Magazine Arts Martiaux Budo International 305 – 1 Février 2016

Que se passe-t-il quand 2 personnes pratiquent ChiSao, quel est le sens de leur pratique et quels sont leurs objectifs ? Dans ce 3ème DVD, "Chi Sao depuis la base jusqu'au niveau avancé", Sifu Salvador Sánchez discute l’aspect, peut-être, plus important du système Wing Chun, le Chi-Sao, l'âme propre du système, qui le dote de caractéristiques complètement différentes des autres et offre de grandes vertus au praticien. Ce document traite de certains aspects très basiques en principe, mais qu’au fur et à mesure que nous approfondirons sur eux, nous verrons qu’ils sont incroyables. C'est un trait très clair de la culture traditionnelle chinoise, ce qui très évident à première vue enferme une deuxième ou troisième lecture, qui va sûrement changer votre point de vue, votre pratique et votre compréhension.

Nous analyserons comment pratiquer le Chi Sao grâce à nos exercices de routine et comment appliquer ces exercices, nos capacités en un combat, en reliant certains concepts, peut-être pas tellement liés au Kung Fu traditionnel, tels que la biomécanique, les structures, les connaissances de la physique, etc., afin d'obtenir les meilleurs résultats dans la pratique.

REF.: • DVD/TAOWS3

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« Le temps est le meilleur auteur : il trouve toujours une fin parfaite. » Charles Chaplin

Q

ue le temps passe vite ou lentement, mais qu’il passe, est une expérience que nous tous avons. Le temps, nous dimensionne comme, ou plus, que l'espace lui-même ; il nous enlève et nous donne, sans rien faire, parce que sa dimension est si abstraite comme déconcertante. Parfois, nous regardons en arrière et nous pensons que notre vie s’échappait d’entre nos doigts comme des grains de sable dans une journée venteuse.

D'autres fois, cependant, en observant les changements vécus, il nous semble que des milliers de choses se sont passées, une éternité dans le temps.

Des sortilèges de l'esprit ? Abracadabrantes neurones à la fugue ? Honnêtement, ça ne me soucie pas. Ce que je veux souligner, partager, c’est ce phénomène que bien que le vivions chacun différemment, nous égale à tous : La fugacité de la vie.

Comment nous remplissons les milliers de moments qui sont concaténés les uns après les autres, souvent inaperçus, c’est cela que nous appelons vie. Ce qui fut n'existe plus, mais perdure dans la mémoire, parfois et pour beaucoup d’entre nous, une ancre tyrannique, un coffre obsolète de peines et de joies, qui n’a pas plus de pouvoir que celui que nous lui conférons.

Ce qui est, se décortique et se mélange, la plupart du temps, dans les branches qui cachent la forêt. Peu sont les moments dans la vie, où nous assistons et jouons le rôle principal de notre conscience d'être et de vivre, cet instant précis. De la même façon qu’ils arrivent, ils nous abandonnent, de la même manière que lorsque nous nous efforçons de prendre le commandement au milieu d'un rêve que nous vivons comme s’il était vrai : Toute petite chose nous perd.

Le futur, secrète arcane que les plus familiarisés avec l’occulte et même les plus ignorants nous tentons de décoder, est l'empire habité par une seule certitude : la finitude.

A chaque pas, occulte, le destin presse ; à chaque pas, occulte, le libre arbitre impose, sage ou ignorant, ses limitées mais décisives conceptions. Nous choisissons, nous optons pour un chemin, quand en fait ce que nous faisons, c'est mésestimer des millions d'entre eux et en faisant cela la pierre dans l'étang, ne fait pas de vagues mais des tsunamis qui réverbèrent en frappant les confins de l'infini ; en définitive cause et effet s’enchevêtrent pour créer une sensation de continuité, qui est, une autre tromperie des plus invitées à troubler notre lucidité.

Le temps est la plus grande des tromperies et la plus impérative des réalités qui nous encadrent. Si inéluctable comme insaisissable, si périssable comme éternel ;

« Le futur m'intéresse parce que c'est l’endroit où je vais passer le reste de ma vie. » Woody Allen

tempus fugit, le temps passe vite, s'enfuit, disparaît, parce que sa réalité dimensionnelle est immatérielle et à travers d’elle-même, les plus commun des mortels expérimentent la confrontation avec la transcendance.

C’est cette caducité qui nous oblige, nous persuade, nous menace, d’accomplir nos destins. Ce qui est éternel en nous, ce n'est pas ce qui nous imprime le sceau de la continuité, le marquage des individus, les particularités auxquelles nous nous accrochons. L'éternel, l'esprit qui encourage notre nature première et dernière, se définit indéfinissable, car, encore plus subtil que le temps en soi, il possède des vêtements beaucoup plus fins ; l'esprit, comme l'eau, se faufile dans le bluteau du temporel ; ce qui reste pris au piège, n'est pas essentiel.

Le temps plus que n'importe qui est la scène de notre œuvre. Les lieux changent, les personnages s’entremêlent et se fondent avec le décor des scènes, même le propre livret, sous réserve de modifications, corrections, goujons, boudins noirs et improvisations, muta mutandis, est révisé et révisable. Mais, oh le temps ! Rien n'échappe à son action sur ce plan.

Torero de vanités, exterminateur d’objectifs, abatteur d’importances personnelles, le temps est impitoyable, bourreau de tous les vestiges de la particularité. Bâton pour mesurer chaque chose et chaque être, Cronos dévore ses enfants sans exception, nous le sommes tous de lui. Monstre sublime, divin bourreau, c’est sur son échafaud où tout prend sa juste mesure, où parfois pieux, la douleur finit, où les certitudes se diluent.

Le temps ne passe pas, nous passons à travers lui. . A chaque rencontre nous laissons des lambeaux de notre être, sculptés parfois par ses coups, d’autres fois polis par ses tempêtes de sable, la force de sa dimension nous dresse toujours, nous moule et au dernier moment nous termine. Mais sans lui, qu’est-ce qui changerait ? Au chemin de la conscience, personne ne s'inscrit volontairement, parce que les « carottes » ont plus de supporters que le « bâton ». C'est un roi avec une mauvaise presse, mais seulement lui offre la possibilité de changer. Ses desseins, loin d'être cruels sont grandioses, parce que le mal se rend également à son pouvoir.

Tout ce qui commence finit. Quelle est la chose plus importante dans tout cela ? Chacun répond à cette question à sa manière, mais aucun d’entre nous ne peut ignorer la question. Là, est son pouvoir, là est sa suprématie.

Alfredo Tucci est le Directeur Général de BUDO INTERNATIONAL PUBLISHING CO. Courier: budo@budointernational.com

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Krav Maga RED, Concept et Pédagogie Ce DVD à été conçu comme support à destination des enseignants du groupe KMRED, et est également destiné aux personnes souhaitant en connaître plus sur notre approche de la self défense KMRED mode « Krav Maga ». Il ne s'agit pas d'appliquer l'idée R.E.D Recherche Evolution Développement, uniquement au contenu technique de notr e discipline, mais aussi à la pédagogie que nous utilisons pour l'enseigner. Le maitre mot de nos recherches est la « Simplification » tant sur le plan technique que pédagogique.

« KMRED SPIRIT » Nous sommes avant tout des combattants Nous avons notre PROPRE IDENTITÉ TECHNIQUE et elle nous correspond.

Nous ne "plagions" pas les "autres".

Nous acceptons la critique car « l'égo » n'a pas sa place dans le monde de la self défense.

Nous assemblons des concepts de travail pour ÉVOLUER vers l'intérêt du contenu et surtout l'intérêt de ceux qui vont utiliser nos Bases et Principes pour se défendre.

Pour nous le KRAV MAGA RED ou plutôt « Méthode KMRED » n'est pas un Business, c'est une passion, un mode de vie.

Afin de faire NOS choix techniques, nous avons analysé, décortiqué des centaines d'heures de vidéos réelles, de vidéos de mises en situations réalistes pour enfin mettre à l'épreuve du « crach test » ces derniers.

Nous ne sommes pas une nouvelle fédération, ou autre entité quelconque, qui cherche à surfer sur la vague "krav maga et Self Défense" en ne pensant qu'aux profits que cela pourrait générer, nous sommes un GROUPE. Notre démarche est AUTHENTIQUE et nous la partageons avec tout ceux et celles qui ont une RÉELLE OUVERTURE D'ESPRIT.

« Pour nous le KRAV MAGA RED ou plutôt « Méthode KMRED » n'est pas un Business, c'est une passion, un mode de vie. » « Nous assemblons des concepts de travail pour ÉVOLUER vers l'intérêt du contenu et surtout l'intérêt de ceux qui vont utiliser nos Bases et Principes pour se défendre. »

L'IDEE DIRECTRICE, le concept des « 3 JOURS à 5 JOURS » Dans notre recherche, nous sommes revenus au concept même d'un « Close Combat ». L'idée première du close combat est de mettre à disposition de « professionnels » une méthode de combat Opérationnelle pour survivre ou sauver des vies.

Pour cela il faut prendre en compte la notion de temps. En effet combien de temps à le « professionnel » pour se former. A l'origine, entre 15 Jours et 3 mois pour les plus chanceux. Du coup une question se pose….

A t'on le temps d'apprendre « beaucoup » de techniques…..

Surtout lorsque l'on sait, qu'en situation de stress la restitution technique s'avère très compliquée…. Et puis, pour que cette « Technique » soit efficace, ne faut il pas la travailler pendant longtemps pour la conditionner….

Alors nous nous sommes prêtés à un exercice qui pourrait paraître simple mais qui s'avère complexe et très riche d'enseignements.

L'idée est de dire que nous ne disposons que de 3 à 5 jours, en prenant un groupe de personnes aux profils différents pour leurs donner le maximum de chance de survie dans un combat de rue en incluant des notions de défenses face à des agressions pieds poings, en saisies et étranglements, en attaque d'éléments contondants ou encore des attaques au couteau.

Et LA … et bien vous n'avez pas d'autres solutions que de revenir à l'ESSENTIEL !!!

- Un nombre de techniques ultra réduits - des bases et des principes - Un conditionnement Mental - un développement de « l'agressivité naturelle », de la part « animale » qui est en nous.

« Notre démarche est AUTHENTIQUE et nous la partageons avec tout ceux et celles qui ont une RÉELLE OUVERTURE D'ESPRIT. »

« Nous acceptons la critique car « l'égo » n'a pas sa place dans le monde de la self défense. »

Les Bases du KMRED : STABILITE, DEPLACEMENT, PROTECTION, RIPOSTE….

Un triste CONSTAT… Aujourd'hui, les disciplines de self défense comme le krav maga sont confrontées à 3 problématiques majeures.

- La première c'est que les nouvelles générations de prat iquant s s o nt en perpét uelle recherche de « nouveauté » et lorsqu'il leur est demandé de répéter encore et enco re la même technique jour après jour (t el le bo xeur « d'ang lais e » qui répète ses gammes av ec s eulement 6 co ups a sa

disposition) ce dernier se lasse et souvent se dirige vers une autre discipline plus « ludique ».

- La seconde c'est qu'avec l'entrée des disciplines de self défense et ou de close combat au sein des fédérations sportives comme par exemple le krav maga en France qui est géré par la fédération Française de Karaté, le contenu de ces méthodes de combat (qui était jusqu'alors issu et réservés aux milieu professionnel) prend une dimension « sportive » et « esthétique » et de plus en plus en décalage avec les principes de simplifications et d'efficacité.

- La 3ème , qui est en lien direct avec les 2 autres, réside dans le fait que la nécessité pour les fédérations, les clubs et autres structures, d'accueillir le plus grand nombre possible de licenciés (licenciés = argent…), les poussent à développer des programmes d'entrainement très denses, correspondant à des progressions calquées sur les arts martiaux (ceintures etc.).

Ceci dans le seul but de supprimer l'aspect « ennuyeux » de la répétition de seulement quelques techniques afin de conserver leurs licenciés…

En effet les licenciés passent de ceinture en ceinture en découvrant un nombre incalculable de technique leur donnant la sensation de maitriser l'univers de la « self défense » et de pouvoir faire face à toutes les agressions de « rue ».

Le principal problème de cette approche d'un système anti agression comme le krav maga, c'est qu'on l'éloigne de sa finalité première, l'EFFICACITE. N'oublions pas que les pratiquants de self défense sont à la recherche de solutions pour faire face à des situations très diverses, mais qui contrairement aux purs passionnés d'arts martiaux et sports de combat, ne passeront pas 20 ans dans une salle pour développer leurs compétences.

Et puis « l'agression » peut survenir « demain » alors notre programme est calqué sur cette nécessité.

REMETTRE en question les FORMATIONS, c'est REMETTRE en question les FORMATEURS Il existe une autre problématique de fond…

Très souvent, certaines disciplines ont pour origine une ou 2 personnes qui en leur temps ont eu une démarche novatrice et ces derniers sont les références ultimes po ur leurs « successeurs ».

N o u s comprenons cet état d'esprit

« ...les nouvelles générations de pratiquants sont en perpétuelle recherche de « nouveauté » et lorsqu'il leur est demandé de répéter encore et encore la même technique jour après jour (tel le boxeur « d'anglaise » qui répète ses gammes avec seulement 6 coups a sa disposition) ce dernier se lasse et souvent se dirige vers une autre discipline plus « ludique. »

car les « arts Martiaux » nous ont accompagnés toute notre vie.

Qu'un art martial conserve sa dimension d'origine cela est plus que légitime, mais qu'une méthode destinée à « survivre » reste figée dans des principes obsolètes au nom du fondateur et de ses descendants est une ineptie.

Lorsque l'on parle de « self défense », comment peut on figer un contenu, au vu des problématiques rencontrées aujourd'hui ou encore au vu de l'évolution fulgurante des méthodes de combat avec l'avènement du MMA. De nos jours et particulièrement en Krav Maga, on se réfère à quelques « experts » qui au nom de leur notoriété, voir au risque de la perte de leur crédibilité, préfère rester dans le « monde » qu'ils contrôlent, plutôt que d'accepter de s'effacer au profit du contenu…

Demain nous serons nous même, peut être, considéré comme des « concepteurs » mais il y une chose de sur, c'est que le pire manque de respect que pourraient nous démontrer nos « héritiers » serait de continuer a

enseigner la copie exacte de ce que nous avons conçu alors que le contexte, la situation, la vie et les nécessités auront changées..

Ceci car ce n'est pas notre nom de famille dont devront se souvenir les gens, mais du concept R.E.D… Recherche, Evolution et Développement Petite Réflexion en guise de conclusion..

Notre travail nous a amené a rencontrer de nombreuses personnes et à plusieurs reprises ces derniers nous ont dit : « Pourquoi appelez vous ca encore Krav Maga ? » nous leur avons répondu, « c'est vrais, notre contenu diffère beaucoup du programme du fondateur du krav maga, mais nous avons en commun l'état d'esprit dans lequel ce dernier l'a conçu ». et nous ne renions pas nos origines « techniques » même si au vu de ce qui se voit de plus en plus de nos jour, sur la « planète » krav maga, il y a des jours ou nous préférons nous appeler uniquement KMRED pour marquer notre différence.

Notre devise : « Entre Etre ou Paraître, nous avons choisi, Elève un jour, Elève toujours. »

« Entre Etre ou Paraître, nous avons choisi, Elève un jour, Elève toujours. »

Wushu FANZIQUAN CONTEMPORAIN Le Fanziquan (Littéralement poings de boxe retournants / rotatifs) est un style d'art martial traditionnel originaire de la région du nord-est de la Chine, qui propose une large gamme de techniques de frappes rapides et énergiques. En raison de sa longue histoire, le Fanziquan a été connu sous plusieurs noms tels que Bashanfan (boxe des huit poings éclairs), les Bafana (l’école des huit tours), Fanquan (boxe tournante) et bien plus encore. Le style, ainsi que plusieurs de ses grands mouvements, ont été recrées par le général antijaponais Qi Jiguang de la dynastie Ming (1368-1644), dans une de ses œuvres, appelée « Nouveau registre des techniques efficaces », ce qui indique que le Fanziquan était bien établi il y a plus de 400 ans. Comme le style se répandit par différentes zones géographiques au cours de la dynastie des Qing (1644-1911), il se divisa en de nombreuses branches et sous-styles différents.

Par conséquent nous pouvons voir, de nos jours, des traces des styles rudimentaires combinés avec le Fanziquan partout en Chine.

EVOLUTION JUSQU'À L'ÈRE RÉPUBLICAINE Pour comprendre les origines du Fanziquan moderne, il est essentiel de visiter l'histoire des familles des arts martiaux Ma Tongbei, parce que c'est la principale source sur laquelle le Fanziquan moderne fut créé. Il est originaire de la province du Hebei, les arts martiaux Tongbei ne sont pas un style d'arts martiaux, mais un effort en vue de fusionner les meilleurs éléments et principes de différents styles, fondés par Pan Wenxue. Ces principes et ces connaissances furent transmises à Li Yunbiao, un Maître renommé qui gagna le surnom de « l’Hirondelle au Bras de Fer », qui a à son tour le transmit à

Texte : Emilio Alpanseque Photos : Benjamin Tang

Wushu Huang Lin Biao, entre lesquels sont compris les renommés successeurs Maître Ma Fengtu et Ma Yingtu.

Retournons au Fanziquan, on dit que le style provient de Han Luma du Hebei et qui passa ensuite à la famille Duan. De même, la Famille Duan le transmit ensuite à Xu Zhaoxiong de la région du nord, qui le passa ensuite à Cheng Dongge et à Hao Mingjiu. C'est au cours du début de la période républicaine (1912 à 1949), quand Ma Feng tu et Ma Ying furent capables d’inter changer des techniques avec Hao et Cheng Dongge Mingjiu pendant une longue période de temps, et en conséquence, le style du Fanziquan devenu une partie intégrante des Arts Martiaux Tongbei. Au cours de ces échanges amicaux, on entrainait et l’apprentissage était renforcé par les Maitres Ma avec huit mouvements de base qui pouvaient être pratiqués indépendamment ou linéairement et des routines duraient jusqu'à deux fois plus longtemps.

ÉRE DU WUSHU CONTEMPORAIN Après la fondation de la République Populaire de Chine (1949), on fit un effort pour sauver et inclure les styles traditionnels dans le cadre des événements de Wushu moderne pour des démonstrations et des compétitions.

Chaque province avait ses propres spécialités ; c'est-à-dire, la mante religieuse provenait de Shandong, la branche du Singe venait de Sichuan et ainsi de suite. Après, l'Association Chinoise de Wushu eut des athlètes et des entraîneurs qui voyageaient à travers le pays de procéder à un échange efficace de techniques et de routines. Le Fanziquan moderne se développa dans la province du Shaanxi, basé principalement sur le travail tardif du Wushu du Grand

Wushu Maître Ma Xianda, qui est l'héritier des Arts Martiaux de la famille Ma Tongbei qui apprit directement de son père et de son oncle Ma Fengtu Ma Yingtu dès son jeune âge.

Sous la tutelle du Grande Maître Ma, les mouvements inclus dans la « nouvelle » routine Fanziquan n'auraient pas pu être plus traditionnels. En effet, depuis le début des années 60, il combina les principaux mouvements des deux routines traditionnelles dans une seule, prêt à satisfaire quelques- uns des nouveaux règlements de la structure de la compétition moderne de Wushu, la limite du temps, l'utilisation du sol de la compétition, etc. Ensuite, lui-même et plusieurs de ses élèves ont voyagé dans tout le pays pour diffuser cette importante partie de son remarquable héritage, l’apprentissage de la routine de tous les principales équipes provinciales et des entraîneurs. Regroupés sous la catégorie appelée « autres styles de boxe Groupe 2 », le Fanziquan est devenu un élément de compétition officielle des Championnats Nationaux de Wushu en Chine, aux côtés des styles Tongbeiquan et Piguaquan.

Il faut dire qu’entre les principaux représentants du Fanziquan, au long de cette époque précoce de la compétition moderne du Wushu, surtout avant la fin de la Révolution Culturelle (1966-1976), il y avait des Maitres de renom comme Bai Wenxiang, actuel vice-président de l’association Shaanxi Wushu et Gao Xi'an, tous deux sont les vrais disciples des familles d'Arts Martiaux Ma Tongbei. En revanche, à la fin des années 70, apparut le jeune Jet Li, certainement le plus célèbre athlète de Wushu qui devint une star de cinéma internationale, et il est bien connu que le Fanziquan était l'une de ses spécialités, qui a été exposée dans de nombreuses scènes dans le monde entier et dans certaines parties de ses films.

TACTIQUES ET CONTENU TECHNIQUE L'essence du Fanziquan est captée dans l'ancien nom de Bashanfan qui se réfère à des tours ou des pirouettes rapides et des séries de poings vers le haut, bas, gauche et droite ; qui s’exécutent aussi vite qu'un éclair ; et on peut les appliquer dans huit mouvements spécifiques, y compris vers l'avant, arrière, haut, bas, gauche, droite, centre et des techniques doubles. Contrairement à d'autres styles du nord, célèbres par leurs techniques de longue distance, coups de pied et de sauts, le Fanziquan met l'accent sur les techniques de coups à courte distance qui emploient les bras, les coudes, les épaules et les hanches, avec moins de techniques de jambes. Cette fonctionnalité marque le style comme » boxe courte » et le rend plus utile en combat corps à corps.

Jabs, directs, uppercuts, crochets, poings retournants et d’autres techniques de bras s’utilisent en combinaison avec des jeux de jambes agiles pour avoir une distance surprenante et optimale de votre adversaire et l’écraser avec une pression constante. Les trois postures principales du Fanziquan sont la posture du cheval, la posture semi cheval, aussi connue comme 40-60 et la posture unicorne, offrant un équilibre solide sans sacrifier la mobilité parce que les pieds ne sont pas ancrés au sol complètement. Les quelques coups de pied du système sont normalement entraînés vers le haut mais se donnent sous le genou pour l'application, ils sont principalement utilisés pour les balayages combinés avec des saisies, des amarres avec les bras et les hanches. Il y a seulement un coup de pied haut, « le coup de pied des serres de l’aigle », un coup en ligne droite qui exécute une action de piston depuis le centre, en général, dirigé la gorge du rival La théorie de combat traditionnel du Fanziquan est agressive et impitoyable. Il n'y a pas de moments de calme dans la bataille. S’approcher à une vitesse vertigineuse et écraser l'adversaire. Pour finir, les

Wushu membres de la famille Ma pratiquaient le Fanziquan avec leur méthode particulière d'exécution de la force, souvent appelée Energie Tongbei, qui se développa en mélangeant les plus importants éléments de leurs différents styles, tels que la longue distance et la flexibilité du Tantui et Piguaquan, la vitesse et les balayages du Chuojiao , les méthodes de courte distance et la puissance de frappe du B?jíquán, ainsi que le propre poing éclair du Fanziquan et ses méthodes de frappe.

LE FANZIQUAN D’AUJOURD'HUI Le Fanziquan contemporain a continué à se pratiquer couramment en Chine et dans le monde entier, devenant très populaire dans les compétitions et les démonstrations de Wushu. Au cours des 30 dernières années, la routine rythmique que le célèbre athlète Shaanxi Chu Fenglian utilisait dans les années 80, à peine a subi de changements dans la façon ou l'emphase.

Bien que, si on la compare avec le style traditionnel, il y a beaucoup de mouvements exagérés et quelques ajouts pour mettre en évidence certaines caractéristiques du style ou encore les capacités physiques des interprètes.

En ce qui concerne le Fanziquan traditionnel, il y a plusieurs branches traditionnelles du style qui sont encore pratiquées en Chine et à l'étranger, y compris celles de la famille Ma Tongbei Fanziquan dirigée par le Maitre Ma Yue qui est le fils du GM Ma Xianda et le gardien de la sixième génération de la famille Ma Tongbei d’Arts Martiaux. Chaque style de la lignée peut avoir ses propres caractéristiques régionales et des qualités uniques, mais tous partagent les mêmes principes clés avec des frappes qui rappellent une pluie battante de coups et si rapides comme une rafale de feux d'artifices !

Remerciements : L'auteur tient à remercier Maître Ma Yue, gardien de la sixième génération de la famille Ma Tongbei des Arts Martiaux, pour leur suivi et leur contribution à cet article.

Une page du « Nouveau registre des techniques efficaces » illustre le mouvement d’ouverture du Fanziquan appelé posture « Drapeaux et Tambours ». Réorganiser drapeaux et tambours est une expression idiomatique qui signifie se regrouper après un coup, se prépare pour une nouvelle bataille.

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« Peut-être l'une des meilleures représentations au Théâtre des thèmes Martiaux" »

Magnifique représentation au théâtre de La Rambleta « Les Shizen Le village de Tengu », un spectacle audiovisuel précisément encadré dans l'année dual Espagne-Japon, une importante initiative de l'ambassade du Japon en Espagne qui célèbre l'établissement des relations entre les deux pays. Le spectacle créé pour l'occasion, faisait partie de la cérémonie publique de la remise des diplômes, à l’école Kaze no Ryu, de 6 nouveaux Shidoshi, Joho comme on dit en Shizengo. On est en train de produire un documentaire sur cette représentation, avec son making off, back stage, interviews, etc. et qui inclura une grande partie du spectacle, afin que tous les intéressés sur la culture Shizen du monde entier et qui n’ont pas pu y assister, puissent en profiter. Le village de Tengu, fut proposé pour présenter la tradition de Shizen au public, en l’encadrant historiquement et culturellement et en mettant en évidence ses deux aspects plus intéressant, d'une part sa tradition Martiale, le Bugei, et sa culture spirituelle, le e-bunto.

Nouveau

"La magie, le charme, le goût pour les vraies choses.

La force d'une culture et d’un peuple mis en scène d’après ses coutumes" 6. Les nouveaux Shidoshi fêtèrent l'obtention de leur diplôme selon la tradition Shizen, avec toutes ses cérémonies, ses rituels, ses danses anciennes autour du feu, le tir cérémoniel, tout en compagnie de leurs êtres chers ; avec générosité et abondance, ils célébrèrent et honorent tous les mondes visibles et invisibles, selon l’ancienne tradition du grand peuple de Tengu dans une nuit magique et inoubliable... qui a dit qu'il ne restait plus de choses authentiques ?

La cérémonie de la remise des diplômes des nouveaux Joho (Shidoshi) de la lignée de Kawa, école Kaze no Ryu Ogawa Ha, fut dirigée par Shidoshi Jordan Augusto Oliveira.

Jiu Jitsu Brésilien

L’Histoire Vacirca ?

Seconde partie © Vers 2015/2016 Franco Vacirca, ongle Sandra Susie À la fin de l'automne 1989, je suis entré en contact pour la première fois avec les Gracies et leur Jiu-Jitsu Brésilien, après que Sifu Paul Vunak, le fondateur du Système de Combat Progressif (PFS : Progressive Fighting System), m’ait invité à un stage privé avec Rickson Gracie. Bien que le fondateur du Jeet-Kune-Do, le légendaire Bruce Lee, s’était consacré intensivement au combat au sol, ces techniques pour moi n’étaient pas prioritaires. Mais cela allait changer avec ce stage spécial.

L’ambiance de la for mation simple, familière et conviviale avec Maître Rickson me motivèrent immédiatement à entrainer avec lui, d'autres membres de la famille des Gracies et leurs cousins, les Machados et donner une nouvelle opportunité au JiuJitsu Brésilien.

Jiu Jitsu Brésilien

L

orsque mon frère Demetrio et moi nous avons ouvert les portes de la nouvelle Vacirca-Académy of Martial Arts (VAMA) dans le rue Eisfeld à Zurich-Oerlikon, le 16 juillet 1995, le Gracie Jiu-Jitsu était déjà une partie très importante de notre programme d'apprentissage. Le JKD Grappling fut progressivement remplacé par le Jiu-Jitsu Brésilien. De là surgit un nouveau programme de formation dans notre Académie d'Arts Martiaux ; à courte distance nous travaillions la Boxe Thaï de Ajarn Chai Sirisute, à distance moyenne « Trapping » nous avons utilisé le programme PFS/JKD et au sol le Jiu-Jitsu Brésilien. Dans le domaine du combat avec des armes, nous sommes restés fidèles au Kali-Eskrima philippin de Guru Dan Inosanto.

Sur une grande surface, solidement recouverte de tapis de judo de 150 mètres carrés, nous avons offert une variété de classes pour les hommes et les femmes ; peu de temps après un père est venu avec son fils, voisins du quartier et m’a demandé si je pouvais inclure son fils, Gazmend Amiti dans les entrainements. De cette façon, le petit Gazmend Amiti ne fut pas seulement le premier enfant que j’accueillis dans notre Académie, mais aussi la plus jeune élève de Jiu-Jitsu Brésilien en général. La Vacirca-Académy se développa en peu de temps et devint une référence pour le Jiu-Jitsu Brésilien en Europe. Grace à plusieurs apparitions à la télévision, interviews à la radio et articles dans les jour naux et revues techniques internationales, l'intérêt augmenta pour notre Académie à Zurich et nous ne tardâmes pas à organiser nos propres stages de Jiu-Jitsu à l'étranger. Le degré de notoriété augmentait encore plus quand notre équipe suisse de BJJ formé par quatre personnes (Nikos Bachzetsis, Martin Hardmeier, mon frère Demetrio et moi) nous rentrions du premier championnat du monde à Rio de Janeiro en janvier 1996 avec une médaille d'argent et de bronze et deux quatrièmes places, tout dans la catégorie de ceintures noires. La Fédération Mondiale de BJJ (IBJJF) nous reconnue aussi officiellement comme ceintures noires et nous nomma présentant de ce sport en Suisse ; En outre, on m’invita à représenter la Suisse en tant que membre fondateur de la Fédération Mondiale de Jiu-Jitsu Brésilien. Quand nous sommes arrivés à Rio de Janeiro, via Madrid, notre équipe s’est logé à l’hôtel Copacabana, qui s’appelait alors « Ouro Verde » (Or Vert). Le propriétaire de l'hôtel était un suisse qui avait longtemps vécu en Équateur et qui s’était installé plus tard à Rio de Janeiro. Nous cherchions un endroit proche pour entrainer, je me suis informé et j’ai trouvé un Dojo qui n'était pas loin de notre hôtel. Nous voulions

Vacirca Bros

Jiu Jitsu Brésilien juste un endroit pour nous former avec quelques matelas, mais ce ne fut pas le cas. Un matin quand nous marchions, j'aperçus des jeunes en kimono qui entraient dans un bâtiment. La plupart d'entre eux portaient leur ceinture de kimono dans la main. Par les couleurs (jaune, orange et vert) j'ai pensé qu'ils étaient des élèves de karaté ou des judokas, mais ce n’était pas le cas. Nous sommes aussi rentrés et au troisième étage il y avait un centre d’entrainement simple avec une superficie de tatamis assez grande. Tout de suite une dame s’approcha et mon frère Demetrio, qui savait mieux parler le portugais dû à son travail à IBERIA, assumât le rôle du traducteur. La réceptionniste nous souhaita la bienvenue et nous dit que nous pourrions entrainer là quelques heures par jour pendant notre séjour à Rio. Mais elle nous dit aussi que nous devions parler avec le propriétaire, Maître Augusto Cordeiro, qui était aussi un expert de Jiu-Jitsu. À ce moment -là, je ne connaissais personne plus experte que la famille Gracies. Je pensais que les Gracie étaient les seuls et les premiers qui pouvaient faire ce style et qu’ils avaient presque le monopole du Jiu-Jitsu dans ce pays. Je dis à l’aimable dame que nous allions entrainer le soir même au Dojo, si c'était possible et elle me répondit « bien sûr, il n'y a aucun de problème ». Le soir nous fûmes les « quatre mousquetaires » avec nos kimonos blancs à l'Académie de Cordeiro Augusto pour notre premier entrainement commun à Rio de Janeiro. Quand la réceptionniste arriva, elle nous montra où étaient les vestiaires et elle nous dit que nous devions attendre un peu parce que Maître Cordeiro et le professeur Georghino (George Junior) voulaient nous souhaiter la bienvenue.

Maître Cordeiro nous embrassa comme si nous étions de bons amis de toute la vie et cela faisait très longtemps que nous ne nous voyions pas. Le professeur Georghino, était en revanche, un peu plus distant, parce qu’il ne savait pas ce que nous faisions sur son

« Sifu Paul Vunak, le fondateur du Système de Combat Progressif (PFS : Progressive Fighting System), m’avait invité à un stage privé avec Rickson Gracie. »

Vacirca Bros

Jiu Jitsu Brésilien tatami. Nous nous sommes présentés et nous leur avons dit que nous voulions seulement entraîner ensemble. Le professeur Georghino nous a dit qu'il n'y avait pas de problème, mais que nous pouvions également entrainer avec lui et ses élèves. Nous ne voulions pas lui manquer au respect et nous l’avons remercié pour l'invitation, mais nous avons recherchons un coin où nous étions seuls. Le cours commença après que les élèves aient formé un cercle et qu’ils aient salué. Avec les Gracies à Los Angeles je n'avais jamais vu ça avec le cercle et j’ai dit à mon frère que je voulais faire de même dans notre école. Les exercices d'échauffement, cependant, étaient très spéciaux parce que les Gracie à Los Angeles ne faisaient aucun exercice d'échauffement, à l'exception peut-être des « drills » ou des bow-scapes, ils passaient directement aux techniques d'auto-défense debout. Mais ici les élèves ne faisaient pas ça et cela me surpris beaucoup. C'était une chose de plus que je venais de connaitre du judo japonais. Peut-être à Los Angeles, c’était comme ça parce que les salles étaient trop petites et ne le permettraient pas. Tout à coup j’eus des milliers de pensées. Le professeur Georghino était l’élève de premier niveau de Maitre Cordeiro mais il entrainait aussi avec Maître Carlson Gracie qui avait une école non loin de là. Georghino nous regardait tout le temps jusqu'à ce qu'il est venu et nous a demandé si nous pourrions lui expliquer et lui apprendre certaines choses, nous se fut un honneur.

A partir de ce moment-là, nous avons entrainé les jours suivants avec le professeur Georghino à l'Académie Augusto Cordeiro pour nous préparer pour les championnats du monde. Je tiens à dire que si nous n'avions pas fait son entraînement intensif, nous ne saurions jamais rentrés avec le résultat que nous avons obtenu. Moins d'un an plus tard, je suis allé à Rio de Janeiro pour visiter le professeur Georghino, mais quand je suis arrivé on m'a dit qu'il était hors de Rio de Janeiro pour des raisons familiales et donc que je devais reporter cette visite. Au cours de ce voyage de formation, j'ai visité aussi Maître Sylvio Behring que nous avions connu lors des championnats du monde, je lui ai proposé de faire un stage de Jiu-Jitsu Brésilien à Zurich. Au cours de ce voyage j'ai également profité de l'occasion pour m'entraîner à l'école des Gracies à Humanita et là j’ai rencontré le Grand Maître Hélio Gracie qui me parla de son histoire et de sa philosophie. Au cours de la conversation, je lui ai demandé aussi où je pouvais continuer d’après lui ma formation de Jiu-Jitsu et il me dit : "... ici, à Rio de Janeiro avec mes enfants, à Los Angeles avec mon fils Rorion ou à São Paulo avec Maitre Peter (Hemeterio). » Étant donné que jusqu'à lors, j’avais entraîné à Rio de Janeiro et à Los Angeles, je voulais aller à Sao Paulo et rencontrer Maître Pedro Hemetério. Cette volonté fut renforcée lorsque Maître Waldomiro Perez Junior est venu nous visiter, le fondateur du CIA, de Sao Paulo et élève de Marcelo Behring à Zurich. Maitre Junior fut le premier qui nous montra son chemin de formation et de là est née une longue et étroite collaboration et une profonde amitié.

Franco Vacirca www.vacircajiujitsu.ch

« À la fin de l'automne 1989, je suis entré en contact pour la première fois avec les Gracies et leur Jiu-Jitsu Brésilien. »

Vacirca Bros « Le soir nous fûmes les « quatre mousquetaires » avec nos kimonos blancs à l'Académie de Cordeiro Augusto pour notre premier entrainement commun à Rio de Janeiro. »

Le Vovinam Intégral est simplement retourner au véritable Vovinam du fondateur. L'objectif du Fondateur était déclaré clairement et ouvertement : « Récolter des techniques efficaces, assimiler l’essence de ces techniques et les transformer en techniques de Vovinam », et il faut dire que ce concept reste encore en vigueur et qu’il est obligatoire pour tous les maitres de Vovinam du monde. Le Vovinam est donc un concept de recherche pour atteindre un style super efficace.

Cependant, aujourd'hui 90 % des maitres de Vovinam l’oublient et se plient devant un programme trop chargé, trop fixé, trop esthétique et, parfois, totalement inefficace pour de nombreuses techniques.

Le Vovinam Intégral, est simplement de retrouver l'essence originale de l'art du Maître Nguyen Loc. Pour cela, nous avons les principes, les techniques de base et nous n’avons qu'à travailler la forme efficace de chaque technique, ainsi que d’appliquer le principe fondateur. Dans ce DVD, nous allons étudier les fondements du Vovinam Intégral de la main du Maître Patrick Levet, les menaces et les attaques avec couteau, les contreattaques intégrales et la défense contre Dam Thang (poing direct), Dam Moc (crochet), Dam Lao (punch javelot), ainsi que les clés basiques de jambes.

REF.: • DVD/VIET6

Tous les DVDs produits par Budo International sont scellés au moyen d’une étiquette holographique distinctive et sont réalisés sur support DVD-5, format MPEG-2 (jamais VCD, DICX ou similaires). De même, l’impression des jaquettes ainsi que les sérigraphies suivent les plus strictes exigences de qualité. Si ce DVD ne remplit pas ces critères et/ou si la jaquette ou la sérigraphie ne coïncide pas avec celle que nous vous montrons ici, il s’agit d’une copie pirate.

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En particulier certaines de ses « favorites » comme Flashing Mace (massue clignotante), Parting Wings (ailes déployées), Entwined Lance (lance entrelacée) ...

Magistralement exécutées et basées sur l'expérience du mouvement. Le G.M. Tatum incorpore ses connaissances innovantes dans ces techniques qui vous aideront à ajouter et à compléter votre formation dans le système du Kenpo. En outre, il nous offre la meilleure option pour nous défendre, en prenant comme base la pensée logique et pratique, en la positionnant sur le chemin de la compréhension de l'Art du Kenpo. Ce sont des systèmes de défense et de lutte des temps modernes que nous vivons. Conçus de sorte que nous obtenions tous les avantages que nous recevons d'une formation de ces techniques. Dans ce DVD collabore Maître Adolfo Luelmo (9e Dan) qui continue avec une série de techniques de manière fluide et énergique devant des situations d'agression extrême. Il nous montre les différents états du mouvement, en le faisant de manière logique et efficace.

Pour terminer, Maître Asís Camacho (8e Dan), déploie une technique qui allie la force des bras et son habilité avec les jambes.

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Weng Chun Kung Fu à Zhaoqing, Chine Un voyage à la recherche du dernier Grand Maître chinois de l'ancienne génération, Taam Pui Chyun (1917-2014) Après toute une décennie de r echer che pour tr ouver le dernier Grand maître de Weng Chun encore vivant en Chine (Note : Grand maître Taam appelait son art Baan Chung Wing Chun/Red Boat Wing Chun, mais pour être plus facile, je vais rester avec le nom de Weng Chun), je le trouvai enfin en 2012 avec l'aide d’une chinoise à travers d’une page web chinoise de son élève, Sifu Leung Wai et par conséquent, je me rendis immédiatement à Zhaoqing en Chine.

Photos : Andreas Hoffmann, Budo International, Texte : Andreas Hoffmann, Christoph FuĂ&#x;

L

a ville sans district, Zhaoqing, était dans la province du sud, Guangdong. C’était une ville voisine de Foshan, qui était autrefois un centre de Weng Chun et de tous les arts de Shaolin du Sud. Moi-même je m’étais formé là-basavec le Grand Maître Pak Cheung et pendant ce temps, je visitai également le village de la famille Tang. Zhaoqing était aussi importante pour notre philosophie Shaolin, Chan, ou bien Zen, parce qu’auparavant le célèbre sixième patriarche Hui Neng vivait ici, et c’est où il planta un prunier dans le temple de Mei'an. Arrivé à Zhaoqing, ma première destination fut le magnifique monastère pour les femmes bouddhistes et là, sous le magnifique prunier de Hui Neng, je remerciai Bodhidharma et à tous nos ancêtres pour nous avoir transmis ces merveilleux arts Shaolin.

Après, je fus reçu par l'élève du Grand Maître Taam Pui Chyun, Grand Maître Leung Wai Choi, m’accueillit chez lui et je fus surpris une fois de plus par la chaleur particulière avec laquelle les familles de Kung Fu en Chine reçoivent les étrangers. Il me fit visiter sa maison, me présenta à sa famille et me montra, ou plutôt il laissa à ses élèves me démontrer, certaines parties de son programme de Weng Chun. Dans la soirée, je fus invité à une fête d'anniversaire d’un de ses élèves où à part de célébrer l’anniversaire, on parla beaucoup d’affaires professionnelles – Le Kung Fu peut être plus facile si nous avons échangeons tout simplement nos idées, si nous nous respectons mutuellement et nous célébrons notre art. Les jours suivants, Grand maître Leung Wai Choi

m'apprit les finesses de son programme et souligna surtout les seize mots, qui sont l'instruction plus importante de notre antécédent Fung Siu Ching pour cette école de Weng Chun. Nous visitâmes ensemble également l’école de sa fille et d’un de ses élèves, et je me réjouis de voir que la famille de Kung Fu était si pure et exemplaire à Zhaoqing.

Tout le monde était heureux de me voir et me démontrait ses compétences. Grand maître Leung Wai Choi était très complet avec ses méthodes d'enseignement et je trouvais intéressant que son programme de combat de Weng Chung comprenne aussi de nombreuses techniques de levier et de pousse.

Le lendemain, le moment était arrivé - la rencontre avec le plus ancien membre de la famille de Weng Chun, avec le Grand Maître Taam Pui Chyun, qui avait dédié 83ans de ses 96 ans aux études du Weng Chung. Grand Maître Leung Wai Choi et son fils, qui était également mon traducteur, sont venus me chercher dans la matinée à mon hôtel et nous

sommes allés à un autre quartier de Zhaoqing.

Là, j'ai rencontré à Taam Pui Chyun de 96 ans qui m’a invité chez lui. Nous sommes passés devant un mannequin de bois dans le couloir avant d’arriver à la salle de séjour et tout d'abord il nous offrit un thé. Je fus profondément touché par la franchise, la cordialité, la joie que Grand Maître Taam Pui Chyun me demontrait et sa passion pour le Weng Chun. Ensuite, je suis allé chercher mes livres et mes photos et j’ai montré au Grand Maître Taam Pui Chyun des photos et des films de ses frères Weng Chun, Grand Maitre Pak Cheung et Grand-Maître Tang Yick. J'étais très ému et il me raconta beaucoup d'histoires personnelle et des anecdotes de ses frères, de son Sifu Tang Suen et de son Sigong Fung Siu Ching. Je me posais tant de questions sur le fond qu'enfin je pourrais les poser à quelqu'un qui avait appris personnellement avec le Grand Maître Tang Shui et qui connaissait à personnellement l’histoire de Fung Siu Ching. A peine, si j’osa lui demander de filmer, mais il se

Weng Chun réjouit et insista pour filmer toutes les formes et les exercices qu’il m’apprit aussi.

Puis j'ai invité tout le monde à manger dans un restaurant voisin, et le Grand maître Taam Pui Chyun a raconté sans cesse des histoires de Weng Chun, enrichies par des démonstrations pratiques. Toujours dans le restaurant nous avons revu les Wing Chun Kuen et les Siong Kung et j’ai reçu des conseils précieux pour la réalisation et l'application de ces formes. Jusqu’alors je ne savais pas, par exemple, que les Siong Kung appartiennent à une série de formes propres.

Il était également très instructif d'apprendre les exercices de Weng Chun Qigong de cette ligne. Le Grand-Maître Tang Suen a légué son mannequin de bois et son bâton long de Weng Chun à son élève Taam Pui Chyun et le Grand Maître Leung Wai Choi continue à en profiter d’eux. J’éprouva un sentiment spécial et un immense honneur de pouvoir pratiquer avec ces outils historiques. Ils m'ont également montré un livre écrit à la main avec les formes et les exercices du Grand Maître Fing Siu Ching et du Grand-Maître Tang Suen – Quel trésor ! Le temps s'envolait,

comme vous pouvez l'imaginer. Je démontrai également le Weng Chun que j’avais appris à Hong Kong du Grand Maître Wai Yan et Gan et à Foshan du Grand Maitre Pak Cheung. J'ai raconté au Grand Maitre comment on enseignait le Weng Chung de nos jours partout dans le monde et que les gens d’occident étaient également passionnés et qu’ils voulaient l’apprendre en profondeur. Cela les ému.

Je suis très reconnaissant envers le Grand Maître Taam Pui Chyun et le Grand maître Leung Wai Choi pour m’avoir reçu de cette façon, pour m'avoir enseigné leur Weng Chung, pour m’avoir permis filmer et pour avoir répondu à toutes mes questions. Malheureusement, le Grana Maitre Taam Pui Chyun est mort en 2014 et avec lui l’ancienne génération de Weng Chun. Taam Pui Chyun fut le dernier Grand Maitre de cette génération en Chine, ainsi que le Grand Maître Wai Yan fut le dernier Grand Maitre de celle de Hong Kong. J'eu l'incroyable chance de le rencontrer et d’entrainer le Weng Chun de Hong Kong et celui de Chine et je vais poursuivre le projet de mon Maitre Wai Yan de Dai Duk Lan de préserver et transmettre le Weng Chun avec toute sa richesse au monde entier. Grace à l’étude des différentes lignes du Weng Chung avec les derniers Grands Maîtres, ainsi qu’en apprenant et en entrainant quotidiennement j'ai reconnu le fil conducteur qui unit tous les chemins du Weng Chun au fil du temps. C'est ce fil conducteur qui passe des Maitres aux élèves dans notre Association Internationale de Weng Chun à Bamberg.

En exclusive le DVD du Maître Marco Morabito sur l'autodéfense à mains nues, et la présentation du système Krav Maga Israeli Survial System. Les techniques et la méthode qui forment le système, sont illustrées secrets, d'une manière claire, transparente et facilement compréhensible. Une occasion unique de se rapprocher du cœur de la défense israélienne et d'améliorer vos connaissances sur le sujet.

Morabito développe une recherche continue, sans arrêt, dans la poursuite à acquérir de nouvelles connaissances et de ne jamais arrêter de poser des questions. Krav Maga Israeli Survial System n est pas une discipline ou un ensemble de règles rigides, mais une méthode, un processus d'évolution continu et constant. Cela le rend adaptable à toute situation et circonstance, perméable aux changements, et lui offre la possibilité de faire le point sur les erreurs et de prendre son expérience comme une opportunité pour améliorer.

REF.: • KMISS-1

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WT Universe

WT Universe Le WTU Wing Tsun Le Wing Tsun Asiatique + L’Association Européenne En raison des principes du WTU WTU Wing Tsun est le premier cercle (Cercle Esotérique) du WTU. Les thèmes du WTU sont : LUTTE, ASSOCIATION, SANTE, EXERCICE, FORCES. Dans chacun de ces thèmes sont développés grâce aux trois principes potentiels du Wing Tsun de la nature humaine. Les thèmes n'ont pas de divisions, mais chaque leçon comprend des aspects de plusieurs de ces thèmes.

Les thèmes développés sont approfondis dans des stages ou des cours de niveau spécial.

Les forces du WTU c’est le nom de notre programme pour les forces de sécurité. Une sélection des options spéciales pour ce thème qui sont enseignées exclusivement dans des cours ou des stages sur demande.

Vous avez les suivantes options : • Stages de 2 jours ou • Cours avec 10 personnes.

Nous ne vendons pas de techniques - nous développons des habilités !

Le DVD «Krav Maga Recherche et Développement» est né de la volonté de 4 spécialistes du Krav Maga et des sports de combats, Christian Wilmouth et Faustino Her nandez, Dan Zahdour et Jérôme Lidoyne. Ces derniers sont à ce jour à la tête de plusieurs clubs et d’un groupe d’une vingtaine d’instructeurs et moniteurs multi-disciplines allant du Krav Maga au MMA. Ce DVD n’a pas pour but de mettre en avant, ni une nouvelle méthode ni un courant spécifique de Krav Maga. Il s’agit juste là, de présenter un programme de Krav Maga axé sur l’importance du «contenu» et le partage de nos expériences.

REF.: • KMRED1

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Jeet Kune Do LA FORMATION EN JKD Même si vous arrivez seulement à avoir une nouvelle perspective sur la for mation, vous aur ez acquis un élément critique de mon enseignement.

Ne vous méprenez pas, si vous n’entrainez pas vous n’obtiendrez aucun résultat et si vous n'aimez pas vous entraîner il est probable que vous ne le fassiez pas. Peu d’entre vous doivent utiliser ces compétences régulièrement. Donc il est logique de dire qu'il est difficile de trouver la motivation pour s’entrainer, mais il faut le faire, n'importe comment, malgré tout, vous devez vous former, la responsabilité de votre progression et de vos capacités se trouvent seulement en vous.

Si vous n'évoluez pas, ou si vous vous sentez impuissants devant un combat réel, la responsabilité est uniquement vôtre ; Je vous recommande que vous assumiez vos responsabilités.

i vous voyez que votre formation présente des lacunes, essayez de les remplir, personne ne le fera pour vous.

Le concept le plus important de la formation est la progression.

La formation doit suivre une progression logique et cohérente, sans perdre de vue le but ultime. Vous avez un jab, exécutez-le dans sa progression : d’abord vous devez entrainer pour apprendre la technique, entrainez la dans le vide ou devant un miroir pour pouvoir la corriger, puis passez à l’exercer avec le sac ; le sac développe la puissance et apprend au corps comment s'aligner après un coup.

Du sac passez à l’entrainement avec des mitaines ou des gants de coordination, est maintenant il s’agit d’une cible mobile à détecter et à laquelle vous devez vous adapter en permanence.

Après ces exercices individuels pratiquez avec un partenaire ; commencez par un exercice d’échange avec peu ou aucun contact, augmentez graduellement le contact, mais en maintenant les paramètres clairement définis.

Puis commencez à faire un peu de sparring pour confronter vos outils avec des instruments spécifiques ; Commencez par jab contre jab ; puis passez à jab contre jab et direct ; jab et jab contre jab-direct-crochet ; jab contre tous les coups de poing ; jab contre tous les coups de pied ; jab contre les coups de poing et coups de pied, etc., la liste est interminable.

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Sifu Alessandro Colonnese

Sifu Alessandro Colonnese Courrier : sifucolonnese@hotmail.it Page Facebook : https://www.facebook.com/JFJKDA

Jeet Kune Do

Sifu Alessandro Colonnese La clé consiste à passer progressivement au libre combat ; en faisant cela on réduit au maximum les traumatismes et cela nous empêche d’acquérir de mauvaises habitudes.

Un autre point essentiel est de savoir toujours ce que vous essayez de développer en faisant un exercice en particulier ; ce sont les temps, la résistance à la douleur ou la sensibilité ?

Si vous ne le savez pas vous ne profiterez pas pleinement de ces exercices, n'oubliez pas que la formation, même si elle très réaliste, ne sera jamais un combat, jamais !

Donc n’essayez pas de convertir votre entrainement en un combat réel, vous devez l’analyser complètement en termes de distance : Distance de coups de pied Distance de coups de poing Distance de saisies Distance de lutte

Cependant les systèmes qui mettent l'accent sur plus d'une ou deux distances sont peu ; dans certains cas, ils en contiennent trois, comme le MuayThai, mais ce sont des exceptions de la règle. Au JKD nous entrainons à différentes distances de combat, c'est très important parce que c'est justement dans ce processus où nous apprenons les bonnes distances de combat.

Quelle que soit notre l’habilité à une certaine distance, si l'adversaire nous emmène à une distance où nous ne pouvons pas bouger , notre habilité nous ne servira à rien ; Nous pouvons être capables de tirer un coup de feu sur la patte d’une mouche à un kilomètre de distance avec notre M16, mais si l'ennemi nous attaque depuis plusieurs miles de distance avec de l'artillerie lourde, je pense que les conséquences sont évidentes ; C’est-à-dire, avoir le bon outil, au bon moment et pour un objectif concret, c'est le réquisit pour s’assurer le succès dans une grande bataille.

FATIGUE

La fatigue est un autre facteur déterminant, analysé par la psychologie de confrontation. Lorsque vous vous sentez très fatigué, même la plus simple action semble être très difficile à réaliser. Pendant le combat, la fatigue se produit très rapidement, un facteur qui devient difficile à gérer. Tout le monde sait que nous atteignons les plus hauts niveaux de fatigue qu'un organisme peut tolérer par la privation de sommeil, cela produit de effets nocifs non seulement physiquement, mais aussi des hallucinations et des troubles d'ordre mental. S’entrainer pour résister et pouvoir être opérationnel en cas de fatigue profonde et prolongée est l'un des objectifs des écoles militaires et des arts martiaux, s'efforcent d'atteindre. L’entrainement dans certaines Forces Spéciales privent leurs élèves de sommeil grâce à des alarmes fréquentes pendant la nuit, réduisant ainsi le temps de repos de leurs élèves, trois heures par nuit. Les écoles d'Arts Martiaux font généralement des stages intensifs pendant plusieurs jours, au cours desquels on accroit considérablement le niveau de fatigue physique avec laquelle on doit combattre. Une très

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Jeet Kune Do grande fatigue peut rompre les barrières défensives psychologiques et déclencher des réactions émotives inattendues. Le but de ce type d’entrainement est de former les élèves pour maintenir l'harmonie fonctionnelle de leur corps et de leur esprit, en affrontant avec rigueur et jusqu'à la fin le processus complet de la formation. Ce n’est qu’à la fin de la formation que vous comprendrez l'importance d'avoir appris à ne pas sombrer et à ne pas vous détruire contre les propres limites, mais au contraire à vous fixer un but et à le poursuivre en utilisant pleinement vos ressources mentales et physiques.

Seulement alors les élèves pourront faire face jusqu’à la fin à toutes les difficultés d'une confrontation sanglante.

Mon propos est de vous faire voir et de vous transmettre le vrai concept de fatigue dans un contexte de combat réel, où l'aspect psychologique dans la confrontation joue un rôle important. S’entrainer sans tenir en compte le

Sifu Alessandro Colonnese développement des capacités mentales, grâce à la motivation, la volonté et la programmation des objectifs est une grave erreur. Les Arts de la Guerre ont besoin d'abord et avant tout d’une fonction éducative du corps et de l'esprit grâce à une formation basée sur la psychologie de la confrontation, qui aide à déchiffrer et à comprendre les blocages mentaux que nous portons en nous, dès le début, mais que personne ne nous a jamais expliqué quelle est la vraie nature de l'être humain. Le conseil que je peux vous donner est que vous essayez de trouver un bon professeur de technique qui puisse suivre étape par étape votre progression en vous donnant l’informations correcte sur les principes qui régissent toute discipline martiale.

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Jeet Kune Do 1- Défense et coup de coude vertical. 2- Défense et coup de coude horizontal. 3 - Exercice de sensibilité du Kali main vide – nouer et dénouer. 4 - Exercice de sensibilité du Kali main vide – nouer et dénouer.

1 - Exercice de sensibilité tactile de CHI SAO. 2 - Exercice de verrouillage d’aile active. 3- Contrôle du bras et du poing sur le dos de la main. 4- Blocage et attaque de poing vertical simultanées. 5 - Défense et attaque de poing vertical simultanées. 6- Défense et coup

Exercice de sensibilité

Sifu Alessandro Colonnese LA DISTANCE DE SAISIE

C'est la situation de combat avant de finir au sol et elle est également connue sous le nom de courte distance ou distance du clinch ; Elle est généralement utilisée par tous les spécialistes en systèmes de combat de saisies (Grapplers) qui réduisent la distance pour entrer en étroit contact avec l'adversaire et l'emmener au sol pour le vaincre.

C'est la plus combative de toutes, et notre objectif est donc de l'atteindre afin de pouvoir appliquer des techniques plus efficaces de saisie extrapolées du Wing Chun et du Chinna.

Il existe trois façons de blesser l'opposant à cette distance et toutes les trois sont extrêmement efficaces, chaque technique a le potentiel nécessaire pour mettre fin immédiatement au combat avec un KO La stratégie consiste à frapper directement l'adversaire avec une arme naturelle, car notre corps a beaucoup d'instruments de guerre, tous utilisables (accessibles), et à cette distance nous pouvons exercer une quantité étonnante de pression sur notre adversaire.

La tactique nécessaire consiste à capturer l'ennemi et essayer de lui disloquer une articulation ou de le frapper avec les coudes, avec la tête ou avec les genoux.

La plupart des gens ne peuvent pas lutter avec une articulation disloquée, surtout celle du coude.

Une des stratégies plus importantes dans le combat réel consiste à utiliser l'environnement en notre faveur pour neutraliser l'adversaire grâce à des actions répétées en utilisant le sol et d’autres stratégies qui peuvent être très utiles. Je ne connais personne qui est capable d'encaisser un coup de tête contre un plancher en béton, ou quelque chose comme ça. Tout peut être utilisé pour sortir victorieux d’un combat contre un agresseur ; Si vous savez comment faire pour être efficace dans n'importe quel environnement, vous serez dans une meilleure position de dicter les conditions du combat. À cette distance nous recourrons à des techniques utilisées par quatre systèmes ou méthodes de combat connues : Boxe thaïlandaise, Grappling, Wing Chun et Kali.

Distance de saisie :

1 Pak sao / lop sao 2. Pak sao / pak sao 3. Straight blast 4 Coup de tête, coup de genou, coup de coude

tranchant à la gorge. 7- Défense et attaque avec les doigts dans les yeux.

1.- Contrôle des bras dans la défense. 2.- Deuxième contrôle des bras.

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Jeet Kune Do

Exercice de Poings Enchainés

1.- Position de départ. 2.- Contrôle du bras et du poing vertical. 3.- Double du bras et du poing vertical.

« Le JKD surgit essentiellement de la philosophie taoïste, bien qu'il fut très influencé par le positivisme scientifique occidental. »

Sifu Alessandro Colonnese BRUCE LEE, ARTISTE MARTIAL ET PHILOSOPHE

Parler de Jeet Kune Do est une tâche difficile. Une chose est certaine il n’a jamais existé aucun art martial ou système de combat qui ait causé tant de controverses et d’altération dans la communauté martiale. Cela fit couler beaucoup d’encre, et bien que plus de quarante ans se soient écroulés après la mort de son créateur, il reste le système de combat qui a intéressé et qui intéresse à des milliers de personnes. Peu de gens savent que Bruce Lee, après avoir créé un art complet de combat, presque parfait techniquement, innovateur, fil du temps il dota son style- non style de principes et de concepts philosophiques liés à la tradition de l'ancien art du Kung Fu. Il se basa sur de nombreux courants philosophiques, comme le Confucianisme, le Bouddhisme le Chan ou le Taoïsme. C'est précisément ce dernier qui a inspiré le cadre philosophique du Jeet Kune Do, qui repose sur l'individualisme, la poursuite de l’auto libération, l'anti autoritarisme, des valeurs qui, avec la plus grande honnêteté il a essayé d'introduire dans les Arts Martiaux à travers de son projet appelé Jeet Kune Do. Et pour cela il fut très critique avec les traditionalistes, en dénonçant la hiérarchisation de leurs écoles, la rigidité et leur uniformité.

Ainsi le JKD reposa essentiellement sur la philosophie taoïste, bien qu'il fut très influencé par le positivisme scientifique occidental (ce qui se traduit par la conception scientifique de l’entrainement) et sur la praticité nord-américaine fondée sur la recherche de l'efficacité et de l’économie du mouvement. Une maxime qui caractérise et identifie la philosophie taoïste du JKD est : « Utiliser la Non Forme comme Forme, avoir la Non Limitation comme Limitation ». C'est une déclaration typique taoïste qui joue avec les contradictions, les opposés, Le Yin et le Yang et les paradoxes, qui enferment tout dans un monde de sagesse. Sachant que les purs taoïstes étaient essentiellement individualistes et libéraux, ce qui se transparente dans la première partie de la maxime de Bruce Lee, car quand il parle de Non Forme il se réfère au fait de n'avoir aucune relation avec aucune institution ou système fixe, codifié et par conséquent avec aucun style ou système de combat, puisque la

libération et l’épanouissement personnel sont déterminés uniquement par la personne, car chaque personne est différente et unique. Alors que dans la seconde partie de sa maxime Bruce postule qu'il n'y a pas besoin d'être limités par les traditions, les préjugés, les rituels, les dogmes et tout ce qui puisse provoquer la cristallisation d'un système.

Beaucoup ne connaissent pas au Bruce Lee philosophe, mais c'est précisément cet aspect qui a fait du JKD un système vraiment spécial. Ma rencontre avec Patrick Strong (élève de première génération de Bruce Lee, connu comme « The Lord of Speed » - Le Seigneur de Vitesse), me permit d’améliorer mes compétences techniques et ce fut très utile pour moi, car il me fit connaître en profondeur l'aspect philosophique du Jeet Kune Do, jusqu’alors inconnu pour moi, en me montrant le travail si profond que Bruce Lee avait fait au niveau interne ; ce n’est pas par hasard, qu’il ait appris de son père Tai Chi (boxe du faîte suprême) qui l'initia dans l'étude de textes alchimiques classiques, jusqu'à ce qu’il arrive à une compréhension profonde du fonctionnement du corps humain en termes d'énergie (union du corps et de l'esprit). Tant que l’une de ses maximes philosophiques, plus frappante, est la référence constante qu’il faisait à l'élément eau. « Sois eau, mon ami » - " j’aime l’eau » il avait l’habitude de dire ça, pour mettre en évidence l'élément eau qui représente en réalité les fondements et la nature du Kung-Fu traditionnel, duquel Bruce Lee extrayait une grande partie de ses connaissances martiales philosophique. Des concepts et des principes tels que naufrager, flotter, plonger et refaire surface comme l'écoulement d'une rivière jusqu’à la mer, combattre sans combattre, travailler intentionnellement sans intention, l'esprit non -esprit, le principe du vide Wu Wuei, vider la tasse, etc...

Comme vous pouvez le voir, sa propension à la philosophie orientale fut un élément important dans la construction de son éclectique système de combat et peu de gens ont eu accès à cette information. J'ai eu la chance et le plaisir de rencontrer, étudier et approfondir ces connaissances avec Patrick Strong, qui apprit directement de Bruce cet aspect, qui est le moins connu dans le monde du JKD, mais à mon avis le plus important.

Le JKD, mes amis, n'est rien d'autre qu'un regroupement d’éléments et de principes extrapolées principalement du Kung Fu et particulièrement le style du Wing Chun de Yip Man. Certains éléments proviennent également de différentes

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Jeet Kune Do disciplines, comme le Taiji, le Tang Lang, l'Escrime Occidentale, etc... Il y a une maxime du Tao Te Ching, l'Évangile du Taoïsme, qu’il avait l’habitude de réciter : « Quand l’homme est vivant, il est flexible et souple ; Quand il est mort il est inflexible et rigide. Aussi toutes les créatures, l'herbe et les arbres, vivants sont malléables et flexibles mais morts, ils sont secs et s'effritent. La rigueur inflexible est la compagne de la mort et la douceur flexible est la compagne de la vie. Les soldats inflexibles n'obtiennent pas la victoire ; l'arbre plus rigide est plus prêt de la hache. Les hommes forts et puissants tombent de leurs sièges ; et les hommes humbles et dociles s’élèvent par -dessus de chacun d'eux. » La façon de bouger et de manier son corps en Kung Fu est étroitement liée au mouvement de l'esprit, « Esprit qui bouge, corps qui pense », c’est le sens profond du processus interne utilisé en Jeet Kune Do. La référence du Yin et du Yang, principes universels taoïstes que Bruce Lee extrapola du Taiji et qu’il étudia de manière approfondie avec son père, l'accompagnèrent tout au long de sa vie, en lui donnant la puissance adéquate pour faire face au parcours de sa courte mais difficile et tortueuse vie. Le symbole yang (représenté par le blanc) c’est le positif, le jour, le ciel, le soleil, la lumière, la chaleur, etc., tandis que le symbole yin c’est la négativité, la nuit, l’obscurité, le froid, et ainsi de suite. Bruce Lee avait parfaitement compris comment réguler et maintenir son corps en équilibre par ces lois universelles et pouvoir les utiliser à bon escient. Et à nouveau resurgit l'élément eau, qui pour le développement de JKD de Bruce Lee fut décisif, l'eau, mes amis, est le phénomène naturel qui s’approche le plus au Wu Wei : Rien n'est plus faible que l'eau, mais quand elle choque contre quelque chose de dur qui oppose résistance, alors rien ne peut la détenir et rien ne peut changer son cours. Ces versets nous expliquent la nature de l'eau, qui même étant si légère, vous ne pouvez pas attraper, si vous la coupez-vous ne la blessez pas, si vous la frappez que vous ne pouvez pas lui faire de mal, si vous la séparez elle ne se fractionnera jamais ; elle n’a pas de forme propre ni spécifique, mais il s’adapte à tous les moules ; elle se manifeste puissante et féroce comme les chutes du Niagara pour après gésir paisiblement dans un étang. Je pense que l'élément dominant de l'univers est, sans doute, l'eau. « Devant une attaque, défendez- vous, contrôlez et attaquez à l'unisson, en transformant votre corps en un tsunami imparable. »

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Le maître de Shaolin Shi Yanti est moine de la 34º génération du Temple de Shaolin de Songshan et disciple direct du vénérable abbé Shi Yong Xin. Dans ce premier travail pour Budo Inter national, il présente Luohan Shibashou, une des plus anciennes et représentatives formes fondamentales de main vide du Temple Shaolin.

Selon le livre "Shaolin Quan Pu', de la dynastie Sui, les moines guerriers de Shaolin ont développé une série de mouvements simples élus conformément au "18 statues de Luohan", d'où le nom de Luohan Shi Ba Shou (les18 mains de Luohan). Ce style Taolu est distinctif et dans ses mouvements continus, nous apprécions clairement des combinaisons de mouvements réels et l'irréels, de défense et de contre-attaque et une grande variété de mouvements cachés.

Les principales techniques de main dans le Taolu sont celles de la paume de la main, et son apprentissage nécessite une bonne agilité et coordination, ainsi que la maitrise des positions Xubu, Dingbu, Gongbu et Mabu ainsi que de ses caractéristiques.

REF.: • DVD/YANTI-1

Tous les DVDs produits par Budo International sont scellés au moyen d’une étiquette holographique distinctive et sont réalisés sur support DVD-5, format MPEG-2 (jamais VCD, DICX ou similaires). De même, l’impression des jaquettes ainsi que les sérigraphies suivent les plus strictes exigences de qualité. Si ce DVD ne remplit pas ces critères et/ou si la jaquette ou la sérigraphie ne coïncide pas avec celle que nous vous montrons ici, il s’agit d’une copie pirate.

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La Colonne Keysi « L’expérience n'est pas ce qui nous arrive, l'expérience est ce que nous faisons avec ce qui nous arrive » B.I. : C’EST QUOI LE KEYSI, POUR VOUS ?

Je m’appelle Juanjo et je suis instructeur de Keysi à Madrid. Si vous espérez que je vais vous parler d’une méthode d'auto-défense et d’une foule de techniques destinées à la légitime défense, ce ne serait que gratter la surface de ce qu’est le Keysi pour moi.

J'ai commencé à pratiquer les arts martiaux à l’âge de cinq ans, aujourd'hui j'ai 31 ans et je ne cesse d'apprendre de nouvelles choses chaque jour. Si vous voulez que je vous définisse ce qu’est le Keysi, je pourrai vous le définir comme « Famille », je suppose que vous serez maintenant quelque peu perplexe et pensif.

B.I. : COMMENT PEUT ON DEFINIR LÉGITIME DÉFENSE COMME « FAMILLE » ?

Quand j'ai commencé à l'âge de cinq à me former en Arts Martiaux, le maitre était pratiquement inaccessible, vous ne pouviez pas parler avec lui parce qu'il était supérieur à vous en grade et en catégorie, du fait même mon professeur devait demander la permission pour pouvoir parler au « maitre ».

J'adore la philosophie dans les Arts Martiaux, mais à mon humble avis la majorité des règles et des hiérarchies, sont des systèmes conçus pour un tatami et pour un championnat.

B.I. : EN QUOI RESSEMBLE LE KEYSI À UN ART MARTIAL ?

Absolument en rien, parce que nous n'avons pas de règles, puisque le scénario est la vie réelle, où un adversaire peut-être plus d'un et où il n’y aura pas un arbitre qui va nous dire que quelque chose est légale ou illégale.

Nous n’entrainons pas de façon linéaire, contre un seul adversaire, nous le faisons contre plusieurs en même temps, nous n'avons pas un filtre d’âge, de poids ou de taille. Nous ne disposons pas de coups illégaux, nous n’avons pas de techniques interdites.

B.I. : POURQUOI ?

Parce que si un délinquant nous sort une arme à feu, nous ne pouvons pas raisonner avec lui et lui dire tout simplement ne me tire pas dessus, s'il te plaît, finalement se sera la décision du délinquant ou pas.

Mais la décision de lutter pour votre vie est seulement la vôtre. Si vous ne vous avez pas encore convaincu, pensez à ceci, « si vous rencontrez un tigre, dites au tigre de ne pas vous manger tout simplement parce que vous êtes végétarien ».

Ne pas disposer de normes ne signifie pas que nous pouvons faire ce que nous voulons, on nous inculque autant de valeurs que de normes que nous ignorons.

Un jour j'ai demandé à Justo Diéguez : pour quoi tu luttes ? Et il m’a répondu : pour ne pas me battre !

Peut-être c’est une contradiction, mais elle n’est pas dépourvue de sens.

Parce qu'elle a tout le sens du monde et comme je viens de vous révéler je la lui ai posée directement à lui. Vous

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La Colonne Keysi

n’avez pas besoin d'un sauf-conduit, d’un permis spécial ou de procédures bureaucratiques, vous pouvez vous approcher à lui et lui demander tout ce que vous voulez savoir.

Tout au long de ma vie j'ai appris la Boxe, le Kick Boxing, le Kung Fu, le Jeet Kune Do, le Full Contact. J'ai toujours cherché à en savoir plus, à me développer et à élargir mon esprit, même si j'ai toujours trouvé des barrières. Les barrières sont des limitations, une limitation peut être une règle ou un certain nombre de techniques.

B.I. : QUE SE PASSE-T-IL QUAND VOUS APPRENEZ TOUTES LES TECHNIQUES D'UN SYSTÈME ?

Habituellement après tout avoir appris, il nous reste plus qu’à pratiquer maintes et maintes fois pour que ce soit quelque chose de naturel en nous, mais j'ai toujours voulu en savoir plus, et avec le Keysi je n'ai pas besoin de changer de méthode.

B.I. : POURQUOI ?

Tout simplement parce qu'il ne finit jamais, elle est inachevée et cela signifie simplement que je ne cesserai jamais d'apprendre, je serai toujours un disciple et je serai toujours invité à innover, à demander, à exprimer mes doutes ou à créer mes propres défis.

B.I. : OÙ SE TROUVE CETTE FAMILLE ?

Ma réponse sera écrasante. Nous ne combattons pas, mais nous faisons des stages de Keysi où nous formons des instructeurs provenant du monde entier, nous n'utilisons pas de ceintures de couleurs bien que nous ayons aussi des graduations.

Lors d'un stage, votre partenaire peut être un « Master instructeur » ou un « Dima I », mais tous deux nous réalisons les mêmes tâches, les mêmes heures et tout ce que je ne sais pas il me l’enseignera et tout ce qu’il ne sait pas je le lui

La Colonne Keysi enseignerai. Nous sommes égaux « tous », si je tombe par terre, il m'aidera à me relever, et s'il tombe, il me lui manquera de mains tenues pour l'aider à se relever.

Lorsque nous avons terminé d’entrainer, il se peut que 8 heures se soient écoulées, et mes partenaires ont été un « belge », un « Norvégien », un « Allemand », un « Italien »et un « Portugais ». La langue, l’âge, la condition physique et la taille n’a aucune importance. C’est indifférent, seulement on nous demande d’entrainer et d’y prendre plaisir.

Lorsque nous avons terminé la formation nous ne dispersons pas, nous allons dîner, nous faisons du tourisme, nous visitons une plage, un port, un monument, nous allons promener au parc, nous prenons ta voiture ? la mienne ? Ça pas d’importance, en fait l'année dernière j'ai fini par visiter la plage avec une tchèque, un norvégien, un nicaraguayen et un espagnol et bien que ça ressemble au début d'une blague typiquement espagnole, ce fut l'un des moments plus amusant de me vie.

B.I. : Comment est la figure de votre grand maître ?

Et bien en étant honnête avec vous et avec moi-même, je n'ai pas un seul maitre, j'ai eu la chance de me développer au Keysi en entrainant six mois en Murcie, où mes maitres furent « Fernando Gómez » et le renommé « Justo Dieguez ». Six mois où nous entraînions jour et nuit, où j'ai connu leurs respectives familles, où je me suis senti à la maison en étant loin d’elle. Accueilli et protégé où j'étais moi-même et non pas un de plus, parce que pour eux je suis Juanjo et mes collègues sont chacun nommés par leur prénom et non pas par un numéro d’affiliation.

Peut-être que maintenant vous comprenez un peu mieux pourquoi Keysi est pour moi «Famille », mais si vous demandez à un autre instructeur il vous dira la même chose.

Le Keysi m’a ouvert l’esprit de façon inimaginable, et je ne peux qu’être reconnaissant envers tout le monde.

N’abandonne jamais!

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La Colonne Keysi

Jeet Kune Do

Renier son passé Si on ne sait pas d'où on vient, on ne saura jamais où l'on va.

Dans le monde des arts martiaux il semble honteux de citer notre parcours complet.

On assiste souvent à des périodes très obscures dans certains parcours « d'experts » et de pratiquants. Certains préfèrent même masquer une par tie, voir e tout leur cursus, en omettant de préciser le nom de leurs professeurs ou même en prétendant s'être un jour réveillé avec les connaissances qu'ils ont acquises au cours de nombreuses années de pratique.

Jeet Kune Do Cela semble fou de vouloir supprimer sciemment une partie ou notre passé entier car si nous sommes devenus ce que nous sommes actuellement cela vient justement de ce chemin que nous avons parcouru.

Un jour, un ancien élève qui était venu s'entrainer dans mon club, a prétendu lorsque je l'ai retrouvé sur internet , ne pas me connaître et tenir son savoir de Dieu car il avait eu la révélation divine.

Vous comprendrez pourquoi plus rien ne me surprend à présent.

Par ailleurs, il est impossible d'effacer ou de changer notre passé, alors autant l'accepter et s'en servir à bon escient.

Avec nos échecs et nos succès, nous nous sommes construis et nous avons appris à nous connaître et à devenir la personne que l'on est.

Si une partie de ce parcours n'avait pas existé, nous ne serions peut être pas arrivés au bout de notre maturation.

En effet, chaque épreuve forge notre sensibilité martiale et nous permet d'évoluer, de créer notre expression et de laisser notre empreinte dans les arts martiaux .

Comment pouvons nous prétendre être un bon pratiquant si on n'a jamais connu l'échec ou sans jamais avoir commis d'erreur lors de notre formation ?

Comment pouvons nous laisser croire aux gens qui nous font confiance que nous sommes devenus des gens respectés dans le monde des arts martiaux sans

jamais avoir douté, appris d'un ou plusieurs professeurs ?

Même si parfois nos routes ont croisé certains professeurs, maîtres…et que nous avons quitté ceux-ci par manque de confiance ou pour toutes autres raisons, comment peut on imaginer que sans ces expériences notre « maturation « martiale serait achevée ?

Même si on a eu des désaccords avec des professeurs, ils nous ont permis d'évoluer dans les arts martiaux et on leur doit donc le respect et la gratitude pour ce qu'ils nous ont apporté.

Ce n'est pas parce qu'un professeur ne nous convient pas, qu'il est mauvais, qu'il faut le salir, l'oublier ou le renier afin de prétendre avoir eu un parcours martial sans faille.

Ceci traduit souvent un narcissisme exubérant de certains, qui veulent s'inventer une vie martiale où ils se sont construis seul ou sont sortis de la cuisse de Jupiter sans que personne ne soit à l'origine de leur formation.

D'autres arrangent leur parcours, en oubliant des dizaines d'années et prétendant avoir un talent inouï car ils ont commencé il y a 2 ans par exemple et en omettant de préciser qu'ils ont passé de nombreuses années à construire leurs bases avec un autre ou des autres professeurs.

Pourquoi agir de la sorte ?

Sont ils meilleurs en oubliant ceux qui les ont aidé ?

Jeet Kune Do

En toute franchise je pense que cela ne reflète qu'un manque flagrant de reconnaissance envers les « acteurs de leur succès » mais cela ne leur apportera rien de plus que des regrets le jour où ils se rendront compte qu'ils ont trahi, sali…des gens qui ont tout fait pour les aider à être des gens meilleurs grâce aux arts martiaux et ainsi à atteindre leurs rêves.

Ces professeurs ressentent énormément de douleur et tristesse face à ces anciens élèves qui les ont oubliés, trahis, salis…car ils les appréciaient et ne comprennent pas pourquoi on peut faire cela à ceux qui leur ont tout donné.

Malheureusement, beaucoup d'élèves veulent être de grands maîtres et être reconnus et médiatisés et ce même s'ils doivent trahir, ou marcher sur ceux qui les ont amené à leur niveau.

Or de telles attitudes ne sont pas dignes d'un maître ; le maître donne l'exemple et fait preuve d'humilité et d'abnégation de soi.

Le maître ne veut pas briller mais juste être une personne meilleure grâce à leurs arts et surtout aider les autres à apprendre à se connaître et à devenir meilleur.

Donc en agissant ainsi, ces gens qui renient leur passé, ne vont briller que face aux néophytes et aux gens qui ne connaissent pas la voie martiale.

Mais si un jour des gens grattent le ver ni de leur « carapace » ils mettront à jour la véritable nature de ces pseudo-maîtres qui, pour arriver à leur niveau, n'ont

su qu'utiliser et jeter ceux qui leur ont tendu la main pour les faire évoluer.

On ne peut pas changer les gens ; eux seuls peuvent décider de changer et ainsi prendre conscience de leurs erreurs et leurs attitudes.

Le professeur n'est là que pour guider mais seul l'élève peut agir et utiliser ou non les outils qu'on lui donne.

Malheureusement, peu arrivent à se retourner et reconnaître ce qu'ils ont fait ; par fierté ils préfèrent nier et même souvent incriminer et salir la ou les personnes qui ont tout fait pour eux.

Quand certains seraient tentés par un méa culpa, l'argent va fausser la donne car en reconnaissant d'où ils viennent, ils ne sont plus les leaders ou les représentants de tel ou tel système et redeviennent ainsi de simples élèves.

Ceci est impossible pour beaucoup d'entre eux car l'argent est plus fort que l'honneur, le respect, l'honnêteté… toutes ces valeurs qui sont censées nous être inculquées par les arts martiaux.

L'argent, le désir de reconnaissance, le désir de médiatisation, l'envie de gloire font que, les gens se moquent des valeurs qui nous sont transmises à travers les arts martiaux et sports de combat, seuls comptent l'auto satisfaction et leur propre réussite.

N'oublions jamais que sans les autres, nous ne sommes rien et c'est seulement en s'entraidant et en partageant que nous pouvons réussir à atteindre nos objectifs.

Alors aidons nous et respectons nous, et surtout ne renions jamais notre passé.

Sans nos cicatrices du passé, nous n'existerions pas et ne serions pas ce que nous sommes devenus.

Rendez hommage à ceux qui vous ont aidé en faisant abstraction de votre égo.

Jeet Kune do

Hwa Rang Do

HWA RANG DO ® : QUAND VOUS LE FEREZ, FAITES-LE À 100 % (MISSION DE L'ÉNONCÉ DE LA MISSION DE L'ASSOCIATION MONDIALE DU HWA RANG DO ®) : Un héritage de loyauté, de Recherche inlassable de la vérité, de Renforcement de la vie, au Service à l'Humanité.

uand vous pratiquez Hwa Rang Do ® l'un des concepts plus importants est : « quand on fait quelque chose, il faut la faire à 100 % ! » Ou « nous entraînons pour maximiser le potentiel humain ! ». C'est un mode de vie, un style de vie qui est obtenu à partir du dojang (salle de sport) et rapidement utilisé dans la vie quotidienne.

Le même principe peut être appliqué dans les applications d'autodéfense réelles, mais il est important de comprendre les conséquences de cette idée. Si vous vous battez contre quelqu'un dans la rue, sans règles, juste pour survivre, et qu’il finit blessé c’est terrible. Mais si vous vous battez dans cette situation et que vous le blessez ce n’est pas mieux qu'avant Tout donner, à 100 %, se défendre c'est bon, mais vous devez contrôler les actions et leurs possibles résultats. Il va sans dire que la meilleure option est d'éviter les conflits, dominer la situation critique avec l’esprit, avec une stratégie étudiée et optimale.

Le Grand Maître Taejoon Lee nous dit : "... une fois quelqu'un m'a demandé de me battre parce qu’il voulait voir mes compétences. C'était un homme grand et fort. Je lui ai demandé quel type d'expérience il avait en arts martiaux et il m'a dit qu'il n'était pas intéressé par ce genre de choses.

Je lui ai proposé un marché. Si j'étais capable de l’amener au sol avec une simple technique nous n'aurions pas à nous battre et si je n'étais pas capable je le laisserai me frapper sans me défendre. Évidemment, je l’ai amené au sol avec une simple et élémentaire clé, et il n'était pas capable de comprendre ce qui s’était passé. Juste après, nous sommes devenus amis, et personne n'a été blessé... ".

Rien n'est meilleur dans la vie que l'intelligence stratégique.

A propos de l'auteur : Chef instructeur de Hwa Rang Do ®, Lieutenant-Colonel de la Police militaire italienne (Carabinieri) et Ingénieur, Marco Mattiucci est le chef de la filiale italienne de l'Association Mondiale de Hwa Rang Do ® et l'un des principaux disciples du Grand Maître Taejoon Lee.

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http://www.hwarangdo.com http://www.hwarangdo.it http://www.hwarangdo.nl http://www.hwarangdo.lu http://taejoonlee.com http://cyberdojang.com

Hwa Rang Do

« ...une fois quelqu'un m'a demandé de me battre parce qu’il voulait voir mes compétences.

C'était un homme grand et fort. Je lui ai demandé quel type d'expérience il avait en arts martiaux et il m'a dit qu'il n'était pas intéressé par ce genre de choses. »

« Je lui ai proposé un marché.

Si j'étais capable de l’amener au sol avec une simple technique nous n'aurions pas à nous battre et si je n'étais pas capable je le laisserai me frapper sans me défendre. Évidemment, je l’ai amené au sol avec une simple et élémentaire clé, et il n'était pas capable de comprendre ce qui s’était passé. Juste après, nous sommes devenus amis, et personne n'a été blessée... »

Maha Guru Horacio Rodrigues est l'héritier de la lignée de Pendekar Pak Victor De Thouars de Pukulan Pencak Silat Serak, un système amené d’Indonésie vers les États-Unis par les frères De Thouars en 1960.

Cette puissante et sophistiquée science fut transmise verbalement en secret pendant de nombreuses années, s’enseignant uniquement à des étudiants sélectionnés (des artistes martiaux remarquables comme par exemple Sijo Bruce Lee et Guru Dan Inosanto). Le Pukulan, Pencak Silat Serak est un système complet, avec un p r o g r a m m e d'apprentissage comprenant 10 phases d'entraînement. Ce premier DVD de la série enseigne des positions de Lanka Tiga, les Sambuts de base 1 à 15, des techniques de finalisation, les Buangs ou un amenè au sol et les clés de saisie, Tendjekan, défense contre les attaques en masse, champ d'action, changer le jeu de jambes sans perdre de l’espace, les points de connexion Garisan, esquiver, base-angle- levier, les façons d’occuper l'espace, projeter la pression vers l'avant pour éluder ou éviter une attaque et comment maintenir la pression constante pour dominer et à la fin réussir à avoir le control.

REF.: • DVD/SERAK-1 Tous les DVDs produits par Budo International sont scellés au moyen d’une étiquette holographique distinctive et sont réalisés sur support DVD-5, format MPEG-2 (jamais VCD, DICX ou similaires). De même, l’impression des jaquettes ainsi que les sérigraphies suivent les plus strictes exigences de qualité. Si ce DVD ne remplit pas ces critères et/ou si la jaquette ou la sérigraphie ne coïncide pas avec celle que nous vous montrons ici, il s’agit d’une copie pirate.

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José Manuel Reyes Pérez, 7e Dan de Hapkido par la World Hapkido Fédération (WHF), membre du (Board) Conseil d'Administration de la FHH, Directeur International pour l'Europe de l'Ouest et Président de la Fédération Espagnole de Hapkido (FEH), présente dans son premier DVD un traité complet sur les techniques qui permettent de rendre grand ce véritable art martial traditionnel coréen, grâce á l'héritage que lui a transmis directement le Grand Maître Kwang Sik Myung 10ème Dan de Hapkido. L'Hapkido est l'Art de la Défense Personnelle Dynamique par excellence, alliant vitesse et fluidité, ainsi que la préparation physique, la technique, la respiration, la méditation et la culture de l'énergie inter ne. Un art qui comprend une grande variété de techniques avec et sans armes, elle combine les défenses et les attaques, entre lesquelles sont inclues des techniques de la jambe, du genou, du poing, du coude, des projections, des étranglements et surtout des techniques de luxation.

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Comme toutes les années tous les élèves de la KUNG FU SCHULE MARTIN SEWER, attendent avec un enthousiasme spécial un événement souligné dans le calendrier de l’école.

Précisément, annuellement le MEGA- Evènement.

Surtout parce que tant le comité d'or ganisation comme les étudiants de l'école chaque année essayent de mieux or ganiser cette « rencontre élite » a l’Hôtel Crowne Plaza.

Kung Fu

P

our la première fois dans l'histoire du MEGA- Evènement, il a commencé dans l'après-midi, avec l'invitation à de très intéressants stages. Juste à ce moment-là, à 15 heures, sont arrivés de nombreux invités, en uniforme de Kung Fu, qui attendaient avec impatience les imminents stages. Des spécialistes de différentes disciplines de notre art offrirent aux étudiants une vision de notre efficace système de combat comme les techniques de « Kam Na », ripostes de Hung Gar, à Grappling ou les techniques de « Chat Sing Lin Wan Kuen ». Pour les invités de cette soirée c’était complètement gratuit, une valeur ajoutée inestimable offerte gratuitement, et une nouveau pas vers l'Expo, qui dérive du MEGA-Evénement. Organisé soigneusement par les participants et bien signalé par l'hôtel

en ce qui concerne le chemin aux douches, vestiaires et à la garde-robe préparés pour l’occasion. Quelques heures plus tard commença l’apéritif et les retrouvailles. Peu après l'arrivée des invités, les portes s’ouvrirent et ils purent entrer dans la salle de fête. Naturellement en passant sur la passerelle de photos, où les invités importants et leurs accompagnants se sont immortalisés sur une photo. Quand, tous les invités se sont assis à leur place, il s’est produit un fait pour le plaisir de tous : le Grand Maître Martin Sewer apparut entre de vifs applaudissements sur la scène pour annoncer une grande nouveauté : le Stage MEGA, le 30 janvier 2016, dans lequel son Maître, la légende du Kung Fu Dr. Chiu Chi Ling, viendra en Suisse pour donner des cours. Tous les assistants se sont réjouis de cette bonne nouvelle et de la possibilité de s'inscrire l’après-midi même

Kung Fu pour participer au stage. Ce n’est pas tous les jours qu’on a l’occasion d’apprendre de l'autorité maximale du style et d’une telle icône. Les highlights se sont succédés les uns après les l'autre. L'extraordinaire nouvelle a été suivie par une présentation informative sur l’hôte de la soirée : la KUNG FU SCHULE MARTIN SEWER. En résumé, nous pouvons certifier surtout une chose, que l'école a travaillé et a atteint tous les objectifs qu’elle s’était proposés l’année dernière, y compris la formation d'une carrière et l'expansion des arts martiaux. Aussi présenter les ambitieux objectifs proposés pour 2016. Peu de temps après la cérémonie traditionnelle s’est ensuite avec le Grand Maître Martin Sewer, où tous les invités et les élèves l’ont félicité personnellement et ont pu lui donner leur Lai Si (argent de la chance). Surpris par certains nouveaux visages parmi le public, après la cérémonie Martin Sewer a annoncé que le montant de l'argent recueilli (quelques milliers de francs), il le doublait de sa poche et qu’il l’offrait

comme donation. Les invités parmi le public avec expérience, savaient que le Grand Maître Martin Sewer répétait ce geste CHAQUE année dans le MEGA-Evénement. Ensuite, ce fut le tour de faire la queue pour l’opulent buffet où les invités profitèrent d’un grand dîner. Après le dîner, on continua tout de suite avec les points suivants du programme.

Tout le monde sait qu’une réussite si extraordinaire comme celle de la KUNG FU SCHULE MARTIN SEWER, finalement ne dépend pas seulement des instructeurs, mais aussi des aides de formation, des aspirants, des entraîneurs et des arbitres assistants. Et précisément, ils furent nommés pour monter sur la scène et furent décorés sous les applaudissements. À ce stade du programme c’était le tour des décorations aux élèves de l'année de toutes les écoles, où fut honoré l'élève de l'année 2015 qui avait démontré la performance plus

extraordinaire. Ensuite se fut le tour de décorer les candidats à entraîneurs qui avec grand dévouement et passion aident les enseignants dans leurs cours. Enfin, les succès dans les tournois ne pouvaient pas rester sans être mentionnes et l’on pria aux participants et aux gagnants des tournois célébrés de monter sur scène, surtout ceux qui au Championnat du monde en Argentine et en Allemagne eurent un grand succès et qui avaient déjà monté sur de nombreux podiums. Après ce grand moment et des derniers applaudissements, la tension parmi les spectateurs s’accrue. Bien qu’auparavant il fallait s'aventurer à la découverte d'un délicieux buffet de desserts, la plupart savaient maintenant que le mythique Black Belt Show venait. Et cela fut ainsi. A peine terminée la dernière bouchée du dessert, la lumière s’obscurcie.

Expectants, même le personnel de l'hôtel prit leur téléphone portable et leur caméscope pour filmer ce qui venait ensuite. Accompagné par une sublime musique parfaitement appropriée, l’élite montra à tous les assistants de Ceinture Noire, ses compétences dans un spectacle de 40 minutes qui impressionna le public à chaque scène. On expliqua l'histoire profonde et fondamentale, on montra des astuces et le vrai Shaolin Kung Fu de la KUNG FU SCHULE MARTIN SEWER. Le show finit par d’impressionnants applaudissements qui le public offrit aux porteurs des Ceintures Noires qui étaient sur la scène et on arriva à la conclusion, que les objectifs s’étaient atteints à nouveau : le spectacle de l'année dernière avait été dépassé. Une fois que tout se calma lentement et que les ceintures noires se soient changés de vêtements, nous nous sommes acheminés au dernier point du programme. Pendant toute la soirée, les invités ont pu écrire les questions qu’ils voulaient faire au Grand Maître Martin Sewer et qu'au cours de la cérémonie des Ceintures Noires ont été recueillies. Naturellement, le Grand Maître Martin Sewer s’est offert avec beaucoup d'humour à répondre aux questions des invites et des élèves. La dernière question, il l’a répondue sérieux et il a dit. "Il est très important que nous nous réunissions des jours comme celui-ci. Naturellement, nous fêtons aussi mon anniversaire, nous échangeons des opinions, nous apprenons les uns des autres et nous profitons d'une merveilleuse soirée. C'est la finalité. Moi personnellement, je suis déjà impatient qu’arrive l'événement de l’année prochaine ".

« Ce qui embellit le désert, c'est que quelque part il cache un puits d'eau. » Antoine de Saint-Exupery « Ce que nous savons est une goutte d'eau ; Ce que nous ignorons, un océan. » Isaac Newton « Couler comme de l'eau, filer comme un nuage » (Yun Shui) comme dit le proverbe que choisit pour son école mon bien-aimé et regretté Maître d'Arts Martiaux, José Luis Paniagua Tevar, qui nous a quitté cette année.

Proposition difficile ! Nous trébuchons constamment sur des futilités et entravés dans les branches, nous ne voyons pas la forêt.

Couler ne signifie pas être négligeant ; l'eau ne l’est pas. Elle ne laisse aucun recoin découvert, elle arrive partout. Les asturiens disent que l'eau a « un museau très fin ». Sans hâte, en s’adaptant aux conditions, l'eau est la métaphore de la persistance et de l’adaptabilité extrêmes. Le paradigme de la variation de la forme, sans transformer l'essence.

Couler, faire face aux obstacles, allez vers le bas, ne s'opposer à rien, l'eau est la parfaite l’analogie de l'humilité, de l’adaptation et du non conflit. L'eau vainc sans objectif ; en suivant sa nature, elle contourne tous les obstacles et elle nous apprend comment vaincre, mais avec sagesse, sans usure, sans perdre de vue l'objectif. C’est quoi un rocher sur son chemin ? Une montagne ? Même encaissée, elle se filtre ou si elle ne peut pas elle s'évapore ; rien n’arrête son chemin ni sa destination.

Le fleuve de la vie a laissé sur mes rivages ces textes, que je partage maintenant sous forme de livre. Et je dis qu’il « a laissé », parce que tous les auteurs sont confus, parce que nous sommes tous débiteurs de ceux qui nous ont précédés, de ceux qui nous ont inspiré et nous inspirent, des nuages flottants de l’inconscient collectif et même …qui sait ! des esprits et des consciences qui nous entourent.

Je n'ai rien à enseigner, parce que je ne sais rien, mais tout ceux qui veulent écouter mes vers, je leur laisse ici mes réflexions sincères, bien senties, chaque jour plus sincères et moins pensées, parce que l'esprit est un engin trompeur qui voit ce qu'il veut voir et duquel j'ai appris à me méfier.

e-Books « Le nombre de personnes qui pratiquent le Judo a augmenté considérablement ces derniers temps, mais il y a proportionnellement très peu de professeurs. Il y a des gens qui, bien que désireux de continuer de pratiquer l’ar t mar tial, abandonnent l’idée simplement parce qu’ils ne peuvent pas tr ouver le professeur adéquat. Et ceux qui ont la chance d’en avoir un ne peuvent recevoir les cours comme ils le souhaiteraient parce qu’il y a trop d’élèves. Étant donné les circonstances, il est très pr obable que le Judo se pratique suivant des principes erronés et des méthodes incorrectes.

Et c’est vraiment dommage. Ce livre a été écrit dans le but de compenser cette déficience, au moins partiellement, et d’offrir une aide aux élèves.

Dans cet ouvrage, nous avons essayé d’analyser les traits généraux du Judo de manièr e concise et accessible, évitant les complications que pourraient impliquer les descriptions et les théories scientifiques. Il n’est pas nécessaire d’avoir une connaissance approfondie en la matière pour comprendre ce livre. N’importe qui ayant fait ses études primaires pourra le comprendre. La plupart des techniques qui sont traitées dans ce livre ont été expliquées très soigneusement de manière à ce que le lecteur puisse voir facilement quelles sont les techniques à appliquer quand son adversaire se trouve dans une position déterminée.

Certaines des images qui apparaissent dans cet ouvrage sont des reproductions de celles qui furent prises par le Dai Nippon Butokukai (Société japonaise pour la promotion du Bushido), mais la majorité d’entre elles ont été spécifiquement prises pour ce livre par les auteurs. » Sakujiro Yokoyama & Eisuke Oshima (1915)

e-Books 1. Origine du Kodokan Judo À l’époque féodale, les habitants du Japon s’entraînaient pour leur compte aux techniques militaires en utilisant des arcs et des flèches, des épées et des lances comme armes principales. Comme ils devaient parfois lutter contre leurs ennemis ou arrêter les voleurs et autres malfaiteurs, les gens s’entraînaient partout pour pouvoir se défendre et défendre les autres avec des bâtons courts et des poignards ou sans eux et cela se faisait tout à fait naturellement.

La situation évolua progressivement. Avec le temps apparurent des écoles de Jujutsu, Taijutsu, Yawara, Torite, Judo, etc., qui donnaient des cours portant ces noms. L’art du combat se développa donc et devint une dominante dans tout le pays. Certains découvrirent les secrets de ces arts et fondèrent leurs propres écoles, tandis que d’autres

donnaient cours sans connaissances et dupant leurs élèves.

Quand cela se produisait, on avait des arts martiaux portant le même nom, mais qui étaient différents. Et d’un autre côté, le même art martial était enseigné sous des noms différents.

Il était donc impossible de définir avec exactitude, rien que par le nom, ce qu’était le Jujutsu ou ce qu’était le Taijutsu.

Chacun d’eux était cependant un type de défense et d’attaque et leur seul objectif était d’obtenir la victoire sur l’ennemi. Le professeur Kano réunit toutes ces écoles parmi lesquelles se trouvaient le Ju Taijutsu, le Yawara Kogusoku, etc., sous un même nom et leur donna la définition suivante.

Le Jujustu est un l’art par lequel un homme sans armes ou avec une arme courte attaque ou résiste à l’ennemi avec ou sans armes. Comme l’indique la définition, le principal objectif du Jujutsu à cette époque était d’obtenir la victoire sur l’ennemi. Le professeur et l’élève paraissaient avoir étudié la

Cérémonie de promotion (Promotion à un grade supérieur des membres de la fraternité du combat) dans le Kodokan.

Judo

même forme de combat, sans faire attention au développement physique ou à l’entraînement mental. Certains fondateurs de ces écoles avaient obtenu des corps et des esprits sains, mais ils ne s’entraînaient pas dans le but de développer l’esprit ou le corps. C’était simplement un résultat naturel de la pratique constante. À la fin du régime de Tokugawa apparurent, dispersés dans tout le pays, de nombreux professeurs très compétents dans leurs arts martiaux respectifs mais qui manquaient de connaissances en ce qui concerne la méthode d’étude de l’esprit et du corps.

Ils étaient donc absolument incapables de démontrer le véritable principe et de l’enseigner au monde. Aux environs de l’époque Ibis, les armes de notre pays souffrirent un grand changement. Les arcs et les flèches furent remplacés par des pistolets et des riffles et les combats au corps à corps furent remplacés par des batailles de troupes, ce qui eut pour résultat de réduire drastiquement la demande d’arts martiaux. Après la restauration surtout, tous les maîtres perdirent leurs postes officiels et furent obligés de chercher une autre manière de gagner leur vie pour remplacer l’enseignement des techniques militaires. La plupart de ces maîtres étaient des hommes simples, sans culture et sans ressources pour chercher une autre voie. Ils n’avaient donc aucune autre manière de gagner leur vie. Des institutions de Jujutsu furent créées, mais très peu d’élèves, s’il y en eut, s’y inscrivirent et ceux qui étudiaient l’art martial cessèrent de le faire.

Les gens ne s’intéressaient pas aux techniques militaires parce qu’ils étaient tous, aussi bien ceux des hautes classes que des basses, sous le charme de la civilisation occidentale et ils abandonnèrent tout ce qu’ils avaient acquis au cours de l’époque féodale, sans s’arrêter un instant pour analyser si c’était positif ou négatif. Impuissants face à de telles circonstances, certains maîtres de Jujutsu commencèrent à parcourir le pays de long en large, accompagnés de

combattants faisant des démonstrations les foires pour gagner leur vie. Cela eut pour conséquence la dégradation progressive de l’art martial. Il semblait soudain que cet art noble et précieux se soit complètement perdu. Mais quand Kano, le fondateur et le directeur du Kodokan, apparut et commença à enseigner au Kokokan le Judo en juin 1882, le nombre d’élèves commença à augmenter de jour en jour, année après année, et ils sont actuellement des milliers. Il y a en outre entre quarante et quarante-cinq milles enfants qui apprennent le Judo dans leurs écoles et dans d’autres institutions, recevant des cours des élèves du professeur Kano. Certains maîtres de Jujutsu de la vieille école, qui avaient cessé d’enseigner leurs arts à la suite des changements qui s’étaient produits, se remirent à l’enseignement il y a une douzaine d’années, en voyant la résurrection du Judo. Certains d’entre eux commencèrent même à pratiquer le Kodokan Judo, laissant tomber leur propre style. Actuellement, le Judo s’est étendu dans tout le Japon, mais également à l’étranger. Les professeurs se sont rendus en Europe et en Amérique. Les étrangers sont également venus au Japon afin d’étudier l’art martial. De fait, il s’est étendu dans le monde entier à grande vitesse,

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comme le feu s’étend dans une plaine. Ce grand développement du Judo se doit à sa grande utilité, à sa grande valeur et à ses qualités pour le développement physique, mais nous ne pouvons oublier qu’il se doit également à l’énergie, à la persévérance et à l’engagement du professeur Kano. Quoi qu’il en soit, le fait est que Kano dut surmonter de nombreuses difficultés avant de faire du Judo ce qu’il est aujourd’hui.

2. Objectif du Judo Qu’est-ce que le Judo ? Le principal objectif de ce livre est de répondre à cette question. Il est cependant pratiquement impossible de le faire de manière aussi limitée, nous donnerons donc une définition générale de l’art martial. Expliquer les points les plus délicats du Judo et les mystérieuses actions mentales qui les provoquent va audelà des capacités d’un papier et d’un crayon. Et si on pouvait écrire sur ce sujet, personne ne pourrait le comprendre sauf celui qui est parvenu à dominer les secrets du Judo. Et même dans ce cas, il ne serait en rien facile d’expliquer ces secrets de l’art.

Nous pouvons cependant expliquer l’objectif ultime du Judo, comment le pratiquer et dans quel état d’esprit on devrait s’y entraîner.

Judo

« importe donc la force que développe le corps ou la merveille de notre art de combat, vous ne pourrez jamais dire que vous avez atteint le « véritable objectif » du Judo si dans votre caractère et votre comportement, il y a encore du chemin à parcourir. »

L’objectif du Judo peut se diviser en trois parties : (a) Développement physique (b) Compétence dans l’affrontement (Shobu Ho) (c) Développement mental Du point de vue pratique, les exercices de Judo peuvent être divisés en trois phases : (a) Ren Shin Ho (méthode d’entraînement du corps) (b) Tactiques qui doivent être adoptées dans le combat (c) Shu Shin Ho (développement mental et entraînement du pouvoir mental) Bien que le Judo soit divisé en ces trois phases ou méthodes pour des questions pratiques, les trois sont étroitement liées et ne peuvent être pratiquées isolément.

Nous allons les expliquer brièvement.

En gymnastique, tous les mouvements sont mécaniques.

Quand on les exécute, excepté le fait que certains mouvements de bras et de jambes sont essentiels pour le développement de certains ensembles musculaires, les exercices n’ont pas de sens et ont peu d’intérêt ou de bénéfice mental en eux-mêmes. En ce qui concerne le Ren Shin Ho dans le Judo, on l’exécute toujours avec un objectif mental, sans parler du développement physique qui résulte

de l’entraînement. Un élève de Judo utilise toujours la pensée et cherche toujours de manière de battre l’adversaire tout en perfectionnant sa défense. Il se déplace toujours pour trouver des ouvertures ou des possibilités d’attaque. Il n’y a pas de mouvements mécaniques de bras ou de jambes qui rendent les exercices intéressants en eux-mêmes. Il donne aux participants une activité mentale tout en leur offrant un entraînement intellectuel et moral. Une fois de plus, dans la gymnastique, les exercices se limitent à certaines parties du corps et ne développent pas tous les muscles, alors que si on pratique le Judo, tous les muscles du corps sont en mouvement.

Ainsi, quand on pratique avec un professeur qualifié, toutes les parties du corps se développent de la même manière.

Une image vaut mieux que mille mots. Observez l’image 1, qui est une photo de Kosei Maeda (quatrième dan). Cette image est suffisante pour montrer le développement complet qu’il a atteint. Au-delà du bénéfice que l’on obtient quant au développement physique avec le Judo, en comparaison avec d’autres méthodes, le corps est plus léger et tous les muscles sont sous contrôle. Par conséquent, grâce à l’agilité obtenue, une expert peut éviter des accidents graves. Actuellement, de nombreux exercices ont été introduits, mais du point de vue des auteurs, le Ren Shin Ho du Judo est le plus pratique et celui qui apporte le plus de bénéfice. L’objectif du Ren Shin Ho est la

Judo

self-défense et l’attaque dans le cas où se produirait un combat, mais nous ne pouvons pas espérer obtenir une victoire à moins que notre corps ne soit totalement sous le contrôle de notre esprit et que tous les deux ne travaillent à l’unisson.

Ceux qui pratiquent le Shobu Ho doivent étudier d’abord la théorie du développement physique avant d’essayer de développer leur corps. Ils devraient enfin également développer leur esprit.

Le Shu Shin Ho est une branche du Judo qui est centrée sur le développement du caractère au moyen de la théorie du combat et de la pratique du Ren Shin Ho. Si cette théorie du combat est appliquée correctement aux situations quotidiennes, nous obtiendrons plus de résistance pour supporter les malheurs et parviendrons à arriver à l’état de paix désirable et à la résignation. Pour pratique le Shu Shin Ho, il n’est pas indispensable d’avoir un camarade d’entraînement, comme dans le cas du Ren Shin Ho ou du Shobu Ho. Vous pouvez vous asseoir tranquillement dans votre chambre et développer l’esprit en accord avec la théorie du combat. Ainsi, quand vous pratiquerez les exercices avec des adversaires, vous aurez beaucoup plus d’expérience et de maîtrise, ce qui vous permettra d’acquérir progressivement de bonnes habitudes et une volonté de fer, obtenant un contrôle total sur vous-même à tout moment.

En ce qui concerne Ren Shin Ho et le Shobu Ho, il n’y a pas beaucoup de différences entre les deux. Le Ren Shin Ho est la branche centrée sur le développement du corps, bien que les exercices réalisés ne soient pas opposés à la théorie du combat. On évite en même temps les exercices où il existe un facteur de risque. Avec cette méthode, on pratique des exercices qui pourraient sembler inadéquats du point de vue du combat, mais qui sont bénéfiques pour le développement

physique. Le Shobu Ho n’inclut en principe pas d’exercices préjudiciables pour le développement physique.

Au contraire, tous les exercices réalisés sont plus ou moins utiles pour le développement du corps. Il est vrai cependant que, comme le principal objectif de cette méthode est de vaincre l’adversaire, les élèves pratiquent parfois des exercices dangereux et peu efficaces comme moyen de développer la forme physique.

C’est la petite différence entre les deux méthodes.

La première est même adéquate pour les jeunes enfants, dont le corps ne s’est pas encore développé, ou pour les personnes à la santé délicate. La deuxième devrait être pratiquée par des élèves qui l’ont déjà développée et ont la force suffisante pour supporter des exercices plus violents.

L’objectif du Shu Shin Ho est de former le caractère, comme nous l’avons déjà mentionné. La formation du caractère est le résultat du Shobu Ho et est en même temps l’objectif ultime du Judo. Nous pourrions pour cela dire que l’objectif du Judo est en premier lieu de fortifier notre corps à travers le Ren Shin Ho, puis d’apprendre les secrets du combat avec le Shobu Ho pour finalement développer la pensée et forger le caractère. Peu importe donc la force que développe le corps ou la merveille de notre art de combat, vous ne pourrez jamais dire que vous avez atteint le « véritable objectif » du Judo si dans votre caractère et votre comportement, il y a encore du chemin à parcourir.

Toujours avec comme toile de fond l’Ochikara, « la grande force » (appelée e-bunto dans la langue vernaculaire des Shizen), sagesse secrète des Miryoku, les anciens chamans japonais, l'auteur nous plonge dans un monde de véritables réflexions, capables de toucher et le cœur et la tête du lecteur, nous situant continuellement face à l'abîme de l'invisible, véritable dernière frontière de la conscience personnelle et collective.

Le spirituel non pas comme religion, mais comme étude de l'invisible, fut la manière d’approcher le mystère des Miryoku, dans le contexte d'une culture à la fois riche et inconnue à l’étude de laquelle l’auteur s’est intensément consacré.

Alfredo Tucci, rédacteur en chef de Budo International et auteur d'un grand nombre de titres sur le chemin du guerrier au cours de ces 30 dernières années, offre un ensemble de réflexions extraordinaires et profondes, qui peuvent être lues indistinctement, sans suivre aucun ordre particulier. Chacune d’entre elles ouvre une fenêtre par laquelle regarder les sujets les plus variés, sous un angle inattendu, parfois saupoudré d'humour, parfois de force et de grandeur. L’auteur nous confronte à des questions éternelles, avec l'air de quelqu'un qui vient d'arriver et ne partage pas les lieux communs sur lesquels tout le monde est d'accord.

Nous pouvons affirmer avec certitude qu’aucun lecteur ne restera indifférent à ce livre, telle est la force et l'intensité de son contenu. Dire cela, c'est en beaucoup dire dans un monde plein de troupeaux de moutons, d’idéologies intéressées, de manipulateurs, d’intérêts parasites et de médiocrité. C’est donc un texte pour les grandes âmes et les personnes intelligentes, prêtes à regarder la vie et le mystère avec la liberté des esprits curieux et scrutateurs de l'occulte, sans dogmes, sans morales passagères, sans subterfuges.

PREMIÈRE RENCONTRE INTERNATIONALE AVEC LES MAÎTRES DE BUDO Chers amateurs du BUDO, cet événement sera une occasion unique de rencontrer en personne á des enseignants du monde entier pour enrichir la culture et la fraternité entre les arts, les styles et les hommes. Une grande fête en format innovateur, où partager grâce aux séminaires, d’infinies techniques Arts Martiaux, où échanger des points de vues et rencontrer personnellement ceux qui écrivent et qui sont devenus célèbres dans les pages de notre magazine.

Actuellement publié en 7 langues (Espagnol, Anglais, Italien, Portugais, Allemand, Français et Chinois) et sera bientôt en d’autres langues (confirmée en Novembre l'édition en langue Turque), le magazine soutiendra avec tout son potentiel médiatique, réseaux et contacts, l'excellente initiative du respecté Maître, Sifu Paolo Cangelosi.

Les élèves qui vont faire partie d'un groupe spécifique, doivent contacter avec leur Maître pour les réservations.

Ceux qui veulent simplement être la et faire partie de tout cela, aux séminaires, au dîner de gala, vous pouvez vous inscrire directement. Tout le monde est bienvenu sous le drapeau du respect, de la fraternité martiale et de la coopération.

L'événement aura lieu pendant deux jours : SAMEDI 16 ET DIMANCHE 17 AVRIL 2016, À ROME-ITALIE

Le programme sera divisé en séminaires et soirée de gala.

Détails :

SÉMINAIRES : Chaque maître invité partagera ses propres techniques ; leur temps disponible pourra varier en fonction du nombre de maîtres participants.

HORAIRE DES SÉMINAIRES : SAMEDI, 16 AVRIL, 10 H 30 - 13 H 30 DIMANCHE 17 AVRIL, DE 10 H 30 -13 H 30 PRIX DES SÉMINAIRES PAR ELEVE : 1 JOUR 30 € 2 JOURS 40 €

Il est important que tous les maîtres qui se joignent à l'initiative de notre événement, confirment leur participation et s’ils viennent seuls ou avec ses élèves avant la fin du mois de Novembre. En deuxième lieu, avant le 28 février, ils doivent envoyer une liste détaillée de ses élèves, avec nom et prénom et avec une avance d'environ 20 Euros par élève.

La liquidation du séminaire se fera directement le jour même du stage.

SOIRÉE DE GALA SAMEDI 16 AVRIL A 20 h 30

Apéritif et dîner buffet.

Pendant la soirée de Gala seront remis les certificats de participation à tous les élèves. Les Maîtres seront décernés avec le certificat de « Directeur de Budo Master Council », mondialement reconnu et soutenu par la signature des plus célèbres maîtres du monde.

En outre, tous les élèves recevront un certificat d’assistance, affirmant qu'ils ont participé á la rencontre et signé par chacun d'entre nous.

Un Photocall sera disponible tout le temps au même endroit du Gala, où l’on fera des photographies avec tous les membres de la direction, les amis, les éleves, etc....

Des témoignages photographiques apparaîtront dans la magazine Ceinture Noire et Budo International, traduite á cette date -là en 10 langues, dans un article extraordinaire qui glosera largement tout l'événement et ses participants, mettant en évidence la présence de chaque Maître.

Tous les maîtres au fur et á mesure qu’ils confirment leur présence au Gala, figureront également dans les pages de publicité de l'événement, sur le Magazine ainsi que sur notre Network.

Quelques exemples de cette publicité sont insérés à la fin du présent document, montrant quelques-uns des Maîtres, dont la participation est déjà confirmée et qui viendront des quatre coins du monde.

PRIX DE LA SOIREE Diner de Gala, 80 €

Étant donné que l'objectif de la réunion n'est pas pécuniaire, mais de cultiver l’amitié et la coopération, nous avons établi un prix très abordable.

Pour réserver la soirée de GALA, chaque maître doit envoyer avant le 28 février, une liste avec le nom et le prénom et une taxe de 80 euros par convive. Les participants qui viennent librement, peuvent effectuer leur inscription directement.

Compte tenu de la forte demande de participation á niveau mondial, nous vous conseillons de ne pas retarder l'envoi des listes, étant donné que les réserves sont limitées.

POUR LE PAIEMENT DES FRAIS DE RÉSERVATION : BANCO POPOLARE GENOVA AG.3 IBAN: IT90 X050 3401 4030 0000 0000 824 SWIFT : BAPPIT21Q60 POUR LES LISTES DE RÉSERVE DES STAGES ET DE LA SOIRÉE DE GALA, ENVOYER TOUT À : Budo.masters1@gmail.com

LES SÉMINAIRES ET LA SOIRÉE DE GALA AURONT LIEU À : CENTRO SPORTIVO FONTE MERAVIGLIOSA VIA ROBERTO FERRUZZI 110/112 (ZONE EUR) ROME - ITALIE (STATIONNEMENT GRATUIT)

HÔTEL Pour passer la nuit à Rome, nous nous rencontrerons à : HOTEL SHANGRI LA CORSETTI VIALE ALGERIA 141 00144 ROME (ZONE EUR) ITALIE TÉL. + 39 06 5916441 FAX. + 39 06 5413813 Courier : info@shangrilacorsetti.it

PRIX DES CHAMBRES : SIMPLE 60 € DOUBLE 85 € PETIT DÉJEUNER INCLUS

Pour réserver, contacter l'hôtel directement, en s’identifiant comme participant de la Convention, en utilisant le mot de passe : BUDO MASTERS.

Nous avons réservé un nombre limité de chambres ; Il est conseillé de réserver avant le 15 mars 2016. Nous voulons vous avertir, que ceux qui se retarderons, il ne leur sera pas facile de trouver un logement à Rome, puisqu'on célèbre le Jubilé).

Pour ceux qui séjourneront à l'hôtel Corsetti, nous mettrons à leur disposition un autobus Pullman qui transportera les personnes de notre groupe « Budo Masters », au lieu des séminaires et de la soirée de Gala.

Notre directeur, Alfredo Tucci, s’est aimablement mis à la disposition de l'organisation, à travers de son e-mail : budo@budointernational.com, pour tous les amis non italiens qui ont des questions au sujet de l'événement et il ne voulait pas laisser passer l'occasion de vous laisser un petit mot : « Chers frères du Budo, c'est un plaisir pour moi de soutenir la grande idée du Maître Cangelosi. » Beaucoup d'entre vous connaissez les participants à cette rencontre par le biais de nos pages et de votre travail extraordinaire comme instructeurs et Maîtres. Maintenant, vous pouvez les ne rencontrer en personne, dans le cadre d'un événement unique en son genre, vous photographiez

avec eux et accéder à l'occasion d'apprendre auprès des meilleurs, en emportant chez vous une grande expérience comme Artistes martiaux et comme personnes, avec un certificat signé par chacun d'eux, qui sans doute parera votre histoire personnelle comme budô. "Ma grandmère disait que tout se colle, moins beauté..." Alors venez et faites partie de la grandeur » Alfredo Tucci Directeur de Budo International Publishing Co. Exemples de certifications qui se donneront et sur lesquelles nous travaillons. Bien sûr, les noms s'ajouteront quand leur présence sera confirmée. La première est la certification pour les élèves et la seconde pour les Maîtres.

« Le samedi 16 Avril de 17h à 18h, une réunion se célèbrera à l’Hôtel Shangri La Corsetti avec tous les maîtres invités à l’évènement, pour parler d’un projet de futur en relation avec la diffusion des Arts Martiaux. »