Ckoi#20 lightversion by CEO MAGAZINE

CULTURE LA DOT

Cérémonie riche en émotions P. 14

THE SUSPECT

KING MENSAH 20 ans de carrière déjà P. 18

EVENT MODASH 2015

La fête du tissu en club P. 16

LE 29 AOUT 2015 A L’ESPLANADE DES BANQUETS, VIVEZ LA NUIT DU PRIME URBAN CODE SAISON3

C’KOI MAG I N°20 I

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C’KOI MAG I N°20 I

20 numéros comme 20 bougies. Voici 20 numéros, la vingtième parution de «C’KOI ? Mag» ! Soit environs quarante mois en tout que nous menons la danse dans l’univers de la presse Magazine au Bénin. Je n’ose pas affirmer ou même penser qu’en 20 numéros, nous avons tout fait. L’évidence est juste qu’il y a eu un monde qui est resté dans l’ombre à compter de 1 jusqu’à 20 aujourd’hui. Je veux parler de vous ; vous les fanantiques; vous grands et fidèles lecteurs de «C’KOI ?». Ainsi, cet éditorial tient lieu d’un remerciement à tous ces jeunes, adultes et vieux qui, ont pu une fois saisir l’un des 20 numéros de leur magazine préféré. Par la suite la gratitude de l’équipe revient instantanément à la pléthore d’annonceurs, grâce à qui, nous redessinons à chaque parution le sourire sur le visage des lecteurs. 20 numéros synonymes de stabilité, régularité, présence et pertinence. Sans marquer une pause, comme King Mensah après 20 ans de carrière, nous sommes passés à un étape supérieure, celle où nous n’avons plus droit à l’erreur. Celle où on nous attendra pour des challenges plus grands. Raison pour laquelle ce vingtieme numéro consacre le lancement de notre application gratuite qui permet d’affirmer que «C’KOI? est lu par tous et partout»; mieux C’KOI? devient le premier bimestriel gratuit béninois disponible sur GooglePlayStore. Quoi de plus beau que de penser chaque jour à tous ceux qui nous soutiennent, nous en demandent toujours plus et qui parient même la fin. La fin n’existe pas tant que les ambitions sont nourries.

GRANDES LIGNES

EDITO

FOCUS

FANICKO DE JESUS Nouveau single

SUSPECTS DU MOIS

KING MENSAH 20 ans de carrière déjà

INSIDE

Owarindé Adéyèman Rédacteur en Chef

C’KOI MAG I N°20 I

ARAFAT OSSENI Créatrice de colliers en perles de luxe

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SPORT

Edito

Grandes Lignes

Inbox

C’d’actu

10 14

Fresh Ladies

Events

The Suspect du Mois

Publi-Reportage

Sport

Ca s’discute

Urban Code

Savoir Faire

Talent

Inside

MICHELLE DOWEVI Présentatrice radio-télé

Le B-A BA de Cotonou

STORY

Story

CTN Times

Duel

Les Affairages de la vieille mère

Pénélope

Focus

Foiroscope

RADIO FOOT INTERNATIONAL L’émission qui renforce la fraternité de 5 jeunes

SAVOIR FAIRE

LA FEMME DE MON PÈRE ... Suite et fin

Gros plan sur les principales rubriques Courriers des lecteurs Tour du monde des nouvelles insolites

Culture La dot

MODASH 2015

KING MENSAH

PIA Market et CAMA lancent de nouveaux produits Radio Foot International La pénurie d’essence à Cotonou

Michelle DOWEVI, Présentatrice TV Tundé ADJOFOGUE, PDG de «DETUNE» Avec Arafat OSSENI, Aleksei’s Creative Director Sélection culte

La femme de mon père (Suite et fin) Le phosphate togolais à l’assaut des côtes béninoises Briquet VS Allumette Le rdv des kpakpatos

Amour et sexualité, les conseils hots de notre sexologue Fanicko de Jésus

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Votre horoscope décallé

C’KOI MAG I N°20 I

INBOX

COURRIERS DES LECTEURS

Osnyl Dimitri Chalmon

Cool le numéro 19 du magazine C’KOI dans lequel apparaît au niveau de la culture ‘’la circoncision et les mesures à pendre après celle-ci ‘’,du sport dans lequel est dit ‘’ beaucoup de nos jeunes garçons qui abandonnent les études pour s’adonner au football ce qu’ils regrettent en fin de compte lorsqu’ils n’arrivent plus à atteindre leurs objectifs ‘’,.trop cool aussi la partie story ‘’la femme de mon père’’et la partie ‘’foiroscope’’et tout le reste. ---

#20 N°20 Juillet - Aout 2015 Autorisation de publication N°1299/MISPC/ DC/SG/DGAI/SCC Edité par : InFiniti PMA Sarl Adresse : Gbégamey - Cotonou Tél : 99 94 99 99 / 95 99 40 44

Osnyl, vous avez bien décortiqué le magazine. Avez-vous téléchargé l’application déjà?

http ://www.facebook.com/C’KOIMAG. E-mail : infinii.agence@gmail.com Directeur Général : Jaures Amen

Xavier Houan

C’koi ? Magazine toujours au top et posey dont vraiment je n’arrive pas à résister à son charme. Surtout ce num 19 avec la partie story «La femme de mon pére» gâte coeur. Longue vie à toi.

Directeur de publication : Jaures Amen

Toujours au rendez-vous Xavier! Vous méritez la palme du lecteur le plus fidèle! Comment vous faites? Donnez-nous votre secret!

Graphisme : Jaurès Amen, Parfait Kakou,

---

Directeur artistique : Miguel S. Bile Rédacteur en chef : James Adeyeman Miguel S. Bile Rédaction : James Adeyeman,

Myra Biscokin

Falonne Maoussi, Hermann Boko, Cynthia L,

Je suis très intéressée par votre travail et j’aurais aimé régulièrement recevoir votre magazine; chose qui m’est très difficile car je ne sais comment me rapprocher de vous pour un éventuel abonnement par rapport au magazine. Merci de m’orienter et de me donner quelques orientations. ---

Bonjour Mira, vous savez où vous procurer C’KOI? Mais vous n’y allez sans doute pas très vite. A défaut, téléchargez notre application sur PlayStore pour votre smartphone Android

Isaura, Damy H. Chefs de Pub : Hamid Traoré, Walid Alley, Nadine L. Collaboration extérieure : Marlène Hounsou Michael TCHOKPODO, Gwenael Mawunyo, Photos : InFiniti PMA, Gopal Amah, Sean Nobayo, Jupiterimages Remerciements : Maureen Ayité, Equipe de promotion : Elvis, JSK, Laure Ramos, Sandrine Nicole, Pascale de Porto Novo, Kate de Parakou, Hamid, Walid, Coco Lay

Vous lisez le N°20 de C’KOI? Magazine

Distribution : Cotonou, Porto-Novo, Calavi, Parakou, Kiosques, Universités et espaces culturels. Disponible à : L’Ethik Boutique St Michel, Galette à Sucre, Artfrik Design Gbedjromede Carrefour,

avec le soutien de

Kiosque FSS, Vals Plazza, Doddy’s Pizza, dans les grandes écoles et universités du Bénin ainsi que

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CULTURE

dans le réseau des entreprises de Cotonou. Contact Commercial : 99 94 99 99 / 97 16 80 37

INTERNATIONAL L’APPICATION C’KOI? EST DESORMAIS DISPONIBLE EN TÉLÉCHARGEMENT LIBRE

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SUR PLAYSTORE POUR VOS LE 29 AOUT 2015 A L’ESPLANADE DES BANQUETS, VIVEZ LA NUIT DU PRIME URBAN CODE SAISON3 SMARTPHONES ANDROID

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C’D’ACTU L’ACTUALITE INSOLITE DU MOIS

AU KENYA : OBAMA SE LAISSE ALLER À QUELQUES PAS DE DANSE

AUSTRALIE : EN PRISON POUR AVOIR EU UN BÉBÉ AVEC UN GARÇON DE 12 ANS

Barack Obama a bouclé dimanche une tournée de deux jours au Kenya, dans le pays natal de son père. Le président américain a tapé quelques pas de danse samedi soir à Nairobi, avec le groupe kenyan Sauti Sol, sur leur tube Sura Yako. Visiblement à l’aise, Obama a accompagné le groupe dans une chorégraphie intitulée «Lipala», dédiée à cette chanson. Au lendemain de cette soirée, Barack Obama s’est rendu en Ethiopie, deuxième étape de son quatrième déplacement en Afrique en tant que président. Ce n’est pas la première fois que le président américain fait part de ses talents de danseur. En 2007 déjà, avant son élection, Obama dansait en arrivant dans un show tv animé par Ellen DeGeneres.

Une cour de Justice de Melbourne (Australie) a condamné à six ans de prison ce lundi, une mère de famille australienne ayant eu un bébé avec un garçon de 12 ans. Cette mère de trois enfants âgée de 36 ans, déposait à l’école sa fille ainsi que le fils d’une amie. Elle admet avoir développé des sentiments amoureux pour le garçon de 12 ans, avant de passer à l’acte. Pendant deux ans, secrètement, la mère et le jeune adolescent ont des rapports sexuels non protégés, et puis, un jour, la femme tombe enceinte. Après l’accouchement, elle reçoit la visite de la mère du père de cet enfant, qui ignore toujours les circonstances particulières de cette naissance. Les parents du garçon découvrent peu après la liaison de leur enfant avec cette femme d’une trentaine d’année. Ils portent plainte et un test ADN confirme la paternité du jeune de 12 ans. «Vous lui avez volé sa jeunesse, il ne s’est pas rendu compte de ce qu’il se passait» a déclaré la mère du garçon. Le juge qui a noté les remords de la mère de famille a conclu qu’elle «avait laissé ses pulsions physiques et émotionnelles prendre le dessus», elle purgera une peine de six ans de prison.

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L’ACTUALITE INSOLITE DU MOIS

C’D’ACTU

U.S.A : UN ALLIGATOR SE PROMÈNE DANS LES RUES DE MANHATTAN

C’est un piéton un peu particulier qui déambulait, jeudi, dans les rues de Manhattan. Un alligator, de presque un mètre essayait de se frayer un chemin vers la grosse pomme. L’animal est rapidement devenu une mascotte et sa photo a fait le tour des réseaux sociaux, avant que les forces de l’ordre ne parviennent à le capturer.

GABON : LA PIERRE PORTANT L’EMPREINTE DE LIONEL MESSI A DISPARU

Les briques posées au Gabon par le footballeur argentin Lionel Messi et le président gabonais Ali Bongo Ondimba lors de l’inauguration des travaux d’un stade pour la Coupe d’Afrique des nations 2017 ont disparu, annonce vendredi le quotidien progouvernemental L’Union.

ZLATAN VERRAIT BIEN STALLONE POUR L’INCARNER DANS UN BIOPIC

Zlatan Ibrahimovic est plutôt du genre à se dire indispensable sur un terrain de foot. Et pourtant, le joueur du PSG ne verrait aucun inconvénient à ce que ce soit «Rambo» qui joue son rôle au cinéma. Interrogé par la revue Sports Illustrated à l’occasion d’une tournée aux États-Unis, où l’on apprécie le caractère explosif et égocentrique de l’attaquant suédois, Ibra n’a pas su dire quel film américain il préférait. Il « en aime beaucoup » et de « tous les genres », comédie, western, espionnage, « parce que chaque fois qu’un film est bon, c’est un bon film ». En revanche, il n’a pas hésité une seconde pour juger qu’un éventuel long-métrage consacré à sa vie serait un biopic « d’action ». Et fait semblant de se demander qui pourrait l’incarner avant de répondre : « Stallone », dans un éclat de rire. Pour les gros plans sur les muscles, ça devrait aller. Pour l’image de héros seul face à son défi, aussi. Pour les dialogues, en revanche, il faudra retravailler les scènes qui en contiennent. La réplique culte de Sylvester Stallone dans Rambo II : la Mission était : « I am expendable ! » « Je suis remplaçable »... Pas sûr que Zlatan partage ce sentiment.

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FRESH LADIES

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FRESH LADIES

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FRESH LADIES

Les charmantes “Ladies” sont habillées et maquillées par

Gbedjromédé, voie pavée Centre d’Accueil

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CULTURE

La dot ou le mariage traditionnel est une étape très importante dans la vie d’une jeune fille et d’un jeune homme. Elle consiste à offrir des présents aux parents de la jeune fille et à la jeune fille pour demander la main de cette dernière.

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La cérémonie de dot est riche en émotion et en animation. Au début de cette cérémonie, les tantes, les sœurs et peutêtre les cousines du jeune homme viennent en chant dans la maison de la famille de la jeune fille avec des présents qui seront offert à la jeune fille et à ses parents. De ses présents on peut citer : une demi pièce de tissu « tchigan » pour la mère et une autre pour le père, des bouteilles de liqueurs dont le nombre varie entre 12 et 24 selon la famille, des noix de colas « ata ou vi », un sac de sel et une valise comprenant des cadeaux destinés uniquement à la mariée ( bijoux, tissus, ustensiles de cuisines et peut être une maison, des voitures cela dépend des moyens dont disposent le jeune homme). La composition des éléments à fournir diffère d’une famille à une autre. Cependant certains composants sont obligatoires. On peut citer la noix de colas, les tissus, et les liqueurs. La dot est un événement spécial dans la vie du couple. Certaines personnes pensent que la dot est un moyen pour la famille de la jeune fille d’escroquer le soupirant. Loin de là, la dot permet aux parents de la jeune fille de voir la capacité du soupirant à s’occuper de la leur fille. La dot confère au jeune homme, un statut honorable, il passe du statut de petit ami au gendre. Il commence à être considéré par sa belle famille dès que la dot est donnée. Cela lui permet également d’intervenir dans des discussions sérieuses de sa belle famille. Pour la jeune fille la dot représente un privilège, une marque de dignité. Les sages disent à cet effet “ eda xou ahoh a”, d’où la traduction donne “elle n’a pas épousé gratuitement un homme”. De là elle peut donner le titre de mari à son homme. La femme peut se porter volontaire pour aider financièrement l’homme lorsque ce dernier n’a pas les moyens. Dans certaines cultures comme celle de l’Inde et de l’Italie c’est la famille de la fille qui donne la dot.

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EVENT

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EVENT

MODASH 8EME EDITION AU CELLO NIGHT CLUB Les choses ont pris une autre dimension lorsque TRACE AFRICA passa la pub! La qualité de nos nightlifeurs s’est améliorée, les styles plus rafinés et affirmés. Telle la rentrée des classes, MODASH 2015 a démarré avec tous ses adeptes au complet et au rendez-vous. La plus grande fête du tissu imprimé africain est devenue un culte de la mode et du son; culte célébré avec faste chaque année. Nous attendons avec impatience le 14 Août prochain, l’apothéose du coté de Dream Beach.

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C’KOI C’KOIMAG MAGIIN°20 N°20II

THE SUSPECT

KING MENSAH

Mes 20 années de carrière sont passées très vite et sans difficultés.

King Mensah est la plus célèbre voix musicale du Togo. Né d’un père togolais et d’une mère béninoise, King Mensah a débuté sa carrière professionnelle en 1995. Mais jouait déjà dans des groupes folkloriques de musique depuis l’âge de neuf ans. Le 5 juillet, il était en concert au théâtre de verdure de l’Institut Français de Cotonou pour présenter son 8ème album en prélude à la célébration de ses 20 années de carrière l’année prochaine.Il a accordé une interview exclusive à C’KOI magazine.

NOUS SOMMES À LA VEILLE DE VOS 20 ANS DE CARRIÈRE QUE VOUS CÉLÈBREREZ L’ANNÉE PROCHAINE. QUE PEUT-ON RETENIR DE CES ANNÉES PASSÉES SUR LA SCÈNE MUSICALE ? Que de bonnes choses. Je n’avais pas pensé au départ que je serai proche de fêter 20 ans de carrière. Je remercie Dieu pour cela. Et tous ceux qui m’ont accompagné jusque-là. C’est parce qu’ils m’accompagnent que je continue à chanter. Encore une fois merci. 18

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CELA A DÛ ÊTRE DIFFICILE DE RÉSISTER PENDANT 20 ANS ? Non ! Quelque chose qui est difficile, trop difficile, on abandonne. Si je dis que c’est difficile, c’est comme si je suis en train de décourager les gens. Et c’est aussi un peu comme si j’étais ingrat envers mon Dieu. Je n’ai pas vu les difficultés. Les 20 années sont passées très vite.

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QUI EST…… ? VOUS VENEZ DE LANCER VOTRE 8ÈME ALBUM AU BÉNIN APRÈS L’AVOIR LANCÉ AU TOGO. L’ALBUM EST UN AVANT-GOÛT DE CELUI QUI MARQUERA VOS 20 ANS DE CARRIÈRE L’ANNÉE PROCHAINE. IL EST TITRÉ « SOKÈ ». POURQUOI ? Je marche sur les gens et beaucoup de gens me marchent aussi dessus. Ça arrive. Mais c’est très important qu’on se pardonne. C’est difficile de se pardonner mais si on ne se pardonne pas on ne peut pas avancer. LA PLUPART DE VOS CHANSONS SONT RICHES EN SAGESSE ET EN LEÇONS DE VIE. C’EST DÛ À VOTRE VÉCU ? C’est dû à mon père. Il parle toujours en parabole. Moi, je ne peux pas dire autre chose à part les leçons de vie. Ce sont des choses que je maîtrise mieux que la fête ou d’autres choses. Je ne pousse pas les gens à danser sur mes chansons. Cela m’énerve des fois quand je vois des gens danser sur ma musique. Je préfère que les gens écoutent ce que je dis. LE FAIT QUE VOUS VOUS ÊTES LANCÉ DANS LA MUSIQUE EN 1995 EST AUSSI DÛ À VOTRE PÈRE ? Cela aussi je peux dire oui. Mon père, il chantait des chansons traditionnelles à la maison. Donc, il fait partie des gens qui m’ont inspiré au début de ma carrière. Mon père n’était pas contre le fait que je fasse de la musique. J’ai eu un père qui nous a poussés à devenir nous-même. Quand on est père, ce n’est pas de pousser les enfants à rentrer dans leur sagesse mais de les pousser par contre à rentrer dans leur propre sagesse. Aujourd’hui, si un bon père veut accompagner ses enfants, il ne reste pas devant l’enfant mais plutôt derrière. On ne pousse pas nos enfants à nous ressembler. Les parents doivent aimer leurs enfants, les encourager, les diriger. Ils ne doivent pas les imposer des choses. Il y a beaucoup de papa aujourd’hui qui poussent leurs enfants à faire leur rêve raté. Les enfants ne sont pas des habits.

THE SUSPECT

QUEL REGARD PORTEZ-VOUS SUR LA MUSIQUE BÉNINOISE ET TOGOLAISE D’AUJOURD’HUI ? Il y a un travail qui se fait. Mais des fois je rigole et je crie un SOS pour la musique en Afrique. Avant, nous, les enfants qui avions perdu nos parents très tôt, au moins les chansons nous éduquaient. Mais aujourd’hui, si tu entends ce que les jeunes écrivent comme texte, cela te pousse à te mettre une balle dans la tête. Il n’y a plus grand chose qui se dit aujourd’hui. Je ne chante pas parce que j’ai une belle voix. Je chante parce que j’ai des choses à dire aux gens. Donc c’est important de penser au texte. Mais aujourd’hui, on fait plus la musique qui fait danser, on ne pense plus au texte. Ça crie beaucoup, on n’entend plus la belle voix, on n’entend plus le texte. HORMIS VOTRE CARRIÈRE MUSICALE, VOUS MILITEZ POUR LE BONHEUR DES ORPHELINS ET DES ENFANTS DÉMUNIS. POURQUOI ? Parce que je le suis moi-même. Mes parents se sont séparés quand j’avais 3 ans. Mon père il est décédé quand j’avais 13 ans. C’est pour cela que j’aide les orphelins. J’ai un orphelinat au Togo qui compte aujourd’hui une trentaine d’orphelins. Je ne vais pas à l’église les dimanches. Mais dans la Bible, Dieu nous demande de s’occuper des orphelins et des veuves. C’est ma façon aussi à moi de remercier Dieu. EST-CE QUE VOUS VOUS APPRÊTEZ À TOURNER LA PAGE DE LA MUSIQUE, UNE FOIS LES 20 ANNÉES DE CARRIÈRE CLOSES ? Non ! Je continue avec la musique. Mais ce qui est sûr, je ne vais pas mourir sur scène. Je pense à autre chose aussi. Herman BOKO & James ADEYEMAN

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PUBLI-REPORTAGE

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PUBLI-REPORTAGE

Le 15 Juillet 2015, au Bénin Royal Hôtel de Cotonou, sous le regard attentif de toute la presse béninoise, PIA MARKET et CAMA lancèrent de nouveaux Jus de Fruits sur le marché. “Compal”, “Sumol” et “Um Bongo” : trois différents jus 100% naturels mis à disposition avec une pléthore d’avantages au profit du consommateur. Dans les supermarchés et grandes surfaces, vous savez désormais quoi choisir!

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SPORT INFOS SPORTIVES

“l’émission qui renforce la fraternité de 5 jeunes.” Plus qu’une émission, Radio Foot Internationale reste pour certains un symbole d’unification qui renforce leur fraternité et amitié. Leurs études ou encore leurs professions respectives éloignaient des frères les uns des autres jusqu’au jour où ils ont connu autrement « Radio Foot Internationale », une émission de RFI. Et depuis ce temps, chaque soir du lundi au vendredi, je les retrouve plus que jamais unis. Didier, Thiburce, Michael, Rock et Jacob sont 5 frères d’une grande famille. N’eut été Radio foot internationale, leur fraternité aurait pris un grand coup. « Des années plutôt, bien avant qu’on ne commence par suivre cette émission sport de RFI ensemble, je n’avais presque pas une occasion pour discuter avec mes frères. Et vice-versa. Tôt le matin, chacun vaquait à ses occupations, moi j’aillais à l’université et le soir on rentrait tous fatigués, chacun dans sa chambre. La seule 22

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chose qu’on ne manquait pas de faire était : les salutations. Tout était entrain de devenir bizarre entre nous jusqu’au jour où j’ai arrêté de suivre Radio foot, seul dans ma chambre », raconte Jacob, le plus jeune. Jacob connaissait Radio Foot Internationale depuis 2012, mais il l’écoutait tout seul via son téléphone portable avec des écouteurs dans les oreilles. Ses frères en faisaient pareil. A l’entendre, cette façon discrète d’être auditeur les a tous rendus distants pendant des années. Il s’explique : « entre 2012 et 2013, ce n’était plus trop la fraternité entre mes frères et moi. Je quitte les cours et déjà à 19h 30mn je suis à la maison. Juste après ma douche et le dîner, je retourne dans mon lit et toute mon attention est figée sur

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INFOS SPORTIVES

Leurs études ou encore leurs professions respectives éloignaient des frères les uns des autres jusqu’au jour où ils ont connu autrement « Radio Foot Internationale »

SPORT

21h 10 (TU), l’heure à laquelle commence la rediffusion de Radio foot international. Là, personne ne pouvait plus adresser la parole à l’autre. Et ça fait au lendemain pour un bonjour ou un bonsoir. Mais aujourd’hui il y a un grand changement». Le lien sacré entre ces 5 frères a pris un grand coup pendant presqu’un an avant que leur émission favorite ne vienne tout changer. Tout a commencé un jour férié. « Ce jour, on était tous à la maison puisque c’était chômé. Donc on a eu la chance de suivre radio foot en direct à 15h 10 (TU) dans le grand salon et cette fois-ci, plus via nos téléphones portables, mais via un géant poste-radio qui faisait presque trembler les mûrs de la chambre (sourire…)», s’en souvient très bien Didier. « La vive voix d’Annie nous a tous sorti de nos chambres après que mon frère Jacob ait mis en marche le poste-radio du salon. Le volume était trop mais personne n’a pu résister. On a laissé nos égaux de côté et on a rejoint Jacob dans le salon. Depuis ce jour, que ce soit à 15h ou à 21h, on écoute ensemble Radio foot et cela a consolidé notre relation fraternelle », poursuit-il. Il y a plus que jamais une forte union entre eux et cela ne passe plus inaperçue. Le mardi 7 octobre 2014, j’ai moi-même eu la confirmation. Sur rendez-vous, je me présente chez les 5 frères à 21h 13 (TU). Déjà, j’ai accusé un retard de 3 minutes. Je prends place et je fais le décompte : les 5 frères et 4 autres de leurs amis. Un calme total règne dans le grand salon. Même plus un mouvement de qui que ce soit. « eh ! Qui fait ça ? », a été la réaction de Rock, lorsque leur petit neveux traînait ses pas sur la terrasse de la maison. Il justifie cette brusque et vive réaction : « Quand on suit cette émission, c’est le calme total. Plus de geste, plus de va et vient dans la chambre et dans l’entourage. Les commentaires et autres sont réservés pour la fin ». La discipline s’impose, mais laisse quelques fois place aux rires. Quand Annie Gasnier aborde par exemple le sujet « Wenger-Mourinho », tous sont bien concentrés mais n’ont pu retenir leurs rires et grimaces suites au propos de Mourinho en élément sonore : «C’est un spécialiste de l’échec, pas moi. S’il a raison et que j’ai peur d’échouer, c’est parce que ça m’est rarement arrivé. Peut-être qu’il a raison, mais peut-être que je n’ai pas l’habitude d’échouer. La vérité, c’est que lui est un spécialiste. Huit ans sans le moindre trophée, ça c’est un échec. Si ça m’arrivait à Chelsea, je quitterais Londres et je ne reviendrais pas».

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Place aux commentaires… GRANDE PROMO FIN D’ANNEE A MOBILE STORE

-15% du 03 Déc 2014 au 17 Janv 2015

-50% -50% C’est déjà la fin de radio foot. Personnes d’entre ces jeunes ne rentre automatiquement chez lui. Tous se dirigent vers la cour. Les commentaires jaillissent de part et d’autre. Les 5 frères qui, des années plutôt ne s’adressaient presque plus la parole, retrouvent un sourire commun et ont la même opinion au sujet de Wenger et son Arsenal. Pour eux, Arsène Wenger en fait de trop. Dans une grande complicité, ils ont même traité le coach

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des Gunners de « récidiviste ». « ce n’est pas pour la première fois que Wenger agit de la sorte. Les journalistes l’ont dit tout à l’heure dans radio foot. Donc avouons qu’il n’a pas raison. Personne n’est contre lui, mais il est en faute », tentent de justifier Didier et Thiburce. Là encore, on remarque l’unité des 5 frères, qui se soutiennent dans un débat contre 6 autres jeunes du quartier. Les esprits s’échauffent et le débat devient plus bruyant. Dans un style sarcastique, Michael fait appel à ses frères : « Jacob, Didier, Thiburce, Rock; allons discuter dans la chambre. Ceux là ne connaissent rien du football. On dirait même qu’ils dormaient quand l’émission passait. On y va ». Dans un style propre à eux, les 5 frères s’éclipsent de la scène avec toute la fierté d’être des accros de Radio Foot Internationale. Owarindé Adéyèman 24

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LES BONNES AFFAIRES

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CA S’DISCUTE

LA PÉNURIE D’ESSENCE À COTONOU

QU’EN PENSEZ-VOUS ?

Le coût du transport a augmenté ces derniers jours à Cotonou. Automobilistes et cyclistes ne cessent de se plaindre des désagréments qui découlent de la pénurie d’essence au Bénin. Certains citoyens ont rompu le silence et donnent leurs avis sur la situation. ADÈ FINANGNON, (conducteur de taxi-moto)

FIRMIN AZÔ, (Chauffeur)

SATURNIN AGON, (imprimeur)

Le client ne veut rien comprendre pour une si longue distance, elle vient de m’imposer 300 francs au lieu de 500 francs. Le carburant est très cher depuis un moment et cela ne nous arrange pas du tout. Le Kpayô ! Il n’y en a plus du tout, et les stations services ont les réserves vides. On est dans du désordre vraiment.

La situation est inexplicable. On interdit le Kpayô dans le pays et on ne crée pas de stations service pire encore, on n’approvisionne pas le peu de stations en place. Nous souffrons pour un truc simple. Il faut que tout ça change.

Pas de mots! Je me pose juste une question et rien d’autre : pourquoi le Nigéria juste à côté de nous flotte sur le pétrole et notre Bénin en manque autant ? Que le président me réponde.

SOSTÈNE OLOYÈ (Conducteur de taxi-moto)

Le carburant est cher, le gouvernement s’en fou et tout retombe sur nous. Moins de clients, moins de recettes et du coup la famille souffre à la maison. Les autorités, eux ils ne manquent jamais de carburant ; même si le coût est à 10.000 francs le litre, ils n’en manqueront jamais. Moi je leur demande juste de négocier avec l’Etat nigérian pour que les béninois souffrent moins. 26

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Le Casting pour la sélection des candidats de la Saison3 a eu lieu le 25 Juillet 2015 à BlueZone Zongo. Ce fut l’occasion pour les inscrits de faire valoir leurs talents dans les domaines du stylisme, de la photographie et du mannequinnat. Au terme du casting, le jury a dégagé 6 mannequins filles, 6 mannequins garçons, 6 stylistes et 3 photographes pour la phase finale de l’aventure qui s’étend sur un mois et connaitra son épilogue le Samedi 29 Août 2015 du côté de l’Esplanade des Banquets à Cotonou. C’KOI MAG I N°20 I 27 LE 29 AOUT 2015 A L’ESPLANADE DES BANQUETS, VIVEZ LA NUIT DU PRIME URBAN CODE SAISON3 Vivez la cérémonie en images.

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SAVOIR FAIRE ppelle

On m’a

LLE E H C I M WEVI DO

Je suis

Animatrice, présentatrice, voix off, j’exerce ma passion depuis 2005 en prêtant ma voix à tous types de projets audiovisuels ; Publicités, habillage radio, doublage de films et feuillettons, etc.

Top

Passionnée de culture et surtout de musique, j’ai intégré le Groupe de Presse La Gazette du Golfe en 2009. Animatrice sur de grands événements tels que : RnR Awards, Moov Summer Time to Dance et Moov Dance aussi bien à Cotonou qu’à Lomé.

Premiers pas

Moov Feeling Moov Rechargement, fut ma première expérience télévisée. Cela se passait sur l’ORTB (télvévision nationale du Bénin).

Objectifs

Dans ma profession je vise les sommets et je n’arrête pas d’apprendre ni de corriger mes erreurs.

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TALENT

Sur les traces des aînés ...

BABATUNDÉ ADJOFOGUÉ

28 ans, PDG de « Detune », Agence d’études et de rénovation Babatundé ADJOFOGUE est un jeune entrepreneur autodidacte qui s’est lancé en 2013 dans l’ingénierie de construction au Bénin. « Detune », une agence d’études et de rénovation qu’il a créée avec l’aide de ses amis, tente de se frayer un chemin dans un domaine où la concurrence est de taille. Le jeune entrepreneur espère pouvoir trouver ses marques. Mais ce ne serait sans l’appui de ses aînés. Il leur lance donc un appel… Hermann BOKO

Vous venez de monter l’entreprise « Detune » spécialisée dans la construction de bâtiments. Parlez-nous-en ? «Detune»

est une jeune entreprise d’ingénierie de construction qui propose aux particuliers comme aux professionnels une gamme de prestations adaptées à leurs besoins. Notre objectif c’est avant tout de proposer à nos clients, des 34

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services personnalisés en fonction de leurs attentes, de leurs besoins et de leurs bourses en alliant compétitivité, maîtrise des coûts et qualité. A « Detune », nous nous occupons non seulement du gros œuvre mais aussi du revêtement intérieur de vos bâtiments, du design intérieur, de l’aménagement et du mobilier. Le dynamisme de notre équipe permet de faire tout cela avec un meilleur rapport qualité-prix et dans le respect des délais.

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TALENT Pourquoi avoir voulu monter une entreprise dans l’ingénierie de construction ? Tout d’abord parce que c’est un secteur porteur sur un continent en construction. L’Afrique connait un rythme de croissance soutenue depuis plusieurs années. Les BTP sont justement l’un des secteurs les plus en mouvement sur le continent. Il faut un développement infrastructurel conséquent pour soutenir l’émergence de nos pays. Le Bénin est un pays où il reste encore beaucoup à faire. Les entreprises s’installent de plus en plus, les particuliers nourrissent de plus en plus des envies d’être propriétaires. Il faut bien des gens pour construire des sièges aux nouvelles entreprises et de belles maisons aux nouveaux propriétaires. Il faut aussi dire que tout petit, j’avais une passion pour l’architecture, la construction et la décoration. Je me disais quel que soit le type de boulot que l’on fait, qu’il fallait évoluer dans un environnement sain qui soit le reflet de notre personnalité en y mettant de la couleur. C’est vrai que mes premiers diplômes n’avaient aucun rapport avec l’architecture ou le génie civil – j’ai fait de l’électronique et du marketing – mais j’ai dû revenir dans le domaine qui me passionnait.

Quelles sont déjà les réalisations de « Detune » ? « Detune » est une entreprise de jeunes motivés, donc nous avons travaillé avec des acteurs du secteur privé. Pour nos premières réalisations, nous avons notamment aidé à la rénovation de bars lounge comme « le Tabou », « le Bouddha bar » et le complexe hôtelier « No stress ». Cela a été d’ailleurs un

plaisir de travailler sur des infrastructures de ce genre à cause de leur complexité. Cela demande beaucoup d’ingéniosité et il faut quelques fois avoir un sens d’improvisation très pointu. Notre travail sur ces différents chantiers a reçu un satisfecit de la part de ces promoteurs. Nous en sommes ravis.

Les BTP sont l’un des secteurs les plus en mouvement sur le continent. Il faut un développement infrastructurel conséquent pour soutenir l’émergence de nos pays. Vous êtes une jeune entreprise, quels sont les problèmes que vous rencontrez sur le terrain ? Les Béninois construisent beaucoup. En témoignent les différents chantiers que nous voyons dans nos villes. Mais ils ne s’adressent souvent pas aux bonnes personnes. Le plus souvent, même si la tendance commence pas s’inverser actuellement, les propriétaires se confient aux maçons qui eux ne sont pas des experts en conception. Ils ne sont que des exécutants. Il y a beaucoup de détails techniques qu’il faut prendre en compte, quand il s’agit de construire un bâtiment. Et les maçons n’ont pas les connaissances requises pour cela. Finalement le propriétaire est souvent déçu à long terme de la qualité de son ouvrage. Si ce n’est pas des problèmes d’étanchéité, c’est peut-être un escalier trop restreint ou une salle mal éclairée par la lumière du jour.

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TALENT Les Béninois disent que les cabinets d’architecture coûtent très chers. C’est peut-être vrai. Mais venez-nous voir à «Detune ». Nous vous ferons un travail exceptionnel à un prix imbattable.

Au Bénin, il y a déjà des cabinets qui se sont imposés sur le terrain et de très grande renommée. Vous, vous êtes une jeune entreprise. Comment pensez-vous pouvoir tenir sur le terrain de la concurrence ? Nous n’allons pas avoir la grande gueule. Sur cette question, il faut plutôt rester modeste et humble. Nous sommes conscients qu’il y a déjà sur le terrain, nos aînés qui font un travail exceptionnel et prennent de gros marchés. On ne peut pas aller en concurrence avec eux. Ils ont de gros atouts : l’expérience et surtout le relationnel. Ils ont les contacts qu’il faut. Nous, nous cherchons à nous rapprocher d’eux et à profiter autant que possible de leur expérience et de leur carnet d’adresse. Il faut que ceux qui sont déjà sur le terrain depuis des dizaines d’années, nous fassent aussi profiter de leurs expériences; nous qui venons de naître. C’est un appel que je lance à l’endroit de nos aînés et aussi des dirigeants de notre pays. Nous saluons les efforts qu’ils font pour lutter contre le chômage et permettre aux jeunes d’entreprendre et d’éclore. Mais ils doivent aussi savoir que se lancer et résister dans le monde de l’entreprenariat n’est pas pour autant facile. C’est pourquoi nous les demandons de nous accompagner et de nous aider à accéder aux marchés.

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Comment entrevoyez l’avenir de « Detune » dans quelques années ?

« Detune » se veut une boîte de construction d’infrastructure de qualité et futuriste. Nous voudrons être parmi les meilleurs au Bénin dans le domaine de l’immobilier.

... Nos aînés font un travail exceptionnel... On ne peut pas aller en concurrence avec eux. Ils ont l’expérience et surtout le relationnel... Nous, nous cherchons à nous rapprocher d’eux et à profiter autant que possible de leur expérience.

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INSIDE

ARAFAT OSSENI Dans le C’KOI ? Numéro2, elle a été mannequin aux premiers pas de la rubrique “Fresh People”. Aujourd’hui, nous lui rendons visite pour jouer à Rien à cacher. Par Isaura LE 29 AOUT 2015 A L’ESPLANADE DES BANQUETS, VIVEZ LA NUIT DU PRIME URBAN CODE SAISON3

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Bonjour. Laisse-moi te dire que tu es sublime, Arafath, Fafa, Fatou, Abèni… ça fait beaucoup de prénoms. A l’état civil c’est…… ?

INSIDE

OSSENI Arafath, Madame LATOUNDJI.

Elle s’appelle Arafat OSSENI, la jeune Directrice de Création de la marque Aleksei, qui fiat des bijoux en perles de luxe, nous a accueilli dans son domicile pour partager sonn expérience de la vie professionnelle et sociale. Une idée de ton cursus… ?

Pourquoi les perles de luxe ?

Le concept Nanawax a été très bien conçu, vous l’avez réalisé toute seule ou avec des personnes qui vous ont soutenue parce qu’elles croyaient en vous?

Le cours primaire à Ronsard, le secondaire à Lucie Vérone et après le bac, j’ai fait mes études universitaires au CESAG, à Dakar ou j’ai eu mon Master Audit.

Les photos ! Un jour en regardant des photos de mariages traditionnels nigérians, j’ai été séduite par des colliers des mariées. Ce fut le coup de foudre. Je suis une adepte du bricolage, j’adore tout ce qui est fait à la main. Je me suis dit qu’il fallait essayer d’en faire à tout prix. Finalement, nous y voilà !

Les perles que tu aimes travailler le plus ? Raconte l’aventure

J’adore l’agate, l’œil de lynx, l’œil de tigre et les cristaux C’KOI MAGswarovski. I N°20 I

J’ai commencé toute seule, et avec la vitesse des commandes j’ai pris un ouvrier que j’ai formé et qui travaille actuellement avec moi.

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Parle-moi d’ALEKSEI….

INSIDE

Les shamballas sont-il has been ? Non, chaque bijou a sa période. Les bracelets Shamballas étaient en vogue, c’est pourquoi ils étaient prisés. Aujourd’hui ce n’est plus pareil. Les perles Swarovski ont pris le dessus à cause des bijoux de mariage et autres évènements de prestige qui demandent qu’on brille de mille feux. Les types de femmes addict à tes bijoux …. ? Toutes les femmes qui apprécient les bijoux en perles. Les béninoises qui en connaissent la valeur, les nigérianes, les camerounaises, les sénégalaises, les français et canadiens sont aussi intéressés par ce que je fais. Ton style vestimentaire… Je suis très classique dans mes goûts, un sérieux penchant pour tout ce qui est noir, sobre. En journée, un haut, un pantalon, des mocassins et je me lance ! En soirée, une robe chic et des escarpins. Le coaching des clientes… Je leur propose ce qui leur convient selon le teint, la couleur de la tenue ou la morphologie. Elles repartent toujours satisfaites. Des partenariats avec des stylistes ? J’étais sur le FESMA 2015. Une expérience vraiment « wow ! ». J’ai travaillé avec une styliste venue de Dakar. On a accessoirisé ses tenues, elle était impressionnée. La réaction face à la concurrence….. Elle est toujours là la concurrence. Pour me démarquer, je mets un point d’honneur sur le prestige et la qualité de la finition de mes créations. J’exige tout ce qui est luxueux, rare et unique. Un jour en priant, j’ai demandé à Dieu de m’inspirer pour le nom de ma boutique et je me suis réveillée avec ce nom dans la tête. ALEKSEI. J’ai décidé d’approfondir mes recherches, j’ai découvert que ça veut dire Alex et qu’il signifie Créativité, Opulence, Luxe et Prestige. Je l’ai gardé parce qu’il répond exactement à ma conception.

Une expérience inoubliable… Une dame m’a appelée à 23H une nuit parce qu’elle voyageait le lendemain sur le Gabon. Elle devait partir avec trois de mes magnifiques bijoux. J’étais seule avec ma fille et il était tard. Après une brève réflexion j’ai décidé de relever le défi. J’ai travaillé toute la nuit, c’était rude. Mais contente parce que j’avais atteint mon objectif et elle était satisfaite du résultat. L’unique chose que tu emporterais sur une ile déserte. Une personne. Ma fille ! Le plus beau cadeau qu’on vous ait jamais offert Je me suis mariée le jour de mon anniversaire ! C’était un 14 Novembre. C’était magnifique !

La réussite ! Mais au prix de quels sacrifices ??

Un dernier mot pour C’koi Toutes mes félicitations, j’étais là à la naissance du magazine et c’est un plaisir de constater qu’il a grandi et évolué. Dieu vous bénisse ! Continuez à promouvoir nous jeunes talents. Un bisou à tous vos lecteurs. Merci.

Beaucoup de sacrifices. Je sacrifie mes nuits, il m’arrive de négliger un peu ma fille au détriment de mon travail. Je travaille tout le temps, je ne fais que ça.

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C’KOI MAG I N°20 I 39 C’KOI MAG I N°20 I 39

LE B-A BA DE COTONOU LE DERNIER NE HOMEBOY LOUNGE HomeBoy Lounge redéfinie vos soirées du Jeudi au Dimanche. Un lounge Made in Bénin. Avec des soirées à thèmes : - MADE IN BENIN les jeudis - TGIF les vendredis - LADIES NIGHT les samedis - MATINEE TROPICALE les dimanches Route de l’aéroport entre Galette à Sucre et Air France

HomeBoy-Lounge-Bar

Tél.67 56 57 58

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Tél. 97 97 52 90

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Tél. 66 76 39 06

L’INCONTOURNABLE LA CABANE D’AS La Cabane d’As s’impose grâce à son espace tout en un : Restaurant Grillade, Pizza, Lounge Bar, et Live Orchestre en week-end, tout est réuni pour pimenter vos journées et vos soirées. Sans doute le nouveau Place to be.

Centre de Promotion de l’Artisanat | A coté du Hall des Arts, Cotonou, Bénin

AU DEJEUNER LE MOJITO RESTAURANT Entre midi et deux, déjeunez dans un cadre idéal, calme. Savourez des plats exceptionnels. De la restauration européenne et des spécialités africaines; un «Menu du Jour» spécialement conçu. Le Mojito vous accueille dans son restaurant Ganhi, à côté du marché et en face FujiFilm. Cotonou, Ganhi, à côté du marché et face de la Société Générale 40

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LE B-A BA DE COTONOU LE COIN PIZZA DODY’S PIZZA En plein coeur de la zone commerciale de Ganhi, le spécialiste des meilleures pizzas de Cotonou s’est érigé sur un R+1. A déguster ou emporter, essayez des pizzas maisons que vous ne trouverez nulle part ailleurs.

Tél. 67 04 66 66

Dodys-Pizza-Pasta

Cotonou, Ganhi, Rue ex-Collège La Flèche, face au siège de Air Côte d’Ivoire

PIEDS DANS L’EAU TAHITI HOTEL & RESTAURANT Hôtel, bar, restaurant, piscine et tobogan se donnent rendez-vous en bordure de mer au quartier Jacques pour des moments de délices. Profitez pleinement de votre détente en commandant votre repas pendant que vous piquez une tête et que les enfants jouent. Tahïti a tout l’air d’un vrai centre aéré, le premier du genre qui pense en même temps aux parents et aux enfants. Tél. 96 77 77 77

Tahiti Hotel Restaurant

Cotonou, Akpakpa, Plage Quartier Jacques

LE COIN JAZZ SOUL 2 SOUL

Ouvert du Jeudi au Dimanche, Soul 2 Soul distille une ambiance sélective faite de Jazz, karaoké. Un vrai Live Band Club, un cabaret select pour emflammer vos soirées festives. Soul 2 Soul ambiance VIP à la portée de tous. Aimez le Jazz, Aimez Soul 2 Soul. 61 61 68 80

Vals-Plazza

Centre Commercial Vals Plazza, Cadjehoun. Immeuble blanc avant la Rue de la Résidence privée du chef de l’Etat

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Story est une oeuvre de pure fiction. Par conséquent toute ressemblance avec des situations réelles ou des personnes existantes ou ayant existées ne saurait être que fortuite !!!

STORY

LA FEMME DE MON PERE (fin) J’embrassai ma mie. On était tous deux assis dans le sable face à la mer, elle sirotait un coco en riant. Quand elle eut presque terminé, les renversa les dernières gouttes sur ma tête et partit en courant comme une gamine. Je m’élançai, la poursuivit. Oh je savais ce que je ferais si je l’attrapais. Je la jette dans l’eau. Elle cou-rait très vite et l’écho de son rire dansait dans le vent. Son maillot jaune n’étais plus visible alors je criai son nom. – Graciiiiaaaaaaaaaaa !!!!! La brume me répondit. J’eus la peur au ventre, une main me saisit brusquement. Je me suis réveillé dans une chambre d’hôpital, il était 4 heures du matin. Ma mère était là. Silencieuse mais inquiète. - Maman ? - Tu me vois ? - Oui.

Ep.07

- Dieu soit loué ! tu vas bien ? J’appelle le docteur. Elle revint avec un jeune homme en blouse blanche, surpris mais souriant qui m’ausculta rapidement. Je sentais que je nageais dans un flou. Quelque chose m’échappait. Je m’endormis immédiatement.

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STORY Je voulais rattraper mon rêve, enfin, ma perle. C’était impossible. Je passais un long moment à réfléchir. Rien.... Il fallait que je l’appelle, pourquoi n’est elle pas à mes côtés ? Qu’est ce qui s’est passé la dernière fois ? Pourquoi suis je ici ? - Il va mieux, il s’est réveillé tout à l’heure. - Très bien. Si il y a du nouveau , préviens moi. J’ouvris automatiquement les yeux et croisai le visage grave de mon père. On se regardait, il ne disait rien, puis il quitta silencieusement la pièce sans un mot. Je me redressai, il était 9heures. - Maman ? - Oui chéri. Elle s’assit près du lit. Toucha mon front brûlant. - Qu’est ce qui s’est passé ? - C’est juste une crise de fatigue, tu travailles trop. - Ah, mais c’est tout ? Je me sens mieux maintenant, je peux me lever. Je suis fatigué, je veux rentrer, tu sais que je n’aime pas les hôpitaux. Depuis combien de temps suis je ici ? - Oui je le sais. On a juste fait trois jours. Tu va rentrer ne t’inquiètes pas, on attend juste les résultats de tes analyses. On espère que c’est rien de grave. - A part papa.... quelqu’un est il venu me voir ? - Tes amis, Mario et ton oncle. La famille.... - C’est tout ? Gracia n’est pas venue ? Il eût un courant d’air, je frissonnai. Je sentais quelque chose de bizarre, d’indescriptible. - Non.. - Peut-être qu’elle ne le sait pas. Il faut que je l’appelle immédiatement. Où est mon téléphone ? - Je n’en sais rien. Tu l’as laissé peut–être au bureau. - Pas grave, prête moi le tien. - Je n’ai pas de crédit. La phrase me parvient comme une gifle. - Maman, tu as toujours des unités, tu les cumules en désordre, ce n’est pas possible que tu les finisses. Prête moi ton portable s’il te plait. Je vis ma vieille blêmir tout à coup. - Tu ne te souviens de rien ? - A propos de quoi ? - Gracia... 44

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- Il s’est passé quoi avec elle ? - C’est une longue histoire, ton père te la racontera. Pour l’instant il faut penser à te reposer. - Passe moi ton portable maman. A force d’insister, elle finit par céder. Je composai le numéro de ma dulcinée qui sonna dans le vide. C’était atroce. Je répétai inlassablement. Finalement j’envoyai un message. « ma perle c’est moi, décoche stp » Au bout d’un quart d’heure, rien. Je composai alors le numéro de mon père. - Papa, c’est moi. Je voudrais te parler. - Je suis au ministère, je serai là dans l’après midi. - Très bien, je t’attendrai . Le temps était long, j’imaginais toute sortes de scénari, je ne me souvenais de rien. J’essayai de cuisiner ma mère, rien. Elle fut sauvée de justesse par l’arrivée de mes potes. Les voir, c’était comme un bol d’air frais. Leur présence avait réussi à me faire oublier mon problème un instant. Je m’assoupis à leur départ, c’est normal, ils me droguaient pour que je dorme assez. Il était tard. Je descendis de mon lit pour marcher un peu. J’avais l’impression d’être en cage. Il fallait que je sorte. Je trimbalai ma bouteille de perfusion dans le couloir et je marchai un long moment. Je me sentais mieux. C’est alors que je vis cette dame, la mère de ma dulcinée, ma belle mère. Elle venait droit vers moi. Venait elle me voir ? Elle leva les yeux, sembla me reconnaître et vira dans un autre couloir. Pourquoi tant de mystères ? Qu’est il arrivé à ma perle ? J’essayai de la rattraper aussi vite que je pouvais, je la trouvai au téléphone. « Isidore, ton fils est juste à côté de moi, au service des urgences » C’est tout ce que j’avais entendu. - Bonjour madame - Comment tu vas ? Elle avait un sourire radieux malgré ses traits tirés. - Bien mieux, Comment va Gracia ? - Elle s’en tire... Ton père te cherchais dans ta chambre. - Elle s’en tire de ?..... Que lui est il arrivé ? - ...... ?

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STORY - Fernand ! C’était mon père, je me retournai tout doucement. Viens, on a une discussion à tenir. Je te rejoins dans ta chambre. Je fis mes adieux à ma belle mère et marchai d’un ton calme. « Comment ça vous ne lui avez rien dit ! Isidore ? C’est ignoble ! Ma fille a failli mourir ! Calme toi Alexandra ! J’entendais le brouhaha de leur voix puis je tournai à mon tour dans le couloir. Les choses étaient claires dans ma tête : j’avais surement fait un accident avec ma perle, et elle avait du mal à s’en tirer. J’ai tué ma petite femme. Pourquoi ne me souviens je de rien ? Tout est si sombre. Ma mère m’acceuillit sur le pas de la porte. Sans un mot je me mis au lit. - Pourquoi m’avoir caché la vérité ? J’ai vu la mère de Gracia. - Ah, la femme d’Isidore... - .... ? - Isidore n’est pas ton père. Je suis désolée de te l’avoir caché durant toutes ses années. C’est une très longue histoire. Le ciel n’avait pas fini de s’assombrir. Mon père entra dans la pièce. Et il s’assit près de moi. - A l’époque je revenais de France, pour les funérailles de ma mère. J’ai rencontré ta mère, elle m’a beaucoup aidé, je n’ai connu âme si généreuse. Cependant je ne savais comment la remercier. Non je n’étais pas riche. J’étais encore étudiant. Le pays était dur. Elle aimait un jeune homme qui est parti en cote d’ivoire lorsqu’elle lui a annoncé qu’elle était enceinte. Alors pour sauver sa face devant ses parents, j’ai décidé de donner mon nom à son fils. Je l’ai épousé, sans lui cacher que j’étais déjà marié en France . J’avais épousé la femme que tu as vu dans le couloir, la mère de ta petite amie. J’ai essayé de tirer un trait sur mon passé afin qu’il ne me hante pas. Avec ta mère le contrat était clair, on aurait pas d’autres enfants. J’ai abandonné Alexandra qui s’est rendue compte deux mois lus tard qu’elle portait mon bébé. Elle étudiait la photographie, mais s’est convertie en esthéticienne pour pouvoir élever sa fille dans de meilleures conditions. Lorsque j’ai vu Gracia pour la première fois, elle me rappelait quelqu’un, mais j’était loin de me douter que ce serait la même personne qui m’appellerait pour que je lui ramène

sa fille qui a fugué. Cette fille qui venait te voir, je la croyais plus jeune à cause de vos différents niveaux d’études. Je ne pouvais pas savoir que vous aviez le même âge pratiquement et que c’était ma fille. Ma fille. C’était un sentiment nouveau pour moi. Avant que je ne puisse en discuter avec ta mère, les choses avaient pris une tournure déroutante. Alexandra me haïssait parce qu’elle croyait que j’avais trahi son amour. Elle a raison. Tout aurait pu être différent si Gracia en apprenant la nouvelle lorsque sa mère te parlait, n’avait pas eu recours au suicide. Elle s’est presque vidée de son sang en s’ouvrant les veines avec un morceau de vase brisé. En voyant ton rêve se briser, tu t’es évanoui. Le fait que tu ne te rappelle plus de rien est dû à la violence du choc et, Additionné aux longues heures de travail sans repos, le cocktail de fatigue était bon pour te tenir trois jours au lit. Nous sommes vraiment désolé. Ta mère, Alexandra et moi, de vous avoir embarqué dans notre vie. Tu n’es certes pas mon fils, mais je t’ai élevé comme tel. Tu mérites d’épouser ma fille, Alexandra ne sera pas un obstacle pour toi. Ta mère non plus. Ta dulcinée s’en tire au mieux. J’ai pû faire un don de sang pour la sauver. Tout va très bien.... J’étais sonné par toute cette histoire. Je m’endormis un instant. J’en voulais à tout le monde. Je voulais voir ma perle. Je marchai dans le couloir. Je virai à gauche et frappai à la porte le coeur battant. La porte s’ouvrit. Elle m’acceuillit avec un sourire. Elle,C’était la femme de mon père. Sa fille étendue sur le lit me tendit les bras lorsqu’elle me vit. Je m’assis près d’elle tandis que sa mère s’éclipsa. Elle se lova dans mes bras en murmurant « Ils sont fous, j’ai failli mourir » - Ma perle ? - Oui ? - Ne me refais plus jamais ça. - Je te le promets fit elle en m’embrassant sur le front.

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Script by Miss C.L

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THE CTN TIMES

FAITS DE SOCIÉTÉ

Le phosphate togolais à l’assaut des côtes béninoises L’usine de traitement de phosphate de Kpémé situé à une quarantaine de kilomètres de Lomé, pollue la mer. Les effets se font ressentir le long du littoral béninois, depuis plusieurs années, sous l’œil impuissant des pêcheurs. Hermann BOKO

Nous sommes ici, le long du littoral à Grand-Popo à 90 km de Cotonou, la capitale économique du Bénin. Grand-Popo est une ville côtière d’environs 40 milles habitants dont l’activité principale est la pêche. Sur ses plages déjà rongées par l’érosion, la vie aquatique a laissé place à une mer jaunie sous l’effet des déchets issus du traitement du phosphate. Ici, plus de poissons, plus de coraux et de moins en moins de pêcheurs. Difficile de rencontrer des pêcheurs en activité. L’on nous informe qu’ « aujourd’hui c’est jeudi et que les pêcheurs ne montent pas en mer. C’est leur jour de repos ». Au loin une vielle barque abandonnée témoigne de la grande torpeur qui s’est installée et a fait ralentir toutes les activités. « Avant il y avait beaucoup de poissons par ici. Et beaucoup de pêcheurs. C’est le phosphate qui a tué tous les poissons. Il vient du Togo », raconte dépité, Simon, un natif de Grand-Popo et pêcheur. 46

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Cyprien Nouaho est un vieux pêcheur. Il n’est plus en activité mais a une grande connaissance de la pollution marine causée par les déchets phosphatés. « Le problème du phosphate remonte aux débuts des années 70. C’est à cette période que nous les pêcheurs avions constaté la diminution du nombre de poissons au niveau des côtes de Grand-Popo », explique t’il. Le début de l’exploitation du gisement du phosphate au Togo remonte à 1959 et les toutes premières exportations du phosphate se sont faites en 1961. En 1974, la compagnie chargée de l’exploitation des mines de phosphate est nationalisée et prend le nom de l’Office Togolais des Phosphates (OTP). Une usine d’extraction et de traitement du phosphate est alors installée à Kpémé, à une quarantaine de kilomètres de Lomé, la Capitale économique du Togo près d’un quai d’embarquement de 1200 mètres de long. La capacité de production est alors évaluée à 3,4 millions de tonnes par an.

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FAITS DE SOCIÉTÉ Les eaux usées issues du lavage et du rinçage du phosphate sont rejetées directement dans la mer au niveau de Kpémé. « En 1990 d’après les estimations faites, il a été révélé qu’avec sa capacité de production, l’usine rejetait 70 000 à 100 000 m3 d’eaux usées mélangées à 2400 tonnes d’argile et 480 tonnes de sable par jour » affirme Alida AssemboniOgunjimi, Docteur en droit environnemental et juriste environnementaliste togolaise dans une de ses publications.

Certains font croire aux pêcheurs, que le phosphate engraisse les poissons. D’autres pêcheurs sont persuadés que le phosphate a des effets négatifs sur les espèces halieutiques. Le Togo n’a jamais accepté que son phosphate soit source de pollution

THE CTN TIMES

Près de la moitié du littoral polluée Au Bénin, la pollution marine s’est faite ressentir jusqu’à la hauteur de Ouidah à plus de 60 km de la frontière avec le Togo [ndlr : le Bénin dispose de 125km de littoral]. « Lorsque nous observons la dynamique côtière au niveau du Golfe de Guinée, le mouvement des courants marins est d’ouest en est. L’écoulement des eaux s’observent du Togo vers le Bénin. Et donc toute pollution dont la source se trouve au Togo par ce phénomène d’écoulement se retrouve au Bénin », explique Moussa Bio Djarra, environnementaliste et chef service à la Direction de la Protection du Littorale et des Côtes (DPLC) sise au niveau du Ministère de l’environnement du Bénin. Dans le rang des pêcheurs, le flou règne encore sur le caractère polluant du phosphate. Selon Eustache Allaro, président de l’Union Nationale des Pêcheurs Marins du Bénin (UNAPEMAB), les versions diffèrent selon les pêcheurs. « Certains font croire aux pêcheurs, que le phosphate engraisse les poissons. D’autres pêcheurs sont persuadés que le phosphate a des effets négatifs sur les espèces halieutiques. Le Togo n’a jamais accepté que son phosphate soit source de pollution ». Du côté de la frontière béninoise, c’est à Grand-Popo que l’impact de la pollution est beaucoup plus important. Le Centre de Recherche Halieutiques et Océanologiques du Bénin (CRHOB) a procédé récemment au prélèvement des échantillons d’eau de mer à ce niveau du littoral. Georges Dégbé est océanologue au niveau du centre. « Les phosphates sont présents et utiles à faible dose dans l’eau. Ils sont aussi utilisés dans l’agriculture comme engrais. Mais leur excès peut-être très dangereux pour l’écosystème, la biodiversité marine et encourager l’eutrophisation. Au niveau de Grand-

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FAITS DE SOCIÉTÉ

Popo, les résultats des analyses ont révélé une présence de phosphate à un taux de 2, 28 mg/l. Un taux très au dessus de la norme exigée qui est de 0,03 mg/l. Cela explique d’ailleurs l’absence et l’éloignement des espèces halieutiques. Mais aucune étude n’a encore été menée pour évaluer réellement l’impact environnemental. Mais tout le monde reste convaincu que la seule source de pollution est l’usine de Kpémé au Togo. Et la partie togolaise a été amenée à faire le constat ». En 2012 plusieurs échantillons d’eau de mer côtière avaient été aussi prélevés notamment à Hilacondji tout près de la frontière Togolaise. Elle montre une teneur en phosphate de 2,58 mg/l et une faible teneur en oxygène dissous.

Volonté politique Pour pêcher au niveau de Grand-Popo, il faut monter très loin en haute mer. A plus de 6 km de la côte à cause de la marée jaune. « Là bas vous êtes sûr de trouver du poisson en quantité et en qualité. Mais les pêcheurs n’ont pas les moyens techniques qu’il faut pour y aller. Et la baisse de leurs activités a de graves incidences sur les recettes de la mairie. Puisque la pêche est l’activité principale dans la commune », explique un agent du service technique de la mairie de Grand-Popo. « Nous nous intéressons de très près à la situation. Mais en même temps elle dépasse les compétences de la mairie. C’est au niveau nationale et sous régionale que la question doit-être résolue ». En 2001, une rencontre avait réuni les autorités politiques chargées des questions environnementales du Bénin et du Togo. De cette rencontre, sont sorties plusieurs recommandations dont la création de bassins de décantation pour le traitement des eaux usées avant le rejet dans la mer ; Solution qui réduirait considérablement le taux de pollution selon les dires de Bio Djarra, chef service à la Direction de la Protection du Littorale et des Côtes (DPLC) . Un Comité mixte de suivi de la mise en œuvre des recommandations a été créé. Mais depuis la situation n’a jamais évolué. « Le problème de la pollution marine sous l’effet du phosphate est très compliqué à résoudre.

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Parce qu’il faut une volonté politique au niveau des deux Etats. Mais aussi suffisamment de diplomatie pour ne pas créer des incidents » confie un cadre de l’administration. L’exploitation du gisement de phosphates représente 40% des recettes des exportations du Togo. « Ils se verront obligés d’aller vers une résolution du problème. Le cadre de concertation s’est élargi à un niveau régional. C’est désormais l’Union Monétaire Ouest Africaine qui se charge de la question », a confié Morakpaï Chabi Séké, Directeur de la Protection du Littoral et des Côtes au Ministère de l’environnement béninois. Au fil des années, la population de pêcheurs au niveau de Grand-Popo a baissé. Elle est d’environ mille pêcheurs aujourd’hui. Plusieurs sont allés du côté du Gabon, du Congo et de la Guinée. Simon lui monte en haute mer souvent à hauteur de Lagos au Nigéria. Là bas, il a retrouvé le sourire. Gisèle est restauratrice et bien qu’elle ait la mer à sa portée, elle s’en va du côté de Porto-Novo à 122 km pour se ravitailler en poisson. « Il faut souvent faire la distance. Parce qu’ici vous ne trouverez que des fretins ».

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Allumette

DUEL

Briquet

Le briquet comme l’allumette sont deux instruments qui servent à produire de la flamme. A priori, le rôle est le même, mais quand il s’agit de faire un choix, les avis divergent rapidement. Une œillade sur le DUEL #CKOI ? n°20 et vous comprendrez.

Briquet

Allumette

« L’allumette me va confortablement »

« Avec le briquet, on gagne véritablement du temps »

Afoudah Gérôme, chargé de clientèle.

HOLO Donné, transitaire

L’allumette, non seulement c’est moins chère aussi ça ne reflète pas un fumeur. Ce sont les gros fumeurs de cigarette qui aiment l’usage des briquets. J’ai connu l’allumette depuis mon

Le monde à trop évolué aujourd’hui et le seul ustensile qui a pu remplacer comme cela se doit l’allumette, c’est bien sûr le briquet. D’un seul petit geste du pouce, mon feu est prêt. Avec le briquet, on gagne véritablement du temps. En plus de ça, c’est aussi une question de mode. Je ne peux quand même pas me refuser le développement en m’accrochant à la boîte d’allumette et ses buchettes qui polluent n’importe comment ma cuisine. Donc entre l’allumette et le briquet, je choisi le briquet.

enfance, c’est simple et sans le moindre risque de se gâter. Les grands parents l’ont utilisée, les parents en ont fait pareil et pourquoi devrais-je enfreindre à cela ? L’allumette me va confortablement.

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LES AFFAIRAGES

DE LA VIEILLE MERE

DONC ON T A DIT QUE TÉLÉ DU CAFÉ T’APPARTIENT Tu viens prendre café 250, ou un verre d’ananas à 200 et tu passes près de 5H de temps dans le café. Et pour t’occuper c’est toi qui t’appropries la télécommande de la télé et tu zappes comme tu veux. En plus de ça tu mets mal à l’aise tout le monde en prenant tes appels en criant comme tu veux. Pardon va au café du village pour faire ton boucan.

T’AS PAS DIT C’EST TOI QUI SAIS CHERCHER FEMME D’AUTRUI Tellement le gars dont je parle aime kpêtou qu’il goute à toutes les sauces jusqu’à il grè avec femme marié. Mais un jour où il prenait son pied avec une de ses nombreuses conquêtes quand le propriétaire des lieux à taper à la porte. L’appartement dans lequel cela se passait était un studio donc pour ne pas se faire choper par le mari de la dame notre ami s’est caché sous le lit tout nu. Et voilà que madame l’a oublié et mettais bien son mari, c’était les moustiques qui mettaient bien notre ami car ces derniers ont piqué sur son testicule. Hum ce n’était pas la joie pour notre ami. En plus d’être coincé sous un lit avec plein de poussière il ne pouvait pas crier même en ayant mal. ANNONCE DE LA VIELLE MÈRE Les petits de la vielle mère les vacances sont là comme le dit l’autre les vacances sont là ; donc ouvrez grands vos oreilles et yeux pour raconter à la vielle et mère et aux chers lecteurs de C’KOI ? Ce que vous verrez dans la ville en ces périodes de vacances car vous-mêmes vous savez c’est la période où les choses se passent bien même. A bon entendeur salut ! 50

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L’ENFANT PERDU L’autre fois dans le quartier j’ai retrouvé un petit enfant de 8 ans qui était perdu. Pour l’aider à retrouver ses parents j’ai commencé à lui poser des questions. Comment tu t’appelles mon petit ? Il répond je m’appelle Bébéchou. Comment ton père s’appelle ? Le petit me répond le pater. Et ta maman ? La mater. Jusque là aucune réponse me permettant de l’aider. Pour finir je lui demande où il habite, c’est là le petit m’a tué. Il a répondu en case. Eh les parents aussi même si c’est vos prénoms faut que vos enfants les connaissent oh sinon vos enfants vont se perdre on ne pourra pas les aider à vous retrouver.

LE MAIRE QUI REFUSE DE CÉLÉBRER LE MARIAGE J’étais à un mariage et ils ont mis 15h sur la carte d’invitation mais les mariés sont venus à 15h30 min. là c’est excusable ; mais depuis on attend le maire mais on le voit pas jusqu’à 16h45. On attendait toujours et certaines personnes venaient présenter des excuses au nom du maire. Quand ma copine a quitté les toilettes pour venir me chuchoter à l’oreille que le maire ne voulait pas célébrer le mariage parce que la mariée n’est rien d’autre que son deuxième bureau. Eh Dieu les femmes aussi vous êtes gâtées inh et puis toi aussi monsieur le maire laisse l’enfant de gens se marier.

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CONSEILS DE PENELOPPE HERMIONNE, 28 ANS Salut Pénéloppe Je m’appelle Hermione et j’ai besoin de tes conseils Pénélope à propos de ce qui m’arrive au lit. Quand je fais l’amour avec mon chéri je ne jouis pas. Ce n’est pas qu’il est nul mais je ne quand je suis au bord de mon orgasme cela n’aboutit jamais du coup après avoir fait l’amour avec mon gars je me masturbe et ce n’est que là que je prends pleinement mon pieds. Je n’arrive pas à en discuter avec lui de peur qu’il le prenne mal. Qu’est ce qui ne va pas avec moi Pénélope. HERMIONE, YAKOOOOOH! Nous sommes nombreuses dans le cas. C’est pour cela j’ai choisi de devenir Pénéloppe. Ton homme sans te choquer ne pense qu’a son plaisir quand il te fait l’amour sinon souvent il te demanderait si tu as aimé? Si tu devrais lui donner une note ce sera laquelle? Mais ces gaous-là franchement, ils se croient toujours très fort en jouant au bûcheron sur nous. Puis après le tronc d’arbre sur lequel ils s’acharnent reste encore entier! Mais Mimi, c’est de ta faute aussi! je te dis cause avec lui! Piège-le! «Chéri, qu’est ce qui te fais le plus jouir, qu’est-ce qui te fait plaisir au lit?». Et tu profites pour glisser tes trucs. Balance lui aussi que tu ne jouis pas souvent. S’il est choqué, qu’il prenne soin de toi. Sinon j’ai quelqu’un qui va lui montrer comment prendre soin de toi! Qui va se négliger?

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WARNING ADVISORY EXPLICIT CONTENT

ANDRÉ, 32 ANS Bonjour Pénélope, Je m’appelle André. On dit que je suis beau gosse mais cela ne permet pas de me caser. Pourtant ce n’est pas que je vis comme un célibataire. J’ai toutes les filles que je veux mais elles sont justes là pour prendre leurs pieds pendant que je vise de faire du sérieux. Du coup toutes mes relations sont des plans culs. Que faire Pénélope pour avoir une relation sérieuse ?

ANDRE, TU N’ES BON QU’A ÇA? Tu dois être un bon cheval toi! Sinon tu n’es pas du tout beau gosse; elles resteraient si c’était le cas. Les gens te mentent trop mon cher et tu aimes entendre ça! Beau gosse djan! Les filles, je suis sur qu’elles se passent le mot. Il est magnifique au lit. Du coup t’es leur cible. T’as un truc qui attire mais rien qui retient! Ceci arrive souvent aux hommes mariés très efficaces. Mais eux au moins ils sont casés déja. Ton cas est complexe. Les filles te prennent comme un jouet. Ahhhahahahhahah. Voilà tu te sens mal. Tu veux te caser? Ben la prochaine que tu attrapes, retiens-toi au maximum. Fais-lui goûter d’autres plaisirs de l’amour, restaurant, sorties, voyages,cadeaux, compliments, (on aime toutes ça). Il faut que le sexe soit ton dernier souci. Fais la craquer avant de penser à ta queue, Gaou là!

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Source : http://www.urbenhits.com/ et http://www.voluncorp.com/

FANICKO DE JESUS Fanicko de Jésus est un talent de la musique urbaine béninoise. "On va Faire Comment" est ce titre qui l’a révélé au public. Mais qui est-il ? De son vrai nom Adjanohoun Fanick Olivier, Fanicko est né le 12 juillet 1992 à Cotonou, au Bénin. Il s’illustre autant dans le hip-hop que dans la musique électronique (Electro-House) à cause de son passé où il était danseur Electro et faisait parti des meilleurs sous le nom de Piikachu. Après la danse FANICKO de Jésus commence à s’intéresser à la musique et décide donc de créer le Groupe «Jérusalem Clan». Cette dernière team qui a pu imposer son style de rap et a eu pas

mal de fan pour un début, d’où FANICKO a pu avoir un feat avec CTN HEROES sur «Esprit Jointé» Aujourd’hui, pendant que «OVFC» (On Va Faire Comment ?) bât encore son plein au Bénin et dans la sous région, sur Trace TV, le poulain de Self Made Men de Mister Blaaz, Fanicko, sort un tout nouveau single intitulé #TFTLB : «Tu Fais Trop La Bouche». Il reste dans le même registre que son précédent titre avec cette fois Marshall Cyano à la Prod. Avec ses deux opus, Fanicko arpente déjà de grandes scènes de spectacles de Cotonou à Lomé. Nous lui souhaitons tout le succès digne de son talent.

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Par Michael TCHOKPODO

Notre astrologue-décallé nous livre le foiroscope du mois.

Bélier

Balance

Dans un autre monde, tu travaillerais comme pasteur (guide de troupeaux). Ta réincarnation a heureusement ou malheureusement fait changer la donne.

Tu aimes larguer en premier ton/ta partenaire. Ces vacances-ci, c’est bien toi qui va ramer.

Taureau

Scorpion

Juste parce que tu es de signe ‘’taureau’’, tu soulèves des charges pour être musclé. Laisses-moi te dire que le coup du gars aux pectoraux ne marche plus avec les gos de Cotonou. Pour toi la go, la ‘’nastoumania’’ n’excite plus vraiment les mecs.

T’es en panne d’inspiration ? Essaies l’expiration, tu pourras trouver une nouvelle orientation.

Gémeaux

Sagittaire

C’est les vacances ! Tu rêves déjà sur des plans (à deux ou à trois). Tu n’auras pas que des parties de plaisirs, la séquence « je m’infecte sciemment » interviendra. Si tu tiens encore à ta life, fais le bon choix…

Tu aimes trop te faire voir. Il te faut maintenant avoir ta propre émission de téléréalité, comme ça, tu pourras mieux t’exhiber.

Cancer

Capricorne

Les réseaux sociaux sont maintenant ta famille et tu y exposes tes problèmes de cœur. Au mieux des cas, tu seras mal conseillé. Sinon, tes informations seront utilisées contre toi.

Tu dis tout le temps : « Dieu est au contrôle. » Et quand on te tourne dos, c’est gbass tu vas faire. Pardon, arrêtes de mentir à ta conscience.

Lion

Verseau

Il faudra t’acoquiner avec les personnes de signe fourmi (si tu en trouves). Comme cela, ils pourront plus facilement avoir le dessus sur ta personne.

Bonne nouvelle pour toi : quittes le verseau et vas ou recto de la page. Tu y verras ce que te réservent les astres.

Vierge

Poisson

C’est le moment le plus jamais rêvé pour perdre ta virginité. De quoi as-tu peur ? Ça fait aussi partie du gbadou des vacances.

Tu te fais marcher dessus par tes proches, n’est-ce pas ? Ton signe astrologique en est pour beaucoup. Désormais, tu seras de signe requin, ça te fera psychologiquement dominer sur les autres.

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