui avec la compréhension de la mécanique de notre corps nous aidera à comprennent et á améliorer nos outils corporels et émotionnels, de telle sorte que nous pouvons obtenir une auto-expression personnelle adaptée à notre potentiel, seulement de cette façon nous serons en mesure de percevoir l'extraordinaire qui se cache derrière d’une action, même si elle n'est pas parfaite dans son exécution, cela nous permet de nous regarder d’un œil bienveillant et d’être plus cléments avec les erreurs que nous commettons même si nous les faisons avec les meilleures intentions. Le Keysi a toujours quelque chose d'extraordinaire, même s’il reste à mi-chemin de son objectif, la situation, et ce n'est pas un problème, est que l'extraordinaire est séparé de l'ordinaire par une ligne très mince qui peut seulement être vue si nous sommes disposés à regarder vers notre intérieur avec des yeux différents, peut-être c’est la ligne de démarcation entre l'ordinaire et l'extraordinaire en keysi et peut-être celle qui fait du keysi une méthode extraordinaire.
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« Le plus difficile n’est pas d'apprendre des milliers de techniques ou ses pratiques, mais de nous connaitre nous-mêmes, pas seulement physiquement mais aussi émotionnellement, cela nous aidera, non á contrôler ces émotions, mais á les reconnaître, ne pas les voir comme un ennemi mais comme un ami qui est là pour nous aider. »
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GM Martin Sewer
Kung Fu L’Élite du Kung Fu de la Suisse, invitée en Asie Chronique des expériences de Peter Gasser & Alexander Klug « Bonjour Sifu », saluèrent les deux instructeurs de Kung Fu, Alexander Klug et Peter Gasser, tôt dans la matinée, á leur Maître (Sifu), le Grand maître Dr. Martin Sewer, à l'aéroport de Zurich. Aux trois experts suisses d'arts martiaux, les attendait un v o y a g e d'aventure à Kuching, en Malaisie ! L'International Martial Arts Research Institute Of Malaysia, organisait chaque année un des événements plus grands et plus importants de la scène des arts martiaux. Pour cet événement de plusieurs jours, figurait entre autres, un tournoi de la catégorie de Maîtres, le Blackbelt Hall of Fame et beaucoup plus d’autres encore. C’était la première fois que Martin Sewer, expert renommé dans ce domaine, voyageait à Kuching, ainsi que deux de ses élèves, en leur offrant la possibilité d'être connus sur le panorama international.
Kuching et Kuala Lumpur, Malaisie Après un long voyage à travers le monde, de perdre et de trouver leurs bagages par la compagnie d'aviation, nous avons réussi à arriver à Kuching, le lieu de
Kung Fu l'aventure. Tôt dans la matinée, selon l'heure locale, nous faisons le checkin à l'hôtel et nous nous réjouissons de la proposition d'une alimentation saine et des installations de fitness à notre disposition au Jetlag Paroli, puisque juste cet après-midi nous démarrons ! Après nous avoir installé notre Sifu nous montre les meilleurs coins et cafés du quartier. Une petite pause très agréable, puisque les prochains jours, comme notre Maître nous a fait savoir, seront remplis d'activités sans repos. Êtesvous nerveux ? nous demande-t-il quand le service nous sert le thé. Nous ne disons rien, nous haussons les épaules et nous pensons que : "en fait... non". Comment peut-on être nerveux quand on ne sait pas encore ce qui va se passer ? Il aurait été autrement, si vraiment on aurait su ce qui allait arriver ! Dans la soirée, la cérémonie d'ouverture commença. Le lieu de célébration de cette cérémonie, était une grande salle à l'intérieur d'un centre culturel renommé. Au centre, une zone libre pour les offrandes. Beaucoup de chaises placées en file á droite et á gauche pour les spectateurs, environ 300 chaises. Au centre, directement en face de la zone libre du centre, une scène surélevée construite avec deux rangées de chaises. Celle de derrière avec de très belles chaises en bois, celle de devant avec des fauteuils luxueux. Il est clair que c’était là où s’assiéraient les Maîtres et les Grands Maîtres invités. Alors la première surprise arriva : alors que notre Sifu cherchait un sujet de conversation avec les autres Maîtres, une jeune, mince, étudiante de l’école de Kung Fu de Kuching vint vers nous et nous dit « s'il vous plaît, puis je prendre
une chaise ? » en indiquant le lieu où les Maîtres allaient s’assoir. « Non, non, nous sommes des instructeurs, pas des Maîtres ! », avons-nous dit. Le Sifu, qui avait suivi la conversation avec une ouïe, se tour na et en fronçant les sourcils dit : « Habituezvous. Ici ils sont informés de l'art et des compétences de notre école. "Vous vous assoirez en haut avec les Maîtres". Surpris et anxieux, mais avec fierté, nous primes place sur nos sièges sur la deuxième rangée derrière les Grands Maîtres. A peine assis, la cérémonie d’ouverture commença avec des discours festifs de la part des invités d'honneur présents. Parmi eux il y avait un représentant du gouver nement, qui avait voyagé expressément pour l'occasion. Ensuite, place á des représentations spectaculaires de l'école de Kung Fu, de Kuching, la traditionnelle Danse du Lion et des shows avec des tambours. Pour finir, tous les invités d'honneur coupèrent un ruban rouge pour inaugurer la cérémonie. Notre Maître, Martin Sewer, nous avait déjà parlé de ces évènements traditionnels. Malgré cela, nous restâmes perplexes devant la grandeur, le bruit et le pompeux de toute la cérémonie. Une chose attira notre attention : notre Maître était á tout moment appelé á parler et tous voulaient lui serrer la main ! Comme s’il était la star cachée de cet événement ! Il l’était sans aucun doute ! Fiers de cette réalité, peu à peu nous étions de plus en plus nerveux, prêt à tout moment, á être obligés également de sortir et de prouver nos connaissances. Pour notre grand soulagement, cela n’arriva que le lendemain. Après un dîner réconfortant, beaucoup de
sommeil et un power-Start pour commencer la journée, arrive enfin pour nous le démarrage définitif. Le tournoi commence ! Une fois que les plus jeunes participants et les enfants présentèrent leurs connaissances de leur mieux, devant le groupe de juges-arbitres, arriva enfin le programme pour la catégorie des Maitres. L'un après l'autre, tous ce qui étaient assis en haut sur la scène, aujourd'hui en tenue de Kung Fu, firent un pas en avant et nous montrèrent leurs connaissances. Il ne fallut pas longtemps pour qu’on nous appela aussi par notre nom. Contaminés par le trac, nous représentâmes nos Formes de Poing et de Bâton. Au cours de notre démonstration, nous fûmes surpris, car soudainement de nombreux invités et même certains arbitres, prirent leur portable ou leur camera pour prendre des photos et nous filmer. En sueur et un peu épuisés, mais fiers d'avoir représenté avec dignité à MARTIN SEWER SCHULE de KUNG FU et á la Suisse, nous nous assîmes sur nos chaises dans la tribune des invités d'honneur. Après nous, ce fut le tour de notre Maître. Le silence régnait dans la salle. On respirait la tension dans l’air. Chaque geste était attentivement suivi par les spectateurs et enregistré avec les caméscopes et les portables ! Parfois on entendait de la bouche d’un enfant une exclamation enthousiaste « wow », « oooh ». Nous suivions la représentation de notre Sifu super concentrés, car il y a toujours quelque chose de nouveau à apprendre. Notre Maître finit sa démonstration sous les applaudissements enthousiastes et retour na á sa place. Les invités étaient émotionnellement
impressionnés de ses qualités. A peine s’était-il assis quand il fut appelé á nouveau. Tous les Grands Maîtres devaient démontrer leurs compétences á nouveau devant les invités, dans un cours de 45 min. de durée. Nous pourrions soutenir notre Sifu activement. On offrait une image spéciale. Des suisses enseignant le Kung-Fu á des asiatiques ? Pour nous, c'était une situation familière, parce que notre Maître avait déjà enseigné en Chine et à Hong Kong. La franchise et la cordialité de nos fans asiatiques nous avaient touché. Nous avons d'abord nous pensâmes que c'était pure curiosité en ce qui concernait les "étrangers", mais tout de suite une autre image se montra. C'était une véritable admiration ce qu’ils sentaient pour notre Kung Fu et le pouvoir d'enthousiasmer les gens. Des heures plus tard, on pouvait voir des enfants qui copiaient et pratiquaient les techniques qu’avaient transmis notre Sifu. Le troisième et dernier jour, nous fûmes surpris une fois encore : le lieu du spectacle avait changé de place dans la ville. Pour la cérémonie de clôture et les hommages, on trouva et on décora richement un local encore plus grand, puisqu'il était prévu qu'avec les participants, il y aurait beaucoup plus de public e td’ invités, entre autres, des représentants du Gouvernement. La fête commença très traditionnellement avec des tambours et des danses du Dragon et du Lion. On servit aux invités d'honneur un « lunch ». Nous savions que nous devrions à nouveau mettre à l'épreuve nos capacités. En plus d'être nominés parmi les participants du tournoi, nous savions aussi que nous étions aussi nomines pour « Instructeur Of The Year 2015". Sifu se tourna vers nous pendant le repas et nous dit : "et vous ? Que voulez-vous représenter après le repas ? "." Alors nous sûmes que c'était notre opportunité de tout donner à nouveau. Nous laissâmes d'un seul coup la salle pour échauffer et tout de suite on nous appela pour notre démonstration. Cette fois, nous montrâmes les formes du Sabre et du Poing. Nous avons tout donné ce dont nous étions capable.
Kung Fu Progressivement, le Festival arriva á sa fin et atteint l'apogée du spectacle, les décorations des participants du tournoi et les nominations des invités d'honneur. Dans notre esprit se dessinèrent les possibilités que nous avions. On avait vu les autres participants, nos concurrents et nous avions conclu, que nous ne l’avions pas fait si mal. Mais, c’était suffisant ? Quand nous écoutâmes nos noms nous fumes visiblement surpris. Les deux nous fumes honorés avec la distinction « Instructeur Of The Year 2015” ! un peu incrédules et fiers, nous nous assîmes pour d'être appelés à nouveau. Les deux nous avions remporté le tour noi « Instructeur Trophy » ! Nous étions émus. C'était la récompense d’une préparation intensive, de beaucoup d’entrainement et d’un dur travail de nos capacités Maintenant, c'était le tour de notre mentor, Martin Sewer. Le premier prix’ il reçut fut très spécial : le « Silver Lifetime Achievent Award » ! Ce prix est décer né seulement á ceux qui consacrent leur vie aux arts martiaux. En outre, il fut honoré comme le vainqueur du tournoi dans la catégorie de Grand Maître comme le « Granmaster Trophy ». Et enfin il fut accueilli comme « Asssociate Professor » au "Blackbelt Hall Of Fame ». En tant que ses élèves, nous en étions fiers. Après d'interminables séances de photos avec la presse locale, le public et les participants (nous étions littéralement assiégés), nous avons dit au revoir affectueusement aux organisateurs. Mais notre voyage n'était pas encore arrivé à sa fin ! Après ce weekend épuisant, quelques jours de repos nous attendaient dans la grande ville de Kuala Lumpur. Naturellement nous
« Notre art n'est pas basé sur des techniques, mais sur des principes. Par conséquent, de nos jours nous n’apprenons pas seulement une technique minutieusement, sinon que nous recevons une "clé" qui ouvre et améliore nos connaissances sur les techniques, que nous croyons connaître. » profitâmes de notre temps avec notre Maître, pour en savoir plus sur l'art du Shaolin Hung Gar Kung Fu originel. Parfois très calmement en prenant un café et un thé, d'autres avec beaucoup de sueur et des leçons matinales de Kung Fu. Précisément dans ces leçons avec notre Maître, nous sûmes que lui aussi á son époque, l’avait appris. Un petit mouvement, qui était très simple, nous prenait des heures. Ce qui au début
paraissait si facile, se révélait, plein de petites nuances et de détails importants, sans lesquels la technique ne fonctionnait pas comme il se doit. Nous travaillions dur, souvent aussi sans la supervision de notre Maître et étape par étape nous atteignions le but désiré. Une autre technique très efficace se développa pour notre répertoire. La chose la plus importante fut que le Grand Maître Martin Sewer ne nous appris pas « n’importe » quelle technique, qui nous aurions pu apprendre au cours des années, mais il nous enseigna un principe, une idée qui eut une importance vitale dans notre système. Notre art n'est pas basé sur des techniques, mais sur des principes. C'est pourquoi, de nos jours on n’apprend pas seulement une technique minutieusement, sinon que nous recevons une « clé » qui ouvre et améliore nos connaissances sur les techniques, que nous croyons connaitre. Une étape très motivante, dont une attention croissante et une activation de la réflexion, récompense le résultat de ce que l’on a appris. En raison de l’expansion de notre école, nous avions rarement l’occasion d'apprendre si intensément de notre Maître. Ici, nous vîmes clairement que nous devions continuer à travailler dans ce sens durement et de manière continue nos compétences si nous voulions répéter le succès de ce week-end à Kuching. Nous ne connaissions pas l’expression «se reposer sur nos lauriers », et fut la raison de notre succès à Kuching, et aussi le succès de notre Sifu et de son école. Comme on dit, le chemin est le but ou » le chemin se fait en marchant », c’est ainsi dans MARTIN SEWER SCHULE de KUNG FU.
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Kung Fu
Jeet Kune Do L'importance des déplacements Savoir se déplacer dans les arts martiaux et les sports de combat est indispensable. Pourtant, on assiste de plus en plus à une négligence importante du travail des déplacements dans les cours. Cela vient pour une part, de la nécessité en compétition dans certaines disciplines, de l'obligation d'occuper le centre du ring, de l'octogone ou du tatami afin de marquer des points et de montrer l'esprit guerrier et combatif. En effet, rester au centre permet de prouver à l'adversaire, aux juges et au public que le combattant est volontaire, courageux et vaillant. Un combattant doit ne jamais céder de terrain afin de gagner son combat physique et psychologique contre son adversaire. Un combattant qui recule va permettre à son adversaire d'avancer et de mettre la pression. Visuellement c'est très impressionnant et se sera récompensé par les juges et le public qui soutiendront ce combattant. Néanmoins, les déplacements restent une arme absolument nécessaire lors d'un combat. n effet, on peut, même en occupant le centre, se déplacer autour de l'adversaire sans pour autant perdre du terrain et donc prouver notre esprit combattif. D'autre part, se déplacer permet d'éviter de nombreuses frappes ; ainsi en compétition ou lors d'une agression cela permet d'éviter le Knock Out, voir pire dans la rue. Souvent lorsqu'une personne est touchée sévèrement, elle commence soit à se déplacer soit à se mettre en position recroquevillée. Il est certain que se déplacer est plus bénéfique que de rester sur place et recevoir une avalanche de frappes qui finiront par avoir raison de cette personne. Néanmoins, si les déplacements n'interviennent que lorsqu'un combattant ou une personne agressée a été touchée ou blessée, alors l'adversaire ou l'agresseur comprendra que ses coups ont porté. Il commencera à s'acharner en cherchant l'abandon de son adversaire lors d'une compétition, ou à achever sa victime dans la rue.
E
Jeet Kune Do Il est donc absolument indispensable de se déplacer en permanence et non pas en cas de coup dur, tel que blessure, ou pour reprendre son souffle. En effet, les déplacements vont permettre de récupérer en s'éloignant et aussi permettre d'observer les ouvertures de l'adversaire afin de pouvoir le toucher sévèrement pour provoquer une réaction. Il faut bien entendu nuancer, car les déplacements demandent bien entendu de l'énergie et donc peuvent accentuer la fatigue des muscles. C'est pour cette raison que certains ont pris le parti de se déplacer très peu et juste contrer l'adversaire lors de ces attaques, afin de ne pas se fatiguer inutilement. Mais, si les déplacements sont travaillés intelligemment et fréquemment, les résultats seront spectaculaires. On arrivera alors à récupérer, observer, éviter les coups et même à frapper sans perdre d'énergie. La répétition permet de s'habituer et de ne plus gaspiller des forces inutilement. En effet, le corps sera habitué à travailler en mouvement et de ce fait, peu d'énergie sera dépensée. En travaillant dur et régulièrement, on réussi à transformer de la résistance musculaire en endurance. Ainsi, on limite la perte de notre vitalité. Cela provient bien entendu d'un travail acharné et rigoureux. Au début il faut être humble et juste commencer par se déplacer sans garde en développant notre équilibre, notre aisance à bouger dans toutes les directions, en étant capable de surprendre l'adversaire par ces changements brutaux de direction. On doit se désaxer en évitant de prendre des habitudes répétitives telles que toujours utiliser les mêmes déplacements, les mêmes angles, le même écart des jambes, la même répartition du poids du corps sur les jambes… En cas de routine et de TIC, l'adversaire observateur sanctionnera ces erreurs immédiatement. Ensuite on commencera à monter la garde afin de pouvoir se protéger lors des déplacements en cas d'attaques imprévues.
La garde devra être mobile et non figée car, notamment dans la rue, les frappes arrivent de toutes parts et de plusieurs adversaires. On doit donc pouvoir couvrir, à l'aide des déplacements, nos zones vitales. En effet, en cas d'agression, il est indispensable de se déplacer pour ne pas prendre trop de coups et aussi pouvoir observer les issues possibles (comment fuir), le nombre d'assaillants, les ouvertures, l'environnement (s'il y a un risque de glisser, un trottoir, des voitures ou autres dangers). La garde mobile permettra donc, en faisant les choix adéquats, de protéger les zones vitales. Il faut garder à l'esprit qu'en cas d'agression, on recevra des frappes, et qu'il est donc primordial de ne pas être touché aux yeux, au cerveau, à la colonne vertébrale et aux artères. Sinon il sera impossible de fuir et la mort pourra survenir suite aux coups reçus. En effet, si une zone vitale est atteinte, on perd la capacité à se défendre, se déplacer, riposter… On doit ensuite inclure les frappes et les esquives dans nos déplacements. Cela va permettre d'éviter des frappes tout en frappant et en s'éloignant du danger. Les exercices de travail face à une multitude d'adversaires qui frappent dans toutes les directions sur notre corps, vont permettre d'appliquer les déplacements en esquivant, frappant et se protégeant. On se rendra compte alors, qu'il est impossible de tout bloquer et esquiver et l'importance de ne pas rester statique. Beaucoup de gens prétendent connaître les déplacements en Jun Fan Gung /Jeet Kune Do Concepts ou en arts Philippins, mais connaître ne signifie pas savoir appliquer ou être capable de les faire sous pression. Il est indispensable de travailler en permanence les déplacements afin que cela devienne automatique. Il est amusant de voir les gens et plus particulièrement certains élèves avancés ou instructeurs, agacés lorsqu'on leur demande de travailler les déplacements.
David Delannoy Leur réponse est très souvent : « on l'a déjà fait, je connais et je veux voir autre chose que je n'ai pas encore appris » Bien entendu, ils sont incapables de les faire sous pression mais prétendent savoir les appliquer car dans le vide et sans pression , ils connaissent ces déplacements. Mais dès qu'on accélère le rythme des déplacements, ils ne suivent plus, perdent l'équilibre, n'ont plus la capacité à frapper efficacement et avec précision les zones vitales ; ils sont à bout de souffle car incapables de respirer…
Le pire sont les élèves et instructeurs qui prétendent que se déplacer n'est pas important face à une arme. En cas d'agression avec une arme, l'esquive ne sera pas suffisante. Il sera absolument indispensable de se déplacer (courir est même la première option ; bien entendu, si on est accompagné, les réponses seront différentes, en fonction de l'environnement). Je vois des vidéos où les gens esquivent des attaques au couteau en restant sur place.
Jeet Kune Do Ils doivent être très forts car pour ma part, face à un couteau, je me déplace et esquive en frappant mais je ne resterai jamais sur place pour me faire découper. Dans le Panantukan(boxe Philippine), on assiste à un phénomène très alarmant. En effet, je vois de nombreuses vidéos dans lesquelles les enseignants
montrent des exercices de destruction, de projection au sol…mais la personne qui les attaque ne porte aucun coup. Il est donc aisé de tout détruire car les coups de poings n'atteignent pas leur cible. J'ai fait un test lors d'un stage en demandant aux élèves de se toucher au menton sans appuyer et sans gants.
Le résultat a été spectaculaire, ils étaient touchés très fréquemment. Cela venait du fait qu'ils connaissent des centaines de variations et techniques spectaculaires mais sans contact. Pourtant ils pratiquent avec des gants de boxe mais s'arrêtent à 10 cm du visage (donc pas de pression, pas de danger) et on se rassure en se prétendant « expert » en Panantukan. La première chose à faire, c'est d'apprendre à boxer sans se mettre en « boule » si on est débordé ou touché, et apprendre à se protéger correctement. S'ils avaient utilisé les déplacements, ils auraient pu réussir leurs destructions, leurs projections et leurs contrôles au sol. En restant statique cela ne permet pas de détruire et provoquer le déséquilibre de l'adversaire. Pour déséquilibrer quelqu'un, il faut perturber son centre de gravité. Le déplacement va permettre de « casser » les appuis de l'assaillant. A mon humble avis, les déplacements font partie du puzzle du combat. Chaque pièce du puzzle est indispensable : il faut être capable de les assembler et même de les modifier afin de les adapter toutes entre elles et répondre ainsi aux différentes situations.
Le DVD «Krav Maga Recherche et Développement» est né de la volonté de 4 spécialistes du Krav Maga et des sports de combats, Christian Wilmouth et Faustino Her nandez, Dan Zahdour et Jérôme Lidoyne. Ces derniers sont à ce jour à la tête de plusieurs clubs et d’un groupe d’une vingtaine d’instructeurs et moniteurs multi-disciplines allant du Krav Maga au MMA. Ce DVD n’a pas pour but de mettre en avant, ni une nouvelle méthode ni un courant spécifique de Krav Maga. Il s’agit juste là, de présenter un programme de Krav Maga axé sur l’importance du «contenu» et le partage de nos expériences.
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Police Self Defense BATON OPERATIONNEL POLICE Pour le Capitaine Jacques Levinet, fondateur de la méthode du Bâton Opérationnel Police ou BOP, l'usage du bâton dans les arts martiaux ou la self défense n'a rien à voir avec la méthode professionnelle qu'il a mise au point. En premier lieu le matériau du BOP qui n'est pas en bois mais en métal rétractable. En second lieu le BOP est utilisé seul, contrairement aux autres méthodes classiques qui se ser vent de deux bâtons dans leur discipline, comme le kali ou l'escrima. En troisième lieu la spécificité de l'usage du BOP pour les forces de l'ordre prend en compte les paramètres Police de la méthode du ROS (Real Operational System), autre méthode fondée par le Capitaine. A partir des années 2000, fort de sa triple expérience de Capitaine de Police, de Grand Maître d'arts martiaux et d'expert international des forces de l'ordre, le spécialiste de la self défense et des tactiques de police Jacques Levinet, après avoir mené sa propre réflexion en la matière, a développé une méthode révolutionnaire du 21e siècle pour tirer toute la substantifique moelle de cette arme. Ainsi donc est né le Bâton Opérationnel Police ou BOP qui est, non pas une nouvelle désignation, mais un procédé inédit et performant, en faveur des forces de l'ordre, pour un usage intermédiaire et complémentaire avec l'arme de poing et les menottes. Le BOP se différencie nettement de la méthode américaine ASP (Armament Systems and Procedures) et suscite désormais un intérêt grandissant dans le monde entier.
ORIGINES DU BOP Elles reposent sur les autres inventions dont le Capitaine est à l'origine. • Le SELF PRO KRAV ou SPK - Cette self défense, qui jouit d'un succès retentissant dans de nombreux pays, a donné au BOP son originalité par ses applications concrètes de terrain. Les défenses du SPK sont autant de qui ont permis au BOP d'affirmer sa réussite. L'absence de fioritures et la pédagogie sont devenues les clés du succès de ces deux méthodes qui donnent, tant aux civils qu'aux professionnels, les moyens de faire face à aux agressions de la rue. • Le Real Operational System ou Police ROS - Il y a un lien interactif d'existence entre le Real Operational System, méthode complète pour les forces de l'ordre, et le TOP (Tonfa Opérationnel Police) qui en est un des modules au même titre que le BOP (Bâton Opérationnel Police), les GTPI (Gestes et Techniques Police d'Intervention). Le ROS évolue en fonction de ses mises en application de terrain et du « feedback » réalisé régulièrement par le staff AJL (Académie Jacques Levinet). Comme ce sont les difficultés de la rue qui priment dans le BOP, la technique passe au second plan et la démonstration narcissique n'a pas cours. La réalité s'impose au détriment de la fantaisie pour laisser place à l'opérationnel. • INADAPATION DES FORMATIONS - Les entraînements au bâton télescopique sont souvent inadaptés, soit par manque de temps, soit par manque de compétence, soit par absence de plan de formation sans oublier également le manque de volonté politique de se donner les moyens de réussir. La dotation d'un bâton télescopique ne suffit pas à rendre le policier opérationnel, encore faut il le service après vente. Autrement dit une formation initiale en amont et continue en aval avec des recyclages et des « feedback » réguliers. Raison pour laquelle le capitaine Levinet a voulu tout remette à plat. Les
formations au BOP sont bien plus longues que dans la majorité des cas avec des coupes sombres sur les techniques qui ne marchent pas dans la réalité. Un plan de formation a été structuré tant sur le plan technique que juridique. Absence d'agressions stéréotypées, d'attaques prédéfinies, de défenses sécurisées avec le bâton mousse, de saisies de main armée infaisables sur le terrain. Aucune passivité ni aucun entraînement ludique mais place à la dure loi de la rue. Les résultats ne se sont pas fait attendre, la modification et l'évolution des techniques se sont avérées vitales et le BOP est devenu vraiment opérationnel au plein sens du terme. • A L'INVERSE DE LA METHODE ASP- Les formations habituelles au bâton télescopique suivent la méthode américaine ASP, souvent pour des raisons commerciales parce que la méthode est vendue en pack avec le bâton du même nom. Cette méthode ne prend en considération que la frappe sous tous les angles, ce qui est en contradiction avec notre législation sur la légitime défense. A l'inverse la méthode BOP prend en compte le fait que l'agent doit d'abord savoir bloquer une attaque et se protéger avant de pouvoir riposter. Si la méthode ASP ne fait que peu de cas des clés de neutralisation, celle du BOP dispose d'un échantillon de clés de maitrise, de conduite, de mise au sol, de dégagement seul et en équipe afin de remplir
Police Self Defense
Police Self Defense pleinement les missions Police dans le respect des lois républicaines en matière de légitime défense. Dans la méthode ASP on emploie graduellement soit le bâton soit les menottes soit l'arme de poing. Dans le BOP tout est utilisable en même temps selon la situation. De plus la différence de longueur du bâton dans la méthode ASP (21 pouces) et du BOP (26 pouces) est primordiale. Enfin le BOP s'utilise en bâton replié en corps à corps ou en discrétion. Nous parlerons plus longuement de tous ces points (longueur, complémentarité et discrétion). Bref la méthode ASP, spécifique aux Etats Unis, n'est pas adaptée à la législation et au code de déontologie de la plupart des pays européens.
SPECIFICITES Le BOP jouit d'un cadre d'emploi afin que chaque professionnel comprenne son utilité, quelque soit son service d'emploi et sa dotation matérielle. L'influence des GTPI (Gestes Techniques Police d'Intervention) a été un facteur important car les forces de l'ordre sont, dans plupart du temps, censées intervenir en équipe. • La longueur du BOP - Contrairement à la plupart des bâtons télescopique utilisés dans les forces de l'ordre qui sont de 21 pouces, le BOP dispose d'une longueur de 26 pouces pour permettre une meilleure protection, des ripostes plus sécurisées et des clés de neutralisation et de conduite redoutables d'efficacité. Cette différence vient du fait que la méthode du bâton ASP est exclusivement axée sur la frappe à courte distance sans penser à la protection de l'agent ni à la neutralisation et à la conduite, sans violence, de l'agresseur. • La complémentarité - Le travail du BOP n'est jamais considéré isolément mais prend en compte la totalité du matériel de coercition mis à la disposition de ses utilisateurs. Une intervention peut débuter à mains nues, nécessiter l'usage du bâton, des menottes et, dans certains cas, de l'arme à feu par dissuasion ou par riposte. Le policier doit s'adapter car il ne sait jamais quand et comment se termine un danger. Avec le BOP la clé, le menottage et la mise en joug peuvent être concomitants dans un ordre aléatoire selon le risque. Certains paramètres sont incontournables comme dégainer le bâton avant l'arme de poing et inversement rengainer l'arme à feu avant le bâton sauf cas de tir de riposte immédiat. Dans cette optique, le changement de main utilisatrice du bâton est indispensable pour se servir de sa main forte et saisir les menottes ou l'arme de poing. • Les points clés - Sous forme de réponses concrètes, pour les agents seuls ou en équipe, et non pas d'un enseignement purement théorique. • La distance - Elle est tributaire de la réaction face au danger. Soit on le voit venir, et dans ce cas, la défense sera à distance et anticipée. On privilégie les blocages indirects aux parades directes, avec la longueur du bâton, grâce aux tenues en balancier à deux mains ou en épée à une main. Soit notre
vigilance ne nous a pas permis de voir venir l'attaque et la défense sera inattendue et très proche. Dans cette hypothèse on favorise le réflexe conditionné et les blocages indirects avec le corps du bâton, grâce aux tenues renforcées de bras ou d'avant-bras en tenue normale ou inversée. La distance conditionne donc la technique naturelle, innée et réflexive. • Les tenues - Le BOP ne se limite pas aux tenues banales. Il les adapte par rapport aux missions ce qui ouvre un champ d'action important dans les interventions en milieu réduit ou fermé. La tenue fétiche du BOP est le « GRIP» ou saisie de la poignée du bâton qui offre l'opportunité de changer de main forte facilement, d'accrocher et de repousser mais aussi de verrouiller une clé avec une mise en joug de protection. Les autres tenues du BOP (balancier, épée, renforcée, inversée, bâton replié) protègent contre toute attaque remontante ou descendante. La tenue en V du BOP facilite la conduite, la mise au sol et le retournement. Le bâton replié du BOP ne sert pas uniquement à le tenir mais à riposter, crocheter, verrouiller et exercer des points de pression en toute discrétion car le bâton est moins visible que déplié. • Libération des mains - Les techniques du BOP autorisent les changements de main pour un menottage ou une mise en joug. Il faut posséder un temps d'avance sur l'évolution de la situation. Soit la riposte suffit, soit il faut neutraliser, conduire debout, amener au sol, utiliser conjointement un menottage, une palpation, un relevage, une mise en joug de dégagement avec une entrave du bâton aux menottes. Bref le BOP ne se lâche jamais du début à la fin de l'intervention. Les clés de twist et israeli sont une aide remarquable en la matière car elles libèrent les deux mains.
PEDAGOGIE PROFESSIONNELLE Le plan de formation du BOP exige que les instructeurs labellisés AJL dispensent la pédagogie officielle avec les références déontologiques et législatives inhérentes à chacun des pays concernés par l'entraînement. • Explications juridiques - Au BOP, pas d'ânonnement d'articles de loi sur la légitime défense. Le policier ou le militaire explique la technique utilisée dans l'action afin qu'elle soit conforme à la loi de son pays. Non pas un
simple raisonnement mais une démonstration façon reconstitution judiciaire. Elle doit assurer, auprès d'un juge ou d'un supérieur hiérarchique, le bien fondé de l'intervention. La pédagogie du BOP donne tous les atouts légaux pour y parvenir à l'instar des ripostes piquées au corps en tenue poignet pointe, coude vers le haut, pour éviter toute percussion malencontreuse au visage. Pareillement la mise en joug n'est pas synonyme de tir de riposte mais aussi de dégagement d'un milieu hostile ou
de protection pour l'agent et l'individu. • Terminologie spécifique - Au BOP, les paroles sont un moyen d'atténuer la responsabilité. On n'emploie jamais le terme de « frappes », synonyme d'agression, mais celui de « ripostes », équivalent à une défense. On parle à haute et intelligible voix dans un cadre professionnel. Le contrôle des médias et la curiosité des spectateurs, munis de leurs téléphones portables photos et vidéos, nous obligent à un minimum de prudence. L'intervention allie sécurité, protection et intervention
dans le plus strict respect de la loi du pays concerné. • Formation adaptée - Les critères juridiques de l'intervention au BOP sont ajustés au pays demandeur. Par exemple aux USA, l'utilisation de l'arme à feu est moins contraignante que dans les pays européens, d'où moins de technicité de BOP. Du fait de l'utilisation habituelle de l'arme à feu en injonction et en utilisation dans certains pays, le bâton n'est utilisé que pour la frappe à courte distance sans souci de se protéger. Par contre en France et
Police Self Defense dans la plupart des pays européens les agents sont régis par des lois précises en matière de légitime défense limitant l'usage de l'arme à feu. De ce fait ils doivent apprendre à se protéger et à maitriser avec le bâton télescopique. D'où l'intérêt du BOP pour la protection, les clés de coercition avec mise en joug de dégagement. • Mises en situation réalistes - Le BOP privilégie le travail en équipe par des exercices de PLI (Protection, Liaison, Intervention) avec le bâton télescopique de 26 pouces déplié ou replié selon la situation. Pas de bâton en mousse à l'entrainement mais le réel pour acquérir le bon geste
réaliste. A quoi bon un entraînement sécurisé, avec de la mousse, qui n'aura pas cours dans la rue.
CURSUS LABELLISE Le BOP jouit d'une aura significative grâce aux points suivants. • Programmes multilingues - Les formateurs BOP de l'AJL sont, pour la plupart, multilingues (anglais, allemand, italien, espagnol, portugais) pour dispenser une formation directe et compréhensible par tous.
• Label ROS - BOP - Le cursus, le plan de formation, le recyclage, le feed back, l'attestation renouvelable chaque année, font du label instructeur ROS - BOP un critère de qualité très prisé. • Formation à la demande - Le Capitaine dispense son savoir-faire, par des formations initiales et continues, auprès des unités généralistes ainsi que des unités spécialisées de la police et de l'armée (swat, groupes d'intervention) partout en France et dans le monde. Des instructeurs sont également formés selon un cursus graduel vers une qualification d'instructeur ROS - BOP
• Reconnaissances internationales Les démonstrations et séminaires BOP du fondateur Jacques Levinet, aux quatre coins du monde, ont suscité l'enthousiasme par les plus grands experts internationaux des forces de l'ordre. Le Bâton Opérationnel Police ou BOP n'est pas un accessoire de démonstration, façon nunchaku, mais la meilleure arme non létale, dont le capitaine Jacques Levinet a su tirer toute l'efficacité professionnelle jusque-là inégalée. http://www.academielevinet.com/ baton-police contact@academielevinet.com
Films d'Arts Martiaux
Critique du film : par GM Maurice Elmalem
La première du film « Le Garçon des Arts Martiaux » dans les salles aux États-Unis Mon premier arrêt pour la première du film fut en Californie le 18 septembre 2015 avec une réponse phénoménale du public en général pour "Le Garçon des Arts Martiaux, Méfiez-vous des voyous ", film qui a été produit pour le plaisir de toute la famille. Il parle d'un enfant (Robbie Oakes), qui, pour une raison quelconque, rentre en conflit avec des petits voyous dans une école publique en Floride. Du á une tragédie familiale, il déménage de Cleveland à Cocoa Beach, en Floride, pour vivre avec des parents proches qui s’avèrent être des légendes et des champions d'Arts Martiaux. Sans connaître l'histoire de sa famille, Robbie, (Jansen Panettiere) découvre grâce à un incident avec les petits voyous que sa tante, Cindy jouée par Cynthia "Lady Dragon"Rothrok connaît ¨quelque¨ chose sur les Arts Martiaux, quand elle est forcée d’assommer l'un d’eux pour défendre á Robbie avec une série de coups maître.
obbie impressionné, veut en savoir plus á propos de l’expérience de sa tante et il découvre qu'elle est mariée avec l'oncle Glen, joué par le légendaire Don « The Dragon » Wilson, 11 fois champion du monde de Kickboxing, un honnête homme très respecté. Après avoir visité l'école de l’oncle Glen, Robbie décide d'apprendre la philosophie des Arts Martiaux, le respect, l’entraînement intensif, le dévouement et la gloire. Cela fait de Robbie un vainqueur qui non seulement apprend l'auto-défense, mais également il enseigne au voyou Bo (Mateo Ziff) que lorsqu'on maîtrise l'art de la self-défense à son plus haut niveau et que
P
l’on a reçu l’éducation nécessaire pour être le meilleur, on peut aussi être bon à l'école et profiter d'un bel avenir de façon plaisante. Robbie tombe amoureux de la petite amie du voyou Rina (Kathryn Newton). Elle se rend compte alors que Rina la traite de façon irrespectueuse et casse avec lui pour commencer une jolie et meilleure relation avec Robbie et les Arts Martiaux. Ce film a causé un grand impact sur moi et sur mes racines car j'ai dû faire face à l'intimidation toute ma vie. En tant qu’enfant qui a grandi au Maroc et en tant qu’'adulte, j'ai dû faire au harcèlement constant. Je me souviens que les gens nous jetaient des pierres chaque jour sur le chemin de l'école ce qui finalement m'a amené á participer dans des combats de rue á fin de me protéger. Quand je suis parti vivre en Israël, je n’ai senti
Films d'Arts Martiaux aucune différence, parce que j'ai dû faire face á l'intimidation de garçons plus âgés que moi qui me poussaient dans des manifestations sportives. Finalement lorsque je travaillais pour la société de production du Golan et Globus, à Tel Aviv, Israël, en tant qu'Artiste, j'ai été choisi pour la promotion des films de Bruce Lee « Furie Orientale » et « Karaté à mort à Bangkok ». J'ai invité de grands champions du monde comme Gédéon Kadari pour faire des démonstrations d’Arts Martiaux en direct sur la scène avant la sortie de chaque film. Après avoir vu les films de Bruce Lee plus de 20 fois, j'ai déliré. J'étais très impressionné par les films et les techniques d'Arts Martiaux, puis j'ai pensé d'apprendre les Arts Martiaux non seulement pour me défendre, mais aussi pour mener une belle vie saine et me défense contre le stress. Ce qui m'amena à accomplir des exploits remarquables jamais faits. Les Arts Martiaux font sortir le meilleur de nous-mêmes, nous devons faire ce que nous dicte notre esprit pour profiter pleinement de la vie. « Être le meilleur et rien d’autre, "est l'un des nombreux messages positifs et thèmes sur l'amitié, présentés dans le film comme un moyen d'éliminer la peur chez les jeunes et chez les adultes et en outre, promouvoir les valeurs familiales et préserver l'essence de la vie. La première dans les salles fut un succès pendant le premier week-end en Californie et à New York. La séance de vendredi était pleine. En Californie, je fus très touché quand je fus honoré au Musée de l'Histoire des Arts Martiaux le 20 septembre 2015. Ce fut une journée mémorable pour le reste de ma vie. Merci à Michael Matsuda pour sa grande hospitalité et pour cette journée de Maurice Elmalem au Musée d'Histoire des Arts Martiaux. Enfin, le film « Le Garçon des Arts Martiaux » gagna sept prix au Festival de Cinéma dans les catégories de Meilleur second rôle masculin, Meilleur second rôle féminin international etc., je recommande de voir ce film á toute la famille. James Wilson (producteur), Michael Baumgarten (scénariste et réalisateur) et toute l'équipe de production et de casting ont fait un excellent travail. Pour plus d'informations visitez : www.martialartskidsmovie.com GM Maurice Elmalem 7 fois champion du monde, Détenteur 8 fois du record mondial Guinness Auteur, Artiste, Producteur, Promoteur et Rédacteur en Chef du Magazine Budo. www.mauricepromartial arts.com
Informations
Toujours avec comme toile de fond l’Ochikara, « la grande force » (appelée e-bunto dans la langue vernaculaire des Shizen), sagesse secrète des Miryoku, les anciens chamans japonais, l'auteur nous plonge dans un monde de véritables réflexions, capables de toucher et le cœur et la tête du lecteur, nous situant continuellement face à l'abîme de l'invisible, véritable dernière frontière de la conscience personnelle et collective. Le spirituel non pas comme religion, mais comme étude de l'invisible, fut la manière d’approcher le mystère des Miryoku, dans le contexte d'une culture à la fois riche et inconnue à l’étude de laquelle l’auteur s’est intensément consacré. Alfredo Tucci, rédacteur en chef de Budo International et auteur d'un grand nombre de titres sur le chemin du guerrier au cours de ces 30 dernières années, offre un ensemble de réflexions extraordinaires et profondes, qui peuvent être lues indistinctement, sans suivre aucun ordre particulier. Chacune d’entre elles ouvre une fenêtre par laquelle regarder les sujets les plus variés, sous un angle inattendu, parfois saupoudré d'humour, parfois de force et de grandeur. L’auteur nous confronte à des questions éternelles, avec l'air de quelqu'un qui vient d'arriver et ne partage pas les lieux communs sur lesquels tout le monde est d'accord. Nous pouvons affirmer avec certitude qu’aucun lecteur ne restera indifférent à ce livre, telle est la force et l'intensité de son contenu. Dire cela, c'est en beaucoup dire dans un monde plein de troupeaux de moutons, d’idéologies intéressées, de manipulateurs, d’intérêts parasites et de médiocrité. C’est donc un texte pour les grandes âmes et les personnes intelligentes, prêtes à regarder la vie et le mystère avec la liberté des esprits curieux et scrutateurs de l'occulte, sans dogmes, sans morales passagères, sans subterfuges.