Alors que le début de l’année était marqué d’une vague de chaleur rappelant une fois de plus, si besoin était, que le réchauffement climatique est une triste réalité avec laquelle il faudra désormais composer, les chiffres des arrivées touristiques à fin mars (-4,5 %) sont venus jeter un coup de froid plutôt mal accueilli. Il a fallu tout de suite trouver les boucs émissaires : incapacité à attirer les touristes chinois perçus comme les voyageurs du futur, faiblesse supposée d’Air Mauritius à remplir ses avions, difficulté de faire revenir les touristes réunionnais tentés par les facilités offertes pour partir en métropole…